Culture Générale
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Quels sont pour vous les avantages et les inconvénients de la profession infirmière?
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
ca peut être un sujet de culture G ça ?! Oulaaa !!!
Diaconesses : ADMISE EN LP (TP: 18.25, CG : 13.5, Oral :19)
CRF Paris : ADMISE EN LP (TP: 18, CG : 13,Oral : 17.25)
AP-HP : ADMISE EN LP (338ème 20/20 à l'oral )
ESI 2012 - 2015 <3
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Alors déjà tu assuzy47 a écrit : Connaissez vous des pollutions qui ont des incidences sur la santé publique?
La pollution désigne la dégradation d'un écosystème par l'intégration généralement humaine directement ou indirectement de produits chimiques ,de radiations ou autres . Récemment des scientifiques ont démontrés que la pollution de l'air , de l'eau , des sols avait un impact important sur la santé des êtres humains ? La france en a fait un problème de santé publique . Nous allons voir dans un primer temps les différentes pollutions qui ont un impact néfaste sur la santé , puis les moyens de préventions mis en place .
1°) POLLUTIONS
*Pollution de l'air (dioxide de carbone , de souffre ,d'azote rejeté dans l'air par les industries , les véhicules etc ...) :
-Affection respiratoire , asthme
-problèmes cardiaques
-irritation oculaire
-dégradation des défenses immunitaires
*Pollution de l'eau (14 000 décès par jour , du au mauvais traitement des eaux usées , rejets d'engrais , de pesticide , rejets de produits chimiques des industries ) :
- thyphoïde , choléra
-gale
-maladies reinales , digestives
-dégradation de la flore et contamination de la faune
*Pollution des sols (mauvais e élimination des déchets , infiltrations de produits chimiques , engrais , pesticides)
- contamination de la faune et d ela flore
-problèmes cardiaques
- maladie digestive
*Pollution sonore
- perte d'audition
-stress
-hypertension
-troubles du sommeil
2°) PREVENTION
JE CONNAIS PAS LES LOISSI QUELQU'UN PEUT M'AIDER
![]()
- accelerer la réduction et l'élimination des polluants
-privilégier les énergies renouvelables non polluantes
-controler les rejets des industries
-sensibiliser la population
je sais pas trop quoi mettre dans cette partie
En tant que professionnelle de santé , nous avons un rôle de prévetio et d'information auprès des résidents , des patients . Pfffffff je sais pas quoi mettre non plus là
VOS IDÉES SONT LES BIEN VENUES
- le protocole de kyoto 2005 pour les gaz à effet de serre
Et après je reprends mon cours :
- loi sur l'air et sur l'utilisation de l'énergie 1996 : proclame le droit pr tous de respirer un air non nocif et à être informé sur la qualité de l'air
- loi sur la santé publique de 2004 : élaboration ts les 5 ans d'un plan national de prévention des risques liés à l'environnement
- le Grenelle de l'environnement 2007 qui encourage l'achat de voitures propres. Taxes + les pollutions notamment les énergies fossiles
- loi sur l'eau et les milieux aquatiques 2006 objectif : bon état de toutes les eaux d'ici 2015
- loi sur le bruit de 1992 : réglementations comme isolation des bâtiments, protection des habitants à proximité des aéroports, interdiction de fabriquer ou vendre objet produisant des nuisances sonores élevées
Voilà yen a d'autres mais c'est déjà pas mal je pense !
J'espère t'avoir aidé
-
Diaconesses : ADMISE EN LP (TP: 18.25, CG : 13.5, Oral :19)
CRF Paris : ADMISE EN LP (TP: 18, CG : 13,Oral : 17.25)
AP-HP : ADMISE EN LP (338ème 20/20 à l'oral )
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CRF Paris : ADMISE EN LP (TP: 18, CG : 13,Oral : 17.25)
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Re: Actualités 2012
De nombreuses transfusions sanguines sont inutiles
Par figaro icon Marie-Noëlle Delaby - le 11/05/2012
Une étude portant sur les pratiques transfusionnelles des hôpitaux américains pointe un recours trop fréquent à la transfusion, exposant le patient à un risque inutile.
Chaque jour, la transfusion sanguine sauve des milliers de vies. Pratiquée pour pallier un déficit en globules rouges qui apportent l'oxygène aux tissus, son utilité est déterminée en fonction du seuil transfusionnel. Ce point critique, basé sur le taux d'hémoglobine du patient, est généralement compris entre 7 et 10 g/dL (grammes par décilitre) de sang. Mais ces valeurs prêtent à discussion, d'autant que la transfusion n'est pas un geste dénué de risque.
«Les recommandations américaines indiquent qu'une transfusion est nécessaire lorsque le taux d'hémoglobine chute au dessous de 6 ou 7 g/dL et inutile lorsque ce taux est à 10 g/dL. Entre ces deux valeurs, il n'y a pas de consensus», constate le professeur Steven Franck, anesthésiste à l'hôpital Johns Hopkins de Baltimore. En observant les seuils transfusionnels des 2981 patients transfusés dans cet établissement de février 2010 à août 2011, il a pu constater de grandes variations du taux d'hémoglobine limite retenu par les praticiens pour transfuser, celui-ci étant globalement trop élevé.
Un acte médical non dénué de risque
«Depuis 5 ans, les travaux portant sur la transfusion incitent à abaisser le seuil transfusionnel. Une étude récente confrontant des seuils de 7 g/dL et de 10 g/dL chez des patients stables en réanimation a ainsi montré l'absence de différence de survie des patients*. Mais les médecins n'ont vraisemblablement pas encore adapté leur pratique». Selon le chercheur, l'usage excessif de la transfusion est pourtant problématique. «Non seulement le sang est une denrée rare et coûteuse, mais les patients ne se portent pas mieux et même parfois plus mal, lorsque la transfusion est faite prématurément ou inutilement».
L'introduction de sang étranger dans le corps initie une série de réactions immunitaires chez le patient qui développe des anticorps contre les globules rouges importés. Ce mécanisme de défense rend l'obtention d'une compatibilité plus difficile lors d'éventuelles transfusions ultérieures. La transfusion a également un effet suppressif sur le système immunitaire, qui augmente le risque de contracter des maladies opportunistes. Sans compter le risque, rarissime mais pas inexistant, de transmission d'une infection virale ou bactérienne ou encore d'être victime d'une erreur de groupe sanguin.
Des seuils plus hauts en France qu'aux États-Unis
En France, la transfusion sanguine se base sur les recommandations de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM, ex-Afssaps) de 2003. Les seuils transfusionnels y sont globalement plus hauts que leurs homologues américains (7 ou 9 g/dL en fonction de l'âge et de l'état clinique du patient). “Mais comme aux États-Unis, les recommandations n'empêchent pas une variabilité dans les pratiques”, constate le Docteur Lionel Velly, anesthésiste-réanimateur à l'hôpital de la Timone à Marseille.
«Toutefois, l'indication d'une transfusion sanguine en cours d'opération en cas de saignement brutal ne peut se résumer à la question du taux d'hémoglobine. L'hémoglobine n'est pas un reflet très fidèle du saignement actif, car son taux chute avec un certain retard par rapport à la perte sanguine. Ce facteur ne doit pas être pris en compte isolément. La vitesse de saignement, la réaction du patient, et le volume sanguin perdu ont également leur importance», explique le docteur Velly.
Enfin, si le choix ou non d'effectuer une transfusion doit se décider à la lumière des bénéfices et des risques encourus, il importe de rappeler que le risque de survenue de complications liées à la transfusion est inférieur, et de très loin, aux dangers liés à la sous-transfusion ; l'anémie et l'hémorragie restant les principales causes d'arrêt cardiaque au cours d'une opération.
Par figaro icon Marie-Noëlle Delaby - le 11/05/2012
Une étude portant sur les pratiques transfusionnelles des hôpitaux américains pointe un recours trop fréquent à la transfusion, exposant le patient à un risque inutile.
Chaque jour, la transfusion sanguine sauve des milliers de vies. Pratiquée pour pallier un déficit en globules rouges qui apportent l'oxygène aux tissus, son utilité est déterminée en fonction du seuil transfusionnel. Ce point critique, basé sur le taux d'hémoglobine du patient, est généralement compris entre 7 et 10 g/dL (grammes par décilitre) de sang. Mais ces valeurs prêtent à discussion, d'autant que la transfusion n'est pas un geste dénué de risque.
«Les recommandations américaines indiquent qu'une transfusion est nécessaire lorsque le taux d'hémoglobine chute au dessous de 6 ou 7 g/dL et inutile lorsque ce taux est à 10 g/dL. Entre ces deux valeurs, il n'y a pas de consensus», constate le professeur Steven Franck, anesthésiste à l'hôpital Johns Hopkins de Baltimore. En observant les seuils transfusionnels des 2981 patients transfusés dans cet établissement de février 2010 à août 2011, il a pu constater de grandes variations du taux d'hémoglobine limite retenu par les praticiens pour transfuser, celui-ci étant globalement trop élevé.
Un acte médical non dénué de risque
«Depuis 5 ans, les travaux portant sur la transfusion incitent à abaisser le seuil transfusionnel. Une étude récente confrontant des seuils de 7 g/dL et de 10 g/dL chez des patients stables en réanimation a ainsi montré l'absence de différence de survie des patients*. Mais les médecins n'ont vraisemblablement pas encore adapté leur pratique». Selon le chercheur, l'usage excessif de la transfusion est pourtant problématique. «Non seulement le sang est une denrée rare et coûteuse, mais les patients ne se portent pas mieux et même parfois plus mal, lorsque la transfusion est faite prématurément ou inutilement».
L'introduction de sang étranger dans le corps initie une série de réactions immunitaires chez le patient qui développe des anticorps contre les globules rouges importés. Ce mécanisme de défense rend l'obtention d'une compatibilité plus difficile lors d'éventuelles transfusions ultérieures. La transfusion a également un effet suppressif sur le système immunitaire, qui augmente le risque de contracter des maladies opportunistes. Sans compter le risque, rarissime mais pas inexistant, de transmission d'une infection virale ou bactérienne ou encore d'être victime d'une erreur de groupe sanguin.
Des seuils plus hauts en France qu'aux États-Unis
En France, la transfusion sanguine se base sur les recommandations de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM, ex-Afssaps) de 2003. Les seuils transfusionnels y sont globalement plus hauts que leurs homologues américains (7 ou 9 g/dL en fonction de l'âge et de l'état clinique du patient). “Mais comme aux États-Unis, les recommandations n'empêchent pas une variabilité dans les pratiques”, constate le Docteur Lionel Velly, anesthésiste-réanimateur à l'hôpital de la Timone à Marseille.
«Toutefois, l'indication d'une transfusion sanguine en cours d'opération en cas de saignement brutal ne peut se résumer à la question du taux d'hémoglobine. L'hémoglobine n'est pas un reflet très fidèle du saignement actif, car son taux chute avec un certain retard par rapport à la perte sanguine. Ce facteur ne doit pas être pris en compte isolément. La vitesse de saignement, la réaction du patient, et le volume sanguin perdu ont également leur importance», explique le docteur Velly.
Enfin, si le choix ou non d'effectuer une transfusion doit se décider à la lumière des bénéfices et des risques encourus, il importe de rappeler que le risque de survenue de complications liées à la transfusion est inférieur, et de très loin, aux dangers liés à la sous-transfusion ; l'anémie et l'hémorragie restant les principales causes d'arrêt cardiaque au cours d'une opération.
l' Ailge: TP:8.50 CG:13 ORAL:16.50 26 eme sr list comp PRISE 
Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente

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Re: Actualités 2012
Révéler le risque d'AVC en un coup de crayon
Un simple coup de crayon pourrait prédire les risques de rechute chez les personnes âgées déjà victimes d'un premier accident vasculaire cérébral (AVC), selon une étude suédoise.
Interruption de l'irrigation d'une partie du cerveau provoquée par un caillot ou hémorragie cérébrale, rares sont les AVC qui préviennent. Des chercheurs suédois de l'université d'Uppsala ont donc mis au point un test de dessin, capable de révéler des dysfonctionnements des vaisseaux sanguins dans le cerveau et donc de prédire les risques de rechute après avoir eu un premier infarctus, d'après leur étude publiée mercredi dans le British Medical Journal.
Pendant 14 ans, les chercheurs ont mis à l'épreuve 1000 hommes en bonne santé âgés de 65 à 75 ans. Comme ces jeux pour enfants qui consistent à relier des numéros entre eux pour former un dessin, les participants devaient tracer des lignes entre des points numérotés dans l'ordre croissant et le plus rapidement possible pour évaluer leur vitesse psychomotrice. A la fin de ce test appelé «trail making test», les hommes se voyaient attribuer une note entre 0 (le plus mauvais résultat) et 30 (le meilleur). Les volontaires ont aussi passé plusieurs tests cognitifs pour évaluer leur niveau de mémorisation, leur capacité de calcul et leur sens de l'orientation.
Résultat: Entre 1991 et 2006, 155 hommes ont eu un AVC, dont 22 sont décédés dans le mois qui suivait leur attaque et 84 autres dans un délai de deux ans et demie. En comparant leurs résultats respectifs, les chercheurs ont découvert que ceux qui avaient obtenu un faible score étaient trois fois plus susceptibles de mourir que ceux qui avaient obtenu des scores élevés.
Le «trail making test» effectué pendant l'étude
Le «trail making test» effectué pendant l'étude
Un exercice «simple» et «peu coûteux»
«C'est une étude intéressante car elle suggère qu'il peut y avoir des changements précoces dans le cerveau, susceptibles d'annoncer un accident vasculaire cérébral», a déclaré Dr Clare Walton, de l'association anglaise des AVC (stroke association) à la BBC. «Certes, il s'agit d'une petite étude et nous ignorons pourquoi certaines personnes ont plus de mal à dessiner que d'autres, reconnaît le médecin. Mais nous savons que cette tâche, si elle est difficile à effectuer, souligne le risque d'un AVC grave ou mortel et peut permettre à la personne de bénéficier de traitements préventifs», poursuit-elle.
Le Dr Bernice Wiberg, l'auteur principal de l'étude ajoute que «ces tests sont très simples, peu coûteux et facilement accessibles pour une utilisation clinique. Ils pourraient compléter les tests déjà mis en place avec cet avantage de pouvoir prédire un risque de mortalité imminente».
Chaque année, 130.000 nouvelles personnes sont victimes d'AVC en France. Après la survenue d'un premier AVC, le risque de récidive est important et est estimé entre 30 et 43 % dans les cinq années qui suivent.
Un simple coup de crayon pourrait prédire les risques de rechute chez les personnes âgées déjà victimes d'un premier accident vasculaire cérébral (AVC), selon une étude suédoise.
Interruption de l'irrigation d'une partie du cerveau provoquée par un caillot ou hémorragie cérébrale, rares sont les AVC qui préviennent. Des chercheurs suédois de l'université d'Uppsala ont donc mis au point un test de dessin, capable de révéler des dysfonctionnements des vaisseaux sanguins dans le cerveau et donc de prédire les risques de rechute après avoir eu un premier infarctus, d'après leur étude publiée mercredi dans le British Medical Journal.
Pendant 14 ans, les chercheurs ont mis à l'épreuve 1000 hommes en bonne santé âgés de 65 à 75 ans. Comme ces jeux pour enfants qui consistent à relier des numéros entre eux pour former un dessin, les participants devaient tracer des lignes entre des points numérotés dans l'ordre croissant et le plus rapidement possible pour évaluer leur vitesse psychomotrice. A la fin de ce test appelé «trail making test», les hommes se voyaient attribuer une note entre 0 (le plus mauvais résultat) et 30 (le meilleur). Les volontaires ont aussi passé plusieurs tests cognitifs pour évaluer leur niveau de mémorisation, leur capacité de calcul et leur sens de l'orientation.
Résultat: Entre 1991 et 2006, 155 hommes ont eu un AVC, dont 22 sont décédés dans le mois qui suivait leur attaque et 84 autres dans un délai de deux ans et demie. En comparant leurs résultats respectifs, les chercheurs ont découvert que ceux qui avaient obtenu un faible score étaient trois fois plus susceptibles de mourir que ceux qui avaient obtenu des scores élevés.
Le «trail making test» effectué pendant l'étude
Le «trail making test» effectué pendant l'étude
Un exercice «simple» et «peu coûteux»
«C'est une étude intéressante car elle suggère qu'il peut y avoir des changements précoces dans le cerveau, susceptibles d'annoncer un accident vasculaire cérébral», a déclaré Dr Clare Walton, de l'association anglaise des AVC (stroke association) à la BBC. «Certes, il s'agit d'une petite étude et nous ignorons pourquoi certaines personnes ont plus de mal à dessiner que d'autres, reconnaît le médecin. Mais nous savons que cette tâche, si elle est difficile à effectuer, souligne le risque d'un AVC grave ou mortel et peut permettre à la personne de bénéficier de traitements préventifs», poursuit-elle.
Le Dr Bernice Wiberg, l'auteur principal de l'étude ajoute que «ces tests sont très simples, peu coûteux et facilement accessibles pour une utilisation clinique. Ils pourraient compléter les tests déjà mis en place avec cet avantage de pouvoir prédire un risque de mortalité imminente».
Chaque année, 130.000 nouvelles personnes sont victimes d'AVC en France. Après la survenue d'un premier AVC, le risque de récidive est important et est estimé entre 30 et 43 % dans les cinq années qui suivent.
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Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente

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Re: Actualités 2012
De nombreuses transfusions sanguines sont inutiles
Une étude portant sur les pratiques transfusionnelles des hôpitaux américains pointe un recours trop fréquent à la transfusion, exposant le patient à un risque inutile.
Chaque jour, la transfusion sanguine sauve des milliers de vies. Pratiquée pour pallier un déficit en globules rouges qui apportent l'oxygène aux tissus, son utilité est déterminée en fonction du seuil transfusionnel. Ce point critique, basé sur le taux d'hémoglobine du patient, est généralement compris entre 7 et 10 g/dL (grammes par décilitre) de sang. Mais ces valeurs prêtent à discussion, d'autant que la transfusion n'est pas un geste dénué de risque.
«Les recommandations américaines indiquent qu'une transfusion est nécessaire lorsque le taux d'hémoglobine chute au dessous de 6 ou 7 g/dL et inutile lorsque ce taux est à 10 g/dL. Entre ces deux valeurs, il n'y a pas de consensus», constate le professeur Steven Franck, anesthésiste à l'hôpital Johns Hopkins de Baltimore. En observant les seuils transfusionnels des 2981 patients transfusés dans cet établissement de février 2010 à août 2011, il a pu constater de grandes variations du taux d'hémoglobine limite retenu par les praticiens pour transfuser, celui-ci étant globalement trop élevé.
Un acte médical non dénué de risque
«Depuis 5 ans, les travaux portant sur la transfusion incitent à abaisser le seuil transfusionnel. Une étude récente confrontant des seuils de 7 g/dL et de 10 g/dL chez des patients stables en réanimation a ainsi montré l'absence de différence de survie des patients*. Mais les médecins n'ont vraisemblablement pas encore adapté leur pratique». Selon le chercheur, l'usage excessif de la transfusion est pourtant problématique. «Non seulement le sang est une denrée rare et coûteuse, mais les patients ne se portent pas mieux et même parfois plus mal, lorsque la transfusion est faite prématurément ou inutilement».
L'introduction de sang étranger dans le corps initie une série de réactions immunitaires chez le patient qui développe des anticorps contre les globules rouges importés. Ce mécanisme de défense rend l'obtention d'une compatibilité plus difficile lors d'éventuelles transfusions ultérieures. La transfusion a également un effet suppressif sur le système immunitaire, qui augmente le risque de contracter des maladies opportunistes. Sans compter le risque, rarissime mais pas inexistant, de transmission d'une infection virale ou bactérienne ou encore d'être victime d'une erreur de groupe sanguin.
Des seuils plus hauts en France qu'aux États-Unis
En France, la transfusion sanguine se base sur les recommandations de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM, ex-Afssaps) de 2003. Les seuils transfusionnels y sont globalement plus hauts que leurs homologues américains (7 ou 9 g/dL en fonction de l'âge et de l'état clinique du patient). “Mais comme aux États-Unis, les recommandations n'empêchent pas une variabilité dans les pratiques”, constate le Docteur Lionel Velly, anesthésiste-réanimateur à l'hôpital de la Timone à Marseille.
«Toutefois, l'indication d'une transfusion sanguine en cours d'opération en cas de saignement brutal ne peut se résumer à la question du taux d'hémoglobine. L'hémoglobine n'est pas un reflet très fidèle du saignement actif, car son taux chute avec un certain retard par rapport à la perte sanguine. Ce facteur ne doit pas être pris en compte isolément. La vitesse de saignement, la réaction du patient, et le volume sanguin perdu ont également leur importance», explique le docteur Velly.
Enfin, si le choix ou non d'effectuer une transfusion doit se décider à la lumière des bénéfices et des risques encourus, il importe de rappeler que le risque de survenue de complications liées à la transfusion est inférieur, et de très loin, aux dangers liés à la sous-transfusion ; l'anémie et l'hémorragie restant les principales causes d'arrêt cardiaque au cours d'une opération.
Une étude portant sur les pratiques transfusionnelles des hôpitaux américains pointe un recours trop fréquent à la transfusion, exposant le patient à un risque inutile.
Chaque jour, la transfusion sanguine sauve des milliers de vies. Pratiquée pour pallier un déficit en globules rouges qui apportent l'oxygène aux tissus, son utilité est déterminée en fonction du seuil transfusionnel. Ce point critique, basé sur le taux d'hémoglobine du patient, est généralement compris entre 7 et 10 g/dL (grammes par décilitre) de sang. Mais ces valeurs prêtent à discussion, d'autant que la transfusion n'est pas un geste dénué de risque.
«Les recommandations américaines indiquent qu'une transfusion est nécessaire lorsque le taux d'hémoglobine chute au dessous de 6 ou 7 g/dL et inutile lorsque ce taux est à 10 g/dL. Entre ces deux valeurs, il n'y a pas de consensus», constate le professeur Steven Franck, anesthésiste à l'hôpital Johns Hopkins de Baltimore. En observant les seuils transfusionnels des 2981 patients transfusés dans cet établissement de février 2010 à août 2011, il a pu constater de grandes variations du taux d'hémoglobine limite retenu par les praticiens pour transfuser, celui-ci étant globalement trop élevé.
Un acte médical non dénué de risque
«Depuis 5 ans, les travaux portant sur la transfusion incitent à abaisser le seuil transfusionnel. Une étude récente confrontant des seuils de 7 g/dL et de 10 g/dL chez des patients stables en réanimation a ainsi montré l'absence de différence de survie des patients*. Mais les médecins n'ont vraisemblablement pas encore adapté leur pratique». Selon le chercheur, l'usage excessif de la transfusion est pourtant problématique. «Non seulement le sang est une denrée rare et coûteuse, mais les patients ne se portent pas mieux et même parfois plus mal, lorsque la transfusion est faite prématurément ou inutilement».
L'introduction de sang étranger dans le corps initie une série de réactions immunitaires chez le patient qui développe des anticorps contre les globules rouges importés. Ce mécanisme de défense rend l'obtention d'une compatibilité plus difficile lors d'éventuelles transfusions ultérieures. La transfusion a également un effet suppressif sur le système immunitaire, qui augmente le risque de contracter des maladies opportunistes. Sans compter le risque, rarissime mais pas inexistant, de transmission d'une infection virale ou bactérienne ou encore d'être victime d'une erreur de groupe sanguin.
Des seuils plus hauts en France qu'aux États-Unis
En France, la transfusion sanguine se base sur les recommandations de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM, ex-Afssaps) de 2003. Les seuils transfusionnels y sont globalement plus hauts que leurs homologues américains (7 ou 9 g/dL en fonction de l'âge et de l'état clinique du patient). “Mais comme aux États-Unis, les recommandations n'empêchent pas une variabilité dans les pratiques”, constate le Docteur Lionel Velly, anesthésiste-réanimateur à l'hôpital de la Timone à Marseille.
«Toutefois, l'indication d'une transfusion sanguine en cours d'opération en cas de saignement brutal ne peut se résumer à la question du taux d'hémoglobine. L'hémoglobine n'est pas un reflet très fidèle du saignement actif, car son taux chute avec un certain retard par rapport à la perte sanguine. Ce facteur ne doit pas être pris en compte isolément. La vitesse de saignement, la réaction du patient, et le volume sanguin perdu ont également leur importance», explique le docteur Velly.
Enfin, si le choix ou non d'effectuer une transfusion doit se décider à la lumière des bénéfices et des risques encourus, il importe de rappeler que le risque de survenue de complications liées à la transfusion est inférieur, et de très loin, aux dangers liés à la sous-transfusion ; l'anémie et l'hémorragie restant les principales causes d'arrêt cardiaque au cours d'une opération.
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Re: Actualités 2012
Les cartables lourds provoquent-ils des scolioses ?
AVIS D'EXPERTS - Le professeur Jean Dubousset, spécialiste en orthopédie pédiatrique, vous répond. Ils est membre de l'Académie nationale de médecine.
La scoliose n'est en rien la conséquence mécanique d'un poids plus ou moins asymétrique porté sur le dos, d'une inégalité de longueur des membres inférieurs ou d'autres phénomènes à classer au chapitre des idées reçues. C'est un symptôme qui se traduit par une déviation de la colonne vertébrale dans les trois plans de l'espace avec, en particulier, une torsion axiale qui se révèle par une gibbosité au niveau thoracique ou lombaire.
Dans certains cas, les causes de la scoliose sont connues. C'est parfois une malformation congénitale, acquise avant la naissance, due à une anomalie de la colonne vertébrale survenue très tôt dans la vie embryonnaire par un dérèglement de l'horloge de la segmentation, parfois d'origine génétique, mais le plus souvent acquise. Les vertèbres peuvent aussi présenter des anomalies de structure et se déformer progressivement sous l'influence de facteurs qui peuvent aussi être d'origine génétique. Enfin, des troubles «paralytiques» d'origine neurologique peuvent entraîner un fonctionnement asymétrique des muscles entourant la colonne vertébrale, d'où une déformation des vertèbres et de leur alignement au cours de leur croissance.
Mais la scoliose dont serait responsable le port du cartable, pour être la plus commune, est la scoliose dite idiopathique, celle dont on ignore toujours la cause, malgré de nombreux travaux de recherche dans le monde entier, notamment coordonnés et soutenus par la Fondation Yves-Cotrel de l'Institut de France. Il semble toutefois que, sur un fond de susceptibilité génétique, des mécanismes neuro-hormonaux très subtils déclenchent un phénomène qui va plus ou moins rapidement s'aggraver, en particulier au moment de la puberté et avec une plus grande fréquence chez les filles. Or de telles déformations n'existent pas chez les quadrupèdes, et toutes les tentatives expérimentales pour déclencher une scoliose chez ces animaux, sans toucher directement la colonne vertébrale et les muscles alentour, sont restées vaines. Nous savons donc au moins une chose, c'est que la scoliose est typique de la station debout et donc spécifique à l'espèce humaine.
Dans la grande majorité des cas, les enfants chez qui on découvre ces scolioses «idiopathiques», c'est-à-dire sans cause déterminée, sont parfaitement normaux sur le plan physique et intellectuel. Ce serait donc a priori le fonctionnement interne des systèmes cérébraux automatiques d'équilibration de la station debout, couplés à la croissance de la colonne vertébrale, qui serait déréglé. La scoliose n'a donc rien à voir avec le fait de porter des charges asymétriques, fussent-elles créées par le poids d'un cartable ou d'un sac à dos…
Le bon diagnostic
Mais il faut reconnaître à ces fausses vérités un intérêt majeur: elles entraînent une meilleure surveillance des enfants sur le plan orthopédique, neurologique et radiologique, et incitent à leur faire passer les bons examens par des praticiens compétents. Les parents eux-mêmes ont intérêt, dès que leur enfant est dans les petites classes, à regarder son dos alors qu'il se tient debout, pieds joints, les bras pendant le long du corps ; si le pli de sa taille leur paraît asymétrique ou si, en faisant se pencher l'enfant vers l'avant, les mains jointes entre les deux genoux, et en regardant le dos «à jour frisant», ils constatent une asymétrie même minime entre le côté droit et le côté gauche, il est bon qu'ils en parlent à leur médecin.
Si le diagnostic de scoliose idiopathique est confirmé, le risque évolutif est établi d'après les constatations cliniques, notamment l'état de maturation sexuelle pubertaire, et en fonction des résultats radiologiques. Il est possible d'approcher un pronostic fiable dès la première consultation et le premier cliché 3D. Il convient de rappeler que ces scolioses idiopathiques de l'enfant sont souples et non douloureuses ; dès lors, si l'examen révèle douleurs ou raideur, le diagnostic d'une tumeur osseuse vertébrale ou d'une anomalie nerveuse radiculo-médullaire devra être vérifié par une IRM et entraînera un traitement spécifique.
Le diagnostic de scoliose idiopathique ayant été posé, il débouche alors ou non sur un traitement. Certaines de ces scolioses évoluent en s'aggravant rapidement et exigent un traitement actif, parfois dès la première consultation, avec plâtre et port de corset jusqu'à la fin de la maturation squelettique. Pour d'autres, la chirurgie est la seule issue, même s'il ne s'agit que d'un rattrapage, car, si le montage métallique effectué pour redresser la colonne vertébrale et la greffe osseuse qui l'accompagne enraidissent la portion instrumentée, il reste toujours des zones libres et donc fonctionnellement mobiles.
Suivi régulier
Mais la plupart sont peu ou pas du tout évolutives et ne demandent qu'une surveillance jusqu'à la fin de la croissance. Il est alors permis à ces enfants de mener une vie normale, de faire du sport… et de porter un lourd cartable sur le dos! Toutefois, si les cartables trop lourds n'expliquent pas la scoliose, il vaut mieux éviter qu'ils excèdent 10 % du poids de l'enfant. Or c'est hélas le cas une fois sur deux, ce que la santé au travail n'autoriserait pas pour les adultes…
En tout état de cause, les enfants ayant eu un problème rachidien dans l'enfance, opérés ou non opérés, doivent être régulièrement suivis à l'âge adulte. D'autre part, des scolioses peuvent survenir à l'âge adulte sur un rachis parfaitement sain jusque-là, à cause d'une dégénérescence discale et ligamentaire. Une fois déclenchées, elles s'aggravent presque toujours, de manière plus ou moins importante, du fait du vieillissement.
AVIS D'EXPERTS - Le professeur Jean Dubousset, spécialiste en orthopédie pédiatrique, vous répond. Ils est membre de l'Académie nationale de médecine.
La scoliose n'est en rien la conséquence mécanique d'un poids plus ou moins asymétrique porté sur le dos, d'une inégalité de longueur des membres inférieurs ou d'autres phénomènes à classer au chapitre des idées reçues. C'est un symptôme qui se traduit par une déviation de la colonne vertébrale dans les trois plans de l'espace avec, en particulier, une torsion axiale qui se révèle par une gibbosité au niveau thoracique ou lombaire.
Dans certains cas, les causes de la scoliose sont connues. C'est parfois une malformation congénitale, acquise avant la naissance, due à une anomalie de la colonne vertébrale survenue très tôt dans la vie embryonnaire par un dérèglement de l'horloge de la segmentation, parfois d'origine génétique, mais le plus souvent acquise. Les vertèbres peuvent aussi présenter des anomalies de structure et se déformer progressivement sous l'influence de facteurs qui peuvent aussi être d'origine génétique. Enfin, des troubles «paralytiques» d'origine neurologique peuvent entraîner un fonctionnement asymétrique des muscles entourant la colonne vertébrale, d'où une déformation des vertèbres et de leur alignement au cours de leur croissance.
Mais la scoliose dont serait responsable le port du cartable, pour être la plus commune, est la scoliose dite idiopathique, celle dont on ignore toujours la cause, malgré de nombreux travaux de recherche dans le monde entier, notamment coordonnés et soutenus par la Fondation Yves-Cotrel de l'Institut de France. Il semble toutefois que, sur un fond de susceptibilité génétique, des mécanismes neuro-hormonaux très subtils déclenchent un phénomène qui va plus ou moins rapidement s'aggraver, en particulier au moment de la puberté et avec une plus grande fréquence chez les filles. Or de telles déformations n'existent pas chez les quadrupèdes, et toutes les tentatives expérimentales pour déclencher une scoliose chez ces animaux, sans toucher directement la colonne vertébrale et les muscles alentour, sont restées vaines. Nous savons donc au moins une chose, c'est que la scoliose est typique de la station debout et donc spécifique à l'espèce humaine.
Dans la grande majorité des cas, les enfants chez qui on découvre ces scolioses «idiopathiques», c'est-à-dire sans cause déterminée, sont parfaitement normaux sur le plan physique et intellectuel. Ce serait donc a priori le fonctionnement interne des systèmes cérébraux automatiques d'équilibration de la station debout, couplés à la croissance de la colonne vertébrale, qui serait déréglé. La scoliose n'a donc rien à voir avec le fait de porter des charges asymétriques, fussent-elles créées par le poids d'un cartable ou d'un sac à dos…
Le bon diagnostic
Mais il faut reconnaître à ces fausses vérités un intérêt majeur: elles entraînent une meilleure surveillance des enfants sur le plan orthopédique, neurologique et radiologique, et incitent à leur faire passer les bons examens par des praticiens compétents. Les parents eux-mêmes ont intérêt, dès que leur enfant est dans les petites classes, à regarder son dos alors qu'il se tient debout, pieds joints, les bras pendant le long du corps ; si le pli de sa taille leur paraît asymétrique ou si, en faisant se pencher l'enfant vers l'avant, les mains jointes entre les deux genoux, et en regardant le dos «à jour frisant», ils constatent une asymétrie même minime entre le côté droit et le côté gauche, il est bon qu'ils en parlent à leur médecin.
Si le diagnostic de scoliose idiopathique est confirmé, le risque évolutif est établi d'après les constatations cliniques, notamment l'état de maturation sexuelle pubertaire, et en fonction des résultats radiologiques. Il est possible d'approcher un pronostic fiable dès la première consultation et le premier cliché 3D. Il convient de rappeler que ces scolioses idiopathiques de l'enfant sont souples et non douloureuses ; dès lors, si l'examen révèle douleurs ou raideur, le diagnostic d'une tumeur osseuse vertébrale ou d'une anomalie nerveuse radiculo-médullaire devra être vérifié par une IRM et entraînera un traitement spécifique.
Le diagnostic de scoliose idiopathique ayant été posé, il débouche alors ou non sur un traitement. Certaines de ces scolioses évoluent en s'aggravant rapidement et exigent un traitement actif, parfois dès la première consultation, avec plâtre et port de corset jusqu'à la fin de la maturation squelettique. Pour d'autres, la chirurgie est la seule issue, même s'il ne s'agit que d'un rattrapage, car, si le montage métallique effectué pour redresser la colonne vertébrale et la greffe osseuse qui l'accompagne enraidissent la portion instrumentée, il reste toujours des zones libres et donc fonctionnellement mobiles.
Suivi régulier
Mais la plupart sont peu ou pas du tout évolutives et ne demandent qu'une surveillance jusqu'à la fin de la croissance. Il est alors permis à ces enfants de mener une vie normale, de faire du sport… et de porter un lourd cartable sur le dos! Toutefois, si les cartables trop lourds n'expliquent pas la scoliose, il vaut mieux éviter qu'ils excèdent 10 % du poids de l'enfant. Or c'est hélas le cas une fois sur deux, ce que la santé au travail n'autoriserait pas pour les adultes…
En tout état de cause, les enfants ayant eu un problème rachidien dans l'enfance, opérés ou non opérés, doivent être régulièrement suivis à l'âge adulte. D'autre part, des scolioses peuvent survenir à l'âge adulte sur un rachis parfaitement sain jusque-là, à cause d'une dégénérescence discale et ligamentaire. Une fois déclenchées, elles s'aggravent presque toujours, de manière plus ou moins importante, du fait du vieillissement.
l' Ailge: TP:8.50 CG:13 ORAL:16.50 26 eme sr list comp PRISE 
Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente

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Re: Actualités 2012
Pourquoi ne faut-il pas manger à contretemps ?
AVIS D'EXPERTS - Le professeur Jean-Marie Bourre*, spécialiste en neurotoxicologie et neuro-pharmaco-nutrition, membre de l'Académie nationale de médecine, vous répond.
Manger correctement n'est ni naturel ni instinctif, mais exige d'organiser des circuits de neurones dans le cerveau, à des moments précis, selon une chronologie programmée par les gènes pour «enregistrer» non seulement le nom et le goût des aliments, mais aussi apprendre le plaisir de manger.
À chaque âge de son développement, l'organisme exige une alimentation appropriée dont le défaut peut être difficile à corriger. Le fœtus a besoin des oméga-3 du tissu adipeux de sa mère ; or, il faut du temps pour qu'ils s'y trouvent, c'est pourquoi il ne faut pas attendre d'être enceinte pour en consommer. Il en est de même des folates (vitamine B9), nécessaires pour une efficacité optimale dès la fécondation. On change de squelette trois fois dans une vie, mais le pic de minéralisation est atteint définitivement vers 20 ans ; c'est pourquoi la vitamine D, le calcium, des protéines de qualité et l'exercice physique sont particulièrement indispensables à l'adolescence. Quant aux cellules musculaires et aux neurones, non seulement ils ne se renouvellent pas ou très peu, mais ils peuvent mourir irrémédiablement faute d'une alimentation adéquate.
Le repas sert à satisfaire sa faim jusqu'au rassasiement, suivi de la satiété, tout le contraire du grignotage où l'on n'a jamais faim ni jamais plus faim. Manger trop vite, c'est ne pas laisser le temps au cerveau d'envoyer un signal de rassasiement, ce qui explique qu'un régime minceur, où le repas est expédié parce qu'on se sent coupable de manger, fait grossir! Inversement, manger trop lentement, c'est couper trop tôt l'appétit. Il faut un juste milieu: prendre le temps de mastiquer pour mieux assimiler les nutriments, savourer les arômes des aliments et bien digérer.
Le soir, du poisson
Le cerveau peut travailler plus la nuit que le jour ; donnez-lui assez de glucides, du pain notamment, au dîner pour éviter une hypoglycémie nocturne, certes insensible, mais qui altère la mémorisation en perturbant le stockage des données acquises et en réduisant leur restitution. De même, comme la glande thyroïde sécrète deux fois plus d'iode pendant la nuit, préférez le poisson au repas du soir. Un mauvais sommeil favorise l'obésité, et il faut 20 minutes au réveil avant d'avoir faim: inutile de forcer les enfants à prendre un petit déjeuner au saut du lit! Enfin, la lumière synchronise nos rythmes avec l'environnement via la rétine ; il est donc naturel de prendre le repas de midi à 14 heures, décalage horaire légal oblige…
Il faut prendre les vitamines qui se dissolvent dans l'eau (B et C) tous les jours, à la différence de celles qui se dissolvent dans les lipides (A, D, E et K) et se stockent dans les graisses. On sait aussi depuis peu qu'il y a des protéines lentes et d'autres rapides, qui se complètent pour assurer un bon renouvellement musculaire notamment. C'est pourquoi une personne âgée a intérêt à consommer 70 % de sa ration quotidienne de protéines au déjeuner plutôt que de les répartir sur quatre repas, et les plus jeunes à la fractionner sachant qu'après tout exercice physique, même modéré, la récupération est plus rapide en y ajoutant des glucides.
L'huile de la vinaigrette favorise le passage du bêta-carotène des carottes, mais aussi de la lutéine et la zéaxantine, précieuses pour la rétine. L'huile de colza complète les oméga-3 des sardines. Les acides aminés indispensables doivent être associés, sinon la restriction de l'un induit une réduction de l'utilisation de tous les autres ; c'est pourquoi, dans les plats traditionnels, on rajoute une viande aux légumes. De même, la tradition religieuse qui interdit de consommer du veau en même temps que le lait de sa mère est justifiée biologiquement pour éviter que le fer et le calcium ne s'annihilent mutuellement. C'est aussi pourquoi boire du thé sur de la viande est contre-indiqué, car les polyphénols du thé piègent le fer, ce qui en perturbe gravement la digestion ; enfin, le foie et les fruits de mer ne font pas bon ménage avec les agrumes et les choux, car les vitamines B12 et C s'excluent. Dans le lait, le zinc est mieux capté du fait de la présence simultanée de lactose et de protéines. Les fibres des légumes sont plus efficaces quand elles précèdent celles des fruits, car la satiété dure plus longtemps, évitant le grignotage. La cuisson, c'est le plaisir plus l'efficacité ; l'œuf gobé est une ineptie alimentaire, car il perd alors 51 % de sa valeur nutritionnelle ; cuites et écrasées, les tomates augmentent la biodisponibilité du lycopène, reconnu pour ses effets préventifs du cancer de la prostate.
Des animaux bien nourris
Des poules bien nourries multiplient par vingt la quantité d'oméga-3 de leurs œufs, par deux à quatre celle de diverses vitamines et oligo-éléments. Manger du poisson au moins deux fois par semaine, dont une fois du poisson gras, c'est diviser par deux le risque d'infarctus, jusqu'à cinq celui d'AVC… Sinon, le risque est augmenté d'autant… La plupart des poissons d'élevage contiennent aussi des oméga-3, mais seulement quand ils sont ajoutés à leur nourriture ; quant à la viande, sa valeur nutritionnelle dépend beaucoup de l'alimentation des animaux de boucherie. En tout état de cause, mieux vaut choisir les aliments de saison, fruits et légumes, mais aussi fromages et produits de la pêche. Labellisée ou pas, bio ou pas, notre alimentation engage notre propre développement durable au rythme de la chrono-diététique.
AVIS D'EXPERTS - Le professeur Jean-Marie Bourre*, spécialiste en neurotoxicologie et neuro-pharmaco-nutrition, membre de l'Académie nationale de médecine, vous répond.
Manger correctement n'est ni naturel ni instinctif, mais exige d'organiser des circuits de neurones dans le cerveau, à des moments précis, selon une chronologie programmée par les gènes pour «enregistrer» non seulement le nom et le goût des aliments, mais aussi apprendre le plaisir de manger.
À chaque âge de son développement, l'organisme exige une alimentation appropriée dont le défaut peut être difficile à corriger. Le fœtus a besoin des oméga-3 du tissu adipeux de sa mère ; or, il faut du temps pour qu'ils s'y trouvent, c'est pourquoi il ne faut pas attendre d'être enceinte pour en consommer. Il en est de même des folates (vitamine B9), nécessaires pour une efficacité optimale dès la fécondation. On change de squelette trois fois dans une vie, mais le pic de minéralisation est atteint définitivement vers 20 ans ; c'est pourquoi la vitamine D, le calcium, des protéines de qualité et l'exercice physique sont particulièrement indispensables à l'adolescence. Quant aux cellules musculaires et aux neurones, non seulement ils ne se renouvellent pas ou très peu, mais ils peuvent mourir irrémédiablement faute d'une alimentation adéquate.
Le repas sert à satisfaire sa faim jusqu'au rassasiement, suivi de la satiété, tout le contraire du grignotage où l'on n'a jamais faim ni jamais plus faim. Manger trop vite, c'est ne pas laisser le temps au cerveau d'envoyer un signal de rassasiement, ce qui explique qu'un régime minceur, où le repas est expédié parce qu'on se sent coupable de manger, fait grossir! Inversement, manger trop lentement, c'est couper trop tôt l'appétit. Il faut un juste milieu: prendre le temps de mastiquer pour mieux assimiler les nutriments, savourer les arômes des aliments et bien digérer.
Le soir, du poisson
Le cerveau peut travailler plus la nuit que le jour ; donnez-lui assez de glucides, du pain notamment, au dîner pour éviter une hypoglycémie nocturne, certes insensible, mais qui altère la mémorisation en perturbant le stockage des données acquises et en réduisant leur restitution. De même, comme la glande thyroïde sécrète deux fois plus d'iode pendant la nuit, préférez le poisson au repas du soir. Un mauvais sommeil favorise l'obésité, et il faut 20 minutes au réveil avant d'avoir faim: inutile de forcer les enfants à prendre un petit déjeuner au saut du lit! Enfin, la lumière synchronise nos rythmes avec l'environnement via la rétine ; il est donc naturel de prendre le repas de midi à 14 heures, décalage horaire légal oblige…
Il faut prendre les vitamines qui se dissolvent dans l'eau (B et C) tous les jours, à la différence de celles qui se dissolvent dans les lipides (A, D, E et K) et se stockent dans les graisses. On sait aussi depuis peu qu'il y a des protéines lentes et d'autres rapides, qui se complètent pour assurer un bon renouvellement musculaire notamment. C'est pourquoi une personne âgée a intérêt à consommer 70 % de sa ration quotidienne de protéines au déjeuner plutôt que de les répartir sur quatre repas, et les plus jeunes à la fractionner sachant qu'après tout exercice physique, même modéré, la récupération est plus rapide en y ajoutant des glucides.
L'huile de la vinaigrette favorise le passage du bêta-carotène des carottes, mais aussi de la lutéine et la zéaxantine, précieuses pour la rétine. L'huile de colza complète les oméga-3 des sardines. Les acides aminés indispensables doivent être associés, sinon la restriction de l'un induit une réduction de l'utilisation de tous les autres ; c'est pourquoi, dans les plats traditionnels, on rajoute une viande aux légumes. De même, la tradition religieuse qui interdit de consommer du veau en même temps que le lait de sa mère est justifiée biologiquement pour éviter que le fer et le calcium ne s'annihilent mutuellement. C'est aussi pourquoi boire du thé sur de la viande est contre-indiqué, car les polyphénols du thé piègent le fer, ce qui en perturbe gravement la digestion ; enfin, le foie et les fruits de mer ne font pas bon ménage avec les agrumes et les choux, car les vitamines B12 et C s'excluent. Dans le lait, le zinc est mieux capté du fait de la présence simultanée de lactose et de protéines. Les fibres des légumes sont plus efficaces quand elles précèdent celles des fruits, car la satiété dure plus longtemps, évitant le grignotage. La cuisson, c'est le plaisir plus l'efficacité ; l'œuf gobé est une ineptie alimentaire, car il perd alors 51 % de sa valeur nutritionnelle ; cuites et écrasées, les tomates augmentent la biodisponibilité du lycopène, reconnu pour ses effets préventifs du cancer de la prostate.
Des animaux bien nourris
Des poules bien nourries multiplient par vingt la quantité d'oméga-3 de leurs œufs, par deux à quatre celle de diverses vitamines et oligo-éléments. Manger du poisson au moins deux fois par semaine, dont une fois du poisson gras, c'est diviser par deux le risque d'infarctus, jusqu'à cinq celui d'AVC… Sinon, le risque est augmenté d'autant… La plupart des poissons d'élevage contiennent aussi des oméga-3, mais seulement quand ils sont ajoutés à leur nourriture ; quant à la viande, sa valeur nutritionnelle dépend beaucoup de l'alimentation des animaux de boucherie. En tout état de cause, mieux vaut choisir les aliments de saison, fruits et légumes, mais aussi fromages et produits de la pêche. Labellisée ou pas, bio ou pas, notre alimentation engage notre propre développement durable au rythme de la chrono-diététique.
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Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
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Re: Actualités 2012
Des patchs contre les allergies
Une start-up française espère commercialiser d'ici 2016 un patch pour lutter contre les allergies alimentaires, qui jusque là ne bénéficient d'aucun traitement de routine.
En France, 5 % des enfants et 2 % des adultes souffrent d'allergies alimentaires qui provoquent chaque année des dizaines d'hospitalisations pour choc anaphylactique, sans qu'aucun traitement n'ait encore vu le jour. Cette réaction brutale à l'ingestion de l'allergène se traduit par une chute brutale de la tension artérielle qui peut mettre en danger les organes vitaux du patient, jusqu'à entraîner sa mort.
L'immunothérapie, unique traitement de fond reconnu par l'Organisation mondiale de la santé dans l'allergie, n'est pas indiquée dans les causes alimentaires. La méthode qui consiste à administrer de manière répétée par voie orale ou sous-cutanée de petites quantités d'allergènes pour diminuer la sensibilité des patients est utilisée couramment avec les pollens mais elle reste limitée à des travaux expérimentaux pour les aliments, en raison d'un risque trop important de chocs anaphylactiques.
Rendre l'organisme moins sensible
Face à cette impossibilité de traiter les allergies alimentaires par des injections ou des médicaments à prise orale, les pédiatres français Pierre-Henri Benhamou et Christophe Dupont ont décidé en 2002 de mener des travaux sur une troisième voie: la voie cutanée. Via leur start-up DBV Technologies, ils ont développé le patch Viaskin qui contient des allergènes sous forme de poudre sèche et se pose quotidiennement sur la peau saine.
Une fois le patch collé, les allergènes entrent en contact avec les cellules de la couche supérieure de la peau. Ils sont alors capturés et transportés par des cellules spécifiques dites de Langerhans jusqu'aux ganglions lymphatiques qui stimulent la production de cellules, rendant peu à peu l'organisme moins sensible aux allergènes.
«L'idée d'utiliser la voie épicutanée n'est pas nouvelle, explique le professeur Dupont. A la fin des années 50, des chercheurs français ont tenté de traiter des patients en pratiquant des scarifications de la peau pour y introduire un allergène. Mais l'expérience s'est avérée trop dangereuse. Avec le patch, la peau n'est pas entaillée, ce qui supprime tout passage de l'allergène dans le sang, responsable des chocs anaphylactiques».
Aucune réaction grave n'a été déplorée lors de l'étude effectuée en France en 2010 sur des enfants allergiques au lait de vache (1) et des travaux financés par le National Institute of Health sont actuellement menés aux États-Unis, pour confirmer cette innocuité dans le cas de l'arachide.
Des débouchés prometteurs
Bien que les résultats soient encourageants, le projet de consommer une poignée de cacahuètes ou un verre de lait à peine le patch collé au bras relève du fantasme, prévient le pédiatre. «L'immunothérapie, qu'elle qu'en soit la voie, est un processus long. Il faut un à trois ans pour obtenir une baisse significative et durable de la sensibilité. De plus, il est trop tôt pour dire si ce traitement permettra d'induire une tolérance totale à l'arachide ou au lait chez certains patients. Le but est avant tout d'induire une désensibilisation, c'est-à-dire une diminution de la sensibilité suffisante pour éviter les réactions sévères en cas de contact accidentel avec l'allergène».
La société espère commercialiser ses patchs à l'arachide et au lait de vache dès 2016 et développe à présent un patch anti-acarien, tandis qu'une équipe Suisse travaille de son côté sur un patch anti-pollen. «Théoriquement, la technique fonctionne pour n'importe quel allergène», explique Christophe Dupont. Ce qui promet des débouchés plus qu'attractifs d'un point de vue médical mais également économique. Au total, les trois allergies sur lesquelles DBV Technologies se focalise représenteraient un potentiel commercial de plus de 5 milliards de dollars, selon la start-up.
Une start-up française espère commercialiser d'ici 2016 un patch pour lutter contre les allergies alimentaires, qui jusque là ne bénéficient d'aucun traitement de routine.
En France, 5 % des enfants et 2 % des adultes souffrent d'allergies alimentaires qui provoquent chaque année des dizaines d'hospitalisations pour choc anaphylactique, sans qu'aucun traitement n'ait encore vu le jour. Cette réaction brutale à l'ingestion de l'allergène se traduit par une chute brutale de la tension artérielle qui peut mettre en danger les organes vitaux du patient, jusqu'à entraîner sa mort.
L'immunothérapie, unique traitement de fond reconnu par l'Organisation mondiale de la santé dans l'allergie, n'est pas indiquée dans les causes alimentaires. La méthode qui consiste à administrer de manière répétée par voie orale ou sous-cutanée de petites quantités d'allergènes pour diminuer la sensibilité des patients est utilisée couramment avec les pollens mais elle reste limitée à des travaux expérimentaux pour les aliments, en raison d'un risque trop important de chocs anaphylactiques.
Rendre l'organisme moins sensible
Face à cette impossibilité de traiter les allergies alimentaires par des injections ou des médicaments à prise orale, les pédiatres français Pierre-Henri Benhamou et Christophe Dupont ont décidé en 2002 de mener des travaux sur une troisième voie: la voie cutanée. Via leur start-up DBV Technologies, ils ont développé le patch Viaskin qui contient des allergènes sous forme de poudre sèche et se pose quotidiennement sur la peau saine.
Une fois le patch collé, les allergènes entrent en contact avec les cellules de la couche supérieure de la peau. Ils sont alors capturés et transportés par des cellules spécifiques dites de Langerhans jusqu'aux ganglions lymphatiques qui stimulent la production de cellules, rendant peu à peu l'organisme moins sensible aux allergènes.
«L'idée d'utiliser la voie épicutanée n'est pas nouvelle, explique le professeur Dupont. A la fin des années 50, des chercheurs français ont tenté de traiter des patients en pratiquant des scarifications de la peau pour y introduire un allergène. Mais l'expérience s'est avérée trop dangereuse. Avec le patch, la peau n'est pas entaillée, ce qui supprime tout passage de l'allergène dans le sang, responsable des chocs anaphylactiques».
Aucune réaction grave n'a été déplorée lors de l'étude effectuée en France en 2010 sur des enfants allergiques au lait de vache (1) et des travaux financés par le National Institute of Health sont actuellement menés aux États-Unis, pour confirmer cette innocuité dans le cas de l'arachide.
Des débouchés prometteurs
Bien que les résultats soient encourageants, le projet de consommer une poignée de cacahuètes ou un verre de lait à peine le patch collé au bras relève du fantasme, prévient le pédiatre. «L'immunothérapie, qu'elle qu'en soit la voie, est un processus long. Il faut un à trois ans pour obtenir une baisse significative et durable de la sensibilité. De plus, il est trop tôt pour dire si ce traitement permettra d'induire une tolérance totale à l'arachide ou au lait chez certains patients. Le but est avant tout d'induire une désensibilisation, c'est-à-dire une diminution de la sensibilité suffisante pour éviter les réactions sévères en cas de contact accidentel avec l'allergène».
La société espère commercialiser ses patchs à l'arachide et au lait de vache dès 2016 et développe à présent un patch anti-acarien, tandis qu'une équipe Suisse travaille de son côté sur un patch anti-pollen. «Théoriquement, la technique fonctionne pour n'importe quel allergène», explique Christophe Dupont. Ce qui promet des débouchés plus qu'attractifs d'un point de vue médical mais également économique. Au total, les trois allergies sur lesquelles DBV Technologies se focalise représenteraient un potentiel commercial de plus de 5 milliards de dollars, selon la start-up.
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Re: Actualités 2012
Plongée dans la "tribu" anti-alcool du Baclofène
Contre l'envie de boire, des dizaines de milliers de Français consomment ce médicament dont les effets semblent spectaculaires. Une communauté de patients, solidaire et organisée, alors que le traitement n'est toujours pas reconnu officiellement.
Caroline n'en revient toujours pas. Elle a commencé le baclofène il y a trente-cinq jours, et, malgré un "premier week-end d'horreur", elle a l'impression aujourd'hui d'être "libérée de l'alcool". Un fond de bourgogne aligoté "dort toujours dans le frigo" de son appartement et, à sa dernière fiesta, elle n'a même pas fini sa coupe de champagne. Chargée de communication, 46 ans, un goût pour le vin "festif et culturel", comme beaucoup de Français, Catherine a plongé après une séparation conjugale et des soucis au boulot. Le vin blanc et la vodka sont devenus ses béquilles. Jusqu'à cette réflexion d'un ami: "Tu sens l'alcool."
Un décontractant musculaire contre la sclérose en plaques
La phrase a fait tilt. Caroline a tout fait pour reprendre le dessus, découvert l'existence du baclofène et lu avec curiosité le livre du Dr Olivier Amaisen, Le Dernier Verre (éd. Denoël), dans lequel ce cardiologue, lui-même alcoolique, raconte comment il a découvert par hasard les vertus de ce décontractant musculaire et la façon dont il a guéri sa dépendance. Ce médicament, utilisé notamment dans la sclérose en plaques depuis 1975, diminuerait de façon spectaculaire le craving - un mot anglo-saxon désignant l'envie irrépressible de boire. Depuis sa parution, en 2008, le récit du docteur Amaisen s'est vendu à 40 000 exemplaires. Plus de 30 000 Français - du post-ado au sexagénaire, du PDG à l'ouvrier - auraient expérimenté le baclofène hors des recommandations officielles, malgré la réticence affichée de certains addictologues devant l'absence d'études de grande ampleur sur le produit dans son utilisation détournée. Même si, le 25 avril dernier, l'Agence française de sécurité sanitaire et des produits de santé (Afssaps) a mentionné, pour la première fois, "des effets bénéfiques chez certains patients".
>> Lire le portrait du Dr Olivier Amaisen
Des dizaines de sites, dont Aubes, créé en 2010
Caroline, elle, en est encore à la phase d'expérimentation. Trois comprimés (30 mg) matin, midi et soir la première semaine, le double celle d'après, 120 mg ensuite... Jusqu'où devra-t-elle monter? Elle l'ignore, car le mode d'action du "baclo", comme disent ceux qui y ont recours, demeure mystérieux. Pas de règles; pas de données, donc, sur son action - les pouvoirs publics viennent à peine de lancer une étude de grande ampleur. Juste des posologies au cas par cas, et sans qu'elles aient un lien direct avec la quantité d'alcool ingérée: "A consommation égale, j'ai déjà donné 30 comprimés par jour à une femme fluette et 6 à un costaud, pour des résultats identiques", témoigne un médecin prescripteur.
N'empêche: les résultats semblent tellement probants que les volontaires se bousculent. Sylvie Imbert a fait le voyage en Espagne pour se procurer du baclofène, avant de lancer l'an dernier une pétition en ligne en faveur de sa prescription. D'autres passent par leur généraliste ou des services spécialisés dans le traitement de l'alcoolisme. Depuis 2010, une dizaine de sites ont essaimé sur la Toile, où les internautes se repassent des informations, des conseils, des encouragements, et les adresses des médecins acceptant de signer l'ordonnance. "Je peux repousser ma dernière prise de 20 heures à 20h30?" demande Olivier. "C'est quoi, le principe de la dose de confort?" interroge Claire. Yann confesse qu'il a "craqué et achevé une bouteille de vodka". Arthur, lui, cherche "un médecin près de Bordeaux pour ne pas avoir à passer par Internet et s'auto-médiquer". Certains s'inquiètent des risques à long terme, mais veulent continuer. Car, comme le dit Pierre, "la dépendance, il vaut mieux l'avoir avec trois petits comprimés qu'avec dix verres par jour".
"La dépendance, il vaut mieux l'avoir avec trois petits comprimés qu'avec dix verres par jour."
"La dépendance, il vaut mieux l'avoir avec trois petits comprimés qu'avec dix verres par jour."
D. Meyer/AFP
Créé en janvier 2010, Aubes (Association des utilisateurs de baclofène et sympathisants), le plus ancien des "sites baclo", le plus sérieux aussi, est consulté par près de 2000 personnes chaque jour. Ce réseau, partenaire officiel des essais cliniques et qui tiendra un colloque à Paris le 12 mai, ne ressemble à aucun autre du genre. Sur sa plateforme, qui s'adresse aussi bien aux médecins - avec un code d'accès personnel - qu'aux patients et à leur entourage, les usagers confrontent leurs expériences, sans crainte d'être jugés. Y compris quand une rechute survient. Contrairement aux associations classiques telles que les Alcooliques anonymes, les participants ne prônent pas l'abstinence, puisque le baclofène n'est pas incompatible avec une consommation modérée d'alcool. C'est la grande particularité du médicament. Résultat: qui s'en est sorti reste en contact. Qui échoue a droit à une seconde chance. Tristan, 31 ans, annonce qu'il arrête le baclo, découragé par ses effets secondaires (migraine, gêne sexuelle, douleurs abdominales)? Les messages de soutien affluent... "Bonne chance, plein de bonnes choses pour toi et viens nous tenir au courant de temps en temps", écrit Marie.
"On sait de quoi on parle puisqu'on est passés par là", glisse "Smooch", salariée du site. Pas question pour elle de "jouer au médecin" ni de donner d'avis sur les interactions avec d'autres médicaments: des spécialistes sont là pour ça, qui basculent sur l'espace "message personnel" en cas de discussion individuelle. Et si l'un des premiers effets du baclofène, au-delà de cette étonnante solidarité créée entre les usagers, était de les décomplexer? "Durant nos études, on nous disait que les alcooliques étaient compliqués, menteurs, décevants - quand on ne les présentait pas comme des minables, commente le Dr Bernard Joussaume, l'un des fondateurs de l'association Aubes et grand prescripteur de baclo (150 patients actuellement). Mais, à l'inverse des toxicos qui râlent et revendiquent, les alcoolos, eux, se cachent. Il faut changer cela."
Contre l'envie de boire, des dizaines de milliers de Français consomment ce médicament dont les effets semblent spectaculaires. Une communauté de patients, solidaire et organisée, alors que le traitement n'est toujours pas reconnu officiellement.
Caroline n'en revient toujours pas. Elle a commencé le baclofène il y a trente-cinq jours, et, malgré un "premier week-end d'horreur", elle a l'impression aujourd'hui d'être "libérée de l'alcool". Un fond de bourgogne aligoté "dort toujours dans le frigo" de son appartement et, à sa dernière fiesta, elle n'a même pas fini sa coupe de champagne. Chargée de communication, 46 ans, un goût pour le vin "festif et culturel", comme beaucoup de Français, Catherine a plongé après une séparation conjugale et des soucis au boulot. Le vin blanc et la vodka sont devenus ses béquilles. Jusqu'à cette réflexion d'un ami: "Tu sens l'alcool."
Un décontractant musculaire contre la sclérose en plaques
La phrase a fait tilt. Caroline a tout fait pour reprendre le dessus, découvert l'existence du baclofène et lu avec curiosité le livre du Dr Olivier Amaisen, Le Dernier Verre (éd. Denoël), dans lequel ce cardiologue, lui-même alcoolique, raconte comment il a découvert par hasard les vertus de ce décontractant musculaire et la façon dont il a guéri sa dépendance. Ce médicament, utilisé notamment dans la sclérose en plaques depuis 1975, diminuerait de façon spectaculaire le craving - un mot anglo-saxon désignant l'envie irrépressible de boire. Depuis sa parution, en 2008, le récit du docteur Amaisen s'est vendu à 40 000 exemplaires. Plus de 30 000 Français - du post-ado au sexagénaire, du PDG à l'ouvrier - auraient expérimenté le baclofène hors des recommandations officielles, malgré la réticence affichée de certains addictologues devant l'absence d'études de grande ampleur sur le produit dans son utilisation détournée. Même si, le 25 avril dernier, l'Agence française de sécurité sanitaire et des produits de santé (Afssaps) a mentionné, pour la première fois, "des effets bénéfiques chez certains patients".
>> Lire le portrait du Dr Olivier Amaisen
Des dizaines de sites, dont Aubes, créé en 2010
Caroline, elle, en est encore à la phase d'expérimentation. Trois comprimés (30 mg) matin, midi et soir la première semaine, le double celle d'après, 120 mg ensuite... Jusqu'où devra-t-elle monter? Elle l'ignore, car le mode d'action du "baclo", comme disent ceux qui y ont recours, demeure mystérieux. Pas de règles; pas de données, donc, sur son action - les pouvoirs publics viennent à peine de lancer une étude de grande ampleur. Juste des posologies au cas par cas, et sans qu'elles aient un lien direct avec la quantité d'alcool ingérée: "A consommation égale, j'ai déjà donné 30 comprimés par jour à une femme fluette et 6 à un costaud, pour des résultats identiques", témoigne un médecin prescripteur.
N'empêche: les résultats semblent tellement probants que les volontaires se bousculent. Sylvie Imbert a fait le voyage en Espagne pour se procurer du baclofène, avant de lancer l'an dernier une pétition en ligne en faveur de sa prescription. D'autres passent par leur généraliste ou des services spécialisés dans le traitement de l'alcoolisme. Depuis 2010, une dizaine de sites ont essaimé sur la Toile, où les internautes se repassent des informations, des conseils, des encouragements, et les adresses des médecins acceptant de signer l'ordonnance. "Je peux repousser ma dernière prise de 20 heures à 20h30?" demande Olivier. "C'est quoi, le principe de la dose de confort?" interroge Claire. Yann confesse qu'il a "craqué et achevé une bouteille de vodka". Arthur, lui, cherche "un médecin près de Bordeaux pour ne pas avoir à passer par Internet et s'auto-médiquer". Certains s'inquiètent des risques à long terme, mais veulent continuer. Car, comme le dit Pierre, "la dépendance, il vaut mieux l'avoir avec trois petits comprimés qu'avec dix verres par jour".
"La dépendance, il vaut mieux l'avoir avec trois petits comprimés qu'avec dix verres par jour."
"La dépendance, il vaut mieux l'avoir avec trois petits comprimés qu'avec dix verres par jour."
D. Meyer/AFP
Créé en janvier 2010, Aubes (Association des utilisateurs de baclofène et sympathisants), le plus ancien des "sites baclo", le plus sérieux aussi, est consulté par près de 2000 personnes chaque jour. Ce réseau, partenaire officiel des essais cliniques et qui tiendra un colloque à Paris le 12 mai, ne ressemble à aucun autre du genre. Sur sa plateforme, qui s'adresse aussi bien aux médecins - avec un code d'accès personnel - qu'aux patients et à leur entourage, les usagers confrontent leurs expériences, sans crainte d'être jugés. Y compris quand une rechute survient. Contrairement aux associations classiques telles que les Alcooliques anonymes, les participants ne prônent pas l'abstinence, puisque le baclofène n'est pas incompatible avec une consommation modérée d'alcool. C'est la grande particularité du médicament. Résultat: qui s'en est sorti reste en contact. Qui échoue a droit à une seconde chance. Tristan, 31 ans, annonce qu'il arrête le baclo, découragé par ses effets secondaires (migraine, gêne sexuelle, douleurs abdominales)? Les messages de soutien affluent... "Bonne chance, plein de bonnes choses pour toi et viens nous tenir au courant de temps en temps", écrit Marie.
"On sait de quoi on parle puisqu'on est passés par là", glisse "Smooch", salariée du site. Pas question pour elle de "jouer au médecin" ni de donner d'avis sur les interactions avec d'autres médicaments: des spécialistes sont là pour ça, qui basculent sur l'espace "message personnel" en cas de discussion individuelle. Et si l'un des premiers effets du baclofène, au-delà de cette étonnante solidarité créée entre les usagers, était de les décomplexer? "Durant nos études, on nous disait que les alcooliques étaient compliqués, menteurs, décevants - quand on ne les présentait pas comme des minables, commente le Dr Bernard Joussaume, l'un des fondateurs de l'association Aubes et grand prescripteur de baclo (150 patients actuellement). Mais, à l'inverse des toxicos qui râlent et revendiquent, les alcoolos, eux, se cachent. Il faut changer cela."
l' Ailge: TP:8.50 CG:13 ORAL:16.50 26 eme sr list comp PRISE 
Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente

Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Boni24 a écrit :Donc je viens de vérifier dans mon cours de prépa, protocole de Kyoto :
" Le protocole de Kyoto vise à réduire les émissions de gaz à effet de serre de 5.2% d'ici 2012 (par rapport à celle de 1990) est entrée en vigueur en février 2005."
J'espère qu'il n'est pas faux mon cours !
Autant pour moi alors, mais je croyais qu'il y avait eu une dernière conférence en 2007.
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Après ce n'est pas très important les dates des conférences du moment que t'y fais referenceDreamers a écrit :Boni24 a écrit :Donc je viens de vérifier dans mon cours de prépa, protocole de Kyoto :
" Le protocole de Kyoto vise à réduire les émissions de gaz à effet de serre de 5.2% d'ici 2012 (par rapport à celle de 1990) est entrée en vigueur en février 2005."
J'espère qu'il n'est pas faux mon cours !
Autant pour moi alors, mais je croyais qu'il y avait eu une dernière conférence en 2007.
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Boni24 a écrit :Alors déjà tu assuzy47 a écrit : Connaissez vous des pollutions qui ont des incidences sur la santé publique?
La pollution désigne la dégradation d'un écosystème par l'intégration généralement humaine directement ou indirectement de produits chimiques ,de radiations ou autres . Récemment des scientifiques ont démontrés que la pollution de l'air , de l'eau , des sols avait un impact important sur la santé des êtres humains ? La france en a fait un problème de santé publique . Nous allons voir dans un primer temps les différentes pollutions qui ont un impact néfaste sur la santé , puis les moyens de préventions mis en place .
1°) POLLUTIONS
*Pollution de l'air (dioxide de carbone , de souffre ,d'azote rejeté dans l'air par les industries , les véhicules etc ...) :
-Affection respiratoire , asthme
-problèmes cardiaques
-irritation oculaire
-dégradation des défenses immunitaires
*Pollution de l'eau (14 000 décès par jour , du au mauvais traitement des eaux usées , rejets d'engrais , de pesticide , rejets de produits chimiques des industries ) :
- thyphoïde , choléra
-gale
-maladies reinales , digestives
-dégradation de la flore et contamination de la faune
*Pollution des sols (mauvais e élimination des déchets , infiltrations de produits chimiques , engrais , pesticides)
- contamination de la faune et d ela flore
-problèmes cardiaques
- maladie digestive
*Pollution sonore
- perte d'audition
-stress
-hypertension
-troubles du sommeil
2°) PREVENTION
JE CONNAIS PAS LES LOISSI QUELQU'UN PEUT M'AIDER
![]()
- accelerer la réduction et l'élimination des polluants
-privilégier les énergies renouvelables non polluantes
-controler les rejets des industries
-sensibiliser la population
je sais pas trop quoi mettre dans cette partie
En tant que professionnelle de santé , nous avons un rôle de prévetio et d'information auprès des résidents , des patients . Pfffffff je sais pas quoi mettre non plus là
VOS IDÉES SONT LES BIEN VENUES
- le protocole de kyoto 2005 pour les gaz à effet de serre
Et après je reprends mon cours :
- loi sur l'air et sur l'utilisation de l'énergie 1996 : proclame le droit pr tous de respirer un air non nocif et à être informé sur la qualité de l'air
- loi sur la santé publique de 2004 : élaboration ts les 5 ans d'un plan national de prévention des risques liés à l'environnement
- le Grenelle de l'environnement 2007 qui encourage l'achat de voitures propres. Taxes + les pollutions notamment les énergies fossiles
- loi sur l'eau et les milieux aquatiques 2006 objectif : bon état de toutes les eaux d'ici 2015
- loi sur le bruit de 1992 : réglementations comme isolation des bâtiments, protection des habitants à proximité des aéroports, interdiction de fabriquer ou vendre objet produisant des nuisances sonores élevées
Voilà yen a d'autres mais c'est déjà pas mal je pense !
J'espère t'avoir aidé
-
Merci beaucoup nouas avons pas eu le temps de faire le cours sur l'environnement

Marmande : 19 LC avec CG : 8,5 , TP : 13 , Oral : 17,75
Villeneuve Sur Lot : recalé :-/
Agen : 4 éme LP avec CG : 15 , TP : 12,5 , Oral : 19
Villeneuve Sur Lot : recalé :-/
Agen : 4 éme LP avec CG : 15 , TP : 12,5 , Oral : 19
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Coucou j'ai vu que certains d'entre vous faisaient des plans du types grand 1 , grand 2 , grand 3 et conclusion .... On peut faire ça ? Ma question va vous sembler bête mais on nous a toujours expliqué intro 1ere partie 2ème partie et conclusion ...
Marmande : 19 LC avec CG : 8,5 , TP : 13 , Oral : 17,75
Villeneuve Sur Lot : recalé :-/
Agen : 4 éme LP avec CG : 15 , TP : 12,5 , Oral : 19
Villeneuve Sur Lot : recalé :-/
Agen : 4 éme LP avec CG : 15 , TP : 12,5 , Oral : 19
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Les enfants de don quichotte se battent pour des logements argumentez?
La crise du logement est une évidence en France , l'incendie récent d'un immeuble vétuste causant la mort d'une dizaine de personnes ne démontre pas le contraire . Immigrés , squatteurs , SDF , adultes et enfants , tout autant de personnes qui périssent dans ces incendies trop fréquents . Ces drames posent une nouvelle fois les problèmes de pénurie de logement dans notre pays et témoignent de la difficulté des familles et des Français en situation de précarité à trouver un logement . Les enfants de Don Quichotte afin de démontrer la précarité et la pauvreté dans laquelle vivent les SDF ont menés plusieurs actions comme de planter un village de tente sur le bord du canal Saint Martin . Alors que le nombre de construction augmente chaque année il faut se demander pourquoi la France fait face à cette crise du logement et comment y remédier .
1°) Pourquoi ?
- Crise économique
- Perte d'emploi , revenus insuffisants pour subvenir au loyer
- chômage donc impossibilité d'accès au logement
- Loyer et immobilier trop élever du à la crise
- Logements sociaux insuffisants par rapport aux nombres de demandeurs , à paris 100 000 demandeurs en situation urgente liste d'attente d'environ 8 ans
- Nombres de places dans les foyers insuffisants , manque de subvention ...
-
Cependant les politiques en ont fait une cause nationale durant leur campagne électorale .
2°) Comment ?
- Rénovation des logements , squats , laissés en l'état ,beaucoup d'immeubles désaffectés sont tout autant de logement possible
- étendre les possibilités de prêts pour faciliter l’accession à la propriété-
-instaurer un bouclier logement, pour garantir que les ménages ne consacrent pas plus de 25 % de leurs revenus au logement-déblocage de subventions pour proposer des places dans les foyers
-moduler les loyers dans les parcs HLM en fonction des revenus des ménages
-surtaxer les logements inoccupés
-simplifier et stabiliser les législations et les règlements
-construire en masse des logements sociaux, particulièrement dans les communes où la loi SRU n’est pas respectée (loi SRU : Juillet 2008 :obliger les collectivités à construire plus de logements , favoriser l'accès au HLM ,lutter contre l'habitat indigne sous peine de sanctions .)
Pour résoudre la crise et la pénurie du logement en France, il s’agit de prendre des mesures fortes afin de favoriser le développement d'une offre d'habitat adaptée aux besoins et aux possibilités des français.Certaines de ces mesures ont été appliquées, mais la flambée des prix de l'immobilier, qui rend le logement inaccessible même pour les revenus moyens, offre peu de solutions à court terme.
Une baisse des prix des loyers, des terrains et des maisons à l'achat apparait indispensable pour envisager une issue à cette crise.
La crise du logement est une évidence en France , l'incendie récent d'un immeuble vétuste causant la mort d'une dizaine de personnes ne démontre pas le contraire . Immigrés , squatteurs , SDF , adultes et enfants , tout autant de personnes qui périssent dans ces incendies trop fréquents . Ces drames posent une nouvelle fois les problèmes de pénurie de logement dans notre pays et témoignent de la difficulté des familles et des Français en situation de précarité à trouver un logement . Les enfants de Don Quichotte afin de démontrer la précarité et la pauvreté dans laquelle vivent les SDF ont menés plusieurs actions comme de planter un village de tente sur le bord du canal Saint Martin . Alors que le nombre de construction augmente chaque année il faut se demander pourquoi la France fait face à cette crise du logement et comment y remédier .
1°) Pourquoi ?
- Crise économique
- Perte d'emploi , revenus insuffisants pour subvenir au loyer
- chômage donc impossibilité d'accès au logement
- Loyer et immobilier trop élever du à la crise
- Logements sociaux insuffisants par rapport aux nombres de demandeurs , à paris 100 000 demandeurs en situation urgente liste d'attente d'environ 8 ans
- Nombres de places dans les foyers insuffisants , manque de subvention ...
-
Cependant les politiques en ont fait une cause nationale durant leur campagne électorale .
2°) Comment ?
- Rénovation des logements , squats , laissés en l'état ,beaucoup d'immeubles désaffectés sont tout autant de logement possible
- étendre les possibilités de prêts pour faciliter l’accession à la propriété-
-instaurer un bouclier logement, pour garantir que les ménages ne consacrent pas plus de 25 % de leurs revenus au logement-déblocage de subventions pour proposer des places dans les foyers
-moduler les loyers dans les parcs HLM en fonction des revenus des ménages
-surtaxer les logements inoccupés
-simplifier et stabiliser les législations et les règlements
-construire en masse des logements sociaux, particulièrement dans les communes où la loi SRU n’est pas respectée (loi SRU : Juillet 2008 :obliger les collectivités à construire plus de logements , favoriser l'accès au HLM ,lutter contre l'habitat indigne sous peine de sanctions .)
Pour résoudre la crise et la pénurie du logement en France, il s’agit de prendre des mesures fortes afin de favoriser le développement d'une offre d'habitat adaptée aux besoins et aux possibilités des français.Certaines de ces mesures ont été appliquées, mais la flambée des prix de l'immobilier, qui rend le logement inaccessible même pour les revenus moyens, offre peu de solutions à court terme.
Une baisse des prix des loyers, des terrains et des maisons à l'achat apparait indispensable pour envisager une issue à cette crise.
Marmande : 19 LC avec CG : 8,5 , TP : 13 , Oral : 17,75
Villeneuve Sur Lot : recalé :-/
Agen : 4 éme LP avec CG : 15 , TP : 12,5 , Oral : 19
Villeneuve Sur Lot : recalé :-/
Agen : 4 éme LP avec CG : 15 , TP : 12,5 , Oral : 19