Violence, agressivité en psy (agression, maltraitance....)
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pour être un peu plus précise, j'ai assisté à une scène violente d'un soigant envers un patient. en effet, le patient ne voulait ou pouvait pas prendre ses mes médicaments, elle était relativement passive aux stimulations du soignant en question. dans un premier temps il hausse le ton et lui tire l'oreille en lui disant mais tu vas tendre ta main pour prendre les médicaments oui!! il lui rajouta dépêche toi sinon tu vas tant prendre une!!elle tend la main difficilement, c'est alors que le soignant lui donna une claque parce qu'il ne faisait aucun effort selon lui en voyant que l'un des médicaments était tombé parterre. le patient s'est mis à crier... pettrifiée et en regardant l'autre élève, j'ai été tout de même rammasser et nettoyer le médicament tomber au sol et je le remis en main de la patiente.
elle essayait tant bien que mal de mettre ses médicaments dans la bouche mais perdant patience le soignant alla fermer la porte de la pharmacie et lui donna à nouveau 2 claques mais derrière la tête!! là je lui répondit non tu ne peux pas faire ça!!! entre temps un patient et l'élève étaient sortie de la pièce voyant la scène.
je me suis mise à côté du patient et je l'ai aidé à prendre ses médicaments de peur qu'il ne récidive.
après que chaque patient eu pris leur médocs, j'ai fermé la porte de la pièce, (entre temps l'autre élève est revenu dans la salle) et j'ai dis au soignant qu'il fallait que je lui parle, c'est alors qu'on entama un discours dans lequel je lui dis que j'étais choquée de son comportement que je ne comprennais pas qu'en tant que soignant qu'il est eu ce genre de comportement, qu'on nous inculquait à l'école de prendre en charge la personne soignée dans le respect, l'aide et l'écoute, que s'il perdait patience qu'il fallait qu'il passe le relais à quelqu'un d'autre, que c'était de la maltraitance etc...
lui m'a répondu qu'une autre personnes ne pourrait rien faire de plus et que c'est efficace, que ça se faisait en psy et que ça faisait "partie du soin"pour certaines personnes que ça marchait bien aussi pour les personnes âgées, qu'il ne faisait pas ça en cachette et que si je voulais en parler à l'équipe yavait pas de problème mais que c'était la première fois que quelqu'un lui disait ça etc....
il a fait en sorte qu'on en parle avec deux autres personnes de l'équipe qui m'ont dit qu'en effet c'était des choses qui pouvaient arriver qu'on était d'abord humain,que les hommes était beaucoup sollicités physiquement en psy et qu'ils étaient par conséquence plus érintés psychologiquement, qu'elle ne soutenait pas ce genre d'action mais qu'elle comprenait. mais que c'était tout de même très bien que j'ai réagis face à ça et que j'en parle avec eux...
par la suite pour se justifier le soigant en parlait aux transmissions et disant qu'avec telles et telles patients qu'il fallait deux claques derrière la tête pour que tout aille mieux avec une telle banalité et l'équipe d'ailleurs n'avait pas l'air réactif d'ailleurs certains ont même évoqué le terme de bobothérapie avec des rictus.......
enfin il s'est dit tant de choses que je n'ai pas pu tout vous écrire mais c'est suffisant pour que vous puissiez voir la gravité de la situation!! je ne sais pas comment prendre les choses, j'ai un oeil nouveau sur ce monde nouveau de la psy mais tout cela va à l'encontre de ce qu'on nous apprendre à être comme future soignant!
j'ai vraiment besoin de vos avis je suis désemparée! dois-je réagir?! vous est-il arrivé d'assister à ce genre de situation? AIDEZ MOI! MERCI
elle essayait tant bien que mal de mettre ses médicaments dans la bouche mais perdant patience le soignant alla fermer la porte de la pharmacie et lui donna à nouveau 2 claques mais derrière la tête!! là je lui répondit non tu ne peux pas faire ça!!! entre temps un patient et l'élève étaient sortie de la pièce voyant la scène.
je me suis mise à côté du patient et je l'ai aidé à prendre ses médicaments de peur qu'il ne récidive.
après que chaque patient eu pris leur médocs, j'ai fermé la porte de la pièce, (entre temps l'autre élève est revenu dans la salle) et j'ai dis au soignant qu'il fallait que je lui parle, c'est alors qu'on entama un discours dans lequel je lui dis que j'étais choquée de son comportement que je ne comprennais pas qu'en tant que soignant qu'il est eu ce genre de comportement, qu'on nous inculquait à l'école de prendre en charge la personne soignée dans le respect, l'aide et l'écoute, que s'il perdait patience qu'il fallait qu'il passe le relais à quelqu'un d'autre, que c'était de la maltraitance etc...
lui m'a répondu qu'une autre personnes ne pourrait rien faire de plus et que c'est efficace, que ça se faisait en psy et que ça faisait "partie du soin"pour certaines personnes que ça marchait bien aussi pour les personnes âgées, qu'il ne faisait pas ça en cachette et que si je voulais en parler à l'équipe yavait pas de problème mais que c'était la première fois que quelqu'un lui disait ça etc....
il a fait en sorte qu'on en parle avec deux autres personnes de l'équipe qui m'ont dit qu'en effet c'était des choses qui pouvaient arriver qu'on était d'abord humain,que les hommes était beaucoup sollicités physiquement en psy et qu'ils étaient par conséquence plus érintés psychologiquement, qu'elle ne soutenait pas ce genre d'action mais qu'elle comprenait. mais que c'était tout de même très bien que j'ai réagis face à ça et que j'en parle avec eux...
par la suite pour se justifier le soigant en parlait aux transmissions et disant qu'avec telles et telles patients qu'il fallait deux claques derrière la tête pour que tout aille mieux avec une telle banalité et l'équipe d'ailleurs n'avait pas l'air réactif d'ailleurs certains ont même évoqué le terme de bobothérapie avec des rictus.......
enfin il s'est dit tant de choses que je n'ai pas pu tout vous écrire mais c'est suffisant pour que vous puissiez voir la gravité de la situation!! je ne sais pas comment prendre les choses, j'ai un oeil nouveau sur ce monde nouveau de la psy mais tout cela va à l'encontre de ce qu'on nous apprendre à être comme future soignant!
j'ai vraiment besoin de vos avis je suis désemparée! dois-je réagir?! vous est-il arrivé d'assister à ce genre de situation? AIDEZ MOI! MERCI

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ESI 3ère année
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C'est une violation complete de la charte du patient hospiltalisé.
Article 8"la personne hospitalisée doit être traitée avec égards"
Il ne faut pas cautionner un tel geste. J'ai déja était confronté à cela dans ma déja longue carrière en psy. J'ai mis au courant le cadre de l'unité puis j'en ai parlé au médecin responsable; Il s'averait que cet infirmier avait déja eu de tels comportements violents envers les patients.
Article 8"la personne hospitalisée doit être traitée avec égards"
Il ne faut pas cautionner un tel geste. J'ai déja était confronté à cela dans ma déja longue carrière en psy. J'ai mis au courant le cadre de l'unité puis j'en ai parlé au médecin responsable; Il s'averait que cet infirmier avait déja eu de tels comportements violents envers les patients.
Je partage entièrement l'avis de mes deux confrères!!!
Je suis scandalisé par de telles maltraitances. Ce n'est pas de la pratique c'est un délit!
Je comprends qu'en tant qu'étudiante tu sois un peu refroidis. Les conseils de mes collègues me semblent de bon aloi. Va voir le medecin chef de service, le cadre, voire le pôle patient de l'hopital!
Très important: prévenir l'IFSI tout d'abord et leur ecrire en RAR pour que ta demande soit pris en charge si ils ignorent ta demande.
Surtout crois bien qu'il s'agit d'une exception.
A ton service et bravo pour ta réaction!

Je suis scandalisé par de telles maltraitances. Ce n'est pas de la pratique c'est un délit!
Je comprends qu'en tant qu'étudiante tu sois un peu refroidis. Les conseils de mes collègues me semblent de bon aloi. Va voir le medecin chef de service, le cadre, voire le pôle patient de l'hopital!
Très important: prévenir l'IFSI tout d'abord et leur ecrire en RAR pour que ta demande soit pris en charge si ils ignorent ta demande.
Surtout crois bien qu'il s'agit d'une exception.
A ton service et bravo pour ta réaction!
"A force de contempler l'abyme, l'abyme te contemple"-Nietzsche
patra, le troll a raison ce n'est qu'une attitude exceptionnellement rare mais parfois on peut y être confronté. il y a en psy comme ailleurs des gens qui ne sont pas à leur place en tant que soignant. j'espère que cela ne te fera pas oublier que l'interet qui doit être le notre au quotidien c'est l'aide qu'on peut apporter même minime aux personnes qui souffrent.
Tu as choisi un joli métier.
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- neypo molotov
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j'espère de tout coeur que ton alerte sera entendu et non etouffée comme c'est malheureusement le cas parfois. la violence ne sera jamais une thérapie ...
vive la psy ... parfois j'ai honte d'être infirmier quand je vois tous les cas de violences physiques ou morales, en psy et ailleurs .
vive la psy ... parfois j'ai honte d'être infirmier quand je vois tous les cas de violences physiques ou morales, en psy et ailleurs .
La lumière va plus vite que le son !certaines personnes paraissent brillantes jusqu'au moment où elles commencent à parler ...
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Je n'ai jamais assister a ce genre de scène déplorable ... mais la violence peut prendre diverses forme ...
Je me souviens d'un repas qui soit disant thérapeutique etait devenu souffrance autant pour les patients que pour les soignants, cette bonne femme passait son temps a hurler apres les patients pour un oui pour un non, elle se prenait pour un maton ... une vraie dingue cette fille, quand elle etait dans le service y a avait toujours un qui décompensait et qui fesait un stage en CI
Je me souviens egalement d'un patient psychotique qui dans un délire s'etait foutu par la fenetre au 5ème etage, il avait donc une impotence fonctionnelle et besoin d'aide pour sa toilette, et bien quand je m'occupais de lui aucun soucis, apres mon week end de repos je le retrouvais dans les habits du vendredi pouilleux et puant ... l'équipe passait son temps a lui hurler dessus
alors il voulait pas se laver ...
Lorsque j'en ai parlais a l'equipe leur reponse fut que moi etudiante de merde j'etais la pour un mois et que je pouvais pas comprendre l'epuisement profesionnel, ce a quoi je leur ai repondu que quand on en arrivait a ça il fallait changé de metier
Alors où commence la violence ?
Je me souviens d'un repas qui soit disant thérapeutique etait devenu souffrance autant pour les patients que pour les soignants, cette bonne femme passait son temps a hurler apres les patients pour un oui pour un non, elle se prenait pour un maton ... une vraie dingue cette fille, quand elle etait dans le service y a avait toujours un qui décompensait et qui fesait un stage en CI

Je me souviens egalement d'un patient psychotique qui dans un délire s'etait foutu par la fenetre au 5ème etage, il avait donc une impotence fonctionnelle et besoin d'aide pour sa toilette, et bien quand je m'occupais de lui aucun soucis, apres mon week end de repos je le retrouvais dans les habits du vendredi pouilleux et puant ... l'équipe passait son temps a lui hurler dessus

Lorsque j'en ai parlais a l'equipe leur reponse fut que moi etudiante de merde j'etais la pour un mois et que je pouvais pas comprendre l'epuisement profesionnel, ce a quoi je leur ai repondu que quand on en arrivait a ça il fallait changé de metier

Alors où commence la violence ?
" Toi tu m' fous les glandes ... Pis t'as rien à foutre dans mon monde ... Arrache toi d' là t'es pas d' ma bande
Casse toi tu pues ... Et marche à l'ombre"
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- sonitchkaa
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j'ai participé à un travail intitulé "l'engrenage vers la maltraitance, le silence des soignants" ( à partir de situations vécues en psychiatrie)
ce qui en est ressorti est qu'en général, dans une équipe, le soignant maltraitant est une personne en position de puissance au sein de l'équipe, de par son âge ou son ancienneté
et souvent, le reste de l'équipe, par une forme de respect mal placé, préfère taire, voire même couvrir des actes immoraux plutôt que de dénoncer un ancien, lui trouvant même des excuses "il a connu une autre psychiatrie, ses méthodes sont à l'ancienne"...
selon notre groupe de travail, la responsabilité de telles attitudes incombe à l'équipe toute entière qui ferme les yeux plutôt que de mettre fin à cette situation, soit en en discutant avec le soignant maltraitant, soit en en référant au supérieur
et souvent ce sont des étudiants de passage qui pointent du doigt les maltraitances
bref pour résumer, il y a des cons partout, mais les plus coupables sont ceux qui savent et qui malgré tout ne s'attachent pas à faire évoluer les choses dans le bon sens
ce qui en est ressorti est qu'en général, dans une équipe, le soignant maltraitant est une personne en position de puissance au sein de l'équipe, de par son âge ou son ancienneté
et souvent, le reste de l'équipe, par une forme de respect mal placé, préfère taire, voire même couvrir des actes immoraux plutôt que de dénoncer un ancien, lui trouvant même des excuses "il a connu une autre psychiatrie, ses méthodes sont à l'ancienne"...
selon notre groupe de travail, la responsabilité de telles attitudes incombe à l'équipe toute entière qui ferme les yeux plutôt que de mettre fin à cette situation, soit en en discutant avec le soignant maltraitant, soit en en référant au supérieur
et souvent ce sont des étudiants de passage qui pointent du doigt les maltraitances
bref pour résumer, il y a des cons partout, mais les plus coupables sont ceux qui savent et qui malgré tout ne s'attachent pas à faire évoluer les choses dans le bon sens
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cedr1c a écrit :là ou s'arrete la communication?
100% d'accord
Un soignant totalement desinteréssé de son metier et bâclant tout ne devient plus soignant.L'epuisement professionnel, l'un des plus grands maux...
j'ai vraiment besoin de vos avis je suis désemparée! dois-je réagir?! vous est-il arrivé d'assister à ce genre de situation? AIDEZ MOI! MERCI
Oui il faut réagir. Comme dit plus haut Sonitchkaaa ce sont souvent les eleves , je rajouterais meme les temporaires et interims, qui montrent du doigt les maltraitances. Beaucoup ne le font pas de peur que le stage/missions/... ne se transforme en cauchemar car on vient remuer certaines choses qui sont "cachées" et qui auraient du le rester.
Parles en au cadre du service ou au chef de service, va accompagnée de ta collegue de stage. Deux temoignages valent mieux que un seul

Informes en ton IFSI
Normalement ta cadre referente est la pour t'ecouter si il se passe des problemes, celui-ci est scandaleux et tres grave. Ensuite de ce que l'IFSI fera de cette information, je n'en sais rien. Le mien a une liste noire de lieu de stage, apres peut-etre que quelqu'un appellera le cadre du service.
En tout cas ce genre de comportement est a condamner et a signaler!
neypo molotov a écrit : la violence ne sera jamais une thérapie ...
Rien a Ajouter tout est la.
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Je vais vous paraitre pointilleuse mais la violence est une forme de communication
bref
De toute façon La situation décrite par patra est assez isolée est heureusement ... cela ne veux pas dire qu'il faut laisser passer, je serais la 1ere a dénoncer ce geste
Moi j'aurais envie de vous demander: "Avez vous adopté une attitude non soignante ou avez vous etez "violent" a un moment donné ?"
Reflechissez ... nous sommes et nous avons tous eté "violent" ...

De toute façon La situation décrite par patra est assez isolée est heureusement ... cela ne veux pas dire qu'il faut laisser passer, je serais la 1ere a dénoncer ce geste

Moi j'aurais envie de vous demander: "Avez vous adopté une attitude non soignante ou avez vous etez "violent" a un moment donné ?"
Reflechissez ... nous sommes et nous avons tous eté "violent" ...
" Toi tu m' fous les glandes ... Pis t'as rien à foutre dans mon monde ... Arrache toi d' là t'es pas d' ma bande
Casse toi tu pues ... Et marche à l'ombre"
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MECI BEAUCOUP POUR VOS CONSEILS ET REACTIONS !!!
je viens de terminer ma 1ère semaine de stage mais depuis j'ai du mal a rester neutre quand aux réactions de l'équipe en général, les nons incessants, le tout pouvoir que certains disent avoir sur les patients! je ressens tout comme une agression!
je m'intéresse pourtant, je pose des questions, j'essaies de comprendre le pourquoi du comment, mais ces actions me sont restées en travers de la gorge!!
j'ai vraiment besoin d'en parler mais je pense qu'en parler plus à l'équipe me desservirait plus qu'autre chose.
j'ai eu la chance d'être avec un autre élève avec qui je parle de mon ressenti et vise verca.
merci encore pour vos coms nésitez pas de continuer à réagir.
je viens de terminer ma 1ère semaine de stage mais depuis j'ai du mal a rester neutre quand aux réactions de l'équipe en général, les nons incessants, le tout pouvoir que certains disent avoir sur les patients! je ressens tout comme une agression!
je m'intéresse pourtant, je pose des questions, j'essaies de comprendre le pourquoi du comment, mais ces actions me sont restées en travers de la gorge!!
j'ai vraiment besoin d'en parler mais je pense qu'en parler plus à l'équipe me desservirait plus qu'autre chose.
j'ai eu la chance d'être avec un autre élève avec qui je parle de mon ressenti et vise verca.
merci encore pour vos coms nésitez pas de continuer à réagir.

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Je suis d'accord avec toi, en parler a l'equipe te desservirait plus que crever l'abces. Apres ca risque de partir en vrille avec l'equipe, de ce que tu en dis, la communication se fermera si tu abordes le sujet. La remise en question de leur travail par un etudiant...c'est jamais facile a entendre pour un professionel. Certains sont prets a l'entendre car ils se remettent en question facilement (je pense que c'est une qualite primordiale pour un professionnel) et d'autres se fermeront directement car ils estiment ne pas a recevoir de remarques d'un etudiant.
Parles en a ta cadre referente ou a une cadre de ton equipe pedagogique. Si elle a travaillé en Psy c'est encore mieux ^^
En quelle année est tu? C'est le premier stage?Le premier stage en Psy?
En tout cas bonne chance, saches que tu dois etre mal tombée
Bon courage et a bientot
Parles en a ta cadre referente ou a une cadre de ton equipe pedagogique. Si elle a travaillé en Psy c'est encore mieux ^^
En quelle année est tu? C'est le premier stage?Le premier stage en Psy?
En tout cas bonne chance, saches que tu dois etre mal tombée

Bon courage et a bientot

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"la violence ne sera jamais une thérapie ... "
Neypo Molotov
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- Localisation : châteauroux city
[quote="tinker bell"]Je vais vous paraitre pointilleuse mais la violence est une forme de communication
bref
De toute façon La situation décrite par patra est assez isolée est heureusement ... cela ne veux pas dire qu'il faut laisser passer, je serais la 1ere a dénoncer ce geste
en es-tu sûr?
je suis pas vraiment d'accord, durant tous mes stages de la formation
j'ai repéré de la violence et le plus souvent psychologique avec un manque de respect incroyable face aux soignés, les gestes brusques limites brutaux
Moi j'aurais envie de vous demander: "Avez vous adopté une attitude non soignante ou avez vous etez "violent" a un moment donné ?"
Reflechissez ... nous sommes et nous avons tous eté "violent" ...
j'ai été violent,..... verbalement avec un détenu qui nous prenait pour de la merde et qui nous menaçait, nous et notre famille, j'ai craqué, je lui ai dit d'aller se faire enc... vraiment idiot de ma part, remise en question de ma part alors que mes collègues banalisaient l'affaire et n'avaient même pas tiltés sur mes propos, on est tous potentiellement violent , ça fait peur ! pour ne pas tomber dans ce vice je me debrieff après chaque journée de travail, ça me permet de reflechir sur mes actes et me remettre en question [/quote]

De toute façon La situation décrite par patra est assez isolée est heureusement ... cela ne veux pas dire qu'il faut laisser passer, je serais la 1ere a dénoncer ce geste

je suis pas vraiment d'accord, durant tous mes stages de la formation
j'ai repéré de la violence et le plus souvent psychologique avec un manque de respect incroyable face aux soignés, les gestes brusques limites brutaux
Moi j'aurais envie de vous demander: "Avez vous adopté une attitude non soignante ou avez vous etez "violent" a un moment donné ?"
Reflechissez ... nous sommes et nous avons tous eté "violent" ...
j'ai été violent,..... verbalement avec un détenu qui nous prenait pour de la merde et qui nous menaçait, nous et notre famille, j'ai craqué, je lui ai dit d'aller se faire enc... vraiment idiot de ma part, remise en question de ma part alors que mes collègues banalisaient l'affaire et n'avaient même pas tiltés sur mes propos, on est tous potentiellement violent , ça fait peur ! pour ne pas tomber dans ce vice je me debrieff après chaque journée de travail, ça me permet de reflechir sur mes actes et me remettre en question [/quote]
La lumière va plus vite que le son !certaines personnes paraissent brillantes jusqu'au moment où elles commencent à parler ...