Actualités 2012
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Re: Actualités 2012
Après une césarienne, mieux vaut poursuivre ainsi
Par Caroline Piquet - le 14/03/2012
En cas de césarienne pour le premier enfant, l'accouchement par voie naturelle présente un peu plus de risques pour la mère et l'enfant lors des grossesses suivantes.
Les femmes ayant accouché par césarienne pour le premier enfant ont plus de risque de complications si elles choisissent d'accoucher par voie vaginale pour le second enfant, selon une étude australienne.
Parue mardi, cette étude a impliqué plus de 2300 femmes, dans quatorze maternités australiennes, qui se préparaient à donner naissance à leur deuxième enfant. La moitié d'entre elles a décidé d'accoucher normalement après avoir subi une césarienne pour leur premier enfant, tandis que l'autre moitié a choisi une nouvelle fois cette procédure chirurgicale.
Selon les auteurs de cette étude, les bébés nés par voie césarienne ont un risque plus faible de décès ou de complications graves (0,9%) que ceux nés par voie vaginale (2,4%). Même constat du côté des mamans. Selon l'étude parue dans la revue scientifique américaine PloS ONE (Public Library of Science), le risque d'hémorragie chez les mères ayant choisi la méthode chirurgicale s'élève à 0,8%, contre 2,3% pour les femmes ayant décidé d'accoucher par «voie basse».
«Jusqu'alors, on manquait de données complètes et précises pour mener une telle comparaison des avantages et risques de ces deux modes d'accouchement, après une césarienne pour le premier enfant», explique Caroline Crowther du Centre australien de recherche sur la santé des femmes et des nourrissons à l'Université d'Adelaide (Australie du Sud, principal auteur de cette recherche.
La césarienne n'est pas non plus sans risques
Si les résultats de cette étude vont aider les femmes et les médecins à prendre des décisions suite à un premier accouchement par césarienne, la pratique montre déjà que le recours à la méthode chirurgicale est préférable pour donner naissance au second enfant. La raison est simple: la cicatrice de la première opération peut se rompre sous l'effet des contractions utérines et entraîner des complications graves pour l'enfant et la mère. En France, «en cas d'antécédent de césarienne, l'accouchement a de nouveau lieu par césarienne dans près des deux tiers des cas (64,5 %)», révèle une étude de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees).
Toutefois, il est important de remettre ces résultats en perspective. Tout d'abord, même si l'écart de risques est réel, les taux restent très bas. Ensuite, la pratique d'une césarienne n'est pas non plus sans risque. Jacques Milliez, gynécologue-obstétricien, membre de l'Académie nationale de médecine, interviewé par Le Figaro en novembre 2010, précisait que «le taux de complication respiratoire néonatale chez les enfants nés par césarienne est jusqu'à 40 fois plus élevé que chez ceux nés par voie naturelle». Pour les mamans, «le taux de mortalité et de morbidité sévère est trois fois plus élevé après césarienne qu'après accouchement naturel».
Ces risques connus n'empêchent pourtant pas les femmes d'y avoir de plus en plus recours. Pour preuve, en Australie, en Italie ou aux Etats-Unis, l'intervention chirurgicale représente plus de 30% des accouchements avec un taux record de 60% en Chine dans les milieux urbains. La France compte 20,3% d'accouchements par césarienne, selon une étude de la Drees, publiée en 2009.
Le figaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Par Caroline Piquet - le 14/03/2012
En cas de césarienne pour le premier enfant, l'accouchement par voie naturelle présente un peu plus de risques pour la mère et l'enfant lors des grossesses suivantes.
Les femmes ayant accouché par césarienne pour le premier enfant ont plus de risque de complications si elles choisissent d'accoucher par voie vaginale pour le second enfant, selon une étude australienne.
Parue mardi, cette étude a impliqué plus de 2300 femmes, dans quatorze maternités australiennes, qui se préparaient à donner naissance à leur deuxième enfant. La moitié d'entre elles a décidé d'accoucher normalement après avoir subi une césarienne pour leur premier enfant, tandis que l'autre moitié a choisi une nouvelle fois cette procédure chirurgicale.
Selon les auteurs de cette étude, les bébés nés par voie césarienne ont un risque plus faible de décès ou de complications graves (0,9%) que ceux nés par voie vaginale (2,4%). Même constat du côté des mamans. Selon l'étude parue dans la revue scientifique américaine PloS ONE (Public Library of Science), le risque d'hémorragie chez les mères ayant choisi la méthode chirurgicale s'élève à 0,8%, contre 2,3% pour les femmes ayant décidé d'accoucher par «voie basse».
«Jusqu'alors, on manquait de données complètes et précises pour mener une telle comparaison des avantages et risques de ces deux modes d'accouchement, après une césarienne pour le premier enfant», explique Caroline Crowther du Centre australien de recherche sur la santé des femmes et des nourrissons à l'Université d'Adelaide (Australie du Sud, principal auteur de cette recherche.
La césarienne n'est pas non plus sans risques
Si les résultats de cette étude vont aider les femmes et les médecins à prendre des décisions suite à un premier accouchement par césarienne, la pratique montre déjà que le recours à la méthode chirurgicale est préférable pour donner naissance au second enfant. La raison est simple: la cicatrice de la première opération peut se rompre sous l'effet des contractions utérines et entraîner des complications graves pour l'enfant et la mère. En France, «en cas d'antécédent de césarienne, l'accouchement a de nouveau lieu par césarienne dans près des deux tiers des cas (64,5 %)», révèle une étude de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees).
Toutefois, il est important de remettre ces résultats en perspective. Tout d'abord, même si l'écart de risques est réel, les taux restent très bas. Ensuite, la pratique d'une césarienne n'est pas non plus sans risque. Jacques Milliez, gynécologue-obstétricien, membre de l'Académie nationale de médecine, interviewé par Le Figaro en novembre 2010, précisait que «le taux de complication respiratoire néonatale chez les enfants nés par césarienne est jusqu'à 40 fois plus élevé que chez ceux nés par voie naturelle». Pour les mamans, «le taux de mortalité et de morbidité sévère est trois fois plus élevé après césarienne qu'après accouchement naturel».
Ces risques connus n'empêchent pourtant pas les femmes d'y avoir de plus en plus recours. Pour preuve, en Australie, en Italie ou aux Etats-Unis, l'intervention chirurgicale représente plus de 30% des accouchements avec un taux record de 60% en Chine dans les milieux urbains. La France compte 20,3% d'accouchements par césarienne, selon une étude de la Drees, publiée en 2009.
Le figaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités 2012
L'abus de sucre est aussi mauvais pour la santé que l'alcool !
Le Point.fr - Publié le 14/03/2012 à 17:42 - Modifié le 14/03/2012 à 17:55
Le Point.fr ouvre son espace de débat au professeur Didier Raoult, spécialiste des maladies infectieuses tropicales émergentes à la faculté de médecine de Marseille.
Une alerte mondiale est déclenchée actuellement pour essayer d'endiguer l'augmentation croissante de la consommation de sucre, qui a des effets néfastes sur la santé. Cette consommation est associée à une augmentation d'un grand nombre de maladies chroniques : diabète, obésité, pathologies cardio-vasculaires et cancers. Beaucoup des effets du sucre sur les humains sont comparables à ceux de l'alcool, et certains pays sont en train de mettre en place une régulation comparable afin d'en limiter les dégâts.
Jusqu'à un passé récent, les Européens ne consommaient pas de sucres industriels. Les sucres (glucose, fructose et saccharose) provenaient seulement des fruits et du miel. Le développement de la filière de la canne à sucre, puis de la betterave a permis d'ajouter du sucre aux aliments à partir du XVIIe siècle en Europe. Le sucre est désormais ajouté dans de nombreux aliments vendus dans le commerce, les desserts, bien sûr, mais aussi les boissons, et même les produits salés - l'un des exemples les plus courants étant celui des petits pois en boîte.
Cirrhose
La consommation de sucre augmente donc de façon considérable. Elle est d'ailleurs parallèle à l'augmentation du nombre de calories consommées, et de l'obésité. Directement utilisé par le cerveau, le glucose dérégule le centre de la satiété. Il faut d'ailleurs noter que, depuis trente-cinq ans, se développent des régimes pauvres en sucres, que les Américains appellent low carb, qui sont aussi - sinon plus - efficaces que les régimes low cal ou hypocaloriques, pauvres en graisses ! Il semble donc que le ciblage des graisses comme principales suspectes dans l'obésité soit partiellement faux.
Un travail récemment publié dans la revue Science montre que la consommation chronique d'alcool et de sucre présente beaucoup de risques communs : hypertension, atteinte cardiaque, troubles lipidiques, pancréatite, obésité et même cirrhose ! Actuellement, la première cause de cirrhose aux États-Unis n'est plus liée à l'alcool, mais à l'obésité, en particulier à cause du sucre. Plusieurs ripostes face à la surconsommation de sucre ont commencé à être prises dans le monde, et en France, comme la taxation des boissons sucrées.
Il serait aussi utile d'offrir au consommateur une information plus claire sur la présence de sucres ajoutés dans les boissons et dans les aliments, qui en rappellerait aussi le danger. À l'inverse, l'ajout récemment autorisé de sucre dans l'eau des boissons aromatisées est un recul. On s'habitue à consommer des aliments et des boissons sucrés, et maintenant même de l'eau ! Une généralisation de la présence du sucre dans l'alimentation, dont les conséquences pour notre santé sont, pour l'instant, beaucoup plus importantes que celles des édulcorants artificiels, dont on prétend communément qu'ils ont des effets nocifs sur la santé qui, eux, n'ont jamais été démontrés. Le combat contre le vrai sucre est sans doute le prochain grand enjeu de santé publique.
Par le professeur Didier RaoultÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Le Point.fr - Publié le 14/03/2012 à 17:42 - Modifié le 14/03/2012 à 17:55
Le Point.fr ouvre son espace de débat au professeur Didier Raoult, spécialiste des maladies infectieuses tropicales émergentes à la faculté de médecine de Marseille.
Une alerte mondiale est déclenchée actuellement pour essayer d'endiguer l'augmentation croissante de la consommation de sucre, qui a des effets néfastes sur la santé. Cette consommation est associée à une augmentation d'un grand nombre de maladies chroniques : diabète, obésité, pathologies cardio-vasculaires et cancers. Beaucoup des effets du sucre sur les humains sont comparables à ceux de l'alcool, et certains pays sont en train de mettre en place une régulation comparable afin d'en limiter les dégâts.
Jusqu'à un passé récent, les Européens ne consommaient pas de sucres industriels. Les sucres (glucose, fructose et saccharose) provenaient seulement des fruits et du miel. Le développement de la filière de la canne à sucre, puis de la betterave a permis d'ajouter du sucre aux aliments à partir du XVIIe siècle en Europe. Le sucre est désormais ajouté dans de nombreux aliments vendus dans le commerce, les desserts, bien sûr, mais aussi les boissons, et même les produits salés - l'un des exemples les plus courants étant celui des petits pois en boîte.
Cirrhose
La consommation de sucre augmente donc de façon considérable. Elle est d'ailleurs parallèle à l'augmentation du nombre de calories consommées, et de l'obésité. Directement utilisé par le cerveau, le glucose dérégule le centre de la satiété. Il faut d'ailleurs noter que, depuis trente-cinq ans, se développent des régimes pauvres en sucres, que les Américains appellent low carb, qui sont aussi - sinon plus - efficaces que les régimes low cal ou hypocaloriques, pauvres en graisses ! Il semble donc que le ciblage des graisses comme principales suspectes dans l'obésité soit partiellement faux.
Un travail récemment publié dans la revue Science montre que la consommation chronique d'alcool et de sucre présente beaucoup de risques communs : hypertension, atteinte cardiaque, troubles lipidiques, pancréatite, obésité et même cirrhose ! Actuellement, la première cause de cirrhose aux États-Unis n'est plus liée à l'alcool, mais à l'obésité, en particulier à cause du sucre. Plusieurs ripostes face à la surconsommation de sucre ont commencé à être prises dans le monde, et en France, comme la taxation des boissons sucrées.
Il serait aussi utile d'offrir au consommateur une information plus claire sur la présence de sucres ajoutés dans les boissons et dans les aliments, qui en rappellerait aussi le danger. À l'inverse, l'ajout récemment autorisé de sucre dans l'eau des boissons aromatisées est un recul. On s'habitue à consommer des aliments et des boissons sucrés, et maintenant même de l'eau ! Une généralisation de la présence du sucre dans l'alimentation, dont les conséquences pour notre santé sont, pour l'instant, beaucoup plus importantes que celles des édulcorants artificiels, dont on prétend communément qu'ils ont des effets nocifs sur la santé qui, eux, n'ont jamais été démontrés. Le combat contre le vrai sucre est sans doute le prochain grand enjeu de santé publique.
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Je suis tombée sur un article intéressant...
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/ar ... elle-22154Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Je suis tombée sur un article intéressant...
l'article date quand même de 2007....Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts ni par les plus rapides, mais par ceux qui n’abandonnent jamais
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Re: Je suis tombée sur un article intéressant...
Je l'avais déjà lu il y a un bon petit moment.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Je suis tombée sur un article intéressant...
C'est vrai, les billets de train ont augmentés depuis !tilily81 a écrit :l'article date quand même de 2007....

Je trouvais intéressant de le replacer ici quelques années plus tard et se dire que ca n'avait pas évolué. Hormis le fait que le concours ait été modifié en 2008, l'aspect financier de la chose reste actuel.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Je suis tombée sur un article intéressant...
Effectivement cela reste cher en argent et en temps.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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- nenettemaya
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Re: Je suis tombée sur un article intéressant...
C'est vrai que c'est très très cher. Par manque de moyens, je ne peux passer que deux concours. Dont un loin de chez moi pour lequel je vais devoir dormir à l'hôtel...
Je ne parle pas des dates, où les concours sont organisés en même temps pour réduire les candidats.
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Je ne parle pas des dates, où les concours sont organisés en même temps pour réduire les candidats.

Re: Je suis tombée sur un article intéressant...
D'un certain point de vu, cela permet déjà une première sélection. En effet, ce restreint la participation de personnes qui veulent passer ce concours sans réelle(s) motivation(s)Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités 2012
J'ai trouvé ici un article sur les mères porteuses :
http://www.famili.fr/,meres-porteuses-o ... .aspÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
http://www.famili.fr/,meres-porteuses-o ... .aspÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Je suis tombée sur un article intéressant...
J'avais déjà lu cet article, qui me paraît plus écrit par quelqu'un qui a eu un différend avec l'IFSI/l'administratif etc que par quelqu'un de réellement objectif.
Le seul argument avec lequel je suis vraiment d'accord c'est pour l'aspect financier. Ca coûte cher certes, il faut avoir la motivation et le budget. D'un autre côté personne n'oblige personne à passer 8 concours à la même période. J'en passe 2, dans ma ville (donc pas de frais de transports pour moi) en me disant que si j'ai assez révisé j'aurai sûrement un des deux concours, et aussi parce que j'ai pas super envie de les passer ailleurs car ça m'obligerait à être loin de mon copain donc c'est un choix après. Passer 8 concours pour en avoir peut être 6/8 ça m'intéresse moyennement, et c'est normal dans ce cas de se sentir "arnaqué" car les concours ou on se désiste c'est de l'argent perdu...Si on veut pas être dans ce cas ben on assume et on passe l'année/la saison suivante. Sans compter que comme je le disais, pour certaines personnes les seuls frais à couvrir sont les frais d'inscription au concours et l'achat de quelques livres (qui m'ont couté personnellement, pour 8 bouquins, 20€ à tout casser vu qu'on m'en a prêté).
Côté administratif on m'a juste demandé d'envoyer le truc en recommandé et encore je sais pas si c'était obligatoire.
Donc faut pas croire que cet article reflete la réalité complète. Pour certaines personnes oui mais ça m'étonnerait qu'il y ait beaucoup de gens qui à la fois passent 6 concours + sont loin de chez eux + n'ont personne pour les heberger + ont payé une prépa à 1000€...
Si on est motivé et pas trop influençable il y a pas de raison d'être dissuadé par cet article à mon sens.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Le seul argument avec lequel je suis vraiment d'accord c'est pour l'aspect financier. Ca coûte cher certes, il faut avoir la motivation et le budget. D'un autre côté personne n'oblige personne à passer 8 concours à la même période. J'en passe 2, dans ma ville (donc pas de frais de transports pour moi) en me disant que si j'ai assez révisé j'aurai sûrement un des deux concours, et aussi parce que j'ai pas super envie de les passer ailleurs car ça m'obligerait à être loin de mon copain donc c'est un choix après. Passer 8 concours pour en avoir peut être 6/8 ça m'intéresse moyennement, et c'est normal dans ce cas de se sentir "arnaqué" car les concours ou on se désiste c'est de l'argent perdu...Si on veut pas être dans ce cas ben on assume et on passe l'année/la saison suivante. Sans compter que comme je le disais, pour certaines personnes les seuls frais à couvrir sont les frais d'inscription au concours et l'achat de quelques livres (qui m'ont couté personnellement, pour 8 bouquins, 20€ à tout casser vu qu'on m'en a prêté).
Côté administratif on m'a juste demandé d'envoyer le truc en recommandé et encore je sais pas si c'était obligatoire.
Donc faut pas croire que cet article reflete la réalité complète. Pour certaines personnes oui mais ça m'étonnerait qu'il y ait beaucoup de gens qui à la fois passent 6 concours + sont loin de chez eux + n'ont personne pour les heberger + ont payé une prépa à 1000€...
Si on est motivé et pas trop influençable il y a pas de raison d'être dissuadé par cet article à mon sens.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Je suis tombée sur un article intéressant...
Je suis d'accord avec dys et bab, d'abors l'aspect financier limite le nombre aux personnes vraiment motivées et pour passer plusieurs concours ben comme dis dys suffit des fois de donner son max sur les 2/3 seuls concours.
et de plus maintenant les infirmieres ont un niveau reconnu bac +3 et non plus 2 !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
et de plus maintenant les infirmieres ont un niveau reconnu bac +3 et non plus 2 !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités 2012
Fin de la trêve hivernale: Les expulsions locatives peuvent reprendre
Créé le 15/03/2012 à 06h28 -- Mis à jour le 15/03/2012 à 07h38
SOCIAL - Plus de 100.000 familles sont potentiellement expulsables...
La trêve hivernale est terminée. Pendant cette période, qui court du 1er novembre au 15 mars, les locataires ne peuvent se faire expulser, même si leurs propriétaires ont engagé une procédure judiciaire. A l'approche du 15 mars, c'est donc «le retour de l'angoisse pour des milliers de familles», affirme Jean-Baptiste Eyraud, porte-parole de l'association Droit au Logement.
Samedi, quelques milliers de personnes ont manifesté à Paris pour réclamer l'arrêt des expulsions sans solution de relogement. «Il faut stopper cette méthode moyenâgeuse. Plus de 100.000 familles sont potentiellement expulsables. Nous ferons tout pour nous opposer aux expulsions, même physiquement», promet Serge Incerti-Formentini, président de la Confédération nationale du logement.
Pas un plaisir pour les propriétaires
Mais le ministre délégué au Logement Benoist Apparu s'oppose à un moratoire des expulsions, qui, selon lui, «déresponsabilise» les locataires. «L'expulsion, pour les propriétaires, ce n'est pas un plaisir», souligne Jean Perrin, président de l'Union nationale de la propriété immobilière (UNPI). «Ça veut dire qu'ils ont au moins deux ans de loyers impayés qu'ils ne récupèreront quasiment jamais. Or tous ne roulent pas sur l'or et ils continuent à payer les charges». L'UNPI demande la suppression de la moyenâgeuse hivernale. «Au Canada, il n'y en a pas. Les expulsions se font tout au long de l'année et les gens peuvent plus facilement se reloger. En France, une majorité des expulsés se retrouvent sur le marché du logement en même temps», explique Jean Perrin.
Expulsions toujours traumatisantes
Les associations espèrent qu'en cette année électorale, la fin de la trêve ne sera pas suivie immédiatement d'expulsions. Les expulsions par la force publique ont augmenté de 10,1% en 2010 (11.670 contre 10.597 en 2009), selon des calculs de l'AFP à partir de chiffres du ministère de l'Intérieur. Mais «au-delà des interventions de la force publique, près de 50.000 ménages sont contraints de quitter leur logement», affirme la Fondation Abbé Pierre, car «la plupart n'attendent pas la visite de la police pour libérer les lieux», souvent en catimini.
En cause, l'explosion des loyers, «le surendettement de plus en plus important», selon Olivier Bernard, président de Médecins du Monde. Tous, gouvernement compris, regrettent le manque de prévention en amont pour éviter ces expulsions toujours traumatisantes.
AFPÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Créé le 15/03/2012 à 06h28 -- Mis à jour le 15/03/2012 à 07h38
SOCIAL - Plus de 100.000 familles sont potentiellement expulsables...
La trêve hivernale est terminée. Pendant cette période, qui court du 1er novembre au 15 mars, les locataires ne peuvent se faire expulser, même si leurs propriétaires ont engagé une procédure judiciaire. A l'approche du 15 mars, c'est donc «le retour de l'angoisse pour des milliers de familles», affirme Jean-Baptiste Eyraud, porte-parole de l'association Droit au Logement.
Samedi, quelques milliers de personnes ont manifesté à Paris pour réclamer l'arrêt des expulsions sans solution de relogement. «Il faut stopper cette méthode moyenâgeuse. Plus de 100.000 familles sont potentiellement expulsables. Nous ferons tout pour nous opposer aux expulsions, même physiquement», promet Serge Incerti-Formentini, président de la Confédération nationale du logement.
Pas un plaisir pour les propriétaires
Mais le ministre délégué au Logement Benoist Apparu s'oppose à un moratoire des expulsions, qui, selon lui, «déresponsabilise» les locataires. «L'expulsion, pour les propriétaires, ce n'est pas un plaisir», souligne Jean Perrin, président de l'Union nationale de la propriété immobilière (UNPI). «Ça veut dire qu'ils ont au moins deux ans de loyers impayés qu'ils ne récupèreront quasiment jamais. Or tous ne roulent pas sur l'or et ils continuent à payer les charges». L'UNPI demande la suppression de la moyenâgeuse hivernale. «Au Canada, il n'y en a pas. Les expulsions se font tout au long de l'année et les gens peuvent plus facilement se reloger. En France, une majorité des expulsés se retrouvent sur le marché du logement en même temps», explique Jean Perrin.
Expulsions toujours traumatisantes
Les associations espèrent qu'en cette année électorale, la fin de la trêve ne sera pas suivie immédiatement d'expulsions. Les expulsions par la force publique ont augmenté de 10,1% en 2010 (11.670 contre 10.597 en 2009), selon des calculs de l'AFP à partir de chiffres du ministère de l'Intérieur. Mais «au-delà des interventions de la force publique, près de 50.000 ménages sont contraints de quitter leur logement», affirme la Fondation Abbé Pierre, car «la plupart n'attendent pas la visite de la police pour libérer les lieux», souvent en catimini.
En cause, l'explosion des loyers, «le surendettement de plus en plus important», selon Olivier Bernard, président de Médecins du Monde. Tous, gouvernement compris, regrettent le manque de prévention en amont pour éviter ces expulsions toujours traumatisantes.
AFPÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
DE 2015
IBO en Guadeloupe
IBO en Guadeloupe
Re: Actualités 2012
SUJET concours ap-hp du 15/03/2012 : l'ALLAITEMENTÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
A FORCE DE REBONDIR ON FINIT PAR RÉUSSIR !
Re: Actualités 2012
L'UMP Paris veut étendre le périmètre antimendicité dans la capitale
Une interdiction de mendier dans le nord-ouest du 17e arrondissement de Paris sera présentée lors du prochain conseil de Paris qui se tiendra les 19 et 20 mars prochains.
Ce vœu, présenté par Brigitte Kuster, maire UMP du 17e arrondissement et le groupe majorité présidentielle, serait, en cas d'application, le prolongement d'une première interdiction de mendier sur les Champs-Elysées, voulue par Claude Guéant, ministre de l'intérieur. Le décret est appliqué par la préfecture de Paris depuis le 13 septembre 2011.
Cette interdiction a déjà été suivie d'une première extension, en décembre 2011, dans les secteurs touristiques des grands magasins du quartier Havre-Caumartin (9e) et du Louvre (1er). Cette fois, la droite parisienne souhaite faire englober par l'arrêté l'avenue des Ternes et l'avenue de Wagram, dans le 17e arrondissement.
"FAIRE LA GUERRE AUX PAUVRES"
"L'UMP cherche à faire la guerre aux pauvres plutôt que la guerre à la pauvreté", tranche Ian Brossat, président du groupe communiste au conseil de Paris. "Ces interdictions ne font que repousser le problème de quelques rues. C'est de la démagogie de bas étage à quelques mois des élections législatives", analyse-t-il.
Brigitte Kuster est candidate dans la 4e circonscription de Paris (nord du 16e et ouest du 17e arrondissement). Elle devra toutefois affronter dans son propre camp le député Bernard Debré qui a obtenu l'investiture de l'UMP. L'élue locale se défend de vouloir faire une chasse aux pauvres. Elle explique dans un entretien au Parisien qu'il s'agit de mettre fin à "un trafic organisé. Les passants sont suivis, harcelés, agressés par des gens qui sont déposés en voiture le matin". Ce vœu ne devrait pas obtenir le soutien de la majorité municipale.
Eric Nunès
Le mondeÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Une interdiction de mendier dans le nord-ouest du 17e arrondissement de Paris sera présentée lors du prochain conseil de Paris qui se tiendra les 19 et 20 mars prochains.
Ce vœu, présenté par Brigitte Kuster, maire UMP du 17e arrondissement et le groupe majorité présidentielle, serait, en cas d'application, le prolongement d'une première interdiction de mendier sur les Champs-Elysées, voulue par Claude Guéant, ministre de l'intérieur. Le décret est appliqué par la préfecture de Paris depuis le 13 septembre 2011.
Cette interdiction a déjà été suivie d'une première extension, en décembre 2011, dans les secteurs touristiques des grands magasins du quartier Havre-Caumartin (9e) et du Louvre (1er). Cette fois, la droite parisienne souhaite faire englober par l'arrêté l'avenue des Ternes et l'avenue de Wagram, dans le 17e arrondissement.
"FAIRE LA GUERRE AUX PAUVRES"
"L'UMP cherche à faire la guerre aux pauvres plutôt que la guerre à la pauvreté", tranche Ian Brossat, président du groupe communiste au conseil de Paris. "Ces interdictions ne font que repousser le problème de quelques rues. C'est de la démagogie de bas étage à quelques mois des élections législatives", analyse-t-il.
Brigitte Kuster est candidate dans la 4e circonscription de Paris (nord du 16e et ouest du 17e arrondissement). Elle devra toutefois affronter dans son propre camp le député Bernard Debré qui a obtenu l'investiture de l'UMP. L'élue locale se défend de vouloir faire une chasse aux pauvres. Elle explique dans un entretien au Parisien qu'il s'agit de mettre fin à "un trafic organisé. Les passants sont suivis, harcelés, agressés par des gens qui sont déposés en voiture le matin". Ce vœu ne devrait pas obtenir le soutien de la majorité municipale.
Eric Nunès
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