Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Actualités concours 2012
Cinq fruits et légumes par jour : 73% des Français ne le font pas
Manger 5 fruits et légumes par jour, près de trois quarts des Français ne le font pas selon une étude publiée par le Crédoc.
Le message passe en boucle depuis plusieurs années mais rien n'y fait, ça ne rentre pas. Contrairement aux recommandations des autorités de santé, une grande majorité de Français ne consomme pas 5 fruits et légumes par jours. Après avoir étudié le régime alimentaire de 1.222 foyers soit 2.560 personnes pendant une semaine, le centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (Crédoc) affirme que 73% des sondés ne respectent pas ces recommandations. Seuls 27% des Français sont ainsi classés comme « grands consommateurs » de fruits et légumes et en mangent au moins 5 par jour.
Les seniors bon élèves
Chose étonnante, c'est chez les enfants que ce seuil « est très loin d'être atteint », selon Pascale Hébel, directrice du département consommation du Crédoc. Seulement 9% de la tranche d'âge 3 à 14 ans respectent la recommandation. De même, les plus jeunes générations adultes, nées après 1977, montrent les plus faibles consommations. A l'inverse, se sont les seniors qui suivent le plus le message : les plus fortes consommations sont observées chez ceux qui sont nés avant 1946 et qui donc ont plus de 65 ans, avec un « pic » de consommation autour de 70 ans. « Il y a un effet générationnel assez fort dans la consommation. On est marqué par sa génération dans ses habitudes alimentaires » poursuit Pascale Hébel, comme celle de finir systématiquement un repas par un fruit pour nombre de seniors. D'un point de vue sociologique, cette étude montre que « les ouvriers et employés les moins diplômés consomment moins de fruits et légumes qu'agriculteurs, artisans, commerçants, chef d'entreprise et cadres ». D'un point de vue ethnique, « les enfants d'origine étrangère consomment plus de fruits que les personnes d'origine française » poursuit le Crédoc.
Le Programme National Nutrition Santé (PNNS) qui recommande de manger autant de fruits et légumes « a pour objectif général l’amélioration de l’état de santé de l’ensemble de la population » indique-t-il. Tous les objectifs n'ont pas été remplis mais la tendance sur les dernières années est plutôt encourageante, avec une portion croissante de Français se classant comme « grands consommateurs de fruits et légumes », selon Pascale Hébel. Ainsi les adultes qui n'étaient que 27% à manger plus de cinq fruits et légumes par jour lors d'une enquête similaire du Crédoc en 2007, sont désormais 31%
France soir
Manger 5 fruits et légumes par jour, près de trois quarts des Français ne le font pas selon une étude publiée par le Crédoc.
Le message passe en boucle depuis plusieurs années mais rien n'y fait, ça ne rentre pas. Contrairement aux recommandations des autorités de santé, une grande majorité de Français ne consomme pas 5 fruits et légumes par jours. Après avoir étudié le régime alimentaire de 1.222 foyers soit 2.560 personnes pendant une semaine, le centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (Crédoc) affirme que 73% des sondés ne respectent pas ces recommandations. Seuls 27% des Français sont ainsi classés comme « grands consommateurs » de fruits et légumes et en mangent au moins 5 par jour.
Les seniors bon élèves
Chose étonnante, c'est chez les enfants que ce seuil « est très loin d'être atteint », selon Pascale Hébel, directrice du département consommation du Crédoc. Seulement 9% de la tranche d'âge 3 à 14 ans respectent la recommandation. De même, les plus jeunes générations adultes, nées après 1977, montrent les plus faibles consommations. A l'inverse, se sont les seniors qui suivent le plus le message : les plus fortes consommations sont observées chez ceux qui sont nés avant 1946 et qui donc ont plus de 65 ans, avec un « pic » de consommation autour de 70 ans. « Il y a un effet générationnel assez fort dans la consommation. On est marqué par sa génération dans ses habitudes alimentaires » poursuit Pascale Hébel, comme celle de finir systématiquement un repas par un fruit pour nombre de seniors. D'un point de vue sociologique, cette étude montre que « les ouvriers et employés les moins diplômés consomment moins de fruits et légumes qu'agriculteurs, artisans, commerçants, chef d'entreprise et cadres ». D'un point de vue ethnique, « les enfants d'origine étrangère consomment plus de fruits que les personnes d'origine française » poursuit le Crédoc.
Le Programme National Nutrition Santé (PNNS) qui recommande de manger autant de fruits et légumes « a pour objectif général l’amélioration de l’état de santé de l’ensemble de la population » indique-t-il. Tous les objectifs n'ont pas été remplis mais la tendance sur les dernières années est plutôt encourageante, avec une portion croissante de Français se classant comme « grands consommateurs de fruits et légumes », selon Pascale Hébel. Ainsi les adultes qui n'étaient que 27% à manger plus de cinq fruits et légumes par jour lors d'une enquête similaire du Crédoc en 2007, sont désormais 31%
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Re: Actualités concours 2012
Carrières-sous-Poissy : Des retraités gardés par la police
Soixante-et-onze personnes âgées ont été livrées à elles-même à la résidence le Sourire de Carrières-sous-Poissy (Yvelines) dans la nuit de mardi à mercredi. La police est donc intervenue ainsi que les pompiers, en attendant la relève.
Quand le personnel disparaît, la police et les pompiers prennent le relais. Etrange mais vrai. À la pension le Sourire de Carrières-sous-Poissy (Yvelines), 71 personnes âgées ont passé une partie de leur nuit de mardi à mercredi en leur compagnie. Laissées à l'abandon par une équipe de nuit qui ne serait jamais arrivée pour prendre la relève, les pensionnaires ont appelé vers 23h30 la police pour signaler qu'il n'y avait personne pour leur livrer des soins ni les coucher.
Arrivés sur place en premier, les policiers ont réussi à contacter le directeur de l'établissement et son adjointe. Alors qu'il se trouvait à Lyon pour un séminaire, la patron a alors demandé à deux vacataires de venir au plus vite remplacer le personnel manquant. Les pompiers, arrivés à leur tour, sont restés jusqu'à 1h30, le temps que ces deux salariés d'urgence arrivent.
Selon une rapide enquête, il semblerait que le personnel de jour ait quitté l'établissement à 19h30 et que celui de nuit ne soit jamais arrivé pour des raisons toujours inconnues. Le directeur de l'établissement est rentré d'urgence à Carrière-sous-Poissy et a annoncé qu'une enquête interne était en cours. Selon lui, « il y a sûrement eu un problème de communication entre l’équipe de jour et l’équipe de nuit ». « Il faut savoir ce qui s’est passé et des sanctions seront prises », a-t-il ajouté.
Des résidents pourraient saisir la justice, même si aucune plainte n'avait été enregistrée mercredi encore. Le maire (PRG) de Carrières-sous-Poissy, Eddie Aït, a qualifié pour sa part l'incident d'« intolérable ». Cette structure d'accueil avait été inaugurée en juillet après une restructuration complète. Elle fait partie du secteur associatif, le groupe ACPPA, organisme privé à but non lucratif créé en 1982 qui comprend aujourd’hui plus d’une quarantaine d’établissements en France. En 2010, il a assuré la prise en charge de 3.940 personnes, employant 1.500 salariés en équivalents temps plein
France soir
Soixante-et-onze personnes âgées ont été livrées à elles-même à la résidence le Sourire de Carrières-sous-Poissy (Yvelines) dans la nuit de mardi à mercredi. La police est donc intervenue ainsi que les pompiers, en attendant la relève.
Quand le personnel disparaît, la police et les pompiers prennent le relais. Etrange mais vrai. À la pension le Sourire de Carrières-sous-Poissy (Yvelines), 71 personnes âgées ont passé une partie de leur nuit de mardi à mercredi en leur compagnie. Laissées à l'abandon par une équipe de nuit qui ne serait jamais arrivée pour prendre la relève, les pensionnaires ont appelé vers 23h30 la police pour signaler qu'il n'y avait personne pour leur livrer des soins ni les coucher.
Arrivés sur place en premier, les policiers ont réussi à contacter le directeur de l'établissement et son adjointe. Alors qu'il se trouvait à Lyon pour un séminaire, la patron a alors demandé à deux vacataires de venir au plus vite remplacer le personnel manquant. Les pompiers, arrivés à leur tour, sont restés jusqu'à 1h30, le temps que ces deux salariés d'urgence arrivent.
Selon une rapide enquête, il semblerait que le personnel de jour ait quitté l'établissement à 19h30 et que celui de nuit ne soit jamais arrivé pour des raisons toujours inconnues. Le directeur de l'établissement est rentré d'urgence à Carrière-sous-Poissy et a annoncé qu'une enquête interne était en cours. Selon lui, « il y a sûrement eu un problème de communication entre l’équipe de jour et l’équipe de nuit ». « Il faut savoir ce qui s’est passé et des sanctions seront prises », a-t-il ajouté.
Des résidents pourraient saisir la justice, même si aucune plainte n'avait été enregistrée mercredi encore. Le maire (PRG) de Carrières-sous-Poissy, Eddie Aït, a qualifié pour sa part l'incident d'« intolérable ». Cette structure d'accueil avait été inaugurée en juillet après une restructuration complète. Elle fait partie du secteur associatif, le groupe ACPPA, organisme privé à but non lucratif créé en 1982 qui comprend aujourd’hui plus d’une quarantaine d’établissements en France. En 2010, il a assuré la prise en charge de 3.940 personnes, employant 1.500 salariés en équivalents temps plein
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Re: Actualités concours 2012
Soupçon sur les biberons dans les maternités : le ministère étudie un retrait
Une enquête a été déclenchée en urgence jeudi par le ministère de la Santé sur un procédé de stérilisation, a priori interdit, pour les biberons et tétines fournis aux maternités françaises, utilisant un gaz cancérogène, l'oxyde d'éthylène. Une réunion est prévue vendredi au ministère de la Santé avec les fabricants et fournisseurs pour étudier les meilleures façons de procéder à un retrait tout en garantissant la continuité d'approvisionnement.
Retrait des biberons et tétines incriminés. L'enquête confiée à l'IGAS (l'inspection générale des affaires sociales) fait suite à la publication cette semaine d'une enquête par Le Nouvel Observateur selon laquelle au moins deux entreprises fournissant des hôpitaux français en biberons et tétines utilisent cette technique de stérilisation. L'enquête diligentée ce jeudi par Xavier bertrand (...) a pour objectif de comprendre «comment un tel dysfonctionnement a pu se produire». Le ministère a demandé que les biberons et tétines incriminés «soient retirés dans les plus brefs délais».
Deux entreprises visées. Dans son enquête, le Nouvel Obs cite deux fournisseurs d'hôpitaux français qui utilisent la technique incriminée - qui consiste à «gazer» les produits à stériliser avec ce gaz inerte - pour des biberons et tétines à usage unique. Michel de Gryse, responsable de l'une des deux entreprises citées, la société belge Beldico, confirme que le gazage à l'oxyde d'éthylène est bien l'une des deux méthodes utilisées. Beldico, racheté cet été par le français Médiprema, fournit 7 à 8 millions de biberons à usage unique aux maternités et hôpitaux français, selon M. de Gryse.
Un procédé autorisé à l'usage médical, interdit au contact alimentaire. Cette méthode de stérilisation est «autorisée pour le matériel médical» comme les compresses, les gants et autres, relève-t-on à l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). En revanche, le procédé, cancérogène, est bien interdit pour «tout ce qui est en contact alimentaire direct», selon l'Anses, agence française en charge de la sécurité alimentaire. C'est cette nuance que les entreprises utiliseraient pour fournir aux maternités et hôpitaux des biberons traités à l'oxyde d'éthylène. «Nos produits sont considérés comme des produits médicaux et non pas alimentaires» explique ainsi le responsable de Beldico. «C'est un tour de passe-passe» qui consiste à faire passer tétines et biberons comme «produits médicaux», commente-t-on à l'Afssaps.
Quelle dangerosité ? Reste à évaluer la réelle dangerosité d'un procédé autorisé pour du matériel médical même si celui-ci entre directement en contact avec le corps des patients (sonde gastrique par exemple). A la direction du groupement public d'hôpitaux parisiens AP-HP, on assure que le procédé est l'objet d'une stricte surveillance au niveau des «quantités résiduelles» de gaz sur les produits. Mais pour l'expert André Picot, interrogé par Le Nouvel Observateur, le fait qu'on puisse encore stériliser des biberons avec ce produit est un «total non-sens». Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) a classé ce gaz «dans le groupe 1 des agents cancérogènes pour l'homme».
Le parisien
Une enquête a été déclenchée en urgence jeudi par le ministère de la Santé sur un procédé de stérilisation, a priori interdit, pour les biberons et tétines fournis aux maternités françaises, utilisant un gaz cancérogène, l'oxyde d'éthylène. Une réunion est prévue vendredi au ministère de la Santé avec les fabricants et fournisseurs pour étudier les meilleures façons de procéder à un retrait tout en garantissant la continuité d'approvisionnement.
Retrait des biberons et tétines incriminés. L'enquête confiée à l'IGAS (l'inspection générale des affaires sociales) fait suite à la publication cette semaine d'une enquête par Le Nouvel Observateur selon laquelle au moins deux entreprises fournissant des hôpitaux français en biberons et tétines utilisent cette technique de stérilisation. L'enquête diligentée ce jeudi par Xavier bertrand (...) a pour objectif de comprendre «comment un tel dysfonctionnement a pu se produire». Le ministère a demandé que les biberons et tétines incriminés «soient retirés dans les plus brefs délais».
Deux entreprises visées. Dans son enquête, le Nouvel Obs cite deux fournisseurs d'hôpitaux français qui utilisent la technique incriminée - qui consiste à «gazer» les produits à stériliser avec ce gaz inerte - pour des biberons et tétines à usage unique. Michel de Gryse, responsable de l'une des deux entreprises citées, la société belge Beldico, confirme que le gazage à l'oxyde d'éthylène est bien l'une des deux méthodes utilisées. Beldico, racheté cet été par le français Médiprema, fournit 7 à 8 millions de biberons à usage unique aux maternités et hôpitaux français, selon M. de Gryse.
Un procédé autorisé à l'usage médical, interdit au contact alimentaire. Cette méthode de stérilisation est «autorisée pour le matériel médical» comme les compresses, les gants et autres, relève-t-on à l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). En revanche, le procédé, cancérogène, est bien interdit pour «tout ce qui est en contact alimentaire direct», selon l'Anses, agence française en charge de la sécurité alimentaire. C'est cette nuance que les entreprises utiliseraient pour fournir aux maternités et hôpitaux des biberons traités à l'oxyde d'éthylène. «Nos produits sont considérés comme des produits médicaux et non pas alimentaires» explique ainsi le responsable de Beldico. «C'est un tour de passe-passe» qui consiste à faire passer tétines et biberons comme «produits médicaux», commente-t-on à l'Afssaps.
Quelle dangerosité ? Reste à évaluer la réelle dangerosité d'un procédé autorisé pour du matériel médical même si celui-ci entre directement en contact avec le corps des patients (sonde gastrique par exemple). A la direction du groupement public d'hôpitaux parisiens AP-HP, on assure que le procédé est l'objet d'une stricte surveillance au niveau des «quantités résiduelles» de gaz sur les produits. Mais pour l'expert André Picot, interrogé par Le Nouvel Observateur, le fait qu'on puisse encore stériliser des biberons avec ce produit est un «total non-sens». Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) a classé ce gaz «dans le groupe 1 des agents cancérogènes pour l'homme».
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Re: Fiches culture générale 2012
Merci beaucoup miss 33!!je fais mes fiches avec un peu de retard mais je les met comme même car j'ai des info supplémentaires.

Cecilette!! Je voulais savoir de quoi parle ta fiche sur les droit de l'homme!! Parce que j'ai trouvé la constitution, mais à part ça....

Debella! Courage!! On reste motivée!!

Dernière modification par Memo le 18 nov. 2011 10:47, modifié 1 fois.
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Re: Fiches culture générale 2012
Voilà ma fiche sur le sport et les loisirs!!
LOISIRS
Activité de loisirs: intérieur/extérieur et culturel/sportive.
Causes: Baisse du temps de travail, augmentation du nombre de jour congé, allongement de la durée des études, de l'espérance de vie, généralisation des 35h, vacances 5 semaines. Donc environ 7h de temps libre par jour.
Conséquences: 2 pbl: Gestion de ce temps libre et financement supplémentaire
SPORT
Bienfait physique, psycho: libère les tensions et angoisse apprend à s'integrer à un groupe et à se fixer des limites.
Cause:
Améliorer sa santé
Désir d'appartenir à un groupe
Conséquences:
+_Bienfait dev enfant: brule calorie et incite à alimentation correcte
Acquisition sens equilibre (gym), agir face à l'imprevu (sport de combat)
Lutter contre les comportement antisocial, autodestructeur, délinquance
-_Dopage augmente capacité et cache les autres produits dopants.
Risque d'accident, blessure (faux mouvement, coups, accident cardio vasculaire), pathologie, dépendance psychologique
Hooliganisme
Danger croissance enfant
Compétition parfois abusive
Solution:
_Modifier les infrastructure: stadier, grillage
_Prévention: règle BP (échauffement), port de protection adapté, visite chez un spécialiste 1* par an.
_Legislation: sanction sportive contre le dopage et contre le hooliganisme
Concours de beauté pour enfant:
+_Apprendre à se mettre en valeur
Lutte contre les comportements antisocial, autodestructeur
Apprendre à gérer son stress
-_Risque d'accident
Trop de stress pour l'enfant
Culte de la minceur
Compétition parfois abusive
Dopage
Substance ou actes chirurgicaux pour augmenter les performances
-Modification morphologique: utilisation d'homrone de croissance
-Augmentation de force et puissance musculaire: stéroide, anabolisant
-Grossesse: hormone, augmentation de la masse sanguine de début de grossesse. IVG après compétition. Nageuse allemande
-Augmentation de l'oxygénation: salbutanol très utilisé, altitude entrainant la multiplication sanguine. On prélève puis retransfuse!
-Accroitre la concentration sanguine: Amphétamine, Alcool
-Supporter la fatigue: cocaine, héroine, antalgique, insuline
-Produits utilisé pour en masquer d'autre
Liste des produits dopants:
_Stimulant: Caféine, cocaine, amphétamine
_Narcotique:Cannabis: faire face au stress
_Anabolisant: Engrais musculaire: augmente la masse musculaire
_Hormone de croissance, EPO
_Bêtabloquant: contrôle du stress et évite les tremblements
Cause:
Désir d'augmenter ses compétences
Pression des médias
Pression économique
Obligation de résultat
Intensification de la charge des entrainement
Dépendance
Conséquence sur la santé:
Problème cardiaque, risque de décès avant 45 ans, effets secondaire d'ordre psychologique
Lutte contre le dopage:
l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD): contrôle, amende, élimination de sportif, annulation de résultat, peine de prison...
Hooliganisme: adepte de sport utilisant la violence pour peser sur le sort d'une rencontre
Coupe de Rugby encadré plus ou journée ou tous les matchs joueur porte " gardons le rugby propre"

LOISIRS
Activité de loisirs: intérieur/extérieur et culturel/sportive.
Causes: Baisse du temps de travail, augmentation du nombre de jour congé, allongement de la durée des études, de l'espérance de vie, généralisation des 35h, vacances 5 semaines. Donc environ 7h de temps libre par jour.
Conséquences: 2 pbl: Gestion de ce temps libre et financement supplémentaire
SPORT
Bienfait physique, psycho: libère les tensions et angoisse apprend à s'integrer à un groupe et à se fixer des limites.
Cause:
Améliorer sa santé
Désir d'appartenir à un groupe
Conséquences:
+_Bienfait dev enfant: brule calorie et incite à alimentation correcte
Acquisition sens equilibre (gym), agir face à l'imprevu (sport de combat)
Lutter contre les comportement antisocial, autodestructeur, délinquance
-_Dopage augmente capacité et cache les autres produits dopants.
Risque d'accident, blessure (faux mouvement, coups, accident cardio vasculaire), pathologie, dépendance psychologique
Hooliganisme
Danger croissance enfant
Compétition parfois abusive
Solution:
_Modifier les infrastructure: stadier, grillage
_Prévention: règle BP (échauffement), port de protection adapté, visite chez un spécialiste 1* par an.
_Legislation: sanction sportive contre le dopage et contre le hooliganisme
Concours de beauté pour enfant:
+_Apprendre à se mettre en valeur
Lutte contre les comportements antisocial, autodestructeur
Apprendre à gérer son stress
-_Risque d'accident
Trop de stress pour l'enfant
Culte de la minceur
Compétition parfois abusive
Dopage
Substance ou actes chirurgicaux pour augmenter les performances
-Modification morphologique: utilisation d'homrone de croissance
-Augmentation de force et puissance musculaire: stéroide, anabolisant
-Grossesse: hormone, augmentation de la masse sanguine de début de grossesse. IVG après compétition. Nageuse allemande
-Augmentation de l'oxygénation: salbutanol très utilisé, altitude entrainant la multiplication sanguine. On prélève puis retransfuse!
-Accroitre la concentration sanguine: Amphétamine, Alcool
-Supporter la fatigue: cocaine, héroine, antalgique, insuline
-Produits utilisé pour en masquer d'autre
Liste des produits dopants:
_Stimulant: Caféine, cocaine, amphétamine
_Narcotique:Cannabis: faire face au stress
_Anabolisant: Engrais musculaire: augmente la masse musculaire
_Hormone de croissance, EPO
_Bêtabloquant: contrôle du stress et évite les tremblements
Cause:
Désir d'augmenter ses compétences
Pression des médias
Pression économique
Obligation de résultat
Intensification de la charge des entrainement
Dépendance
Conséquence sur la santé:
Problème cardiaque, risque de décès avant 45 ans, effets secondaire d'ordre psychologique
Lutte contre le dopage:
l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD): contrôle, amende, élimination de sportif, annulation de résultat, peine de prison...
Hooliganisme: adepte de sport utilisant la violence pour peser sur le sort d'une rencontre
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Re: Actualités concours 2012
merci memo d'alimenter ce topic



on y va pour 2012 INCHALLAH que ce sera la bonne annee
On y croit a fond!!!
On y croit a fond!!!
Re: Actualités concours 2012
Ce travail de recherche sur l'actualité est très important que cela peut constituer un sujet d'oral du genre : Ces dernières semaines, quel fait d'actualité a retenu votre attention?
Re: Actualités concours 2012
De rien minouch
Merci Chris de nous mettre au courant!! Tu as eu cette question à l'oral???

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Re: Actualités concours 2012
Arrêts maladie : des médecins dénoncent les mesures contre-productives du gouvernement
Le tour de vis budgétaire décidé par le gouvernement sur l'indemnisation des arrêts maladie, centré sur l'allongement des jours de carence, est une mauvaise réponse tant sur le plan de la santé publique que de l'absentéisme, estiment médecins et experts. D'après le Dr Claude Leicher, président de MG France, le plus gros syndicat de médecins généralistes, le passage de trois à quatre jours du délai de carence, période non remboursée par l'assurance maladie, va frapper de plein fouet les très petites structures (20 % des entreprises) qui n'ont pas de contrats de complémentaire santé pour couvrir les arrêts de travail de leurs salariés.
D'après le médecin, ces travailleurs exercent souvent des métiers pénibles et vont être doublement pénalisés : financièrement car ils ne seront pas indemnisés et sur le plan de la santé car ils hésiteront à s'arrêter alors que leur état l'exige. "Il ne faut pas oublier que lorsqu'on a mis en place ce système de remboursement des arrêts maladie, un des objectifs était de permettre aux gens de reprendre leur activité le plus vite possible", rappelle-t-il.
"Il y a un certain nombre de situations dans lesquelles si vous vous arrêtez deux ou trois jours, vous allez pouvoir reprendre une activité dans des conditions bien meilleures et avec une productivité améliorée", explique le Dr Leicher."L'exemple le plus simple est celui de la lombalgie aiguë : quand vous avez un bon lumbago, vous n'êtes pas obligé de vous arrêter pendant quinze jours : très souvent un arrêt bref de deux à trois jours permet de passer la phase de douleur intense et de reprendre une activité dans de meilleures conditions", ajoute-t-il.
UN PROBLÈME DE "DÉMOTIVATION"
"Les personnes réagissent de façon très différente devant la maladie", indique pour sa part le Dr Claude Bronner, qui dirige la branche généraliste de la Fédération des médecins de France (FMF). Pour ces dirigeants médicaux, un travailleur non soigné immédiatement peut développer ensuite des pathologies plus graves, qui seront plus coûteuses à traiter ensuite.
Selon les chiffres officiels, les indemnités journalières d'arrêt maladie ont représenté 6,6 milliards d'euros en 2010. Il y a une progression de 5,1 % en 2009 mais de seulement 3,9 % en 2010. Le gouvernement estime que ces dépenses "progressent à un rythme élevé et difficilement justifiable". Les arrêts de travail de courte durée (de un à huit jours) sont les plus nombreux et représentent 37 % du total. Le gouvernement soupçonne que les arrêts abusifs soient plus fréquents dans cette catégorie.
En plus des restrictions au niveau des jours de carence – quatre dans le privé et, désormais, un pour les fonctionnaires –, le ministre de la santé Xavier Bertrand a menacé ceux qui abusent de devoir rembourser les indemnités indues. Mais la répression est-elle la meilleure réponse pour lutter contre l'absentéisme ? Pour les experts d'Alma Consulting Group, qui publie des baromètres de l'absentéisme (14,5 jours par salarié en 2010 dont 85 % pour arrêt maladie), celui-ci "n'est pas une fatalité uniquement liée à un état de santé mais une affaire de management". "Selon notre baromètre, plus de 60 % des racines de l'absentéisme sont relatifs à la démotivation", indique Olivier Gignoux, directeur du pôle social de cette société conseil. Pour lui, mieux vaut un plan de lutte contre l'absentéisme que des sanctions financières sur les arrêts maladie.
Le monde
Le tour de vis budgétaire décidé par le gouvernement sur l'indemnisation des arrêts maladie, centré sur l'allongement des jours de carence, est une mauvaise réponse tant sur le plan de la santé publique que de l'absentéisme, estiment médecins et experts. D'après le Dr Claude Leicher, président de MG France, le plus gros syndicat de médecins généralistes, le passage de trois à quatre jours du délai de carence, période non remboursée par l'assurance maladie, va frapper de plein fouet les très petites structures (20 % des entreprises) qui n'ont pas de contrats de complémentaire santé pour couvrir les arrêts de travail de leurs salariés.
D'après le médecin, ces travailleurs exercent souvent des métiers pénibles et vont être doublement pénalisés : financièrement car ils ne seront pas indemnisés et sur le plan de la santé car ils hésiteront à s'arrêter alors que leur état l'exige. "Il ne faut pas oublier que lorsqu'on a mis en place ce système de remboursement des arrêts maladie, un des objectifs était de permettre aux gens de reprendre leur activité le plus vite possible", rappelle-t-il.
"Il y a un certain nombre de situations dans lesquelles si vous vous arrêtez deux ou trois jours, vous allez pouvoir reprendre une activité dans des conditions bien meilleures et avec une productivité améliorée", explique le Dr Leicher."L'exemple le plus simple est celui de la lombalgie aiguë : quand vous avez un bon lumbago, vous n'êtes pas obligé de vous arrêter pendant quinze jours : très souvent un arrêt bref de deux à trois jours permet de passer la phase de douleur intense et de reprendre une activité dans de meilleures conditions", ajoute-t-il.
UN PROBLÈME DE "DÉMOTIVATION"
"Les personnes réagissent de façon très différente devant la maladie", indique pour sa part le Dr Claude Bronner, qui dirige la branche généraliste de la Fédération des médecins de France (FMF). Pour ces dirigeants médicaux, un travailleur non soigné immédiatement peut développer ensuite des pathologies plus graves, qui seront plus coûteuses à traiter ensuite.
Selon les chiffres officiels, les indemnités journalières d'arrêt maladie ont représenté 6,6 milliards d'euros en 2010. Il y a une progression de 5,1 % en 2009 mais de seulement 3,9 % en 2010. Le gouvernement estime que ces dépenses "progressent à un rythme élevé et difficilement justifiable". Les arrêts de travail de courte durée (de un à huit jours) sont les plus nombreux et représentent 37 % du total. Le gouvernement soupçonne que les arrêts abusifs soient plus fréquents dans cette catégorie.
En plus des restrictions au niveau des jours de carence – quatre dans le privé et, désormais, un pour les fonctionnaires –, le ministre de la santé Xavier Bertrand a menacé ceux qui abusent de devoir rembourser les indemnités indues. Mais la répression est-elle la meilleure réponse pour lutter contre l'absentéisme ? Pour les experts d'Alma Consulting Group, qui publie des baromètres de l'absentéisme (14,5 jours par salarié en 2010 dont 85 % pour arrêt maladie), celui-ci "n'est pas une fatalité uniquement liée à un état de santé mais une affaire de management". "Selon notre baromètre, plus de 60 % des racines de l'absentéisme sont relatifs à la démotivation", indique Olivier Gignoux, directeur du pôle social de cette société conseil. Pour lui, mieux vaut un plan de lutte contre l'absentéisme que des sanctions financières sur les arrêts maladie.
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Re: Actualités concours 2012
Le Viagra montre des signes d'efficacité contre le cancer
Par Aude Rambaud - le 18/11/2011
Le Viagra a été testé avec succès en tant qu'anticancéreux chez des souris atteintes de mélanomes. Les essais cliniques doivent confirmer son intérêt pour l'homme.
Le Viagra pourrait bien connaître une seconde vie, ou plutôt une troisième. Ce médicament initialement prévu pour soigner l'angine de poitrine a poursuivi sa course en tant que traitement de la dysfonction érectile. Cette indication avait été fortuitement découverte suite aux effets secondaires relevés au cours d'essais cliniques. Désormais, une nouvelle étude allemande montre que la molécule active de ce médicament, appelée sildénafil, pourrait être efficace contre le cancer. Les chercheurs l'ont testée chez des souris développant des mélanomes (cancers de la peau) très similaires aux formes humaines. Les animaux qui prenaient du viagra avaient deux fois plus de chance de survie à 7 semaines que les autres.
Lorsqu'une tumeur se développe, l'organisme reconnaît les cellules cancéreuses au même titre qu'un virus ou une bactérie et déploie son système immunitaire pour les éliminer. Cependant, dans certains cas, les cellules malades résistent et provoquent l'accumulation de facteurs d'inflammation. On parle alors d'inflammation chronique. Cette situation entraîne le recrutement de cellules immunosuppressives capables d'inhiber le système de défense, notamment les lymphocytes T, à proximité de la tumeur.
Des travaux encourageantsL'équipe allemande a cherché à restaurer les mécanismes de défense contre les cellules cancéreuses chez des souris malades en utilisant le sildénafil. «Cette molécule réduit l'activité du monoxyde d'azote, une substance produite par les cellules immunosuppressives qui participe à la destruction des lymphocytes T, explique Viktor Umansky, coauteur des travaux au centre de recherche allemand de cancérologie. Chez tous les animaux traités, nous avons constaté une baisse de l'inflammation dans l'environnement de la tumeur et un retour à la normale du nombre de lymphocytes T», se réjouit-il. Selon lui, ces résultats très positifs devraient pouvoir s'observer également avec d'autres types de tumeurs. L'équipe allemande aidée de cliniciens prévoit de lancer prochainement un essai clinique de phase I chez l'homme afin d'identifier une dose efficace et bien tolérée dans cette nouvelle indication.
«Restons très prudents, tempère néanmoins le Pr Serge Evrad, président de la Société française du cancer. Ces travaux ont été effectués chez la souris et elle guérit plus souvent que nous de ses cancers !». Il se réjouit cependant que cette étude ait porté sur le mélanome. «Il s'agit d'un cancer pour lequel nous sommes assez démunis du point de vue thérapeutique. Ces travaux montrent que la recherche s'y intéresse, c'est donc une nouvelle encourageante». Elle fait suite à une autre bonne nouvelle récente, l'annonce de résultats prometteurs de la première molécule ciblée dans cette indication, le vémurafénib.
Le figaro
Par Aude Rambaud - le 18/11/2011
Le Viagra a été testé avec succès en tant qu'anticancéreux chez des souris atteintes de mélanomes. Les essais cliniques doivent confirmer son intérêt pour l'homme.
Le Viagra pourrait bien connaître une seconde vie, ou plutôt une troisième. Ce médicament initialement prévu pour soigner l'angine de poitrine a poursuivi sa course en tant que traitement de la dysfonction érectile. Cette indication avait été fortuitement découverte suite aux effets secondaires relevés au cours d'essais cliniques. Désormais, une nouvelle étude allemande montre que la molécule active de ce médicament, appelée sildénafil, pourrait être efficace contre le cancer. Les chercheurs l'ont testée chez des souris développant des mélanomes (cancers de la peau) très similaires aux formes humaines. Les animaux qui prenaient du viagra avaient deux fois plus de chance de survie à 7 semaines que les autres.
Lorsqu'une tumeur se développe, l'organisme reconnaît les cellules cancéreuses au même titre qu'un virus ou une bactérie et déploie son système immunitaire pour les éliminer. Cependant, dans certains cas, les cellules malades résistent et provoquent l'accumulation de facteurs d'inflammation. On parle alors d'inflammation chronique. Cette situation entraîne le recrutement de cellules immunosuppressives capables d'inhiber le système de défense, notamment les lymphocytes T, à proximité de la tumeur.
Des travaux encourageantsL'équipe allemande a cherché à restaurer les mécanismes de défense contre les cellules cancéreuses chez des souris malades en utilisant le sildénafil. «Cette molécule réduit l'activité du monoxyde d'azote, une substance produite par les cellules immunosuppressives qui participe à la destruction des lymphocytes T, explique Viktor Umansky, coauteur des travaux au centre de recherche allemand de cancérologie. Chez tous les animaux traités, nous avons constaté une baisse de l'inflammation dans l'environnement de la tumeur et un retour à la normale du nombre de lymphocytes T», se réjouit-il. Selon lui, ces résultats très positifs devraient pouvoir s'observer également avec d'autres types de tumeurs. L'équipe allemande aidée de cliniciens prévoit de lancer prochainement un essai clinique de phase I chez l'homme afin d'identifier une dose efficace et bien tolérée dans cette nouvelle indication.
«Restons très prudents, tempère néanmoins le Pr Serge Evrad, président de la Société française du cancer. Ces travaux ont été effectués chez la souris et elle guérit plus souvent que nous de ses cancers !». Il se réjouit cependant que cette étude ait porté sur le mélanome. «Il s'agit d'un cancer pour lequel nous sommes assez démunis du point de vue thérapeutique. Ces travaux montrent que la recherche s'y intéresse, c'est donc une nouvelle encourageante». Elle fait suite à une autre bonne nouvelle récente, l'annonce de résultats prometteurs de la première molécule ciblée dans cette indication, le vémurafénib.
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ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Actualités concours 2012
La superstition, remède contre l'anxiété ?
Par Agnès Leclair - le 18/11/2011
PSYCHOLOGIE - Il faut savoir là où s'arrêtent les «bons» comportements et où commencent ceux qui deviennent handicapants.
«D'abord la jambe gauche, toujours. Chaussette, chaussure.» Pour Zinédine Zidane, avant un match, le rituel était immuable. Pour éviter le mauvais œil, la star du film Black Swan, Natalie Portman, ne voulait pas acheter des vêtements pour son bébé avant d'accoucher. Dans les tournois, le tennisman Paul-Henri Mathieu fait toujours rebondir sa balle le même nombre de fois avant de servir. Sacrée meilleure actrice aux Césars 2011, Sara Forestier portait des dessous porte-bonheur quand elle a reçu sa statuette ! Dans une vie riche en défis et en hasards, sportifs et artistes reconnaissent volontiers s'entourer de grigris ou pratiquer des rituels. Ils ne sont pas les seuls.
» INTERVIEW - «Une création des sociétés pour aménager la peur du monde»
Près de 41 % des Français avouent être superstitieux, selon un sondage TNS Sofres de 2009. Un pourcentage qui grimpe à 51 % chez les 15 à 34 ans, plus sensibles aux petits arrangements avec la chance que leurs aînés. Poser le pain à l'envers sur une table ou passer sous une échelle sont, aujourd'hui encore, des gestes proscrits. Trouver un trèfle à quatre feuilles, voir une étoile filante ou toucher du bois sont toujours considérés comme des bons présages.
«Coup de pouce» Comment interpréter ces survivances de l'époque des bûchers de sorcières à l'heure d'Internet ? Et si notre cerveau avait besoin de ce ressort, de ce «coup de pouce» de l'irrationnel ? «C'est une manière de me préparer, de me sentir plus pugnace, plus déterminé», concède un financier qui ne peut résister à la tentation de remettre la même cravate à chaque fois qu'il doit signer un contrat important. Mais pas question pour ce quadragénaire bon teint d'assimiler cette pratique à une «croyance de bonne femme». «Les superstitions existent depuis que l'homme est homme, rappelle l'historienne Éloïse Mozzani, auteur du Livre des superstitions : mythes, croyances et légendes (Éd. Robert Laffont). Combattues par les philosophes du siècle des Lumières et pendant le XIXe siècle, elles n'ont jamais disparu.» Elles se sont simplement adaptées à la société de consommation et à notre mode de vie. Comme en témoignent les cagnottes gonflées par La Française des jeux chaque vendredi 13 ou la prolifération des breloques porte-bonheur exotiques ou personnalisées.
«Certains grands symboles comme le trèfle à quatre feuilles persistent mais chacun concocte sa recette de bonne fortune dans son propre petit chaudron. La superstition s'est privatisée», décode Éloïse Mozzani. Si les modes évoluent, le besoin, lui, persiste. Freud y voyait une projection dans le monde extérieur de craintes et de désirs refoulés. «On sait aujourd'hui que les superstitions sont d'autant plus importantes que la personne a un sentiment de contrôle faible sur son existence et le cours de sa vie», souligne le psychiatre Christophe André dans sa Psychologie du bonheur.
«Croire en la participation des éléments et de la nature dans sa vie n'est pas forcément une mauvaise chose et ce n'est pas forcément pathologique. Il faut faire la différence entre les personnes qui ont des superstitions et les superstitieux, relève le Dr Élie Hantouche, psychiatre et directeur du Centre des troubles anxieux et de l'humeur (CTAH). Ces derniers ont généralement une personnalité anxieuse. Leurs pratiques leur permettent de masquer leurs angoisses et leur donnent l'impression de reprendre le contrôle. » Tout est question de fréquence, s'accordent à penser les spécialistes. Éviter de poser le pied sur les lignes d'un dallage avant un rendez-vous important : pourquoi pas ? Ne pas supporter de marcher sur les jointures du trottoir 365 jours par an relève du trouble obsessionnel compulsif (TOC). «Autrefois, on appelait ce trouble “mélancolie superstitieuse” en raison des similitudes entre les deux phénomènes. Mais la frontière est claire : la superstition, compulsion acceptée socialement, n'implique pas de souffrance ou de perte de temps se chiffrant en heures», indique Élie Hantouche, qui vient de publier TOC : vivre avec et s'en libérer (Éd. J. Lyon).
Rituels Parmi les personnes atteintes de TOC, les conjurateurs sont obsédés par l'idée d'attirer le malheur ou de faire du mal. Certains s'enferment dans des rituels destinés à annuler le mauvais sort. À l'instar de cette femme qui refusait d'effectuer plus de treize activités par jour. Après avoir pris une douche, un café, fait les courses, elle arrivait rapidement à douze. Alors elle se recouchait pour le reste de la journée. «Grâce aux thérapies cognitives et comportementales, ces personnes peuvent apprendre à changer leurs croyances vis-à-vis des peurs et soucis, à différer la réalisation des rituels et surtout à affronter les situations évoquant les obsessions et les compulsions», explique Élie Hantouche.
Tous les superstitieux peuvent d'ailleurs essayer, un jour, de se passer d'un rituel ou d'un grigri. Ils découvriront peut-être que leur bonne fortune ne les abandonne pas. L'expérience a été tentée avec succès par un ténor du barreau, Éric Dupond-Moretti. Pendant des années, ce pénaliste mettait systématiquement une chemise blanche pour aller aux assises. «Un jour, j'ai eu un bon résultat sans et je me suis rendu compte à quel point tout cela était stupide, irrationnel» , a-t-il rapporté. La chance sourit décidément aux audacieux.
Le figaro
Par Agnès Leclair - le 18/11/2011
PSYCHOLOGIE - Il faut savoir là où s'arrêtent les «bons» comportements et où commencent ceux qui deviennent handicapants.
«D'abord la jambe gauche, toujours. Chaussette, chaussure.» Pour Zinédine Zidane, avant un match, le rituel était immuable. Pour éviter le mauvais œil, la star du film Black Swan, Natalie Portman, ne voulait pas acheter des vêtements pour son bébé avant d'accoucher. Dans les tournois, le tennisman Paul-Henri Mathieu fait toujours rebondir sa balle le même nombre de fois avant de servir. Sacrée meilleure actrice aux Césars 2011, Sara Forestier portait des dessous porte-bonheur quand elle a reçu sa statuette ! Dans une vie riche en défis et en hasards, sportifs et artistes reconnaissent volontiers s'entourer de grigris ou pratiquer des rituels. Ils ne sont pas les seuls.
» INTERVIEW - «Une création des sociétés pour aménager la peur du monde»
Près de 41 % des Français avouent être superstitieux, selon un sondage TNS Sofres de 2009. Un pourcentage qui grimpe à 51 % chez les 15 à 34 ans, plus sensibles aux petits arrangements avec la chance que leurs aînés. Poser le pain à l'envers sur une table ou passer sous une échelle sont, aujourd'hui encore, des gestes proscrits. Trouver un trèfle à quatre feuilles, voir une étoile filante ou toucher du bois sont toujours considérés comme des bons présages.
«Coup de pouce» Comment interpréter ces survivances de l'époque des bûchers de sorcières à l'heure d'Internet ? Et si notre cerveau avait besoin de ce ressort, de ce «coup de pouce» de l'irrationnel ? «C'est une manière de me préparer, de me sentir plus pugnace, plus déterminé», concède un financier qui ne peut résister à la tentation de remettre la même cravate à chaque fois qu'il doit signer un contrat important. Mais pas question pour ce quadragénaire bon teint d'assimiler cette pratique à une «croyance de bonne femme». «Les superstitions existent depuis que l'homme est homme, rappelle l'historienne Éloïse Mozzani, auteur du Livre des superstitions : mythes, croyances et légendes (Éd. Robert Laffont). Combattues par les philosophes du siècle des Lumières et pendant le XIXe siècle, elles n'ont jamais disparu.» Elles se sont simplement adaptées à la société de consommation et à notre mode de vie. Comme en témoignent les cagnottes gonflées par La Française des jeux chaque vendredi 13 ou la prolifération des breloques porte-bonheur exotiques ou personnalisées.
«Certains grands symboles comme le trèfle à quatre feuilles persistent mais chacun concocte sa recette de bonne fortune dans son propre petit chaudron. La superstition s'est privatisée», décode Éloïse Mozzani. Si les modes évoluent, le besoin, lui, persiste. Freud y voyait une projection dans le monde extérieur de craintes et de désirs refoulés. «On sait aujourd'hui que les superstitions sont d'autant plus importantes que la personne a un sentiment de contrôle faible sur son existence et le cours de sa vie», souligne le psychiatre Christophe André dans sa Psychologie du bonheur.
«Croire en la participation des éléments et de la nature dans sa vie n'est pas forcément une mauvaise chose et ce n'est pas forcément pathologique. Il faut faire la différence entre les personnes qui ont des superstitions et les superstitieux, relève le Dr Élie Hantouche, psychiatre et directeur du Centre des troubles anxieux et de l'humeur (CTAH). Ces derniers ont généralement une personnalité anxieuse. Leurs pratiques leur permettent de masquer leurs angoisses et leur donnent l'impression de reprendre le contrôle. » Tout est question de fréquence, s'accordent à penser les spécialistes. Éviter de poser le pied sur les lignes d'un dallage avant un rendez-vous important : pourquoi pas ? Ne pas supporter de marcher sur les jointures du trottoir 365 jours par an relève du trouble obsessionnel compulsif (TOC). «Autrefois, on appelait ce trouble “mélancolie superstitieuse” en raison des similitudes entre les deux phénomènes. Mais la frontière est claire : la superstition, compulsion acceptée socialement, n'implique pas de souffrance ou de perte de temps se chiffrant en heures», indique Élie Hantouche, qui vient de publier TOC : vivre avec et s'en libérer (Éd. J. Lyon).
Rituels Parmi les personnes atteintes de TOC, les conjurateurs sont obsédés par l'idée d'attirer le malheur ou de faire du mal. Certains s'enferment dans des rituels destinés à annuler le mauvais sort. À l'instar de cette femme qui refusait d'effectuer plus de treize activités par jour. Après avoir pris une douche, un café, fait les courses, elle arrivait rapidement à douze. Alors elle se recouchait pour le reste de la journée. «Grâce aux thérapies cognitives et comportementales, ces personnes peuvent apprendre à changer leurs croyances vis-à-vis des peurs et soucis, à différer la réalisation des rituels et surtout à affronter les situations évoquant les obsessions et les compulsions», explique Élie Hantouche.
Tous les superstitieux peuvent d'ailleurs essayer, un jour, de se passer d'un rituel ou d'un grigri. Ils découvriront peut-être que leur bonne fortune ne les abandonne pas. L'expérience a été tentée avec succès par un ténor du barreau, Éric Dupond-Moretti. Pendant des années, ce pénaliste mettait systématiquement une chemise blanche pour aller aux assises. «Un jour, j'ai eu un bon résultat sans et je me suis rendu compte à quel point tout cela était stupide, irrationnel» , a-t-il rapporté. La chance sourit décidément aux audacieux.
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Re: Actualités concours 2012
Crise : Le Slow Food de plus en plus prisé
Les démarches de l'association Slow Food, fondée il y a 25 ans en Italie pour défendre une alimentation "bonne, propre et juste", prennent de l'ampleur "avec la complicité de la crise" économique, affirme son fondateur, Carlo Petrini
Il n'y a pas que la restauration rapide dans la vie. Le Slow Food, un concept né il y a 25 ans en Italie, se veut son parfait pendant. Et ce type d'alimentation, qui se veut « bonne, propre et juste », prend de l'ampleur « avec la complicité de la crise économique », affirme son fondateur, Carlo Petrini. « La société civile est d'autant plus sensible à nos thématiques que nous faisons face, actuellement, à trois crises simultanées : financière, environnementale et énergétique », explique Carlo Petrini, en marge de la deuxième biennale européenne du goût. Organisé par le mouvement international, l'Euro Gusto se déroule en effet jusqu'à dimanche à Tours.
« Nous consommons beaucoup plus d'énergie que nous n'en produisons, et cela est particulièrement significatif pour la nourriture : on ne peut pas produire en consommant deux fois plus d'énergie, la terre n'est pas une ressource infinie », affirme-t-il. Entre les différents stands de produits rares, tels que le chou de Lorient (Morbihan) ou le safran de Taliouine (Maroc), Carlo Petrini fait part de son inquiétude pour l'avenir. « L'avidité humaine a détruit la fertilité du sol, l'eau, la biodiversité. Et dans le même temps, la vie de beaucoup de petits producteurs », explique le fondateur de l'association Slow Food, qui a pour objectif de faire (re)découvrir ces aliments peu connus.
Une popularité grandissante
Ainsi, pendant le week-end, le grand public est invité à goûter saveurs exotiques ou de qualité, discuter avec leurs producteurs et assister à différentes démonstrations de chefs et d'artisans, comme aux dégustations de vignerons. « Nous devons renforcer les vrais protagonistes de l'agriculture durable, à savoir les petits et les moyens paysans », insiste Carlo Petrini.
Ce critique gastronomique et sociologue de formation est persuadé qu'il n'y a « qu'au niveau local que tu redeviens un acteur, que tu retrouves la fierté d'être un protagoniste, et pas un citoyen passif ». Et pour avoir un impact encore plus important, Slow Food travaille avec de nombreuses autres associations. Et la popularité de ce mouvement ne se dément pas. Carlo Petrini a fondé Slow Food en 1986 dans la région de Turin, en réaction à l'ouverture en Italie des premiers fast-foods. Après toutes ces années, l'association compte quelque 100.000 membres dans plus de 160 pays
France soir
Les démarches de l'association Slow Food, fondée il y a 25 ans en Italie pour défendre une alimentation "bonne, propre et juste", prennent de l'ampleur "avec la complicité de la crise" économique, affirme son fondateur, Carlo Petrini
Il n'y a pas que la restauration rapide dans la vie. Le Slow Food, un concept né il y a 25 ans en Italie, se veut son parfait pendant. Et ce type d'alimentation, qui se veut « bonne, propre et juste », prend de l'ampleur « avec la complicité de la crise économique », affirme son fondateur, Carlo Petrini. « La société civile est d'autant plus sensible à nos thématiques que nous faisons face, actuellement, à trois crises simultanées : financière, environnementale et énergétique », explique Carlo Petrini, en marge de la deuxième biennale européenne du goût. Organisé par le mouvement international, l'Euro Gusto se déroule en effet jusqu'à dimanche à Tours.
« Nous consommons beaucoup plus d'énergie que nous n'en produisons, et cela est particulièrement significatif pour la nourriture : on ne peut pas produire en consommant deux fois plus d'énergie, la terre n'est pas une ressource infinie », affirme-t-il. Entre les différents stands de produits rares, tels que le chou de Lorient (Morbihan) ou le safran de Taliouine (Maroc), Carlo Petrini fait part de son inquiétude pour l'avenir. « L'avidité humaine a détruit la fertilité du sol, l'eau, la biodiversité. Et dans le même temps, la vie de beaucoup de petits producteurs », explique le fondateur de l'association Slow Food, qui a pour objectif de faire (re)découvrir ces aliments peu connus.
Une popularité grandissante
Ainsi, pendant le week-end, le grand public est invité à goûter saveurs exotiques ou de qualité, discuter avec leurs producteurs et assister à différentes démonstrations de chefs et d'artisans, comme aux dégustations de vignerons. « Nous devons renforcer les vrais protagonistes de l'agriculture durable, à savoir les petits et les moyens paysans », insiste Carlo Petrini.
Ce critique gastronomique et sociologue de formation est persuadé qu'il n'y a « qu'au niveau local que tu redeviens un acteur, que tu retrouves la fierté d'être un protagoniste, et pas un citoyen passif ». Et pour avoir un impact encore plus important, Slow Food travaille avec de nombreuses autres associations. Et la popularité de ce mouvement ne se dément pas. Carlo Petrini a fondé Slow Food en 1986 dans la région de Turin, en réaction à l'ouverture en Italie des premiers fast-foods. Après toutes ces années, l'association compte quelque 100.000 membres dans plus de 160 pays
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Re: Actualités concours 2012
La France consomme trop d’antibiotiques
Le ministère de la Santé veut réduire leur consommation de 25 % sur cinq ans.
Les antibiotiques, ce n’est pas automatique. Afin de limiter le phénomène inquiétant des bactéries résistantes, la France ambitionne de réduire d’un quart en cinq ans la consommation de ces médicaments, dont elle reste l’un des premiers pays consommateurs en Europe, a annoncé hier le ministère de la Santé. «Le développement des résistances aux antibiotiques » avec un « nombre croissant de situations d’impasses thérapeutiques contre des infections bactériennes » constitue « une menace de santé publique majeure », a expliqué le ministère. C’est pourquoi le directeur général de la santé, Jean-Yves Grall, a dévoilé un « Plan national d’alerte sur les antibiotiques » pour « maîtriser et rationaliser la consommation des antibiotiques». C’est le troisième plan quinquennal du genre en France. Il suit de 24 heures l’annonce d’un programme comparable au niveau européen et se veut plus agressif que les deux précédents plans. Il fixe un objectif chiffré de réduction de 25 % sur cinq ans de la consommation d’antibiotiques. Longtemps en tête des pays européens consommateurs d’antibiotiques, la France se classe désormais en quatrième place. Mais le nombre des résistances bactériennes « y est la plupart du temps plus élevé que dans les pays du nord de l’Europe », où la consommation en antibiotiques est moindre. Il y a une corrélation directe entre le haut niveau de consommation en antibiotiques et la multiplication des résistances, a expliqué M. Grall.
Les animaux aussi
La lutte contre la consommation excessive des antibiotiques doit concerner aussi les agriculteurs, soulignent les pouvoirs publics. Chez l’animal comme chez l’homme, les antibiotiques doivent faire l’objet d’une utilisation raisonnée, afin d’éviter la progression des résistances et de préserver leur efficacité, a préconisé de son côté hier l’Agence de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). Les bactéries animales sont de plus en plus résistantes à certains antibiotiques, a souligné l’Anses, à l’occasion d’une journée consacrée à l’antibiorésistance en santé animale. « Un sujet que l’Anses a positionné comme prioritaire dans sa stratégie », a déclaré Marc Mortureux, son directeur général
France soir
Le ministère de la Santé veut réduire leur consommation de 25 % sur cinq ans.
Les antibiotiques, ce n’est pas automatique. Afin de limiter le phénomène inquiétant des bactéries résistantes, la France ambitionne de réduire d’un quart en cinq ans la consommation de ces médicaments, dont elle reste l’un des premiers pays consommateurs en Europe, a annoncé hier le ministère de la Santé. «Le développement des résistances aux antibiotiques » avec un « nombre croissant de situations d’impasses thérapeutiques contre des infections bactériennes » constitue « une menace de santé publique majeure », a expliqué le ministère. C’est pourquoi le directeur général de la santé, Jean-Yves Grall, a dévoilé un « Plan national d’alerte sur les antibiotiques » pour « maîtriser et rationaliser la consommation des antibiotiques». C’est le troisième plan quinquennal du genre en France. Il suit de 24 heures l’annonce d’un programme comparable au niveau européen et se veut plus agressif que les deux précédents plans. Il fixe un objectif chiffré de réduction de 25 % sur cinq ans de la consommation d’antibiotiques. Longtemps en tête des pays européens consommateurs d’antibiotiques, la France se classe désormais en quatrième place. Mais le nombre des résistances bactériennes « y est la plupart du temps plus élevé que dans les pays du nord de l’Europe », où la consommation en antibiotiques est moindre. Il y a une corrélation directe entre le haut niveau de consommation en antibiotiques et la multiplication des résistances, a expliqué M. Grall.
Les animaux aussi
La lutte contre la consommation excessive des antibiotiques doit concerner aussi les agriculteurs, soulignent les pouvoirs publics. Chez l’animal comme chez l’homme, les antibiotiques doivent faire l’objet d’une utilisation raisonnée, afin d’éviter la progression des résistances et de préserver leur efficacité, a préconisé de son côté hier l’Agence de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). Les bactéries animales sont de plus en plus résistantes à certains antibiotiques, a souligné l’Anses, à l’occasion d’une journée consacrée à l’antibiorésistance en santé animale. « Un sujet que l’Anses a positionné comme prioritaire dans sa stratégie », a déclaré Marc Mortureux, son directeur général
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Re: Actualités concours 2012
Euthanasie : Le Dr Bonnemaison suspendu, possible 9e cas
Le médecin urgentiste Nicolas Bonnemaison, soupçonné d'euthanasie active sur huit patients à l'hôpital de Bayonne (Pyrénées Atlantiques), a été "suspendu" vendredi par le ministre de la Santé qui a évoqué dans un communiqué un possible neuvième cas.
Rebondissement de situation à la fois énorme et étonnant. Un coup de théâtre inouï. Un neuvième cas d'euthanasie pourrait avoir eu lieu à l'hôpital de Bayonne (Pyrénées Atlantiques). Le médecin urgentiste Nicolas Bonnemaison, soupçonné d'euthanasie active sur huit patients, a été immédiatement « suspendu » ce vendredi par le ministre de la Santé. Xavier Bertrand a pris cette décision à la suite du rapport de l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) sur l'établissement hospitalier de Bayonne. L'Igas a étudié, pendant de nombreuses semaines, les dix-neuf dossiers de patients décédés alors qu'ils étaient pris en charge par le médecin urgentiste.
« L'étude de ces 19 dossiers a conduit l'Igas à opérer un signalement aux autorités judiciaires, en application de l'article 40 du Code de procédure pénale. En effet, un dossier comportait explicitement la mention d'une administration de curare au patient, en dehors des indications habituelles », indique un communiqué commun de Xavier Bertrand et Nora Berra, la secrétaire d'Etat à la Santé. Xavier Bertrand précise « qu'aucune société savante ne l'indique comme méthode de sédation. Or, seule une méthode de sédation pouvant avoir pour effet secondaire d'abréger la vie est autorisée par la loi du 25 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie ». Selon les ministres, « ce cas ne faisait pas partie des dossiers ayant fait jusqu'alors l'objet d'un signalement aux autorités judiciaires par l'établissement ». Ce serait donc une euthanasie.
Le débat reste ouvert
Selon le communiqué, les ministres ont « décidé d'engager une procédure disciplinaire, et de prononcer à titre conservatoire la suspension immédiate de l'intéressé ». Nicolas Bonnemaison, 50 ans, a été mis en examen le 12 août à Bayonne pour « empoisonnements sur personnes particulièrement vulnérables ». Mi-septembre, la cour d'appel de Pau l'avait laissé libre sous contrôle judiciaire, avec interdiction de pratiquer la médecine, d'entrer en contact avec des membres de son ancien service et de résider dans les Pyrénées-Atlantiques. « Pour autant, du point de vue statutaire », le Dr Bonnemaison est « toujours en position d'activité », indiquent les ministres. C'est pourquoi ils ont prononcé « à titre conservatoire » sa suspension immédiate. Avec ce nouveau cas possible, le débat sur l'euthanasie n'est pas près de s'achever
France soir
Le médecin urgentiste Nicolas Bonnemaison, soupçonné d'euthanasie active sur huit patients à l'hôpital de Bayonne (Pyrénées Atlantiques), a été "suspendu" vendredi par le ministre de la Santé qui a évoqué dans un communiqué un possible neuvième cas.
Rebondissement de situation à la fois énorme et étonnant. Un coup de théâtre inouï. Un neuvième cas d'euthanasie pourrait avoir eu lieu à l'hôpital de Bayonne (Pyrénées Atlantiques). Le médecin urgentiste Nicolas Bonnemaison, soupçonné d'euthanasie active sur huit patients, a été immédiatement « suspendu » ce vendredi par le ministre de la Santé. Xavier Bertrand a pris cette décision à la suite du rapport de l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) sur l'établissement hospitalier de Bayonne. L'Igas a étudié, pendant de nombreuses semaines, les dix-neuf dossiers de patients décédés alors qu'ils étaient pris en charge par le médecin urgentiste.
« L'étude de ces 19 dossiers a conduit l'Igas à opérer un signalement aux autorités judiciaires, en application de l'article 40 du Code de procédure pénale. En effet, un dossier comportait explicitement la mention d'une administration de curare au patient, en dehors des indications habituelles », indique un communiqué commun de Xavier Bertrand et Nora Berra, la secrétaire d'Etat à la Santé. Xavier Bertrand précise « qu'aucune société savante ne l'indique comme méthode de sédation. Or, seule une méthode de sédation pouvant avoir pour effet secondaire d'abréger la vie est autorisée par la loi du 25 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie ». Selon les ministres, « ce cas ne faisait pas partie des dossiers ayant fait jusqu'alors l'objet d'un signalement aux autorités judiciaires par l'établissement ». Ce serait donc une euthanasie.
Le débat reste ouvert
Selon le communiqué, les ministres ont « décidé d'engager une procédure disciplinaire, et de prononcer à titre conservatoire la suspension immédiate de l'intéressé ». Nicolas Bonnemaison, 50 ans, a été mis en examen le 12 août à Bayonne pour « empoisonnements sur personnes particulièrement vulnérables ». Mi-septembre, la cour d'appel de Pau l'avait laissé libre sous contrôle judiciaire, avec interdiction de pratiquer la médecine, d'entrer en contact avec des membres de son ancien service et de résider dans les Pyrénées-Atlantiques. « Pour autant, du point de vue statutaire », le Dr Bonnemaison est « toujours en position d'activité », indiquent les ministres. C'est pourquoi ils ont prononcé « à titre conservatoire » sa suspension immédiate. Avec ce nouveau cas possible, le débat sur l'euthanasie n'est pas près de s'achever
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Re: Actualités concours 2012
87% des 18-22 ans inscrits sur les listes électorales et intéressés
Les 18-22 ans s'intéressent plus que la moyenne à la campagne mais ils la jugent de mauvaise qualité.
La politique et les jeunes. Un vaste débat depuis des centaines d'années. Mais d'après un sondage, nos politiciens intéressent toujours. La preuve. Les 18-22 ans français sont presque aussi nombreux à être inscrits sur les listes électorales que leurs aînés. Et ils seraient même plus intéressés par la campagne, mais trouvent cependant que les thèmes abordés ne les concernent pas assez. Voici les principaux enseignements d'un sondage de l'Ifop* pour l'association Anacej que s'est procuré le site Europe1.fr. Il a été mené auprès des 18-22 ans qui pourront voter pour la première fois lors de la prochaine présidentielle.
Ils sont inscrits, mais la moitié ne le sait pas
Ils sont 87% des jeunes de 18 à 22 ans interrogés à déclarer être inscrits sur les listes électorales. Soit à peine moins que la moyenne nationale (91%). Cependant, près d'un jeune sur deux (46%) ne connaît pas le mécanisme d'inscription automatique suite à la Journée d'Appel et de Préparation à la Défense. Chez les personnes qui déclarent ne pas être inscrites, cette proportion monte même à 69%.
Ils s'intéressent à la campagne, mais...
En outre, les primo-votants sont plus nombreux à s'intéresser assez ou beaucoup à la présidentielle (55%) que l'ensemble des Français (45% selon un sondage Ifop / Paris-Match des 2 et 3 novembre). La campagne présidentielle actuelle est néanmoins pointée du doigt : seul un jeune interrogé sur trois la trouve de bonne qualité et 72% considèrent que les vrais problèmes des jeunes ne sont pas suffisamment abordés.
Influencer par l'emploi et la formation
Et les thèmes centraux qui influeront sur leur choix dans les urnes sont l'emploi et la formation (94% affirment que cela comptera assez ou beaucoup dans leur décision), le pouvoir d'achat (89%) et l'éducation (86%). Les sujets les moins décisifs à leurs yeux sont la politique européenne de la France (67%), la culture et le sport (56%) et le nucléaire (55%).
La télévision, principale source d'information
Et s'il y a une surprise qui ressort du sondage c'est sans doute le fait que les 18-22 s'informent quasiment de la même façon que le reste de la population. Pour 78% des jeunes Français interrogés, la télévision est leur principale source d'information, suivie par les discussions avec leur famille (43%) et leurs amis (33%). Derrière, on retrouve les sites Internet d'information (29%) et la radio (22%).
*Cette enquête a été réalisée en ligne entre le 3 et le 7 novembre auprès d'un échantillon de 807 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 à 22 ans, selon la méthode des quotas
France soir
Les 18-22 ans s'intéressent plus que la moyenne à la campagne mais ils la jugent de mauvaise qualité.
La politique et les jeunes. Un vaste débat depuis des centaines d'années. Mais d'après un sondage, nos politiciens intéressent toujours. La preuve. Les 18-22 ans français sont presque aussi nombreux à être inscrits sur les listes électorales que leurs aînés. Et ils seraient même plus intéressés par la campagne, mais trouvent cependant que les thèmes abordés ne les concernent pas assez. Voici les principaux enseignements d'un sondage de l'Ifop* pour l'association Anacej que s'est procuré le site Europe1.fr. Il a été mené auprès des 18-22 ans qui pourront voter pour la première fois lors de la prochaine présidentielle.
Ils sont inscrits, mais la moitié ne le sait pas
Ils sont 87% des jeunes de 18 à 22 ans interrogés à déclarer être inscrits sur les listes électorales. Soit à peine moins que la moyenne nationale (91%). Cependant, près d'un jeune sur deux (46%) ne connaît pas le mécanisme d'inscription automatique suite à la Journée d'Appel et de Préparation à la Défense. Chez les personnes qui déclarent ne pas être inscrites, cette proportion monte même à 69%.
Ils s'intéressent à la campagne, mais...
En outre, les primo-votants sont plus nombreux à s'intéresser assez ou beaucoup à la présidentielle (55%) que l'ensemble des Français (45% selon un sondage Ifop / Paris-Match des 2 et 3 novembre). La campagne présidentielle actuelle est néanmoins pointée du doigt : seul un jeune interrogé sur trois la trouve de bonne qualité et 72% considèrent que les vrais problèmes des jeunes ne sont pas suffisamment abordés.
Influencer par l'emploi et la formation
Et les thèmes centraux qui influeront sur leur choix dans les urnes sont l'emploi et la formation (94% affirment que cela comptera assez ou beaucoup dans leur décision), le pouvoir d'achat (89%) et l'éducation (86%). Les sujets les moins décisifs à leurs yeux sont la politique européenne de la France (67%), la culture et le sport (56%) et le nucléaire (55%).
La télévision, principale source d'information
Et s'il y a une surprise qui ressort du sondage c'est sans doute le fait que les 18-22 s'informent quasiment de la même façon que le reste de la population. Pour 78% des jeunes Français interrogés, la télévision est leur principale source d'information, suivie par les discussions avec leur famille (43%) et leurs amis (33%). Derrière, on retrouve les sites Internet d'information (29%) et la radio (22%).
*Cette enquête a été réalisée en ligne entre le 3 et le 7 novembre auprès d'un échantillon de 807 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 à 22 ans, selon la méthode des quotas
France soir
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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