Actualités pour concours 2010
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Actualités pour concours 2010
H1N1 : enquête sur les risques du vaccin
Les experts se veulent plutôt rassurants, mais des incertitudes persistent.
Vaccins mis au point à la va-vite, contenant des conservateurs ou des adjuvants potentiellement toxiques… Les plus folles rumeurs circulent à propos des vaccins contre la grippe pandémique A (H1N1), dont l'administration devrait commencer courant octobre en France. Selon un récent sondage, un quart des Français seraient totalement rétifs à la vaccination. Et la défiance n'épargne pas les professionnels de santé. La Coordination nationale médicale santé environnement (CNMSE), qui revendique un millier d'adhérents professionnels de santé, demande des preuves scientifiques «démontrant que cette vaccination est nécessaire et sans danger notamment pour les femmes enceintes et les jeunes enfants» . L'organisation s'inquiète par exemple de la présence d'adjuvants - produits destinés à amplifier la réponse immunitaire au vaccin - comme le squalène, «mis en accusation dans le syndrome des vétérans de la guerre du Golfe». Elle s'interroge aussi sur le thiomersal, «conservateur contenant du mercure ». «Pour l'essentiel, les vaccins pandémiques ont la même composition que ceux utilisés sans problème depuis plus de soixante ans contre la grippe saisonnière», martèle le Dr Rebecca Martin, du bureau européen de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). «Les vaccins antigrippaux sont généralement bien tolérés, confirme le pneumologue Paul Léophonte, auteur de l'ouvrage Les Grippes en question (Éditions Privat). Les effets secondaires les plus fréquents sont des réactions locales. Plus rarement, on observe une réaction générale avec fièvre, fatigue, etc., rapidement réversible.» Quant aux complications neurologiques, tel le syndrome de Guillain-Barré - qui se traduit par des paralysies généralement régressives en quelques jours -, elles sont rarissimes : 1 cas sur 1 million. À part les antigènes viraux, quelles peuvent être les différences entre ces vaccins bien connus et les nouveaux vaccins pandémiques ? D'abord, la technique de production. Pour gagner du temps, l'américain Baxter a choisi de ne pas utiliser la classique culture sur œufs embryonnés et d'opter pour des cultures de cellules Vero, provenant de singes. «C'est une technologie nouvelle, qui est encore en cours de tests cliniques, mais elle n'inspire pas de crainte particulière», assure le Dr Martin.
Autre différence possible, la présence dans les vaccins pandémiques de conservateurs comme le thiomersal. Le recours à ce composé qui diminue le risque de contamination microbienne est justifié par le conditionnement en multidoses, mais sa composition à base de mercure inquiète les consommateurs. «Dans les années 2000, le thiomersal avait été retiré des vaccins car suspecté d'être à l'origine de troubles comme l'autisme, explique Fabienne Bartoli, de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé. Depuis, les études épidémiologiques ont montré que cette maladie continuait à progresser, ce qui est indirectement rassurant.» Selon elle, il est donc licite d'en utiliser, la balance entre ses bénéfices (certains pour éviter les contaminations bactériennes) et sa toxicité (non prouvée) restant positive. Qu'en est-il des adjuvants ? «Les vaccins saisonniers n'en contiennent pas, sauf le Gripguard (Novartis, NDLR), qui est surtout utilisé chez des personnes âgées, dont les réponses immunitaires sont plus faibles», indique le Pr Léophonte. Pour les vaccins pandémiques, les quatre laboratoires qui vont livrer la France ont leur propre stratégie. «L'intérêt de ces adjuvants est d'obtenir la même réponse immunitaire avec une quantité plus faible de vaccin. Dans une situation d'urgence sanitaire, cela nous permet donc de produire davantage», justifie Pascal Barollier, porte-parole de Sanofi-Pasteur. La firme mène des essais cliniques du vaccin contre le H1N1 avec ou sans un nouvel adjuvant, appelé AF03. «Au total, il a été testé sur plusieurs milliers d'individus », estime Pascal Barollier. Le recul est aussi limité sur l'adjuvant de GSK, appelé AS03, qui a été administré à environ 45 000 personnes, selon l'OMS. Novartis utilise un adjuvant nommé MF59, présent depuis plus de dix ans dans des vaccins saisonniers. «Plus de 40 millions de doses de cet adjuvant à base de squalène ont été administrées dans le monde, à des groupes à risques ou avec une immunosuppression, sans aucune alerte de pharmacovigilance», assure le Dr Martin.
Chez Baxter, aucun adjuvant n'est utilisé. Dans son avis sur la stratégie vaccinale, le Haut Conseil de la santé publique a recommandé de préférer les vaccins non adjuvantés dans certains groupes de populations (femmes enceintes et nourrissons, notamment).
Vaccination élargie
En l'absence de données à grande échelle sur les nouveaux adjuvants, le Pr Léophonte s'interroge cependant sur le bien-fondé d'une vaccination de masse. «Le vaccin se justifie chez les personnes à risque de formes graves. Mais il faut rester prudent quant à une campagne à grande échelle, qui multiplie les risques d'effets secondaires exceptionnels», relève-t-il. D'autres experts reconnus sont favorables à une vaccination élargie, pour protéger à la fois l'individu et la collectivité. Même si les technologies de fabrication des vaccins antigrippaux ont évolué ces dernières décennies, les 532 cas de Guillain-Barré (dont une trentaine mortels) survenus aux États-Unis en 1976 après la vaccination hâtive de 40 millions de personnes sont dans toutes les mémoires. «Les pays devront mettre en place des systèmes de pharmacovigilance réactifs et communiquer entre eux en temps réel», insiste Rebecca Martin.
lefigaro.frÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Les experts se veulent plutôt rassurants, mais des incertitudes persistent.
Vaccins mis au point à la va-vite, contenant des conservateurs ou des adjuvants potentiellement toxiques… Les plus folles rumeurs circulent à propos des vaccins contre la grippe pandémique A (H1N1), dont l'administration devrait commencer courant octobre en France. Selon un récent sondage, un quart des Français seraient totalement rétifs à la vaccination. Et la défiance n'épargne pas les professionnels de santé. La Coordination nationale médicale santé environnement (CNMSE), qui revendique un millier d'adhérents professionnels de santé, demande des preuves scientifiques «démontrant que cette vaccination est nécessaire et sans danger notamment pour les femmes enceintes et les jeunes enfants» . L'organisation s'inquiète par exemple de la présence d'adjuvants - produits destinés à amplifier la réponse immunitaire au vaccin - comme le squalène, «mis en accusation dans le syndrome des vétérans de la guerre du Golfe». Elle s'interroge aussi sur le thiomersal, «conservateur contenant du mercure ». «Pour l'essentiel, les vaccins pandémiques ont la même composition que ceux utilisés sans problème depuis plus de soixante ans contre la grippe saisonnière», martèle le Dr Rebecca Martin, du bureau européen de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). «Les vaccins antigrippaux sont généralement bien tolérés, confirme le pneumologue Paul Léophonte, auteur de l'ouvrage Les Grippes en question (Éditions Privat). Les effets secondaires les plus fréquents sont des réactions locales. Plus rarement, on observe une réaction générale avec fièvre, fatigue, etc., rapidement réversible.» Quant aux complications neurologiques, tel le syndrome de Guillain-Barré - qui se traduit par des paralysies généralement régressives en quelques jours -, elles sont rarissimes : 1 cas sur 1 million. À part les antigènes viraux, quelles peuvent être les différences entre ces vaccins bien connus et les nouveaux vaccins pandémiques ? D'abord, la technique de production. Pour gagner du temps, l'américain Baxter a choisi de ne pas utiliser la classique culture sur œufs embryonnés et d'opter pour des cultures de cellules Vero, provenant de singes. «C'est une technologie nouvelle, qui est encore en cours de tests cliniques, mais elle n'inspire pas de crainte particulière», assure le Dr Martin.
Autre différence possible, la présence dans les vaccins pandémiques de conservateurs comme le thiomersal. Le recours à ce composé qui diminue le risque de contamination microbienne est justifié par le conditionnement en multidoses, mais sa composition à base de mercure inquiète les consommateurs. «Dans les années 2000, le thiomersal avait été retiré des vaccins car suspecté d'être à l'origine de troubles comme l'autisme, explique Fabienne Bartoli, de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé. Depuis, les études épidémiologiques ont montré que cette maladie continuait à progresser, ce qui est indirectement rassurant.» Selon elle, il est donc licite d'en utiliser, la balance entre ses bénéfices (certains pour éviter les contaminations bactériennes) et sa toxicité (non prouvée) restant positive. Qu'en est-il des adjuvants ? «Les vaccins saisonniers n'en contiennent pas, sauf le Gripguard (Novartis, NDLR), qui est surtout utilisé chez des personnes âgées, dont les réponses immunitaires sont plus faibles», indique le Pr Léophonte. Pour les vaccins pandémiques, les quatre laboratoires qui vont livrer la France ont leur propre stratégie. «L'intérêt de ces adjuvants est d'obtenir la même réponse immunitaire avec une quantité plus faible de vaccin. Dans une situation d'urgence sanitaire, cela nous permet donc de produire davantage», justifie Pascal Barollier, porte-parole de Sanofi-Pasteur. La firme mène des essais cliniques du vaccin contre le H1N1 avec ou sans un nouvel adjuvant, appelé AF03. «Au total, il a été testé sur plusieurs milliers d'individus », estime Pascal Barollier. Le recul est aussi limité sur l'adjuvant de GSK, appelé AS03, qui a été administré à environ 45 000 personnes, selon l'OMS. Novartis utilise un adjuvant nommé MF59, présent depuis plus de dix ans dans des vaccins saisonniers. «Plus de 40 millions de doses de cet adjuvant à base de squalène ont été administrées dans le monde, à des groupes à risques ou avec une immunosuppression, sans aucune alerte de pharmacovigilance», assure le Dr Martin.
Chez Baxter, aucun adjuvant n'est utilisé. Dans son avis sur la stratégie vaccinale, le Haut Conseil de la santé publique a recommandé de préférer les vaccins non adjuvantés dans certains groupes de populations (femmes enceintes et nourrissons, notamment).
Vaccination élargie
En l'absence de données à grande échelle sur les nouveaux adjuvants, le Pr Léophonte s'interroge cependant sur le bien-fondé d'une vaccination de masse. «Le vaccin se justifie chez les personnes à risque de formes graves. Mais il faut rester prudent quant à une campagne à grande échelle, qui multiplie les risques d'effets secondaires exceptionnels», relève-t-il. D'autres experts reconnus sont favorables à une vaccination élargie, pour protéger à la fois l'individu et la collectivité. Même si les technologies de fabrication des vaccins antigrippaux ont évolué ces dernières décennies, les 532 cas de Guillain-Barré (dont une trentaine mortels) survenus aux États-Unis en 1976 après la vaccination hâtive de 40 millions de personnes sont dans toutes les mémoires. «Les pays devront mettre en place des systèmes de pharmacovigilance réactifs et communiquer entre eux en temps réel», insiste Rebecca Martin.
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Re: Actualités pour concours 2010
ORDRE INFIRMIER : Un mois supplémentaire pour l’inscription !
Simultanément aux différents mouvements et réactions des organisations professionnelles infirmières, l’Ordre National des Infirmiers vient d’adresser ce communiqué aux medias, dans lequel il « accorde un délai supplémentaire d’un mois jusqu’au 30 octobre 2009 pour les infirmiers qui n’ont pas reçu leur dossier d’inscription au tableau de l’Ordre dans les temps ». Ce communiqué est reproduit intégralement, sans commentaires, ci-dessous.
« L’Ordre National des Infirmiers, ONI, accorde un délai supplémentaire d’un mois jusqu’au 30 octobre 2009 pour les infirmiers qui n’ont pas reçu leur dossier d’inscription au tableau de l’Ordre dans les temps.
L’ONI réalise depuis le 1er septembre, la première inscription des infirmiers à son tableau ordinal. Certains infirmiers rencontrent des difficultés pour pouvoir s’inscrire. Ils s’inquiètent du risque d’être considérés en exercice illégal de la profession.
L’Ordre fait actuellement face à des attaques virulentes et de mauvaise foi, et à des tentatives concertées de bloquer l’inscription des infirmiers au tableau :
• Des courriers sont détournés. Des établissements de santé ont bloqué la distribution de courriers, au mépris de la loi. En effet, “ le fait, commis de mauvaise foi, d’ouvrir, de supprimer, de retarder ou de détourner des correspondances arrivées ou non à destination et adressées à des tiers, ou d’en prendre frauduleusement connaissance ” est un grave délit, puni d’emprisonnement et d’une amende de 45 000 €. Lorsqu’il s’agit d’un détournement commis ou facilité par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public, la peine est aggravée(1).
De tels agissements privent, à leur insu, les infirmiers de leurs droits, et les exposent à de lourdes conséquences qu’ils devront assumer individuellement.
L’Ordre entend rappeler chacun au respect de la loi.
• La désinformation est organisée. Certains prétendent que le contenu du dossier d’inscription et la cotisation sont illégaux. Or, tous les éléments du dossier d’inscription serviront à alimenter le répertoire partagé des professionnels de santé (RPPS), institué par la loi(2) pour permettre de simplifier les démarches et la mobilité de ces professionnels. Il remplacera à terme le répertoire ADELI.
La demande d’un extrait du casier judiciaire n°2 permet d’assurer que les infirmiers et infirmières remplissent les conditions de moralité nécessaires et ne présentent pas de dangerosité à l’égard des patients. L’Ordre assure ainsi sa mission de garantir l’honneur de la profession et la sécurité des soins pour le patient.
1 Art. 226-15 et art. 432-9 du Code pénal
2 Art. L 4311-15 du Code de la Santé Publique
• Des appels irresponsables et contre nature sont lancés. Les appels à la grève contre l’Ordre et à un boycott des inscriptions sont irresponsables et totalement contraires à l’intérêt des infirmières et des infirmiers.
Les missions dévolues à un Ordre et celles d’un syndicat sont, par nature, complémentaires. Celles des syndicats sont de négocier les rémunérations et d’améliorer les conditions de travail. L’Ordre, quant à lui, assurera l’indépendance et la promotion de la profession dans son ensemble.
Avoir un Ordre signifie pour la profession infirmière :
• être distinguée par la loi comme jouant un rôle décisif pour l’intérêt général ;
• définir une déontologie, c’est-à-dire des devoirs que ses membres doivent observer, au profit des patients et de la santé publique, et pouvoir juger disciplinairement ceux d’entre eux qui ne les respecteraient pas ;
• contribuer, par de multiples actions, à la compétence et à la qualité de l’exercice professionnel ;
• et d’une manière générale, se gouverner elle-même, à sa propre charge financière. Mais avec, en contrepartie, un levier sans pareil pour s’assurer une reconnaissance à la mesure de son potentiel dans de très nombreux secteurs d’activité, pour les soins, la prévention, l’éducation et l’accompagnement des personnes (usagers et patients).
santelog 01/10/09
Avec un Ordre, la profession est plus forte et devient actrice responsable de son avenir.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Simultanément aux différents mouvements et réactions des organisations professionnelles infirmières, l’Ordre National des Infirmiers vient d’adresser ce communiqué aux medias, dans lequel il « accorde un délai supplémentaire d’un mois jusqu’au 30 octobre 2009 pour les infirmiers qui n’ont pas reçu leur dossier d’inscription au tableau de l’Ordre dans les temps ». Ce communiqué est reproduit intégralement, sans commentaires, ci-dessous.
« L’Ordre National des Infirmiers, ONI, accorde un délai supplémentaire d’un mois jusqu’au 30 octobre 2009 pour les infirmiers qui n’ont pas reçu leur dossier d’inscription au tableau de l’Ordre dans les temps.
L’ONI réalise depuis le 1er septembre, la première inscription des infirmiers à son tableau ordinal. Certains infirmiers rencontrent des difficultés pour pouvoir s’inscrire. Ils s’inquiètent du risque d’être considérés en exercice illégal de la profession.
L’Ordre fait actuellement face à des attaques virulentes et de mauvaise foi, et à des tentatives concertées de bloquer l’inscription des infirmiers au tableau :
• Des courriers sont détournés. Des établissements de santé ont bloqué la distribution de courriers, au mépris de la loi. En effet, “ le fait, commis de mauvaise foi, d’ouvrir, de supprimer, de retarder ou de détourner des correspondances arrivées ou non à destination et adressées à des tiers, ou d’en prendre frauduleusement connaissance ” est un grave délit, puni d’emprisonnement et d’une amende de 45 000 €. Lorsqu’il s’agit d’un détournement commis ou facilité par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public, la peine est aggravée(1).
De tels agissements privent, à leur insu, les infirmiers de leurs droits, et les exposent à de lourdes conséquences qu’ils devront assumer individuellement.
L’Ordre entend rappeler chacun au respect de la loi.
• La désinformation est organisée. Certains prétendent que le contenu du dossier d’inscription et la cotisation sont illégaux. Or, tous les éléments du dossier d’inscription serviront à alimenter le répertoire partagé des professionnels de santé (RPPS), institué par la loi(2) pour permettre de simplifier les démarches et la mobilité de ces professionnels. Il remplacera à terme le répertoire ADELI.
La demande d’un extrait du casier judiciaire n°2 permet d’assurer que les infirmiers et infirmières remplissent les conditions de moralité nécessaires et ne présentent pas de dangerosité à l’égard des patients. L’Ordre assure ainsi sa mission de garantir l’honneur de la profession et la sécurité des soins pour le patient.
1 Art. 226-15 et art. 432-9 du Code pénal
2 Art. L 4311-15 du Code de la Santé Publique
• Des appels irresponsables et contre nature sont lancés. Les appels à la grève contre l’Ordre et à un boycott des inscriptions sont irresponsables et totalement contraires à l’intérêt des infirmières et des infirmiers.
Les missions dévolues à un Ordre et celles d’un syndicat sont, par nature, complémentaires. Celles des syndicats sont de négocier les rémunérations et d’améliorer les conditions de travail. L’Ordre, quant à lui, assurera l’indépendance et la promotion de la profession dans son ensemble.
Avoir un Ordre signifie pour la profession infirmière :
• être distinguée par la loi comme jouant un rôle décisif pour l’intérêt général ;
• définir une déontologie, c’est-à-dire des devoirs que ses membres doivent observer, au profit des patients et de la santé publique, et pouvoir juger disciplinairement ceux d’entre eux qui ne les respecteraient pas ;
• contribuer, par de multiples actions, à la compétence et à la qualité de l’exercice professionnel ;
• et d’une manière générale, se gouverner elle-même, à sa propre charge financière. Mais avec, en contrepartie, un levier sans pareil pour s’assurer une reconnaissance à la mesure de son potentiel dans de très nombreux secteurs d’activité, pour les soins, la prévention, l’éducation et l’accompagnement des personnes (usagers et patients).
santelog 01/10/09
Avec un Ordre, la profession est plus forte et devient actrice responsable de son avenir.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités pour concours 2010
Les douanes lyonnaises ont intercepté 300 000 masques non conformes contre le virus A/H1N1 au moins d'août et septembre. Provenant de Suisse et de Chine, les masques filtrants n'étaient pas aux normes de la communauté européenne.
Près de 300.000 masques chinois de protection contre la grippe H1N1, "non conformes" aux normes européennes, ont été saisis en août et septembre à l'aéroport de Lyon, ont annoncé mercredi les services des douanes dans un communiqué.
Des ouvriers portent des masques dans une entreprise.
Début août, les douanes ont contrôlé et renvoyé en Chine 50.000 masques filtrants importés par "une société de l'agglomération lyonnaise", qui n'a pu produire les attestations de conformité aux normes européennes de ces protections.
Près de 250.000 masques chinois ont par ailleurs été saisis en septembre alors qu'une "autre société lyonnaise de produits pharmaceutiques" tentait de les importer "en provenance de Suisse". Ils étaient également "dépourvus du marquage CE", ajoutent les services des douanes.
Selon une porte-parole des douanes de Lyon, "de plus en plus de masques" sont actuellement importés en France, alors que les industriels français ont reconnu début septembre que la demande excédait leurs capacités de production.
Une partie de ces masques vient "tout à fait légalement de Chine, où se trouve un laboratoire d'analyse agréé par l'Union européenne", qui délivre notamment les certificats de conformité, a précisé à l'AFP la porte-parole des Douanes.
l'expresse.frÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Près de 300.000 masques chinois de protection contre la grippe H1N1, "non conformes" aux normes européennes, ont été saisis en août et septembre à l'aéroport de Lyon, ont annoncé mercredi les services des douanes dans un communiqué.
Des ouvriers portent des masques dans une entreprise.
Début août, les douanes ont contrôlé et renvoyé en Chine 50.000 masques filtrants importés par "une société de l'agglomération lyonnaise", qui n'a pu produire les attestations de conformité aux normes européennes de ces protections.
Près de 250.000 masques chinois ont par ailleurs été saisis en septembre alors qu'une "autre société lyonnaise de produits pharmaceutiques" tentait de les importer "en provenance de Suisse". Ils étaient également "dépourvus du marquage CE", ajoutent les services des douanes.
Selon une porte-parole des douanes de Lyon, "de plus en plus de masques" sont actuellement importés en France, alors que les industriels français ont reconnu début septembre que la demande excédait leurs capacités de production.
Une partie de ces masques vient "tout à fait légalement de Chine, où se trouve un laboratoire d'analyse agréé par l'Union européenne", qui délivre notamment les certificats de conformité, a précisé à l'AFP la porte-parole des Douanes.
l'expresse.frÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités pour concours 2010
VIH et TARV : Vers un ACCES EQUITABLE
L’OMS, ONUSIDA et l’UNICEF sont déterminés à parvenir à un « accès équitable au traitement ». En 2009, ce sont maintenant 4 millions de personnes infectées au VIH qui ont accès au traitement antirétroviral (TARV) qui n’était à portée en 2007 que de 3 millions de malades. En l’espace de deux années, un million de personnes supplémentaire ont donc pu accéder au traitement, en particulier en Afrique subsaharienne qui concentre les deux tiers des infections au VIH.
Depuis que le VIH/sida a été décrit pour la première fois en 1981, on estime à 60 millions le nombre de personnes qui ont été infectées par le VIH, dont 20 millions sont décédées. L'ONUSIDA indique que moins d'une personne sur cinq exposée au risque d'infection par le virus a accès à des services de prévention de base. Par ailleurs, seules 24% des personnes ayant besoin d'un traitement antirétroviral (TARV) contre le VIH y avaient accès au milieu de 2006. À la fin 2007, près de 3 millions de personnes avaient accès au TARV dans les régions disposant de peu de ressources mais au même moment ce sont 33 millions de personnes qui vivent avec le VIH dont deux tiers des d’infections recensées sont situées en Afrique subsaharienne.
Mais, l’accès au traitement antirétroviral (TARV) continue à s’élargir rapidement. Dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, 42% des 9,5 millions de personnes qui avaient besoin d’un traitement y avaient effectivement accès en 2008, contre 33% en 2007. C’est en Afrique subsaharienne que l’on a constaté les plus grands progrès.
Ce nouveau rapport publié le 30 septembre par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF) et le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA), intitulé Vers un accès universel annonce une formidable augmentation de 36% en un an et une multiplication par dix sur cinq ans du nombre des patients ayant accès au TARV.
L’extension de la prévention, du conseil et du dépistage du VIH et d’un meilleur accès aux services de prévention mère-enfant apporte sa contribution à la réduction de l’épidémie. Les pays de la Région africaine de l’OMS ont effectué des progrès réguliers, annonce l’OMS lors de son Comité régional pour l’Afrique. Avec 30 millions d’habitants infectés par le VIH, la tâche est immense mais la Prévention de la transmission du VIH de la mère à l’enfant (PTME) s’est beaucoup développée, tout comme l’utilisation des préservatifs et l’accès aux traitements antirétroviraux. La circoncision reste une mesure encouragée sur le terrain, par l’OMS. Entre 2007 et mi 2008, tous les districts auraient mis en place au moins une institution de dépistage et conseil pour le VIH (HCT). En 2007, 40 des 46 États Membres ont indiqué que 100 % du sang qu’ils ont utilisé pour les transfusions ont été testés pour le VIH, comparativement à 98 % en 2004. 34 % des femmes bénéficieraient depuis 2007, en Afrique d’interventions de prévention de la transmission mère-enfant (PTME) contre 10 % en 2005. 2,6 millions de patients auraient eu accès à une thérapie antirétrovirale à la date de juin 2008, soit une augmentation de 24 % en six mois seulement, et un accroissement du taux “d’utilisation des préservatifs lors du dernier rapport sexuel à haut risque” chez les personnes âgées de 15 à 49 ans variant de 26 % à 71 % pour les hommes et de 14 % à 47 % pour les femmes.
Le prix des traitements est en baisse mais pas suffisamment : Le prix des antirétroviraux les plus couramment utilisés a très nettement baissé ces dernières années, ce qui a permis de rendre le traitement plus accessible. Le Président Clinton a ainsi obtenu, mi-août, deux accords essentiels pour la prise en charge, dans les pays en développement de deux fléaux, l’infection au VIH et la tuberculose. En effet, 4 traitements antirétroviraux (TARV) de seconde intention seront accessibles pour un montant annuel inférieur à 500 dollars. Cependant, si le prix des traitements de première intention a baissé de 10% à 40% entre 2006 et 2008, les traitements de deuxième intention restent onéreux. L’AIDS Healthcare Foundation (AHF) a ainsi pressé le laboratoire Merck, Sharp & Dohme (MSD) de revoir à la baisse le prix de son nouveau médicament Isentress® (raltégravir) qui vient de recevoir un avis positif d'attribution de l'AMM, validé pour le traitement en première intention des patients jamais traités (patients naïfs) ou en association à d’autres antirétroviraux.
« Nous ne devons pas nous nous en tenir là. Au moins cinq millions de personnes vivant avec le VIH n’ont toujours pas accès à un traitement et à des soins qui pourraient améliorer leur espérance de vie » a déclaré le Dr Margaret Chan. Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’ONUSIDA va dans le même sens « Tous les indicateurs montrent que le nombre de personnes qui ont besoin d’un traitement a considérablement augmenté ces dernières années ».
santelogÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
L’OMS, ONUSIDA et l’UNICEF sont déterminés à parvenir à un « accès équitable au traitement ». En 2009, ce sont maintenant 4 millions de personnes infectées au VIH qui ont accès au traitement antirétroviral (TARV) qui n’était à portée en 2007 que de 3 millions de malades. En l’espace de deux années, un million de personnes supplémentaire ont donc pu accéder au traitement, en particulier en Afrique subsaharienne qui concentre les deux tiers des infections au VIH.
Depuis que le VIH/sida a été décrit pour la première fois en 1981, on estime à 60 millions le nombre de personnes qui ont été infectées par le VIH, dont 20 millions sont décédées. L'ONUSIDA indique que moins d'une personne sur cinq exposée au risque d'infection par le virus a accès à des services de prévention de base. Par ailleurs, seules 24% des personnes ayant besoin d'un traitement antirétroviral (TARV) contre le VIH y avaient accès au milieu de 2006. À la fin 2007, près de 3 millions de personnes avaient accès au TARV dans les régions disposant de peu de ressources mais au même moment ce sont 33 millions de personnes qui vivent avec le VIH dont deux tiers des d’infections recensées sont situées en Afrique subsaharienne.
Mais, l’accès au traitement antirétroviral (TARV) continue à s’élargir rapidement. Dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, 42% des 9,5 millions de personnes qui avaient besoin d’un traitement y avaient effectivement accès en 2008, contre 33% en 2007. C’est en Afrique subsaharienne que l’on a constaté les plus grands progrès.
Ce nouveau rapport publié le 30 septembre par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF) et le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA), intitulé Vers un accès universel annonce une formidable augmentation de 36% en un an et une multiplication par dix sur cinq ans du nombre des patients ayant accès au TARV.
L’extension de la prévention, du conseil et du dépistage du VIH et d’un meilleur accès aux services de prévention mère-enfant apporte sa contribution à la réduction de l’épidémie. Les pays de la Région africaine de l’OMS ont effectué des progrès réguliers, annonce l’OMS lors de son Comité régional pour l’Afrique. Avec 30 millions d’habitants infectés par le VIH, la tâche est immense mais la Prévention de la transmission du VIH de la mère à l’enfant (PTME) s’est beaucoup développée, tout comme l’utilisation des préservatifs et l’accès aux traitements antirétroviraux. La circoncision reste une mesure encouragée sur le terrain, par l’OMS. Entre 2007 et mi 2008, tous les districts auraient mis en place au moins une institution de dépistage et conseil pour le VIH (HCT). En 2007, 40 des 46 États Membres ont indiqué que 100 % du sang qu’ils ont utilisé pour les transfusions ont été testés pour le VIH, comparativement à 98 % en 2004. 34 % des femmes bénéficieraient depuis 2007, en Afrique d’interventions de prévention de la transmission mère-enfant (PTME) contre 10 % en 2005. 2,6 millions de patients auraient eu accès à une thérapie antirétrovirale à la date de juin 2008, soit une augmentation de 24 % en six mois seulement, et un accroissement du taux “d’utilisation des préservatifs lors du dernier rapport sexuel à haut risque” chez les personnes âgées de 15 à 49 ans variant de 26 % à 71 % pour les hommes et de 14 % à 47 % pour les femmes.
Le prix des traitements est en baisse mais pas suffisamment : Le prix des antirétroviraux les plus couramment utilisés a très nettement baissé ces dernières années, ce qui a permis de rendre le traitement plus accessible. Le Président Clinton a ainsi obtenu, mi-août, deux accords essentiels pour la prise en charge, dans les pays en développement de deux fléaux, l’infection au VIH et la tuberculose. En effet, 4 traitements antirétroviraux (TARV) de seconde intention seront accessibles pour un montant annuel inférieur à 500 dollars. Cependant, si le prix des traitements de première intention a baissé de 10% à 40% entre 2006 et 2008, les traitements de deuxième intention restent onéreux. L’AIDS Healthcare Foundation (AHF) a ainsi pressé le laboratoire Merck, Sharp & Dohme (MSD) de revoir à la baisse le prix de son nouveau médicament Isentress® (raltégravir) qui vient de recevoir un avis positif d'attribution de l'AMM, validé pour le traitement en première intention des patients jamais traités (patients naïfs) ou en association à d’autres antirétroviraux.
« Nous ne devons pas nous nous en tenir là. Au moins cinq millions de personnes vivant avec le VIH n’ont toujours pas accès à un traitement et à des soins qui pourraient améliorer leur espérance de vie » a déclaré le Dr Margaret Chan. Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’ONUSIDA va dans le même sens « Tous les indicateurs montrent que le nombre de personnes qui ont besoin d’un traitement a considérablement augmenté ces dernières années ».
santelogÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
┣▇▇▇═─ Infirmière aux urgences/SMUR !
Re: Actualités pour concours 2010
Bonjour,
Je passe mon concours le 10/10/09 à Tours et je voulais savoir si qqn avait des info sur le nouveau concours... Je voulais savoirs si les tests psychotechniques restent les mêmes, si l'aptitude verbale était toujours présente... N'ayant pas acheté de nouveaux livres pr ce nouveau concours je n'ai pas beaucoup d'info a ce sujet.
Merci et bon courage pour ceux qui sont comme moi... la tête dans les bouquins...
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Je passe mon concours le 10/10/09 à Tours et je voulais savoir si qqn avait des info sur le nouveau concours... Je voulais savoirs si les tests psychotechniques restent les mêmes, si l'aptitude verbale était toujours présente... N'ayant pas acheté de nouveaux livres pr ce nouveau concours je n'ai pas beaucoup d'info a ce sujet.
Merci et bon courage pour ceux qui sont comme moi... la tête dans les bouquins...

Re: Actualités pour concours 2010
Cette rubrique n'est pas bien appropiée pour répondre à ta question tu ne penses pas? ce que je sais, c'est qu'il n'y a plus d'aptitude verbale et qu'il n'y a plus qu'un seul texte avec 3 questions dessus, à la CG. Tu trouveras plus d'infos dans d'autres rubriques du forum.
En te souhaitant bon courage et bonne chance pour ton concours !!
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En te souhaitant bon courage et bonne chance pour ton concours !!

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- Choupii441
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- Inscription : 01 oct. 2009 21:21
Re: Actualités pour concours 2010
Coucou!
J'ai entendu parler que les concours de 2011 seront du niveau sage femme et qu'il faudra faire une année de médecine.
Est-ce vrai?
Merci!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
J'ai entendu parler que les concours de 2011 seront du niveau sage femme et qu'il faudra faire une année de médecine.
Est-ce vrai?
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Re: Actualités pour concours 2010
C'est l'élite d'une génération qui trinque. Les jeunes diplômés sortis en 2008 se sont très mal insérés et ceux de 2009 peinent plus encore. Traditionnellement mauvaise élève de l'OCDE, lorsqu'il s'agit de l'emploi des jeunes, la France voit encore sa situation s'aggraver. Telles sont les conclusions de la dernière enquête Apec (Association pour l'emploi des cadres) sur la situation professionnelle de la promotion 2008.
Le nombre de jeunes diplomés ayant trouvé un emploi est en recul. Huit mois après leur sortie du système éducatif, seuls 68 % des jeunes diplômés interrogés occupaient un poste. Ils étaient 82 %, un an auparavant.
Cette tendance défavorable est confirmée par l'évolution du volume d'offres publiées par l'Apec et ouvertes aux débutants. Entre janvier et août 2009, elles étaient en chute de 38 %. Preuve qu'il s'agit d'un problème de dysfonctionnement du marché du travail plus que d'inadaptation des formations.
La rentrée 2009 ne s'est pas présentée sous de meilleurs augures puisque le nombre d'offres s'est établi à 5 000 en septembre contre 7 220 en 2008.
Selon l'Apec, ses indicateurs laissent penser que les effets de la crise se feront encore plus durement sentir pour la promotion qui arrive sur le marché du travail.
Tous les secteurs sont peu ou prou touchés. Dans toutes les disciplines, le taux d'emploi (proportion de jeunes en poste au moment de l'enquête parmi les bac + 4 et plus) est en régression mais à des degrés différents.
Si l'informatique et le secteur médical et paramédical résistent bien, en revanche le BTP et les spécialités industrielles (textile, bois, papier) sont durement touchés (56 % contre 84 % en 2008).
Les conséquences de la crise financière internationale se traduisent sans grande surprise par un effondrement du taux d'emploi dans le secteur finances, banques, assurance. 64 % des jeunes diplômés 2008 se sont insérés contre 83 % de la cohorte 2007.
Les jeunes ingénieurs les plus affectés. Globalement, ce sont les diplômés d'écoles d'ingénieurs qui accusent le recul le plus sévère. 72 % d'entre eux occupent un emploi (-16 points par rapport à l'enquête de 2008).
Ses difficultés sont à mettre en relation avec le ralentissement de la production industrielle mais aussi avec le comportement de ses jeunes, très bien formés, qui préfèrent attendre plutôt que d'accepter un emploi qui ne correspond pas à leurs attentes.
Cette évolution ne modifie pas pour autant la hiérarchie des diplômes. Les taux d'emploi les plus élevés reviennent aux étudiants d'école de commerce et de gestion (73 %) et les plus faibles à ceux de l'université (61 %).
Les conditions d'embauche se dégradent. 54 % des jeunes ont signé un contrat à durée déterminée (CDI) contre 61 % l'année précédente et 64 % ont accédé au statut de cadre (70 % en 2008). Enfin le salaire médian a diminué de 3,4 %.
Dans ses conditions, il n'est pas étonnant que la satisfaction des personnes interrogées à l'égard de leur emploi soit en baisse (65 % contre 70 %).
Une relative confiance dans l'avenir malgré tout. Les craintes vis-à-vis de l'avenir ne les épargnent guère puisque plus de la moitié d'entre eux (56 %), pensent que la situation économique ne va pas s'améliorer rapidement.
Dans un tel contexte, les projections professionnelles à trois ans sont sous le signe de l'incertitude notamment pour les jeunes qui occupent des postes précaires (CDD, intérim…), mais aussi pour ceux qui occupent des emplois stables et qualifiés.
Mais paradoxalement quand ils évoquent l'avenir, 83 %, qu'ils soient en poste ou en recherche, sont confiants. Ils n'ont pas conscience de faire partie d'une génération sacrifiée et oublient qu'en juin 21010 c'est une autre cohorte de 400 000 diplômés qui arrivera sur le marché du travail.
Que la reprise soit ou non au rendez-vous, certains risquent de rester sur le carreau dans un pays qui fait d'abord porter à ses jeunes les dysfonctionnements de son marché du travail.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Le nombre de jeunes diplomés ayant trouvé un emploi est en recul. Huit mois après leur sortie du système éducatif, seuls 68 % des jeunes diplômés interrogés occupaient un poste. Ils étaient 82 %, un an auparavant.
Cette tendance défavorable est confirmée par l'évolution du volume d'offres publiées par l'Apec et ouvertes aux débutants. Entre janvier et août 2009, elles étaient en chute de 38 %. Preuve qu'il s'agit d'un problème de dysfonctionnement du marché du travail plus que d'inadaptation des formations.
La rentrée 2009 ne s'est pas présentée sous de meilleurs augures puisque le nombre d'offres s'est établi à 5 000 en septembre contre 7 220 en 2008.
Selon l'Apec, ses indicateurs laissent penser que les effets de la crise se feront encore plus durement sentir pour la promotion qui arrive sur le marché du travail.
Tous les secteurs sont peu ou prou touchés. Dans toutes les disciplines, le taux d'emploi (proportion de jeunes en poste au moment de l'enquête parmi les bac + 4 et plus) est en régression mais à des degrés différents.
Si l'informatique et le secteur médical et paramédical résistent bien, en revanche le BTP et les spécialités industrielles (textile, bois, papier) sont durement touchés (56 % contre 84 % en 2008).
Les conséquences de la crise financière internationale se traduisent sans grande surprise par un effondrement du taux d'emploi dans le secteur finances, banques, assurance. 64 % des jeunes diplômés 2008 se sont insérés contre 83 % de la cohorte 2007.
Les jeunes ingénieurs les plus affectés. Globalement, ce sont les diplômés d'écoles d'ingénieurs qui accusent le recul le plus sévère. 72 % d'entre eux occupent un emploi (-16 points par rapport à l'enquête de 2008).
Ses difficultés sont à mettre en relation avec le ralentissement de la production industrielle mais aussi avec le comportement de ses jeunes, très bien formés, qui préfèrent attendre plutôt que d'accepter un emploi qui ne correspond pas à leurs attentes.
Cette évolution ne modifie pas pour autant la hiérarchie des diplômes. Les taux d'emploi les plus élevés reviennent aux étudiants d'école de commerce et de gestion (73 %) et les plus faibles à ceux de l'université (61 %).
Les conditions d'embauche se dégradent. 54 % des jeunes ont signé un contrat à durée déterminée (CDI) contre 61 % l'année précédente et 64 % ont accédé au statut de cadre (70 % en 2008). Enfin le salaire médian a diminué de 3,4 %.
Dans ses conditions, il n'est pas étonnant que la satisfaction des personnes interrogées à l'égard de leur emploi soit en baisse (65 % contre 70 %).
Une relative confiance dans l'avenir malgré tout. Les craintes vis-à-vis de l'avenir ne les épargnent guère puisque plus de la moitié d'entre eux (56 %), pensent que la situation économique ne va pas s'améliorer rapidement.
Dans un tel contexte, les projections professionnelles à trois ans sont sous le signe de l'incertitude notamment pour les jeunes qui occupent des postes précaires (CDD, intérim…), mais aussi pour ceux qui occupent des emplois stables et qualifiés.
Mais paradoxalement quand ils évoquent l'avenir, 83 %, qu'ils soient en poste ou en recherche, sont confiants. Ils n'ont pas conscience de faire partie d'une génération sacrifiée et oublient qu'en juin 21010 c'est une autre cohorte de 400 000 diplômés qui arrivera sur le marché du travail.
Que la reprise soit ou non au rendez-vous, certains risquent de rester sur le carreau dans un pays qui fait d'abord porter à ses jeunes les dysfonctionnements de son marché du travail.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI sélestat 2010/2013!
Re: Actualités pour concours 2010
Le gouvernement mise sur 2 millions de véhicules électriques en 2020. Il veut installer 4,4 millions de bornes de recharge à cet horizon, soit un investissement total de 4 milliards d'euros.
L'État veut placer la voiture électrique française en pole position. «Nous serons le premier pays en Europe à offrir des véhicules électriques au grand public à des prix concurrentiels», a déclaré jeudi Jean-Louis Borloo, le ministre de l'Écologie, lors du lancement du plan national pour le développement de ces véhicules.
Il y voit une opportunité pour les constructeurs tricolores de « prendre une avance considérable sur leurs concurrents ». Objectif : un parc de 2 millions de véhicules électriques et hybrides rechargeables en 2020, et de 4 millions en 2025. Pour atteindre ces volumes, aucune des parties prenantes « ne peut prendre le risque tout seul, mais si tous les acteurs le prennent en même temps, ça marche », a souligné Jean-Louis Borloo.
Pour amorcer la demande, l'État mise sur les flottes d'entreprise. En partenariat avec plusieurs sociétés publiques ou privées (comme La Poste, EDF ou Veolia), mais aussi les services de l'État et les collectivités territoriales, il va orchestrer l'achat de 50 000 véhicules électriques utilitaires sur cinq ans. Ces appels d'offres devront ensuite permettre d'atteindre une flotte de 100 000 modèles en 2015.
Parallèlement, un bonus écologique de 5 000 euros est prévu en théorie jusqu'en 2012 pour stimuler l'acquisition d'environ 100 000 voitures électriques (la moitié achetée par les flottes, l'autre par les consommateurs). Ce dispositif a pour objectif de compenser en partie le surcoût de la batterie électrique (environ 12 000 euros). Il devrait être prolongé après 2012, selon l'entourage du ministre de l'Écologie.
Mais pour que ces modèles touchent le grand public, il faut aussi installer des infrastructures de recharge. Près d'un million de prises sont prévues pour 2015. 90 % seront installées au domicile ou sur le lieu de travail, auxquelles s'ajouteront 75 000 bornes « partagées » (voirie, parkings…). En 2020, le gouvernement vise 4,4 millions de prises de recharge (dont 400 000 partagées).
125 millions dans l'usine de batteries de Renault
Ces infrastructures représenteront un in-vestissement de 4 milliards d'euros d'ici à 2020. Sur le 1,5 milliard destiné aux bornes partagées, 900 millions seront financés par le « grand emprunt » national. Le gouvernement mise sur les collectivités locales et des acteurs privés possédant un lieu de stationnement (stations-service, chaînes hôtelières…) pour compléter cette somme. Parallèlement, 2,5 milliards seront dépensés par des entreprises privées pour installer des bornes à domicile et au travail. À ce total, s'ajoutent 750 millions d'euros consacrés au renforcement du réseau de distribution d'électricité. L'État va pour cela demander à ErDF (groupe EDF) de créer une filiale dédiée aux infrastructures.
Enfin, l'État, qui souhaite que les batteries et les voitures électriques soient construites en France, va investir via le FSI (Fonds stratégique d'investissements) 125 millions d'euros dans le projet d'une usine de batteries de Renault à Flins, sur un budget total de 625 millions d'euros. Ce site a pour vocation d'approvisionner l'ensemble des constructeurs. « S'y fournir en batteries fait partie des options étudiées par PSA Peugeot Citroën », a déclaré son patron, Philippe Varin, qui négocie également avec les marques GS Yuasa et Zebra, qui équipent ses prototypes actuels. Le gouvernement prévoit aussi une aide de 150 millions d'euros pour produire des voitures électriques dans l'usine de Renault à Flins. Ce montant sera tiré de l'enveloppe de 250 millions de prêts bonifiés prévus pour favoriser l'industrialisation des voitures électriques.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
L'État veut placer la voiture électrique française en pole position. «Nous serons le premier pays en Europe à offrir des véhicules électriques au grand public à des prix concurrentiels», a déclaré jeudi Jean-Louis Borloo, le ministre de l'Écologie, lors du lancement du plan national pour le développement de ces véhicules.
Il y voit une opportunité pour les constructeurs tricolores de « prendre une avance considérable sur leurs concurrents ». Objectif : un parc de 2 millions de véhicules électriques et hybrides rechargeables en 2020, et de 4 millions en 2025. Pour atteindre ces volumes, aucune des parties prenantes « ne peut prendre le risque tout seul, mais si tous les acteurs le prennent en même temps, ça marche », a souligné Jean-Louis Borloo.
Pour amorcer la demande, l'État mise sur les flottes d'entreprise. En partenariat avec plusieurs sociétés publiques ou privées (comme La Poste, EDF ou Veolia), mais aussi les services de l'État et les collectivités territoriales, il va orchestrer l'achat de 50 000 véhicules électriques utilitaires sur cinq ans. Ces appels d'offres devront ensuite permettre d'atteindre une flotte de 100 000 modèles en 2015.
Parallèlement, un bonus écologique de 5 000 euros est prévu en théorie jusqu'en 2012 pour stimuler l'acquisition d'environ 100 000 voitures électriques (la moitié achetée par les flottes, l'autre par les consommateurs). Ce dispositif a pour objectif de compenser en partie le surcoût de la batterie électrique (environ 12 000 euros). Il devrait être prolongé après 2012, selon l'entourage du ministre de l'Écologie.
Mais pour que ces modèles touchent le grand public, il faut aussi installer des infrastructures de recharge. Près d'un million de prises sont prévues pour 2015. 90 % seront installées au domicile ou sur le lieu de travail, auxquelles s'ajouteront 75 000 bornes « partagées » (voirie, parkings…). En 2020, le gouvernement vise 4,4 millions de prises de recharge (dont 400 000 partagées).
125 millions dans l'usine de batteries de Renault
Ces infrastructures représenteront un in-vestissement de 4 milliards d'euros d'ici à 2020. Sur le 1,5 milliard destiné aux bornes partagées, 900 millions seront financés par le « grand emprunt » national. Le gouvernement mise sur les collectivités locales et des acteurs privés possédant un lieu de stationnement (stations-service, chaînes hôtelières…) pour compléter cette somme. Parallèlement, 2,5 milliards seront dépensés par des entreprises privées pour installer des bornes à domicile et au travail. À ce total, s'ajoutent 750 millions d'euros consacrés au renforcement du réseau de distribution d'électricité. L'État va pour cela demander à ErDF (groupe EDF) de créer une filiale dédiée aux infrastructures.
Enfin, l'État, qui souhaite que les batteries et les voitures électriques soient construites en France, va investir via le FSI (Fonds stratégique d'investissements) 125 millions d'euros dans le projet d'une usine de batteries de Renault à Flins, sur un budget total de 625 millions d'euros. Ce site a pour vocation d'approvisionner l'ensemble des constructeurs. « S'y fournir en batteries fait partie des options étudiées par PSA Peugeot Citroën », a déclaré son patron, Philippe Varin, qui négocie également avec les marques GS Yuasa et Zebra, qui équipent ses prototypes actuels. Le gouvernement prévoit aussi une aide de 150 millions d'euros pour produire des voitures électriques dans l'usine de Renault à Flins. Ce montant sera tiré de l'enveloppe de 250 millions de prêts bonifiés prévus pour favoriser l'industrialisation des voitures électriques.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI sélestat 2010/2013!
Re: Actualités pour concours 2010
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La pilule du surlendemain est désormais disponible
Après la pilule du lendemain, la pilule du surlendemain. Un nouveau contraceptif d'urgence, à prendre dans les cinq jours après des rapports sexuels «à risque», est désormais disponible dans les pharmacies françaises. Dénommée EllaOne, cette molécule commercialisée par HRA Pharma en prise unique a obtenu une autorisation de mise sur le marché en mai de la part de l'Europe, puis le dernier feu vert de l'Agence européenne du médicament (EMEA). Le médicament est lancé dans un premier temps dans trois pays européens -France, Allemagne et Royaume-Uni- et d'autres comme la Belgique devraient bientôt suivre.
L'EllaOne a aussi fait l'objet de plusieurs communications scientifiques au congrès de la Société européenne de gynécologie, mi-septembre à Rome. Selon les études cliniques, son efficacité serait d'environ 95 %, constante pendant cinq jours, soit la durée de vie des spermatozoïdes. Parmi les 1 241 femmes qui ont participé à l'étude principale jusqu'à la fin, 26 (soit 2,1 %) ont été enceintes. «Ce chiffre est inférieur aux 5,5 % de femmes qui auraient pu être enceintes si elles n'avaient utilisé aucune méthode contraceptive. EllaOne a par conséquent évité environ trois cinquièmes des grossesses attendues», précise un document de l'EMEA. Quant aux effets secondaires, il s'agit le plus souvent de douleurs abdominales ou de troubles des règles.
«Efficace plus longtemps»
L'efficacité du levonorgestrel (Norlevo) - pilule du lendemain commercialisée en 1999 par le même laboratoire - est comparable dans les 24 premières heures, mais elle n'est plus que de 60 % après 48 à 72 heures. Sa prise est d'ailleurs conseillée si possible dans les 12 premières heures, au plus tard dans les 3 jours suivant le rapport non ou mal protégé.
Selon le laboratoire HRA Pharma, le contraste de performances entre les deux produits s'explique par la différence de mode d'action. «Le levonorgestrel est un progestatif, il bloque l'ovulation mais n'est plus actif à partir du pic de LH (sécrétion hormonale qui déclenche l'ovulation NDLR), explique Luc Massart, directeur des opérations de HRA Pharma. L'EllaOne, dont le principe actif est l'ulipristal acetate, est un modulateur spécifique des récepteurs à la progestérone (SPRM). Il bloque également l'ovulation, mais reste efficace plus longtemps, jusqu'à la rupture folliculaire. Or, c'est la période où il y a le plus de rapports sexuels.» L'EllaOne peut également induire des modifications au niveau de la muqueuse utérine, indique par ailleurs l'EMEA. Pour le laboratoire HRA Pharma, cette propriété laisse espérer des bénéfices dans certaines maladies de l'utérus. «Des essais sont en cours dans l'endométriose et les fibromes utérins», note encore Luc Massart.
Certaines associations catholiques s'inquiètent cependant de l'arrivée de ce nouveau produit, qu'elles considèrent comme chimiquement proche de la pilule abortive RU486. Des études cliniques ont d'ailleurs démontré que le RU486, antagoniste de la progestérone, est également efficace comme contraceptif d'urgence, même s'il n'a pas d'autorisation de mise sur le marché dans cet objectif.
«Un vrai progrès»
Pour le Dr Élisabeth Aubeny, gynécologue et présidente del'Association française pour la contraception, il n'y a aucune ambiguïté. «L'EllaOne empêche l'ovulation, alors que le RU486 s'oppose à l'implantation de l'œuf au niveau de l'utérus, insiste-t-elle. C'est un vrai progrès par rapport au Norlevo dont nous voyons des échecs indiscutables.» Reste deux problèmes, selon elle. D'abord, la pilule du surlendemain sera accessible uniquement sur prescription médicale, contrairement au Norlevo, en vente libre. Quant au prix, il devrait être bien plus élevé que celui de l'actuelle pilule du lendemain qui coûte de l'ordre de 7,50 euros. Une demande de remboursement par l'Assurance- maladie est en cours, confirme l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé. Mais le processus, qui nécessite un passage devant deux commissions, prendra six à neuf mois.
Chaque année, environ un million de boîtes de contraception d'urgence (Norlevo et générique) sont vendues en France. Ce qui n'est rien, par rapport aux 25 millions de situations à risque de grossesse (oubli de pilule, accident de préservatif…) dans lesquelles se mettraient nos concitoyens chaque année. Et rien, par rapport aux 200 000 avortements annuels réalisés dans notre paysÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
La pilule du surlendemain est désormais disponible
Après la pilule du lendemain, la pilule du surlendemain. Un nouveau contraceptif d'urgence, à prendre dans les cinq jours après des rapports sexuels «à risque», est désormais disponible dans les pharmacies françaises. Dénommée EllaOne, cette molécule commercialisée par HRA Pharma en prise unique a obtenu une autorisation de mise sur le marché en mai de la part de l'Europe, puis le dernier feu vert de l'Agence européenne du médicament (EMEA). Le médicament est lancé dans un premier temps dans trois pays européens -France, Allemagne et Royaume-Uni- et d'autres comme la Belgique devraient bientôt suivre.
L'EllaOne a aussi fait l'objet de plusieurs communications scientifiques au congrès de la Société européenne de gynécologie, mi-septembre à Rome. Selon les études cliniques, son efficacité serait d'environ 95 %, constante pendant cinq jours, soit la durée de vie des spermatozoïdes. Parmi les 1 241 femmes qui ont participé à l'étude principale jusqu'à la fin, 26 (soit 2,1 %) ont été enceintes. «Ce chiffre est inférieur aux 5,5 % de femmes qui auraient pu être enceintes si elles n'avaient utilisé aucune méthode contraceptive. EllaOne a par conséquent évité environ trois cinquièmes des grossesses attendues», précise un document de l'EMEA. Quant aux effets secondaires, il s'agit le plus souvent de douleurs abdominales ou de troubles des règles.
«Efficace plus longtemps»
L'efficacité du levonorgestrel (Norlevo) - pilule du lendemain commercialisée en 1999 par le même laboratoire - est comparable dans les 24 premières heures, mais elle n'est plus que de 60 % après 48 à 72 heures. Sa prise est d'ailleurs conseillée si possible dans les 12 premières heures, au plus tard dans les 3 jours suivant le rapport non ou mal protégé.
Selon le laboratoire HRA Pharma, le contraste de performances entre les deux produits s'explique par la différence de mode d'action. «Le levonorgestrel est un progestatif, il bloque l'ovulation mais n'est plus actif à partir du pic de LH (sécrétion hormonale qui déclenche l'ovulation NDLR), explique Luc Massart, directeur des opérations de HRA Pharma. L'EllaOne, dont le principe actif est l'ulipristal acetate, est un modulateur spécifique des récepteurs à la progestérone (SPRM). Il bloque également l'ovulation, mais reste efficace plus longtemps, jusqu'à la rupture folliculaire. Or, c'est la période où il y a le plus de rapports sexuels.» L'EllaOne peut également induire des modifications au niveau de la muqueuse utérine, indique par ailleurs l'EMEA. Pour le laboratoire HRA Pharma, cette propriété laisse espérer des bénéfices dans certaines maladies de l'utérus. «Des essais sont en cours dans l'endométriose et les fibromes utérins», note encore Luc Massart.
Certaines associations catholiques s'inquiètent cependant de l'arrivée de ce nouveau produit, qu'elles considèrent comme chimiquement proche de la pilule abortive RU486. Des études cliniques ont d'ailleurs démontré que le RU486, antagoniste de la progestérone, est également efficace comme contraceptif d'urgence, même s'il n'a pas d'autorisation de mise sur le marché dans cet objectif.
«Un vrai progrès»
Pour le Dr Élisabeth Aubeny, gynécologue et présidente del'Association française pour la contraception, il n'y a aucune ambiguïté. «L'EllaOne empêche l'ovulation, alors que le RU486 s'oppose à l'implantation de l'œuf au niveau de l'utérus, insiste-t-elle. C'est un vrai progrès par rapport au Norlevo dont nous voyons des échecs indiscutables.» Reste deux problèmes, selon elle. D'abord, la pilule du surlendemain sera accessible uniquement sur prescription médicale, contrairement au Norlevo, en vente libre. Quant au prix, il devrait être bien plus élevé que celui de l'actuelle pilule du lendemain qui coûte de l'ordre de 7,50 euros. Une demande de remboursement par l'Assurance- maladie est en cours, confirme l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé. Mais le processus, qui nécessite un passage devant deux commissions, prendra six à neuf mois.
Chaque année, environ un million de boîtes de contraception d'urgence (Norlevo et générique) sont vendues en France. Ce qui n'est rien, par rapport aux 25 millions de situations à risque de grossesse (oubli de pilule, accident de préservatif…) dans lesquelles se mettraient nos concitoyens chaque année. Et rien, par rapport aux 200 000 avortements annuels réalisés dans notre paysÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI sélestat 2010/2013!
Re: Actualité pour concours ifsi 2010
Slt, je te conseille les éditions MASSON je m'en suis aider pour mon premier concour passé et raté en 2009, mais ils sont super pour l'écrit, moi j'ai ramée pour mon oral .bea1 a écrit :salut à tous je suis nouvelle dans le forum et j'aimerais savoir combien coûte l'isncription au concour et quel manuel est pratique à utiliser pour la prépa(seul) au concour merçi d'avance.
Voila, béa ...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Actualités pour concours 2010
Troubles dépressifs
Ce ne sont pas moins de 121 millions de personnes qui, dans le monde, souffrent de dépression. L’’Association France-Dépression organise la 6è Journée de la dépression : Son objectif, promouvoir, dans tous les pays d’Europe, une journée consacrée à la prise de conscience de l’importance des troubles dépressifs et affirmer une volonté commune d'exiger les solutions les mieux adaptées. Cette manifestation nationale est organisée en France par l’Association France-Dépression créée en 1992 à l’initiative d’un groupe composé de patients, de membres de leur famille et de leur entourage ainsi que de professionnels de la santé.
L’événement concerne le grand public, les professionnels de la santé (médecins généralistes, médecins du travail, psychiatres, psychologues, infirmiers), les associations de patients. Elle touche également le monde politique par l’impact que la dépression a sur les patients, leur famille, la société, et l'économie toute entière.
La dépression sera, En 2020, la 1ère cause mondiale d’invalidité, après les maladies cardio-vasculaires. La dépression est la cause principale d’incapacité et la 4è source de dépense maladie. Elle peut mener au suicide, elle est ainsi responsable de la perte de 850 000 vies chaque année. L’OMS prévoit pour 2020 que la dépression passe en seconde place des maladies prises en charge, on l’imagine bien dans les pays industrialisés, comme c’est déjà le cas aujourd’hui pour la classe d’âge 15-44 ans. La dépression touche des personnes de tous milieux, âges et origines.
Les objectifs de la Journée :
- Lutter contre les a priori (stigmatisation) et promouvoir la santé mentale
- Poursuivre et intensifier les efforts d’information du public
- Améliorer la formation de tous les acteurs, et notamment les généralistes et travailleurs sociaux
- Donner la priorité à l’information de la famille et des proches
- Impliquer les politiques et les organismes internationaux (OMS et FMSM)
Cette journée se déroule sur l’ensemble des sites de France-Dépression et ses associations partenaires et sera l’occasion d’une diffusion massive de dépliants, avec banderoles, affiches, brochures...
Santé log, le 2 octobre 2009Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Ce ne sont pas moins de 121 millions de personnes qui, dans le monde, souffrent de dépression. L’’Association France-Dépression organise la 6è Journée de la dépression : Son objectif, promouvoir, dans tous les pays d’Europe, une journée consacrée à la prise de conscience de l’importance des troubles dépressifs et affirmer une volonté commune d'exiger les solutions les mieux adaptées. Cette manifestation nationale est organisée en France par l’Association France-Dépression créée en 1992 à l’initiative d’un groupe composé de patients, de membres de leur famille et de leur entourage ainsi que de professionnels de la santé.
L’événement concerne le grand public, les professionnels de la santé (médecins généralistes, médecins du travail, psychiatres, psychologues, infirmiers), les associations de patients. Elle touche également le monde politique par l’impact que la dépression a sur les patients, leur famille, la société, et l'économie toute entière.
La dépression sera, En 2020, la 1ère cause mondiale d’invalidité, après les maladies cardio-vasculaires. La dépression est la cause principale d’incapacité et la 4è source de dépense maladie. Elle peut mener au suicide, elle est ainsi responsable de la perte de 850 000 vies chaque année. L’OMS prévoit pour 2020 que la dépression passe en seconde place des maladies prises en charge, on l’imagine bien dans les pays industrialisés, comme c’est déjà le cas aujourd’hui pour la classe d’âge 15-44 ans. La dépression touche des personnes de tous milieux, âges et origines.
Les objectifs de la Journée :
- Lutter contre les a priori (stigmatisation) et promouvoir la santé mentale
- Poursuivre et intensifier les efforts d’information du public
- Améliorer la formation de tous les acteurs, et notamment les généralistes et travailleurs sociaux
- Donner la priorité à l’information de la famille et des proches
- Impliquer les politiques et les organismes internationaux (OMS et FMSM)
Cette journée se déroule sur l’ensemble des sites de France-Dépression et ses associations partenaires et sera l’occasion d’une diffusion massive de dépliants, avec banderoles, affiches, brochures...
Santé log, le 2 octobre 2009Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Actualités pour concours 2010
Un troisieme vaccin recommandé pour le H1N1 Lepoint
L'Agence européenne des médicaments, EMEA, a recommandé vendredi à la Commission européenne d'autoriser la vente d'un troisième vaccin contre la grippe A, le Celvapan, du laboratoire américain Baxter, après ceux de Novartis et de GSK. "La Commission européenne devrait accorder l'autorisation rapidement", a précisé l'EMEA dans un communiqué. Le Celvapan, rappelle l'Agence, est sans adjuvant (substance destinée à amplifier l'effet d'un vaccin), contrairement aux deux autres vaccins autorisés par l'UE.
La Commission européenne a autorisé mardi deux premiers vaccins contre la grippe A , le Focetria, du groupe suisse Novartis, et le Pandemrix, du laboratoire britannique GlaxoSmithKline (GSK), qui avaient reçu le feu vert des experts de l'EMEA il y a une semaine. Le Celvapan, le Focetria et le Pandemrix ont un point commun qui explique leur feu vert accéléré : ils ont déjà obtenu dans le passé une autorisation de mise sur le marché dite "modèle" (ou "mock-up"), avec changement de souche possible.
L'EMEA a recommandé que ces trois vaccins soient injectés en deux doses, à trois semaines d'intervalle. Son comité d'experts a approuvé leur utilisation chez les adultes (y compris chez les femmes enceintes) ainsi que chez les enfants de plus de six mois. L'Agence européenne des médicaments, qui est chargée d'évaluer scientifiquement l'efficacité et les risques des produits de santé, a ajouté que d'autres dossiers d'autorisation pour des vaccins pandémiques étaient encore "à l'étude", sans préciser quels laboratoires les avaient déposés.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
L'Agence européenne des médicaments, EMEA, a recommandé vendredi à la Commission européenne d'autoriser la vente d'un troisième vaccin contre la grippe A, le Celvapan, du laboratoire américain Baxter, après ceux de Novartis et de GSK. "La Commission européenne devrait accorder l'autorisation rapidement", a précisé l'EMEA dans un communiqué. Le Celvapan, rappelle l'Agence, est sans adjuvant (substance destinée à amplifier l'effet d'un vaccin), contrairement aux deux autres vaccins autorisés par l'UE.
La Commission européenne a autorisé mardi deux premiers vaccins contre la grippe A , le Focetria, du groupe suisse Novartis, et le Pandemrix, du laboratoire britannique GlaxoSmithKline (GSK), qui avaient reçu le feu vert des experts de l'EMEA il y a une semaine. Le Celvapan, le Focetria et le Pandemrix ont un point commun qui explique leur feu vert accéléré : ils ont déjà obtenu dans le passé une autorisation de mise sur le marché dite "modèle" (ou "mock-up"), avec changement de souche possible.
L'EMEA a recommandé que ces trois vaccins soient injectés en deux doses, à trois semaines d'intervalle. Son comité d'experts a approuvé leur utilisation chez les adultes (y compris chez les femmes enceintes) ainsi que chez les enfants de plus de six mois. L'Agence européenne des médicaments, qui est chargée d'évaluer scientifiquement l'efficacité et les risques des produits de santé, a ajouté que d'autres dossiers d'autorisation pour des vaccins pandémiques étaient encore "à l'étude", sans préciser quels laboratoires les avaient déposés.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Actualités pour concours 2010
"La vérité sur la grippe A (H1N1)". Derrière ce titre accrocheur, deux spécialistes français tirent au clair les informations parfois confuses qui circulent sur fond de pandémie grippale. Prévention, traitement, vaccin..., voilà une bonne occasion de faire le tour de la question.
Le Pr Bruno Lina, chef du laboratoire de virologie du CHU de Lyon et le Dr Jérôme Salomon, médecin des hôpitaux (Paris) ont magistralement réussi leur pari. Construit sur le mode questions/réponses, leur ouvrage est à la fois didactique, scientifique et plein de bon sens.
Que penser de ce virus H1N1 ? Les vaccins ont-ils été suffisamment testés ? Que doivent faire les femmes enceintes, particulièrement exposées au virus ? À toutes ces interrogations et à bien d'autres, chacun trouvera les meilleures réponses : basées sur une expertise réelle et facilement compréhensibles.
À lire également la préface du Pr François Bricaire. Chef du service des maladies infectieuses et tropicales à la Pitié-Salpêtrière (Paris), il est, lui aussi, une "pointure". "L'évolution de notre société", écrit-il, "ses exigences, la mondialisation, la volonté de respecter pour le politique le principe de précaution, les avancées scientifiques (...), tout cela explique qu'il n'est plus possible aujourd'hui de subir un phénomène infectieux. (...) Il faut mettre en oeuvre tout ce qui est possible de faire pour le retarder, le réduire et en diminuer les conséquences."
La vérité sur la grippe A H1N1 , Pr Bruno Lina, Dr Jérôme Salomon, Éditions Frison-Roche - Éditions Delville, 145 pages, 15 euros.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Le Pr Bruno Lina, chef du laboratoire de virologie du CHU de Lyon et le Dr Jérôme Salomon, médecin des hôpitaux (Paris) ont magistralement réussi leur pari. Construit sur le mode questions/réponses, leur ouvrage est à la fois didactique, scientifique et plein de bon sens.
Que penser de ce virus H1N1 ? Les vaccins ont-ils été suffisamment testés ? Que doivent faire les femmes enceintes, particulièrement exposées au virus ? À toutes ces interrogations et à bien d'autres, chacun trouvera les meilleures réponses : basées sur une expertise réelle et facilement compréhensibles.
À lire également la préface du Pr François Bricaire. Chef du service des maladies infectieuses et tropicales à la Pitié-Salpêtrière (Paris), il est, lui aussi, une "pointure". "L'évolution de notre société", écrit-il, "ses exigences, la mondialisation, la volonté de respecter pour le politique le principe de précaution, les avancées scientifiques (...), tout cela explique qu'il n'est plus possible aujourd'hui de subir un phénomène infectieux. (...) Il faut mettre en oeuvre tout ce qui est possible de faire pour le retarder, le réduire et en diminuer les conséquences."
La vérité sur la grippe A H1N1 , Pr Bruno Lina, Dr Jérôme Salomon, Éditions Frison-Roche - Éditions Delville, 145 pages, 15 euros.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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- Inscription : 17 sept. 2009 10:26
Re: Actualités pour concours 2010
Bonjour,
Je voulais savoir si il y en vente de nouveaux manuels concernant la nouvelle réforme concernant les as de plus de 3 ans de pratique. Ce serait des mises en situation professionnelles. Merci pour vos réponses. Et bon courage à tout ceux qui bosse leur concours
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Je voulais savoir si il y en vente de nouveaux manuels concernant la nouvelle réforme concernant les as de plus de 3 ans de pratique. Ce serait des mises en situation professionnelles. Merci pour vos réponses. Et bon courage à tout ceux qui bosse leur concours
