Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Actualités concours 2012
Journée de mobilisation en France contre l'austérité
LEMONDE.FR avec AFP | 13.12.11 | 06h47 • Mis à jour le 13.12.11 | 10h27
Des rassemblements sont prévus dans toute la France, mardi 13 décembre, contre le plan d'austérité du gouvernement, perçu comme "injuste", à l'appel des syndicats, dont la CGT et la CFDT, qui toutefois ne s'attendent pas à une mobilisation massive à quatre mois de la présidentielle.
C'est après l'annonce, début novembre, par le premier ministre, François Fillon, d'un deuxième plan de rigueur, que l'intersyndicale CGT, CFDT, FSU, Solidaires et UNSA a décidé de riposter. Mais après la journée de mobilisation en demi-teinte du 11 octobre — marquée par des manifestations et des grèves limitées — les syndicats se sont cette fois contentés d'appeler à des rassemblements. Au total, cent quatre-vingt-cinq initiatives sont prévues dans tout le pays, selon la CGT.
A Paris, un rassemblement aura lieu à 14 heures sur le pont de la Concorde, face à l'Assemblée nationale. Les leaders syndicaux, notamment Bernard Thibault (CGT) et François Chérèque (CFDT), y seront en première ligne. Un peu plus tôt, à 13 heures, la CGT organise un rassemblement, place Saint-Augustin (8e arrondissement). Les militants rejoindront ensuite, en cortège, leurs camarades sur le pont de la Concorde. Le syndicat étudiant UNEF participera à cette manifestation.
Des rassemblements sont aussi prévus dans les villes de province, notamment devant la préfecture (à Marseille), le conseil général (à Lyon) ou les bureaux de la Sécurité sociale (à Lille). De son côté, FO — dont le mot d'ordre est la grève — a laissé le choix à ses unions départementales de participer ou pas à la mobilisation unitaire. Toutefois, son numéro un, Jean-Claude Mailly, ne sera pas sur le pont de la Concorde, mais aux côtés des ouvriers d'une usine à Saint-Omer, dans la Pas-de-Calais.
PERTURBATIONS SUR LA LIGNE B DU RER
Le trafic est légèrement perturbé sur la ligne B du RER, avec trois trains sur quatre circulant, la circulation étant normale sur le reste du réseau, a-t-on appris auprès de la RATP. Le RER B, qui traverse la capitale du nord au sud, transporte chaque jour près de 800 000 Franciliens. Le trafic est normal ou quasi normal pour le métro, a précisé la RATP. Les tramways et les bus fonctionnent aussi normalement sur l'ensemble des lignes.
Les perturbations pourraient être plus sensibles en début d'après-midi, lors du rassemblement parisien prévu par plusieurs syndicats pour dénoncer le plan de rigueur du gouvernement, a-t-on précisé à la RATP, qui prévoit un retour à la normale en fin d'après-midi.
LEMONDE.FR avec AFP | 13.12.11 | 06h47 • Mis à jour le 13.12.11 | 10h27
Des rassemblements sont prévus dans toute la France, mardi 13 décembre, contre le plan d'austérité du gouvernement, perçu comme "injuste", à l'appel des syndicats, dont la CGT et la CFDT, qui toutefois ne s'attendent pas à une mobilisation massive à quatre mois de la présidentielle.
C'est après l'annonce, début novembre, par le premier ministre, François Fillon, d'un deuxième plan de rigueur, que l'intersyndicale CGT, CFDT, FSU, Solidaires et UNSA a décidé de riposter. Mais après la journée de mobilisation en demi-teinte du 11 octobre — marquée par des manifestations et des grèves limitées — les syndicats se sont cette fois contentés d'appeler à des rassemblements. Au total, cent quatre-vingt-cinq initiatives sont prévues dans tout le pays, selon la CGT.
A Paris, un rassemblement aura lieu à 14 heures sur le pont de la Concorde, face à l'Assemblée nationale. Les leaders syndicaux, notamment Bernard Thibault (CGT) et François Chérèque (CFDT), y seront en première ligne. Un peu plus tôt, à 13 heures, la CGT organise un rassemblement, place Saint-Augustin (8e arrondissement). Les militants rejoindront ensuite, en cortège, leurs camarades sur le pont de la Concorde. Le syndicat étudiant UNEF participera à cette manifestation.
Des rassemblements sont aussi prévus dans les villes de province, notamment devant la préfecture (à Marseille), le conseil général (à Lyon) ou les bureaux de la Sécurité sociale (à Lille). De son côté, FO — dont le mot d'ordre est la grève — a laissé le choix à ses unions départementales de participer ou pas à la mobilisation unitaire. Toutefois, son numéro un, Jean-Claude Mailly, ne sera pas sur le pont de la Concorde, mais aux côtés des ouvriers d'une usine à Saint-Omer, dans la Pas-de-Calais.
PERTURBATIONS SUR LA LIGNE B DU RER
Le trafic est légèrement perturbé sur la ligne B du RER, avec trois trains sur quatre circulant, la circulation étant normale sur le reste du réseau, a-t-on appris auprès de la RATP. Le RER B, qui traverse la capitale du nord au sud, transporte chaque jour près de 800 000 Franciliens. Le trafic est normal ou quasi normal pour le métro, a précisé la RATP. Les tramways et les bus fonctionnent aussi normalement sur l'ensemble des lignes.
Les perturbations pourraient être plus sensibles en début d'après-midi, lors du rassemblement parisien prévu par plusieurs syndicats pour dénoncer le plan de rigueur du gouvernement, a-t-on précisé à la RATP, qui prévoit un retour à la normale en fin d'après-midi.
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Re: Actualités concours 2012
La santé mentale au travail se dégrade
Créé le 12/12/2011 à 19h34 -- Mis à jour le 12/12/2011 à 20h58
EMPLOI - Un rapport de l'OCDE révèle une augmentation des troubles mentaux chez les employés...
Un employé sur cinq dans les pays de l'OCDE souffre de problèmes psychologiques, ce qui affecte la productivité, dit l'Organisation pour la coopération et le développement économiques dans un rapport publié lundi. Parmi les pathologies fréquemment recensées, la dépression et l’anxiété. Malgré l’existence de soins, nombre d’entre eux peinent à s’en sortir.
Les personnes atteintes de problèmes psychologiques le sont la plupart du temps du fait de leur travail, et près de la moitié des demandes d'indemnisation pour incapacité sont liées à ces problèmes. Le rapport révèle que «30% à 50% des nouvelles demandes de pension d’invalidité dans les pays de l’OCDE sont désormais motivées par une mauvaise santé mentale».
Or, la mauvaise santé mentale des employés a un coût. Selon l’OCDE, il se situerait entre 3 et 4% du produit intérieur brut (PIB) de l’Union européenne.
Vers de nouveaux modèles ?
Les gouvernements doivent trouver de nouveaux moyens de résoudre ce problème car les facteurs de ces maladies, comme le stress au travail, vont probablement se multiplier, ajoute l'OCDE. «L'insécurité croissante au travail et la pression sur le lieu de travail pourraient provoquer une augmentation des problèmes de santé mentale dans les années à venir», peut-on lire dans le rapport.
«La part de travailleurs exposés au stress lié au travail, ou au surmenage, a augmenté dans toute l'OCDE au cours de la décennie passée. Et, dans le climat économique actuel, de plus en plus de gens s'inquiètent pour leur poste.»
L'OCDE recommande d'améliorer les conditions de travail, de mettre en place une surveillance systématique des congés maladie, d'aider les employeurs à réduire les conflits au travail et d'éviter les licenciements provoqués par des problèmes psychologiques.
A. D. Avec Reuters
Créé le 12/12/2011 à 19h34 -- Mis à jour le 12/12/2011 à 20h58
EMPLOI - Un rapport de l'OCDE révèle une augmentation des troubles mentaux chez les employés...
Un employé sur cinq dans les pays de l'OCDE souffre de problèmes psychologiques, ce qui affecte la productivité, dit l'Organisation pour la coopération et le développement économiques dans un rapport publié lundi. Parmi les pathologies fréquemment recensées, la dépression et l’anxiété. Malgré l’existence de soins, nombre d’entre eux peinent à s’en sortir.
Les personnes atteintes de problèmes psychologiques le sont la plupart du temps du fait de leur travail, et près de la moitié des demandes d'indemnisation pour incapacité sont liées à ces problèmes. Le rapport révèle que «30% à 50% des nouvelles demandes de pension d’invalidité dans les pays de l’OCDE sont désormais motivées par une mauvaise santé mentale».
Or, la mauvaise santé mentale des employés a un coût. Selon l’OCDE, il se situerait entre 3 et 4% du produit intérieur brut (PIB) de l’Union européenne.
Vers de nouveaux modèles ?
Les gouvernements doivent trouver de nouveaux moyens de résoudre ce problème car les facteurs de ces maladies, comme le stress au travail, vont probablement se multiplier, ajoute l'OCDE. «L'insécurité croissante au travail et la pression sur le lieu de travail pourraient provoquer une augmentation des problèmes de santé mentale dans les années à venir», peut-on lire dans le rapport.
«La part de travailleurs exposés au stress lié au travail, ou au surmenage, a augmenté dans toute l'OCDE au cours de la décennie passée. Et, dans le climat économique actuel, de plus en plus de gens s'inquiètent pour leur poste.»
L'OCDE recommande d'améliorer les conditions de travail, de mettre en place une surveillance systématique des congés maladie, d'aider les employeurs à réduire les conflits au travail et d'éviter les licenciements provoqués par des problèmes psychologiques.
A. D. Avec Reuters
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Re: Fiches culture générale 2012
Hello tout le monde,
Je viens de tomber sur ce topic et je trouve que c'est vraiment génial
J'ai moi même fais quelques fiches mais il me manque quelques sujet que je trouve important et je voulais savoir si vous les aviez. Alors il me manque : le vieillissement de la population, les infections nosocomiales, le secret professionnel, les minimas sociaux, et la loi loi bioéthique 2011.
Je n'es pas tout lu et si ça se trouve vous avez déjà traiter un de ces sujets et je vous serai reconnaissante si vous m'aidiez
Les fiches que j'ai déjà sont (si ça peut vous aider):
prévention
l'hygiène
plan hopital 2012
l'hygiène alimentaire
mort violente et accident
le tabac
l'euthanasie
l'assurance maladie
la CMU
l'hopital
contraception, IVG
A bientôt
Je viens de tomber sur ce topic et je trouve que c'est vraiment génial

J'ai moi même fais quelques fiches mais il me manque quelques sujet que je trouve important et je voulais savoir si vous les aviez. Alors il me manque : le vieillissement de la population, les infections nosocomiales, le secret professionnel, les minimas sociaux, et la loi loi bioéthique 2011.
Je n'es pas tout lu et si ça se trouve vous avez déjà traiter un de ces sujets et je vous serai reconnaissante si vous m'aidiez

Les fiches que j'ai déjà sont (si ça peut vous aider):
prévention
l'hygiène
plan hopital 2012
l'hygiène alimentaire
mort violente et accident
le tabac
l'euthanasie
l'assurance maladie
la CMU
l'hopital
contraception, IVG
A bientôt

Re: Fiches culture générale 2012
Marine, les sujets qui te manquent, sont effectivement dans les fiches qui ont déjà été postées 
Bonne recherche

Bonne recherche

DE 2015
IBO en Guadeloupe
IBO en Guadeloupe
Re: Fiches culture générale 2012
coucou les filles, j'espere que vous allez bien!!
bon dites moi quand est ce qu'on reprend pour faire les fiches?
qui est intéresser pour continuer?
bon dites moi quand est ce qu'on reprend pour faire les fiches?
qui est intéresser pour continuer?
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Re: Fiches culture générale 2012
Pour moi c'est quand vous voulez!! 

Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Fiches culture générale 2012
Pour moi aussi, je ferais de mon mieux pour gérer en même temps les fiches et les cours (hé oui, encore au lycée
) mais je ne promet rien 


CHU Saint-Etienne : Admissible, oral le 23 mai
Croix rouge Saint-Etienne : Admissible, oral le 31 mai.
Croix rouge Saint-Etienne : Admissible, oral le 31 mai.
Re: Actualités concours 2012
La paludisme a fait 650 000 morts en 2010, surtout des enfants africains
LEMONDE.FR
Bien qu'en baisse, le paludisme a encore causé la mort de 655 000 personnes en 2010, en grande partie en Afrique, et 86 % des décès concernent des enfants de moins de 5 ans. Ce sont les conclusions du rapport 2011 sur le paludisme dans le monde, publié mardi 13 décembre par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
L'OMS a recencé, en 2010, 216 millions d'épisodes de paludisme dans le monde, dont 81 % dans la région Afrique. Ce bilan représente un recul de 5 % par rapport à 2009. Sur les 99 pays touchés par le paludisme, 43 ont enregistré une diminution de plus de 50 % des cas déclarés sur les dix dernières années.
RÉDUIRE DE 75 % LE NOMBRE DE CAS DANS LE MONDE
Depuis l'an 2000, les taux de mortalité liés au paludisme ont diminué de 26 %, un progrès qualifié de "majeur" par l'OMS, mais cependant inférieur à l'objectif de - 50 % fixé par l'organisation. L'OMS a révisé ses objectifs à l'horizon 2015, à savoir "réduire pratiquement à zéro le nombre de décès dûs à cette maladie", et "réduire de 75 % le nombre de cas de maladie dans le monde".
Enfin, l'OMS veut éliminer d'ici 2015 le paludisme dans 10 pays supplémentaires, par rapport à une liste établie en 2008, et dans la région Europe.
MOUSTIQUAIRES IMPRÉGNÉES D'INSECTICIDES
Pour financer la lutte contre cette maladie, quelque 2 milliards de dollars ont été mis à disposition par des organisations internationales, un montant très élevé, selon l'OMS, mais qui reste bien inférieur aux 5 milliards de dollars requis tous les ans durant la période 2010-2015.
Avec ces fonds, les pays endémiques ont eu la possibilité d'acheter des moustiquaires imprégnées d'insecticide (MII). En Afrique subsaharienne, quelque 50 % des ménages disposaient en 2011 de telles moustiquaires, contre seulement 3 % en l'an 2000.
Le Monde
LEMONDE.FR
Bien qu'en baisse, le paludisme a encore causé la mort de 655 000 personnes en 2010, en grande partie en Afrique, et 86 % des décès concernent des enfants de moins de 5 ans. Ce sont les conclusions du rapport 2011 sur le paludisme dans le monde, publié mardi 13 décembre par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
L'OMS a recencé, en 2010, 216 millions d'épisodes de paludisme dans le monde, dont 81 % dans la région Afrique. Ce bilan représente un recul de 5 % par rapport à 2009. Sur les 99 pays touchés par le paludisme, 43 ont enregistré une diminution de plus de 50 % des cas déclarés sur les dix dernières années.
RÉDUIRE DE 75 % LE NOMBRE DE CAS DANS LE MONDE
Depuis l'an 2000, les taux de mortalité liés au paludisme ont diminué de 26 %, un progrès qualifié de "majeur" par l'OMS, mais cependant inférieur à l'objectif de - 50 % fixé par l'organisation. L'OMS a révisé ses objectifs à l'horizon 2015, à savoir "réduire pratiquement à zéro le nombre de décès dûs à cette maladie", et "réduire de 75 % le nombre de cas de maladie dans le monde".
Enfin, l'OMS veut éliminer d'ici 2015 le paludisme dans 10 pays supplémentaires, par rapport à une liste établie en 2008, et dans la région Europe.
MOUSTIQUAIRES IMPRÉGNÉES D'INSECTICIDES
Pour financer la lutte contre cette maladie, quelque 2 milliards de dollars ont été mis à disposition par des organisations internationales, un montant très élevé, selon l'OMS, mais qui reste bien inférieur aux 5 milliards de dollars requis tous les ans durant la période 2010-2015.
Avec ces fonds, les pays endémiques ont eu la possibilité d'acheter des moustiquaires imprégnées d'insecticide (MII). En Afrique subsaharienne, quelque 50 % des ménages disposaient en 2011 de telles moustiquaires, contre seulement 3 % en l'an 2000.
Le Monde
J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
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Re: Actualités concours 2012
Médecine : des études très sélectives
Le nombre de places au concours de fin de première année (numerus clausus) augmente moins vite que le nombre de candidats. La sélection est sévère.
En 2010, 49 050 étudiants étaient inscrits en première année de médecine dont 29 240 jeunes bacheliers. C’est un nombre très élevé pour 7 400places offertes au concours de 1re cycle d’études médicales (PCEM1).
Entre 2002 et 2010, on enregistre une hausse de 89,7 % du nombre de candidats et de 119,3 % du nombre de nouveaux bacheliers. Dans le même temps le numerus clausus (nombre de places au concours de fin de 1re année) n’a augmenté que de 57,4 %.
• Les meilleures chances. Les chances de réussite aux concours de fin de première année de santé sont moins grandes pour les femmes et les personnes issues d’un milieu peu favorisé. Elles le sont encore moins pour les candidats qui ont redoublé et quasi nulles sans le bac S (source : ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche).
• Un quart de réussite. Seulement 11,2 % des nouveaux bacheliers inscrits en première année de médecine sont passés en deuxième année l’année suivante. En 2007-2008, on comptait 37,7% de redoublants. On ne peut passer le concours que deux fois.
• Et les recalés ? À l’issue de la 1re année, 62 % se réinscrivent en médecine, 18,6 % se réorientent dans une autre filière de l’université et 19,4 % continuent leurs études ailleurs qu’à université ou arrêtent leurs études. Au bout de 2 ans de PCEM1, parmi les deux tiers d’étudiants qui ne sont pas passés, un tiers se réoriente vers une autre filière universitaire, le dernier tiers ne se réinscrit pas à l’université. Les passerelles vers d’autres formations sont rares.
• Le numerus clausus. En 2010, il y avait 7403 postes en médecine, 3090 en pharmacie, 1154 en dentaire et 1016 en études de sage-femme.
Ouest France
Le nombre de places au concours de fin de première année (numerus clausus) augmente moins vite que le nombre de candidats. La sélection est sévère.
En 2010, 49 050 étudiants étaient inscrits en première année de médecine dont 29 240 jeunes bacheliers. C’est un nombre très élevé pour 7 400places offertes au concours de 1re cycle d’études médicales (PCEM1).
Entre 2002 et 2010, on enregistre une hausse de 89,7 % du nombre de candidats et de 119,3 % du nombre de nouveaux bacheliers. Dans le même temps le numerus clausus (nombre de places au concours de fin de 1re année) n’a augmenté que de 57,4 %.
• Les meilleures chances. Les chances de réussite aux concours de fin de première année de santé sont moins grandes pour les femmes et les personnes issues d’un milieu peu favorisé. Elles le sont encore moins pour les candidats qui ont redoublé et quasi nulles sans le bac S (source : ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche).
• Un quart de réussite. Seulement 11,2 % des nouveaux bacheliers inscrits en première année de médecine sont passés en deuxième année l’année suivante. En 2007-2008, on comptait 37,7% de redoublants. On ne peut passer le concours que deux fois.
• Et les recalés ? À l’issue de la 1re année, 62 % se réinscrivent en médecine, 18,6 % se réorientent dans une autre filière de l’université et 19,4 % continuent leurs études ailleurs qu’à université ou arrêtent leurs études. Au bout de 2 ans de PCEM1, parmi les deux tiers d’étudiants qui ne sont pas passés, un tiers se réoriente vers une autre filière universitaire, le dernier tiers ne se réinscrit pas à l’université. Les passerelles vers d’autres formations sont rares.
• Le numerus clausus. En 2010, il y avait 7403 postes en médecine, 3090 en pharmacie, 1154 en dentaire et 1016 en études de sage-femme.
Ouest France
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Re: Actualités concours 2012
Des vétérinaires, pour pallier le manque de médecins ?
C'est la proposition que fait Françoise Tenenbaum, maire-adjointe de Dijon, et experte en santé publique : pour lutter contre les déserts médicaux, faisons appel à tous les professionnels de santé. Les vétérinaires pourraient ainsi suivre une formation, pour intervenir en attendant le médecin...
La proposition fait sourire les médecins... à moins qu'elle ne fasse un peu grincer des dents. En tout cas, ce n'est qu'une proposition isolée, dont le but est de susciter un débat : mission accomplie ?
La maire-ajointe de Dijon, en charge de la santé, Françoise Tenenbaum - par ailleurs experte en santé publique au sein de l'Assurance-maladie - propose donc que, pour faire face à la pénurie de médecins en France, on fasse appel aux vétérinaires. "C'est une idée personnelle qui n'engage que moi", prévient-elle. Avant de préciser sa pensée : "il faudrait définir une passerelle de formation et cadrer la mission de ces vétérinaires. Surtout, ce ne serait pas à la place du médecin, mais en l'attendant."
Qu'en pensent les principaux intéressés ? "C'est totalement irréaliste et dangereux ! On n'est pas du tout compétent pour faire une médecine humaine", juge Gérard Vignault, le président du Conseil régional de l'ordre des vétérinaires de Bourgogne. Quant à son homologue côté médecin, il préfère prendre la chose avec humour : "c'est un pavé dans la marre et ça fait bouger les canards. On en retiendra les bonnes intentions", selon Jean-Pierre Mouraux.
Histoire de mettre - déjà - un terme au débat, la directrice de l'Agence régionale de santé de Bourgogne, Monique Cavalier, tranche : "aujourd'hui ce n'est absolument pas pensable. La réglementation est claire, elle fait en sorte que nous ayons des médecins dans les zones rurales. Ca n'a été évoqué ni de près, ni de loin dans le plan régional de santé."
France info
C'est la proposition que fait Françoise Tenenbaum, maire-adjointe de Dijon, et experte en santé publique : pour lutter contre les déserts médicaux, faisons appel à tous les professionnels de santé. Les vétérinaires pourraient ainsi suivre une formation, pour intervenir en attendant le médecin...
La proposition fait sourire les médecins... à moins qu'elle ne fasse un peu grincer des dents. En tout cas, ce n'est qu'une proposition isolée, dont le but est de susciter un débat : mission accomplie ?
La maire-ajointe de Dijon, en charge de la santé, Françoise Tenenbaum - par ailleurs experte en santé publique au sein de l'Assurance-maladie - propose donc que, pour faire face à la pénurie de médecins en France, on fasse appel aux vétérinaires. "C'est une idée personnelle qui n'engage que moi", prévient-elle. Avant de préciser sa pensée : "il faudrait définir une passerelle de formation et cadrer la mission de ces vétérinaires. Surtout, ce ne serait pas à la place du médecin, mais en l'attendant."
Qu'en pensent les principaux intéressés ? "C'est totalement irréaliste et dangereux ! On n'est pas du tout compétent pour faire une médecine humaine", juge Gérard Vignault, le président du Conseil régional de l'ordre des vétérinaires de Bourgogne. Quant à son homologue côté médecin, il préfère prendre la chose avec humour : "c'est un pavé dans la marre et ça fait bouger les canards. On en retiendra les bonnes intentions", selon Jean-Pierre Mouraux.
Histoire de mettre - déjà - un terme au débat, la directrice de l'Agence régionale de santé de Bourgogne, Monique Cavalier, tranche : "aujourd'hui ce n'est absolument pas pensable. La réglementation est claire, elle fait en sorte que nous ayons des médecins dans les zones rurales. Ca n'a été évoqué ni de près, ni de loin dans le plan régional de santé."
France info
J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
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Re: Actualités concours 2012
En rétention, le respect des droits reste inégal
Les cinq associations qui interviennent dans les centres de rétention pour apporter aux étrangers une aide sociale et juridictionnelle, ont rendu public, mardi 13 décembre, leur rapport annuel. Ce document est le premier rédigé en commun depuis que l'ancien ministre de l'intérieur, Brice Hortefeux, a décidé, en 2008, de retirer à la Cimade son monopole dans ces lieux de détention pour étrangers en situation irrégulière. Il espérait notamment, à l'époque, casser les critiques, trop virulentes à ses yeux, de l'association sur la rétention alors que la visite de ces centres par les journalistes reste interdite.
Le contenu de ce rapport prouve que cette manoeuvre a échoué. Une nouvelle fois, les associations se montrent très critiques et dénoncent les "dégâts " de la "politique du chiffre". Dernier lieu d'enfermement avant l'éloignement du territoire, les centres de rétention sont au nombre de vingt-quatre en France. En 2010, ils ont vu défiler 33 600 personnes, rien qu'en métropole. C'est moins qu'en 2009 - où le record de 35 000 étrangers avait été atteint. Mais c'est plus du double de 1999.
Dans le même temps, ce rapport met paradoxalement en exergue l'impressionnante "inefficacité" de l'ensemble du dispositif de la rétention. Si 41 % des étrangers passés par les centres ont effectivement été éloignés, tous les autres ont été libérés, dont beaucoup de familles. Un chiffre stable par rapport à 2009. Et ce, alors que la politique de "fermeté" vis-à-vis de "l'immigration irrégulière" est l'un des credo de campagne du ministère de l'intérieur.
Le cas des Roms est emblématique. Alors que l'année 2010 fut l'été du discours de Grenoble et de l'offensive médiatique du chef de l'Etat sur la population rom, seuls 3 % des retenus, cette année-là, étaient roumains. Soit seulement 1 point de plus qu'en 2009. La plupart d'entre eux ont en réalité pris l'aide au retour "volontaire" qui offre un pécule de 300 euros.
La principale critique que formulent les cinq associations (Cimade, France terre d'asile, Ordre de Malte, Forum réfugiés et Assfam) à l'encontre de la politique gouvernementale n'en demeure pas moins les "inégalités d'accès au droit". La hausse tendancielle du nombre de personnes qui défilent en rétention se fait aux dépens de l'accès au droit, selon elles. "C'est l'obsession statistique au détriment du droit", soulignent-elles.
Le rapport pointe, par exemple, la hausse exponentielle des éloignements à Mayotte : + 32 %, alors que le centre de rétention de l'île est le seul de France dans lequel "aucune association n'est financée pour l'aide juridictionnelle". Dans beaucoup de centres de métropole, ces dernières ne sont par ailleurs pas présentes le week-end ou le soir et il arrive que l'administration en profite pour éloigner plus facilement les retenus.
"INCERTITUDE" MÉDICALE
Les chiffres communiqués montrent également une hausse du nombre d'enfants retenus : 356 en 2010, contre 318 en 2009 et 165 en 2004. Un enfermement autorisé par la loi car ces derniers sont accompagnés de leurs parents. Mais les auteurs du rapport s'en inquiètent : l'expulsion des familles se faisant dans des délais de plus en plus courts, "aucun recours n'est alors possible".
"L'incertitude" médicale et juridique tend aussi à se développer pour les étrangers malades, dénoncent les associations. Dans plusieurs centres, il n'existe ainsi pas de présence continue d'un service médical. Dans certains cas, le médecin n'est là que "deux ou trois jours par semaine (...) et il arrive que, malgré leur demande, les étrangers ne soient pas vus avant plusieurs jours", écrivent-elles.
Alors que le droit interdit, dans un certain nombre de cas, d'éloigner des étrangers malades, il arrive que les préfectures passent outre les avis des médecins inspecteurs de santé publique. Ainsi, à Marseille, un étranger présentant des problèmes ophtalmologiques a été reconduit malgré un certificat médical "indiquant formellement le risque de la perte de son oeil en cas de retour", détaille le rapport.
En faisant des recoupements avec les chiffres officiels du ministère de l'intérieur (28 000 expulsions en 2010), les associations s'inquiètent en outre du sort d'environ 8 500 personnes. Des étrangers refoulés directement à la frontière vers le pays européen d'où ils provenaient ou résidaient, estiment-elles notamment. Et ce, relèvent-elles, "sans qu'aucun observateur extérieur ne puisse apporter d'information".
La mise en commun des statistiques qu'ont faite les associations permet enfin de connaître le profil des étrangers qui ont séjourné en rétention en 2010. La majorité était des hommes (90,7 %), jeunes - plus de 60 % âgés de 25 à 39 ans. En moyenne, ils ont chacun passé dix jours en rétention. Sur plus de 155 nationalités, 30 % étaient originaires du Maghreb. Le reste venait notamment du Brésil (4,5 %), du Mali (2 %) ou d'Afghanistan (2 %).
Elise Vincent
Le Monde
Les cinq associations qui interviennent dans les centres de rétention pour apporter aux étrangers une aide sociale et juridictionnelle, ont rendu public, mardi 13 décembre, leur rapport annuel. Ce document est le premier rédigé en commun depuis que l'ancien ministre de l'intérieur, Brice Hortefeux, a décidé, en 2008, de retirer à la Cimade son monopole dans ces lieux de détention pour étrangers en situation irrégulière. Il espérait notamment, à l'époque, casser les critiques, trop virulentes à ses yeux, de l'association sur la rétention alors que la visite de ces centres par les journalistes reste interdite.
Le contenu de ce rapport prouve que cette manoeuvre a échoué. Une nouvelle fois, les associations se montrent très critiques et dénoncent les "dégâts " de la "politique du chiffre". Dernier lieu d'enfermement avant l'éloignement du territoire, les centres de rétention sont au nombre de vingt-quatre en France. En 2010, ils ont vu défiler 33 600 personnes, rien qu'en métropole. C'est moins qu'en 2009 - où le record de 35 000 étrangers avait été atteint. Mais c'est plus du double de 1999.
Dans le même temps, ce rapport met paradoxalement en exergue l'impressionnante "inefficacité" de l'ensemble du dispositif de la rétention. Si 41 % des étrangers passés par les centres ont effectivement été éloignés, tous les autres ont été libérés, dont beaucoup de familles. Un chiffre stable par rapport à 2009. Et ce, alors que la politique de "fermeté" vis-à-vis de "l'immigration irrégulière" est l'un des credo de campagne du ministère de l'intérieur.
Le cas des Roms est emblématique. Alors que l'année 2010 fut l'été du discours de Grenoble et de l'offensive médiatique du chef de l'Etat sur la population rom, seuls 3 % des retenus, cette année-là, étaient roumains. Soit seulement 1 point de plus qu'en 2009. La plupart d'entre eux ont en réalité pris l'aide au retour "volontaire" qui offre un pécule de 300 euros.
La principale critique que formulent les cinq associations (Cimade, France terre d'asile, Ordre de Malte, Forum réfugiés et Assfam) à l'encontre de la politique gouvernementale n'en demeure pas moins les "inégalités d'accès au droit". La hausse tendancielle du nombre de personnes qui défilent en rétention se fait aux dépens de l'accès au droit, selon elles. "C'est l'obsession statistique au détriment du droit", soulignent-elles.
Le rapport pointe, par exemple, la hausse exponentielle des éloignements à Mayotte : + 32 %, alors que le centre de rétention de l'île est le seul de France dans lequel "aucune association n'est financée pour l'aide juridictionnelle". Dans beaucoup de centres de métropole, ces dernières ne sont par ailleurs pas présentes le week-end ou le soir et il arrive que l'administration en profite pour éloigner plus facilement les retenus.
"INCERTITUDE" MÉDICALE
Les chiffres communiqués montrent également une hausse du nombre d'enfants retenus : 356 en 2010, contre 318 en 2009 et 165 en 2004. Un enfermement autorisé par la loi car ces derniers sont accompagnés de leurs parents. Mais les auteurs du rapport s'en inquiètent : l'expulsion des familles se faisant dans des délais de plus en plus courts, "aucun recours n'est alors possible".
"L'incertitude" médicale et juridique tend aussi à se développer pour les étrangers malades, dénoncent les associations. Dans plusieurs centres, il n'existe ainsi pas de présence continue d'un service médical. Dans certains cas, le médecin n'est là que "deux ou trois jours par semaine (...) et il arrive que, malgré leur demande, les étrangers ne soient pas vus avant plusieurs jours", écrivent-elles.
Alors que le droit interdit, dans un certain nombre de cas, d'éloigner des étrangers malades, il arrive que les préfectures passent outre les avis des médecins inspecteurs de santé publique. Ainsi, à Marseille, un étranger présentant des problèmes ophtalmologiques a été reconduit malgré un certificat médical "indiquant formellement le risque de la perte de son oeil en cas de retour", détaille le rapport.
En faisant des recoupements avec les chiffres officiels du ministère de l'intérieur (28 000 expulsions en 2010), les associations s'inquiètent en outre du sort d'environ 8 500 personnes. Des étrangers refoulés directement à la frontière vers le pays européen d'où ils provenaient ou résidaient, estiment-elles notamment. Et ce, relèvent-elles, "sans qu'aucun observateur extérieur ne puisse apporter d'information".
La mise en commun des statistiques qu'ont faite les associations permet enfin de connaître le profil des étrangers qui ont séjourné en rétention en 2010. La majorité était des hommes (90,7 %), jeunes - plus de 60 % âgés de 25 à 39 ans. En moyenne, ils ont chacun passé dix jours en rétention. Sur plus de 155 nationalités, 30 % étaient originaires du Maghreb. Le reste venait notamment du Brésil (4,5 %), du Mali (2 %) ou d'Afghanistan (2 %).
Elise Vincent
Le Monde
J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
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Re: Actualités concours 2012
L'Assemblée adopte une proposition de loi contre l'usurpation d'identité
L'Assemblée a adopté mardi 13 décembre, en deuxième lecture, une proposition de loi visant à empêcher l'usurpation d'identité, notamment à travers la création d'un fichier centralisant éléments d'état civil et données biométriques.
La proposition de loi des sénateurs UMP Jean-René Lecerf et Michel Houel vise à mettre en place une carte d'identité sécurisée, à l'image de ce qui se fait déjà avec le passeport biométrique, pour contribuer à la lutte contre les usurpations d'identité, estimées à plus de 200 000 par an. Cette carte d'identité "nouvelle génération" comportera deux puces électroniques. L'une contiendra les données sur l'identité : état civil, adresse, taille, couleur des yeux, empreintes digitales, photographie. L'autre, dite "e-carte", facultative, servira de signature électronique sur Internet pour des échanges commerciaux et administratifs.
"FICHAGE GÉNÉRAL"
Après les différentes navettes entre les deux chambres, un seul article restait en débat : quelle architecture donner au fichier centralisé qui recueillera les éléments d'état civil et les données biométriques. Le Sénat avait imposé l'utilisation de fichiers dits à "lien faible" : dans ce cas, les données biographiques et biométriques d'une personne ne peuvent pas être croisées, sauf au moment de la délivrance du titre. En effet, à une empreinte correspond techniquement dans de telles bases de données non pas une identité mais un ensemble d'identités. Les sénateurs avaient justifié leur choix en faisant valoir le respect des libertés publiques.
Mais l'Assemblée a confirmé en deuxième lecture son choix initial pour une base de données à "lien fort", qui permet de faire correspondre données biométriques et données biographiques. Ce système, défendu par la majorité et par le ministre de l'intérieur, Claude Guéant, permet donc d'identifier, le cas échéant, un fraudeur.
En vain, les députés de gauche ont tenté de s'opposer à la création de ce dispositif, qui selon Marc Dolez (Parti de gauche) "équivaut à un fichage général de la population française, disproportionné au regard de l'objectif poursuivi".
Le monde
L'Assemblée a adopté mardi 13 décembre, en deuxième lecture, une proposition de loi visant à empêcher l'usurpation d'identité, notamment à travers la création d'un fichier centralisant éléments d'état civil et données biométriques.
La proposition de loi des sénateurs UMP Jean-René Lecerf et Michel Houel vise à mettre en place une carte d'identité sécurisée, à l'image de ce qui se fait déjà avec le passeport biométrique, pour contribuer à la lutte contre les usurpations d'identité, estimées à plus de 200 000 par an. Cette carte d'identité "nouvelle génération" comportera deux puces électroniques. L'une contiendra les données sur l'identité : état civil, adresse, taille, couleur des yeux, empreintes digitales, photographie. L'autre, dite "e-carte", facultative, servira de signature électronique sur Internet pour des échanges commerciaux et administratifs.
"FICHAGE GÉNÉRAL"
Après les différentes navettes entre les deux chambres, un seul article restait en débat : quelle architecture donner au fichier centralisé qui recueillera les éléments d'état civil et les données biométriques. Le Sénat avait imposé l'utilisation de fichiers dits à "lien faible" : dans ce cas, les données biographiques et biométriques d'une personne ne peuvent pas être croisées, sauf au moment de la délivrance du titre. En effet, à une empreinte correspond techniquement dans de telles bases de données non pas une identité mais un ensemble d'identités. Les sénateurs avaient justifié leur choix en faisant valoir le respect des libertés publiques.
Mais l'Assemblée a confirmé en deuxième lecture son choix initial pour une base de données à "lien fort", qui permet de faire correspondre données biométriques et données biographiques. Ce système, défendu par la majorité et par le ministre de l'intérieur, Claude Guéant, permet donc d'identifier, le cas échéant, un fraudeur.
En vain, les députés de gauche ont tenté de s'opposer à la création de ce dispositif, qui selon Marc Dolez (Parti de gauche) "équivaut à un fichage général de la population française, disproportionné au regard de l'objectif poursuivi".
Le monde
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Re: Actualités concours 2012
Les animaux nourris aux OGM se portent bien
Par Marc Mennessier - le 13/12/2011
Des chercheurs ont passé au crible 24 études toxicologiques récentes.
Les animaux durablement nourris avec du maïs, du soja, du riz, des pommes de terre et du triticale génétiquement modifiés se portent bien. Aussi bien en tout cas que ceux qui ont reçu une alimentation non OGM. Même au bout de deux ans, et même lorsque ce régime transgénique leur est administré sur deux à cinq générations successives. Telle est la conclusion, somme toute rassurante, d'une vaste étude dirigée par la généticienne Agnès Ricroch (AgroParisTech, université Paris-Sud-Orsay) à paraître dans la revueFood and Chemical Toxicology, considérée comme «la» référence en la matière.
Pour aboutir à ce résultat, les chercheurs ont passé au crible 24 études américaines, japonaises, brésiliennes, italiennes et norvégiennes récentes, exclusivement réalisées par des laboratoires publics financés par des fonds publics, ce qui exclut a priori tout risque de conflit d'intérêts.
La moitié de ces travaux portaient sur des rats, des souris, des vaches laitières, des saumons et même des macaques nourris pendant une durée supérieure (jusqu'à deux ans) au délai réglementaire de 90 jours utilisé lors des tests toxicologiques préalables à la mise sur le marché des plantes ou des aliments OGM. L'autre moitié a concerné plusieurs générations de vaches, moutons, chèvres, cochons, poules, pintades et, bien sûr, rats et souris. Les auteurs de ces 24 études ont recherché d'éventuels impacts toxicologiques sur la Casio des organes (cœur, foie, rein, cerveau, intestin, gonades, muscles…) et sur un très grand nombre de paramètres biologiques et histologiques. En vain.
L'impact de la transgenèse insignifiant«Ces travaux ne révèlent aucun problème sanitaire lié à la consommation à long terme de nourriture dérivée d'OGM», souligne le biologiste Marcel Kuntz (CNRS/université Joseph-Fourier-Grenoble) et coauteur de l'étude. «On a beau chercher, on ne trouve rien, sauf des différences non significatives liées à la variabilité génétique ou biologique des animaux étudiés», renchérit Agnès Ricroch.
Du coup, faut-il allonger la durée de nourrissage des animaux au-delà de 90 jours pratiquée lors des tests d'homologation, comme le réclament certains opposants aux OGM au motif que ce délai, trop court, ne permettrait pas de déceler une éventuelle toxicité chronique? «Non. Notre méta-analyse démontre que cet allongement n'apporterait aucune information supplémentaire, répond Mme Ricroch. Si aucun effet toxique n'est décelé pendant ce laps de temps de trois mois, recommandé au niveau international par l'OCDE et les agences sanitaires nationales et supranationales, il n'y a aucune raison d'en trouver d'avantage au-delà. Sauf à complexifier inutilement la procédure déjà très lourde de l'homologation, notamment pour les start-up ou les PME, qui se retrouveraient davantage pénalisées vis-à-vis des grands groupes.»
Dans un article paru en février dans Plant Physiology, Agnès Ricoh, Marcel Kuntz et leur collègue Jean Bergé, décédé depuis, avaient déjà passé en revue 44 publications portant sur des analyses génomiques et protéomiques d'OGM destinées à visualiser l'expression de tous les gènes. Résultat: l'impact de la transgenèse est insignifiant. «Il ne reste aujourd'hui plus d'espace scientifique pour craindre un risque sanitaire inhérent à la nature “génétiquement modifiée” des variétés commercialisées après évaluation des risques telle qu'elle est pratiquée», conclut Marcel Kuntz.
Figaro
Par Marc Mennessier - le 13/12/2011
Des chercheurs ont passé au crible 24 études toxicologiques récentes.
Les animaux durablement nourris avec du maïs, du soja, du riz, des pommes de terre et du triticale génétiquement modifiés se portent bien. Aussi bien en tout cas que ceux qui ont reçu une alimentation non OGM. Même au bout de deux ans, et même lorsque ce régime transgénique leur est administré sur deux à cinq générations successives. Telle est la conclusion, somme toute rassurante, d'une vaste étude dirigée par la généticienne Agnès Ricroch (AgroParisTech, université Paris-Sud-Orsay) à paraître dans la revueFood and Chemical Toxicology, considérée comme «la» référence en la matière.
Pour aboutir à ce résultat, les chercheurs ont passé au crible 24 études américaines, japonaises, brésiliennes, italiennes et norvégiennes récentes, exclusivement réalisées par des laboratoires publics financés par des fonds publics, ce qui exclut a priori tout risque de conflit d'intérêts.
La moitié de ces travaux portaient sur des rats, des souris, des vaches laitières, des saumons et même des macaques nourris pendant une durée supérieure (jusqu'à deux ans) au délai réglementaire de 90 jours utilisé lors des tests toxicologiques préalables à la mise sur le marché des plantes ou des aliments OGM. L'autre moitié a concerné plusieurs générations de vaches, moutons, chèvres, cochons, poules, pintades et, bien sûr, rats et souris. Les auteurs de ces 24 études ont recherché d'éventuels impacts toxicologiques sur la Casio des organes (cœur, foie, rein, cerveau, intestin, gonades, muscles…) et sur un très grand nombre de paramètres biologiques et histologiques. En vain.
L'impact de la transgenèse insignifiant«Ces travaux ne révèlent aucun problème sanitaire lié à la consommation à long terme de nourriture dérivée d'OGM», souligne le biologiste Marcel Kuntz (CNRS/université Joseph-Fourier-Grenoble) et coauteur de l'étude. «On a beau chercher, on ne trouve rien, sauf des différences non significatives liées à la variabilité génétique ou biologique des animaux étudiés», renchérit Agnès Ricroch.
Du coup, faut-il allonger la durée de nourrissage des animaux au-delà de 90 jours pratiquée lors des tests d'homologation, comme le réclament certains opposants aux OGM au motif que ce délai, trop court, ne permettrait pas de déceler une éventuelle toxicité chronique? «Non. Notre méta-analyse démontre que cet allongement n'apporterait aucune information supplémentaire, répond Mme Ricroch. Si aucun effet toxique n'est décelé pendant ce laps de temps de trois mois, recommandé au niveau international par l'OCDE et les agences sanitaires nationales et supranationales, il n'y a aucune raison d'en trouver d'avantage au-delà. Sauf à complexifier inutilement la procédure déjà très lourde de l'homologation, notamment pour les start-up ou les PME, qui se retrouveraient davantage pénalisées vis-à-vis des grands groupes.»
Dans un article paru en février dans Plant Physiology, Agnès Ricoh, Marcel Kuntz et leur collègue Jean Bergé, décédé depuis, avaient déjà passé en revue 44 publications portant sur des analyses génomiques et protéomiques d'OGM destinées à visualiser l'expression de tous les gènes. Résultat: l'impact de la transgenèse est insignifiant. «Il ne reste aujourd'hui plus d'espace scientifique pour craindre un risque sanitaire inhérent à la nature “génétiquement modifiée” des variétés commercialisées après évaluation des risques telle qu'elle est pratiquée», conclut Marcel Kuntz.
Figaro
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Re: Actualités concours 2012
Vaccin contre le cancer, une piste prometteuse
Une équipe de scientifiques américains vient de trouver un vaccin capable de s'attaquer au cancer chez la souris. Une piste prometteuse en vue d'une application chez l'homme.
Cancer du sein, du colon, des ovaires et du pancréas. Pour le moment, le vaccin mis au point par une équipe de scientifiques américains n'est efficace que chez la souris mais une prochaine application chez l'homme est envisagée tant les résultats sont prometteurs. Les chercheurs du Centre contre le cancer de l'université de Géorgie ont développé un vaccin qui selon eux « provoque une très forte réponse immunitaire » permettant « de réduire la taille de la tumeur de 80% ». Dans le détail, le vaccin pousse le système immunitaire du patient chez à s'attaquer les cellules cancéreuses qui contiennent une protéine bien spéciale, la MUC1.
Or cette protéine est présent dans 70% des types de cancer les plus mortels. « C'est la première fois qu'un vaccin entraîne le système immunitaire à identifier et tuer les cellules cancéreuses » en fonction de certains protéines, a souligné un autre coauteur de l'étude, Sandra Gendler, chercheuse de la Mayo Clinic, un centre de santé de l'Arizona.
Des tests cliniques fin 2013
La protéine MUC1 est par ailleurs présente dans 90% des cancers du sein dits « triple-négatifs », ceux qui sont insensibles aux traitements hormonaux. « Ces tumeurs triple-négatives sont diagnostiquées chaque année chez 35.000 patientes rien qu'aux Etats-Unis », ont expliqué les scientifiques.
Transposé à l'homme, ce vaccin pourrait être utilisé en complément d'une chimiothérapie et comme mesure préventive chez les sujets à risque. Il est actuellement en phase de test sur des cellules cancéreuses humaines en laboratoire. Des tests cliniques pourraient commencer fin 2013
France soir
Une équipe de scientifiques américains vient de trouver un vaccin capable de s'attaquer au cancer chez la souris. Une piste prometteuse en vue d'une application chez l'homme.
Cancer du sein, du colon, des ovaires et du pancréas. Pour le moment, le vaccin mis au point par une équipe de scientifiques américains n'est efficace que chez la souris mais une prochaine application chez l'homme est envisagée tant les résultats sont prometteurs. Les chercheurs du Centre contre le cancer de l'université de Géorgie ont développé un vaccin qui selon eux « provoque une très forte réponse immunitaire » permettant « de réduire la taille de la tumeur de 80% ». Dans le détail, le vaccin pousse le système immunitaire du patient chez à s'attaquer les cellules cancéreuses qui contiennent une protéine bien spéciale, la MUC1.
Or cette protéine est présent dans 70% des types de cancer les plus mortels. « C'est la première fois qu'un vaccin entraîne le système immunitaire à identifier et tuer les cellules cancéreuses » en fonction de certains protéines, a souligné un autre coauteur de l'étude, Sandra Gendler, chercheuse de la Mayo Clinic, un centre de santé de l'Arizona.
Des tests cliniques fin 2013
La protéine MUC1 est par ailleurs présente dans 90% des cancers du sein dits « triple-négatifs », ceux qui sont insensibles aux traitements hormonaux. « Ces tumeurs triple-négatives sont diagnostiquées chaque année chez 35.000 patientes rien qu'aux Etats-Unis », ont expliqué les scientifiques.
Transposé à l'homme, ce vaccin pourrait être utilisé en complément d'une chimiothérapie et comme mesure préventive chez les sujets à risque. Il est actuellement en phase de test sur des cellules cancéreuses humaines en laboratoire. Des tests cliniques pourraient commencer fin 2013
France soir
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Re: Actualités concours 2012
Le taux du Livret A pourrait grimper à 2,75% début février
Le renchérissement des prix dans l'alimentation, le tabac et l'énergie en novembre a poussé l'inflation en France à 2,5% sur un an, un niveau qui devrait se maintenir début 2012 selon des économistes, et pourrait doper le taux du Livret A jusqu'à 2,75% début février.
Les prix à la consommation ont progressé de 0,3% le mois dernier, selon les données publiées mardi par l'Institut national de la statistique (Insee).
C'est le rythme le plus rapide enregistré pour un mois de novembre depuis 2007 (0,48%).
L'Insee a notamment justifié le bond mensuel par la hausse dans l'énergie (+1,2%; +11,5% sur un an) dans le sillage de l'augmentation enregistrée dans les produits pétroliers (+1,9%; +15,4% sur un an). La flambée a touché en particulier les combustibles liquides (+4,4%; +23,8% sur un an) et les carburants (+1,5%; +13,7% sur un an).
Les prix de l'alimentation (+0,3%; +3,2% sur un an) ont également joué un rôle prépondérant en novembre, même si la hausse "modérée" des produits frais (+0,2% par rapport à novembre 2010) a permis d'en limiter l'impact.
Plus vite que les salaires
Un tel niveau d'inflation, s'il se maintenait dans les prochaines semaines, pourrait faire bondir le taux de rémunération du Livret A. Révisé automatiquement début février et début août, sa formule de calcul aboutirait à un rendement de 2,5% au minimum, voire de 2,75%, contre 2,25% actuellement.
Une éventualité qui n'est «pas sûre» car la Banque centrale européenne (BCE) devrait baisser d'ici là ses taux d'intérêt, également pris en compte dans le calcul, prédit l'économiste Nicolas Bouzou.
LeParisien.fr
Le renchérissement des prix dans l'alimentation, le tabac et l'énergie en novembre a poussé l'inflation en France à 2,5% sur un an, un niveau qui devrait se maintenir début 2012 selon des économistes, et pourrait doper le taux du Livret A jusqu'à 2,75% début février.
Les prix à la consommation ont progressé de 0,3% le mois dernier, selon les données publiées mardi par l'Institut national de la statistique (Insee).
C'est le rythme le plus rapide enregistré pour un mois de novembre depuis 2007 (0,48%).
L'Insee a notamment justifié le bond mensuel par la hausse dans l'énergie (+1,2%; +11,5% sur un an) dans le sillage de l'augmentation enregistrée dans les produits pétroliers (+1,9%; +15,4% sur un an). La flambée a touché en particulier les combustibles liquides (+4,4%; +23,8% sur un an) et les carburants (+1,5%; +13,7% sur un an).
Les prix de l'alimentation (+0,3%; +3,2% sur un an) ont également joué un rôle prépondérant en novembre, même si la hausse "modérée" des produits frais (+0,2% par rapport à novembre 2010) a permis d'en limiter l'impact.
Plus vite que les salaires
Un tel niveau d'inflation, s'il se maintenait dans les prochaines semaines, pourrait faire bondir le taux de rémunération du Livret A. Révisé automatiquement début février et début août, sa formule de calcul aboutirait à un rendement de 2,5% au minimum, voire de 2,75%, contre 2,25% actuellement.
Une éventualité qui n'est «pas sûre» car la Banque centrale européenne (BCE) devrait baisser d'ici là ses taux d'intérêt, également pris en compte dans le calcul, prédit l'économiste Nicolas Bouzou.
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