Les métiers les mieux payés!....
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des que tu l'as été une fois, tu es payé à vie !!!
Edit : quoique je suis pas sur ... bizarrment il y a peu de texte qui parle des rémunérations du gouvernement

Edit : quoique je suis pas sur ... bizarrment il y a peu de texte qui parle des rémunérations du gouvernement

Dernière modification par Fox le 18 août 2005 15:49, modifié 1 fois.
"On est tous pareil alors acceptons nos différences!" [Bruno Salomone]
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Oliverklan, j'ai trouvé un article sur le Point, il est intéressant.
Les vrais salaires des Français
Etes-vous bien payé ?
Le Point a brassé des milliers de chiffres afin de rendre publiques les rémunérations des Français : 750 professions sont passées au crible.
C'est devenu le sujet de grogne de la majorité des Français. Qui ne se plaint pas, aujourd'hui, de la fameuse « modération salariale », charmant euphémisme pour évoquer des fins de mois de plus en plus difficiles à boucler ? Malheureusement, l'année qui s'annonce ne restera pas dans l'histoire économique comme un grand cru salarial. La hausse des traitements consentie en 2004 par le gouvernement aux 5,5 millions de fonctionnaires est fixée à 0,5 %, et les différents cabinets spécialistes des ressources humaines tablent sur 2,7 à 3,2 % de revalorisation pour l'ensemble des salariés. Des augmentations qui seront en grande partie avalées par l'inflation, même si celle-ci demeure limitée (1,7 % en 2003, hors prix du tabac). Comment desserrer l'étreinte ? D'abord, vérifier, en comparant si on est bien payé. Et si ce n'est pas le cas, identifier les secteurs qui paient le plus afin d'y tenter sa chance une fois la croissance repartie. C'est pour répondre à ces questions que Le Point, deux ans après s'être livré à la même entreprise (voir n° 1532), a de nouveau brassé quelques milliers de chiffres afin de rendre publiques les rémunérations des millions de salariés du privé, les bénéfices des artisans-commerçants et ceux des professions libérales, ainsi que les traitements et les primes de la fonction publique. Au total, ce sont 750 professions qui sont passées au crible tout au long des 22 pages de ce dossier.
La santé, en France, n'ayant pas de prix, dans le secteur libéral, ce sont les professions médicales et paramédicales dont les bénéfices ont connu la plus forte progression. Les spécialistes de la prothèse, dentaire ou auditive, les chiropraticiens, les diététiciens ont fait la course en tête tout comme l'ensemble des médecins, qu'ils soient généralistes ou spécialistes. Mais, de 2000 à 2002, il y a eu quelques autres réussites confortables C'est le cas des huissiers, des stylistes ou encore des agents d'assurances. Les experts notent cependant que le secteur libéral est devenu plus difficile à cerner, avec l'apparition de nouveaux métiers, et surtout un grand écart en matière de revenus. Quoi de commun entre un administrateur judiciaire qui émarge en moyenne à plus de 190 000 euros par an quand un professeur indépendant gagne près de quinze fois moins ? « Ces professionnels souvent très qualifiés composent un milieu marqué par des situations individuelles très disparates tant sur le plan des modes d'exercice que sur le plan des gains, confirme Jean-Claude Maugis, membre de l'Union nationale des associations agréées. Les Français connaissent bien les professions réglementées, comme celle des médecins, des notaires, des avocats, etc. Mais le fait marquant est l'émergence de nouvelles activités, non structurées : les consultants, issus du monde de l'entreprise et travaillant pour lui, par exemple. Leurs revenus sont beaucoup plus aléatoires. »
Dans le secteur du commerce, c'est encore la santé qui l'emporte. La pharmacie demeure en effet le numéro un avec des bénéfices (112 446 euros en moyenne) dix fois plus importants que ceux, par exemple, d'un vidéoclub. Mais, en faisant ses courses, on pousse la porte d'autres commerçants qui s'en sortent bien, comme les bouchers, les bouchers-charcutiers ou les épiciers. En revanche, il faut plaindre les boulangers-pâtissiers, dont le bénéfice est en baisse. Et si les bénéfices des libraires ont augmenté, cet amour de la lecture n'a pas profité aux kiosquiers de presse, commerçants les plus malmenés en termes de revenus avec les bijoutiers-horlogers. Enfin, de toutes les professions indépendantes, ce sont celles du bâtiment qui souffrent aujourd'hui le plus : si les menuisiers, les électriciens et les peintres ont péniblement tiré leurs bénéfices vers le haut, ceux des charpentiers, des maçons, des plombiers, des couvreurs et des jardiniers ont plongé.
Mais le match le plus sévère est celui qui oppose les salariés du public et ceux du privé. Qui sont vraiment les privilégiés ? Si l'on se limite au seul plan des rémunérations, l'affaire est relativement simple. L'Etat paie un peu mieux ses agents que les chefs d'entreprise leurs salariés. Cela est essentiellement vrai pour les ouvriers et employés du secteur public, qui sont mieux rémunérés que leurs collègues du privé. En revanche, les cadres de la fonction publique sont moins bien traités que ceux du secteur concurrentiel. Selon les dernières statistiques disponibles établies par l'Insee, en 2001, un titulaire de la fonction publique d'Etat percevait en moyenne un salaire brut de 2 358 euros par mois. Une fois les prélèvements sociaux déduits, son salaire net moyen s'établissait à 1 983 euros par mois. Exactement à la même période, le salaire mensuel moyen pour un travail à temps complet dans les entreprises s'élevait à 2 190 euros brut et 1 750 euros net. Une comparaison rendue difficile car, dans le privé, certains secteurs sont mieux rémunérés que d'autres. Si l'on veut être parmi les mieux payés, il faut plutôt se diriger vers la pharmacie, la chimie ou les banques que la métallurgie.
Alors, pour échapper à la morosité, certains se prennent à rêver. Il y a ceux qui ressassent les salaires mirifiques de grands patrons comme Lindsay Owen-Jones, PDG de L'Oréal, indéboulonnable premier au palmarès des chefs d'entreprise les mieux payés de France, avec 6 264 634 euros de salaire annuel, ou encore les 5,1 millions d'euros de Johnny Hallyday, lui aussi premier de sa catégorie. D'autres, plus réalistes, se demandent si, à l'étranger, ils ne seraient pas mieux payés. Comparaison extrêmement délicate pour de multiples raisons. « Le concept de salaire n'est pas nécessairement pertinent pour ce genre d'analyse, estime Francis Kramarz, chargé de cours à l'Ecole polytechnique et chercheur au Centre de recherche en économie et statistique. En effet, il est important de comprendre que la différence entre salaire perçu par l'individu et coût du travail tel qu'il est payé par l'entreprise sert à financer un certain nombre de services publics dont la qualité du fonctionnement est un élément de rémunération des salariés. Par exemple, le prix et la qualité du service public de l'éducation ou des transports doivent être intégrés dans tout calcul sérieux des comparaisons de salaires entre pays. Il faut aussi prendre le coût de la vie en compte : logement, santé, coût des biens de consommation. Tout cela doit être mis en balance. »
Malgré ces réserves, l'Union de banques suisses (UBS) a livré il y a quelques mois son étude triannuelle sur les prix et les salaires effectuée dans 70 villes de la planète. Dans l'un des volets de cette volumineuse enquête, portant sur la comparaison des revenus bruts annuels, y compris les éventuelles rémunérations supplémentaires, dix métiers ont été auscultés. Nous avons sélectionné les résultats de cette analyse dans 9 grandes villes du monde occidental (voir infographie ci-contre).
A première vue, le constat n'est pas flatteur pour la France : hormis le cadre bancaire parisien, dont le salaire arrive en deuxième position après celui de son homologue de Tokyo, tous les autres métiers figurent en queue de peloton. Avec 23 200 euros annuels, l'instituteur parisien ne dépasse que son collègue romain ; avec 14 500 euros, la vendeuse d'un grand magasin de la capitale française gagne deux fois moins qu'une Genevoise à qualification et âge similaires, et un chef de service d'une grande entreprise de la métallurgie ayant 100 ouvriers sous ses ordres ne devance que ses homologues londonien, madrilène et romain.
Cependant, une seconde analyse menée en 2003 par le cabinet spécialisé en ressources humaines Hewitt pour l'Association pour l'emploi des cadres (Apec) aboutit à des conclusions plus nuancées. Elle porte uniquement sur des salariés confortablement rémunérés, cadres dirigeants et supérieurs, cadres juniors, et elle a été effectuée en Allemagne, en Espagne, en Italie, au Royaume-Uni et en France. Si, pour le salaire brut, les cadres du Royaume-Uni viennent en tête devant ceux de l'Allemagne et de la France, le grand intérêt de cette comparaison tient au fait qu'elle prend surtout en compte le salaire « net-net ». Sous cette appellation, Hewitt cerne la rémunération nette calculée dans chaque pays en tenant compte des charges sociales, de la fiscalité sur le salaire et du différentiel de coût de la vie.
Résultat final, si le Royaume-Uni reste en tête, la France passe cette fois au deuxième rang devant l'Allemagne, l'Italie occupant le plus souvent le dernier rang. Ainsi apparaît un nouveau paradoxe français : même en ayant réduit leur temps de travail, les cadres de l'Hexagone demeurent parmi les mieux payés !
http://www.lepoint.fr/static/infographi ... alaire.pdf
un tableau
Les vrais salaires des Français
Etes-vous bien payé ?
Le Point a brassé des milliers de chiffres afin de rendre publiques les rémunérations des Français : 750 professions sont passées au crible.
C'est devenu le sujet de grogne de la majorité des Français. Qui ne se plaint pas, aujourd'hui, de la fameuse « modération salariale », charmant euphémisme pour évoquer des fins de mois de plus en plus difficiles à boucler ? Malheureusement, l'année qui s'annonce ne restera pas dans l'histoire économique comme un grand cru salarial. La hausse des traitements consentie en 2004 par le gouvernement aux 5,5 millions de fonctionnaires est fixée à 0,5 %, et les différents cabinets spécialistes des ressources humaines tablent sur 2,7 à 3,2 % de revalorisation pour l'ensemble des salariés. Des augmentations qui seront en grande partie avalées par l'inflation, même si celle-ci demeure limitée (1,7 % en 2003, hors prix du tabac). Comment desserrer l'étreinte ? D'abord, vérifier, en comparant si on est bien payé. Et si ce n'est pas le cas, identifier les secteurs qui paient le plus afin d'y tenter sa chance une fois la croissance repartie. C'est pour répondre à ces questions que Le Point, deux ans après s'être livré à la même entreprise (voir n° 1532), a de nouveau brassé quelques milliers de chiffres afin de rendre publiques les rémunérations des millions de salariés du privé, les bénéfices des artisans-commerçants et ceux des professions libérales, ainsi que les traitements et les primes de la fonction publique. Au total, ce sont 750 professions qui sont passées au crible tout au long des 22 pages de ce dossier.
La santé, en France, n'ayant pas de prix, dans le secteur libéral, ce sont les professions médicales et paramédicales dont les bénéfices ont connu la plus forte progression. Les spécialistes de la prothèse, dentaire ou auditive, les chiropraticiens, les diététiciens ont fait la course en tête tout comme l'ensemble des médecins, qu'ils soient généralistes ou spécialistes. Mais, de 2000 à 2002, il y a eu quelques autres réussites confortables C'est le cas des huissiers, des stylistes ou encore des agents d'assurances. Les experts notent cependant que le secteur libéral est devenu plus difficile à cerner, avec l'apparition de nouveaux métiers, et surtout un grand écart en matière de revenus. Quoi de commun entre un administrateur judiciaire qui émarge en moyenne à plus de 190 000 euros par an quand un professeur indépendant gagne près de quinze fois moins ? « Ces professionnels souvent très qualifiés composent un milieu marqué par des situations individuelles très disparates tant sur le plan des modes d'exercice que sur le plan des gains, confirme Jean-Claude Maugis, membre de l'Union nationale des associations agréées. Les Français connaissent bien les professions réglementées, comme celle des médecins, des notaires, des avocats, etc. Mais le fait marquant est l'émergence de nouvelles activités, non structurées : les consultants, issus du monde de l'entreprise et travaillant pour lui, par exemple. Leurs revenus sont beaucoup plus aléatoires. »
Dans le secteur du commerce, c'est encore la santé qui l'emporte. La pharmacie demeure en effet le numéro un avec des bénéfices (112 446 euros en moyenne) dix fois plus importants que ceux, par exemple, d'un vidéoclub. Mais, en faisant ses courses, on pousse la porte d'autres commerçants qui s'en sortent bien, comme les bouchers, les bouchers-charcutiers ou les épiciers. En revanche, il faut plaindre les boulangers-pâtissiers, dont le bénéfice est en baisse. Et si les bénéfices des libraires ont augmenté, cet amour de la lecture n'a pas profité aux kiosquiers de presse, commerçants les plus malmenés en termes de revenus avec les bijoutiers-horlogers. Enfin, de toutes les professions indépendantes, ce sont celles du bâtiment qui souffrent aujourd'hui le plus : si les menuisiers, les électriciens et les peintres ont péniblement tiré leurs bénéfices vers le haut, ceux des charpentiers, des maçons, des plombiers, des couvreurs et des jardiniers ont plongé.
Mais le match le plus sévère est celui qui oppose les salariés du public et ceux du privé. Qui sont vraiment les privilégiés ? Si l'on se limite au seul plan des rémunérations, l'affaire est relativement simple. L'Etat paie un peu mieux ses agents que les chefs d'entreprise leurs salariés. Cela est essentiellement vrai pour les ouvriers et employés du secteur public, qui sont mieux rémunérés que leurs collègues du privé. En revanche, les cadres de la fonction publique sont moins bien traités que ceux du secteur concurrentiel. Selon les dernières statistiques disponibles établies par l'Insee, en 2001, un titulaire de la fonction publique d'Etat percevait en moyenne un salaire brut de 2 358 euros par mois. Une fois les prélèvements sociaux déduits, son salaire net moyen s'établissait à 1 983 euros par mois. Exactement à la même période, le salaire mensuel moyen pour un travail à temps complet dans les entreprises s'élevait à 2 190 euros brut et 1 750 euros net. Une comparaison rendue difficile car, dans le privé, certains secteurs sont mieux rémunérés que d'autres. Si l'on veut être parmi les mieux payés, il faut plutôt se diriger vers la pharmacie, la chimie ou les banques que la métallurgie.
Alors, pour échapper à la morosité, certains se prennent à rêver. Il y a ceux qui ressassent les salaires mirifiques de grands patrons comme Lindsay Owen-Jones, PDG de L'Oréal, indéboulonnable premier au palmarès des chefs d'entreprise les mieux payés de France, avec 6 264 634 euros de salaire annuel, ou encore les 5,1 millions d'euros de Johnny Hallyday, lui aussi premier de sa catégorie. D'autres, plus réalistes, se demandent si, à l'étranger, ils ne seraient pas mieux payés. Comparaison extrêmement délicate pour de multiples raisons. « Le concept de salaire n'est pas nécessairement pertinent pour ce genre d'analyse, estime Francis Kramarz, chargé de cours à l'Ecole polytechnique et chercheur au Centre de recherche en économie et statistique. En effet, il est important de comprendre que la différence entre salaire perçu par l'individu et coût du travail tel qu'il est payé par l'entreprise sert à financer un certain nombre de services publics dont la qualité du fonctionnement est un élément de rémunération des salariés. Par exemple, le prix et la qualité du service public de l'éducation ou des transports doivent être intégrés dans tout calcul sérieux des comparaisons de salaires entre pays. Il faut aussi prendre le coût de la vie en compte : logement, santé, coût des biens de consommation. Tout cela doit être mis en balance. »
Malgré ces réserves, l'Union de banques suisses (UBS) a livré il y a quelques mois son étude triannuelle sur les prix et les salaires effectuée dans 70 villes de la planète. Dans l'un des volets de cette volumineuse enquête, portant sur la comparaison des revenus bruts annuels, y compris les éventuelles rémunérations supplémentaires, dix métiers ont été auscultés. Nous avons sélectionné les résultats de cette analyse dans 9 grandes villes du monde occidental (voir infographie ci-contre).
A première vue, le constat n'est pas flatteur pour la France : hormis le cadre bancaire parisien, dont le salaire arrive en deuxième position après celui de son homologue de Tokyo, tous les autres métiers figurent en queue de peloton. Avec 23 200 euros annuels, l'instituteur parisien ne dépasse que son collègue romain ; avec 14 500 euros, la vendeuse d'un grand magasin de la capitale française gagne deux fois moins qu'une Genevoise à qualification et âge similaires, et un chef de service d'une grande entreprise de la métallurgie ayant 100 ouvriers sous ses ordres ne devance que ses homologues londonien, madrilène et romain.
Cependant, une seconde analyse menée en 2003 par le cabinet spécialisé en ressources humaines Hewitt pour l'Association pour l'emploi des cadres (Apec) aboutit à des conclusions plus nuancées. Elle porte uniquement sur des salariés confortablement rémunérés, cadres dirigeants et supérieurs, cadres juniors, et elle a été effectuée en Allemagne, en Espagne, en Italie, au Royaume-Uni et en France. Si, pour le salaire brut, les cadres du Royaume-Uni viennent en tête devant ceux de l'Allemagne et de la France, le grand intérêt de cette comparaison tient au fait qu'elle prend surtout en compte le salaire « net-net ». Sous cette appellation, Hewitt cerne la rémunération nette calculée dans chaque pays en tenant compte des charges sociales, de la fiscalité sur le salaire et du différentiel de coût de la vie.
Résultat final, si le Royaume-Uni reste en tête, la France passe cette fois au deuxième rang devant l'Allemagne, l'Italie occupant le plus souvent le dernier rang. Ainsi apparaît un nouveau paradoxe français : même en ayant réduit leur temps de travail, les cadres de l'Hexagone demeurent parmi les mieux payés !

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Sandra
infirmière promo 2004-2007
Marseillaise en Bretagne!
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Moui enfin le temps de travail réduit des cadres cela m'a toujours fait marrer. C'est vrai qu'a 60 heures par semaine payées 35 au lieu de 39... Il est normal au vu des enjeux de l'entreprise et des responsabilités envers les investisseurs, les employés et leurs famille que la paye suive.
Sinon golfeur paye bien aussi pour rester dans le domaine sportif.
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