Cent ans après, la communauté scientifique se penche aujourd'hui encore sur la grippe espagnole dont le bilan est estimé entre 50 et 100 millions de morts, soit environ 2 % de la population de la planète en 1918. Si un virus comparable à celui de 1918 touchait l'homme aujourd'hui, il faudrait entre cinq et six mois pour mettre au point un vaccin. Seule une identification au plus tôt du virus permettrait de diminuer le lourd bilan d'une nouvelle pandémie. Selon toute probabilité, le virus de la grippe espagnole a muté d'une souche qui touchait à l'origine des oiseaux aquatiques. Le virus se développait depuis des mois et touchait déjà toute la planète lorsqu'il a été reconnu à l'automne 1918 par les médecins qui commencèrent à parler d'une pandémie d'infections respiratoire chez l'homme sur tous les continents.
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