Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Entraînement culture générale 2012
En quoi le bruit peut il être considéré comme une pollution?
1 personne sur 3 est exposée dans la journée à des niveaux de bruit qui peuvent nuire à la santé. Le bruit est une des nuisances majeures de la vie quotidienne. Les nuisances sonores sont omniprésentes et tout particulièrement dans les agglomérations. Elles proviennent des transports aériens, routiers, ferroviaires, bruits de voisinage, appareils professionnels (marteau-piqueur,...),... La pollution sonore est caractérisée par un niveau de bruit élevé au point d'avoir des conséquences sur la santé humaine et l'environnement: les nuisances sonores peuvent affecter la santé et la qualité de vie avec des csq physiques et/ou psychologiques et affecter également la biodiversité. Quand le bruit dépasse le niveau de la simple nuisance et qu'il peut affecter l'acuité auditive, la santé, les écosystèmes: on parle alors de pollution sonore. En effet, cette dernière a des csq sur les espèces: perte d'acuité auditive pour certaines, voire la destruction d'organe.
(j'avoue je ne savais pas trop quoi mettre!)
Quelles sont les causes de dégradation de notre richesse mondiale en eau?
Les causes de dégradation sont nombreuses: l'gariculture (certains états dont la France ont encouragé pdt des années les agriculteurs à intensifier leurs pratiques culturales, à utiliser des produits phytosanitaires -engrais, pesticides-), l'aménagement des cours d"'eau (pour lutter contre les crues, favoriser la anvigation on crée des barrages or ces modficiations engendrent une disparition des zones humides ainsi qu'une disparition de la faune), les prélèvements d'eau (ne cessent d'augmenter dans le monde en raison des besoins croissants de l'agriculture, des industries -centrales nucléaires, papeteries...-); l'aquaculture, l'extraction de matière. Mais il existe des solutions: améliorer le choix des cultures en fonction des climats et des natures de sols, limiter les fuites d'eau, favoriser les douches aux bains, installer des toilettes à chasse d'eau double commande... Autant de petits gestes qui permettent des économies.
Citez quatres moyens individuels de lutte contre la pollution de l'air?
La lutte pour la pollution de l'air peut se faire sur plusieurs fronts. Les gouvernements, l'industrie et les individus peuvent tous faire leur part pour aider à réduire la pollution de l'air. Il est très difficile de persuader la population en général qu'il est possible pour ses membres d'intervenir dans cette voie mais peut-être ne sont-ils pas au courant ou ne voient-ils pas l’intérêt qu'ils auraient à l'échelle mondiale?
- réduire l'utilisation du véhicule personnel et utiliser des moyens de transport de remplacement tels que les transports en commun ou covoiturage
- recycler/composter/trier les déchets
- Apprendre les habitudes de conduite efficientes
- Réduire l'utilisation des solvants et des diluants
- chauffage de remplacement
- et pourquoi pas arrêter de fumer?
1 personne sur 3 est exposée dans la journée à des niveaux de bruit qui peuvent nuire à la santé. Le bruit est une des nuisances majeures de la vie quotidienne. Les nuisances sonores sont omniprésentes et tout particulièrement dans les agglomérations. Elles proviennent des transports aériens, routiers, ferroviaires, bruits de voisinage, appareils professionnels (marteau-piqueur,...),... La pollution sonore est caractérisée par un niveau de bruit élevé au point d'avoir des conséquences sur la santé humaine et l'environnement: les nuisances sonores peuvent affecter la santé et la qualité de vie avec des csq physiques et/ou psychologiques et affecter également la biodiversité. Quand le bruit dépasse le niveau de la simple nuisance et qu'il peut affecter l'acuité auditive, la santé, les écosystèmes: on parle alors de pollution sonore. En effet, cette dernière a des csq sur les espèces: perte d'acuité auditive pour certaines, voire la destruction d'organe.
(j'avoue je ne savais pas trop quoi mettre!)

Quelles sont les causes de dégradation de notre richesse mondiale en eau?
Les causes de dégradation sont nombreuses: l'gariculture (certains états dont la France ont encouragé pdt des années les agriculteurs à intensifier leurs pratiques culturales, à utiliser des produits phytosanitaires -engrais, pesticides-), l'aménagement des cours d"'eau (pour lutter contre les crues, favoriser la anvigation on crée des barrages or ces modficiations engendrent une disparition des zones humides ainsi qu'une disparition de la faune), les prélèvements d'eau (ne cessent d'augmenter dans le monde en raison des besoins croissants de l'agriculture, des industries -centrales nucléaires, papeteries...-); l'aquaculture, l'extraction de matière. Mais il existe des solutions: améliorer le choix des cultures en fonction des climats et des natures de sols, limiter les fuites d'eau, favoriser les douches aux bains, installer des toilettes à chasse d'eau double commande... Autant de petits gestes qui permettent des économies.
Citez quatres moyens individuels de lutte contre la pollution de l'air?
La lutte pour la pollution de l'air peut se faire sur plusieurs fronts. Les gouvernements, l'industrie et les individus peuvent tous faire leur part pour aider à réduire la pollution de l'air. Il est très difficile de persuader la population en général qu'il est possible pour ses membres d'intervenir dans cette voie mais peut-être ne sont-ils pas au courant ou ne voient-ils pas l’intérêt qu'ils auraient à l'échelle mondiale?
- réduire l'utilisation du véhicule personnel et utiliser des moyens de transport de remplacement tels que les transports en commun ou covoiturage
- recycler/composter/trier les déchets
- Apprendre les habitudes de conduite efficientes
- Réduire l'utilisation des solvants et des diluants
- chauffage de remplacement
- et pourquoi pas arrêter de fumer?

Re: Fiches culture générale 2012
pas d'avis ou de correction?
Re: Actualités 2012
Un automobiliste sur cinq envoie des textos en conduisant __ Francetvinf
Les automobilistes n'ont pas toujours un bon comportement au volant. C'est ce que révèle un sondage Ipsos pour la fondation Vinci Autoroutes, publié vendredi 17 février, jour du départ en vacances de nombreux automobilistes pour les pistes de ski. Selon cette enquête, un automobiliste sur quatre (26%) admet téléphoner sans kit mains libres, 24% règlent leur GPS en roulant et 20% avouent lire ou écrire des SMS en conduisant.
C’est chez les jeunes que l’usage des smartphones est le plus préoccupant. La proportion de jeunes conducteurs avouant lire ou envoyer des SMS et des e-mails au volant est passée de 27% en 2011 à 45% en 2012. Il arrive même à près d’un jeune sur dix de surfer sur internet tout en conduisant.
Plus sensibles aux accidents de la route
La violence routière est de moins en moins tolérée par les Français : 58% des personnes interrogées (+3 points par rapport à 2011) estiment que le nombre d'automobilistes tués sur la route peut encore baisser de façon importante.
Parmi les causes d'accidents, les personnes interrogées identifient mieux l’inattention et la somnolence, même si elles pensent toujours que les principales causes d’accidents mortels sont l’alcool, les stupéfiants et la vitesse excessive. Selon la fondation Vinci "cette prise de conscience constitue un facteur d’espoir dans la lutte contre l’insécurité routière et témoigne des résultats de la pédagogie menée auprès des conducteurs".
Ce sondage a été réalisé par téléphone les 11 et 12 février sur un échantillon de 974 personnes représentatif de la population française, âgées de 18 ans et plus. La méthode des quotas a été utilisée.
Les automobilistes n'ont pas toujours un bon comportement au volant. C'est ce que révèle un sondage Ipsos pour la fondation Vinci Autoroutes, publié vendredi 17 février, jour du départ en vacances de nombreux automobilistes pour les pistes de ski. Selon cette enquête, un automobiliste sur quatre (26%) admet téléphoner sans kit mains libres, 24% règlent leur GPS en roulant et 20% avouent lire ou écrire des SMS en conduisant.
C’est chez les jeunes que l’usage des smartphones est le plus préoccupant. La proportion de jeunes conducteurs avouant lire ou envoyer des SMS et des e-mails au volant est passée de 27% en 2011 à 45% en 2012. Il arrive même à près d’un jeune sur dix de surfer sur internet tout en conduisant.
Plus sensibles aux accidents de la route
La violence routière est de moins en moins tolérée par les Français : 58% des personnes interrogées (+3 points par rapport à 2011) estiment que le nombre d'automobilistes tués sur la route peut encore baisser de façon importante.
Parmi les causes d'accidents, les personnes interrogées identifient mieux l’inattention et la somnolence, même si elles pensent toujours que les principales causes d’accidents mortels sont l’alcool, les stupéfiants et la vitesse excessive. Selon la fondation Vinci "cette prise de conscience constitue un facteur d’espoir dans la lutte contre l’insécurité routière et témoigne des résultats de la pédagogie menée auprès des conducteurs".
Ce sondage a été réalisé par téléphone les 11 et 12 février sur un échantillon de 974 personnes représentatif de la population française, âgées de 18 ans et plus. La méthode des quotas a été utilisée.
IDE depuis Juillet 2015
Re: Actualités 2012
Le débat sur l'euthanasie dans la présidentielle: les trous noirs de la fin de vie __ Slate.fr
Euthanasie: la présidentielle n’en fera pas l’économie. A dire vrai mieux vaudrait ici ne pas utiliser ce terme, depuis longtemps déjà galvaudé. Comment, dans leur for intérieur, les candidats tranchent-ils des questions relatives à la fin de la vie humaine? Jugent-ils nécessaire et urgent que le législateur une nouvelle fois intervienne?
Nous avons déjà leurs déclarations à visée électorale. Le candidat de la gauche socialiste vient de laisser entendre que oui. François Hollande est favorable –«dans des conditions précises et strictes», à une «assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité». Celui de la droite, par ailleurs président sortant, vient clairement de faire savoir qu’il n’était pas question de modifier la loi. Jusqu’à plus ample informé, leurs concurrents ne se sont guère exprimés sur l’un des sujets dits de société qui passionne le plus les Français; un sujet complexe et douloureux sur lequel les responsables politiques ne sont généralement guère enclin à s’exprimer.
On peut le dire autrement. François Hollande ne serait pas opposé au suicide médicalement assisté, une pratique revendiquée de manière récurrente depuis trente ans par les membres de l’Association pour le droit de mourir dans la dignité. Nicolas Sarkozy tient quant à lui la chose pour un tabou. Il estime que l’on ne doit pas aller plus loin que les dispositions de la loi Leonetti relative aux droits des malades et à la fin de vie.
Depuis 2005, ce texte a trouvé une judicieuse parade à la poursuite de la pratique de l’acharnement thérapeutique en instaurant un droit au laisser mourir. Il ne permet pas pour autant aux membres du corps médical d’administrer directement des substances mortelles à une personne (ou à ses proches) qui en formulerai(en)t la demande.
Poser ainsi les termes du débat conduit rapidement à une impasse. Cela renvoie chacun à des convictions (religieuses ou philosophiques) radicalement opposées. On retrouve ainsi, sous de multiples formes, des arguments souvent développés dans la sphère de la chrétienté face à ceux de la libre pensée. Un camp refuse cette nouvelle forme de transgression légitimée quand l’autre la réclame.
Les premiers se refusent à accorder un nouveau droit aux médecins : celui de tuer dans certaines conditions des personnes en fin de vie. Les seconds souhaitent que ce droit puisse être exercé dès lors que le souhait en aurait été formulé. Le corps médical quant à lui ne s’exprime pour l’essentiel, de manière utile et technique, que dans les cénacles spécialisés de ses sociétés savantes comme la société française d’anesthésie et de réanimation. Et sa voix est généralement peu audible du plus grand nombre.
Pour l’heure un nouveau symptôme de l’affrontement entre les deux camps apparaît aujourd’hui avec la remise d’un premier rapport officiel d’ores et déjà contesté. Ce document a été remis mardi 14 février au Premier ministre par le Pr Régis Aubry, président de l'Observatoire national de la fin de vie. Il vise officiellement à «nourrir le débat sur toutes les questions que pose et posera la fin de vie en France » et ce avec les «données factuelles» dont on dispose. Or si bien des questions se posent les données colligées dans ce rapport demeurent bien maigres.
Le Pr Aubry observe que «les demandes d'euthanasie sont en augmentation du fait surtout des situations complexes que la médecine est capable de générer pour les patients». Il note que la législation tarde à être appliquée. Tout se passe comme si les professionnels de santé dans leur ensemble n’en connaissaient pas les termes. Un paradoxe majeur puisque la France est l’un des pays qui médicalise le plus la fin de vie. Depuis la promulgation de la loi Leonetti moins de trois pour cent des médecins généralistes ont choisi de bénéficier d’une formation à l'accompagnement de la fin de vie.
L'offre en soins palliatifs demeure notoirement insuffisante dans un pays de plus en plus confronté aux conséquences du vieillissement de la population et aux avancées médicales qui tendent à prolonger l’espérance de vie de personne souffrant de maladies devenues chroniques.
Cette évolution explique l'augmentation en dix ans du nombre d'unités et de lits de soins palliatifs (105 unités et 1.913 lits en 2011 versus 30 unités et 232 lits en 2001) ne répond ni à la demande ni à une répartition équitable.
Pour autant qu’on puisse les croire les statistiques «ont tendance à montrer que la moitié des patients hospitalisés pour soins palliatifs le sont tardivement, juste avant leur décès».
Incidemment, ce rapport a provoqué l’ire de Marie de Hennezel, l’une des spécialistes reconnue de ces questions. Elle vient de démissionner de l’Observatoire. Dans un entretien accordé au quotidien Le Parisien (daté du 15 février), elle dénonce un rapport qui «ne fait que compiler des études»; un rapport qui ne cherche nullement à identifier où se situent les blocages dans l'application de la loi Leonetti «qui devrait permettre en théorie de finir sa vie sans souffrance».
Interrogé le même jour sur France Inter, le Pr Aubry a fait valoir que Marie de Hennezel avait démissionné parce que l'Observatoire refusait «de se positionner de manière partisane sur l'euthanasie». Précisons que Hennezel est «contre» et qu’elle qualifie de «bonne» la loi Leonetti. Pour sa part Jean-Luc Romero, président de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (et conseiller régional PS d'Ile-de-France) qualifie le rapport de «brûlot anti-euthanasie».
Plus grave: le rapport de l’Observatoire souligne l'absence de «données fiables» sur la réalité des pratiques aujourd’hui mises en œuvre. Ces lacunes pourraient être comblées avec la publication (en mars dit-on) d'une étude menée conjointement avec l'Institut national d'études démographiques; une étude sur «la réalité des euthanasies en France» qui ne manquera pas d’être également objet de controverses tant les passions peuvent être ici exacerbées.
Dans l’attente de véritables données chiffrées, la polémique se poursuivra, stérile. Les uns continueront de dire leur foi dans le développement des soins palliatifs et d’une meilleure connaissance de la loi en vigueur. Deux éléments qui permettront selon eux de fournir, autant que faire se peut, les solutions les plus humaines qui soient.
A l’inverse, les autres continueront d’exploiter quelques situations tragiques et exceptionnelles (comme les affaires Vincent Humbert ou Chantal Sébire) pour réclamer la dépénalisation de la transgression. Dans un tel contexte les candidats à la campagne présidentielle auront-ils le courage de dépasser les caricatures des deux camps ? C’est fort peu vraisemblable. Rien n’interdit d’espérer.
Euthanasie: la présidentielle n’en fera pas l’économie. A dire vrai mieux vaudrait ici ne pas utiliser ce terme, depuis longtemps déjà galvaudé. Comment, dans leur for intérieur, les candidats tranchent-ils des questions relatives à la fin de la vie humaine? Jugent-ils nécessaire et urgent que le législateur une nouvelle fois intervienne?
Nous avons déjà leurs déclarations à visée électorale. Le candidat de la gauche socialiste vient de laisser entendre que oui. François Hollande est favorable –«dans des conditions précises et strictes», à une «assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité». Celui de la droite, par ailleurs président sortant, vient clairement de faire savoir qu’il n’était pas question de modifier la loi. Jusqu’à plus ample informé, leurs concurrents ne se sont guère exprimés sur l’un des sujets dits de société qui passionne le plus les Français; un sujet complexe et douloureux sur lequel les responsables politiques ne sont généralement guère enclin à s’exprimer.
On peut le dire autrement. François Hollande ne serait pas opposé au suicide médicalement assisté, une pratique revendiquée de manière récurrente depuis trente ans par les membres de l’Association pour le droit de mourir dans la dignité. Nicolas Sarkozy tient quant à lui la chose pour un tabou. Il estime que l’on ne doit pas aller plus loin que les dispositions de la loi Leonetti relative aux droits des malades et à la fin de vie.
Depuis 2005, ce texte a trouvé une judicieuse parade à la poursuite de la pratique de l’acharnement thérapeutique en instaurant un droit au laisser mourir. Il ne permet pas pour autant aux membres du corps médical d’administrer directement des substances mortelles à une personne (ou à ses proches) qui en formulerai(en)t la demande.
Poser ainsi les termes du débat conduit rapidement à une impasse. Cela renvoie chacun à des convictions (religieuses ou philosophiques) radicalement opposées. On retrouve ainsi, sous de multiples formes, des arguments souvent développés dans la sphère de la chrétienté face à ceux de la libre pensée. Un camp refuse cette nouvelle forme de transgression légitimée quand l’autre la réclame.
Les premiers se refusent à accorder un nouveau droit aux médecins : celui de tuer dans certaines conditions des personnes en fin de vie. Les seconds souhaitent que ce droit puisse être exercé dès lors que le souhait en aurait été formulé. Le corps médical quant à lui ne s’exprime pour l’essentiel, de manière utile et technique, que dans les cénacles spécialisés de ses sociétés savantes comme la société française d’anesthésie et de réanimation. Et sa voix est généralement peu audible du plus grand nombre.
Pour l’heure un nouveau symptôme de l’affrontement entre les deux camps apparaît aujourd’hui avec la remise d’un premier rapport officiel d’ores et déjà contesté. Ce document a été remis mardi 14 février au Premier ministre par le Pr Régis Aubry, président de l'Observatoire national de la fin de vie. Il vise officiellement à «nourrir le débat sur toutes les questions que pose et posera la fin de vie en France » et ce avec les «données factuelles» dont on dispose. Or si bien des questions se posent les données colligées dans ce rapport demeurent bien maigres.
Le Pr Aubry observe que «les demandes d'euthanasie sont en augmentation du fait surtout des situations complexes que la médecine est capable de générer pour les patients». Il note que la législation tarde à être appliquée. Tout se passe comme si les professionnels de santé dans leur ensemble n’en connaissaient pas les termes. Un paradoxe majeur puisque la France est l’un des pays qui médicalise le plus la fin de vie. Depuis la promulgation de la loi Leonetti moins de trois pour cent des médecins généralistes ont choisi de bénéficier d’une formation à l'accompagnement de la fin de vie.
L'offre en soins palliatifs demeure notoirement insuffisante dans un pays de plus en plus confronté aux conséquences du vieillissement de la population et aux avancées médicales qui tendent à prolonger l’espérance de vie de personne souffrant de maladies devenues chroniques.
Cette évolution explique l'augmentation en dix ans du nombre d'unités et de lits de soins palliatifs (105 unités et 1.913 lits en 2011 versus 30 unités et 232 lits en 2001) ne répond ni à la demande ni à une répartition équitable.
Pour autant qu’on puisse les croire les statistiques «ont tendance à montrer que la moitié des patients hospitalisés pour soins palliatifs le sont tardivement, juste avant leur décès».
Incidemment, ce rapport a provoqué l’ire de Marie de Hennezel, l’une des spécialistes reconnue de ces questions. Elle vient de démissionner de l’Observatoire. Dans un entretien accordé au quotidien Le Parisien (daté du 15 février), elle dénonce un rapport qui «ne fait que compiler des études»; un rapport qui ne cherche nullement à identifier où se situent les blocages dans l'application de la loi Leonetti «qui devrait permettre en théorie de finir sa vie sans souffrance».
Interrogé le même jour sur France Inter, le Pr Aubry a fait valoir que Marie de Hennezel avait démissionné parce que l'Observatoire refusait «de se positionner de manière partisane sur l'euthanasie». Précisons que Hennezel est «contre» et qu’elle qualifie de «bonne» la loi Leonetti. Pour sa part Jean-Luc Romero, président de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (et conseiller régional PS d'Ile-de-France) qualifie le rapport de «brûlot anti-euthanasie».
Plus grave: le rapport de l’Observatoire souligne l'absence de «données fiables» sur la réalité des pratiques aujourd’hui mises en œuvre. Ces lacunes pourraient être comblées avec la publication (en mars dit-on) d'une étude menée conjointement avec l'Institut national d'études démographiques; une étude sur «la réalité des euthanasies en France» qui ne manquera pas d’être également objet de controverses tant les passions peuvent être ici exacerbées.
Dans l’attente de véritables données chiffrées, la polémique se poursuivra, stérile. Les uns continueront de dire leur foi dans le développement des soins palliatifs et d’une meilleure connaissance de la loi en vigueur. Deux éléments qui permettront selon eux de fournir, autant que faire se peut, les solutions les plus humaines qui soient.
A l’inverse, les autres continueront d’exploiter quelques situations tragiques et exceptionnelles (comme les affaires Vincent Humbert ou Chantal Sébire) pour réclamer la dépénalisation de la transgression. Dans un tel contexte les candidats à la campagne présidentielle auront-ils le courage de dépasser les caricatures des deux camps ? C’est fort peu vraisemblable. Rien n’interdit d’espérer.
Dernière modification par manuela.d le 17 févr. 2012 14:20, modifié 2 fois.
IDE depuis Juillet 2015
Re: Actualités 2012
Autisme : l’imagerie cérébrale, une aide au diagnostic précoce… __ informationhospitalière.com
Si en France, les spécialistes de l’autisme attendent le rendu le 6 mars prochain du rapport de la Haute Autorité de santé (HAS), qui fait polémique, Outre-Altantique, des chercheurs essaient de mettre au point un méthode de diagnostic précoce à partir d’imagerie cérébrale. C’est ce que révèle une étude parue sur le site de l’American Journal of Psychiatry.
Afin de mieux comprendre ce trouble du comportement qui touche actuellement plus de 400 000 français, Jason Wolff et ses collègues de Université de Caroline du Nord à Chapel Hill, ont étudié grâce à l’imagerie médicale par résonance magnétique le cerveau à 6, 12 et 24 mois, de 92 enfants, ayant tous des frères ou des sœurs atteints d’autisme.
A l’âge de 24 mois, seuls 28 des participants ont montré des signes d’autisme. Les 64 autres en étaient exempts. En comparant et en analysant, les différentes images obtenues, les chercheurs ont constaté des divergences dans le développement du cerveau et notamment au niveau de la substance blanche, qui relie différentes aires de la matière grise. Afin de mieux comprendre ces différences, les chercheurs ont examiné 15 zones cérébrales distinctes spécifiques de la substance blanche, pour voir de quelles façons évoluent les fibres nerveuses contenues dans cette dernière.
Dans 12 zones sur 15, les chercheurs ont pu observer que les fibres suivaient des trajectoires différentes, que l’enfant soit autiste ou pas.
D’après Jason Wolff, cette découverte suggère que l’autisme n’est pas forcément lié à une zone particulière du cerveau et qu’en analysant par IRM suffisamment tôt le cerveau d’enfant à risques, ils serait possible de poser un diagnostic précoce.
Si en France, les spécialistes de l’autisme attendent le rendu le 6 mars prochain du rapport de la Haute Autorité de santé (HAS), qui fait polémique, Outre-Altantique, des chercheurs essaient de mettre au point un méthode de diagnostic précoce à partir d’imagerie cérébrale. C’est ce que révèle une étude parue sur le site de l’American Journal of Psychiatry.
Afin de mieux comprendre ce trouble du comportement qui touche actuellement plus de 400 000 français, Jason Wolff et ses collègues de Université de Caroline du Nord à Chapel Hill, ont étudié grâce à l’imagerie médicale par résonance magnétique le cerveau à 6, 12 et 24 mois, de 92 enfants, ayant tous des frères ou des sœurs atteints d’autisme.
A l’âge de 24 mois, seuls 28 des participants ont montré des signes d’autisme. Les 64 autres en étaient exempts. En comparant et en analysant, les différentes images obtenues, les chercheurs ont constaté des divergences dans le développement du cerveau et notamment au niveau de la substance blanche, qui relie différentes aires de la matière grise. Afin de mieux comprendre ces différences, les chercheurs ont examiné 15 zones cérébrales distinctes spécifiques de la substance blanche, pour voir de quelles façons évoluent les fibres nerveuses contenues dans cette dernière.
Dans 12 zones sur 15, les chercheurs ont pu observer que les fibres suivaient des trajectoires différentes, que l’enfant soit autiste ou pas.
D’après Jason Wolff, cette découverte suggère que l’autisme n’est pas forcément lié à une zone particulière du cerveau et qu’en analysant par IRM suffisamment tôt le cerveau d’enfant à risques, ils serait possible de poser un diagnostic précoce.
IDE depuis Juillet 2015
Re: Actualités 2012
Autisme, les psys sont stressés __ tessolidaire.com
Des psychiatres ont assuré récemment qu'ils s'inquiétaient de l'offensive contre la psychanalyse et de son rôle dans la prise en charge de l'autisme, fustigeant notamment la "croisade" d'un député qui se fait le "relais du puissant lobby de quelques associations". Le Collectif des 39 contre la Nuit sécuritaire pointe du doigt le député UMP Daniel Fasquelle qui, accuse-t-il, veut "mettre définitivement fin à l'approche psychanalytique de l'autisme".
Après avoir déposé une proposition de loi dans ce sens, Daniel Fasquelle entend saisir le Conseil national des universités pour interdire toute référence à la psychanalyse dans l'enseignement et la recherche sur l'autisme. Libération révèle, dans son édition de lundi, que les approches psychanalytiques et la psychothérapie institutionnelle seraient écartées des recommandations du rapport de la Haute autorité de santé (HAS) et de l'Agence nationale de l'évaluation et de la qualité des établissements et services sociaux et médico-sociaux (Anesm) sur la prise en charge de l'autisme, qui doit être rendu public le 6 mars. Une phrase du rapport en résume l'esprit : "L'absence de données sur leur efficacité et la divergence des avis exprimés ne permettent pas de conclure à la pertinence des interventions fondées sur les approches psychanalytiques, ni sur la psychothérapie institutionnelle". La HAS a assuré que la phrase en question existait bel et bien mais que la version du rapport consulté n'était que provisoire.
Le rapport devrait également se prononcer sur une autre pratique controversée, le packing (enveloppement dans un drap humide) que certains veulent interdire comme l'association Vaincre l'autisme et à laquelle la HAS serait formellement opposée, selon Libération. La fédération française des Dys (dyslexie, dysorthographie, dyscalculie) a, de son côté, critiqué lundi la "persistance de pratiques psychanalytiques totalement dépassées (...) dans la prise en charge des enfants autistes".
Le débat prend même une tournure judiciaire. La CGT-Santé a ainsi apporté son soutien à deux médecins "convoqués devant les instances ordinales de leurs départements" suite à la plainte d'une association de parents d'enfants autistes contre la pratique du packing. "Que ce soit au sujet de la psychanalyse ou des packs, la prise en charge des enfants autistes sert de prétexte fort démagogique pour justifier l'ingérence de points de vue politiques et idéologiques dans les soins, au détriment de l'indépendance des pratiques et d'un réel débat scientifique", juge encore la CGT-Santé.
Des psychiatres ont assuré récemment qu'ils s'inquiétaient de l'offensive contre la psychanalyse et de son rôle dans la prise en charge de l'autisme, fustigeant notamment la "croisade" d'un député qui se fait le "relais du puissant lobby de quelques associations". Le Collectif des 39 contre la Nuit sécuritaire pointe du doigt le député UMP Daniel Fasquelle qui, accuse-t-il, veut "mettre définitivement fin à l'approche psychanalytique de l'autisme".
Après avoir déposé une proposition de loi dans ce sens, Daniel Fasquelle entend saisir le Conseil national des universités pour interdire toute référence à la psychanalyse dans l'enseignement et la recherche sur l'autisme. Libération révèle, dans son édition de lundi, que les approches psychanalytiques et la psychothérapie institutionnelle seraient écartées des recommandations du rapport de la Haute autorité de santé (HAS) et de l'Agence nationale de l'évaluation et de la qualité des établissements et services sociaux et médico-sociaux (Anesm) sur la prise en charge de l'autisme, qui doit être rendu public le 6 mars. Une phrase du rapport en résume l'esprit : "L'absence de données sur leur efficacité et la divergence des avis exprimés ne permettent pas de conclure à la pertinence des interventions fondées sur les approches psychanalytiques, ni sur la psychothérapie institutionnelle". La HAS a assuré que la phrase en question existait bel et bien mais que la version du rapport consulté n'était que provisoire.
Le rapport devrait également se prononcer sur une autre pratique controversée, le packing (enveloppement dans un drap humide) que certains veulent interdire comme l'association Vaincre l'autisme et à laquelle la HAS serait formellement opposée, selon Libération. La fédération française des Dys (dyslexie, dysorthographie, dyscalculie) a, de son côté, critiqué lundi la "persistance de pratiques psychanalytiques totalement dépassées (...) dans la prise en charge des enfants autistes".
Le débat prend même une tournure judiciaire. La CGT-Santé a ainsi apporté son soutien à deux médecins "convoqués devant les instances ordinales de leurs départements" suite à la plainte d'une association de parents d'enfants autistes contre la pratique du packing. "Que ce soit au sujet de la psychanalyse ou des packs, la prise en charge des enfants autistes sert de prétexte fort démagogique pour justifier l'ingérence de points de vue politiques et idéologiques dans les soins, au détriment de l'indépendance des pratiques et d'un réel débat scientifique", juge encore la CGT-Santé.
IDE depuis Juillet 2015
Re: Entraînement culture générale 2012
Je n'ai lu aucune de vos réponses pour ne pas être influencée
En quoi le bruit peut il être considéré comme une pollution?
Le bruit est considéré comme une nuisance ou pollution au delà de 50 dB. Il est principalement causé par le trafic routier, ferroviaire ou aérien. Cependant on le retrouve partout: dans la rue sous la forme de véhicules, d'alarmes et de sirènes diverses, de marteaux-piqueurs, de bars et restaurants etc... On le retrouve également dans les logements avec les appareils ménagers notamment l'aspirateur et le sèche cheveux, la télévision, la radio, les chaines Hifi... Le bruit peut également se retrouver dans les lieux collectifs de détente, ainsi que les lieux de travail. Trop de bruit à des effets néfastes sur la santé, c'est en cela qu'il est considéré comme polluant. Par exemple il peut causer une diminution de l'audition, ainsi que de fortes migraines ou encore des troubles mentaux ou de l’hyperacousie dans certains cas.
Comme tout polluant, il faut donc trouver des moyens de lutte contre le bruit, pour diminuer son effet sur l'organisme. Les différentes réglementation et indemnisation pour les entreprises faisant des efforts pour réduire leur émission de bruit sont récompensée (bruit décollage des avions, construction de murs antibruit...).
Quelles sont les causes de dégradation de notre richesse mondiale en eau?
L'eau recouvre au trois quart notre planète. Cependant seule une infime quantité est potable. Malheureusement, cette ressource inestimables est polluée de toute part. Quelles sont les causes d'une telle pollution?
D'une part, la pollution de l'eau provient de l'utilisation intensive des pesticides et des engrais pour l'agriculture, qui enrichissent l'eau en nitrates, phosphates et en métaux lourds, qui à trop grandes concentrations sont toxiques pour l'être humain. Ces composants peuvent être aussi le fait des industrie qui se servent de l'eau des rivières pour refroidir leur équipement, sans forcément veiller à la non transmission de composants.
D'autre part, la pollution est également due à un rejet de déchets plastiques très important. Des milliers de tonnes de déchets sont jetés à la mer. Ce qui a de graves conséquences sur la biodiversité des milieux marins.
L'homme, par sa volonté de vouloir toujours plus, est donc en train d’abîmer sa plus grande source de vie. Des accords internationaux ont été signés afin de limiter la pollution des eaux, ainsi des amendes peuvent être émises aux agriculteurs utilisant une trop grande quantités de pesticides ainsi qu'aux entreprises déversant leurs déchets dans la mer.
Citez quatres moyens individuels de lutte contre la pollution de l'air?
L'air est de plus en plus pollué par différents gaz et particules, dangereuses pour l'homme. Des accords internationaux ont été ratifiés pour limiter la libération de gaz toxiques, mais à l'échelle individuelle, que peut-on faire?
Pour réduire la production de gaz à effet de serre, il faut par exemple, moins utiliser son véhicule et privilégier les transports en commun ou le covoiturage. On peut également veiller à éteindre et débrancher tout le matériel électrique lorsque l'on quitte une pièce puisqu'aujourd'hui 70% de l'électricité française provient du nucléaire. Mais on peut aussi diminuer sa consommation d'eau chaude ainsi que baisser la température des radiateurs dans son logement et privilégié le port d'habits plus chauds à l'intérieur.
Ces techniques simplicimes peuvent réellement réduire le taux d'émission des particules. D'autres méthodes sont également possibles, mais elles nécessitent plus de moyens financiers. Si toute la population se met à faire ce genre d'acte au quotidien la pollution de l'air diminuera.
En quoi le bruit peut il être considéré comme une pollution?
Le bruit est considéré comme une nuisance ou pollution au delà de 50 dB. Il est principalement causé par le trafic routier, ferroviaire ou aérien. Cependant on le retrouve partout: dans la rue sous la forme de véhicules, d'alarmes et de sirènes diverses, de marteaux-piqueurs, de bars et restaurants etc... On le retrouve également dans les logements avec les appareils ménagers notamment l'aspirateur et le sèche cheveux, la télévision, la radio, les chaines Hifi... Le bruit peut également se retrouver dans les lieux collectifs de détente, ainsi que les lieux de travail. Trop de bruit à des effets néfastes sur la santé, c'est en cela qu'il est considéré comme polluant. Par exemple il peut causer une diminution de l'audition, ainsi que de fortes migraines ou encore des troubles mentaux ou de l’hyperacousie dans certains cas.
Comme tout polluant, il faut donc trouver des moyens de lutte contre le bruit, pour diminuer son effet sur l'organisme. Les différentes réglementation et indemnisation pour les entreprises faisant des efforts pour réduire leur émission de bruit sont récompensée (bruit décollage des avions, construction de murs antibruit...).
Quelles sont les causes de dégradation de notre richesse mondiale en eau?
L'eau recouvre au trois quart notre planète. Cependant seule une infime quantité est potable. Malheureusement, cette ressource inestimables est polluée de toute part. Quelles sont les causes d'une telle pollution?
D'une part, la pollution de l'eau provient de l'utilisation intensive des pesticides et des engrais pour l'agriculture, qui enrichissent l'eau en nitrates, phosphates et en métaux lourds, qui à trop grandes concentrations sont toxiques pour l'être humain. Ces composants peuvent être aussi le fait des industrie qui se servent de l'eau des rivières pour refroidir leur équipement, sans forcément veiller à la non transmission de composants.
D'autre part, la pollution est également due à un rejet de déchets plastiques très important. Des milliers de tonnes de déchets sont jetés à la mer. Ce qui a de graves conséquences sur la biodiversité des milieux marins.
L'homme, par sa volonté de vouloir toujours plus, est donc en train d’abîmer sa plus grande source de vie. Des accords internationaux ont été signés afin de limiter la pollution des eaux, ainsi des amendes peuvent être émises aux agriculteurs utilisant une trop grande quantités de pesticides ainsi qu'aux entreprises déversant leurs déchets dans la mer.
Citez quatres moyens individuels de lutte contre la pollution de l'air?
L'air est de plus en plus pollué par différents gaz et particules, dangereuses pour l'homme. Des accords internationaux ont été ratifiés pour limiter la libération de gaz toxiques, mais à l'échelle individuelle, que peut-on faire?
Pour réduire la production de gaz à effet de serre, il faut par exemple, moins utiliser son véhicule et privilégier les transports en commun ou le covoiturage. On peut également veiller à éteindre et débrancher tout le matériel électrique lorsque l'on quitte une pièce puisqu'aujourd'hui 70% de l'électricité française provient du nucléaire. Mais on peut aussi diminuer sa consommation d'eau chaude ainsi que baisser la température des radiateurs dans son logement et privilégié le port d'habits plus chauds à l'intérieur.
Ces techniques simplicimes peuvent réellement réduire le taux d'émission des particules. D'autres méthodes sont également possibles, mais elles nécessitent plus de moyens financiers. Si toute la population se met à faire ce genre d'acte au quotidien la pollution de l'air diminuera.
DE 2015
IBO en Guadeloupe
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Re: Entraînement culture générale 2012
pas mal kysa
Sinon j'ai une question à propos des centrales nucléaires. Pourquoi les cites-tu dans les mesures individuelles contre la pollution de l'air ? Ces dernières ne rejettent que de la vapeur d'eau issue des turbines. Elles génèrent seulement des déchets radioactifs, qui seront enfouis dans les profondeurs marines.

Sinon j'ai une question à propos des centrales nucléaires. Pourquoi les cites-tu dans les mesures individuelles contre la pollution de l'air ? Ces dernières ne rejettent que de la vapeur d'eau issue des turbines. Elles génèrent seulement des déchets radioactifs, qui seront enfouis dans les profondeurs marines.
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Re: Entraînement culture générale 2012
J'ai lu toutes les réponses précédentes et j'ai quelques remarques 
Alors Seb: subit est bien sans le e
Ensuite pour le bruit tu parle des MCV tu entends juste la hausse de la tension artérielle ou d'autres pathologies encore?
Sinon tu as de bonnes idées, et le reste est bien fait
Lilavati: On ne dit pas boite de nuit mais discothèque, faut faire attention au vocabulaire pas trop familier
sinon le reste est bien et tu te rapproche de Seb.
Tilily: Pour ta question sur l'eau tu oublie tout ce qui est pollution causée par l'homme c'est dommage car tu as de super idées!
Et sinon petit détail, c'est CO2 (avec le deux en bas) et pas CO² mais ce n'est qu'une notation, mais soyons précis
Sinon tu passes quel concours à Lyon?
Stephi: J'aime bien ta réponse pour le bruit, pour l'eau par contre tu développe trop les moyens de lutte alors qu'on te demande les causes, ne perds pas le sens premier de la question, il faut en parler mais rapidement en conclusion et pas le développer autant.
Pour les méthodes, malheureusement tu en cite plus que 4 (même si elles sont bonnes) et ce n'est pas la consigne. Fais bien attention à respecter les consignes le jour J sinon tu seras pénalisée

Alors Seb: subit est bien sans le e

Ensuite pour le bruit tu parle des MCV tu entends juste la hausse de la tension artérielle ou d'autres pathologies encore?
Sinon tu as de bonnes idées, et le reste est bien fait

Lilavati: On ne dit pas boite de nuit mais discothèque, faut faire attention au vocabulaire pas trop familier

Tilily: Pour ta question sur l'eau tu oublie tout ce qui est pollution causée par l'homme c'est dommage car tu as de super idées!
Et sinon petit détail, c'est CO2 (avec le deux en bas) et pas CO² mais ce n'est qu'une notation, mais soyons précis

Sinon tu passes quel concours à Lyon?
Stephi: J'aime bien ta réponse pour le bruit, pour l'eau par contre tu développe trop les moyens de lutte alors qu'on te demande les causes, ne perds pas le sens premier de la question, il faut en parler mais rapidement en conclusion et pas le développer autant.
Pour les méthodes, malheureusement tu en cite plus que 4 (même si elles sont bonnes) et ce n'est pas la consigne. Fais bien attention à respecter les consignes le jour J sinon tu seras pénalisée

DE 2015
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Re: Entraînement culture générale 2012
Elles libèrent ces fameuses particules CFD que l'on veut réduire. Et ce sont des polluants atmosphériques, donc je pense qu'il fallait les mentionnerSebcbien a écrit :pas mal kysa![]()
Sinon j'ai une question à propos des centrales nucléaires. Pourquoi les cites-tu dans les mesures individuelles contre la pollution de l'air ? Ces dernières ne rejettent que de la vapeur d'eau issue des turbines. Elles génèrent seulement des déchets radioactifs, qui seront enfouis dans les profondeurs marines.

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Re: Entraînement culture générale 2012
kysa a écrit :Elles libèrent ces fameuses particules CFD que l'on veut réduire. Et ce sont des polluants atmosphériques, donc je pense qu'il fallait les mentionnerSebcbien a écrit :pas mal kysa![]()
Sinon j'ai une question à propos des centrales nucléaires. Pourquoi les cites-tu dans les mesures individuelles contre la pollution de l'air ? Ces dernières ne rejettent que de la vapeur d'eau issue des turbines. Elles génèrent seulement des déchets radioactifs, qui seront enfouis dans les profondeurs marines.
je n'ai pas eu de résultat à propos des particules CFD sur google peux-tu m'en dire plus ? je n'en avais jamais entendu parler
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Re: Entraînement culture générale 2012
Merci pour la correctionkysa a écrit :
Alors Seb: subit est bien sans le e
Ensuite pour le bruit tu parle des MCV tu entends juste la hausse de la tension artérielle ou d'autres pathologies encore?
Sinon tu as de bonnes idées, et le reste est bien fait

oui principalement l'hypertension artérielle. je n'aurais pas dû mettre au pluriel. Je me suis renseigné et j'ai appris que le manque de sommeil favorisé aussi l'obésité et l'apparition d'un diabète de type 2.
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Re: Entraînement culture générale 2012
Alors pour les CFD j'ai pas le nom exact du sygle, ils en parlent dans mon bouquin, et justement, ça pose des soucis, parce qu'en fait les particules radioactive, en se désintégrant forment de nouveaux atomes par perte ou gain d'électron (jvais rester vague, jveux pas faire un cours de chimie phy lol) et du coup, pendant ces transformations, l'atome stable qui est un isotopes (pas le même nombre de neutrons) à grande concentration à des risques sur la santé mais faut vraiment que la centrale explose et libère tous ces produits, même si le risque est minime, il est présent 

DE 2015
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Re: Entraînement culture générale 2012
oui ce sont des particules instables qui libèrent un rayon gamma ionisant dangereux pour la santé (cancer de la thyroïde) et c'est une réaction en chaîne qui ne s'arrêtent pas. En cas de catastrophe nucléaire ( tchernobyl, fukishma) on a vu ce que ça a donné, pollution de l'environnement, aussi bien l'air que les sols. Donc ton argument est pertinent =) en effet.kysa a écrit :Alors pour les CFD j'ai pas le nom exact du sygle, ils en parlent dans mon bouquin, et justement, ça pose des soucis, parce qu'en fait les particules radioactive, en se désintégrant forment de nouveaux atomes par perte ou gain d'électron (jvais rester vague, jveux pas faire un cours de chimie phy lol) et du coup, pendant ces transformations, l'atome stable qui est un isotopes (pas le même nombre de neutrons) à grande concentration à des risques sur la santé mais faut vraiment que la centrale explose et libère tous ces produits, même si le risque est minime, il est présent
Pour ma part j'ai préféré parler du gaz issue d'hydrocarbure car sa production émet de grande quantité de CO².
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Re: Entraînement culture générale 2012
je n'ai pas parlé de pollution car je pensais que le sujet c'etait surtout une question sur les ressources qui s'épuisentkysa a écrit : Tilily: Pour ta question sur l'eau tu oublie tout ce qui est pollution causée par l'homme c'est dommage car tu as de super idées!
Et sinon petit détail, c'est CO2 (avec le deux en bas) et pas CO² mais ce n'est qu'une notation, mais soyons précis
Sinon tu passes quel concours à Lyon?
je passe le concours a clemenceau
Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts ni par les plus rapides, mais par ceux qui n’abandonnent jamais
IDE depuis 07/2018 en hématologie stérile
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