Dépression
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- Anne.
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boup a écrit :pour ceux que ca interesse,un ti cours pondu par un isp (inf psy pour les patates quipensent de suite aux pompiers!!)
http://www.acpsy.com/Syndromes-Depressifs.html
ben la patate elle arrive pas à ouvrir ton lien.....

- MissPurple
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boup a écrit :ben faut differencier la depression du syndrome depressif et de l'ett de tristesse qui accompagne les etapes de deuil.
en sachant que le sd dépressif peut arriver à tout moment et ne dure pas,generalement il cede rapidement (2semaines maxi) la depression n'est pas qu'un etat de tristesse....loin de la!!
et l'etat de tristesse,ben c'est un peu plus ce que vous vivez,sans que ce soit pathologique,loin de la.
c'est un ti peu normal d'etre triste dans ces situations.et la tristesse est necessaire pour pouvoir avancer dans ces moments la.elle permet d'evacuer son ressenti et de pouvoir poser les choses.donc elle permet d'avancer.
petit à petit elle s'estompe.pour laisser place aux etapes suivantes.
certe c'est po ce qui a de plus agreable à vivre mais c'est necessaire à vot' psychisme les gens!
merci boup c'est ce que j'essayais de formuler


Avant j'avais des principes, maintenant j'ai des enfants
- boup
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non t'es po sadique
j'ai eu la chance de rnecontrer un grand psy nancéen dont j'ai oublié le nom qui part du'n principe tres simple.
la douleur morale est certe difficile mais necessaire.on peut l'apaiser,faire en sorte qu'elle soit plus digeste mais lui se refuse toujours à prescrire des anxyo ou des anti dep si l'etat ne le justifie pas.
pourquoi?pour ne pas lever les inhibitions trop tot et ainsi permettre à la personne de faire son deuil et eviter lessuicides.
par contre faut voir l'accompagnement qu'il propose!!!c'est rdv toutes les semaines durée d'entretien 3/4h.intensif.
en sachant qu'il tient à dispo son equipe infirmiere par telephone entre les rdv.
non chimique et efficace.
ca a traité une amie à moi (elle etait enceinte donc bon...) franchement 6ans apres elle le beni de tous les saints!
j'ai eu la chance de rnecontrer un grand psy nancéen dont j'ai oublié le nom qui part du'n principe tres simple.
la douleur morale est certe difficile mais necessaire.on peut l'apaiser,faire en sorte qu'elle soit plus digeste mais lui se refuse toujours à prescrire des anxyo ou des anti dep si l'etat ne le justifie pas.
pourquoi?pour ne pas lever les inhibitions trop tot et ainsi permettre à la personne de faire son deuil et eviter lessuicides.
par contre faut voir l'accompagnement qu'il propose!!!c'est rdv toutes les semaines durée d'entretien 3/4h.intensif.
en sachant qu'il tient à dispo son equipe infirmiere par telephone entre les rdv.
non chimique et efficace.
ca a traité une amie à moi (elle etait enceinte donc bon...) franchement 6ans apres elle le beni de tous les saints!
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- boup
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ben ce que j'reproche beaucoup aux psy c'est de claquer un anti depressuer histoire d'avoir moins d'entretiens à faire....
alrs que n'imprte quel inf psy dira le contraire et pour cause!!
la verbalisation a toujours été l'ideal.
avaler un cacheton c'est po difficile mais ca aide po tant qu'on le croit.
certe ca soulage mais faut po tomber dansle j'prends mon cachet j'irai mieux.
tot ou tard,ca revient comme un boomerang dans la tronche et ca fait mal!
alrs que n'imprte quel inf psy dira le contraire et pour cause!!
la verbalisation a toujours été l'ideal.
avaler un cacheton c'est po difficile mais ca aide po tant qu'on le croit.
certe ca soulage mais faut po tomber dansle j'prends mon cachet j'irai mieux.
tot ou tard,ca revient comme un boomerang dans la tronche et ca fait mal!
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lisez ca !!
article tiré du site Yahou actualité santé
Les grands déprimés ont un cerveau qui travaille trop
PARIS (AFP) - Les personnes très déprimées ont du mal à se concentrer et à mémoriser, des troubles intellectuels qui seraient dus au fait que leur cerveau travaille trop, selon une étude française conduite grâce aux techniques d'imagerie cérébrale.
Les sujets déprimés activent davantage leur cerveau et fournissent un effort plus soutenu que les non déprimés lors de tâches de mémorisation, selon les chercheurs de l'Inserm et du CNRS dont les travaux sont publiés dans la revue NeuroImage de juillet.
Tout se passe comme si la dépression recouvrait un défaut d'épargne cérébrale : lors d'un effort cognitif (intellectuel) important, les patients déprimés s'engagent comme dans un marathon mais en démarrant au rythme d'un 100 mètres, au lieu d'économiser leur énergie. Comme s'ils souffraient d'un excès de volonté dans l'effort.
Ils utiliseraient ainsi plus de ressources cérébrales que les autres pour atteindre un niveau de performance égal face à des épreuves complexes de la vie quotidienne.
Cette mobilisation excessive des ressources cérébrales expliquerait leur épuisement précoce à l'effort, selon Philippe Fossati, Bruno Dubois et leurs collègues.
Cette observation va à l'encontre des données suggérant que les troubles intellectuels des déprimés seraient uniquement causés par une activité cérébrale ralentie au repos.
La dépression aiguë est une maladie fréquente marquée par une tristesse et un désespoir soutenus. Aux troubles de l'humeur, s'ajoutent des problèmes de mémoire et de concentration ainsi qu'une fatigue importante, physique et mentale.
Plusieurs études, grâce aux techniques d'imagerie, ont cherché à comprendre pourquoi les déprimés ne parvenaient pas à atteindre un niveau normal de concentration et de mémorisation. Ces recherches ont montré que ces troubles intellectuels étaient habituellement associés à une activité cérébrale réduite (au repos) de certaines régions cérébrales ("cortex préfrontal").
Les chercheurs de l'Inserm et du CNRS viennent nuancer cette interprétation. Ils ont comparé le fonctionnement du cerveau de personnes saines à celui de déprimés au cours d'exercices de mémorisation (comparaison de suites de lettres de l'alphabet) et ainsi démontré que les patients déprimés, à performances égales, activaient de manière plus forte leur cerveau (régions préfrontales).
Les troubles de la fonction cérébrale des déprimés ne se limiteraient donc pas à une réduction de l'activité cérébrale (au repos) mais davantage à un problème de mobilisation excessive des ressources cérébrales lors de l'exécution de tâches intellectuelles plus difficiles.
L'épuisement précoce à la concentration et la fatigabilité auxquels sont sujets les grands déprimés pourraient ainsi être dus à la "sur-activation cérébrale", notent-ils. Mais les raisons du phénomène restent à élucider.
article tiré du site Yahou actualité santé
Les grands déprimés ont un cerveau qui travaille trop
PARIS (AFP) - Les personnes très déprimées ont du mal à se concentrer et à mémoriser, des troubles intellectuels qui seraient dus au fait que leur cerveau travaille trop, selon une étude française conduite grâce aux techniques d'imagerie cérébrale.
Les sujets déprimés activent davantage leur cerveau et fournissent un effort plus soutenu que les non déprimés lors de tâches de mémorisation, selon les chercheurs de l'Inserm et du CNRS dont les travaux sont publiés dans la revue NeuroImage de juillet.
Tout se passe comme si la dépression recouvrait un défaut d'épargne cérébrale : lors d'un effort cognitif (intellectuel) important, les patients déprimés s'engagent comme dans un marathon mais en démarrant au rythme d'un 100 mètres, au lieu d'économiser leur énergie. Comme s'ils souffraient d'un excès de volonté dans l'effort.
Ils utiliseraient ainsi plus de ressources cérébrales que les autres pour atteindre un niveau de performance égal face à des épreuves complexes de la vie quotidienne.
Cette mobilisation excessive des ressources cérébrales expliquerait leur épuisement précoce à l'effort, selon Philippe Fossati, Bruno Dubois et leurs collègues.
Cette observation va à l'encontre des données suggérant que les troubles intellectuels des déprimés seraient uniquement causés par une activité cérébrale ralentie au repos.
La dépression aiguë est une maladie fréquente marquée par une tristesse et un désespoir soutenus. Aux troubles de l'humeur, s'ajoutent des problèmes de mémoire et de concentration ainsi qu'une fatigue importante, physique et mentale.
Plusieurs études, grâce aux techniques d'imagerie, ont cherché à comprendre pourquoi les déprimés ne parvenaient pas à atteindre un niveau normal de concentration et de mémorisation. Ces recherches ont montré que ces troubles intellectuels étaient habituellement associés à une activité cérébrale réduite (au repos) de certaines régions cérébrales ("cortex préfrontal").
Les chercheurs de l'Inserm et du CNRS viennent nuancer cette interprétation. Ils ont comparé le fonctionnement du cerveau de personnes saines à celui de déprimés au cours d'exercices de mémorisation (comparaison de suites de lettres de l'alphabet) et ainsi démontré que les patients déprimés, à performances égales, activaient de manière plus forte leur cerveau (régions préfrontales).
Les troubles de la fonction cérébrale des déprimés ne se limiteraient donc pas à une réduction de l'activité cérébrale (au repos) mais davantage à un problème de mobilisation excessive des ressources cérébrales lors de l'exécution de tâches intellectuelles plus difficiles.
L'épuisement précoce à la concentration et la fatigabilité auxquels sont sujets les grands déprimés pourraient ainsi être dus à la "sur-activation cérébrale", notent-ils. Mais les raisons du phénomène restent à élucider.
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