Actualités 2012
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Actualités concours 2012
Oki d'acc pour le lundi !
Souvent c'est le jour ou je bouge pas de chez moi !
Si j'ai un contre temps je vous le direz ! Ou je regarderai la rediff sur internet
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Souvent c'est le jour ou je bouge pas de chez moi !
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INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Après une greffe de rein, les donneurs se portent bien
Une étude montre que 98% des personnes ayant donné un rein à un proche le referaient. L'Agence de la biomédecine veut développer ce geste encore très minoritaire en France.
C'est un geste très fort, qui nécessite une opération chirurgicale lourde. Pourtant, un an après avoir donné un de leur rein à un proche, les volontaires se portent globalement bien, tant physiquement que psychologiquement, et ne regrettent pas leur décision, selon une étude française récente. Un bilan encourageant, qui pousse l'Agence française de la biomédecine à pousser à son développement. «On y va, on y va de manière déterminée», a affirmé la directrice générale de l'organisme Emmanuelle Prada-Bordenave lors d'une conférence de presse vendredi.
La greffe à partir d'un donneur vivant ne représente encore que 10% des greffes de rein en France, même si elle est en progression - elle a augmenté de 27% en 2010, avec 283 greffes sur l'année. Par comparaison, en Norvège, la proportion atteint 37%.
Des femmes d'une cinquantaine d'années
Une étude menée sur 101 personnes par le Pr Serge Briançon du CHU de Nancy et présentée en mai, permet de dresser le portrait type du donneur de rein vivant. Il s'agit majoritairement de femmes (61%), de 53 ans en moyenne, qui font le plus souvent don à un de leurs enfants (31%). Les autres destinataires sont les frères et sœurs (26%), le conjoint (22%) ou un parent (2,5%). Les catégories sociales des volontaires sont très variées.
Côté séquelles, la récupération physique s'avère plus aisée en cas de cœlioscopie, une technique qui ne nécessite qu'une petite incision et qui est choisie dans 60% des cas, par opposition avec la chirurgie ouverte. Quant aux conséquences psychologiques, elles semblent être bien gérées, malgré la relation particulière que le don instaure entre donneur et receveur. Neuf personnes sur dix disent avoir de bonnes, voire d'excellentes relations avec le receveur. Et si 48,5% des donneurs ont l'impression que le receveur se sent redevable, seulement 5% considèrent que ce sentiment est justifié. Enfin, 98,4% des donneurs affirment qu'ils recommenceraient si c'était à refaire.
Complications graves rares
Les spécialistes de l'Agence de la biomédecine insistent néanmoins sur l'attention à porter au donneur, car se départir d'un rein n'a rien d'anodin. L'intervention nécessite en effet une anesthésie générale et une opération, et si le donneur est toujours en bonne santé au moment du prélèvement, le risque qu'il devienne un malade à son tour ne peut être exclu. Les complications graves - phlébite, embolie pulmonaire, problèmes respiratoires, infection de la cicatrice ou infection urinaire - restent toutefois rares (entre 0,3 et 1%) et le risque de décéder des suites de l'opération n'est que de 0,031%, selon une étude parue en 2010 dans le Journal of the American Medical Association. Et si tout se passe bien, le don n'aura pas d'impact sur l'espérance de vie du donneur.
En France, le don du vivant ne peut se faire qu'entre membres du cercle familial proche : parent, frère/sœur, enfant, oncle/tante, cousin germain, grand-parent, conjoint, et, depuis la révision de la loi de bioéthique en 2011, tout proche du malade en mesure de prouver l'existence d'un lien affectif étroit et stable depuis au moins deux ans.
LE figaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Une étude montre que 98% des personnes ayant donné un rein à un proche le referaient. L'Agence de la biomédecine veut développer ce geste encore très minoritaire en France.
C'est un geste très fort, qui nécessite une opération chirurgicale lourde. Pourtant, un an après avoir donné un de leur rein à un proche, les volontaires se portent globalement bien, tant physiquement que psychologiquement, et ne regrettent pas leur décision, selon une étude française récente. Un bilan encourageant, qui pousse l'Agence française de la biomédecine à pousser à son développement. «On y va, on y va de manière déterminée», a affirmé la directrice générale de l'organisme Emmanuelle Prada-Bordenave lors d'une conférence de presse vendredi.
La greffe à partir d'un donneur vivant ne représente encore que 10% des greffes de rein en France, même si elle est en progression - elle a augmenté de 27% en 2010, avec 283 greffes sur l'année. Par comparaison, en Norvège, la proportion atteint 37%.
Des femmes d'une cinquantaine d'années
Une étude menée sur 101 personnes par le Pr Serge Briançon du CHU de Nancy et présentée en mai, permet de dresser le portrait type du donneur de rein vivant. Il s'agit majoritairement de femmes (61%), de 53 ans en moyenne, qui font le plus souvent don à un de leurs enfants (31%). Les autres destinataires sont les frères et sœurs (26%), le conjoint (22%) ou un parent (2,5%). Les catégories sociales des volontaires sont très variées.
Côté séquelles, la récupération physique s'avère plus aisée en cas de cœlioscopie, une technique qui ne nécessite qu'une petite incision et qui est choisie dans 60% des cas, par opposition avec la chirurgie ouverte. Quant aux conséquences psychologiques, elles semblent être bien gérées, malgré la relation particulière que le don instaure entre donneur et receveur. Neuf personnes sur dix disent avoir de bonnes, voire d'excellentes relations avec le receveur. Et si 48,5% des donneurs ont l'impression que le receveur se sent redevable, seulement 5% considèrent que ce sentiment est justifié. Enfin, 98,4% des donneurs affirment qu'ils recommenceraient si c'était à refaire.
Complications graves rares
Les spécialistes de l'Agence de la biomédecine insistent néanmoins sur l'attention à porter au donneur, car se départir d'un rein n'a rien d'anodin. L'intervention nécessite en effet une anesthésie générale et une opération, et si le donneur est toujours en bonne santé au moment du prélèvement, le risque qu'il devienne un malade à son tour ne peut être exclu. Les complications graves - phlébite, embolie pulmonaire, problèmes respiratoires, infection de la cicatrice ou infection urinaire - restent toutefois rares (entre 0,3 et 1%) et le risque de décéder des suites de l'opération n'est que de 0,031%, selon une étude parue en 2010 dans le Journal of the American Medical Association. Et si tout se passe bien, le don n'aura pas d'impact sur l'espérance de vie du donneur.
En France, le don du vivant ne peut se faire qu'entre membres du cercle familial proche : parent, frère/sœur, enfant, oncle/tante, cousin germain, grand-parent, conjoint, et, depuis la révision de la loi de bioéthique en 2011, tout proche du malade en mesure de prouver l'existence d'un lien affectif étroit et stable depuis au moins deux ans.
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INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Autisme : une scandaleuse addition pour les parents
C'est un cri d'alarme, teinté d'indignation. Déjà confrontés à une carence en structures spécialisées, les parents d'enfants autistes dénoncent le manque récurrent d'auxiliaires de vie scolaire (AVS), indispensables pour intégrer leurs enfants à l'école.
Les parents d'enfants autistes dénoncent le manque récurrent d'auxiliaires de vie scolaire MaxPPP/BRYAN PATRICK
Fin septembre, 1.500 postes restaient à pourvoir, et 5.000 élèves handicapés ayant droit à une accompagnement n'avaient toujours pas obtenu d'AVS. Pour palier ces déficiences, les parents démunis n'ont que deux solutions, très coûteuses : les prendre en charge eux-mêmes, ou se tourner vers des associations agréées par l'Éducation nationale pour recruter des AVS.
Or, depuis quelques années, un véritable business a fleuri sur leur détresse. Dans une pétition, Olivia Cattan, militante féministe et mère d'un garçon autiste de 5 ans, fustige ce « marché » qu'est devenu l'autisme pour certains, et dénonce un « bric à brac d'arnaques ». « Pour se permettre d'avoir un enfant autiste, il faut avoir de gros moyens financiers et éviter d'être divorcées ou mères isolées », écrit-elle. Elle lance un appel au Président de la République pour enfin améliorer la prise en charge des enfants autistes en France.
France soirÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
C'est un cri d'alarme, teinté d'indignation. Déjà confrontés à une carence en structures spécialisées, les parents d'enfants autistes dénoncent le manque récurrent d'auxiliaires de vie scolaire (AVS), indispensables pour intégrer leurs enfants à l'école.
Les parents d'enfants autistes dénoncent le manque récurrent d'auxiliaires de vie scolaire MaxPPP/BRYAN PATRICK
Fin septembre, 1.500 postes restaient à pourvoir, et 5.000 élèves handicapés ayant droit à une accompagnement n'avaient toujours pas obtenu d'AVS. Pour palier ces déficiences, les parents démunis n'ont que deux solutions, très coûteuses : les prendre en charge eux-mêmes, ou se tourner vers des associations agréées par l'Éducation nationale pour recruter des AVS.
Or, depuis quelques années, un véritable business a fleuri sur leur détresse. Dans une pétition, Olivia Cattan, militante féministe et mère d'un garçon autiste de 5 ans, fustige ce « marché » qu'est devenu l'autisme pour certains, et dénonce un « bric à brac d'arnaques ». « Pour se permettre d'avoir un enfant autiste, il faut avoir de gros moyens financiers et éviter d'être divorcées ou mères isolées », écrit-elle. Elle lance un appel au Président de la République pour enfin améliorer la prise en charge des enfants autistes en France.
France soirÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Lentilles et lunettes, qui peut les prescrire ?
Un amendement envisage d'élargir les possibilités de prescription pour les opticiens. Les ophtalmos sont en colère.
Les ophtalmologistes ne décolèrent pas depuis qu'ils ont eu vent de l'amendement que pourrait déposer aujourd'hui Daniel Fasquelle, le rapporteur du projet de loi sur la protection des consommateurs. Car si depuis 2007 les opticiens-lunetiers sont déjà autorisés à adapter, «dans le cadre d'un renouvellement, les prescriptions médicales initiales de verres correcteurs datant de moins de trois ans dans des conditions fixées par décret, à l'exclusion de celles établies pour les personnes de moins de 16 ans et sauf opposition du médecin» , le député du Pas-de-Calais aurait l'intention d'aller beaucoup plus loin. Cette fois, c'est pour les enfants qu'il envisagerait un assouplissement du suivi médical, tandis que la limite des trois ans pour utiliser une ordonnance disparaîtrait pour tout le monde. Une démédicalisation larvée du suivi ophtalmologique qui n'est pas du goût du ministère de la Santé où l'on assure «(qu')il n'a jamais été envisagé par le gouvernement de modification tendant à autoriser les opticiens à modifier l'ordonnance faite pour les enfants» . En revanche, l'idée de définir par décret les délais de validité de l'ordonnance pour aller au-delà de trois ans ne se heurte pas au même mur, notamment chez les ophtalmologistes. Reste à discuter le bon délai, sur des critères médicaux, situation par situation.
Ce qui inquiète le plus Jean-Bernard Rottier, président du Syndicat national des ophtalmologistes de France (Snof), est l'éventualité de sacrifier, sur l'autel européen de la liberté du commerce et de l'industrie, la proposition de rendre obligatoire l'ordonnance pour obtenir des lunettes ou des lentilles sur Internet. Pour le Dr Rottier, «Il faut l'inscrire dans la loi. Cela semble évident quand on sait que sur les 7 millions de patients qui viennent nous voir chaque année pour changer de lunettes, nous dépistons une maladie chez 4,5 millions !» Oui mais justement, chacun sait bien que les délais pour obtenir un RDV avec un ophtalmo dans certaines régions se comptent en mois sinon en semestres. Pourquoi alors ne pas demander aux opticiens de faire le dépistage de première ligne, quitte à adresser aux ophtalmologistes les cas douteux ? «Ce serait gravissime !, explique Isabelle Castioni, elle-même opticienne depuis plus de trente ans au Mans. On risque de passer à côté de tas de choses. En tant qu'opticien, nous n'avons pas de formation de pathologiste !»
Encadrer la prescription
Selon l'enquête du Groupe français d'étude sur les kératites microbiennes liées au port de lentilles de contact, qui regroupe 14 CHU, le risque d'abcès diminue très largement lorsque l'adaptation et le suivi sont assurés par les ophtalmologistes, ce qui renforce la nécessité d'encadrer leur prescription. Une étude à paraître dans la revue Réflexions ophtalmologiques sur 357 cas d'infections cornéennes sous lentilles montre que le risque est multiplié par neuf lorsque l'adaptation n'est pas faite par un ophtalmologiste.
Chaque année en France, environ 5000 personnes sont hospitalisées pour un abcès de cornée, dont la moitié due aux lentilles et un sous-groupe non négligeable aux lentilles cosmétiques. Une complication redoutée : « Les durées d'hospitalisation peuvent aller jusqu'à un mois et parfois une greffe de cornée est nécessaire », souligne le Dr Rottier. Ce n'est pas pour rien que la manipulation des lentilles de contact et leur entretien s'apprennent et doivent être respectés. Il n'est pas rare que des infections surviennent après plusieurs années de port sans problème en raison d'un relâchement de l'hygiène basique, y compris le simple lavage des mains (et le séchage, pour éviter les micro-organismes parfois présents dans l'eau du robinet).
L'entretien des lentilles et la dépose immédiate au moindre problème font partie des bons réflexes du porteur de lentille prudent. Reste l'inquiétude des ophtalmologistes à voir vendues sans aucun contrôle médical, en supermarché ou sur Internet, des lentilles cosmétiques que les porteurs ne voient pas comme un objet potentiellement dangereux. Tout comme les porteurs de lentilles jetables journalières qui s'imaginent parfois à l'abri des complications infectieuses. À tort.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Un amendement envisage d'élargir les possibilités de prescription pour les opticiens. Les ophtalmos sont en colère.
Les ophtalmologistes ne décolèrent pas depuis qu'ils ont eu vent de l'amendement que pourrait déposer aujourd'hui Daniel Fasquelle, le rapporteur du projet de loi sur la protection des consommateurs. Car si depuis 2007 les opticiens-lunetiers sont déjà autorisés à adapter, «dans le cadre d'un renouvellement, les prescriptions médicales initiales de verres correcteurs datant de moins de trois ans dans des conditions fixées par décret, à l'exclusion de celles établies pour les personnes de moins de 16 ans et sauf opposition du médecin» , le député du Pas-de-Calais aurait l'intention d'aller beaucoup plus loin. Cette fois, c'est pour les enfants qu'il envisagerait un assouplissement du suivi médical, tandis que la limite des trois ans pour utiliser une ordonnance disparaîtrait pour tout le monde. Une démédicalisation larvée du suivi ophtalmologique qui n'est pas du goût du ministère de la Santé où l'on assure «(qu')il n'a jamais été envisagé par le gouvernement de modification tendant à autoriser les opticiens à modifier l'ordonnance faite pour les enfants» . En revanche, l'idée de définir par décret les délais de validité de l'ordonnance pour aller au-delà de trois ans ne se heurte pas au même mur, notamment chez les ophtalmologistes. Reste à discuter le bon délai, sur des critères médicaux, situation par situation.
Ce qui inquiète le plus Jean-Bernard Rottier, président du Syndicat national des ophtalmologistes de France (Snof), est l'éventualité de sacrifier, sur l'autel européen de la liberté du commerce et de l'industrie, la proposition de rendre obligatoire l'ordonnance pour obtenir des lunettes ou des lentilles sur Internet. Pour le Dr Rottier, «Il faut l'inscrire dans la loi. Cela semble évident quand on sait que sur les 7 millions de patients qui viennent nous voir chaque année pour changer de lunettes, nous dépistons une maladie chez 4,5 millions !» Oui mais justement, chacun sait bien que les délais pour obtenir un RDV avec un ophtalmo dans certaines régions se comptent en mois sinon en semestres. Pourquoi alors ne pas demander aux opticiens de faire le dépistage de première ligne, quitte à adresser aux ophtalmologistes les cas douteux ? «Ce serait gravissime !, explique Isabelle Castioni, elle-même opticienne depuis plus de trente ans au Mans. On risque de passer à côté de tas de choses. En tant qu'opticien, nous n'avons pas de formation de pathologiste !»
Encadrer la prescription
Selon l'enquête du Groupe français d'étude sur les kératites microbiennes liées au port de lentilles de contact, qui regroupe 14 CHU, le risque d'abcès diminue très largement lorsque l'adaptation et le suivi sont assurés par les ophtalmologistes, ce qui renforce la nécessité d'encadrer leur prescription. Une étude à paraître dans la revue Réflexions ophtalmologiques sur 357 cas d'infections cornéennes sous lentilles montre que le risque est multiplié par neuf lorsque l'adaptation n'est pas faite par un ophtalmologiste.
Chaque année en France, environ 5000 personnes sont hospitalisées pour un abcès de cornée, dont la moitié due aux lentilles et un sous-groupe non négligeable aux lentilles cosmétiques. Une complication redoutée : « Les durées d'hospitalisation peuvent aller jusqu'à un mois et parfois une greffe de cornée est nécessaire », souligne le Dr Rottier. Ce n'est pas pour rien que la manipulation des lentilles de contact et leur entretien s'apprennent et doivent être respectés. Il n'est pas rare que des infections surviennent après plusieurs années de port sans problème en raison d'un relâchement de l'hygiène basique, y compris le simple lavage des mains (et le séchage, pour éviter les micro-organismes parfois présents dans l'eau du robinet).
L'entretien des lentilles et la dépose immédiate au moindre problème font partie des bons réflexes du porteur de lentille prudent. Reste l'inquiétude des ophtalmologistes à voir vendues sans aucun contrôle médical, en supermarché ou sur Internet, des lentilles cosmétiques que les porteurs ne voient pas comme un objet potentiellement dangereux. Tout comme les porteurs de lentilles jetables journalières qui s'imaginent parfois à l'abri des complications infectieuses. À tort.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Césariennes: pratiques surprenantes
Moins une maternité est spécialisée dans les grossesses à risque et plus elle réalise de césariennes programmées (c’est-à-dire décidées à l’avance, pas en urgence lors
de l’accouchement). Ces interventions ont été plus fréquentes dans les cliniques privées (9,4%) que dans les hôpitaux publics (6,6%), selon une étude de l’Assurance-maladie (Cnam) menée auprès de 565 hôpitaux publics et privés.
Un constat inquiétant, car « les césariennes sont des interventions plus dangereuses pour la mère et l’enfant que l’accouchement par voie basse », souligne la Cnam. Autre surprise, le taux de naissances par césarienne programmée n’a rien de commun d’un département à l’autre. Il s’élève ainsi à 2,7 % dans les Landes et à 9,7 % dans la Loire.
Le figaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Moins une maternité est spécialisée dans les grossesses à risque et plus elle réalise de césariennes programmées (c’est-à-dire décidées à l’avance, pas en urgence lors
de l’accouchement). Ces interventions ont été plus fréquentes dans les cliniques privées (9,4%) que dans les hôpitaux publics (6,6%), selon une étude de l’Assurance-maladie (Cnam) menée auprès de 565 hôpitaux publics et privés.
Un constat inquiétant, car « les césariennes sont des interventions plus dangereuses pour la mère et l’enfant que l’accouchement par voie basse », souligne la Cnam. Autre surprise, le taux de naissances par césarienne programmée n’a rien de commun d’un département à l’autre. Il s’élève ainsi à 2,7 % dans les Landes et à 9,7 % dans la Loire.
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INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Le figaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.debella a écrit :Lentilles et lunettes, qui peut les prescrire ?
Un amendement envisage d'élargir les possibilités de prescription pour les opticiens. Les ophtalmos sont en colère.
Les ophtalmologistes ne décolèrent pas depuis qu'ils ont eu vent de l'amendement que pourrait déposer aujourd'hui Daniel Fasquelle, le rapporteur du projet de loi sur la protection des consommateurs. Car si depuis 2007 les opticiens-lunetiers sont déjà autorisés à adapter, «dans le cadre d'un renouvellement, les prescriptions médicales initiales de verres correcteurs datant de moins de trois ans dans des conditions fixées par décret, à l'exclusion de celles établies pour les personnes de moins de 16 ans et sauf opposition du médecin» , le député du Pas-de-Calais aurait l'intention d'aller beaucoup plus loin. Cette fois, c'est pour les enfants qu'il envisagerait un assouplissement du suivi médical, tandis que la limite des trois ans pour utiliser une ordonnance disparaîtrait pour tout le monde. Une démédicalisation larvée du suivi ophtalmologique qui n'est pas du goût du ministère de la Santé où l'on assure «(qu')il n'a jamais été envisagé par le gouvernement de modification tendant à autoriser les opticiens à modifier l'ordonnance faite pour les enfants» . En revanche, l'idée de définir par décret les délais de validité de l'ordonnance pour aller au-delà de trois ans ne se heurte pas au même mur, notamment chez les ophtalmologistes. Reste à discuter le bon délai, sur des critères médicaux, situation par situation.
Ce qui inquiète le plus Jean-Bernard Rottier, président du Syndicat national des ophtalmologistes de France (Snof), est l'éventualité de sacrifier, sur l'autel européen de la liberté du commerce et de l'industrie, la proposition de rendre obligatoire l'ordonnance pour obtenir des lunettes ou des lentilles sur Internet. Pour le Dr Rottier, «Il faut l'inscrire dans la loi. Cela semble évident quand on sait que sur les 7 millions de patients qui viennent nous voir chaque année pour changer de lunettes, nous dépistons une maladie chez 4,5 millions !» Oui mais justement, chacun sait bien que les délais pour obtenir un RDV avec un ophtalmo dans certaines régions se comptent en mois sinon en semestres. Pourquoi alors ne pas demander aux opticiens de faire le dépistage de première ligne, quitte à adresser aux ophtalmologistes les cas douteux ? «Ce serait gravissime !, explique Isabelle Castioni, elle-même opticienne depuis plus de trente ans au Mans. On risque de passer à côté de tas de choses. En tant qu'opticien, nous n'avons pas de formation de pathologiste !»
Encadrer la prescription
Selon l'enquête du Groupe français d'étude sur les kératites microbiennes liées au port de lentilles de contact, qui regroupe 14 CHU, le risque d'abcès diminue très largement lorsque l'adaptation et le suivi sont assurés par les ophtalmologistes, ce qui renforce la nécessité d'encadrer leur prescription. Une étude à paraître dans la revue Réflexions ophtalmologiques sur 357 cas d'infections cornéennes sous lentilles montre que le risque est multiplié par neuf lorsque l'adaptation n'est pas faite par un ophtalmologiste.
Chaque année en France, environ 5000 personnes sont hospitalisées pour un abcès de cornée, dont la moitié due aux lentilles et un sous-groupe non négligeable aux lentilles cosmétiques. Une complication redoutée : « Les durées d'hospitalisation peuvent aller jusqu'à un mois et parfois une greffe de cornée est nécessaire », souligne le Dr Rottier. Ce n'est pas pour rien que la manipulation des lentilles de contact et leur entretien s'apprennent et doivent être respectés. Il n'est pas rare que des infections surviennent après plusieurs années de port sans problème en raison d'un relâchement de l'hygiène basique, y compris le simple lavage des mains (et le séchage, pour éviter les micro-organismes parfois présents dans l'eau du robinet).
L'entretien des lentilles et la dépose immédiate au moindre problème font partie des bons réflexes du porteur de lentille prudent. Reste l'inquiétude des ophtalmologistes à voir vendues sans aucun contrôle médical, en supermarché ou sur Internet, des lentilles cosmétiques que les porteurs ne voient pas comme un objet potentiellement dangereux. Tout comme les porteurs de lentilles jetables journalières qui s'imaginent parfois à l'abri des complications infectieuses. À tort.
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
bonjour a tous!!!!! moi j'ai passé le concours cette année et je suis recu a l'ile de la reunion a st denis. j'ai fait ma formation avec le CNED et cela a été trés bénéfique vu que je suis très bien classé . j'ai payé ma formation 460 euros avec tous le livres la méthodologie un cd d'exos pour les test psychotechniques un DVD pour préparer l'oral. en état neuf je revends a 250 euros vous pouvez voir tout ca sur le site CNED. Si vous êtes intéressé contactez moi en privée.
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Re: Actualités concours 2012
CHU de Nîmes : à 94 ans, elle meurt sous les coups d'un homme de 91 ans
Un homme de 91 ans a asséné une série de coups mortels à une femme de 94 ans, pensionnaire comme lui d'un centre de gérontologie du CHU de Nîmes (Gard). L'agression a eu lieu dimanche 25 septembre, et la victime est décédée des suites des coups jeudi, a indiqué le procureur de la République de Nîmes Robert Gelli, confirmant une information du «Midi Libre».
«Tous les aspects vont être abordés dans l'enquête», notamment l'état mental de l'agresseur présumé, «bien obéré» au moment des faits, a indiqué Robert Gelli.
Les raisons du geste restent en l'état mal déterminées. «La version dont nous disposons, et qui doit être vérifiée, est qu'elle aurait crié et qu'il l'aurait alors frappée», a ajouté le procureur.
L'enquête pour coups mortels a été ouverte lundi après que la famille eût déposé plainte, le CHU n'ayant en revanche pas signalé l'événement à la police. Signaler «aurait été préférable et aurait évité toute polémique», a relevé le procureur. L'affaire n'a «pas été étouffée», a déclaré à «Midi Libre» un porte-parole du CHU. Si «l'hôpital n'a pas avisé la police», c'est d'abord parce qu'il a répondu à «un réflexe de soignants» : prendre en charge la victime et son agresseur présumé, puis alerter les familles et l'Agence régionale de santé. Une enquête administrative a également été ouverte.
Selon le journal, l'homme, dont le comportement agressif semblait être connu, a été placé dans une unité psychiatrique.
LeParisien.frÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Un homme de 91 ans a asséné une série de coups mortels à une femme de 94 ans, pensionnaire comme lui d'un centre de gérontologie du CHU de Nîmes (Gard). L'agression a eu lieu dimanche 25 septembre, et la victime est décédée des suites des coups jeudi, a indiqué le procureur de la République de Nîmes Robert Gelli, confirmant une information du «Midi Libre».
«Tous les aspects vont être abordés dans l'enquête», notamment l'état mental de l'agresseur présumé, «bien obéré» au moment des faits, a indiqué Robert Gelli.
Les raisons du geste restent en l'état mal déterminées. «La version dont nous disposons, et qui doit être vérifiée, est qu'elle aurait crié et qu'il l'aurait alors frappée», a ajouté le procureur.
L'enquête pour coups mortels a été ouverte lundi après que la famille eût déposé plainte, le CHU n'ayant en revanche pas signalé l'événement à la police. Signaler «aurait été préférable et aurait évité toute polémique», a relevé le procureur. L'affaire n'a «pas été étouffée», a déclaré à «Midi Libre» un porte-parole du CHU. Si «l'hôpital n'a pas avisé la police», c'est d'abord parce qu'il a répondu à «un réflexe de soignants» : prendre en charge la victime et son agresseur présumé, puis alerter les familles et l'Agence régionale de santé. Une enquête administrative a également été ouverte.
Selon le journal, l'homme, dont le comportement agressif semblait être connu, a été placé dans une unité psychiatrique.
LeParisien.frÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Actualités concours 2012
Les éthylotests obligatoires dans les discothèques
Malgré les critiques des professionnels de la nuit, les discothèques vont devoir s'équiper de dispositifs «permettant le dépistage de l'imprégnation alcoolique». Le texte détaillant cette mesure est paru ce samedi au«Journal officiel». Les exploitants de discothèques disposent de deux mois pour se mettre en conformité avec cet arrêté signé des ministères de la Santé, des Transports et de l'Intérieur, et issu de la loi de mars 2011 dite «Loppsi» (loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure).
Le Syndicat national des discothèques et lieux de loisirs (SNDLL), principale organisation représentant cette profession, y voit un texte «anti-boîtes de nuit» et a promis de s'y opposer. Selon le délégué interministériel à la sécurité routière, Jean-Luc Névache, les cinq autres syndicats représentatifs de la profession sont favorables à l'installation de ces éthylotests.
«Placés à proximité de la sortie»
L'arrêté impose aux «débits de boissons autorisés à fermer entre 2 heures et 7 heures» de mettre à disposition du public «les dispositifs chimiques ou électroniques certifiés permettant le dépistage de l'imprégnation alcoolique». Le responsable de l'établissement devra «s'assurer qu'à tout moment la demande de dépistage peut être satisfaite dans un délai inférieur à quinze minutes» et proposer un nombre minimal d'éthylotests, en fonction de l'effectif accueilli.
Si un patron de discothèque opte pour les éthylotests chimiques, il devra par exemple être capable d'en fournir au moins cinquante par nuit. Les éthylotests doivent en outre être «placés à proximité de la sortie» et «être visibles et signalés par un support d'information», où sera inscrit «Soufflez, vous saurez. Ici, pour savoir si vous pouvez conduire, demandez un éthylotest.»
L'alcool en cause dans 31% des accidents mortels
Sont concernés par cette mesure 2500 discothèques en France et les bars à ambiance musicale, les cabarets, bars d'hôtel, soit près de 5500 structures au total, mais pas l'immense majorité des bars de France qui ferment bien plus tôt. Le Syndicat national des discothèques et lieux de loisirs (SNDLL), principale organisation représentant cette profession y voit un texte «anti-boîtes de nuit» et a promis de s'y opposer.
Selon la Sécurité routière, 31% des accidents mortels sont imputables à l'alcool et dans 92% des cas, le conducteur alcoolisé est un homme.
LeParisien.frÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Malgré les critiques des professionnels de la nuit, les discothèques vont devoir s'équiper de dispositifs «permettant le dépistage de l'imprégnation alcoolique». Le texte détaillant cette mesure est paru ce samedi au«Journal officiel». Les exploitants de discothèques disposent de deux mois pour se mettre en conformité avec cet arrêté signé des ministères de la Santé, des Transports et de l'Intérieur, et issu de la loi de mars 2011 dite «Loppsi» (loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure).
Le Syndicat national des discothèques et lieux de loisirs (SNDLL), principale organisation représentant cette profession, y voit un texte «anti-boîtes de nuit» et a promis de s'y opposer. Selon le délégué interministériel à la sécurité routière, Jean-Luc Névache, les cinq autres syndicats représentatifs de la profession sont favorables à l'installation de ces éthylotests.
«Placés à proximité de la sortie»
L'arrêté impose aux «débits de boissons autorisés à fermer entre 2 heures et 7 heures» de mettre à disposition du public «les dispositifs chimiques ou électroniques certifiés permettant le dépistage de l'imprégnation alcoolique». Le responsable de l'établissement devra «s'assurer qu'à tout moment la demande de dépistage peut être satisfaite dans un délai inférieur à quinze minutes» et proposer un nombre minimal d'éthylotests, en fonction de l'effectif accueilli.
Si un patron de discothèque opte pour les éthylotests chimiques, il devra par exemple être capable d'en fournir au moins cinquante par nuit. Les éthylotests doivent en outre être «placés à proximité de la sortie» et «être visibles et signalés par un support d'information», où sera inscrit «Soufflez, vous saurez. Ici, pour savoir si vous pouvez conduire, demandez un éthylotest.»
L'alcool en cause dans 31% des accidents mortels
Sont concernés par cette mesure 2500 discothèques en France et les bars à ambiance musicale, les cabarets, bars d'hôtel, soit près de 5500 structures au total, mais pas l'immense majorité des bars de France qui ferment bien plus tôt. Le Syndicat national des discothèques et lieux de loisirs (SNDLL), principale organisation représentant cette profession y voit un texte «anti-boîtes de nuit» et a promis de s'y opposer.
Selon la Sécurité routière, 31% des accidents mortels sont imputables à l'alcool et dans 92% des cas, le conducteur alcoolisé est un homme.
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Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Actualités concours 2012
A Paris, elles manifestent en petite tenue contre le sexisme
Elles étaient une centaine à participer samedi après-midi à Paris à une «Marche de salopes». Ces femmes protestaient «contre le sexisme» et «la culpabilisation des victimes d'agressions sexuelles».
Vêtues de robes courtes, mini-jupes ou shorts et, pour certaines, soutien-gorge apparent, les manifestantes, tenant à la main des ballons rouges en forme de coeur, ont défilé sous le soleil de la Tour Montparnasse à la place du Panthéon, derrière une banderole portant l'inscription «Non, c'est non. Un viol n'est jamais ni consenti, ni provoqué, ni jamais de la faute de la victime !»
«On a des seins et des fesses et on n'a pas de raison de les cacher»
«Je suis là parce que j'en ai marre d'avoir des réflexions désagréables dans la rue lorsque je m'habille bien ou que l'on me mette la main aux fesses lorsque je suis en soirée. On est des femmes, on a des seins et des fesses et on n'a pas de raison de les cacher», a expliqué Flora Birster, une étudiante parisienne de 20 ans, portant une robe décolletée.
La «SlutWalk» est un concept né à Toronto en avril dernier, en réponse «aux propos sexistes d'un policier» enquêtant sur une série de viols commis sur un campus, selon un tract de SlutWalk France. «Lors d'une réunion de prévention, il a conseillé aux femmes de ne pas s'habiller comme des «sluts» (salopes) si elles ne voulaient pas se faire violer», explique le tract. Depuis, des «Marches de salopes» ont eu lieu dans de nombreuses villes.
Selon l'organisation, chaque jour, en France, 137 femmes sont violées, qu'une femme sur dix est ou sera victime de violences sexuelles et que tous les deux jours et demi une femme meurt sous les coups de son conjoint ou ex-conjoint.
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Elles étaient une centaine à participer samedi après-midi à Paris à une «Marche de salopes». Ces femmes protestaient «contre le sexisme» et «la culpabilisation des victimes d'agressions sexuelles».
Vêtues de robes courtes, mini-jupes ou shorts et, pour certaines, soutien-gorge apparent, les manifestantes, tenant à la main des ballons rouges en forme de coeur, ont défilé sous le soleil de la Tour Montparnasse à la place du Panthéon, derrière une banderole portant l'inscription «Non, c'est non. Un viol n'est jamais ni consenti, ni provoqué, ni jamais de la faute de la victime !»
«On a des seins et des fesses et on n'a pas de raison de les cacher»
«Je suis là parce que j'en ai marre d'avoir des réflexions désagréables dans la rue lorsque je m'habille bien ou que l'on me mette la main aux fesses lorsque je suis en soirée. On est des femmes, on a des seins et des fesses et on n'a pas de raison de les cacher», a expliqué Flora Birster, une étudiante parisienne de 20 ans, portant une robe décolletée.
La «SlutWalk» est un concept né à Toronto en avril dernier, en réponse «aux propos sexistes d'un policier» enquêtant sur une série de viols commis sur un campus, selon un tract de SlutWalk France. «Lors d'une réunion de prévention, il a conseillé aux femmes de ne pas s'habiller comme des «sluts» (salopes) si elles ne voulaient pas se faire violer», explique le tract. Depuis, des «Marches de salopes» ont eu lieu dans de nombreuses villes.
Selon l'organisation, chaque jour, en France, 137 femmes sont violées, qu'une femme sur dix est ou sera victime de violences sexuelles et que tous les deux jours et demi une femme meurt sous les coups de son conjoint ou ex-conjoint.
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Re: Actualités concours 2012
Les Entretiens de Bichat consacre l’eau du robinet
Nombre de scientifiques et experts soulignent la qualité de l’eau coulant du robinet
« On a beaucoup de chance d’avoir l’eau potable que l’on a », a souligné le Pr Marc Gentilini, spécialiste des maladies infectieuses et tropicales, lors d’un atelier sur « Eau du robinet et santé » aux Entretiens de Bichat. Nombre de scientifiques et experts, en écho, saluent la qualité de l’eau coulant du robinet, radiologiquement satisfaisante et où les micropolluants organiques n’existent que sous forme de traces. Dans le monde, 30.000 personnes meurent chaque année de maladies liées à l’eau et des centaines de milliers vivent avec des séquelles de ces maladies, a rappelé le Pr Gentilini. L’eau polluée est effet un réservoir de virus, bactéries, salmonelles, porte ouverte à une toute une gamme de maladies, comme le choléra ou la bilharziose…
"Sans risque pour la santé"
« Sur la base des connaissances disponibles et de la surveillance exercée, la qualité radiologique des eaux de consommation en France peut être considérée comme satisfaisante, sans risque pour la santé des consommateurs », a de son côté estimé Jean-Luc Godet, chargé de la direction des rayonnements ionisants et de la santé au sein de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). « Il n’y a pas de contamination par les activités nucléaires, quant à la radioactivité naturelle, elle existe mais elle est faible », a-t-il ajouté. « Si l’on boit 2 litres d’eau par jour, l’exposition est de 0,1 mSv sur l’année », a-t-il souligné. « En dessous de 50 mSv, il n’y a pas de lien dose-effets. » Quant au radon, son ingestion via l’eau du robinet, dans quelques collectivités de certaines régions (Bretagne, Massif central, Est…), ne représente qu’une exposition de 0,2 à 1,8 mSv par an. Certaines eaux sont malgré tout contaminées aux micropolluants, notamment autour des grandes villes. Mais elles sont soumises à un traitement approfondi et à un double contrôle par les autorités sanitaires et par les collectivités locales. « La qualité de l’eau potable ne cesse de s’améliorer », confirme ainsi Yves Levi, professeur de « santé publique et environnement » et membre de l’Académie de pharmacie
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Nombre de scientifiques et experts soulignent la qualité de l’eau coulant du robinet
« On a beaucoup de chance d’avoir l’eau potable que l’on a », a souligné le Pr Marc Gentilini, spécialiste des maladies infectieuses et tropicales, lors d’un atelier sur « Eau du robinet et santé » aux Entretiens de Bichat. Nombre de scientifiques et experts, en écho, saluent la qualité de l’eau coulant du robinet, radiologiquement satisfaisante et où les micropolluants organiques n’existent que sous forme de traces. Dans le monde, 30.000 personnes meurent chaque année de maladies liées à l’eau et des centaines de milliers vivent avec des séquelles de ces maladies, a rappelé le Pr Gentilini. L’eau polluée est effet un réservoir de virus, bactéries, salmonelles, porte ouverte à une toute une gamme de maladies, comme le choléra ou la bilharziose…
"Sans risque pour la santé"
« Sur la base des connaissances disponibles et de la surveillance exercée, la qualité radiologique des eaux de consommation en France peut être considérée comme satisfaisante, sans risque pour la santé des consommateurs », a de son côté estimé Jean-Luc Godet, chargé de la direction des rayonnements ionisants et de la santé au sein de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). « Il n’y a pas de contamination par les activités nucléaires, quant à la radioactivité naturelle, elle existe mais elle est faible », a-t-il ajouté. « Si l’on boit 2 litres d’eau par jour, l’exposition est de 0,1 mSv sur l’année », a-t-il souligné. « En dessous de 50 mSv, il n’y a pas de lien dose-effets. » Quant au radon, son ingestion via l’eau du robinet, dans quelques collectivités de certaines régions (Bretagne, Massif central, Est…), ne représente qu’une exposition de 0,2 à 1,8 mSv par an. Certaines eaux sont malgré tout contaminées aux micropolluants, notamment autour des grandes villes. Mais elles sont soumises à un traitement approfondi et à un double contrôle par les autorités sanitaires et par les collectivités locales. « La qualité de l’eau potable ne cesse de s’améliorer », confirme ainsi Yves Levi, professeur de « santé publique et environnement » et membre de l’Académie de pharmacie
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Re: Actualités concours 2012
Copwatch : Le site Internet qui espionne les policiers
Copwatch diffuse des informations personnelles sur des gardiens de la paix. Le ministre de l’Intérieur a déposé plainte.
La chasse est ouverte. « Policiers, nous vous identifierons tous un à un. Que votre impunité trouve une fin », avertissent les créateurs du site Copwatch Nord - Ile-de-France qui, depuis la semaine dernière, fiche les policiers lillois, calaisiens et parisiens. Face à leur photo, leurs nom, prénoms, affectation et des indications sur leur personnalité comme « attitude agressive dans diverses situations » ou « n’hésite pas à faire charger dans le tas ». Alerté par le syndicat de police Alliance, le ministre de l’Intérieur, Claude Guéant, a décidé, mercredi, de déposer deux plaintes en diffamation.
« Ces commentaires portent gravement atteinte à l’honneur et à la réputation de fonctionnaires de police et de militaires de la gendarmerie. Ces propos scandaleux, assortis de photographies, de l’identité et, quelquefois des adresses des intéressés, nuisent aux personnels du ministère de l’Intérieur, et mettent en péril leur sécurité ainsi que celle de leurs familles », indique le porte-parole du ministère de l’Intérieur, Pierre-Henry Brandet. Et ce dernier de préciser : « Au-delà, c’est toute l’institution qui est salie, raison pour laquelle ce genre de dérive doit cesser au plus vite. A l’avenir, tout propos diffamatoire fera systématiquement l’objet de dépôt de plainte. »
"Une vue d’ensemble des pratiques policières"
L’affaire débute en décembre dernier. Un « site d’information alternatif », Paris.indymedia, mettait en ligne plusieurs photos de policier en civil, prises durant des manifestations, accompagnées de commentaires tels que « sans brassard, gueule invisible pour bien caillasser ». Quelques jours plus tard, alerté par un communiqué du syndicat de gardiens de la paix Alliance, Brice Hortefeux annonçait son intention de déposer plainte. Les photos litigieuses et les commentaires diffamatoires étaient alors retirés. Mais, la semaine dernière, les mêmes personnes ont, semble-t-il, récidivé. « Désormais, il ne sera plus question de quelques photos publiées de façon hasardeuse sur des sites dispersés, mais d’une mise en commun de dizaines de témoignages et d’images permettant d’avoir une vue d’ensemble des pratiques policières », annoncent les auteurs dans un communiqué de lancement.
Ils se disent membres d’un « collectif de citoyens souhaitant lutter par la transparence et l’information contre les violences policières » et affirment agir sous couvert d’un avis de recommandation de la Commission nationale de déontologie datant de 2005. « Les journalistes et les particuliers ont le droit de photographier et de diffuser des photos des forces de l’ordre si elles ne portent pas atteinte à la liberté de la personne ou au secret de l’instruction. Les seules exceptions sont les forces de l’ordre affectées dans des services d’intervention, à la lutte antiterroriste ou au contre-espionnage, en vertu de l’arrêté du 27 juin 2008 », avertit cette commission. D’ailleurs, les membres lillois d’Indymedia listent, depuis 2006, les identités et les photos des membres des BAC locales, principalement pêchées sur Facebook et assurent que « depuis quatre ans, jamais une plainte n’a été recensée ».
"Effet de prolifération"
Le site Copwatch est hébergé aux Etats-Unis. Or, lorsque l’hébergeur se trouve dans un pays hors de l’Union européenne, il est nécessaire d’obtenir une décision de justice en France afin d’essayer de la faire appliquer dans le pays concerné. L’ancien ministre de l’Intérieur Brice Hortefeux avait ainsi tenté, en juillet 2010, de s’attaquer au site Grenoble.indymédia, sur lequel les policiers étaient traités de « troupe d’assassins » et la BAC de « bande armée criminelle ». Mais, six mois plus tard, le site était encore ouvert, et les propos incriminés toujours visibles. Le nombre de visiteurs mensuels de la page Web aurait même fortement augmenté. Quelques mois plus tard, ils écrivaient : « Après avoir fait autant de pub sur le copwatching, mode d’action maintenant criminalisé et considéré comme anti-flics, c’est un effet de prolifération qui risque d’entraîner d’autres publications dans d’autres villes. »
En Autriche, l’identité de 25.000 policiers publiée sur le Net
La branche autrichienne du groupe de pirates informatiques Anonymous (AnonAustria) a publié récemment des données concernant près de 25.000 policiers autrichiens. Le groupe nie avoir piraté les sites des autorités, indiquant que les informations – nom, prénoms, date de naissance et adresse – lui ont été « mises à disposition ». Ces données auraient été obtenues via une organisation proche de la police, a indiqué le ministère de l’Intérieur, qui mène l’enquête. AnonAustria entend par cette action protester contre la loi sur le stockage des données qui doit entrer en vigueur l’année prochaine : « Personne n’a rien à cacher, n’est-ce pas ? », a commenté AnonAustria sur Twitter. Les pirates d’Anonymous se sont attaqués ces derniers mois en Autriche aux sites du parti d’extrême droite FPÖ, du parti social-démocrate SPÖ et aux données de l’organisme GIS, chargé de la collecte de la redevance audiovisuelle
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Copwatch diffuse des informations personnelles sur des gardiens de la paix. Le ministre de l’Intérieur a déposé plainte.
La chasse est ouverte. « Policiers, nous vous identifierons tous un à un. Que votre impunité trouve une fin », avertissent les créateurs du site Copwatch Nord - Ile-de-France qui, depuis la semaine dernière, fiche les policiers lillois, calaisiens et parisiens. Face à leur photo, leurs nom, prénoms, affectation et des indications sur leur personnalité comme « attitude agressive dans diverses situations » ou « n’hésite pas à faire charger dans le tas ». Alerté par le syndicat de police Alliance, le ministre de l’Intérieur, Claude Guéant, a décidé, mercredi, de déposer deux plaintes en diffamation.
« Ces commentaires portent gravement atteinte à l’honneur et à la réputation de fonctionnaires de police et de militaires de la gendarmerie. Ces propos scandaleux, assortis de photographies, de l’identité et, quelquefois des adresses des intéressés, nuisent aux personnels du ministère de l’Intérieur, et mettent en péril leur sécurité ainsi que celle de leurs familles », indique le porte-parole du ministère de l’Intérieur, Pierre-Henry Brandet. Et ce dernier de préciser : « Au-delà, c’est toute l’institution qui est salie, raison pour laquelle ce genre de dérive doit cesser au plus vite. A l’avenir, tout propos diffamatoire fera systématiquement l’objet de dépôt de plainte. »
"Une vue d’ensemble des pratiques policières"
L’affaire débute en décembre dernier. Un « site d’information alternatif », Paris.indymedia, mettait en ligne plusieurs photos de policier en civil, prises durant des manifestations, accompagnées de commentaires tels que « sans brassard, gueule invisible pour bien caillasser ». Quelques jours plus tard, alerté par un communiqué du syndicat de gardiens de la paix Alliance, Brice Hortefeux annonçait son intention de déposer plainte. Les photos litigieuses et les commentaires diffamatoires étaient alors retirés. Mais, la semaine dernière, les mêmes personnes ont, semble-t-il, récidivé. « Désormais, il ne sera plus question de quelques photos publiées de façon hasardeuse sur des sites dispersés, mais d’une mise en commun de dizaines de témoignages et d’images permettant d’avoir une vue d’ensemble des pratiques policières », annoncent les auteurs dans un communiqué de lancement.
Ils se disent membres d’un « collectif de citoyens souhaitant lutter par la transparence et l’information contre les violences policières » et affirment agir sous couvert d’un avis de recommandation de la Commission nationale de déontologie datant de 2005. « Les journalistes et les particuliers ont le droit de photographier et de diffuser des photos des forces de l’ordre si elles ne portent pas atteinte à la liberté de la personne ou au secret de l’instruction. Les seules exceptions sont les forces de l’ordre affectées dans des services d’intervention, à la lutte antiterroriste ou au contre-espionnage, en vertu de l’arrêté du 27 juin 2008 », avertit cette commission. D’ailleurs, les membres lillois d’Indymedia listent, depuis 2006, les identités et les photos des membres des BAC locales, principalement pêchées sur Facebook et assurent que « depuis quatre ans, jamais une plainte n’a été recensée ».
"Effet de prolifération"
Le site Copwatch est hébergé aux Etats-Unis. Or, lorsque l’hébergeur se trouve dans un pays hors de l’Union européenne, il est nécessaire d’obtenir une décision de justice en France afin d’essayer de la faire appliquer dans le pays concerné. L’ancien ministre de l’Intérieur Brice Hortefeux avait ainsi tenté, en juillet 2010, de s’attaquer au site Grenoble.indymédia, sur lequel les policiers étaient traités de « troupe d’assassins » et la BAC de « bande armée criminelle ». Mais, six mois plus tard, le site était encore ouvert, et les propos incriminés toujours visibles. Le nombre de visiteurs mensuels de la page Web aurait même fortement augmenté. Quelques mois plus tard, ils écrivaient : « Après avoir fait autant de pub sur le copwatching, mode d’action maintenant criminalisé et considéré comme anti-flics, c’est un effet de prolifération qui risque d’entraîner d’autres publications dans d’autres villes. »
En Autriche, l’identité de 25.000 policiers publiée sur le Net
La branche autrichienne du groupe de pirates informatiques Anonymous (AnonAustria) a publié récemment des données concernant près de 25.000 policiers autrichiens. Le groupe nie avoir piraté les sites des autorités, indiquant que les informations – nom, prénoms, date de naissance et adresse – lui ont été « mises à disposition ». Ces données auraient été obtenues via une organisation proche de la police, a indiqué le ministère de l’Intérieur, qui mène l’enquête. AnonAustria entend par cette action protester contre la loi sur le stockage des données qui doit entrer en vigueur l’année prochaine : « Personne n’a rien à cacher, n’est-ce pas ? », a commenté AnonAustria sur Twitter. Les pirates d’Anonymous se sont attaqués ces derniers mois en Autriche aux sites du parti d’extrême droite FPÖ, du parti social-démocrate SPÖ et aux données de l’organisme GIS, chargé de la collecte de la redevance audiovisuelle
France soirÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012
Un quart des piscines parisiennes fermées !
Vidanges, microbes, grèves… Les multiples fermetures de bassins agacent les nageurs.
L'été indien est morose pour les nageurs parisiens. Depuis la rentrée, de nombreuses piscines municipales de la capitale sont fermées. Aujourd'hui, neuf sur trente-huit présentent porte close. C'est mieux que début septembre où pas moins de dix-sept d'entre elles avaient tiré le rideau. Notamment dans le XVe, le plus grand arrondissement de Paris, où pendant plusieurs semaines seule la piscine Keller était ouverte ! Cas emblématique : la piscine Émile-Anthoine, à quelques jets de pierre de la tour Eiffel, fermée depuis de longs mois en raison de la présence d'un microbe tenace dont les services de la Ville n'arrivent pas à se débarrasser, en dépit de nombreux traitements. En dernière extrémité, la Ville réfléchit ni plus ni moins à changer le bassin, soit engager des travaux jusqu'en… 2014.
Au total, en cette fin septembre, neuf bassins seront inaccessibles au public ce week-end, soit près d'un quart des piscines municipales, et certains pour encore longtemps. La piscine Valeyre, dans le IXe, est en travaux jusqu'au 9 octobre. Dans le Ve, la piscine Jean-Taris est close depuis fin août jusqu'au 7 novembre, tandis que celle de la Cour des Lions, dans le XIe, va subir une lourde rénovation jusqu'en mars. Non loin, dans le XIIIe, la piscine Joséphine-Baker, sur la Seine, subit des travaux de carénage jusqu'à début novembre.
Entretien inégal
En réalité, les piscines parisiennes sont souvent vétustes, voire dégradées, notamment au regard de normes d'hygiène de plus en plus strictes. C'est le cas de la nouvelle réglementation sur la légionelle qui oblige à modifier les réseaux d'eau. Dans le viseur, le système de désinfection, considéré comme obsolète dans de nombreux lieux. «Il est dommage que les travaux des piscines se fassent en même temps dans tout Paris…», se désole Christophe Clément, animateur d'un site communautaire sur les piscines parisiennes, nageurs.com. Mais les services de la Ville admettent qu'ils ont pu être pris de court, comme avec le bassin de la piscine Dunois (XIIIe).
En réalité, l'entretien courant est très inégal d'un établissement à l'autre car il dépend largement, indique-t-on à la Mairie, de la direction de chaque entité et de son personnel. Du coup, certaines se dégradent plus rapidement que d'autres. L'âge des équipements peut entraîner de lourdes rénovations, comme cela sera le cas prochainement pour la piscine de la Butte aux Cailles. Pour pallier ces fermetures, la direction des sports de la Mairie a certes prolongé les horaires. Mais ils restent encore trop étriqués au goût de nombreux Parisiens. Tôt le matin, à l'heure du déjeuner ou le soir, les sportifs doivent donc jongler avec leur emploi du temps. Sans parler des grèves. Selon Jean Vuillermoz, l'adjoint au sport, ce sujet sera prioritaire lors d'une éventuelle prochaine mandature. Certes, mais c'est ce week-end qu'il fait beau !
Le figaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Vidanges, microbes, grèves… Les multiples fermetures de bassins agacent les nageurs.
L'été indien est morose pour les nageurs parisiens. Depuis la rentrée, de nombreuses piscines municipales de la capitale sont fermées. Aujourd'hui, neuf sur trente-huit présentent porte close. C'est mieux que début septembre où pas moins de dix-sept d'entre elles avaient tiré le rideau. Notamment dans le XVe, le plus grand arrondissement de Paris, où pendant plusieurs semaines seule la piscine Keller était ouverte ! Cas emblématique : la piscine Émile-Anthoine, à quelques jets de pierre de la tour Eiffel, fermée depuis de longs mois en raison de la présence d'un microbe tenace dont les services de la Ville n'arrivent pas à se débarrasser, en dépit de nombreux traitements. En dernière extrémité, la Ville réfléchit ni plus ni moins à changer le bassin, soit engager des travaux jusqu'en… 2014.
Au total, en cette fin septembre, neuf bassins seront inaccessibles au public ce week-end, soit près d'un quart des piscines municipales, et certains pour encore longtemps. La piscine Valeyre, dans le IXe, est en travaux jusqu'au 9 octobre. Dans le Ve, la piscine Jean-Taris est close depuis fin août jusqu'au 7 novembre, tandis que celle de la Cour des Lions, dans le XIe, va subir une lourde rénovation jusqu'en mars. Non loin, dans le XIIIe, la piscine Joséphine-Baker, sur la Seine, subit des travaux de carénage jusqu'à début novembre.
Entretien inégal
En réalité, les piscines parisiennes sont souvent vétustes, voire dégradées, notamment au regard de normes d'hygiène de plus en plus strictes. C'est le cas de la nouvelle réglementation sur la légionelle qui oblige à modifier les réseaux d'eau. Dans le viseur, le système de désinfection, considéré comme obsolète dans de nombreux lieux. «Il est dommage que les travaux des piscines se fassent en même temps dans tout Paris…», se désole Christophe Clément, animateur d'un site communautaire sur les piscines parisiennes, nageurs.com. Mais les services de la Ville admettent qu'ils ont pu être pris de court, comme avec le bassin de la piscine Dunois (XIIIe).
En réalité, l'entretien courant est très inégal d'un établissement à l'autre car il dépend largement, indique-t-on à la Mairie, de la direction de chaque entité et de son personnel. Du coup, certaines se dégradent plus rapidement que d'autres. L'âge des équipements peut entraîner de lourdes rénovations, comme cela sera le cas prochainement pour la piscine de la Butte aux Cailles. Pour pallier ces fermetures, la direction des sports de la Mairie a certes prolongé les horaires. Mais ils restent encore trop étriqués au goût de nombreux Parisiens. Tôt le matin, à l'heure du déjeuner ou le soir, les sportifs doivent donc jongler avec leur emploi du temps. Sans parler des grèves. Selon Jean Vuillermoz, l'adjoint au sport, ce sujet sera prioritaire lors d'une éventuelle prochaine mandature. Certes, mais c'est ce week-end qu'il fait beau !
Le figaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012
Les écoliers voient de moins en moins leurs parents
Selon une étude de l'Insee sur les rythmes scolaires, 42% des élèves du primaire ne retrouvent pas leurs parents à la sortie de l'école.
Le mercredi, c'est le jour des enfants. Plus rarement celui des parents. Un quart des écoliers de primaire ne les voient pas durant cette journée de temps libre. Près d'un sur deux (42%) quand le père et la mère travaillent, selon une étude de l'Insee première sur «le temps périscolaire et les contraintes professionnelles des parents». Ce pourcentage grimpe à 57 % pour les enfants de cadres.
Sport et cours particulier
Les autres jours de la semaine, les plus petits doivent également patienter avant de passer du temps avec papa ou maman. Là encore, 42 % ne les retrouvent pas après l'école quand les deux ont un emploi. En parallèle, activités de loisir et petits cours prennent une place plus importante dans la vie des enfants. «Alors que la présence des parents se fait plus rare au fil des années, les activités extrascolaires s'intensifient : un peu plus de 40 % des élèves de primaire et des collégiens font du sport ou suivent des cours particuliers le mercredi», recense l'Insee.
Temps partagé sans pression
Ces chiffres sont-il révélateurs d'un manque de temps partagés entre parents et enfants ?«Il montrent avant tout que les parents sont obligés de bricoler entre les voisins, les gardes, les centres aérés pour s'organiser, estime Anne Lamy, auteur d'un essai sur le désarroi des parents.Mais plus que la question du temps disponible, il faut se poser la question du temps que l'on partage avec ses enfants sans pressions».«Il ne faut pas culpabiliser les parents, renchérit la psychanalyste Laurence Croix, auteur de l'essai Le Père dans tous ses états. Certes, ils voient moins leur mère qu'il y a 40 ans car les femmes travaillent mais ils passent aussi plus de temps avec leur père. Le centre de loisirs peut aussi être une bouffée d'air pour les enfants, qui étouffent parfois entre la pression des parents et celle de l'école, aujourd'hui bien plus forte qu'autrefois»
L'entrée au collège, début de l'autonomie
Les parents entourent d'ailleurs avec beaucoup d'attention les plus jeunes. La très grande majorité des enfants de maternelle partent à l'école et rentrent chez eux avec au moins un de leurs parents, souligne l'Insee. Et, une fois rentrés à la maison, plus de neuf sur dix retrouvent leur père ou plus souvent, leur mère. L'entrée au collège signe le début de la prise d'autonomie.
70% des collégiens rentrent seuls
A la fin de la journée, 70 % des collégiens se débrouillent pour rentrer seuls ou avec des camarades chez eux. Ils sont par contre moins nombreux à rester sans personne à la maison en fin de journée (16 %) ou le mercredi (12%). Des collégiennes comme Isadora, 13 ans, n'ont pas le choix. Sa maman rentre «au mieux à 20 heures», et se désole de cette situation «qui n'est commode pour personne». Elle anticipe en remplissant le frigo mais la collégienne ne peut compter que sur elle-même pour préparer son déjeuner du mercredi et faire ses devoirs.
Le figaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Selon une étude de l'Insee sur les rythmes scolaires, 42% des élèves du primaire ne retrouvent pas leurs parents à la sortie de l'école.
Le mercredi, c'est le jour des enfants. Plus rarement celui des parents. Un quart des écoliers de primaire ne les voient pas durant cette journée de temps libre. Près d'un sur deux (42%) quand le père et la mère travaillent, selon une étude de l'Insee première sur «le temps périscolaire et les contraintes professionnelles des parents». Ce pourcentage grimpe à 57 % pour les enfants de cadres.
Sport et cours particulier
Les autres jours de la semaine, les plus petits doivent également patienter avant de passer du temps avec papa ou maman. Là encore, 42 % ne les retrouvent pas après l'école quand les deux ont un emploi. En parallèle, activités de loisir et petits cours prennent une place plus importante dans la vie des enfants. «Alors que la présence des parents se fait plus rare au fil des années, les activités extrascolaires s'intensifient : un peu plus de 40 % des élèves de primaire et des collégiens font du sport ou suivent des cours particuliers le mercredi», recense l'Insee.
Temps partagé sans pression
Ces chiffres sont-il révélateurs d'un manque de temps partagés entre parents et enfants ?«Il montrent avant tout que les parents sont obligés de bricoler entre les voisins, les gardes, les centres aérés pour s'organiser, estime Anne Lamy, auteur d'un essai sur le désarroi des parents.Mais plus que la question du temps disponible, il faut se poser la question du temps que l'on partage avec ses enfants sans pressions».«Il ne faut pas culpabiliser les parents, renchérit la psychanalyste Laurence Croix, auteur de l'essai Le Père dans tous ses états. Certes, ils voient moins leur mère qu'il y a 40 ans car les femmes travaillent mais ils passent aussi plus de temps avec leur père. Le centre de loisirs peut aussi être une bouffée d'air pour les enfants, qui étouffent parfois entre la pression des parents et celle de l'école, aujourd'hui bien plus forte qu'autrefois»
L'entrée au collège, début de l'autonomie
Les parents entourent d'ailleurs avec beaucoup d'attention les plus jeunes. La très grande majorité des enfants de maternelle partent à l'école et rentrent chez eux avec au moins un de leurs parents, souligne l'Insee. Et, une fois rentrés à la maison, plus de neuf sur dix retrouvent leur père ou plus souvent, leur mère. L'entrée au collège signe le début de la prise d'autonomie.
70% des collégiens rentrent seuls
A la fin de la journée, 70 % des collégiens se débrouillent pour rentrer seuls ou avec des camarades chez eux. Ils sont par contre moins nombreux à rester sans personne à la maison en fin de journée (16 %) ou le mercredi (12%). Des collégiennes comme Isadora, 13 ans, n'ont pas le choix. Sa maman rentre «au mieux à 20 heures», et se désole de cette situation «qui n'est commode pour personne». Elle anticipe en remplissant le frigo mais la collégienne ne peut compter que sur elle-même pour préparer son déjeuner du mercredi et faire ses devoirs.
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Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Actualités concours 2012
L'encre des cartons d'emballage contamine nos aliments
Les aliments conditionnés dans les emballages en carton absorbent les substances chimiques des encres contenues dans ces emballages, selon des tests réalisés par l'association UFC Que Choisir. Quelle est la proportion de produits contaminés ? Quels sont les risques ?
Nos cartons alimentaires seraient-ils toxiques ? Pas en eux-mêmes semble-t-il. En revanche les substances chimiques contenues dans les encres utilisées par les industriels de l’agroalimentaire sont pointées du doigt par l’association UFC Que choisir. Suite aux résultats de tests réalisés en Allemagne et en Suisse, celle-ci a décidé d’effectuer ses propres analyses en France. Résultat : les aliments contenus par ces emballages en carton seraient fortement contaminés par la migration des encres d’imprimerie… vers leur contenu.
« Sur les 20 produits testés, 14 contiennent des niveaux préoccupants d’huiles minérales provenant des encres de ces emballages en carton », signale l’association. En outre, « deux produits, le couscous graine Tipiak et la chapelure Leader Price contiennent respectivement 50 et 10 fois la dose maximale recommandée ». Cette dernière, déterminée par l’Organisation des Nations unies pour l’Alimentation et l’agriculture (FAO) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), se situe à 0,6 mg/kg. Quant aux huiles aromatiques, elles ont également été retrouvées dans ces aliments.
Avant d'être triés pour le recyclage, les cartons d'emballage laissent passer les substances chimiques des encres et contaminent les aliments.
Avant d'être triés pour le recyclage, les cartons d'emballage laissent passer les substances chimiques des encres et contaminent les aliments. © Boris, Flickr CC by nc-sa 2.0
Substances chimiques dans les aliments : que risque-t-on ?
Ces résultats « sont loin d’être anodins ». En effet, ces composés chimiques pourraient présenter un danger pour la santé. Aucune étude n’a démontré à ce jour la toxicité des huiles minérales saturées chez l’homme mais « les données sur les animaux sont particulièrement préoccupantes » souligne l’association. Elles peuvent en effet provoquer des dommages au foie, au cœur et aux ganglions lymphatiques. De leur côté, les huiles aromatiques de la famille des hydrocarbures aromatiques polycycliques sont classées comme cancérigènes, tératogènes (c’est-à-dire qu’ils provoquent des malformations du fœtus) et immuno-dépresseurs…
Il ne s’agit pas d’un phénomène marginal. Ces huiles minérales, en effet, se retrouvent dans 75 % des produits testés : pâtes alimentaires, riz, couscous, chapelure, sucre en poudre… L’union des consommateurs demande par conséquent « de définir sans plus attendre une réglementation sur les huiles minérales garantissant l’absence de dérivés pétroliers dans les aliments ». De plus, par mesure de précaution, elle « exige que les professionnels utilisent des encres végétales ou à faible (taux de) migration ».
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Les aliments conditionnés dans les emballages en carton absorbent les substances chimiques des encres contenues dans ces emballages, selon des tests réalisés par l'association UFC Que Choisir. Quelle est la proportion de produits contaminés ? Quels sont les risques ?
Nos cartons alimentaires seraient-ils toxiques ? Pas en eux-mêmes semble-t-il. En revanche les substances chimiques contenues dans les encres utilisées par les industriels de l’agroalimentaire sont pointées du doigt par l’association UFC Que choisir. Suite aux résultats de tests réalisés en Allemagne et en Suisse, celle-ci a décidé d’effectuer ses propres analyses en France. Résultat : les aliments contenus par ces emballages en carton seraient fortement contaminés par la migration des encres d’imprimerie… vers leur contenu.
« Sur les 20 produits testés, 14 contiennent des niveaux préoccupants d’huiles minérales provenant des encres de ces emballages en carton », signale l’association. En outre, « deux produits, le couscous graine Tipiak et la chapelure Leader Price contiennent respectivement 50 et 10 fois la dose maximale recommandée ». Cette dernière, déterminée par l’Organisation des Nations unies pour l’Alimentation et l’agriculture (FAO) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), se situe à 0,6 mg/kg. Quant aux huiles aromatiques, elles ont également été retrouvées dans ces aliments.
Avant d'être triés pour le recyclage, les cartons d'emballage laissent passer les substances chimiques des encres et contaminent les aliments.
Avant d'être triés pour le recyclage, les cartons d'emballage laissent passer les substances chimiques des encres et contaminent les aliments. © Boris, Flickr CC by nc-sa 2.0
Substances chimiques dans les aliments : que risque-t-on ?
Ces résultats « sont loin d’être anodins ». En effet, ces composés chimiques pourraient présenter un danger pour la santé. Aucune étude n’a démontré à ce jour la toxicité des huiles minérales saturées chez l’homme mais « les données sur les animaux sont particulièrement préoccupantes » souligne l’association. Elles peuvent en effet provoquer des dommages au foie, au cœur et aux ganglions lymphatiques. De leur côté, les huiles aromatiques de la famille des hydrocarbures aromatiques polycycliques sont classées comme cancérigènes, tératogènes (c’est-à-dire qu’ils provoquent des malformations du fœtus) et immuno-dépresseurs…
Il ne s’agit pas d’un phénomène marginal. Ces huiles minérales, en effet, se retrouvent dans 75 % des produits testés : pâtes alimentaires, riz, couscous, chapelure, sucre en poudre… L’union des consommateurs demande par conséquent « de définir sans plus attendre une réglementation sur les huiles minérales garantissant l’absence de dérivés pétroliers dans les aliments ». De plus, par mesure de précaution, elle « exige que les professionnels utilisent des encres végétales ou à faible (taux de) migration ».
Futura scienceÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
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