Violence, agressivité en psy (agression, maltraitance....)
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers - Psychiatrie
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Re: la violence physique des patients en psychiatrie
1. Vous êtes ?
•Une femme
2.Depuis quand travaillez-vous en psychiatrie ?
9 ans
3.Depuis quand travaillez-vous dans ce service ?
6 ans
4. Dans quel secteur ?
• Chronique
• Entrant
les 2
5. Etes-vous titulaire du diplôme « infirmier de secteur psychiatrique » ?
• Non
6. Avez-vous déjà été témoin ou victime de violences physiques de la part d’un patient ?
non
7. Vous a-t-on déjà proposé une formation vous aidant à gérer la violence ?
• Non
Si oui, avez-vous suivi cette formation ?
8. Quel était le contenu de cette formation ?
9. Semble t-elle adaptée à ce qui est vécu au quotidien dans les services de soins ?
10. D’après vous, la suppression de la spécialité du diplôme « infirmier de secteur psychiatrique » en 1992 est-elle ?
• Un bien
• Un mal
je ne sais pas
11. Pensez-vous que les nouveaux diplômés soient suffisamment formés à la psychiatrie ?
je ne sais pas
12. Selon vous, quelle est la réponse la plus adaptée au(x) coup(s) d’un patient ?
le calme, s'assurer de toujours être équipée d'un moyen d'alerte
en tant qu'infirmière, avec un peu d'expérience on peut observer des signes avant-coureurs chez un patient (dans son comportement, dans ses propos, dans son regard) et cela nous le signalons au médecin, avant que le drame ne survienne
13. A votre avis, quelles mesures devraient être mises en place pour vous permettre de mieux vivre et gérer la violence des patients ?
des moyens d'alerte (nous, nous avons des bip), savoir repérer le malaise qui monte chez le patient, un traitement adapté et révisé à chaque fois que c'est nécessaire
éviter de rester seule avec le patient
14. Cet espace vous est réservé, vous pouvez y laisser vos impressions et remarques en regard du sujet de l’étude.
je travaille dans une clinique psychiatrique privé, qui ne reçoit pas en urgence des personnes agitées
quand un de nos patients devient inmaîtrisable pour nos moyens (nous ne possédons pas les aménagements nécessaires), le patient est expédié à l'hopital psy.
dans la clinique où je bosse nous avons une unité d'anorexiques, une unité d'alcoologie, et puis un peu toutes les pathologies psy (psychoses, dépressions, PMD etc...) Y en a même on se demande s'ils ne viennent pas ici comme ils iraient au Club Med
voilà, si ça peut t'aider
•Une femme
2.Depuis quand travaillez-vous en psychiatrie ?
9 ans
3.Depuis quand travaillez-vous dans ce service ?
6 ans
4. Dans quel secteur ?
• Chronique
• Entrant
les 2
5. Etes-vous titulaire du diplôme « infirmier de secteur psychiatrique » ?
• Non
6. Avez-vous déjà été témoin ou victime de violences physiques de la part d’un patient ?
non
7. Vous a-t-on déjà proposé une formation vous aidant à gérer la violence ?
• Non
Si oui, avez-vous suivi cette formation ?
8. Quel était le contenu de cette formation ?
9. Semble t-elle adaptée à ce qui est vécu au quotidien dans les services de soins ?
10. D’après vous, la suppression de la spécialité du diplôme « infirmier de secteur psychiatrique » en 1992 est-elle ?
• Un bien
• Un mal
je ne sais pas
11. Pensez-vous que les nouveaux diplômés soient suffisamment formés à la psychiatrie ?
je ne sais pas
12. Selon vous, quelle est la réponse la plus adaptée au(x) coup(s) d’un patient ?
le calme, s'assurer de toujours être équipée d'un moyen d'alerte
en tant qu'infirmière, avec un peu d'expérience on peut observer des signes avant-coureurs chez un patient (dans son comportement, dans ses propos, dans son regard) et cela nous le signalons au médecin, avant que le drame ne survienne
13. A votre avis, quelles mesures devraient être mises en place pour vous permettre de mieux vivre et gérer la violence des patients ?
des moyens d'alerte (nous, nous avons des bip), savoir repérer le malaise qui monte chez le patient, un traitement adapté et révisé à chaque fois que c'est nécessaire
éviter de rester seule avec le patient
14. Cet espace vous est réservé, vous pouvez y laisser vos impressions et remarques en regard du sujet de l’étude.
je travaille dans une clinique psychiatrique privé, qui ne reçoit pas en urgence des personnes agitées
quand un de nos patients devient inmaîtrisable pour nos moyens (nous ne possédons pas les aménagements nécessaires), le patient est expédié à l'hopital psy.
dans la clinique où je bosse nous avons une unité d'anorexiques, une unité d'alcoologie, et puis un peu toutes les pathologies psy (psychoses, dépressions, PMD etc...) Y en a même on se demande s'ils ne viennent pas ici comme ils iraient au Club Med

voilà, si ça peut t'aider

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1) femme
2) 7
3) 10 mois
4) entrant
5) non
6) les 2
7) non
---
9) ---
10) un bien
11) non
12) mise à distance (pour éviter d'autres coups), puis discussion quand le calme est revenu
13) formation sur "comment éviter le passage à l'acte sur des personnes" (mais on apprend vite sur le tas)
14) la violence physique est un moyen d'exprimer son mal-être (parfois le sentiment que les autres agressent aussi...) quand les mots n'arrivent pas. Il faut donc devancer et faire "parler" ou "agir autrement" afin d'évacuer cette violence
2) 7
3) 10 mois
4) entrant
5) non
6) les 2
7) non

9) ---
10) un bien
11) non
12) mise à distance (pour éviter d'autres coups), puis discussion quand le calme est revenu
13) formation sur "comment éviter le passage à l'acte sur des personnes" (mais on apprend vite sur le tas)
14) la violence physique est un moyen d'exprimer son mal-être (parfois le sentiment que les autres agressent aussi...) quand les mots n'arrivent pas. Il faut donc devancer et faire "parler" ou "agir autrement" afin d'évacuer cette violence
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- sonitchkaa
- Forcené
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- Inscription : 16 déc. 2004 10:03
- Localisation : à l'ouest...
Re: la violence physique des patients en psychiatrie
1. Vous êtes ?
• Un homme
• Une femme
2. Depuis quand travaillez-vous en psychiatrie ? 2 mois
3. Depuis quand travaillez-vous dans ce service ? 2 mois
4. Dans quel secteur ?
• Chronique
• Entrant
les deux
5. Etes-vous titulaire du diplôme « infirmier de secteur psychiatrique » ?
• Oui
• Non
6. Avez-vous déjà été témoin ou victime de violences physiques de la part d’un patient ?
• Témoin
• Victime
• Les deux
7. Vous a-t-on déjà proposé une formation vous aidant à gérer la violence ?
• Oui
• Non
Si oui, avez-vous suivi cette formation ?
• Oui
• Non pas encore
8. Quel était le contenu de cette formation ?
9. Semble t-elle adaptée à ce qui est vécu au quotidien dans les services de soins ?
• Oui elle est proposée par des personnes de terrain (infirmiers et équipe de sécurité)
• Non
10. D’après vous, la suppression de la spécialité du diplôme « infirmier de secteur psychiatrique » en 1992 est-elle ?
• Un bien
• Un mal
11. Pensez-vous que les nouveaux diplômés soient suffisamment formés à la psychiatrie ?
• Oui
• Non
12. Selon vous, quelle est la réponse la plus adaptée au(x) coup(s) d’un patient ? tenter de revenir au calme quand c'est possible sinon, l'équipe de sécurité!
13. A votre avis, quelles mesures devraient être mises en place pour vous permettre de mieux vivre et gérer la violence des patients ?
avoir un homme à chaque équipe, nous en avons deux pour 18 soignants...
14. Cet espace vous est réservé, vous pouvez y laisser vos impressions et remarques en regard du sujet de l’étude
de ce côté là dans mon service, on a un léger souci: pas d'hommes, des médecins très passifs, réticents à la MCI et aux traitements sédatifs, des IDE enceintes... bref, pas terrible au niveau de la gestion de la violence
en très peu de temps, je me suis retrouvée en première ligne face à des patients agités ou violents, les paroles ne suffisant pas et deux petites infirmières ne faisant pas le poids, j'ai eu recours à l'équipe de sécurité, bénie soit- elle.
pas le top, mais je tiens à ma peau
• Un homme
• Une femme
2. Depuis quand travaillez-vous en psychiatrie ? 2 mois
3. Depuis quand travaillez-vous dans ce service ? 2 mois
4. Dans quel secteur ?
• Chronique
• Entrant
les deux
5. Etes-vous titulaire du diplôme « infirmier de secteur psychiatrique » ?
• Oui
• Non
6. Avez-vous déjà été témoin ou victime de violences physiques de la part d’un patient ?
• Témoin
• Victime
• Les deux
7. Vous a-t-on déjà proposé une formation vous aidant à gérer la violence ?
• Oui
• Non
Si oui, avez-vous suivi cette formation ?
• Oui
• Non pas encore
8. Quel était le contenu de cette formation ?
9. Semble t-elle adaptée à ce qui est vécu au quotidien dans les services de soins ?
• Oui elle est proposée par des personnes de terrain (infirmiers et équipe de sécurité)
• Non
10. D’après vous, la suppression de la spécialité du diplôme « infirmier de secteur psychiatrique » en 1992 est-elle ?
• Un bien
• Un mal
11. Pensez-vous que les nouveaux diplômés soient suffisamment formés à la psychiatrie ?
• Oui
• Non
12. Selon vous, quelle est la réponse la plus adaptée au(x) coup(s) d’un patient ? tenter de revenir au calme quand c'est possible sinon, l'équipe de sécurité!
13. A votre avis, quelles mesures devraient être mises en place pour vous permettre de mieux vivre et gérer la violence des patients ?
avoir un homme à chaque équipe, nous en avons deux pour 18 soignants...
14. Cet espace vous est réservé, vous pouvez y laisser vos impressions et remarques en regard du sujet de l’étude
de ce côté là dans mon service, on a un léger souci: pas d'hommes, des médecins très passifs, réticents à la MCI et aux traitements sédatifs, des IDE enceintes... bref, pas terrible au niveau de la gestion de la violence
en très peu de temps, je me suis retrouvée en première ligne face à des patients agités ou violents, les paroles ne suffisant pas et deux petites infirmières ne faisant pas le poids, j'ai eu recours à l'équipe de sécurité, bénie soit- elle.
pas le top, mais je tiens à ma peau
quitte la psy en mai
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1. Vous êtes ?
• Une femme
2. Depuis quand travaillez-vous en psychiatrie ?
2 ans 1/2
3. Depuis quand travaillez-vous dans ce service ?
2 ans 1/2
4. Dans quel secteur ?
• Chronique
• Entrant
Pas de différenciation
5. Etes-vous titulaire du diplôme « infirmier de secteur psychiatrique » ?
• Non
6. Avez-vous déjà été témoin ou victime de violences physiques de la part d’un patient ?
• Les deux
7. Vous a-t-on déjà proposé une formation vous aidant à gérer la violence ?
• Non
Si oui, avez-vous suivi cette formation ?
• Non
8. Quel était le contenu de cette formation ?
9. Semble t-elle adaptée à ce qui est vécu au quotidien dans les services de soins ?
• Oui
• Non
10. D’après vous, la suppression de la spécialité du diplôme « infirmier de secteur psychiatrique » en 1992 est-elle ?
• Un mal
11. Pensez-vous que les nouveaux diplômés soient suffisamment formés à la psychiatrie ?
• Non
12. Selon vous, quelle est la réponse la plus adaptée au(x) coup(s) d’un patient ?
Difficile à dire, chaque cas est différent (pathologies, caractères de l'individu,...). La violence ne doit pas engendré la violence. Le mieux est de savoir anticiper celle-ci pour l'éviter car bien souvent, le patient n'est pas conscient de ses actes.
13. A votre avis, quelles mesures devraient être mises en place pour vous permettre de mieux vivre et gérer la violence des patients ?
Plus de personnels pour pouvoir être à l'écoute des patients.
Equiper chaque membres de l'équipe d'un Bip signalant un danger.
14. Cet espace vous est réservé, vous pouvez y laisser vos impressions et remarques en regard du sujet de l’étude.
travaillons plus en équipe : médecin, personnels paramédicals, cadres...
et respectons les mêmes consignes.
• Une femme
2. Depuis quand travaillez-vous en psychiatrie ?
2 ans 1/2
3. Depuis quand travaillez-vous dans ce service ?
2 ans 1/2
4. Dans quel secteur ?
• Chronique
• Entrant
Pas de différenciation
5. Etes-vous titulaire du diplôme « infirmier de secteur psychiatrique » ?
• Non
6. Avez-vous déjà été témoin ou victime de violences physiques de la part d’un patient ?
• Les deux
7. Vous a-t-on déjà proposé une formation vous aidant à gérer la violence ?
• Non
Si oui, avez-vous suivi cette formation ?
• Non
8. Quel était le contenu de cette formation ?
9. Semble t-elle adaptée à ce qui est vécu au quotidien dans les services de soins ?
• Oui
• Non
10. D’après vous, la suppression de la spécialité du diplôme « infirmier de secteur psychiatrique » en 1992 est-elle ?
• Un mal
11. Pensez-vous que les nouveaux diplômés soient suffisamment formés à la psychiatrie ?
• Non
12. Selon vous, quelle est la réponse la plus adaptée au(x) coup(s) d’un patient ?
Difficile à dire, chaque cas est différent (pathologies, caractères de l'individu,...). La violence ne doit pas engendré la violence. Le mieux est de savoir anticiper celle-ci pour l'éviter car bien souvent, le patient n'est pas conscient de ses actes.
13. A votre avis, quelles mesures devraient être mises en place pour vous permettre de mieux vivre et gérer la violence des patients ?
Plus de personnels pour pouvoir être à l'écoute des patients.
Equiper chaque membres de l'équipe d'un Bip signalant un danger.
14. Cet espace vous est réservé, vous pouvez y laisser vos impressions et remarques en regard du sujet de l’étude.
travaillons plus en équipe : médecin, personnels paramédicals, cadres...
et respectons les mêmes consignes.
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- Inscription : 20 juin 2005 14:40
-
- Messages : 11
- Inscription : 20 juin 2005 14:40
- tRanXeNe`EjEctaBlE
- Fidèle
- Messages : 220
- Inscription : 28 mars 2005 23:02
- Localisation : 0n The CanAp' AgAin
1. Un homme
2. 3 ans
3. 3 ans
4. Chronique et Entrant, plutot orienté Entrant en fait...
5. Oui
6. Les deux
7. Oui et Oui
8. Deux formation "Approche théorique avec cours en cercle restreint avec comme support des situations de service" et "Formation à la contention" avec l'Equipe de Secu du CH, tres physique et défoulant
9. Oui
10. IL y a eu probablement eu perte de connaissance et de compétence, donc probablement Un mal
11. Non
12. Selon vous, quelle est la réponse la plus adaptée au(x) coup(s) d’un patient ?
Aucune idée. Tout depend du contexte, du patient...
13. Des temps de parole et de reprise quand violence il y a eu. Ca peut paraitre bete, mais pouvoir dire les choses telles qu'on les a vecu sur le moment décharge beaucoup les situations au niveau émotionnelle.
14. Cet espace vous est réservé, vous pouvez y laisser vos impressions et remarques en regard du sujet de l’étude.
Je pense tres franchement que, sauf tres rare situation, la violence du patient est en reponse a la violence du soignant, de quelque ordre cette derniere soit.
2. 3 ans
3. 3 ans
4. Chronique et Entrant, plutot orienté Entrant en fait...
5. Oui
6. Les deux
7. Oui et Oui
8. Deux formation "Approche théorique avec cours en cercle restreint avec comme support des situations de service" et "Formation à la contention" avec l'Equipe de Secu du CH, tres physique et défoulant
9. Oui
10. IL y a eu probablement eu perte de connaissance et de compétence, donc probablement Un mal
11. Non
12. Selon vous, quelle est la réponse la plus adaptée au(x) coup(s) d’un patient ?
Aucune idée. Tout depend du contexte, du patient...
13. Des temps de parole et de reprise quand violence il y a eu. Ca peut paraitre bete, mais pouvoir dire les choses telles qu'on les a vecu sur le moment décharge beaucoup les situations au niveau émotionnelle.
14. Cet espace vous est réservé, vous pouvez y laisser vos impressions et remarques en regard du sujet de l’étude.
Je pense tres franchement que, sauf tres rare situation, la violence du patient est en reponse a la violence du soignant, de quelque ordre cette derniere soit.
IDE en psy à l'ombre, en conditionnelle pour un long moment...
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