Violence, agressivité en psy (agression, maltraitance....)
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Re: violence sur soignant en psychiatrie
Je fréquente depuis peu le forum, mais je suis déjà fan des interventions d'Alise (c'est grave, doc ?)
Juste un détail pragmatique et concret à se fixer une fois pour toute :
Un coup n'a jamais arrêté personne (sauf dans les films) et encore moins dans le cadre d'une agitation.
Au contraire en "cognant" on justifie l'agression et le besoin de l'autre de se défendre... en cognant.
Quitte à être dans le contre-transfert, chose qui s'analyse dans l'après-coup, mieux vaut privilégier la contention, le "gros-câlin" au plus près du corps. Et à plusieurs chacun s'occupe de contenir un membre, de préférence sans force ou autre clé sur les articulations.
Le gars peut faire 100 kg de plus que le soignant, si ce dernier l'enlace il ne pourra ni le frapper fort, ni le projeter. Le soignant peut ensuite simplement descendre son bassin vers le sol pour entrainer "l'agité avec lui" et permettre (au sol) une immobilisation/contention plus sécurisée pour tous.
Enfin tout cela DOIT s'accompagner de mots, ne serait-ce que pour signifier que les soignants cherchent à se protéger, à ne pas être blessé.
Juste un détail pragmatique et concret à se fixer une fois pour toute :
Un coup n'a jamais arrêté personne (sauf dans les films) et encore moins dans le cadre d'une agitation.
Au contraire en "cognant" on justifie l'agression et le besoin de l'autre de se défendre... en cognant.
Quitte à être dans le contre-transfert, chose qui s'analyse dans l'après-coup, mieux vaut privilégier la contention, le "gros-câlin" au plus près du corps. Et à plusieurs chacun s'occupe de contenir un membre, de préférence sans force ou autre clé sur les articulations.
Le gars peut faire 100 kg de plus que le soignant, si ce dernier l'enlace il ne pourra ni le frapper fort, ni le projeter. Le soignant peut ensuite simplement descendre son bassin vers le sol pour entrainer "l'agité avec lui" et permettre (au sol) une immobilisation/contention plus sécurisée pour tous.
Enfin tout cela DOIT s'accompagner de mots, ne serait-ce que pour signifier que les soignants cherchent à se protéger, à ne pas être blessé.
Infirmier en CMP
Re: Agression en psychiatrie, ça suffit
Alucard a écrit :Moi moi j'ai une réforme à proposer : donner des sous aux hôpitaux psy pour embaucher du personnel en nombre!!!!
D'accord
+1

S'ils remettent des sous, ce sera pour mettre un flic par patient schizophrene en service, chacun équipé bien sur d'un joli tazer ^^


++
La vie est un processus d'équilibre physico-chimique auto-entretenu a caractère darwinien.
Re: Agression en psychiatrie, ça suffit
salut .
moi je dénonce la course a l'argent et pas au soin qui s'exerce dans les hôpitaux psy et généraux. entre autre certains médecins semblent être verrolés par les labos...d'autres vouloir faire des bonnes choses pour les patients...mais cela l'administration leur laisse de moins en moins d'espoir...je suis pour la sécurité humaine et pas juste pour dédouaner l'administration en cas d'accident...
moi je dénonce la course a l'argent et pas au soin qui s'exerce dans les hôpitaux psy et généraux. entre autre certains médecins semblent être verrolés par les labos...d'autres vouloir faire des bonnes choses pour les patients...mais cela l'administration leur laisse de moins en moins d'espoir...je suis pour la sécurité humaine et pas juste pour dédouaner l'administration en cas d'accident...
Re: violence sur soignant en psychiatrie
salut...j'aime bien aussi la façon de voir les chose de alise...les relations avec les patients en crise sont très interessantes et nécessitent kan ya action un débriefing entre collègues.avec ça on avance pas mal.montrer du respecter au patient est souvent la clé de la relation...ils sont fous mais pas con!! il faut sortir de la relation dominant dominé kan le patient est complètement délirant ou halluciné et kil veut te péter la tête pour sortir...mais par contre si c un psychopathe ki menace, il teste. alors tout est différent.essayer de ne pas montrer sa peur.être ferme.ya des risques à prendre des fois je crois. il faut savoir ke si on le laisse faire ce kil ve 1 fois, parfois après c lui qui gère le pavillon. et là c dominant dominé. kest ce ke vous en pensez??
Re: Agression en psychiatrie, ça suffit
En attendant on a démissionné le directeur de St Egrève et bizarrement on en a trouvé un tout disponible pour le remplacer....
Peut être était il à placer celui là! Et peut être bien qu'il sera plus efficace sur le démantèlement orchestré par nos gouvernants.
Peut être était il à placer celui là! Et peut être bien qu'il sera plus efficace sur le démantèlement orchestré par nos gouvernants.
"Le savoir est un fantasme qui n'est fait que pour la jouissance" J. LACAN
"Voilà la grande erreur de toujours : s'imaginer que les êtres pensent ce qu'ils disent" J. LACAN
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Re: L'homme qui fait peur aux infirmiers
Je fais remonter.
Pour avoir pris en charge ce "malade" en UMD j'apporte mon opinion. Oui je comprends la démarche de refus du personnel de cet établissement. Non pour moi cet homme a sa place en prison (lorsqu'il commet un acte répréhensible par la loi) beaucoup plus qu'en psychiatrie. En effet, est-il psychotique? est-il atteint d'une névrose profondément handicapante? ou tout "simplement" psychopathe...
Pour avoir pris en charge ce "malade" en UMD j'apporte mon opinion. Oui je comprends la démarche de refus du personnel de cet établissement. Non pour moi cet homme a sa place en prison (lorsqu'il commet un acte répréhensible par la loi) beaucoup plus qu'en psychiatrie. En effet, est-il psychotique? est-il atteint d'une névrose profondément handicapante? ou tout "simplement" psychopathe...
Et bien voila docteur:je verrouille,je verrouille,je verrouille,dites,c'est grave docteur?
-Meuh non,c'est juste une verouillitte aiguë!
-Meuh non,c'est juste une verouillitte aiguë!
Re: violence sur soignant en psychiatrie
Je ne réduirais pas ce que tu décris comme une relation dominant-dominé, car ce serait réduire la relation soignant-patient aux deux individus qui la composent, en faisant abstraction des composantes symboliques qui peuvent se lier à eux, tel "le cadre thérapeutique", le "contrat de soins", etc...
Il convient au contraire - selon moi - de sortir de la relation duel (qui n'a pas lieu d'être dans une unité de soin) et de renvoyer, a minima, au cadre thérapeutique.
Un comportement ne doit être déclaré "inadapté" qu'en lien avec le cadre thérapeutique, voire le règlement intérieur, mais pas en lien avec la morale (populaire ?)... au risque d'écarter la dimension soignante.
Il convient au contraire - selon moi - de sortir de la relation duel (qui n'a pas lieu d'être dans une unité de soin) et de renvoyer, a minima, au cadre thérapeutique.
Un comportement ne doit être déclaré "inadapté" qu'en lien avec le cadre thérapeutique, voire le règlement intérieur, mais pas en lien avec la morale (populaire ?)... au risque d'écarter la dimension soignante.
Infirmier en CMP
Re: violence sur soignant en psychiatrie
tout a fait d'accord!!
Re: violence sur soignant en psychiatrie
comment soigner un psychopathe alors...sa place est-elle en psy???? que peut-on lui apporter?
Re: violence sur soignant en psychiatrie
C'est là tout la difficulté qui incombe aux institutions.
De mon point de vue, le propre des psychopathes - et plus généralement des personnes ayant un trouble du comportement, tels que les états-limites - c'est qu'ils ne peuvent souscrire à un règlement.
Ils vont donc invariablement venir buter dans les limites imposées soit par le règlement intérieur, soit par le cadre thérapeutique. Ils se comportent comme une boule de flipper, incapable de rester en place et "se situant" en rebondissant sans cesse sur tout ce qui peut être limitant.
Pour répondre à la question, j'avancerai que le psychopathe relève des soins psychiatrique lorsqu'il le nécessite, de la prison lorsque nécessaire, des urgences en cas de troubles somatiques, des structures éducatives par intermittence (forcément) pour étayer le tout dans une direction globalement bénéfique.
C'est pourquoi il est impératif que l'admission en psychiatrie d'un psychopathe ne soit prononcée que par un psychiatre et en ne considérant que les troubles pouvant être soignés en psychiatrie, c'est à dire par exemple en n'admettant pas en psychiatrie un psychopathe dont le problème actuel est une détresse sociale (due à son comportement ?)
A cette réponse vient se manifester le concept de santé publique et le droit à être soigné pour tous. Pour autant je ne crois pas qu'une institution (de soin, éducative, sociale) doive se plier aux exigences de quelques individus. Bien au contraire c'est parce que un certain nombre d'individu ne trouvent pas réponse à leur troubles dans les structures déjà existantes (du fait des limites découlant de leurs missions), qu'il va être possible d'inventer ou d'ouvrir d'autres structures complémentaires et plus adaptées.
Sur le long terme on peut néanmoins observer que les psychopathes, etats-limites, etc ne s'étayent pas dans un ou plusieurs structures, mais bien ENTRE ces structures !
Je pense à un psychopathe de ma connaissance qui au fil du temps à réussit à se poser quelque peu et à s'étayer aussi bien socialement que dans le soin, en venant buter à intervalle régulier tantôt au SAU, tantôt au comissariat, tantôt auprès des pompiers, tantôt en prison, tantôt auprès des psychiatres (SAU, CMP, expert), tantôt en psychiatrie (CHS).
Pour eux encore plus que pour les autres le soin se résume à un accompagnement de leurs troubles, de leurs demandes ambivalentes, de leurs fuites et "rechutes".
Une amélioration de la qualité de vie de ces personnes est possibles, mais l'accompagnement nécessaire à un tel étayage se compte souvent en années, voire en décennies.
De mon point de vue, le propre des psychopathes - et plus généralement des personnes ayant un trouble du comportement, tels que les états-limites - c'est qu'ils ne peuvent souscrire à un règlement.
Ils vont donc invariablement venir buter dans les limites imposées soit par le règlement intérieur, soit par le cadre thérapeutique. Ils se comportent comme une boule de flipper, incapable de rester en place et "se situant" en rebondissant sans cesse sur tout ce qui peut être limitant.
Pour répondre à la question, j'avancerai que le psychopathe relève des soins psychiatrique lorsqu'il le nécessite, de la prison lorsque nécessaire, des urgences en cas de troubles somatiques, des structures éducatives par intermittence (forcément) pour étayer le tout dans une direction globalement bénéfique.
C'est pourquoi il est impératif que l'admission en psychiatrie d'un psychopathe ne soit prononcée que par un psychiatre et en ne considérant que les troubles pouvant être soignés en psychiatrie, c'est à dire par exemple en n'admettant pas en psychiatrie un psychopathe dont le problème actuel est une détresse sociale (due à son comportement ?)
A cette réponse vient se manifester le concept de santé publique et le droit à être soigné pour tous. Pour autant je ne crois pas qu'une institution (de soin, éducative, sociale) doive se plier aux exigences de quelques individus. Bien au contraire c'est parce que un certain nombre d'individu ne trouvent pas réponse à leur troubles dans les structures déjà existantes (du fait des limites découlant de leurs missions), qu'il va être possible d'inventer ou d'ouvrir d'autres structures complémentaires et plus adaptées.
Sur le long terme on peut néanmoins observer que les psychopathes, etats-limites, etc ne s'étayent pas dans un ou plusieurs structures, mais bien ENTRE ces structures !
Je pense à un psychopathe de ma connaissance qui au fil du temps à réussit à se poser quelque peu et à s'étayer aussi bien socialement que dans le soin, en venant buter à intervalle régulier tantôt au SAU, tantôt au comissariat, tantôt auprès des pompiers, tantôt en prison, tantôt auprès des psychiatres (SAU, CMP, expert), tantôt en psychiatrie (CHS).
Pour eux encore plus que pour les autres le soin se résume à un accompagnement de leurs troubles, de leurs demandes ambivalentes, de leurs fuites et "rechutes".
Une amélioration de la qualité de vie de ces personnes est possibles, mais l'accompagnement nécessaire à un tel étayage se compte souvent en années, voire en décennies.
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Re: violence sur soignant en psychiatrie
alise merci beaucoup pour ces messages fort instructifs. je me suis sentie moins seul en lisant vos messages. effectivement, c'est un réel problème en psy. me concernant, j'ia été suivie durant un mois par la psy formé à ce genre de choses. j'ai repris le boulot après un mois et demi d'arrêt et j'ia changé de service. suis chez les pré-sortants donc stabilisé (théoriquement car on a quand même un peu de clash).
mes collègues d'admission m'ont dit (un peu ce qu'écrit alise) il veut sortir, ben tu lui ouvres la porte!! voilà
bon courage et merci de partager vos expériences.
mes collègues d'admission m'ont dit (un peu ce qu'écrit alise) il veut sortir, ben tu lui ouvres la porte!! voilà
bon courage et merci de partager vos expériences.

le travail n'as jamais tué personne.. alors ne soyez pas la première victime....
Ceux qui réussissent trouvent les moyens, ceux qui échouent trouvent des excuses....
Ceux qui réussissent trouvent les moyens, ceux qui échouent trouvent des excuses....
Re: Violence, agressivité en psy (agression, maltraitance....)
bonjour,
je viens juste de découvrir ce forum.
je travaille depuis 3 semaines dans un service psy de "long séjour". hier j'ai reçu un coup de poing d'un patient. je ne suis pas blessée mais j'aimerai connaitre les démarches à effectuer pour éviter que cela se reproduise car je crois que les coups reçu par le personnel ne doivent pas être ignorés ou banalisés. ce patient a déjà frappé et apparement il n'y a eu aucune conséquence. est-ce que je doit porter plainte? est-ce que je dois faire un rapport au médecin ? est-ce que faire une "fiche d'évènement indésirable" est suffisant ? si la violence peut être un mode de communication ou induite par la maladie, est-ce qu'on doit pour autant l'accepter ? les anciens de l'équipe me disent "t'en verra d'autres". moi je refuse de me faire tapper dessus sous pretexte que "c'est mon metier" mais quels moyens a-t-on ? je me sens un peu dans une impasse...
je viens juste de découvrir ce forum.
je travaille depuis 3 semaines dans un service psy de "long séjour". hier j'ai reçu un coup de poing d'un patient. je ne suis pas blessée mais j'aimerai connaitre les démarches à effectuer pour éviter que cela se reproduise car je crois que les coups reçu par le personnel ne doivent pas être ignorés ou banalisés. ce patient a déjà frappé et apparement il n'y a eu aucune conséquence. est-ce que je doit porter plainte? est-ce que je dois faire un rapport au médecin ? est-ce que faire une "fiche d'évènement indésirable" est suffisant ? si la violence peut être un mode de communication ou induite par la maladie, est-ce qu'on doit pour autant l'accepter ? les anciens de l'équipe me disent "t'en verra d'autres". moi je refuse de me faire tapper dessus sous pretexte que "c'est mon metier" mais quels moyens a-t-on ? je me sens un peu dans une impasse...
Re: Violence, agressivité en psy (agression, maltraitance....)
salut lili2, dans le désordre oui, t'en verras d'autres, non ce n'est pas une raison pour l'accepter. Je pense qu'il peut y avoir plusieurs niveaux à ta réflexion : 1/ chercher la cause de ce clash, est-ce que ce patient t'a agressé directement sans aucune raison "visible", est-ce qu'il y a eu un échange verbal entre vous auparavant etc. Tout ce travail de transfert et contre-transfert (à réfléchir avec tes collègues ou ta cadre) t'aidera à prendre du recul par rapport au fait brut, et à te redonner une assurance sur tes capacités. 2/ effectivement, on ne doit pas accepter de se faire frapper, une fiche d'évènement indésirable est obligatoire dans ces cas, ça permet à l'administration de prendre conscience de la difficulté du métier, il faut toujours laisser une trace écrite, même si ta cadre te dit que ça ne sert à rien
. Lors de clash de ce genre, il faut également le signaler au médecin de l'unité ou au MDG (peut-être est-ce un problème de traitement) et écrire dans les dossiers, parce que, si t'écris rien, demain c'est ta collègue qui se fera frapper et qui ne comprendra pas pourquoi. Quant à la plainte, elle ne me paraît pas nécessaire dans le cas que tu évoques. Si un jour tu dois le faire, rapproche-toi du syndicat le plus actif de ton hôpital, il devrait t'aider. Bonne chance pour la suite 


je soigne tout ce qui bouge ! Et parfois même ceux qui ne bougent pas...
Re: Violence, agressivité en psy (agression, maltraitance....)
merci pour ta réponse.
aujourd'hui la cadre me dit avec un grand sourire "tu fais la tête aujourd'hui?" et n'a pas pris le temps de me recevoir.
Le médecin chef (psychanaliste) hier a diminué le traitement du patient (en toute connaissance de son agressivité) puisqu'il s'appuie sur des études qui prouvent que les médicaments ne servent à rien.
Heureusement que les collègues sont là, même s'ils me disent que tant que le médecin lui-même ne se fait pas agressé...
aujourd'hui la cadre me dit avec un grand sourire "tu fais la tête aujourd'hui?" et n'a pas pris le temps de me recevoir.
Le médecin chef (psychanaliste) hier a diminué le traitement du patient (en toute connaissance de son agressivité) puisqu'il s'appuie sur des études qui prouvent que les médicaments ne servent à rien.
Heureusement que les collègues sont là, même s'ils me disent que tant que le médecin lui-même ne se fait pas agressé...
Re: Violence, agressivité en psy (agression, maltraitance....)
Balance un évènement indésirable et tu verras si elle ne prendra pas le temps de te recevoir
! Dans mon service, il y avait tellement de violence à un moment que nous avons décidé d'en faire un à chaque... évènement indésirable justement
; résultat : visite de l'Infirmier Général pour savoir ce qui se passait et ce ne sont pas les infirmiers qui en ont pris plein la tête... mais la cadre
qui n'avait pas pris la mesure de la gravité de la situation. Quant au médecin (
je sais, toutes mes condoléances...), essaye d'arriver avec le + d'arguments possibles, des trucs écrits et vérifiables, pas des "on m'a dit que..."
Chez moi, un jour, un ado (sans traitement sb per os ou injectable car trop jeune, 11ans, d'après la psy) a sauté sur le bureau pour lui en coller une, résultat la psy a préparé elle-même l'IM
!




Chez moi, un jour, un ado (sans traitement sb per os ou injectable car trop jeune, 11ans, d'après la psy) a sauté sur le bureau pour lui en coller une, résultat la psy a préparé elle-même l'IM


je soigne tout ce qui bouge ! Et parfois même ceux qui ne bougent pas...