TFE prise en charge de douleur et relation soignant soigné
Modérateurs : Modérateurs, ESI - TFE
TFE prise en charge douleur aiguë en service de chirurgie
Bonjour à tous,
Voilà, j'ai choisi de faire mon TFE sur le thème :la prise en charge de la douleur aiguë en service de chirurgie,vous allez comprendre pourquoi dans ce service:
VOICI MA PROBLEMETIQUE
Pourquoi en 2005 souffre t-on encore de la douleur aiguë ?
A travers mon expérience, j’ai constaté que la plupart des patients étaient douloureux dans le service de chirurgie, même si ils avaient reçu des traitements antalgiques, exprimaient une souffrance alors que l’échelle visuelle analogique avait été utilisée par le personnel soignant.
Pourtant des échelles d’évaluation comme les EVA (échelle visuelle analogique), permettent de comprendre, de mesurer la douleur ; de faciliter les prises de décisions de traitements analgésiques ; de contrôler l’efficacité des traitements mis en œuvre ; d’améliorer la communication entre le patient et les soignants…
Cette évaluation et cette prise en charge de la douleur ont-elles pris en compte la dimension humaine de l’individu ?
On sait que chacun de nous ne réagit pas de la même manière face à la douleur. Le sens et les moyens de traiter une douleur doivent tenir compte de poids de la culture, c'est-à-dire, l’éducation, les rituels…
En islam : la douleur est le châtiment qui sera réservé dans l’au-delà aux athées et hypocrites ; les croyants ne connaîtront pas les affres de l’enfer. La douleur est la volonté de Dieu, il ne faut se révolter contre, mais il ne faut pas la provoquer et tout faire pour la combattre.
Dans la chrétienté : la mort de Jésus sur la croix est un récit de rédemption. Cette douleur infinie est seule capable d’absorber les péchés des hommes. La douleur est pour eux un mode mineur de participation aux souffrances du Christ. Il est dit dans la bible « tu enfanteras dans la douleur ». C’est une façon de se rapprocher de Dieu.
Pour les judaïques : la douleur est une épreuve infligée par Dieu pour renforcer les hommes ; la religion juive est étrangère à l’ascèse et à la mortification, elle autorise la révolte.
Pour les bouddhistes : La misère de la vie humaine n’est pas le fait d’une punition des dieux mais de la seule ignorance des hommes. La somme de douleurs affectant un homme est associée, sans ambiguïté, aux conséquences de la faute. La douleur purifie des actions mauvaises accumulées dans d’autres vies. «Toute existence n’est que douleur. Ne vous révoltez pas contre votre condition actuelle car elle est punition du passé» Premier Sermon du Boudha.
Mais est-ce que le personnel soignant le prend t-il en compte ?
D’après le nouveau décret n° 2004-802 du 29 juillet 2004, relatif aux actes professionnels et à l’exercice de la profession d’infirmier, ce décret précise :
Art R.4311-2 « Les soins infirmiers, préventifs, curatifs ou palliatifs, intègrent qualité technique et qualité des relations avec le malade(…). Ils ont pour objet, dans le respect des droits de la personne, dans le souci de son éducation à la santé et en tenant compte de la personnalité de celle-ci dans ses composantes physiologiques, psychologique, économique, sociale et culturelle… ».
Toujours dans le même service, un homme dans sa chambre appel l’infirmière car il a très mal au genou, celle-ci lui répond « je ne peux rien faire car on vous a déjà donné des antalgiques ».
Pourquoi cette impuissance face à la souffrance de l’autre ?
La charte du patient hospitalisé (annexée à la circulaire ministérielle n° 95-22 du
6 mai 1995) stipule : « Au cours de ces traitements et ces soins, la prise en compte de la dimension douloureuse, physique et psychologique des patients et le soulagement de la souffrance doivent être une préoccupation constante de tous les intervenants. Tout établissement doit se doter des moyens propres à prendre en charge la douleur des patients qu’ils accueillent et intégrer ces moyens dans son projet d’établissement, en application de la loi n° 95-116 du 4 février 1995.
Ces interrogations, et ces observations m’ont amené à poser la question de recherche qui est la suivante : « Comment est prise en charge la douleur aiguë dans le service de chirurgie? »
A travers ces deux expériences, je me suis posé un nombre de question :
Pourquoi ont-ils encore mal malgré les traitements?
De quelle douleur s’agit-il ?
A-t-on évalué la douleur ?
Le traitement était-il adapté par rapport à la douleur ?
A-t-on réajuster les traitements? etc...
MON PROBLEME EST LE SUIVANT:
1. JE N'ARRIVE PAS, A TRAVERS CES DEUX EXPERIENCE, A DEGAGER UNE PROBLEMATIQUE.
MA FORMATRICE ME DIT QUE LE SUJET QUE VOUS AVEZ CHOISI EST TROP VAGUE POUR QUE VOUS PUISSIEZ TIRER UNE PROBLEMATIQUE, VOICI SES PROPOS:"LA DOULEUR EST SUBJECTIVE"
2. ENFIN, J'ESSAYE DE TROUVER UNE QUESTION DE RECHERCHE, EN VAIN.
J'ai lu sur un livre(réussir son TFE) comment formuler la question de départ avec des interrogations sur les points suivants:
.Qu'est-ce que je veux montrer, comprendre?
J'ai répondu: A l'heure d'aujourd'hui, et avec tous les moyens que l'on dispose(ttt et relaxation)certains patients ont tjrs mal suite à leur douleur aiguë (post op)
Quels sont les objectifs que je poursuis?
J'ai répondu: répondre efficacement à la prise en charge de la douleur.
Enfin, quelles sont les motivations, les raisons de ce choix?
J'ai répondu: . Soulager au mieux la douleur.
. Un jour ou l'autre, je serai confronté à la douleur.
Voilà mes deux problème.
J'espère que vous pourrez m'aider?
J'attends avec impatience vos conseils
Merci.
[Titre modifié => Juju5544]
Voilà, j'ai choisi de faire mon TFE sur le thème :la prise en charge de la douleur aiguë en service de chirurgie,vous allez comprendre pourquoi dans ce service:
VOICI MA PROBLEMETIQUE
Pourquoi en 2005 souffre t-on encore de la douleur aiguë ?
A travers mon expérience, j’ai constaté que la plupart des patients étaient douloureux dans le service de chirurgie, même si ils avaient reçu des traitements antalgiques, exprimaient une souffrance alors que l’échelle visuelle analogique avait été utilisée par le personnel soignant.
Pourtant des échelles d’évaluation comme les EVA (échelle visuelle analogique), permettent de comprendre, de mesurer la douleur ; de faciliter les prises de décisions de traitements analgésiques ; de contrôler l’efficacité des traitements mis en œuvre ; d’améliorer la communication entre le patient et les soignants…
Cette évaluation et cette prise en charge de la douleur ont-elles pris en compte la dimension humaine de l’individu ?
On sait que chacun de nous ne réagit pas de la même manière face à la douleur. Le sens et les moyens de traiter une douleur doivent tenir compte de poids de la culture, c'est-à-dire, l’éducation, les rituels…
En islam : la douleur est le châtiment qui sera réservé dans l’au-delà aux athées et hypocrites ; les croyants ne connaîtront pas les affres de l’enfer. La douleur est la volonté de Dieu, il ne faut se révolter contre, mais il ne faut pas la provoquer et tout faire pour la combattre.
Dans la chrétienté : la mort de Jésus sur la croix est un récit de rédemption. Cette douleur infinie est seule capable d’absorber les péchés des hommes. La douleur est pour eux un mode mineur de participation aux souffrances du Christ. Il est dit dans la bible « tu enfanteras dans la douleur ». C’est une façon de se rapprocher de Dieu.
Pour les judaïques : la douleur est une épreuve infligée par Dieu pour renforcer les hommes ; la religion juive est étrangère à l’ascèse et à la mortification, elle autorise la révolte.
Pour les bouddhistes : La misère de la vie humaine n’est pas le fait d’une punition des dieux mais de la seule ignorance des hommes. La somme de douleurs affectant un homme est associée, sans ambiguïté, aux conséquences de la faute. La douleur purifie des actions mauvaises accumulées dans d’autres vies. «Toute existence n’est que douleur. Ne vous révoltez pas contre votre condition actuelle car elle est punition du passé» Premier Sermon du Boudha.
Mais est-ce que le personnel soignant le prend t-il en compte ?
D’après le nouveau décret n° 2004-802 du 29 juillet 2004, relatif aux actes professionnels et à l’exercice de la profession d’infirmier, ce décret précise :
Art R.4311-2 « Les soins infirmiers, préventifs, curatifs ou palliatifs, intègrent qualité technique et qualité des relations avec le malade(…). Ils ont pour objet, dans le respect des droits de la personne, dans le souci de son éducation à la santé et en tenant compte de la personnalité de celle-ci dans ses composantes physiologiques, psychologique, économique, sociale et culturelle… ».
Toujours dans le même service, un homme dans sa chambre appel l’infirmière car il a très mal au genou, celle-ci lui répond « je ne peux rien faire car on vous a déjà donné des antalgiques ».
Pourquoi cette impuissance face à la souffrance de l’autre ?
La charte du patient hospitalisé (annexée à la circulaire ministérielle n° 95-22 du
6 mai 1995) stipule : « Au cours de ces traitements et ces soins, la prise en compte de la dimension douloureuse, physique et psychologique des patients et le soulagement de la souffrance doivent être une préoccupation constante de tous les intervenants. Tout établissement doit se doter des moyens propres à prendre en charge la douleur des patients qu’ils accueillent et intégrer ces moyens dans son projet d’établissement, en application de la loi n° 95-116 du 4 février 1995.
Ces interrogations, et ces observations m’ont amené à poser la question de recherche qui est la suivante : « Comment est prise en charge la douleur aiguë dans le service de chirurgie? »
A travers ces deux expériences, je me suis posé un nombre de question :
Pourquoi ont-ils encore mal malgré les traitements?
De quelle douleur s’agit-il ?
A-t-on évalué la douleur ?
Le traitement était-il adapté par rapport à la douleur ?
A-t-on réajuster les traitements? etc...
MON PROBLEME EST LE SUIVANT:
1. JE N'ARRIVE PAS, A TRAVERS CES DEUX EXPERIENCE, A DEGAGER UNE PROBLEMATIQUE.
MA FORMATRICE ME DIT QUE LE SUJET QUE VOUS AVEZ CHOISI EST TROP VAGUE POUR QUE VOUS PUISSIEZ TIRER UNE PROBLEMATIQUE, VOICI SES PROPOS:"LA DOULEUR EST SUBJECTIVE"
2. ENFIN, J'ESSAYE DE TROUVER UNE QUESTION DE RECHERCHE, EN VAIN.
J'ai lu sur un livre(réussir son TFE) comment formuler la question de départ avec des interrogations sur les points suivants:
.Qu'est-ce que je veux montrer, comprendre?
J'ai répondu: A l'heure d'aujourd'hui, et avec tous les moyens que l'on dispose(ttt et relaxation)certains patients ont tjrs mal suite à leur douleur aiguë (post op)
Quels sont les objectifs que je poursuis?
J'ai répondu: répondre efficacement à la prise en charge de la douleur.
Enfin, quelles sont les motivations, les raisons de ce choix?
J'ai répondu: . Soulager au mieux la douleur.
. Un jour ou l'autre, je serai confronté à la douleur.
Voilà mes deux problème.
J'espère que vous pourrez m'aider?
J'attends avec impatience vos conseils
Merci.
[Titre modifié => Juju5544]
ugfahjhgfjkhklqhgfklhdqkfkkgfklhskhgegzez
En mettent un titre plus explicite, peut être auras tu des réponses.. 
Issu de Charte d'utilisation[/b]
7- L'écriture d'un message
Avant tout envoi d'un nouveau message, il est recommandé d'utiliser le moteur de recherche afin de vérifier si un problème équivalent n'a pas été posté auparavant. Si c'est le cas et que le message ne répond qu'en partie à votre question, il suffit de répondre à celui-ci. Ce dernier va alors remonter et se retrouver au sommet des messages récents.
Lorsque des utilisateurs répondent à votre message, il vous suffit de répondre à votre propre message pour continuer la discussion. Il vous est même possible de répondre à votre propre message au bout de plusieurs heures pour le faire remonter à la surface. Pour autant, n'exigez pas de réponse immédiate des autres utilisateurs, il s'agit une fois de plus de personnes volontaires et bénévoles, n'ayant pas forcément la réponse à votre problème.
Si aucun message concernant votre problème n'a été posté préalablement, il vous suffit de poster un nouveau message en choisissant le forum approprié.
Si vous vous rendez compte que votre message n'était pas complet, vous pouvez l'éditer plutôt que de poster un nouveau message en reprenant l'ensemble du texte. Nous effacerons tout message en double sans préavis.
8- L'importance du style
Les échanges sur un forum sont radicalement différents des échanges traditionnels dans la mesure où les messages sont textuels et souvent rédigés rapidement.
Ainsi, un message rédigé en majuscules "donne l'impression" d'une hausse de ton et est souvent interprété à tort comme signe d'énervement. Il en est de même pour un message suivi d'un grand nombre de caractères de ponctuation. Il est donc recommandé de faire un usage modéré de ce type d'artifice. Voici un exemple de message à éviter :
POUVEZ VOUS ME DONNER LA REPONSE ?!?!?!???
Il est également demandé aux utilisateurs de s'appliquer lors de la rédaction de leur message en évitant au possible les abréviations et d'en vérifier dans la mesure du possible l'orthographe.
Etant donné que les messages postés sur le forum ne permettent pas toujours de refléter l'état d'esprit de celui qui rédige, il vous est possible (et généralement conseillé) d'utiliser des smiley, c'est-à-dire des caractères permettant d'indiquer à votre interlocuteur le ton de votre message.
9- L'importance du titre du message
Le titre du message est la première chose que les utilisateurs voient sur le forum. Un message au titre correctement rédigé aura donc plus de chance d'être lu et de recevoir des réponses. Le titre des messages doit donc contenir les mots-clés présentant votre problème et ne doit bien évidemment pas être rédigé avec uniquement des majuscules.
Voici quelques exemples de titres de messages corrects :
Cherche dates de concours IFSI pour rentré février
Problème relationnel en stage avec l’encadrement
Cherche infos sur la sclérose en plaque
Ci après, les titres ne comportant pas l'objet de la demande mais uniquement des mots sans autre informations, les titres suivants sont à proscrire :
Demande d'aide
Heeeelp !
SOS
S'il vous plait aidez-moi
Issu de Charte d'utilisation[/b]
Infirmière puéricultrice
-
sabi chérie
- Régulier
- Messages : 41
- Inscription : 04 sept. 2005 13:54
- Localisation : IFSI Tours
Pour moi, mais après ça c'est personnel, ton sujet est bien de trop vaste pour pouvoir l'aborder en sujet de TFE car il ne doit pas dépasser les 20-25 pages grand max et en voyant de quoi tu veux parler je crois qu'il te faudrait beaucoup plus
en plus, ta problématique c'est pas une question d'ordre infirmier car 'Pourquoi en 2005 souffre-t-on encore de la douleur' ça l'infirmière peut rien y faire (et en plus maintenant on est en 2006
A ce moment là il faudrait dire, "Comment l'infirmière peut elle..... "selon ta vraie question
voila bon courage
en plus, ta problématique c'est pas une question d'ordre infirmier car 'Pourquoi en 2005 souffre-t-on encore de la douleur' ça l'infirmière peut rien y faire (et en plus maintenant on est en 2006
A ce moment là il faudrait dire, "Comment l'infirmière peut elle..... "selon ta vraie question
voila bon courage
Y'en a marre d'attendre les résultats
13 avril : jour de stress à venir....
13 avril : jour de stress à venir....
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Dédé from 74
- Silver VIP
- Messages : 4208
- Inscription : 06 nov. 2003 17:50
- Localisation : IDF
Ton sujet est beaucoup trop vague en effet.
Tu souleves a vue de nez deux points :
-le fait que la douleur est une experience emotionelle personelle, que la personne a mal et ce pour de multiples raisons quand elle signale une douleur. La douleur est bien une experience subjective. Ca tu le signales deja.
-la prise en compte et le traitement de la douleur necessite une organisation rigoureuse de sa prise en charge.
Le malade a qui on répond "vous avez eu vos ttt antalgiques, je ne peux rien vous", est la victime d'un systeme de prise en charge defaillant, où l'ide receuille la plainte douloureuse mais n'a pas d'interlocuteur medicale disponible a qui transmettre l'info pour permettre une prescription complémentaire adapté.
Conseil perso : trouve une facette de ladite prise en charge qui t'interesse. Tu parles beaucoup de l'eva en début de ta problémtique. L'eva classiquement c'est le top mais penses tu que se retrancher derrière CETTE échelle soit la panacée ??? c'est un exemple.
Je me tiens à ta dispo si besoin.
Tu souleves a vue de nez deux points :
-le fait que la douleur est une experience emotionelle personelle, que la personne a mal et ce pour de multiples raisons quand elle signale une douleur. La douleur est bien une experience subjective. Ca tu le signales deja.
-la prise en compte et le traitement de la douleur necessite une organisation rigoureuse de sa prise en charge.
Le malade a qui on répond "vous avez eu vos ttt antalgiques, je ne peux rien vous", est la victime d'un systeme de prise en charge defaillant, où l'ide receuille la plainte douloureuse mais n'a pas d'interlocuteur medicale disponible a qui transmettre l'info pour permettre une prescription complémentaire adapté.
Conseil perso : trouve une facette de ladite prise en charge qui t'interesse. Tu parles beaucoup de l'eva en début de ta problémtique. L'eva classiquement c'est le top mais penses tu que se retrancher derrière CETTE échelle soit la panacée ??? c'est un exemple.
Je me tiens à ta dispo si besoin.
IDE en Réa, ici et là
-
zaza de nuit
- Régulier
- Messages : 54
- Inscription : 04 févr. 2006 15:08
l'EVA c'est très bien ce "thermomètre de la douleur " mais si elle ne débouche pas sur une remise en cause du traitement antalgique quand elle est élevée ,et une réévaluation elle ne sert à rien!
de plus on parle de plus en plus des patients hyperalgésiques, pour lesquels les traitements paraissent insuffisants et qui risquent de se chroniciser, on peut diminuer le nombre de ces patients par la kétamine...c'est assez technique
bref sans CLUD ou anesthésistes impliqués, problèmes!!!!
de plus on parle de plus en plus des patients hyperalgésiques, pour lesquels les traitements paraissent insuffisants et qui risquent de se chroniciser, on peut diminuer le nombre de ces patients par la kétamine...c'est assez technique
bref sans CLUD ou anesthésistes impliqués, problèmes!!!!
TFE prise en charge de douleur et relation soignant soigné
Bonjour!
J'ai trouvé une question de départ pour mon TFE qui me semble interressante: pourquoi la prise en charge de la douleur est elle différente chez une personne handicapée et chez une personne dite "normale"?
Mais je n'arrive pas à trouver vraiment d'information sur ce sujet...
Quelqu'un connaitrait des ouvrages ou des sites interressants sur ce sujet?
Merci d'avance!
J'ai trouvé une question de départ pour mon TFE qui me semble interressante: pourquoi la prise en charge de la douleur est elle différente chez une personne handicapée et chez une personne dite "normale"?
Mais je n'arrive pas à trouver vraiment d'information sur ce sujet...
Quelqu'un connaitrait des ouvrages ou des sites interressants sur ce sujet?
Merci d'avance!
PEC de la dlr?
Je suis etudiante 3eme année a nimes et nous avons sur le CHU une équipe spécialisée dans la douleur, tu pourrais leur écrire ou leur téléphoner ils sont tres investit dans la formation des stagiaires.
Le numéro de téléphone est le 04 66 68 68 68. L'adresse c'est CHU de nimes, site de Carremeau, Place du Professeur Robert Debré 30000 Nimes.
L'unité s'appelle Centre de la Douleur.
Voila j'espere que ca pourra t'aider.
Le numéro de téléphone est le 04 66 68 68 68. L'adresse c'est CHU de nimes, site de Carremeau, Place du Professeur Robert Debré 30000 Nimes.
L'unité s'appelle Centre de la Douleur.
Voila j'espere que ca pourra t'aider.
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zaza de nuit
- Régulier
- Messages : 54
- Inscription : 04 févr. 2006 15:08
-
Fernand de La Gasque
Re: TFE prise en charge de la douleur
vasar a écrit :Bonjour!
J'ai trouvé une question de départ pour mon TFE qui me semble interressante: pourquoi la prise en charge de la douleur est elle différente chez une personne handicapée et chez une personne dite "normale"?
Mais je n'arrive pas à trouver vraiment d'information sur ce sujet...
Quelqu'un connaitrait des ouvrages ou des sites interressants sur ce sujet?
Merci d'avance!
Je trouve qu'il faudrait que tu cibles car "prise en charge différente" c'est vague, on ne sait pas de quel point de vue tu te places. De plus "une personne dite normale" je trouve qu'il faudrait que tu trouves un terme plus adéquat.
douleur de la personne souffrant de démence
bonjour, je suis étudiante infirmière et je fais mon mémoire sur la prise en charge de la douleur chez une personne atteinte de démence. j'ai réaliser un questionnaire et si cela vous interesse de le remplir envoyer moi votre adresse mail à let-b@wanadoo.fr.
je remercie d'avance tout ceux et celle qui voudront bien repondre à mon questionnaire
merci
je remercie d'avance tout ceux et celle qui voudront bien repondre à mon questionnaire
merci
témoignage sur PEC douleur
bonjour je suis étudiante IDE en 3ème année et mon mémoire porte sur la PEC de la douleur chez une personne atteinte de démence. j'ai élaborer un questionnaire? si vous etes interessé à y repondre faite le moi savoir en m'envoyant un mail à let-b@wanadoo.fr et je vous le ferais parvenir
merci d'avance pour votre aide précieuse
merci d'avance pour votre aide précieuse
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