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oeil_de_nuit
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Message par oeil_de_nuit »

choupachouch a écrit :Le mot vocation est définit par une forte attirance pour quelque chose ou une chose qui nous est naturellement destiné.

La question qui revient le plus souvent à l'oral est celle de notre engagement à devenir infirmier/infirmière: " Pourquoi voulez-vous devenir Infirmier/Infirmière ?

J'ai exploité plusieurs cheminements.

Pour ma part c'est à la suite d'un évenement et d'une prise de conscience (hospitalisation d'un proche)

Il y à plusieurs présentation à apportée tel que:

- Les expériences intéressantes (stages, rencontre avec un/une IDE)
- Reconversion ( cas d'une instit' souhaitant devenir IDE )
- Evolution dans le métier ( cas d'une aide soignante souhaitant devenir IDE)


Après il est évident que chacun à sa manière de dire pourquoi il souhaite devenir IDE. Mais je trouve qu'il est parfois dur d'exprimer son envie.

Oui je trouve que cette question n'est pas évidente tout comme celle là : Pourquoi maintenant et pas avant (j'ai 26 ans) je peux y répondre mais j'n'ai pas trop envie de leur raconter ma vie non plus les choses font que l'on ne peut pas toujours faire ce que l'on veut à un moment donné...allez leur expliquer ça...m'enfin je vais y arriver bon sang de bon soir !!!

choupachouch a écrit :En tous cas GROSSE BOUSE DE VACHE à tous ceux qui passe un oral... Il suffit parfois juste d'y croire... :D

:D Merci beaucoup :D
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nelodie65
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Message par nelodie65 »

Bonjour les filles, pour en revenir a la "vocation" j'ai fait une recherche et apparement c'est plutot basé sur l'engagement religieux donc aucun rapport avec le fait de devenir IDE
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En 3ème année... Bientot le DE...

Ce n'est pas parce que c'est dur que l'on ose pas, mais c'est parce que l'on ose pas que c'est dur!
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afilgoud
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Message par afilgoud »

Notre ami Wikipédia donne une réponse assez courte et claire:

Au sens étymologique, la vocation est un appel (latin vocare, appeler). Il a longtemps désigné l'appel à s'engager dans une vie religieuse (prêtrise, vie monacale, etc.). Le concept s'enracine dans la Bible et est corrélatif au thème de l'écoute. Aujourd'hui ce mot est utilisé dans un sens plus large pour désigner l'appel que peuvent ressentir des personnes à une mission particulière : humanitaire, professionnelle, scientifique, etc.

Cela permet de couper court!!! Après on peut disserter sur la vocation professionnelle (en considérant qu'il y a un petit abus de langage): dire qu'il existe de nombreuses études qui ont tenté de relier la vocation à l'age, sexe, milieu social, antécédents familiaux, etc...
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carolyn
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Message par carolyn »

oui, mais dans plusieurs livres, ils disent que le métier d'infirmière est une vocation, parce que on aide l'autre...(aider son prochain, comme dans la religion :clin: ) hohoho

mais il vrai que dans les livres de méthodologie, ils conseillent de ne pas dire "vocation" ni"dévouement"
infirmière diplomée du CHU de Lille en 2012- 2 ans d'experience en chirurgie pédiatrique à Bruxelles - infirmière pédiatrique formation belge depuis 2015 - réanimation pediatrique depuis 2015
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khaalli
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Message par khaalli »

peut etre, mais je pense que le mot vocation est un mot fort a utiliser avec bon escient. a mon sens, vocation signifie que c est quelque chose d inné, qu on sait immédiatement. Et je ne pense pas qu en faisant une recpnversion professionnelle, pour mon cas a 26 ans, je puisse argumenter sur une vocation bien que je sache que je veux etre IDE, que c est ancré en moi.
Il faut etre super vigilent avec ce terme!
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oeil_de_nuit
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Message par oeil_de_nuit »

C'est un avis que j'ai trouvé sur le net ça me laisse sans voix. A vous de juger
"Infirmière depuis trois ans dans la région parisienne, la question que je me pose souvent est celle de la vocation pour ce métier.
Je crois qu'aujourd'hui, l'interêt principal du travail est de gagner son pain, quelque soit la profession (agriculteur, employé de banque, fonctionnaire...)
Il fut un temps ou l'on soignait les malades par pure conviction et croyance religieuse, et gratuitement (le temps des soeurs).
Aujourd'hui, je ne connais pas grand monde qui serait prêt à travailler 8h à 12h par jour pour soulager la souffrance bénévolement.
Ce temps est révolu, vous n'allez pas me dire que vous êtes prêt à passer 40 ans de votre vie ainsi!
Maintenant, dans les instituts de formations en soins infirmiers, on trouve quelques bacheliers (de moins en moins), des anciens aides soignants (qui désirent prendre du grade pour voir leur salaire augmenter), des étudiants qui ont échoués en médecine (en général ceux là en ont rien à glander de la profession et ne se prennent pas pour de la m_ _ _ e , mais il faut bien avoir un job...)et enfin on trouve des gens qui n'ont pas trouvé leur compte à la fac et qui recherchent un job dans le social...
Tous ses gens, quelque soit leurs valeurs, ont au moins un même but, gagner leur vie et prévoir la retraite.
Bien sur on pense beaucoup aux malades, on a envie de sauver des vies, on bosse aussi par envie, mais personnellement, si je n'avais pas ma précieuse paye, je ne serais surement pas là à me décarcasser...
C'est pourquoi, pour moi le job d'infirmière n'est plus une vocation, et je ne pense pas être le seul à penser ainsi!"
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carolyn
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Message par carolyn »

lol...il n'a pas tout à fait tord...mais je ne me vois pas dire ca au jury :)
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sousoff-inf
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Message par sousoff-inf »

Sujet : Le CESU, chèque emploi service universel, qu'en pensez-vous ?
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khaalli
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Message par khaalli »

oeil_de_nuit a écrit :C'est un avis que j'ai trouvé sur le net ça me laisse sans voix. A vous de juger
"Infirmière depuis trois ans dans la région parisienne, la question que je me pose souvent est celle de la vocation pour ce métier.
Je crois qu'aujourd'hui, l'interêt principal du travail est de gagner son pain, quelque soit la profession (agriculteur, employé de banque, fonctionnaire...)
Il fut un temps ou l'on soignait les malades par pure conviction et croyance religieuse, et gratuitement (le temps des soeurs).
Aujourd'hui, je ne connais pas grand monde qui serait prêt à travailler 8h à 12h par jour pour soulager la souffrance bénévolement.
Ce temps est révolu, vous n'allez pas me dire que vous êtes prêt à passer 40 ans de votre vie ainsi!
Maintenant, dans les instituts de formations en soins infirmiers, on trouve quelques bacheliers (de moins en moins), des anciens aides soignants (qui désirent prendre du grade pour voir leur salaire augmenter), des étudiants qui ont échoués en médecine (en général ceux là en ont rien à glander de la profession et ne se prennent pas pour de la m_ _ _ e , mais il faut bien avoir un job...)et enfin on trouve des gens qui n'ont pas trouvé leur compte à la fac et qui recherchent un job dans le social...
Tous ses gens, quelque soit leurs valeurs, ont au moins un même but, gagner leur vie et prévoir la retraite.
Bien sur on pense beaucoup aux malades, on a envie de sauver des vies, on bosse aussi par envie, mais personnellement, si je n'avais pas ma précieuse paye, je ne serais surement pas là à me décarcasser...
C'est pourquoi, pour moi le job d'infirmière n'est plus une vocation, et je ne pense pas être le seul à penser ainsi!"



C est terrible de lire un truc pareil. Ca veut dire pour cette personne d'une qu elle ne croit plus en ce qu elle fait, et deux, qu elle ne crois qu on est tous la pour gagner notre pain!!! Perso, si c etait le cas, je ne plaquerai pas mon boulot pour repartir dans 3 ans 1/2 d etudes et pour gagner pas beaucoup plus que ce j ai actuellement.
Je parle pour moi, mais je n imagine pas un seul d entre vous avoir ce genre de pensée! Avec le mal que vous vous donnez tous pour passez ce concours!!
Je trouve ca triste!
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sousoff-inf
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Message par sousoff-inf »

sousoff-inf a écrit :Sujet : Le CESU, chèque emploi service universel, qu'en pensez-vous ?


Etant donné que je n'ai jamais eu recours à ces chèques, j'en avais juste entendu parler, je mets un lien explicatif pour les personnes que ça intéresse.

http://www.cesu.urssaf.fr/cesweb/ces1.j ... !413506942
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afilgoud
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Message par afilgoud »

Il y a des avis similaires dans toutes les professions!!!! Je sors de l'enseignement, je vais faire 3.2 années d'études non rémunérées, je vais commencer mon boulot d'infirmière (si j'ai le concours) à 0 ancienneté, j'en avais 18 dans l'enseignement et j'étais bien mieux payée!!!! .....Alors, oui, peut-être que pour moi, on peut parler de vocation....Mais, je n'en suis pas sûre, je préfère dire que j'ai des motivations bien ancrées qui vont au delà des heures, du salaire.....
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Message par sousoff-inf »

khaalli a écrit :
oeil_de_nuit a écrit :C'est un avis que j'ai trouvé sur le net ça me laisse sans voix. A vous de juger
"Infirmière depuis trois ans dans la région parisienne, la question que je me pose souvent est celle de la vocation pour ce métier.
Je crois qu'aujourd'hui, l'interêt principal du travail est de gagner son pain, quelque soit la profession (agriculteur, employé de banque, fonctionnaire...)
Il fut un temps ou l'on soignait les malades par pure conviction et croyance religieuse, et gratuitement (le temps des soeurs).
Aujourd'hui, je ne connais pas grand monde qui serait prêt à travailler 8h à 12h par jour pour soulager la souffrance bénévolement.
Ce temps est révolu, vous n'allez pas me dire que vous êtes prêt à passer 40 ans de votre vie ainsi!
Maintenant, dans les instituts de formations en soins infirmiers, on trouve quelques bacheliers (de moins en moins), des anciens aides soignants (qui désirent prendre du grade pour voir leur salaire augmenter), des étudiants qui ont échoués en médecine (en général ceux là en ont rien à glander de la profession et ne se prennent pas pour de la m_ _ _ e , mais il faut bien avoir un job...)et enfin on trouve des gens qui n'ont pas trouvé leur compte à la fac et qui recherchent un job dans le social...
Tous ses gens, quelque soit leurs valeurs, ont au moins un même but, gagner leur vie et prévoir la retraite.
Bien sur on pense beaucoup aux malades, on a envie de sauver des vies, on bosse aussi par envie, mais personnellement, si je n'avais pas ma précieuse paye, je ne serais surement pas là à me décarcasser...
C'est pourquoi, pour moi le job d'infirmière n'est plus une vocation, et je ne pense pas être le seul à penser ainsi!"



C est terrible de lire un truc pareil. Ca veut dire pour cette personne d'une qu elle ne croit plus en ce qu elle fait, et deux, qu elle ne crois qu on est tous la pour gagner notre pain!!! Perso, si c etait le cas, je ne plaquerai pas mon boulot pour repartir dans 3 ans 1/2 d etudes et pour gagner pas beaucoup plus que ce j ai actuellement.
Je parle pour moi, mais je n imagine pas un seul d entre vous avoir ce genre de pensée! Avec le mal que vous vous donnez tous pour passez ce concours!!
Je trouve ca triste!


De mon côté, étant donné que je veux être infirmière militaire, je ne me sens pas vraiment concernée par ces propos car je présente ce concours avec une motivation autre que celles données par cette personne. Je suis vraiment passionnée par ce que je vais faire et c'est la seule chose qui compte pour moi, faire mon boulot par envie...l'argent ? évidemment, il faut bien vivre mais si je n'étais intéressée que par ça, je me serai dirigée dans une autre branche.
La personne qui a écrit cela ne semble pas vraiment épanouie par ce qu'elle fait et n'a sûrement pas choisie la bonne voix.
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Loulieb
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Message par Loulieb »

J'ai un sujet à proposer:

L'alcoolisme: entraine des conséquences socio-économiques sur la famille. Citez et expliquez ces conséquences.Citez les moyens mis en place dans le cadre de la prévention des risques liés à la consommation excessive de boissons contenant de l'alcool
A vos claviers! :clin:


J'y réfléchie aussi de mon côté
*°* IDE jeune diplômée *°* :yes:[/size]
Qui a dit que le monde infirmier est un monde de femmes?
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khaalli
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Message par khaalli »

tres bien répondu Afilgoud!
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Message par choupachouch »

Cette personne était sans doute motivée au tout début pour faire ce métier. Seulement les difficultés sont telles que parfois cela fait perdre l'attrait du métier et surtout que maintenant la vie est de plus en plus dure alor l'attrait pour la rémunération devient plus important.

Mais malgré tous lors de l'oral ne pensez pas à ça, faite valoir votre envie d'être IDE toute en ayant conscience que certaines choses font perdre l'attrait du métier.

Il y aura toujours des malades à soigner, toujours peu de personnel, votre cadre qui vous demandera de rester un peu plus tard... Devenir IDE c'est savoir que malgré les avantages il y a aussi des inconvénients.

Vous souhaiter devenir IDE alors zut et crotte de bic peu importe ce que le futur sera mettez toutes les chances de votre cotés !!! du moins c'est ce que je pense
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