TFE: binôme IDE/AS
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travail en binome dit travail en collaboration : ( artR 4311-4 ; Art R 4312-14 ; Art R4312-31 CSP)
Art R 4312-14 CSP " dans le cadre de son rôle propre, [...] l inf est également responsable des actes qu'elle assure avec la colaboration des aides soignants qu'il encadre .. Une mauvaise collaboration dans l'equipe de soin engage la responsabilité pénale de chacun.
Une équipe de soins est pluridisciplinaire. Chaque profession est réglementée dans son activité; la collaboration entre tous les acteurs de soins est nécessaire pour une prise en charge globale de la personne soignée.
Le rôle et les missions dévolues aux aides soignants sont précisés dans la circulaireDGS/PS3/DH/FH1 96-31 du 19 janvier 1996 relative au rôle et aux missions des aides soignantset auxiliaires de puériculture dans les établissements hospitaliers.
Dans cette circulaire, il est précisé que les aides soignants apportent une collaboration dans les actes du rôle propre infirmier, dans la limite des compétences reconnues par leur formation; Lors de cette collaboration? l 'inf demeure responsable des actes effectués.
La surveillance par exemple découlant d'une prescription médicale à l infirmière, l'aide soignant ne peut apporter une collaboration que dans le cadre du role propre de l inf dans les limites imposées par son niveau de compétences;
prenons l exemple de la surveillance d'une personne atteinte d'un traumatisme cranien sans perte de connaissance : cette surveillance fait partie du role propre de l inf mais relève d une surveillance spécifique : fonctions ventilatoires, hémodynamique, etat de conscience, réponse motrice, reflexes ...
L aide soignante n'a pas reçu de formation necessaire à cette surveillance et ne peut donc la réaliser . toutefois, sa capacité à observer les changements de comportement de la personne soignée peut permettre de dépister précosément une anomalie et participer ainsi à la surveillance de la personne soignée ( interet du travail en binome)
par contre l 'inf ne peut pas déléguer un soin à une personne n'ayant pas la compétence pour le réaliser. En acceptant de faire ce soin, L'AS expose la personne soignée à un risque par violation délibérée d'une obligation de sécurité. L inf ne peut déléguer ses actes à un personnel dont le niveau est inférieur aux sien.
lire aussi code civil Art 1383 " chacun est responsable du dommage qu 'il a causé non seulement par son fait, mais par sa négligence ou par son imprudence"
et code pénal, "nul n'est responsable pénalement que de son propre fait"
revue droit, déontologie et soins juin 2006 et autres n°
travail en binome : attention aux "dérives"
Art R 4312-14 CSP " dans le cadre de son rôle propre, [...] l inf est également responsable des actes qu'elle assure avec la colaboration des aides soignants qu'il encadre .. Une mauvaise collaboration dans l'equipe de soin engage la responsabilité pénale de chacun.
Une équipe de soins est pluridisciplinaire. Chaque profession est réglementée dans son activité; la collaboration entre tous les acteurs de soins est nécessaire pour une prise en charge globale de la personne soignée.
Le rôle et les missions dévolues aux aides soignants sont précisés dans la circulaireDGS/PS3/DH/FH1 96-31 du 19 janvier 1996 relative au rôle et aux missions des aides soignantset auxiliaires de puériculture dans les établissements hospitaliers.
Dans cette circulaire, il est précisé que les aides soignants apportent une collaboration dans les actes du rôle propre infirmier, dans la limite des compétences reconnues par leur formation; Lors de cette collaboration? l 'inf demeure responsable des actes effectués.
La surveillance par exemple découlant d'une prescription médicale à l infirmière, l'aide soignant ne peut apporter une collaboration que dans le cadre du role propre de l inf dans les limites imposées par son niveau de compétences;
prenons l exemple de la surveillance d'une personne atteinte d'un traumatisme cranien sans perte de connaissance : cette surveillance fait partie du role propre de l inf mais relève d une surveillance spécifique : fonctions ventilatoires, hémodynamique, etat de conscience, réponse motrice, reflexes ...
L aide soignante n'a pas reçu de formation necessaire à cette surveillance et ne peut donc la réaliser . toutefois, sa capacité à observer les changements de comportement de la personne soignée peut permettre de dépister précosément une anomalie et participer ainsi à la surveillance de la personne soignée ( interet du travail en binome)
par contre l 'inf ne peut pas déléguer un soin à une personne n'ayant pas la compétence pour le réaliser. En acceptant de faire ce soin, L'AS expose la personne soignée à un risque par violation délibérée d'une obligation de sécurité. L inf ne peut déléguer ses actes à un personnel dont le niveau est inférieur aux sien.
lire aussi code civil Art 1383 " chacun est responsable du dommage qu 'il a causé non seulement par son fait, mais par sa négligence ou par son imprudence"
et code pénal, "nul n'est responsable pénalement que de son propre fait"
revue droit, déontologie et soins juin 2006 et autres n°
travail en binome : attention aux "dérives"
Dernière modification par wyllette le 12 févr. 2008 18:30, modifié 1 fois.
Je suis alée faire des entretiens avec des ide et des as dans un service de réa.
La notion du travail en binôme est globalement positif.
J'ai 1 idée de question de départ, qu'en penssez vous:
-En quoi le travail en binôme infirmière/aide soignante dans un service de réanimation à t'il un intérêt dans la prise en charge du patient?
La notion du travail en binôme est globalement positif.
J'ai 1 idée de question de départ, qu'en penssez vous:
-En quoi le travail en binôme infirmière/aide soignante dans un service de réanimation à t'il un intérêt dans la prise en charge du patient?
observations :
le code de la santé publique parle d'unité de réanimation et non de service de réanimation ( langage professionnel et législatif à respecter)
Art D 6123637 CSP " l unite de reanimation comporte au minimum 8 lits" ( parfois si lits en cas de dérogation)
Art D 6124-32 CSP legislation du personnel en rea 2 inf pour 5 patients
1 as pour 4 patients
les binomes sont vite constitués
le code de la santé publique parle d'unité de réanimation et non de service de réanimation ( langage professionnel et législatif à respecter)
Art D 6123637 CSP " l unite de reanimation comporte au minimum 8 lits" ( parfois si lits en cas de dérogation)
Art D 6124-32 CSP legislation du personnel en rea 2 inf pour 5 patients
1 as pour 4 patients
les binomes sont vite constitués
Bonjour, je pense qu'à ce jour il ne faut pas oublier de mentionner que depuis septembre dernier, les aide-soignants sont également diplômés d'état et ont de ce fait un rôle propre. Voir décret n° 2007-1301 du 31 août 2007 relatif aux diplômes d'aide-soignant, d'auxiliaire de puériculture et d'ambulancier et modifiant le code de la santé publique (dispositions règlementaires).
IDE en réanimation pédiatrique
steb92 a écrit :Bonjour, je pense qu'à ce jour il ne faut pas oublier de mentionner que depuis septembre dernier, les aide-soignants sont également diplômés d'état et ont de ce fait un rôle propre. Voir décret n° 2007-1301 du 31 août 2007 relatif aux diplômes d'aide-soignant, d'auxiliaire de puériculture et d'ambulancier et modifiant le code de la santé publique (dispositions règlementaires).
Un rôle propre ah lesquels ???

cadre
il s'agit que d'un decret relatif aux diplomes..Il ne faut pas confondre avec decret relatif à des regles professionnelles et ...responsabilité de ses actes
Art R 4383-6 CSP
la formation d'aide soignant est sanctionnée par le diplome d'etat d'aide soignant.
Les personnes titulaires du certificat d'aptitude aux fonctions d'Aide soignant sont regardés comme titulaire du diplome d'état d'aide soignant
Sont fixés par arrete du ministre chargé de la santé
les modalites et le programme de la formation préparatoire à ce diplome et les conditions de délivrance de ce diplome;
pour ce qui est du role et des competences consulter mes messages précédents.
Art R 4383-6 CSP
la formation d'aide soignant est sanctionnée par le diplome d'etat d'aide soignant.
Les personnes titulaires du certificat d'aptitude aux fonctions d'Aide soignant sont regardés comme titulaire du diplome d'état d'aide soignant
Sont fixés par arrete du ministre chargé de la santé
les modalites et le programme de la formation préparatoire à ce diplome et les conditions de délivrance de ce diplome;
pour ce qui est du role et des competences consulter mes messages précédents.
TFE : des idées pour mon illustration
Coucou tout le monde, de retour parmis vous !
Suis en début de 3ème année maintenant et qui dit 3ème année dit TFE... !
Je viens vous soumettre ma situation clinique choisit, je ne sais plus de quel côté la prendre pour l'exploiter....
Ma guidante a réfléchit avec moi, mais la problématique qu'on a posé ensembles ne colle pas....
Alors je viens, un peu démoralisée..., trouver avec votre aide, un nouvel axe de recherche.
Situation clinique :
C’était le premier jour de mon stage d’été de deuxième année en service de médecine, à la fin des transmissions, l’équipe de nuit part et l’équipe du matin se répartit le travail.
Dans ce service, les aides-soignantes prennent en charge les soins d’hygiène et de confort pendant que les infirmières font une tournée des chambres pour la distribution des médicaments, la prise des constantes, les prises de sang et la réfection des pansements.
L’infirmière me demande : « tu veux bien t’occuper de la toilette de Mme. M ? C’est la patiente en soins pallia de la chambre X, elle préfère que ce soit une femme qui s’occupe d’elle », l’équipe du matin compte un aide soignant. J’accepte.
Il est 9h15 lorsque j’entre dans la chambre de Mme M., elle est allongée dans son lit, regardant distraitement la télévision, sa pâleur me frappe. Le plateau du petit déjeuner est quasiment intact, elle bénéficie d’une perfusion de nutrition parentérale.
Nous échangeons quelques mots, je l’informe que je suis la nouvelle stagiaire infirmière du service, et lui demande si elle accepte que je l’aide à faire sa toilette.
Mme M. ne se lève plus, la toilette complète est faite au lit. Elle fait en partie la toilette du haut, avec difficulté car le moindre mouvement est source de douleurs. Je l’aide pour le restant de la toilette, limitant les mobilisations, car elle est très algique et se fatigue rapidement, je finis la toilette par un effleurage que je poursuis par un toucher massage des jambes.
A l’instant où je quitte la chambre, Mme M., qui était restée silencieuse le temps des soins, me demande: « vous revenez demain ? »; je lui réponds que je serais de service le lendemain matin et que je pourrais revenir l’aider pour la toilette si elle le souhaite. Elle ajoute: « vous êtes la première qui fait doucement pour me laver, vous avez pris le temps, j’ai eu moins mal que d’habitude et le massage m’a fait du bien ».
Je ressors de la chambre, il est 9h45, satisfaite d’avoir pu apporter un court instant de bien-être à cette patiente, mais aussi interrogative sur cette « façon de faire habituelle » à laquelle Mme M. a fait allusion. Je me demande ce que j’avais fais de plus ou différemment qu’une autre soignante pour que Mme M. désire que je m’occupe d’elle. A compter de ce jour, j’ai pris en charge Mme M. pour les soins d’hygiène et de confort jusqu’au jour où la dégradation de son état de santé nécessita une sédation (j’ai du partir en stage de nuit dans un autre étage après, je n’ai donc plus été là pour prendre en charge Mme M.).
A la fin de ma première semaine de stage, j’ai pu faire le constat suivant : mon stage se déroulait en service de médecine dans un établissement disposant d’une équipe mobile de soins palliatifs pour une capacité de 12 lits. Dans le service, il y avait 2 patientes admises en « soins palliatifs » mais qui bénéficiait du même type de prise en charge que les autres patients du service.
Mme M. était en stade terminal d’un cancer généralisé, elle bénéficiait d’un traitement médicamenteux à base de solumédrol, diantalvic, motilyoc et clinomel.
La prise en charge de la douleur ne me semble pas efficace puisque Mme M. était algique, le protocole douleur n’est pas adapté, aucun antalgique n’était administré avant sa toilette, dans le but d’éviter l’apparition de douleurs ou de diminuer celles déjà présentes, chose que j’ai du mal à comprendre compte tenu des moyens en matière de lutte contre la douleur.
Problématique énoncée avec ma guidante :
Dans un contexte de charge de travail lourde, dans un service de médecine, les compétences professionnelles infirmières dans l’accompagnement des personnes en fin de vie peuvent-elles être transférables aux aides-soignantes dans le cadre de la collaboration ?
Après discussion de 5 min avec le formateur des aides soignantes, j'ai les éléments nécessaires pour répondre moi même que oui, c'est transférable puisque les AS sont aussi bien formées que les infirmières à la relation d'aide, il existe aussi dans leur formation des cours sur les soins palliatifs.
Donc ma problématique n'en ai pas une.
J'ai pensé m'axer sur le côté charge de travail qui ne permet pas aux IDE ni aux AS de prendre en charge comme il le faudrait les patients en soins palliatifs.....
Mais mon cerveau surchauffe et je cale....
Avis à vos lumières.... merci d'avance...
Suis en début de 3ème année maintenant et qui dit 3ème année dit TFE... !

Je viens vous soumettre ma situation clinique choisit, je ne sais plus de quel côté la prendre pour l'exploiter....
Ma guidante a réfléchit avec moi, mais la problématique qu'on a posé ensembles ne colle pas....
Alors je viens, un peu démoralisée..., trouver avec votre aide, un nouvel axe de recherche.
Situation clinique :
C’était le premier jour de mon stage d’été de deuxième année en service de médecine, à la fin des transmissions, l’équipe de nuit part et l’équipe du matin se répartit le travail.
Dans ce service, les aides-soignantes prennent en charge les soins d’hygiène et de confort pendant que les infirmières font une tournée des chambres pour la distribution des médicaments, la prise des constantes, les prises de sang et la réfection des pansements.
L’infirmière me demande : « tu veux bien t’occuper de la toilette de Mme. M ? C’est la patiente en soins pallia de la chambre X, elle préfère que ce soit une femme qui s’occupe d’elle », l’équipe du matin compte un aide soignant. J’accepte.
Il est 9h15 lorsque j’entre dans la chambre de Mme M., elle est allongée dans son lit, regardant distraitement la télévision, sa pâleur me frappe. Le plateau du petit déjeuner est quasiment intact, elle bénéficie d’une perfusion de nutrition parentérale.
Nous échangeons quelques mots, je l’informe que je suis la nouvelle stagiaire infirmière du service, et lui demande si elle accepte que je l’aide à faire sa toilette.
Mme M. ne se lève plus, la toilette complète est faite au lit. Elle fait en partie la toilette du haut, avec difficulté car le moindre mouvement est source de douleurs. Je l’aide pour le restant de la toilette, limitant les mobilisations, car elle est très algique et se fatigue rapidement, je finis la toilette par un effleurage que je poursuis par un toucher massage des jambes.
A l’instant où je quitte la chambre, Mme M., qui était restée silencieuse le temps des soins, me demande: « vous revenez demain ? »; je lui réponds que je serais de service le lendemain matin et que je pourrais revenir l’aider pour la toilette si elle le souhaite. Elle ajoute: « vous êtes la première qui fait doucement pour me laver, vous avez pris le temps, j’ai eu moins mal que d’habitude et le massage m’a fait du bien ».
Je ressors de la chambre, il est 9h45, satisfaite d’avoir pu apporter un court instant de bien-être à cette patiente, mais aussi interrogative sur cette « façon de faire habituelle » à laquelle Mme M. a fait allusion. Je me demande ce que j’avais fais de plus ou différemment qu’une autre soignante pour que Mme M. désire que je m’occupe d’elle. A compter de ce jour, j’ai pris en charge Mme M. pour les soins d’hygiène et de confort jusqu’au jour où la dégradation de son état de santé nécessita une sédation (j’ai du partir en stage de nuit dans un autre étage après, je n’ai donc plus été là pour prendre en charge Mme M.).
A la fin de ma première semaine de stage, j’ai pu faire le constat suivant : mon stage se déroulait en service de médecine dans un établissement disposant d’une équipe mobile de soins palliatifs pour une capacité de 12 lits. Dans le service, il y avait 2 patientes admises en « soins palliatifs » mais qui bénéficiait du même type de prise en charge que les autres patients du service.
Mme M. était en stade terminal d’un cancer généralisé, elle bénéficiait d’un traitement médicamenteux à base de solumédrol, diantalvic, motilyoc et clinomel.
La prise en charge de la douleur ne me semble pas efficace puisque Mme M. était algique, le protocole douleur n’est pas adapté, aucun antalgique n’était administré avant sa toilette, dans le but d’éviter l’apparition de douleurs ou de diminuer celles déjà présentes, chose que j’ai du mal à comprendre compte tenu des moyens en matière de lutte contre la douleur.
Problématique énoncée avec ma guidante :
Dans un contexte de charge de travail lourde, dans un service de médecine, les compétences professionnelles infirmières dans l’accompagnement des personnes en fin de vie peuvent-elles être transférables aux aides-soignantes dans le cadre de la collaboration ?
Après discussion de 5 min avec le formateur des aides soignantes, j'ai les éléments nécessaires pour répondre moi même que oui, c'est transférable puisque les AS sont aussi bien formées que les infirmières à la relation d'aide, il existe aussi dans leur formation des cours sur les soins palliatifs.
Donc ma problématique n'en ai pas une.
J'ai pensé m'axer sur le côté charge de travail qui ne permet pas aux IDE ni aux AS de prendre en charge comme il le faudrait les patients en soins palliatifs.....
Mais mon cerveau surchauffe et je cale....

Avis à vos lumières.... merci d'avance...

La question qui me vient suite à la lecture de ta situation est : qu'est ce qui peut entraver une prise en charge adaptée à une personne bénéficiant de soins palliatifs en service de médecine générale ?
Je trouve qu'à partir de cette question, tu peux aborder la surcharge de travail, l'adaptation thérapeutique,...
Bon courage
Je trouve qu'à partir de cette question, tu peux aborder la surcharge de travail, l'adaptation thérapeutique,...
Bon courage

promo 2005-2008
enfin la 3eme année !!!
enfin la 3eme année !!!
- MmeSympachouett
- Insatiable
- Messages : 641
- Inscription : 15 mars 2008 23:56
- Localisation : Sur le continent Africain !!!
Tu pourras te demander :
Quels dispositifs pourraient éviter que la surcharge de travail entrave la prise en charge adaptée d'une personne en soins palliatifs dans un service (de médecine générale)
Avec cette question tu te pencheras plus sur les methodes de travail et les materiels et traitements a dispositions!!!!
Tu peux aussi te questionner ainsi :
Pourquoi dans une structure qui possède une équipe mobile de soins palliatifs, une patiente en fin de vie admise dans un service (de medecine générale) ne bénificie pas de leurs compétences
A travers cette interrogation tu te demanderas qu'est ce qui perturbe la collaboration des équipes de soins palliatifs avec les soignants des services !!!
J'espere avoir était claire et avoir pu t'aider!!!
Bon courage !!!



Tu peux aussi te questionner ainsi :



J'espere avoir était claire et avoir pu t'aider!!!
Bon courage !!!
Pourquoi personne ne s'est préoccupé de faire des antalgiques avant la toilette de la patiente ?
En problématique,je propose : Une équipe mobile de soins palliatifs est elle une plus value dans la prise en charge des patients en service d'hospitalisation ? Ou bien l'équipe cesse d'identifier les problèmes de la patiente sous pretexte qu'elle est prise en charge par des " spécialistes " de la fin de vie
Bon courage et tiens nous au courant
En problématique,je propose : Une équipe mobile de soins palliatifs est elle une plus value dans la prise en charge des patients en service d'hospitalisation ? Ou bien l'équipe cesse d'identifier les problèmes de la patiente sous pretexte qu'elle est prise en charge par des " spécialistes " de la fin de vie
Bon courage et tiens nous au courant
RHAPSODY
bonsoir,
tout d'abord merci pour vos remarques !
j'ai modifié 2 parties du cas :
"C’était le premier jour de mon stage d’été de deuxième année en service de médecine, à la fin des transmissions, l’équipe de nuit part et l’équipe du matin se répartit le travail.
L’organisation de ce service était le suivant : les aides-soignantes prenaient en charge les soins d’hygiène et de confort en binôme pendant que les infirmières faisaient une tournée des chambres pour la distribution des médicaments, la prise des constantes, les prises de sang et la réfection des pansements.
De plus il était établit que lorsque qu’un patient sonnait, c’était l’aide soignante qui allait voir et transmettait aux infirmières selon le besoin du patient. Même en tant qu’étudiante infirmière, les infirmières me disaient : « laisse l’aide-soignante répondre, elle viendra nous voir si elle a besoin ». L’infirmière me demande : « tu veux bien t’occuper de la toilette de Mme. M ? C’est la patiente en soins pallia de la chambre X, elle préfère que ce soit une femme qui s’occupe d’elle », le binôme aide-soignant du matin est composé d’un homme. J’accepte."
et
"Mme M. était en stade terminal d’un cancer généralisé, elle bénéficiait d’un traitement médicamenteux à base de solumédrol, diantalvic, motilyoc et clinomel.
Je me questionne quant au protocole de prise en charge de la douleur chez cette patiente dite « en soins palliatifs » puisque Mme M. était algique lors de sa toilette."
Après discussion avec des collègues en ressort le fait que l'organisation du service et la charge de travail est le rôle de la cadre du service.
J'ai une guidance TFE demain après midi, j'aimerais voir avec ma guidante si elle accepte que je m'oriente vers la prise en charge de la douleur de façon non médicamenteuse chez des patients en soins palliatifs.
C'est un sujet qui m'intéresse et se rapproche de mon envie initiale d'aborder le toucher massage en soins palliatifs.
tout d'abord merci pour vos remarques !
j'ai modifié 2 parties du cas :
"C’était le premier jour de mon stage d’été de deuxième année en service de médecine, à la fin des transmissions, l’équipe de nuit part et l’équipe du matin se répartit le travail.
L’organisation de ce service était le suivant : les aides-soignantes prenaient en charge les soins d’hygiène et de confort en binôme pendant que les infirmières faisaient une tournée des chambres pour la distribution des médicaments, la prise des constantes, les prises de sang et la réfection des pansements.
De plus il était établit que lorsque qu’un patient sonnait, c’était l’aide soignante qui allait voir et transmettait aux infirmières selon le besoin du patient. Même en tant qu’étudiante infirmière, les infirmières me disaient : « laisse l’aide-soignante répondre, elle viendra nous voir si elle a besoin ». L’infirmière me demande : « tu veux bien t’occuper de la toilette de Mme. M ? C’est la patiente en soins pallia de la chambre X, elle préfère que ce soit une femme qui s’occupe d’elle », le binôme aide-soignant du matin est composé d’un homme. J’accepte."
et
"Mme M. était en stade terminal d’un cancer généralisé, elle bénéficiait d’un traitement médicamenteux à base de solumédrol, diantalvic, motilyoc et clinomel.
Je me questionne quant au protocole de prise en charge de la douleur chez cette patiente dite « en soins palliatifs » puisque Mme M. était algique lors de sa toilette."
Après discussion avec des collègues en ressort le fait que l'organisation du service et la charge de travail est le rôle de la cadre du service.
J'ai une guidance TFE demain après midi, j'aimerais voir avec ma guidante si elle accepte que je m'oriente vers la prise en charge de la douleur de façon non médicamenteuse chez des patients en soins palliatifs.
C'est un sujet qui m'intéresse et se rapproche de mon envie initiale d'aborder le toucher massage en soins palliatifs.
- lunedargent
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- Inscription : 06 nov. 2006 20:11
TFE : positionnement & collaboration soignante (RCH lecteur)
Bonjour
Voilà je n'ai pas encore de question de départ masi après plusieurs situations. Je pense m'appuyer pour mon TEFE sur le positionnement d'un soigant dans une équipe dans l'interêt du patient.............
et j'aimearsi savoir si vous avez des références de sites, bibliographiques en lien un peuavec ce sujet?
Merci beaucoup
[Titre modifié => Juju5544]

Voilà je n'ai pas encore de question de départ masi après plusieurs situations. Je pense m'appuyer pour mon TEFE sur le positionnement d'un soigant dans une équipe dans l'interêt du patient.............
et j'aimearsi savoir si vous avez des références de sites, bibliographiques en lien un peuavec ce sujet?
Merci beaucoup

[Titre modifié => Juju5544]
Infirmière depuis 7ans....!! Etudiante puéricultrice cette année
