Actualités 2009

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lechatjaune
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Message par lechatjaune »

Affichage des prix des médicaments non remboursés :trop de pharmaciens ne respectent pas leurs obligations

Combien coûte un flacon de sirop contre la toux chez votre pharmacien ? Une boîte de cachets anti-douleur ? De plus en plus de médicaments dits « de confort » ne sont pas remboursables, qu’ils soient délivrés sur ordonnance ou non, et peuvent avoir un prix très différent d’une pharmacie à l’autre.

Il est donc particulièrement important pour les consommateurs d’avoir un accès facile aux prix de ces médicaments ; c’est malheureusement loin d’être toujours le cas comme le révèle l’enquête réalisée par la CLCV (Confédération de la Consommation, du Logement et du Cadre de Vie) dans près de 120 pharmacies à travers la France.

:fleche: Affichage des prix des médicaments exposés à la vue du public
:fleche: information par voie d’affichage en magasin sur le caractère libre du prix des médicaments non remboursables
:fleche: mise à disposition des clients d’un catalogue répertoriant le prix des médicaments non remboursables stockés hors de la vue du public
autant d’obligations légales qui sont loin d’être systématiquement respectées dans les officines.

Ainsi, 10% des pharmacies visitées n’affichent pas de prix sur les médicaments exposés à la vue du public, et 10% n’ont mis en place qu’un affichage partiel. L’affichette devant indiquer que le prix des médicaments non remboursables est libre est inexistante dans 46% des officines.

Quant au catalogue, un tiers des pharmacies n’en a tout simplement pas.
Les autres (67 %) l’ont bien mais ont tendance à le cacher : dans 20 % des cas, il faut en faire expressément la demande pour pouvoir le consulter. Encore faut-il que le consommateur sache qu’il existe et qu’il soit prêt à affronter l’attitude souvent réprobatrice de son pharmacien…

Loin de nous la volonté (comme des pharmaciens l’ont reproché à nos enquêteurs) de transformer les pharmacies en supermarchés.
Mais il est indispensable que les clients puissent accéder facilement à l’information tarifaire, comme c’est le cas dans tout secteur où les prix ne sont pas encadrés.

[Source : Communiqué de presse de la CLCV 24/08/09]
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lechatjaune
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Re: Actualités 2009

Message par lechatjaune »

20 ans de "bonheur" sous Prozac

C'est la "pilule du bonheur". La reine des antidépresseurs. Depuis son apparition en France, le 19 août 1989 (il y a 20 ans exactement), le Prozac calme les angoisses. Et suscite la polémique. Retour sur la carrière mouvementée d'un médicament star.

Origines

Fluoxétine. C'est son petit nom. Celui qu'il portait avant d'être sous le feu des projecteurs. Il provient d'une famille d'antidépresseurs qui bosse dans le stockage de sérotonine, cette substance qui fait défaut aux personnes dépressives.
C'est le laboratoire pharmaceutique Eli Lilly, qui, le premier, voit en lui de la graine de champion.
Et lui donne son nom de scène: Prozac.

Ascension

Très vite, son potentiel éblouit les Etats-Unis. Dès son apparition en 1987, les fans se comptent par milliers, puis ce sera par millions...
Sa force: faire disparaître les sentiments de tristesse et d'abattement.
Un bonheur pour les personnes atteintes de dépression, de troubles obsessionnels compulsifs ou encore de boulimie nerveuse.
Ses effets secondaires sont présentés comme mineurs... Une pilule le matin, pendant une période conseillée de six mois, et "BBB": "Bye, bye, blues".

Consécration

Le 19 août 1989, il débarque en France et connaît un franc succès.
Le Prozac, c'est la star incontournable de la scène du médicament.
En 2008, 888 259 boîtes de ce "bonheur sur ordonnance" ont été vendues, sous l'aspect de gélules ou de solutions buvables.
13,45 euros les 14 gélules, remboursées à 65% par la Sécurité sociale.

Polémique

Mais le temps du strass et des paillettes est éphémère. Survient la rançon de la gloire. Certains fans n'y trouvent plus leur compte.
Les effets non souhaités seraient trop nombreux: migraine, nervosité, insomnie, anxiété, nausée, diarrhée... Et même l'émergence de pulsions meurtrières ou suicidaires.

En décembre 2004, le British Medical Journal publie des documents officiels, qu'Eli Lilly aurait dissimulés, suggérant un lien entre la fluoxétine, le suicide et la psychose. Sans parler, dans certains cas, des problèmes de sevrage.

Pire: en 2008, une étude anglaise affirme que le Prozac n'aurait pas plus d'effet qu'un placebo!
Le Prozac devient un phénomène de mode controversé, qui serait parfois abusivement prescrit.

Avenir

Alors que le Prozac fête ses vingt ans d'existence en France, d'autres antidépresseurs tentent de lui voler la vedette en jouant sur la réduction des effets secondaires.
Tandis que psychiatres et psychothérapeutes rappellent que seul un suivi psy est capable de mettre un terme aux tendances dépressives...

[Source : L'express 19/08/09]
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lechatjaune
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Re: Actualités 2009

Message par lechatjaune »

Algues vertes : le risque pour l'homme est confirmé

Après l'incident survenu le mois dernier sur une plage des Côtes d'Armor, causant la mort d'un cheval et le malaise de son cavalier, les analyses révèlent des niveaux très élevés d'hydrogène sulfuré, un gaz létal. Fillon annonce la création d'une mission interministérielle.

Un humain meurt en une minute, s'il traverse une zone où stagne de l'hydrogène sulfuré à 1700 parties par million (ppm, également utilisées pour mesurer la pollution de l'air).
Une concentration très rare pour ce gaz.

Selon les informations recueillies par Le Figaro, elle serait pourtant presque atteinte sur la plage de Saint-Michel-en-Grève, là même où un cheval avait trouvé la mort de façon foudroyante le 28 juillet dernier, son cavalier étant lui sauvé de justesse.

Les experts de l'Institut national de l'environnement et des risques (Ineris) ont, à la demande de Chantal Jouanno, secrétaire d'État à l'Écologie, effectué des prélèvements d'air sur les amas d'algues vertes en décomposition sur les plages bretonnes.
«Ces résultats sont mauvais», résume-t-on au secrétariat à l'Écologie.

Dans les pires cas, la concentration avoisine les 1000 ppm selon les résultats dont Le Figaro a pris connaissance. A ce niveau, la mort est rapide et les méfaits sont de toute façon irréversibles. Car ce gaz s'attaque au système nerveux. Les victimes perdent conscience, montrent des symptômes de détresse respiratoire, souvent suivis d'un œdème. Cette exposition peut provoquer une amnésie, avec diminution des facultés intellectuelles.

Dans les usines ou les raffineries, la réglementation fixe le seuil maximum à 5 ppm en milieu confiné
Les 1000 ppm relevées à l'endroit où le cheval s'est écroulé sont exceptionnelles mais néanmoins inquiétantes.
Ce pic ne s'est présenté qu'au seul endroit de la plage où les algues n'avaient pas été ramassées, car le sol vaseux ne permet pas le passage des tractopelles.
Tandis que le sable mêlé aux algues agit comme une chape et accroît la concentration de gaz.

Ailleurs, des taux allant de zéro à 500 ont été mesurés, confortant les résultats du Centre de valorisation des algues (Ceva) qui avaient déjà effectué une enquête l'an passé. Ces niveaux restent élevés et peuvent provoquer des irritations des yeux et des voies respiratoires, ainsi que des maux de tête à répétition.

Jusqu'à présent, les pouvoirs publics se voulaient rassurants.
Les algues sont normalement ramassées fraîches, pour déblayer la plage et éviter l'odeur pestilentielle de la décomposition. Les dangers sont donc limités aux amas déjà putréfiés. D'autant que l'odorat est neutralisé par l'hydrogène sulfuré.

Le premier ministre, François Fillon, en visite ce vendredi à Saint-Michel-en-Grève, annonce également dans une interview à Ouest-France la mise en place «dans les jours qui viennent» d'une mission interministérielle sur la gestion du risque des algues vertes.
La mission «devra d'ici trois mois faire des propositions. Elle proposera si nécessaire de renforcer les actions pour réduire les pollutions azotées».
Il faudra attendre le printemps pour voir les premiers effets de ces nouvelles mesures contre la prolifération des algues vertes.
Un phénomène pour partie lié aux engrais de l'agriculture. Des centaines de personnes s'étaient réunies le 9 août dernier sur cette plage pour dénoncer l'agriculture intensive et les élevages de porcs.

[Source : Le figaro 20/08/09]
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pauline_78
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Pour le concours

Message par pauline_78 »

Bonjour, je voudrais savoir si quelqu'un connaissait un site où je pourrais avoir beaucoup de chose sur la loi Bachelot.
J'étais dans un foyer cette année je regardais pas la télé donc je suis un peu en retard sur l'actualité et comme je passe mon concours le 1er octobre...
Aidez moi si vous le pouvez ! Merci
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mag83
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Re: Pour le concours

Message par mag83 »

En allant sur le site du ministère de la santé tu devrais pouvoir trouver des infos. Sinon pour l'actu, il y a un post "actu 2009" sur le forum, tu peux aussi y jeter un oeil !
Bonne chance et bon courage pour le concours !
IDE
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lechatjaune
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Re: Actualités 2009

Message par lechatjaune »

Les nouveaux assistants médicaux électroniques

Parmi les nombreux dispositifs mis au point, un petit appareil de télémédecine destiné aux diabétiques insulinodépendants est en cours d'expérimentation en Ile-de-France.

Hypertension artérielle, asthme, bronchite chronique, diabète… En France, 15 millions de personnes souffrent d'une maladie chronique plus ou moins sévère. Un chiffre qui ne cesse de grimper du fait de l'allongement de la vie, tandis que chute celui des praticiens qui les prennent en charge.
Face à cette évolution, un nouvel acteur tend à s'immiscer dans les relations médecin-malade : les assistants de santé électroniques.

Ces outils qui font appel aux nouvelles technologies de communication, téléphonie mobile et Internet, ont plusieurs vocations. Certains permettent de surveiller l'état de santé d'un individu et d'avertir automatiquement un proche ou un professionnel de santé quand un problème est détecté.

D'autres aident à la gestion des traitements, sous le contrôle du médecin qui reçoit des données directement sur son ordinateur.

C'est le cas d'un dispositif de télémédecine nommé «Diabeo», destiné aux diabétiques de type 1 (insulinodépendants), développé sous l'égide de l'Alfediam (Association de langue française pour étude du diabète et des maladies métaboliques).

Le logiciel, inséré dans un téléphone portable de type PDA, calcule les doses d'insuline à injecter à la place du patient et fait office de carnet de surveillance électronique.
Toutes les données (dont la glycémie) sont envoyées au diabétologue par GSM, permettant un suivi médical à distance.

Lors d'essais préliminaires menés par son concepteur, le Dr Guillaume Charpentier (chef du service de diabétologie du Centre hospitalier sud-francilien, Corbeille-Essonnes) sur plusieurs dizaines de diabétiques, le système a été bien adopté par les patients, et il a permis d'améliorer le contrôle de leur glycémie.
Les résultats de la phase finale d'expérimentation, conduite pendant six mois dans dix-huit services hospitaliers français, sont attendus dans les semaines à venir.

En tout, 180 patients mal équilibrés par leur traitement ont été inclus dans cet essai, et répartis en trois groupes équipés ou non de cet assistant médical électronique.
L'évaluation portera principalement sur l'hémoglobine glyquée (HBA1C), un dosage sanguin qui reflète la glycémie moyenne des deux mois précédents.

Les diabétiques de type 1, soit 120 000 à 160 000 personnes en France, sont astreints à adapter en permanence leurs doses d'insuline en fonction de trois paramètres : la glycémie mesurée, la quantité de glucides (portion) prévue dans le repas et l'activité physique programmée dans les heures qui suivent.

Les protocoles les plus sophistiqués incluent une injection avant chaque repas avec une insuline d'action ultrarapide, et une injection d'insuline lente au coucher. Environ 15 000 diabétiques disposent d'un système de pompe à insuline dont ils règlent le débit.

«Nous apprenons à nos patients à devenir experts, à évaluer au premier coup d'œil leur ration de glucides, précise le Dr Guillaume Charpentier. Mais le calcul plusieurs fois par jour de la dose d'insuline et le remplissage du carnet de surveillance papier sont fastidieux.»

Avec le logiciel Diabeo (paramétré au départ par le diabétologue), la dose d'insuline à injecter est évaluée automatiquement en fonction de la glycémie et des indications sur le repas et l'activité inscrites par le patient.

De son côté, le diabétologue, qui a accès au dossier électronique, peut rectifier le tir si nécessaire et remplacer certains rendez-vous par des consultations à distance, par téléphone, beaucoup plus courtes.

Reste à convaincre les diabétiques, leurs médecins et les autorités sanitaires. Après la phase d'études cliniques, le Dr Charpentier est à la recherche d'un prestataire.

D'après ses calculs, le coût du système (hors appareil) se monterait à 280 euros par an et par diabétique.
Un montant que peu de malades pourront assumer seuls.

[Source : Le figaro 31/08/09]
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lechatjaune
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Re: Actualités 2009

Message par lechatjaune »

Quand l'électronique rend les malades plus autonomes

Le téléphone portable, Internet et des logiciels spécifiques sont de précieux auxiliaires dans le traitement et le suivi de nombreuses maladies chroniques.

Des SMS qui rappellent aux patients leurs horaires de prise de médicaments jusqu'aux projets plus sophistiqués de visite médicale virtuelle pour faciliter le maintien à domicile ; les services d'assistance santé électroniques ou e-santé sont en plein boom.
Déjà commercialisés ou encore en expérimentation, ils s'adressent surtout aux personnes atteintes de maladies chroniques ou en perte d'autonomie.

Accessible depuis plus de deux ans sur abonnement, le système e-rappel permet d'avertir un individu dont la mémoire flanche que c'est le moment de prendre son traitement ou de se rendre chez le médecin.
Les messages, programmés par l'entourage aux dates et horaires souhaités, sont reçus au choix par SMS, courriel ou téléphone.
Testé en milieu hospitalier, cet outil tout simple s'est montré efficace pour améliorer l'observance thérapeutique et le taux de présence aux consultations.

Un système de messagerie

Mais la société e-medicis, qui le commercialise, vise déjà plus loin. «Plusieurs projets sont en cours pour y associer des programmes d'éducation thérapeutique, sous forme de vidéos, d'images ou de textes, ainsi qu'un système de messagerie entre le malade et son médecin», précise Natasha Avila, fondatrice et directrice d'e-medicis.

À terme, selon elle, ces services concerneront surtout les maladies où l'observance thérapeutique est un enjeu critique comme le sida, le cancer, le diabète.
Tous les opérateurs de téléphonie mobile ont investi ce créneau.

Lancée à la mi-2007, Orange Healthcare, la division santé du groupe France Télécom, avait été la première à commercialiser un bracelet de géolocalisation pour les personnes désorientées (souvent atteintes d'une maladie d'Alzheimer).
Depuis, l'opérateur s'est lancé dans bien d'autres projets d'e-santé au service de pathologies chroniques.

Encore des freins culturels

Un contrat a ainsi été signé avec Sorin, un fabricant de pacemakers et de défibrillateurs implantables.
En principe, les patients équipés de ces implants (destinés à traiter des troubles du rythme cardiaque) doivent régulièrement consulter leur cardiologue pour s'assurer de leur bon fonctionnement.
La technologie d'Orange permettra un suivi à distance, les appareils envoyant automatiquement leurs données sur le terminal du médecin.

«Le réseau sera déployé en 2010» , assure Thierry Zylberberg, directeur de la division santé d'Orange. Un système de surveillance pour les insuffisants rénaux qui se dialysent à domicile est aussi en cours de tests. Deux exemples parmi d'autres.

«Mettre quelques capteurs sur un malade et transmettre des données par GSM n'est pas compliqué. Il n'y a pas d'obstacles techniques au développement de l'e-santé», affirme Thierry Zylberberg.
Pour l'heure, selon lui, les freins sont encore culturels et réglementaires. Mais la situation évolue.
«La télémédecine a été inscrite dans la loi HPST (hôpital, patients, santé et territoires, du 21 juillet 2009, NDLR) relève-t-il. L'Assurance-maladie et la direction des hôpitaux travaillent sur la codification des actes.»

[Source : Le figaro 31/08/09]
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Re: Actualités 2009

Message par lechatjaune »

Grippe A/H1N1 : 4 grands principes de l’OMS pour la prescription des antiviraux

Pour mémoire, oseltamivir = tamiflu™ et zanamivir = Relenza™

Les patients qui ont une maladie grave ou en progression, devront être traités par l'oseltamivir, y compris les jeunes enfants.

L’OMS vient de publier un rapport, à destination des cliniciens, sur la prise en charge médicamenteuse, par l'utilisation des antiviraux notamment, des patients atteints de grippe pandémique A/H1N1.
Sous réserve de nouvelles données, 4 grands principes de dispensation ou non, des antiviraux.

Ces recommandations sont basées sur un examen des données obtenues avec les souches circulant précédemment et sur le traitement des infections par le virus H5N1 de la grippe.
Mais l’OMS précise que dès l’obtention de nouvelles données ces recommandations pourront être révisées.

Si la souche H1N1 du virus est incontestablement dominante sur l’ensemble des souches grippales dans la plupart des régions du monde, le virus va donc poursuivre sa diffusion dans les communautés et sur les cibles les plus vulnérables.

Les études actuelles n’ont détecté aucun signe de forme plus virulente et plus mortelle du virus et la grande majorité des patients présentent des symptômes bénins.
Pourtant si le nombre des cas à complications reste faible, ces complications, plus sévères que dans le cas de la grippe saisonnière, peuvent nécessiter des soins intensifs, en particulier sur les groupes les plus vulnérables.

L’OMS s’attache donc à préciser le traitement des patients atteints, confirmés ou fortement suspects par infection au virus H1N1/2009, présentant un état clinique grave ou s’aggravant.
Ces recommandations sont énoncées dans le cas où les médicaments antiviraux contre la grippe sont disponibles :

:fleche: Les patients qui ont une maladie grave ou en progression devront être traités par l'oseltamivir. Le traitement doit être initié dès que possible.
L'utilisation de doses plus élevées et la prescription d’un traitement de plus longue durée peut être envisagés en fonction de la réponse clinique.

Cette recommandation s'applique à tous les groupes de patients, y compris les femmes enceintes et les jeunes enfants âgés de moins de 5 ans, y compris les nouveau-nés, précise l’OMS.

:fleche: Dans les situations où l'oseltamivir n'est pas disponible ou il n'est pas possible de l’utiliser (Cas exceptionnel de résistance du virus) les patients devront être traités avec le zanamivir.

:fleche: Les patients non compris dans les groupes à risque qui présentent une maladie sans complication ne doivent pas être traités avec des antiviraux.

:fleche: Les patients inclus dans les groupes à risque, contaminés par le virus de la grippe, doivent être traités avec l'oseltamivir ou zanamivir.
Le traitement doit être initié dès que possible après l'apparition de la maladie.

[Source : Santelog 01/09/09]
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Re: Actualités 2009

Message par lechatjaune »

Les adolescents manquent à leur devoir de vaccination

Dans l’optique d’améliorer la couverture vaccinale des adolescents, un groupe d’experts en vaccinologie, soutenu par le laboratoire Sanofi Pasteur, lance Adovac, un guide pratique à destination des médecins généralistes.

Septembre. La rentrée scolaire et le moment pour vérifier les vaccins des enfants. Mais ce sont surtout les adolescents qui devraient être suivis activement par leurs médecins.

En effet, selon une étude réalisée alternativement auprès de trois générations d’enfants des classes de grandes sections de maternelle, de CM2 et de la troisième, les couvertures vaccinales sont insuffisantes pour la coqueluche, la rougeole et l’hépatite B.

«Les adolescents ne sont plus systématiquement confrontés à un système de santé, comme la vaccination en milieu scolaire ou lors du service militaire, pouvant leur permettre de rattraper les vaccinations non à jour », explique pour France-Soir le Dr Georges Picherot, chef du service pédiatrie au CHU de Nantes.

Le suivi par les médecins


Afin d’assurer un suivi adéquat, un groupe d’experts en vaccinologie, soutenu par le laboratoire Sanofi Pasteur, a adressé, pour le moment, aux médecins généralistes Adovac, un guide composé de trois rubriques. « Il y a les rendez-vous vaccinaux, les rattrapages et une rubrique plus spécifique sur les vaccins à l’âge de l’adolescence, commente le Dr Georges Picherot. Il faut bien savoir qu’il est toujours possible de rattraper une injection car ce qui compte c’est le nombre de vaccins effectués».

Et comme les adolescents apparaissent aux yeux de leur parent comme plus robustes que les plus jeunes, le suivi médical ne se fait plus automatiquement.
«Les adolescents, à cet âge, rencontrent peu de médecins et surtout ces médecins sont peu habitués à la prescription de vaccins», poursuit Georges Picherot.
Et se sont donc les rappels qui font défaut dans le carnet de santé des adolescents.

Les ados sous-vaccinés

Et pour preuve, 57,4 % des jeunes de 15 ans ont reçu la cinquième dose de vaccin contre la coqueluche.
Pire, seulement 17 % ont été vaccinés conformément au calendrier, c’est-à-dire entre 11 et 13 ans.

En ce qui concerne la rougeole, une recrudescence du nombre de cas a été recensée depuis fin 2008.
Une enquête menée en 2004-2005 auprès de 6 144 élèves de CM2 a montré qu’une très grande majorité des enfants, 95,7 %, ont reçu la première dose, mais seulement 74 % a reçu la seconde. Une dose primordiale puisque seulement 5 à 10 % d’anticorps se forment lors de la première injection.
A l’instar de la rougeole, la coqueluche n’a pas disparu. Et la 5e injection n’est que rarement réalisée. En effet, seulement 57 % des jeunes de 18 ans sont protégés.

Par ailleurs, deux autres vaccins sont trop peu effectués.
En ce qui concerne le vaccin contre l’hépatite B, noirci par sa mauvaise image dans les années 90, son injection a nettement diminué en 2003. Pour pallier à ce problème de santé publique avec 1 300 décès par an, le Haut conseil de la santé publique a décidé d’étendre l’âge limite de la vaccination et préconise un schéma plus simple avec deux injections au lieu de trois.

Et le vaccin contre l’HPV, le papillomavirus humain, est encore trop mal connu. Si 83 % des jeunes filles de 18 à 23 ans ont conscience de l’existence de ce vaccin, seulement 27 % des jeunes filles savent à quel âge il faut le réaliser.

[Source : France-Soir 02/09/09]
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Re: Actualités 2009

Message par lechatjaune »

EllaOne®, le contraceptif d’urgence jusqu’à 5 jours après…au cas où

C’est au 8ème Congrès européen de la société de gynécologie à Rome, que le laboratoire HRA Pharma présente sa nouvelle création, EllaOne®.
Un nouveau contraceptif d’urgence qui offre une efficacité jusqu’à 5 jours après…
HRA Pharma était déjà "l'inventeur", il y a déjà 10 ans, de la fameuse pilule Norlevo.

EllaOne est un contraceptif d’urgence oral, ce qui signifie qu’il peut être utilisé pour éviter une grossesse après un rapport sexuel non protégé ou en cas d'échec du contraceptif habituel.
EllaOne peut être utilisée jusqu’à 120 heures (5 jours) après un rapport sexuel non protégé ou en cas d’échec d’une méthode contraceptive.

L’inventeur de Norlevo®, le laboratoire HRA Pharma récidive avec EllaOne®. Depuis fin mars 2009, HRA a obtenu pour EllaOne® un avis positif du Comité des spécialités pharmaceutiques à usage humain (CHMP) de l’Agence européenne du médicament (EMEA) en vue de sa commercialisation.
EllaOne® devrait donc être disponible, sur ordonnance, dans les pharmacies dès la fin du mois de septembre.

Posologie : Un seul comprimé dès que possible ou si la femme vomit dans les trois heures suivant sa prise un autre comprimé.
Ellaone peut être utilisé à n’importe quel moment du cycle menstruel. EllaOne® est disponible en comprimés blancs de 30 mg.

L’ulipristal acetate : Ce produit du laboratoire HRA Pharma a pour principe actif l’ulipristal acetate qui agit en modifiant l’activité de la progestérone, empêchant ainsi l’hormone d’exercer son effet.

EllaOne® empêche ainsi les grossesses en interférant avec l’ovulation.

Attention : Ellaone n’est pas efficace dans tous les cas: sur 100 femmes recevant EllaOne® moins de 5 jours après un rapport sexuel non protégé, environ 2 seront enceintes.

Selon les études menées sur des populations de femmes ayant souhaité une contraception d’urgence, seule ou en comparaison avec le lévonorgestrel, un autre contraceptif d’urgence, EllaOne® a permis d’éviter 60% des grossesses attendues.

Quelques effets indésirables comme des douleurs abdominales, des troubles de la menstruation ont été constatés (Voir RCP = Résumé des caractéristiques du produit).

La procédure permettant le remboursement d’EllaOne® par la Sécurité sociale est en cours mais le prix de la nouvelle pilule devrait être supérieur à celui du Norlevo ( environ 8 euros).

[Source : Santélog 04/09/09]
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Re: Actualités 2009

Message par lechatjaune »

Hitler et Staline "engagés" dans la lutte contre le sida

C'est bien malgré eux que Saddam Hussein, Staline et Hitler se retrouvent engagés dans une campagne de prévention contre le sida. L'idée qui est loin de faire l'unanimité est signée d'une agence de publicité allemande qui voulait visiblement marquer les esprits en prévision de la Journée mondiale du sida qui se déroulera le 1er décembre 2009. Et pour marquer les esprits le moins que l'on puisse dire c'est que le pari est plutôt réussi.

Cette campagne met en scène Saddam Hussein, Staline et Adolf Hitler dans 3 affiches dont le slogan est lourd de sens "Aids is a mass murderer" (ndrl : "Le sida est un tueur en série), pensez à vous protéger.
Le but premier n'est pas de choquer mais bien de sensibiliser au port du préservatif.

Cette campagne réalisée par l'agence de publicité Regenbogen e.V. est composée de 3 affiches mais aussi d'un clip mettant en scène un homme et une femme en train de faire l'amour mais dont on ne voit pas les visages.

Images chocs et particulièrement osées jusqu'au clap de fin... On découvre alors le visage de l'homme qui n'est autre qu'Adolf Hitler qui conclut par un petit sourire en coin qui fait froid dans le dos. Un clip filmé comme une sextape et qui a déjà fait couler beaucoup d'encre.

Etait-il vraiment nécessaire, dans le cadre d'une campagne de prévention pour le sida, d'utiliser l'image de dictateurs qui ont fait des millions de victimes ? Pas sûr que le message soit compris. Personnellement nous ne le comprenons pas.

[Source : Santé-actu 05/09/09]
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Re: Actualités 2009

Message par lechatjaune »

Paris : prouesse chirurgicale sur un prématuré

Un bébé de 31 semaines a été opéré d'une tumeur bénigne à l'Hôpital Robert Debré (Paris, 19ème). L'opération a duré 2 h 30 et mobilisé 25 personnes.

Une tumeur d'1,5 kilos pour un bébé de 1,7 kilos

«Cette petite fille de 31 semaines souffrait d'une tumeur bénigne, mais aussi grosse qu'elle.
Son coeur, à peine plus grand qu'une fraise, devait vasculariser cette énorme tumeur en plus du cerveau et des organes vitaux» explique le jeune chirurgien de 41 ans, Arnaud Bonnard. Mais grâce à l'imagerie prénatale, l'anomalie a été repérée à 22 semaines.

Une réussite obtenue grâce à la coordination de plusieurs services.

«C'est vraiment un très bel exemple de coopération, grâce auquel on a pu donner toutes ses chances à ce bébé», souligne le Dr Bonnard.

«Le bébé est né le 25 août par césarienne au bloc opératoire, où l'attendaient deux équipes d'anesthésistes, les réanimateurs et les néonatologues pour stabiliser sa respiration. On a ensuite pu enlever cette masse, qui se développait à partir du coccyx et pendait au niveau des fesses» précise le chirurgien, ému.

Si elle n'est pas une première, cette opération n'est pas envisageable dans un hôpital régional, car elle nécessite de gros moyens et des services très spécialisés. L'établissement Robert Debré demeure le plus grand hôpital pédiatrique universitaire de France et fête ses vingt ans cette année.

La tumeur qui a été enlevée était un tératome, un amas de tissu «normal», qui en fait «une tumeur a priori bénigne».
Elle peut néanmoins entraîner le décès du bébé in utero ou à la naissance, en cas d'insuffisance cardiaque. Le taux de mortalité sur ces grosses tumeurs est estimé à 60%, conclut le chirurgien.
Leur fréquence est assez rare, de l'ordre de 20 cas par an en France.

[Source : Le Parisien 04/09/09]
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lechatjaune
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Message par lechatjaune »

Personnes âgées:taux de suicide record

Les personnes âgées se suicident en moyenne beaucoup plus que le reste de la population, surtout après 85 ans, chez elles ou en maison de retraite, souvent en raison de dépressions non diagnostiquées, dans une indifférence générale que déplorent les professionnels.

En France, comme "dans plusieurs pays, les taux de suicide les plus élevés se retrouvent chez les aînés, spécialement chez ceux qui ont 85 ans et plus", constate l’Association internationale pour la prévention du suicide (AIPS), qui parraine la Journée mondiale de prévention du suicide le 10 septembre.

Ainsi, quand le taux est de 17,1 suicides pour 100 000 habitants dans la population générale, il est de 32 pour les 75-84 ans, de 44 pour les 85-94 ans et de 38,8 chez les plus de 95 ans, selon les chiffres de l'Institut national de recherche médicale (Inserm).

Les hommes de plus de 95 ans se suicident même dix fois plus que le reste de la population.
Depuis 30 ans, la France compte environ 3 000 suicides chez les plus de 65 ans, sur les 10 000 environ répertoriés chaque année.

Se sentant "rejetés par une société très méprisante envers les gens qui ne sont plus actifs", souvent isolés et voyant leur état physique décliner, beaucoup de patients âgés ne voient pas d'autre issue, explique le Dr Sophie Moulias, gériatre à l'hôpital Ambroise-Paré de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine).

Plus les personnes avancent en âge, plus elles choisissent des méthodes radicales (pendaison, coup de fusil ou défenestration), "ce sont moins des tentatives que des suicides" réussis, explique aussi Sophie Moulias.

[Source : AFP 06/09/09]
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Message par larafy »

JOURNEE MONDIALE DE L’ALZHEIMER : 21 septembre, pour un diagnostic précoce


La journée mondiale de l’Alzheimer est une journée de mobilisation internationale organisée le 21 septembre, cette année sur le thème du diagnostic précoce de la démence. De nombreuses pistes sont aujourd’hui suivies pour améliorer le délai du diagnostic qui intervient souvent plusieurs années après le début du développement de la maladie.

Les différentes associations participants à l’organisation de cette journée, partout dans le monde vont mettre l'accent sur l'importance d'obtenir un diagnostic le plus tôt possible et d'encourager les médecins à reconnaître au plus tôt les signes de la maladie pour une prise en charge précoce de la maladie.

De nombreux scientifiques travaillent au diagnostic précoce de la maladie.

Par exemple, une récente étude publiée dans le numéro de Juin du Journal of Alzheimer’s Disease démontre que la biospectroscopie à infra rouge effectuée sur des échantillons de sang peut permettre d’identifier les changements dans le stress oxydatif et permettre un dépistage précoce de la maladie. L’IRM devient aussi l’outil du dépistage : Une équipe de l’Inserm et du CHU de Toulouse ont également publié (Revue Brain) sur l’utilisation de l’IRM comme outil de dépistage précoce, 2 ans avant le diagnostic clinique.

Quatre laboratoires pharmaceutiques internationaux se sont impliqués dans la création et le développement de la Fondation de coopération scientifique sur la maladie d'Alzheimer et maladies apparentées. Trois laboratoires français : Sanofi-Aventis, IPSEN et Servier, et un américain Merck Sharp & Dohme-Chibret (MSD) ont ainsi fait connaître leur engagement de membres fondateurs de cette Fondation.

Alzheimer’s disease association (ADI), qui fédère cette journée mondiale, soutenue par l’ensemble des associations membres à travers le monde, a lancé un nouveau Fonds mondial pour la maladie d'Alzheimer dont l’objectif est d’améliorer la vie des personnes malades et de leurs aidants.

1 milliard d'habitants de notre planète atteints par des troubles neurologiques dont 24 millions par la maladie d'Alzheimer et d'autres démences apparentées. Ce sont les chiffres du dernier rapport de l’OMS, publié en février 2009 qui ne feront que croître avec le vieillissement de la population mondiale. Rita Levi-Montalcini, lauréate du prix Nobel de médecine, fait remarquer ainsi que « la charge des troubles neurologiques prend des proportions importantes dans les pays où le pourcentage de la population âgée de plus de 65 ans augmente ».

En France, depuis 1994, date de la première édition, France Alzheimer (affiche ci-contre) et les associations départementales réunissent leurs efforts pour sensibiliser et informer sur la maladie.

L’OMS préconise aujourd’hui l'intégration des soins neurologiques et de la prise en charge de l’ « Alzheimer » dans les soins de santé primaires.
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lechatjaune
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Re: Actualités 2009

Message par lechatjaune »

Arrêt cardiaque : où en sont les connaissances des français aujourd’hui ?

Le 9 septembre la Fédération Française de Cardiologie(FFC) et la Croix-Rouge française publient une étude, réalisée par TNS Healthcare, mesurant l’état des connaissances des français sur les gestes à adopter face à un arrêt cardiaque.

Bonne nouvelle ! 40 % des français savent qu’il faut masser le cœur (Contre seulement 30 % en 2007).
En revanche, l’étude montre que beaucoup de chemin reste encore à parcourir pour que ces connaissances se traduisent en comportement efficace pour sauver des vies.

En effet, si 9 français sur 10 savent ce qu’est un défibrillateur, plus d’1 français sur 3 ne se sent pas prêt à l’utiliser.
Parmi cette population, 88 % d’entre eux l’expliquent par le manque de formation.

Pour la deuxième année consécutive, la Fédération Française de Cardiologie et la Croix-Rouge française s’unissent pour informer et former gratuitement les français sur tout le territoire aux gestes qui sauvent et à l’usage du défibrillateur.

Cette opération débutera le 12 septembre, date de la Journée Mondiale des Premiers Secours, jusqu’au 27 septembre 2009, fin de la Semaine du Cœur.

Pour le lancement de cette journée, une conférence de presse se tiendra à Limoux le samedi 12 septembre à 11 heures en présence d’Adriana Karembeu, la Croix-Rouge française et la Fédération Française de Cardiologie.

Une centaine de villes françaises participent à la Journée mondiale des premiers secours. Des animations, des initiations aux gestes de premiers secours, seront organisées partout en France par les bénévoles de la Croix-Rouge française.

Une Journée Mondiale des Premiers Secours (JMPS) axée sur l’arrêt cardiaque

Cette année, la JMPS et l’étude réalisée avec la FFC sont l’occasion de sensibiliser différents publics à la défibrillation comme les entreprises et collectivités, prescripteurs de la prévention des gestes qui sauvent.

Même si les résultats de l’étude sont plutôt encourageants, la France reste malheureusement encore en retard par rapport à d’autres pays comme la Norvège, la Finlande ou encore les Etats-Unis.

Il est donc capital de profiter de cette journée et de cette semaine du cœur, pour informer, sensibiliser et faire prendre conscience au grand public de la simplicité des gestes qui sauvent et de l’importance de se former au défibrillateur automatisé externe (DAE).

[Source : Croix-rouge.fr 09/09/09]
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