Programme des ide scolaires
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers - Scolaire
action
Même quand on débute,on peut mener à bien une action comme çà,le plus difficile c'est de trouver les bonnes volontés pour un coup de main.
Les prof viennent assez facilement si on leur explique le but du jeu,mais il faut arriver à les convaincre que çà ne leur prendra pas plus de temps ou qu'on ne les empèchera pas de terminer leur programme en intervenant pendant leurs heures de cours.
Le mieux c'est de voir avec eux pour utiliser les heures de vie de classe,ce sont des heures inclues dans l'emploi du temps de la classe,que les prof utilisent comme ils veulent( souvent ils font des rattapages de cours,ou ils mettent à plat les pb de la classe ou ils les donnent à l'IDE
)
Après,il faut savoir négocier avec le gestionnaire ( pour utliser la cantine,obtenir les ingrédients du p'ti déj., faire les copies de l'enquête etc)
Les prof viennent assez facilement si on leur explique le but du jeu,mais il faut arriver à les convaincre que çà ne leur prendra pas plus de temps ou qu'on ne les empèchera pas de terminer leur programme en intervenant pendant leurs heures de cours.
Le mieux c'est de voir avec eux pour utiliser les heures de vie de classe,ce sont des heures inclues dans l'emploi du temps de la classe,que les prof utilisent comme ils veulent( souvent ils font des rattapages de cours,ou ils mettent à plat les pb de la classe ou ils les donnent à l'IDE

Après,il faut savoir négocier avec le gestionnaire ( pour utliser la cantine,obtenir les ingrédients du p'ti déj., faire les copies de l'enquête etc)
slt, quelques infos glanées aujourd'hui :
Une étude longitudinale sur les préadolescents
Des pratiques dopantes dès 11 ans
Le suivi longitudinal d'une cohorte de collégiens de la région Lorraine révèle le triplement sur quatre ans du nombre des préadolescents qui utilisent des substances dopantes. La fréquence de leurs consommations s'accroît aussi avec le temps, simultanément avec la conviction des usagers que la prise de produits leur permettrait d'améliorer leurs performances. Les auteurs ont repéré des signes qui annoncent les passages à l'acte chez ces 11-15 ans. Ils pourraient jeter les bases d'une politique de prévention.
ALORS QUE LES PRATIQUES dopantes chez les jeunes restent très peu documentées, l'étude réalisée par le Dr Patrick Laure, médecin-inspecteur jeunesse et sports de Lorraine, publiée dans le « British Journal of Sports Medicine » (9 mai), fait d'autant plus l'événement qu'elle est la première à avoir suivi au long cours une importante cohorte de préadolescents : pendant quatre ans, de 2001 à 2005, on assiste ainsi à l'évolution de la « cohorte Myrtilles », au départ avec 3 654 collégiens du département des Vosges, qui entrent en classe de sixième vers l'âge de 11 ans et, à l'arrivée, en 2005, avec les deux 1999 élèves de troisième qui n'ont pas été perdus de vue pour cause de déménagements, changements d'école et autres accidents de la vie. Deux fois par an, ces collégiens, qui ont reçu l'autorisation de leurs parents de participer à l'étude, des garçons en majorité (53,2 %), ont répondu à un questionnaire anonyme que leur a proposé le médecin ou l'infirmière scolaire de leur établissement. Leurs premières réponses (novembre 2001) font état d'une prévalence de 1,2 % des conduites dopantes. En novembre 2005, le taux atteint le seuil de 3 %. Ces données excluent les prises de médicaments pour raisons médicales. Elles concernent des substances interdites en France, en tête desquelles vient le salbutamol, avec 45,5 % des prises, loin devant les corticostéroïdes (10,2 %) et le cannabis (6,3 %). Trente-huit pour cent disent recourir à d'autres agents, stimulants ou anabolisants.
Consommation hebdomadaire pour 38 % des usagers. A ce quasi-triplement du nombre de ces préadolescents qui consomment des substances prohibées s'assortit l'accélération de la fréquence de leurs prises : tandis que, en novembre 2001, 23 % avouent un rythme quotidien, ils sont 24 % quatre ans plus tard. La consommation hebdomadaire, qui concernait 15 % en 2001, passe à 38 % en 2005. Si bien que les 62 % qui se contentaient tout d'abord d'une prise mensuelle ne se retrouvent plus que 28 % dans ce cas à la fin de l'étude.
Avez-vous rencontré des problèmes de santé en lien avec le dopage ? A cette question, 4 % des collégiens répondent par l'affirmative. Mais on n'en saura pas plus sur ces tableaux : quatre réponses seulement fournissent des précisions : «Je suis devenu violent» (stimulant), dit l'un, «J'ai eu des changements dans ma voix» (salbutamol), note un deuxième, «j'ai été victime d'une syncope» (salbutamol), précisent deux autres collégiens.
Ces éléments, note le Dr Laure, relèvent plus des impressions ressenties que de faits décrits.
Egalement dans le registre subjectif, la réponse recueillie à la question «Pensez-vous que que les produits dopants vous aient permis de remporter une compétition?», là, ce ne sont pas moins de 44 % de ces jeunes qui répondent par l'affirmative, 18 % disant ne pas avoir noté de différence.
Des symptômes qui peuvent alerter. En conclusion, le Dr Laure pose la question du repérage des facteurs qui pourraient être prédictifs de la prise de produits. Une précédente étude, dirigée en 1999 par le Pr Daniel Rivière (CHU de Toulouse) auprès de 3 000 élèves de la région Midi-Pyrénées, qui avait mesuré une prévalence de 3,8 % d'utilisateurs de produits interdits chez les garçons et de 0,8 % chez les filles, avait signalé les liens entre ces consommations et les pratiques sexuelles à risque, ainsi que la consommation d'alcool et de tabac. L'étude du « BJSM » confirme l'existence de tels facteurs.
Elle s'intéresse aussi à des paramètres psychologiques : les consommateurs de produits dopants ne se sentiraient pas heureux de vivre, ils souffraient d'un manque d'estime d'eux-mêmes, ainsi que d'anxiété. L'observation de ces symptômes pourrait donc constituer une alerte, de même que l'intention annoncée d'essayer un produit interdit.
Mais toutes ces données doivent être utilisées avec circonspection, rappelle le Dr Laure, qui souligne les limites de sa démarche : des questionnaires où l'on ne peut qu'en appeler à l'honnêteté des réponses, en l'absence de garanties de sincérité.
L'élaboration d'une politique de prévention à grande échelle, avec des campagnes d'information, devrait s'appuyer sur des données épidémiologiques, recueillies dans le cadre des contrôles. Or les capacités d'analyse des laboratoires antidopage sont déjà saturées par les procédures de contrôle destinées aux sportifs de haut niveau.
L'étude de la cohorte Myrtilles montre que les tests devraient aussi être diligentés en milieu scolaire.
> CHRISTIAN DELAHAYE
Le Quotidien du Médecin du : 21/06/2007
ca fait peur!!!
bonne soirée
a+
Une étude longitudinale sur les préadolescents
Des pratiques dopantes dès 11 ans
Le suivi longitudinal d'une cohorte de collégiens de la région Lorraine révèle le triplement sur quatre ans du nombre des préadolescents qui utilisent des substances dopantes. La fréquence de leurs consommations s'accroît aussi avec le temps, simultanément avec la conviction des usagers que la prise de produits leur permettrait d'améliorer leurs performances. Les auteurs ont repéré des signes qui annoncent les passages à l'acte chez ces 11-15 ans. Ils pourraient jeter les bases d'une politique de prévention.
ALORS QUE LES PRATIQUES dopantes chez les jeunes restent très peu documentées, l'étude réalisée par le Dr Patrick Laure, médecin-inspecteur jeunesse et sports de Lorraine, publiée dans le « British Journal of Sports Medicine » (9 mai), fait d'autant plus l'événement qu'elle est la première à avoir suivi au long cours une importante cohorte de préadolescents : pendant quatre ans, de 2001 à 2005, on assiste ainsi à l'évolution de la « cohorte Myrtilles », au départ avec 3 654 collégiens du département des Vosges, qui entrent en classe de sixième vers l'âge de 11 ans et, à l'arrivée, en 2005, avec les deux 1999 élèves de troisième qui n'ont pas été perdus de vue pour cause de déménagements, changements d'école et autres accidents de la vie. Deux fois par an, ces collégiens, qui ont reçu l'autorisation de leurs parents de participer à l'étude, des garçons en majorité (53,2 %), ont répondu à un questionnaire anonyme que leur a proposé le médecin ou l'infirmière scolaire de leur établissement. Leurs premières réponses (novembre 2001) font état d'une prévalence de 1,2 % des conduites dopantes. En novembre 2005, le taux atteint le seuil de 3 %. Ces données excluent les prises de médicaments pour raisons médicales. Elles concernent des substances interdites en France, en tête desquelles vient le salbutamol, avec 45,5 % des prises, loin devant les corticostéroïdes (10,2 %) et le cannabis (6,3 %). Trente-huit pour cent disent recourir à d'autres agents, stimulants ou anabolisants.
Consommation hebdomadaire pour 38 % des usagers. A ce quasi-triplement du nombre de ces préadolescents qui consomment des substances prohibées s'assortit l'accélération de la fréquence de leurs prises : tandis que, en novembre 2001, 23 % avouent un rythme quotidien, ils sont 24 % quatre ans plus tard. La consommation hebdomadaire, qui concernait 15 % en 2001, passe à 38 % en 2005. Si bien que les 62 % qui se contentaient tout d'abord d'une prise mensuelle ne se retrouvent plus que 28 % dans ce cas à la fin de l'étude.
Avez-vous rencontré des problèmes de santé en lien avec le dopage ? A cette question, 4 % des collégiens répondent par l'affirmative. Mais on n'en saura pas plus sur ces tableaux : quatre réponses seulement fournissent des précisions : «Je suis devenu violent» (stimulant), dit l'un, «J'ai eu des changements dans ma voix» (salbutamol), note un deuxième, «j'ai été victime d'une syncope» (salbutamol), précisent deux autres collégiens.
Ces éléments, note le Dr Laure, relèvent plus des impressions ressenties que de faits décrits.
Egalement dans le registre subjectif, la réponse recueillie à la question «Pensez-vous que que les produits dopants vous aient permis de remporter une compétition?», là, ce ne sont pas moins de 44 % de ces jeunes qui répondent par l'affirmative, 18 % disant ne pas avoir noté de différence.
Des symptômes qui peuvent alerter. En conclusion, le Dr Laure pose la question du repérage des facteurs qui pourraient être prédictifs de la prise de produits. Une précédente étude, dirigée en 1999 par le Pr Daniel Rivière (CHU de Toulouse) auprès de 3 000 élèves de la région Midi-Pyrénées, qui avait mesuré une prévalence de 3,8 % d'utilisateurs de produits interdits chez les garçons et de 0,8 % chez les filles, avait signalé les liens entre ces consommations et les pratiques sexuelles à risque, ainsi que la consommation d'alcool et de tabac. L'étude du « BJSM » confirme l'existence de tels facteurs.
Elle s'intéresse aussi à des paramètres psychologiques : les consommateurs de produits dopants ne se sentiraient pas heureux de vivre, ils souffraient d'un manque d'estime d'eux-mêmes, ainsi que d'anxiété. L'observation de ces symptômes pourrait donc constituer une alerte, de même que l'intention annoncée d'essayer un produit interdit.
Mais toutes ces données doivent être utilisées avec circonspection, rappelle le Dr Laure, qui souligne les limites de sa démarche : des questionnaires où l'on ne peut qu'en appeler à l'honnêteté des réponses, en l'absence de garanties de sincérité.
L'élaboration d'une politique de prévention à grande échelle, avec des campagnes d'information, devrait s'appuyer sur des données épidémiologiques, recueillies dans le cadre des contrôles. Or les capacités d'analyse des laboratoires antidopage sont déjà saturées par les procédures de contrôle destinées aux sportifs de haut niveau.
L'étude de la cohorte Myrtilles montre que les tests devraient aussi être diligentés en milieu scolaire.
> CHRISTIAN DELAHAYE
Le Quotidien du Médecin du : 21/06/2007
ca fait peur!!!

bonne soirée
a+
chouette c'est la rentrée!
atelier cuisine / équilibre nutritionnel
J' aurai souhaité apprendre à mes élèves l' équilibre nutritionnel et, ce de façon très pratique. Donc j' avais pensé monter un atelier cuisine or d'après les dires de certains, il parait que ce n' est pas possible à cause de l' hygiène en cuisine etc etc.
C'est bien dommage car avec ce type d' atelier, on peut aussi travailler sur les règles d' hygiène.
Pensez-vous qu' il y ait des possibilités ?
Avez-vous déjà mené ce type d' activités ?
Autrement, j' avais pensé à un club d' échanges de recettes équilibrés que les élèves pourront essayer chez eux à défaut de la faire à l' école.
C'est bien dommage car avec ce type d' atelier, on peut aussi travailler sur les règles d' hygiène.
Pensez-vous qu' il y ait des possibilités ?
Avez-vous déjà mené ce type d' activités ?
Autrement, j' avais pensé à un club d' échanges de recettes équilibrés que les élèves pourront essayer chez eux à défaut de la faire à l' école.
- lola normande
- Star VIP
- Messages : 7333
- Inscription : 09 sept. 2005 14:30
Tu as la possibilité également de te faire aider par une dieteticienne ( moyennant finance évidemment, chez nous elles demandent 40€ de l'heure .. ). Elles ont plein d'idées. L'une d'entre elle a réalisé un powerpoint sur le petit déj et l'équilibre alimentaire pour les collegiens. Si ça t'interesse, je pourrai te l'envoyer par mail.
Lola normande
Prout de dragon, trou dans le caleçon
Prout de dragon, trou dans le caleçon
lola normande a écrit :Tu as la possibilité également de te faire aider par une dieteticienne ( moyennant finance évidemment, chez nous elles demandent 40€ de l'heure .. ). Elles ont plein d'idées. L'une d'entre elle a réalisé un powerpoint sur le petit déj et l'équilibre alimentaire pour les collegiens. Si ça t'interesse, je pourrai te l'envoyer par mail.
Merci Lola, je veux bien que tu me l' envoies par mail.
A bientôt
si l'atelier cusine n'est pas possible , fais un petit dej à la cantine ou self de ton etablissement.
j'ai mené cette action quand j'étais en stage en college.
au petit dej il y avait des fruits, du jus de fruit, yaourt, fromage , differents pains, beurre, confiture, miel, chocolat chaud, thé, café.
on observé leur plateau et des fois on leur demandé pourquoi il n'avait pas pris tel ou tel aliment.
Ensuite, nous nous sommes retrouvé ds une salle en commençant par leur demander ce qu'ils ont aimé aux petit dej , ce qu'ils n'ont pas aimé et ce qu'ils auraient voulu et dc la tu apporte tes éléments sur l'équilibre alimentaire.
j'ai mené cette action quand j'étais en stage en college.
au petit dej il y avait des fruits, du jus de fruit, yaourt, fromage , differents pains, beurre, confiture, miel, chocolat chaud, thé, café.
on observé leur plateau et des fois on leur demandé pourquoi il n'avait pas pris tel ou tel aliment.
Ensuite, nous nous sommes retrouvé ds une salle en commençant par leur demander ce qu'ils ont aimé aux petit dej , ce qu'ils n'ont pas aimé et ce qu'ils auraient voulu et dc la tu apporte tes éléments sur l'équilibre alimentaire.
Infirmière en SSR 

- lola normande
- Star VIP
- Messages : 7333
- Inscription : 09 sept. 2005 14:30
Nouvelle info de la MILDT hier: "L’AFP indique que six collégiens de la Celle Saint Cloud (Yvelines) ont été transportés aux urgences mardi soir après avoir ingéré de la poudre de perchlorate de fer qu’ils prenaient pour de la cocaïne. D’après l’agence, un élève qui avait trouvé un sachet de poudre blanche dans une salle de cours du collège, avait distribué son contenu à 32 camarades en prétendant qu’il s’agissait de cocaïne. Soulignant qu’en tout 15 élèves ont été victimes de malaise et de vomissements dans l’heure qui a suivi, mais que leurs jours ne sont pas en danger, l’agence rapporte que l’élève qui a fini par reconnaître le subterfuge devrait être poursuivi pour « mise en danger de la vie d’autrui »."
Lola normande
Prout de dragon, trou dans le caleçon
Prout de dragon, trou dans le caleçon
Temps pour ateliers ?
Bonjour,
Je souhaiterais savoir si vous trouver le temps pour faire des ateliers avec les élèves de collèges.
- En petit nombre
- Sur des sujets sensibles (drogue, maltraitance....)
- Dans ce cas, il n'y a personne à l'infirmerie ou vous devez trouver qq'1 pour vous remplacer ?
- Devez-vous discutter des sujets avec les parents si pillule contraceptive, viol... abordés ?
- Comment se placer par rapport au Proviseur pour qu'il accepte de nous faire une place dans l'emploi du temps des élèves ?
Merci, merci pour vos réponses !!
Je souhaiterais savoir si vous trouver le temps pour faire des ateliers avec les élèves de collèges.
- En petit nombre
- Sur des sujets sensibles (drogue, maltraitance....)
- Dans ce cas, il n'y a personne à l'infirmerie ou vous devez trouver qq'1 pour vous remplacer ?
- Devez-vous discutter des sujets avec les parents si pillule contraceptive, viol... abordés ?
- Comment se placer par rapport au Proviseur pour qu'il accepte de nous faire une place dans l'emploi du temps des élèves ?
Merci, merci pour vos réponses !!
bonjour marionbis,
voici mon experience : je prends les élèves sur le temps du midi 35minutes un à 2 midis par semaine dans mon club santé.
l'an dernier nous avons créé une petite pièce de 25min sur le thème des drogues présentée en fin d'année à tous les aélèves du collège puis suivie d'un débat. ça a bien fonctionné, les élèves qui avaient buché toute l'année ont été valorisés et ont impressionné leurs camarades pour leur humour et le message passé.
cette année je travaille avec un groupe toujours sur la base du volontariat pour préparer le téléthon car nous faisons une soirée spectacle, loto, vente de gateaux, boissons, jouets....et cette année je suis dans les démarches administratives pour un lâcher de ballon.bien entendu je fais cela avec l'AFM et suis organisatrice.
par ailleurs, je fais un IDD sur l'alimentation avec un professeur de SVT 2h par semaine auprès de 16 élèves de 5ème mais pour cela il a fallu le prévoir l'an dernier pour cette année. les IDD rentrant dans le programme et les emplois du temps. cet idd dure jusqu'en janvier et en février on repart avec un nouveau groupe de 15 élèves jusque juin.
personne ne me remplace à l'infirmerie durant ces 2 heures je mets un mot sur ma porte disant que je suis en IDD et je suis dérangeable seulement pour les vraies urgences !
pour infos, les professeurs sont payés pour 1h d'IDD mais pas les infirmières, ça rentre dans notre plage horaire de travail.
j'espère avoir un peu répondu à tes questions
voici mon experience : je prends les élèves sur le temps du midi 35minutes un à 2 midis par semaine dans mon club santé.
l'an dernier nous avons créé une petite pièce de 25min sur le thème des drogues présentée en fin d'année à tous les aélèves du collège puis suivie d'un débat. ça a bien fonctionné, les élèves qui avaient buché toute l'année ont été valorisés et ont impressionné leurs camarades pour leur humour et le message passé.
cette année je travaille avec un groupe toujours sur la base du volontariat pour préparer le téléthon car nous faisons une soirée spectacle, loto, vente de gateaux, boissons, jouets....et cette année je suis dans les démarches administratives pour un lâcher de ballon.bien entendu je fais cela avec l'AFM et suis organisatrice.
par ailleurs, je fais un IDD sur l'alimentation avec un professeur de SVT 2h par semaine auprès de 16 élèves de 5ème mais pour cela il a fallu le prévoir l'an dernier pour cette année. les IDD rentrant dans le programme et les emplois du temps. cet idd dure jusqu'en janvier et en février on repart avec un nouveau groupe de 15 élèves jusque juin.
personne ne me remplace à l'infirmerie durant ces 2 heures je mets un mot sur ma porte disant que je suis en IDD et je suis dérangeable seulement pour les vraies urgences !
pour infos, les professeurs sont payés pour 1h d'IDD mais pas les infirmières, ça rentre dans notre plage horaire de travail.
j'espère avoir un peu répondu à tes questions

Merci nad27,
Félicitations pour tous ces projets !
Puisque tu as eu la gentillesse de me répondre, je vais te poser d'autres questions !
-Le Proviseur est d'accord pour ces projets ou tu dois batailler pour démontrer leur utilité ?
- As tu une approche différente avec les 6eme (qui sont peut-être encore plus des enfants que des ado ?)
-Les 6ème ont ils plus d'intérêt pour ce que tu proposes car moins en rejet du monde des adultes ?
-As-tu des retours des parents ?
-Que penses tu, si tu les connais, des Comité Français d'Education pour la Santé ou du Comité d'Education de la Citoyenneté et la Santé ?
-Vas tu te présenter en début d'année dans les classes ou tu en a trop ?
-Te sens tu intégrée dans l'equipe enseignante ?
-Il n'y a pas de visite médicale obligatoire au collège ?
-Comment communiques tu avec élèves pour faire valoir projets ? Affiches ?
Merci, merci, ça m'aide beaucoup !
--
Félicitations pour tous ces projets !
Puisque tu as eu la gentillesse de me répondre, je vais te poser d'autres questions !
-Le Proviseur est d'accord pour ces projets ou tu dois batailler pour démontrer leur utilité ?
- As tu une approche différente avec les 6eme (qui sont peut-être encore plus des enfants que des ado ?)
-Les 6ème ont ils plus d'intérêt pour ce que tu proposes car moins en rejet du monde des adultes ?
-As-tu des retours des parents ?
-Que penses tu, si tu les connais, des Comité Français d'Education pour la Santé ou du Comité d'Education de la Citoyenneté et la Santé ?
-Vas tu te présenter en début d'année dans les classes ou tu en a trop ?
-Te sens tu intégrée dans l'equipe enseignante ?
-Il n'y a pas de visite médicale obligatoire au collège ?
-Comment communiques tu avec élèves pour faire valoir projets ? Affiches ?
Merci, merci, ça m'aide beaucoup !
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Stage en maternelle
Bonjour,
Voilà je vais passer 4 semaines en stage dans une ecole maternelle. Est ce qu'il est possible de proposer à l'infirmière des petits ateliers tels que : un petit déjeuner complet ou bien comment se laver les dents. Avez vous eu des stagiaires qui ont proposé des ateliers sympa ? Mon stage est en févier 2008 mais j'aurai aimé faire des recherches avant.
Merci de votre aide.
Valérie
Voilà je vais passer 4 semaines en stage dans une ecole maternelle. Est ce qu'il est possible de proposer à l'infirmière des petits ateliers tels que : un petit déjeuner complet ou bien comment se laver les dents. Avez vous eu des stagiaires qui ont proposé des ateliers sympa ? Mon stage est en févier 2008 mais j'aurai aimé faire des recherches avant.
Merci de votre aide.
Valérie