Actualités 2009
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Re: Actualités 2009
Juste pour réagir à la polémique sur le SIDA...
Je suis complètement sidéré par la position du Pape, qui commence à enchaîner les bourdes (pour ne pas être méchant) depuis quelques temps. Le plus malheureux, c'est que cet homme est un symbole, une institution pour beaucoup... de fait, il est susceptible d'influencer bon nombre de croyants :/
Quant au guignol du gouvernement, j'ose à peine relever sa remarque, tellement ça me choque de voir ça...
Enfin bon, la vie continue...
Je suis complètement sidéré par la position du Pape, qui commence à enchaîner les bourdes (pour ne pas être méchant) depuis quelques temps. Le plus malheureux, c'est que cet homme est un symbole, une institution pour beaucoup... de fait, il est susceptible d'influencer bon nombre de croyants :/
Quant au guignol du gouvernement, j'ose à peine relever sa remarque, tellement ça me choque de voir ça...
Enfin bon, la vie continue...
IFSI Lyon Rockefeller Promo 2009/2012
Re: Actualités 2009
Oui, sans parler de l'excommunication de l'équipe médicale au Brésil pour avoir procédé à un avortement sur une enfant de 9 ans enceinte de jumeaux suite à un viol !!!
Moi je sens bien un sujet sur tout ça .......
Moi je sens bien un sujet sur tout ça .......
Dernière modification par mag83 le 20 mars 2009 13:40, modifié 1 fois.
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Re: Actualités 2009
SIDA - La ministre du Logement a nuancé ses propos polémiques...
«Oui, le préservatif est nécessaire». C’est Christine Boutin qui le dit, jeudi sur l'antenne de RTL. La ministre du Logement a tenu à nuancer ses propos de mercredi, peu appréciés… Après la prise de position du pape sur le préservatif, la ministre du Logement avait déclaré: «Je pense que ce n'est pas drôle de mettre le préservatif quand on fait l'amour».
Changement de ton, jeudi sur RTL. «Il faut combattre le sida par tous les moyens», a-t-elle martelé, revenant ainsi sur ce qu’elle avait dit mercredi, affirmant que «la lutte contre le sida, c'est bien plus la recherche médicale et pharmaceutique».
Christine Boutin donne donc sa bénédiction au préservatif, mais elle prévient: «réduire l'acte d'amour, le sens de l'acte d'amour, de l'acte sexuel au seul usage du préservatif, ça ne suffit pas». Et comme la religion catholique, c'est «la religion de l'amour et la religion du pardon», nul doute que cette fois, Nicolas Sarkozy lui accordera l'absolution.
«Oui, le préservatif est nécessaire». C’est Christine Boutin qui le dit, jeudi sur l'antenne de RTL. La ministre du Logement a tenu à nuancer ses propos de mercredi, peu appréciés… Après la prise de position du pape sur le préservatif, la ministre du Logement avait déclaré: «Je pense que ce n'est pas drôle de mettre le préservatif quand on fait l'amour».
Changement de ton, jeudi sur RTL. «Il faut combattre le sida par tous les moyens», a-t-elle martelé, revenant ainsi sur ce qu’elle avait dit mercredi, affirmant que «la lutte contre le sida, c'est bien plus la recherche médicale et pharmaceutique».
Christine Boutin donne donc sa bénédiction au préservatif, mais elle prévient: «réduire l'acte d'amour, le sens de l'acte d'amour, de l'acte sexuel au seul usage du préservatif, ça ne suffit pas». Et comme la religion catholique, c'est «la religion de l'amour et la religion du pardon», nul doute que cette fois, Nicolas Sarkozy lui accordera l'absolution.
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Re: Actualités 2009
Sidaction sur fond de polémique
Lancement de la 15e édition ce vendredi pour appeler aux dons...
Au moins le pape a le sens de l'actualité. C'est à partir de ce vendredi et jusqu'à dimanche, que doit avoir lieu à la télévision et à la radio l'édition 2009 du Sidaction, destinée à récolter des fonds pour lutter contre le sida. Cette 15e édition intervient alors que le pape Benoît XVI, en route pour l'Afrique, a déclaré que «l'on ne peut pas régler le problème du sida avec la distribution de préservatifs» mais qu'«au contraire, leur utilisation aggrave le problème».
Pour le directeur général adjoint du Sidaction, Eric Fleutelot, il est difficile de mesurer l'impact de ces propos sur la mobilisation de ce week-end, encore moins sur les dons. «Une chose est sûre, on va avoir du mal à parler d'autre chose que du débat autour du préservatif et de la religion, alors qu'on a envie d'aborder aussi la recherche scientifique, l'accès aux soins, les nouveaux traitements, y compris en Afrique!» L'objectif de cette grande manifestation est de réunir un maximum de dons. «C'est comme une piqûre de rappel, qui nous permet de récolter environ un tiers de nos ressources annuelles», précise Eric Fleutelot, soit 18 millions d'euros l'an dernier au total. Onze chaînes de télévisions (TF1, l'ensemble des chaînes de France Télévisions, RFO, Canal+, Arte, M6, W9 et LCI) et les radios Europe 1, France Inter, France Info, France Bleu et RTL vont multiplier les programmes pour sensibiliser leurs auditeurs, notamment via des reportages. Les principaux animateurs vedettes de l'audiovisuel français ont enregistré un message de sensibilisation et de mobilisation sur le thème: «Ensemble, poursuivons le combat; contre le sida, tous les dons comptent.»
Lancement de la 15e édition ce vendredi pour appeler aux dons...
Au moins le pape a le sens de l'actualité. C'est à partir de ce vendredi et jusqu'à dimanche, que doit avoir lieu à la télévision et à la radio l'édition 2009 du Sidaction, destinée à récolter des fonds pour lutter contre le sida. Cette 15e édition intervient alors que le pape Benoît XVI, en route pour l'Afrique, a déclaré que «l'on ne peut pas régler le problème du sida avec la distribution de préservatifs» mais qu'«au contraire, leur utilisation aggrave le problème».
Pour le directeur général adjoint du Sidaction, Eric Fleutelot, il est difficile de mesurer l'impact de ces propos sur la mobilisation de ce week-end, encore moins sur les dons. «Une chose est sûre, on va avoir du mal à parler d'autre chose que du débat autour du préservatif et de la religion, alors qu'on a envie d'aborder aussi la recherche scientifique, l'accès aux soins, les nouveaux traitements, y compris en Afrique!» L'objectif de cette grande manifestation est de réunir un maximum de dons. «C'est comme une piqûre de rappel, qui nous permet de récolter environ un tiers de nos ressources annuelles», précise Eric Fleutelot, soit 18 millions d'euros l'an dernier au total. Onze chaînes de télévisions (TF1, l'ensemble des chaînes de France Télévisions, RFO, Canal+, Arte, M6, W9 et LCI) et les radios Europe 1, France Inter, France Info, France Bleu et RTL vont multiplier les programmes pour sensibiliser leurs auditeurs, notamment via des reportages. Les principaux animateurs vedettes de l'audiovisuel français ont enregistré un message de sensibilisation et de mobilisation sur le thème: «Ensemble, poursuivons le combat; contre le sida, tous les dons comptent.»
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Re: Actualités 2009
Le proviseur agressé à Garges-lès-Gonesse sera reçu par Nicolas Sarkozy
Nicolas Sarkozy recevra ce vendredi à 17h30 le principal du collège Pablo-Picasso de Garges-lès-Gonesse (Val-d'Oise), blessé après avoir été roué de coups jeudi en s'opposant à l'intrusion d'une dizaine de jeunes dans son établissement, a annoncé l'Elysée.
Patrick Cassou, qui a porté plainte après avoir été brièvement hospitalisé, sera reçu en compagnie d'une «délégation» de l'établissement, a précisé la présidence de la République dans un communiqué. Le principal a été blessé à la main et à l'épaule
Huit mineurs présentés au juge
Huit mineurs ont été placés en garde à vue après cet incident et seront présentés au juge en début d'après-midi, a annoncé ce vendredi le parquet de Pontoise.
«Sept d'entre eux ont moins de seize ans, l'un est âgé de dix-sept ans. Tous sont scolarisés dans cet établissement», a précisé à l'AFP la procureur de la république de Pontoise, Marie-Thérèse de Givry.
Vendredi matin, au début des cours, le proviseur adjoint se tenait à l'entrée, comme tous les matins, tandis que des policiers étaient postés devant la grille. L'ambiance, très animée au début de la matinée, est vite redevenue calme.
Un événement «exceptionnel»
Thierry Pepinot, directeur de cabinet de la mairie de Garges-lès-Gonesse, a dit que «la sécurité sera renforcée» aux abords du collège. Deux membres de la FCPE ont parlé d'un événement «exceptionnel».
Mercredi, le chef de l'Etat avait annoncé une série de mesures répressives pour combattre le phénomène des bandes violentes, parmi lesquelles la création d'un délit d'intrusion dans un établissement scolaire.
Nicolas Sarkozy recevra ce vendredi à 17h30 le principal du collège Pablo-Picasso de Garges-lès-Gonesse (Val-d'Oise), blessé après avoir été roué de coups jeudi en s'opposant à l'intrusion d'une dizaine de jeunes dans son établissement, a annoncé l'Elysée.
Patrick Cassou, qui a porté plainte après avoir été brièvement hospitalisé, sera reçu en compagnie d'une «délégation» de l'établissement, a précisé la présidence de la République dans un communiqué. Le principal a été blessé à la main et à l'épaule
Huit mineurs présentés au juge
Huit mineurs ont été placés en garde à vue après cet incident et seront présentés au juge en début d'après-midi, a annoncé ce vendredi le parquet de Pontoise.
«Sept d'entre eux ont moins de seize ans, l'un est âgé de dix-sept ans. Tous sont scolarisés dans cet établissement», a précisé à l'AFP la procureur de la république de Pontoise, Marie-Thérèse de Givry.
Vendredi matin, au début des cours, le proviseur adjoint se tenait à l'entrée, comme tous les matins, tandis que des policiers étaient postés devant la grille. L'ambiance, très animée au début de la matinée, est vite redevenue calme.
Un événement «exceptionnel»
Thierry Pepinot, directeur de cabinet de la mairie de Garges-lès-Gonesse, a dit que «la sécurité sera renforcée» aux abords du collège. Deux membres de la FCPE ont parlé d'un événement «exceptionnel».
Mercredi, le chef de l'Etat avait annoncé une série de mesures répressives pour combattre le phénomène des bandes violentes, parmi lesquelles la création d'un délit d'intrusion dans un établissement scolaire.
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Re: Actualités 2009
Un infirmier de l'hôpital Bichat soupçonné de viols sur une patiente
Depuis jeudi dernier, Ibrahim Tariket, 49 ans, infirmier à l’hôpital Bichat et par ailleurs conseiller municipal socialiste délégué au personnel communal de Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine) est écroué à la prison de la Santé à Paris. Comme le révèle ce mercredi Le Parisien/Aujourd'hui en France, ce soignant a été mis en examen pour « viols sur personne vulnérable » par un juge parisien après la plainte déposée par une jeune malade qui affirme avoir été agressée à trois reprises dans le service de cardiologie où elle avait été hospitalisée en urgence à la fin du mois de février.
C’est le 4 mars qu’une employée de l’hôpital Bichat recueille le témoignage de la jeune femme, âgée de 21 ans. Transférée en urgence la semaine précédente de Tahiti dont elle est originaire, la patiente, enceinte de huit mois, devait être opérée pour une pathologie cardiaque lourde. Ce mercredi 4 mars, elle déclare qu’elle ne veut plus être seule en chambre et qu’elle ne souhaite plus que des infirmiers masculins s’occupent d’elle. Puis son discours se fait plus précis. En fait, elle finit par dénoncer trois viols qu’elle aurait subis dans sa chambre, d’abord dans la nuit du 28 février au 1 e r mars, puis la nuit suivante, où elle dit avoir été agressée à deux reprises. Elle désigne même l’infirmier de nuit responsable de ces actes.
Placé en garde à vue
L’enquête est confiée à la 2 e DPJ, qui recueille la déposition de la jeune victime, très choquée et fragile : « Son état de santé et l’éloignement géographique par rapport à ses proches peuvent expliquer son trouble pour dénoncer les faits », détaille une source proche du dossier. Mercredi dernier, les enquêteurs interpellent et placent en garde à vue Ibrahim Tariquet, qui reste aujourd’hui présumé innocent. A la mairie, il est déclaré « indisponible dans le cadre d’une enquête judiciaire », puis il fait l’objet d’un retrait de délégation par le maire avant-hier.
Les personnes de son entourage politique se montraient hier étonnées : « C’est un homme très souriant, dynamique, jovial, toujours prêt à faire la fête. Il arrivait à concilier son engagement politique et sa vie professionnelle », confie Serge Setterahamane, adjoint au maire PRG, consterné par cette affaire. « Il est plutôt agréable, affable, poli et enjoué. Rien ne laissait imaginer qu’il soit un jour déféré pour ce genre de situation », commente Patrice Pinard, patron de l’UMP locale. Ibrahim Tariket était très apprécié à la mairie. Il avait même été envisagé de lui confier un poste d’adjoint au maire.
Depuis jeudi dernier, Ibrahim Tariket, 49 ans, infirmier à l’hôpital Bichat et par ailleurs conseiller municipal socialiste délégué au personnel communal de Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine) est écroué à la prison de la Santé à Paris. Comme le révèle ce mercredi Le Parisien/Aujourd'hui en France, ce soignant a été mis en examen pour « viols sur personne vulnérable » par un juge parisien après la plainte déposée par une jeune malade qui affirme avoir été agressée à trois reprises dans le service de cardiologie où elle avait été hospitalisée en urgence à la fin du mois de février.
C’est le 4 mars qu’une employée de l’hôpital Bichat recueille le témoignage de la jeune femme, âgée de 21 ans. Transférée en urgence la semaine précédente de Tahiti dont elle est originaire, la patiente, enceinte de huit mois, devait être opérée pour une pathologie cardiaque lourde. Ce mercredi 4 mars, elle déclare qu’elle ne veut plus être seule en chambre et qu’elle ne souhaite plus que des infirmiers masculins s’occupent d’elle. Puis son discours se fait plus précis. En fait, elle finit par dénoncer trois viols qu’elle aurait subis dans sa chambre, d’abord dans la nuit du 28 février au 1 e r mars, puis la nuit suivante, où elle dit avoir été agressée à deux reprises. Elle désigne même l’infirmier de nuit responsable de ces actes.
Placé en garde à vue
L’enquête est confiée à la 2 e DPJ, qui recueille la déposition de la jeune victime, très choquée et fragile : « Son état de santé et l’éloignement géographique par rapport à ses proches peuvent expliquer son trouble pour dénoncer les faits », détaille une source proche du dossier. Mercredi dernier, les enquêteurs interpellent et placent en garde à vue Ibrahim Tariquet, qui reste aujourd’hui présumé innocent. A la mairie, il est déclaré « indisponible dans le cadre d’une enquête judiciaire », puis il fait l’objet d’un retrait de délégation par le maire avant-hier.
Les personnes de son entourage politique se montraient hier étonnées : « C’est un homme très souriant, dynamique, jovial, toujours prêt à faire la fête. Il arrivait à concilier son engagement politique et sa vie professionnelle », confie Serge Setterahamane, adjoint au maire PRG, consterné par cette affaire. « Il est plutôt agréable, affable, poli et enjoué. Rien ne laissait imaginer qu’il soit un jour déféré pour ce genre de situation », commente Patrice Pinard, patron de l’UMP locale. Ibrahim Tariket était très apprécié à la mairie. Il avait même été envisagé de lui confier un poste d’adjoint au maire.
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Re: Actualités 2009
Quatorze cas de cancers à l'université Rennes 1
Un bâtiment de la faculté de Rennes 1 a été fermé par mesure de précaution après la détection de 14 cas de cancers
Ils ont été décelés au cours des sept dernières années parmi le personnel féminin ayant travaillé ou fréquenté "les unités de recherche du bâtiment 13 du campus de Beaulieu", a indiqué à l'AFP un porte-parole du président de Rennes 1, Guy Cathelineau.
Le bâtiment en cause hébergeait l'unité CNRS 6026 de biologie cellulaire et moléculaire.
"Face à l'annonce du dernier cas en mars 2009, le président de Rennes 1 a pris avec le CNRS et en accord avec l'Inserm la décision d'un arrêt temporaire des activités dans le bâtiment afin de permettre un diagnostic complet, et si nécessaire des mises en conformité permettant au personnel de retravailler dans des conditions de sécurité optimales", selon la même source.
Les équipes seront pendant cette période hébergées dans d'autres locaux de l'université. Le bâtiment 13 "abrite également l'unité Inserm Rennes 1 du groupe d'étude de la reproduction chez l'homme et les mammifères, ainsi que les personnels administratifs de l'UFR sciences de la vie et de l'environnement", a précisé le porte-parole.
L'alerte a été donnée en mars 2008 aux organismes de tutelle (ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, CNRS, Inserm) et à l'Institut national de veille sanitaire (InVS).
"Des actions ont été entreprises immédiatement sur le plan médical et sur le plan des produits et pratiques, ainsi que sur le plan immobilier: le bâtiment a fait l'objet d'une série de travaux de réhabilitation entre 2002 et 2007", selon Guy Cathelineau.
D'après les informations communiquées par l'InVS en février 2009, "il n'est pas possible à ce jour d'établir des relations entre un ou des agents utilisés et les cancers observés" qui touchent "uniquement des femmes: cancers du sein ou lymphomes", a précisé la même porte-parole. "Tous les prélèvements réalisés par le bureau de certification Véritas sont en-dessous des normes admises", selon lui.
Le personnel concerné, soit 200 personnes, a "constamment été informé des actions entreprises", a affirmé Guy Cathelineau.
Un bâtiment de la faculté de Rennes 1 a été fermé par mesure de précaution après la détection de 14 cas de cancers
Ils ont été décelés au cours des sept dernières années parmi le personnel féminin ayant travaillé ou fréquenté "les unités de recherche du bâtiment 13 du campus de Beaulieu", a indiqué à l'AFP un porte-parole du président de Rennes 1, Guy Cathelineau.
Le bâtiment en cause hébergeait l'unité CNRS 6026 de biologie cellulaire et moléculaire.
"Face à l'annonce du dernier cas en mars 2009, le président de Rennes 1 a pris avec le CNRS et en accord avec l'Inserm la décision d'un arrêt temporaire des activités dans le bâtiment afin de permettre un diagnostic complet, et si nécessaire des mises en conformité permettant au personnel de retravailler dans des conditions de sécurité optimales", selon la même source.
Les équipes seront pendant cette période hébergées dans d'autres locaux de l'université. Le bâtiment 13 "abrite également l'unité Inserm Rennes 1 du groupe d'étude de la reproduction chez l'homme et les mammifères, ainsi que les personnels administratifs de l'UFR sciences de la vie et de l'environnement", a précisé le porte-parole.
L'alerte a été donnée en mars 2008 aux organismes de tutelle (ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, CNRS, Inserm) et à l'Institut national de veille sanitaire (InVS).
"Des actions ont été entreprises immédiatement sur le plan médical et sur le plan des produits et pratiques, ainsi que sur le plan immobilier: le bâtiment a fait l'objet d'une série de travaux de réhabilitation entre 2002 et 2007", selon Guy Cathelineau.
D'après les informations communiquées par l'InVS en février 2009, "il n'est pas possible à ce jour d'établir des relations entre un ou des agents utilisés et les cancers observés" qui touchent "uniquement des femmes: cancers du sein ou lymphomes", a précisé la même porte-parole. "Tous les prélèvements réalisés par le bureau de certification Véritas sont en-dessous des normes admises", selon lui.
Le personnel concerné, soit 200 personnes, a "constamment été informé des actions entreprises", a affirmé Guy Cathelineau.
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Re: Actualités 2009
La France ouvre les bras aux indiens qualifiés
Pour pallier au manque de salariés dans l'informatique, la France veut accueillir un maximum de travailleurs indiens
Jean-Yves Lavoir, un responsable du ministère de l'Immigration, a invité mercredi tous les Indiens qui avaient un projet professionnel à venir travailler dans l'hexagone.
En marge d'une visite en Inde visant à faire connaître la politique française d'immigration économique "choisie", M. Lenoir a encouragé les indiens à "essayer la France".
Il a détaillé les dispositifs du permis de séjour "compétences et talents" et de "la carte salarié en mission", d'une durée de trois ans et destinés aux travailleurs étrangers non européens et très qualifiés, "l'élite du travail que forment les cadres, ingénieurs, chefs d'entreprises".
Interrogé sur le nombre d'Indiens que la France souhaite accueillir, M. Lavoir a répondu: "Le plus grand nombre possible. Il n'y a pas de limite". "La France n'est pas un pays fermé, surtout pour l'Inde", a insisté ce responsable sans pouvoir dire combien de citoyens de ce pays résidaient légalement ou illégalement sur le territoire français.
Il a souligné que la France souffrait d'une pénurie de salariés dans l'informatique et les hautes technologies, des secteurs qui ont fait justement la renommée mondiale de l'Inde.
"Nous voulons être compétitifs sur le marché international du travail. Ceux qui veulent venir en France sont les bienvenus, mais seulement pour travailler ou pour étudier", a encore dit M. Lavoir qui a par ailleurs souligné que "30.000 étrangers venus illégalement en France seront renvoyés dans leurs pays en 2009".
Pour pallier au manque de salariés dans l'informatique, la France veut accueillir un maximum de travailleurs indiens
Jean-Yves Lavoir, un responsable du ministère de l'Immigration, a invité mercredi tous les Indiens qui avaient un projet professionnel à venir travailler dans l'hexagone.
En marge d'une visite en Inde visant à faire connaître la politique française d'immigration économique "choisie", M. Lenoir a encouragé les indiens à "essayer la France".
Il a détaillé les dispositifs du permis de séjour "compétences et talents" et de "la carte salarié en mission", d'une durée de trois ans et destinés aux travailleurs étrangers non européens et très qualifiés, "l'élite du travail que forment les cadres, ingénieurs, chefs d'entreprises".
Interrogé sur le nombre d'Indiens que la France souhaite accueillir, M. Lavoir a répondu: "Le plus grand nombre possible. Il n'y a pas de limite". "La France n'est pas un pays fermé, surtout pour l'Inde", a insisté ce responsable sans pouvoir dire combien de citoyens de ce pays résidaient légalement ou illégalement sur le territoire français.
Il a souligné que la France souffrait d'une pénurie de salariés dans l'informatique et les hautes technologies, des secteurs qui ont fait justement la renommée mondiale de l'Inde.
"Nous voulons être compétitifs sur le marché international du travail. Ceux qui veulent venir en France sont les bienvenus, mais seulement pour travailler ou pour étudier", a encore dit M. Lavoir qui a par ailleurs souligné que "30.000 étrangers venus illégalement en France seront renvoyés dans leurs pays en 2009".
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Re: Actualités 2009
Cancer/prostate:mortalité en baisse avec dépistage
Une diminution de 20 % du risque de décéder d'un cancer de la prostate est observée chez des hommes de 55 à 69 ans
Les participants, suivis en moyenne neuf années, ont été répartis en deux groupes: l'un s'est vu régulièrement proposer le dépistage, un dosage sanguin du PSA tous les 4 ans, et l'autre non.
Selon, les premiers résultats publiés mercredi en ligne par le New England Journal of Medicine, les différences sont manifestes.
"20 % en moins de mortalité liée au cancer de la prostate dans le groupe dépisté systématiquement, c'est une différence significative", indique à l'AFP le professeur Pascal Rischmann, président de l'Association française d'urologie.
Selon une étude américaine paraissant simultanément dans le même journal, au terme de 7 à 10 ans de suivi des 76.693 hommes de 50 à 74 ans, également répartis en deux groupes, le taux de mortalité par ce cancer était très bas et ne différait pas significativement entre les deux groupes.
Cela n'invalide pas le dépistage, car la controverse n'est pas finie, souligne l'éditorial de la revue américaine. "L'étude américaine est moins puissante, avec moins de participants et de sujets plus âgés" relève le Pr Rischmann.
Pour autant, "pas question de proposer directement un dépistage de masse" souligne le Dr Jérôme Viguier de l'INCa (institut du cancer). Le cancer de la prostate peut être agressif d'emblée, mais on peut aussi vivre avec pendant des années, voire toute la vie, sans savoir que l'on est atteint.
"Le dépistage par PSA expose à un diagnostic de cancer chez des hommes qui n'auraient jamais souffert de la maladie et donc à un risque de surtraitement", poursuit le Dr Viguier. "De nombreuses questions restent posées -sur l'âge, la fréquence du dépistage, le test lui-même, car d'autres tests sont en cours d'évaluation- et l'INCa met en place un programme de recherche pour tenter d'y répondre", souligne-t-il.
La France compte quelque 62.000 nouveaux cas de cancers de la prostate par an.
Une diminution de 20 % du risque de décéder d'un cancer de la prostate est observée chez des hommes de 55 à 69 ans
Les participants, suivis en moyenne neuf années, ont été répartis en deux groupes: l'un s'est vu régulièrement proposer le dépistage, un dosage sanguin du PSA tous les 4 ans, et l'autre non.
Selon, les premiers résultats publiés mercredi en ligne par le New England Journal of Medicine, les différences sont manifestes.
"20 % en moins de mortalité liée au cancer de la prostate dans le groupe dépisté systématiquement, c'est une différence significative", indique à l'AFP le professeur Pascal Rischmann, président de l'Association française d'urologie.
Selon une étude américaine paraissant simultanément dans le même journal, au terme de 7 à 10 ans de suivi des 76.693 hommes de 50 à 74 ans, également répartis en deux groupes, le taux de mortalité par ce cancer était très bas et ne différait pas significativement entre les deux groupes.
Cela n'invalide pas le dépistage, car la controverse n'est pas finie, souligne l'éditorial de la revue américaine. "L'étude américaine est moins puissante, avec moins de participants et de sujets plus âgés" relève le Pr Rischmann.
Pour autant, "pas question de proposer directement un dépistage de masse" souligne le Dr Jérôme Viguier de l'INCa (institut du cancer). Le cancer de la prostate peut être agressif d'emblée, mais on peut aussi vivre avec pendant des années, voire toute la vie, sans savoir que l'on est atteint.
"Le dépistage par PSA expose à un diagnostic de cancer chez des hommes qui n'auraient jamais souffert de la maladie et donc à un risque de surtraitement", poursuit le Dr Viguier. "De nombreuses questions restent posées -sur l'âge, la fréquence du dépistage, le test lui-même, car d'autres tests sont en cours d'évaluation- et l'INCa met en place un programme de recherche pour tenter d'y répondre", souligne-t-il.
La France compte quelque 62.000 nouveaux cas de cancers de la prostate par an.
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Re: Actualités 2009
Morano favorable au recours des "femmes porteuses"
Nadine Morano s'est déclarée mercredi "favorable" au recours aux "femmes porteuses" pour des raisons médicales
La secrétaire d'Etat chargée de la Famille n'est pas hostile au recours à la gestation pour autrui. Mais la conçoit exclusivement pour des raisons médicales et sous réserve que cette pratique soit "très encadrée".
Elle y est "favorable" "si et seulement si ça répond à aider un couple qui pourrait devenir parents et qui ne peut pas l'être".
"La gestation pour autrui implique pour moi que ce soit une femme porteuse", a souligné Mme Morano devant la mission parlementaire d'information sur la révision des lois bioéthiques. La secrétaire d'Etat a précisé préférer le "mère porteuse" parce qu'"elle ne sera que la gestatrice et en aucun cas la génitrice".
"Le fait de pouvoir utiliser la générosité d'une femme qui porterait un embryon mériterait bien évidemment, si nous retenions ce dispositif, d'être très encadré", a poursuivi la secrétaire d'Etat.
Contre la marchandisation et la rémunération
Il faudrait, selon elle, "un accord de l'Agence de la biomédecine qui constaterait la stérilité irréversible de la mère", ainsi qu'"un accord validé par une convention chez le juge" entre les parties. La femme porteuse devrait déjà avoir eu au moins un enfant, et ne pas agir "dans le cadre d'une marchandisation".
Nadine Morano s'est également déclarée opposée à la rémunération du don de sperme et d'ovocytes. S'agissant de l'anonymat, elle a estimé que "le questionnement est possible".
La secrétaire d'Etat chargée de la Famille a également évoqué "la donnée civile". "Nous avons dans notre pays des clandestins", des enfants "qui ne peuvent pas avoir d'état-civil" en France, parce que nés à l'étranger grâce à la gestation pour autrui, a-t-elle souligné.
Mme Morano s'était déclarée en juin dernier favorable à un "cadre légal" encadrant le statut des mères porteuses afin de limiter les "dérives". Elle avait également affirmé qu'elle serait prête à porter l'enfant de sa fille si celle-ci souffrait d'une malformation utérine.
Nadine Morano s'est déclarée mercredi "favorable" au recours aux "femmes porteuses" pour des raisons médicales
La secrétaire d'Etat chargée de la Famille n'est pas hostile au recours à la gestation pour autrui. Mais la conçoit exclusivement pour des raisons médicales et sous réserve que cette pratique soit "très encadrée".
Elle y est "favorable" "si et seulement si ça répond à aider un couple qui pourrait devenir parents et qui ne peut pas l'être".
"La gestation pour autrui implique pour moi que ce soit une femme porteuse", a souligné Mme Morano devant la mission parlementaire d'information sur la révision des lois bioéthiques. La secrétaire d'Etat a précisé préférer le "mère porteuse" parce qu'"elle ne sera que la gestatrice et en aucun cas la génitrice".
"Le fait de pouvoir utiliser la générosité d'une femme qui porterait un embryon mériterait bien évidemment, si nous retenions ce dispositif, d'être très encadré", a poursuivi la secrétaire d'Etat.
Contre la marchandisation et la rémunération
Il faudrait, selon elle, "un accord de l'Agence de la biomédecine qui constaterait la stérilité irréversible de la mère", ainsi qu'"un accord validé par une convention chez le juge" entre les parties. La femme porteuse devrait déjà avoir eu au moins un enfant, et ne pas agir "dans le cadre d'une marchandisation".
Nadine Morano s'est également déclarée opposée à la rémunération du don de sperme et d'ovocytes. S'agissant de l'anonymat, elle a estimé que "le questionnement est possible".
La secrétaire d'Etat chargée de la Famille a également évoqué "la donnée civile". "Nous avons dans notre pays des clandestins", des enfants "qui ne peuvent pas avoir d'état-civil" en France, parce que nés à l'étranger grâce à la gestation pour autrui, a-t-elle souligné.
Mme Morano s'était déclarée en juin dernier favorable à un "cadre légal" encadrant le statut des mères porteuses afin de limiter les "dérives". Elle avait également affirmé qu'elle serait prête à porter l'enfant de sa fille si celle-ci souffrait d'une malformation utérine.
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Re: Actualités 2009
SOUDAN : Plus d'ONG internationales d'ici un an
Les organisations humanitaires internationales devront avoir quitté le Soudan d'ici un an, notamment le Darfour
Nouvelle riposte à sa mise en cause par la CPI, le président Omar Hassan al Bachir a ordonné lundi à toutes les ONG internationales de cesser d'ici un an de distribuer de l'aide en territoire soudanais.
Pour expliquer sa décision, il a dit sa volonté de "débarrasser le pays de tous les espions".
"Si les organisations étrangères veulent acheminer de l'aide, elles devront la livrer à l'aéroport", a-t-il ajouté sans préciser si ce plan incluait aussi les organisations présentes au Sud-Soudan, où plusieurs ONG sont aussi actives. Cette région est le théâtre de la plus importante mission d'aide au monde. La mesure annoncée par Bachir marquerait la fin des activités de plus de 70 organisations étrangères qui opèrent au Darfour et dans d'autres régions troublées du pays.
Le président Béchir a fait cette déclaration musclée dans un discours devant des milliers de militaires sur une place près de l'aéroport de Khartoum. Les soldats ont publiquement renouvelé leur allégeance au président du Soudan, un pays dont les relations sont très tendues actuellement avec l'Occident.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis le 4 mars un mandat d'arrêt contre le dirigeant soudanais pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité au Darfour. Cette région de l'ouest du Soudan en proie à un conflit complexe à l'origine de 300.000 morts selon l'ONU mais de 10.000 selon le Soudan.
Les autorités soudanaises ont aussitôt réagi en expulsant 13 des plus importantes ONG internationales actives au Darfour dont la britannique Oxfam, l'américaine Care et les sections française et néerlandaise de Médecins sans Frontières. L'ONU estime déjà à plus d'un million le nombre de personnes affectées par l'expulsion des ONG.
Khartoum conteste ce chiffre et assure être en mesure de "combler le vide" laissé par le départ des ONG qui mettaient en oeuvre des programmes "onusiens", comme la distribution des denrées alimentaires. "Les agences de l'ONU, les ONG et le gouvernement (soudanais) n'ont pas pas la capacité de remplacer toutes les activités (effectuées par les organisations expulsées), certainement pas à court ou moyen terme", a averti le responsable des affaires humanitaires des Nations unies.
La libération de quatre humanitaires
Quatre travailleurs humanitaires de MSF, un Français, un Italien, une Canadienne et un Soudanais, enlevés la semaine dernier au Darfour par des hommes armés, ont été libérés samedi par leurs ravisseurs. Le gouverneur du Darfour-Nord, Osmane Mohammed Yousif Kibir, a affirmé que l'enlèvement avait été une réaction au mandat d'arrêt de la CPI.
"L'enlèvement était une réponse à la mesure prise contre la souveraineté de la nation", a-t-il dit, ajoutant que kidnapping avait été l'oeuvre d'un groupe inconnu, "les Aigles de Béchir".
Les organisations humanitaires internationales devront avoir quitté le Soudan d'ici un an, notamment le Darfour
Nouvelle riposte à sa mise en cause par la CPI, le président Omar Hassan al Bachir a ordonné lundi à toutes les ONG internationales de cesser d'ici un an de distribuer de l'aide en territoire soudanais.
Pour expliquer sa décision, il a dit sa volonté de "débarrasser le pays de tous les espions".
"Si les organisations étrangères veulent acheminer de l'aide, elles devront la livrer à l'aéroport", a-t-il ajouté sans préciser si ce plan incluait aussi les organisations présentes au Sud-Soudan, où plusieurs ONG sont aussi actives. Cette région est le théâtre de la plus importante mission d'aide au monde. La mesure annoncée par Bachir marquerait la fin des activités de plus de 70 organisations étrangères qui opèrent au Darfour et dans d'autres régions troublées du pays.
Le président Béchir a fait cette déclaration musclée dans un discours devant des milliers de militaires sur une place près de l'aéroport de Khartoum. Les soldats ont publiquement renouvelé leur allégeance au président du Soudan, un pays dont les relations sont très tendues actuellement avec l'Occident.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis le 4 mars un mandat d'arrêt contre le dirigeant soudanais pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité au Darfour. Cette région de l'ouest du Soudan en proie à un conflit complexe à l'origine de 300.000 morts selon l'ONU mais de 10.000 selon le Soudan.
Les autorités soudanaises ont aussitôt réagi en expulsant 13 des plus importantes ONG internationales actives au Darfour dont la britannique Oxfam, l'américaine Care et les sections française et néerlandaise de Médecins sans Frontières. L'ONU estime déjà à plus d'un million le nombre de personnes affectées par l'expulsion des ONG.
Khartoum conteste ce chiffre et assure être en mesure de "combler le vide" laissé par le départ des ONG qui mettaient en oeuvre des programmes "onusiens", comme la distribution des denrées alimentaires. "Les agences de l'ONU, les ONG et le gouvernement (soudanais) n'ont pas pas la capacité de remplacer toutes les activités (effectuées par les organisations expulsées), certainement pas à court ou moyen terme", a averti le responsable des affaires humanitaires des Nations unies.
La libération de quatre humanitaires
Quatre travailleurs humanitaires de MSF, un Français, un Italien, une Canadienne et un Soudanais, enlevés la semaine dernier au Darfour par des hommes armés, ont été libérés samedi par leurs ravisseurs. Le gouverneur du Darfour-Nord, Osmane Mohammed Yousif Kibir, a affirmé que l'enlèvement avait été une réaction au mandat d'arrêt de la CPI.
"L'enlèvement était une réponse à la mesure prise contre la souveraineté de la nation", a-t-il dit, ajoutant que kidnapping avait été l'oeuvre d'un groupe inconnu, "les Aigles de Béchir".
IDE
Re: Actualités 2009
Une fillette enlevée à Arles: l'alerte enlèvement est déclenchée
DISPARITION - Elle a 3 ans et demi, elle a été enlevée par deux hommes et une femme...
Le plan Alerte enlèvement a été déclenché aujourd'hui vendredi en début d'après-midi après l'enlèvement d'Elise, trois ans et demi, à Arles (Bouches-du-Rhône) par deux hommes et une femme, a annoncé le direction centrale de la police judiciaire à Paris (DCPJ).
Après avoir agressé le père avec qui elle se promenait, les ravisseurs ont pris la fuite dans une Renault Modus beige ou marron immatriculée 399 ABD 76.
Elise mesure 97 cm. De corpulence normale, elle porte des cheveux mi-longs, châtain clair, et a les yeux marrons. Elle porte un pantalon de toile noire, des chaussures montantes, un gilet de laine gris et noir et une parka à capuche.
En cas d'informations, prévenez la police au 0805 200 200. En cas de localisation de «l'enfant ou des suspects, de ne pas intervenir», explique la DCPJ.
DISPARITION - Elle a 3 ans et demi, elle a été enlevée par deux hommes et une femme...
Le plan Alerte enlèvement a été déclenché aujourd'hui vendredi en début d'après-midi après l'enlèvement d'Elise, trois ans et demi, à Arles (Bouches-du-Rhône) par deux hommes et une femme, a annoncé le direction centrale de la police judiciaire à Paris (DCPJ).
Après avoir agressé le père avec qui elle se promenait, les ravisseurs ont pris la fuite dans une Renault Modus beige ou marron immatriculée 399 ABD 76.
Elise mesure 97 cm. De corpulence normale, elle porte des cheveux mi-longs, châtain clair, et a les yeux marrons. Elle porte un pantalon de toile noire, des chaussures montantes, un gilet de laine gris et noir et une parka à capuche.
En cas d'informations, prévenez la police au 0805 200 200. En cas de localisation de «l'enfant ou des suspects, de ne pas intervenir», explique la DCPJ.
IDE
Re: Actualités 2009
Oui je viens de voir l'alerte à la télé là !! 
Le petite se promenait avec son père, et il a été agressé.
Que c'est triste !! J'espère qu'on va vite la retrouver !!
Le petite se promenait avec son père, et il a été agressé.Que c'est triste !! J'espère qu'on va vite la retrouver !!
Esi 2009-2012 (que c'est bon de le dire...)
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christel12
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Re: Actualités 2009
Purée c'est à côté de chez moi!
Je ne lisais pas votre post et je ne savais rien!
Comme quoi ce dispositif sert bien!
Ouvrons l'oeil, et espérons que cette enfant retrouve vite ses parents!!
Je ne lisais pas votre post et je ne savais rien!
Comme quoi ce dispositif sert bien!
Ouvrons l'oeil, et espérons que cette enfant retrouve vite ses parents!!
Christel12
IDE promo2009-2012
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