Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
- aneso81
- Insatiable
- Messages : 624
- Inscription : 10 juil. 2007 14:10
- Localisation : Dans les nuages!!!xD
Fièvre aphteuse
Fièvre aphteuse: décision d'abattage dans une troisième ferme anglaise
AFP - il y a 1 heure 10 minutesLONDRES (AFP) - Des animaux d'une troisième ferme du Surrey, dans le sud-est de l'Angleterre, proche de celles où des foyers de fièvre aphteuse ont été récemment confirmés, vont être abattus à titre de précaution, a annoncé samedi le ministère britannique de l'Environnement.
Des porcs vont être abattus en raison de suspicions de contamination, a précisé le ministère de l'Environnement, de l'Alimentation et des Affaires rurales (Defra).
Des analyses sont en cours afin de déterminer s'il s'agit de fièvre aphteuse, a précisé Defra, sans être en mesure de dire quand les résultats de ces tests seront disponibles. Un examen vétérinaire a été pratiqué sur les anmiaux mais il n'a pas donné de résultat, selon le ministère.
Defra a ajouté que le centre d'élevage est situé "dans le voisinage immédiat" des deux fermes où des cas de fièvre aphteuse ont été annoncés mercredi et vendredi près d'Egham, au sud-ouest de Londres. Egham se trouve à 13 miles (21 kilomètres) du village de Normandy où un cas de fièvre aphteuse a été détecté le 3 août.
Cette annonce intervient peu après la décision des autorités d'assouplir des restrictions concernant le transport du bétail en Angleterre. A partir de samedi minuit (23H00 GMT), les éleveurs anglais seront de nouveau autorisés à transporter leurs bêtes directement vers les abattoirs agréés de leur région, a indiqué la responsable des services vétérinaires britanniques, Debby Reynolds.
Cette mesure ne concerne toutefois pas la zone de surveillance autour des deux exploitations du Surrey contaminées par la fièvre aphteuse.
Les restrictions au transport d'animaux décrétées mercredi dans l'ensemble de la Grande-Bretagne avaient déjà été levées vendredi en Ecosse et au pays de Galles afin de soulager des éleveurs, en cette période cruciale des marchés aux bestiaux.
Des tests en laboratoire ont confirmé que la souche du virus à l'origine des deux foyers détectés cette semaine dans le Surrey était semblable à celle responsable de précédents cas début août dans la même région.
Cette similitude semble confirmer que la maladie reste confinée à la région du Surrey, écartant pour l'instant les craintes d'un retour d'une épizootie dévastatrice comme celle qu'avait connue le pays en 2001.
Des soupçons de contamination dans un élevage porcin du Norfolk, dans l'est de l'Angleterre, ainsi que ceux pesant sur un mouton en Ecosse, avaient été écartés ces derniers jours.
AFP - il y a 1 heure 10 minutesLONDRES (AFP) - Des animaux d'une troisième ferme du Surrey, dans le sud-est de l'Angleterre, proche de celles où des foyers de fièvre aphteuse ont été récemment confirmés, vont être abattus à titre de précaution, a annoncé samedi le ministère britannique de l'Environnement.
Des porcs vont être abattus en raison de suspicions de contamination, a précisé le ministère de l'Environnement, de l'Alimentation et des Affaires rurales (Defra).
Des analyses sont en cours afin de déterminer s'il s'agit de fièvre aphteuse, a précisé Defra, sans être en mesure de dire quand les résultats de ces tests seront disponibles. Un examen vétérinaire a été pratiqué sur les anmiaux mais il n'a pas donné de résultat, selon le ministère.
Defra a ajouté que le centre d'élevage est situé "dans le voisinage immédiat" des deux fermes où des cas de fièvre aphteuse ont été annoncés mercredi et vendredi près d'Egham, au sud-ouest de Londres. Egham se trouve à 13 miles (21 kilomètres) du village de Normandy où un cas de fièvre aphteuse a été détecté le 3 août.
Cette annonce intervient peu après la décision des autorités d'assouplir des restrictions concernant le transport du bétail en Angleterre. A partir de samedi minuit (23H00 GMT), les éleveurs anglais seront de nouveau autorisés à transporter leurs bêtes directement vers les abattoirs agréés de leur région, a indiqué la responsable des services vétérinaires britanniques, Debby Reynolds.
Cette mesure ne concerne toutefois pas la zone de surveillance autour des deux exploitations du Surrey contaminées par la fièvre aphteuse.
Les restrictions au transport d'animaux décrétées mercredi dans l'ensemble de la Grande-Bretagne avaient déjà été levées vendredi en Ecosse et au pays de Galles afin de soulager des éleveurs, en cette période cruciale des marchés aux bestiaux.
Des tests en laboratoire ont confirmé que la souche du virus à l'origine des deux foyers détectés cette semaine dans le Surrey était semblable à celle responsable de précédents cas début août dans la même région.
Cette similitude semble confirmer que la maladie reste confinée à la région du Surrey, écartant pour l'instant les craintes d'un retour d'une épizootie dévastatrice comme celle qu'avait connue le pays en 2001.
Des soupçons de contamination dans un élevage porcin du Norfolk, dans l'est de l'Angleterre, ainsi que ceux pesant sur un mouton en Ecosse, avaient été écartés ces derniers jours.
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
Vis un rêve éveillée
- aneso81
- Insatiable
- Messages : 624
- Inscription : 10 juil. 2007 14:10
- Localisation : Dans les nuages!!!xD
Une mère de famille infectée par le sida porte plainte
Pérou: une mère de famille infectée par le sida porte plainte contre l'Etat
AFP - Vendredi 14 septembre, 22h32LIMA (AFP) - Une mère de famille péruvienne contaminée par le virus du sida lors d'une transfusion sanguine a annoncé vendredi sa décision de porter plainte contre l'Etat du Pérou d'autant que son cas, loin d'être isolé, prend une tournure qui s'annonce délicate pour les autorités sanitaires.
"Je ne céderai pas sur ma demande judiciaire quant à une indemnisation de la part de l'Etat, celle-ci me revient de droit", a affirmé indignée et au bord des larmes, Mme Judith Rivera, une mère de famille de 44 ans, contaminée par le virus du sida lors d'une transfusion sanguine qu'elle a subi en avril dernier.
Cette femme démunie, de la banlieue nord de Lima, s'est dite déterminée à aller jusqu'au bout.
"Je vais mourir et mes trois enfants vont se retrouver sans rien", a-t-elle déclaré à la presse en implorant le président Alan Garcia de lui accorder une indemnisation.
"Je demande au ministre (de la Santé) et au président de la République : que vaut une vie ? Cela peut arriver à votre femme !", s'est-elle exclamée en prévenant les autorités qu'elle entendait bien "lutter pour son indemnisation".
Les autorités sanitaires ont placé jeudi toutes les banques de sang sous surveillance après la détection du virus du sida sur plusieurs patients, contracté dans des hôpitaux publics.
Rejetant toute responsabilité, elles lancent surtout des appels au calme devant l'ampleur que prend cette affaire dans les medias.
Selon une commission officielle réunie d'urgence, le virus du sida ne pouvait être décelé parce que le donneur, qui ignorait être porteur de la maladie, se trouvait dans une période où le virus n'était pas encore détectable.
Au cours des six derniers mois, quatre personnes ont été infectées par le virus du sida dont un bébé de onze mois et un groupe de 30 patients a contracté l'hépatite C dans un centre de dialyse de la sécurité sociale.
"Toutes les banques du sang du Pérou vont être soumises à une évaluation encore plus exhaustive que celle que nous avons déjà réalisée au début de cette année", a annoncé jeudi le ministre de la Santé, Carlos Vallejos, en précisant que 30 établissements avaient déjà été fermés.
L'affaire, qui a provoqué un début de panique au Pérou, a été dévoilée sous la pression des médias après que des autorités locales eurent tenté d'étouffer le premier cas de contamination, en juillet dernier.
"C'est lamentable que le ministère de la Santé ne possède pas un système - parce que c'est très cher et qu'il y a une politique d'austérité et d'épargne - pour vérifier le sang", s'est insurgé le doyen du collège médical du Pérou, Amador Vargas.
La presse critique le mauvais système de santé et relève depuis quelques jours les négligences à répétition des services médicaux.
En conséquence, les Péruviens ont déserté les 240 centres de transfusion du pays, contraignant le ministre de la Santé à lancer un appel pour convaincre la population de continuer à donner du sang.
Au Pérou, seulement 5% du sang provient de donneurs volontaires, 95% du sang étant fourni obligatoirement par deux ou trois proches des personnes hospitalisées.
En dernier ressort, le malade peut acheter du sang disponible auprès de l'hôpital ou recourir aux services de "vampires", des individus qui font commerce de leur sang aux alentours des établissements médicaux.
Il ne s'agit pas du premier scandale du genre au Pérou. En 2004, cinq bébés avaient été contaminés par le VIH dans une maternité de Lima.
AFP - Vendredi 14 septembre, 22h32LIMA (AFP) - Une mère de famille péruvienne contaminée par le virus du sida lors d'une transfusion sanguine a annoncé vendredi sa décision de porter plainte contre l'Etat du Pérou d'autant que son cas, loin d'être isolé, prend une tournure qui s'annonce délicate pour les autorités sanitaires.
"Je ne céderai pas sur ma demande judiciaire quant à une indemnisation de la part de l'Etat, celle-ci me revient de droit", a affirmé indignée et au bord des larmes, Mme Judith Rivera, une mère de famille de 44 ans, contaminée par le virus du sida lors d'une transfusion sanguine qu'elle a subi en avril dernier.
Cette femme démunie, de la banlieue nord de Lima, s'est dite déterminée à aller jusqu'au bout.
"Je vais mourir et mes trois enfants vont se retrouver sans rien", a-t-elle déclaré à la presse en implorant le président Alan Garcia de lui accorder une indemnisation.
"Je demande au ministre (de la Santé) et au président de la République : que vaut une vie ? Cela peut arriver à votre femme !", s'est-elle exclamée en prévenant les autorités qu'elle entendait bien "lutter pour son indemnisation".
Les autorités sanitaires ont placé jeudi toutes les banques de sang sous surveillance après la détection du virus du sida sur plusieurs patients, contracté dans des hôpitaux publics.
Rejetant toute responsabilité, elles lancent surtout des appels au calme devant l'ampleur que prend cette affaire dans les medias.
Selon une commission officielle réunie d'urgence, le virus du sida ne pouvait être décelé parce que le donneur, qui ignorait être porteur de la maladie, se trouvait dans une période où le virus n'était pas encore détectable.
Au cours des six derniers mois, quatre personnes ont été infectées par le virus du sida dont un bébé de onze mois et un groupe de 30 patients a contracté l'hépatite C dans un centre de dialyse de la sécurité sociale.
"Toutes les banques du sang du Pérou vont être soumises à une évaluation encore plus exhaustive que celle que nous avons déjà réalisée au début de cette année", a annoncé jeudi le ministre de la Santé, Carlos Vallejos, en précisant que 30 établissements avaient déjà été fermés.
L'affaire, qui a provoqué un début de panique au Pérou, a été dévoilée sous la pression des médias après que des autorités locales eurent tenté d'étouffer le premier cas de contamination, en juillet dernier.
"C'est lamentable que le ministère de la Santé ne possède pas un système - parce que c'est très cher et qu'il y a une politique d'austérité et d'épargne - pour vérifier le sang", s'est insurgé le doyen du collège médical du Pérou, Amador Vargas.
La presse critique le mauvais système de santé et relève depuis quelques jours les négligences à répétition des services médicaux.
En conséquence, les Péruviens ont déserté les 240 centres de transfusion du pays, contraignant le ministre de la Santé à lancer un appel pour convaincre la population de continuer à donner du sang.
Au Pérou, seulement 5% du sang provient de donneurs volontaires, 95% du sang étant fourni obligatoirement par deux ou trois proches des personnes hospitalisées.
En dernier ressort, le malade peut acheter du sang disponible auprès de l'hôpital ou recourir aux services de "vampires", des individus qui font commerce de leur sang aux alentours des établissements médicaux.
Il ne s'agit pas du premier scandale du genre au Pérou. En 2004, cinq bébés avaient été contaminés par le VIH dans une maternité de Lima.
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
Vis un rêve éveillée
- aneso81
- Insatiable
- Messages : 624
- Inscription : 10 juil. 2007 14:10
- Localisation : Dans les nuages!!!xD
Début d'épidémie de dengue en Martinique
Début d'épidémie de dengue en Martinique
AFP - Samedi 15 septembre, 09h31FORT-DE-FRANCE (AFP) - La cellule de gestion des phénomènes épidémiques réunie vendredi à Fort-de-France a déclaré un "début d'épidémie de dengue en Martinique", apprend-on auprès de la DSDS (direction de la santé et du développement social) de Martinique.
Dans un communiqué rendu public vendredi soir, la DSDS précise que "les dernières données de surveillance épidémiologique de la dengue confirment le dépassement des seuils épidémiques de la dengue déjà observé depuis 3 semaines".
La cellule de gestion a, dans ces conditions, "décidé du passage à la phase 4, niveau 1 du plan de surveillance, d'alerte et de gestion des épidémies de dengue (Psage-Dengue). Ce passage en phase 4, niveau 1, signifie que la Martinique est dans une "situation d'épidémie confirmée".
Depuis le début du mois d'août 2007, "1300 personnes ayant consulté un médecin généraliste pour un syndrome évocateur de la dengue ont été recensées et une quarantaine a été hospitalisée pour une dengue, selon le communiqué.
En phase 4, des actions de démoustication vers les zones les plus touchées et l'implication des municipalités de l'île sont notamment prévues. En outre, il est recommandé aux populations de prendre des mesures de protection individuelles comme "l'utilisation de moustiquaires et de répulsifs ainsi que le port de vêtements longs".
La dengue est une maladie virale. Elle prend la forme de fortes fièvres accompagnées de maux de têtes, de courbatures et d'asthénie et peut durer plusieurs semaines.
AFP - Samedi 15 septembre, 09h31FORT-DE-FRANCE (AFP) - La cellule de gestion des phénomènes épidémiques réunie vendredi à Fort-de-France a déclaré un "début d'épidémie de dengue en Martinique", apprend-on auprès de la DSDS (direction de la santé et du développement social) de Martinique.
Dans un communiqué rendu public vendredi soir, la DSDS précise que "les dernières données de surveillance épidémiologique de la dengue confirment le dépassement des seuils épidémiques de la dengue déjà observé depuis 3 semaines".
La cellule de gestion a, dans ces conditions, "décidé du passage à la phase 4, niveau 1 du plan de surveillance, d'alerte et de gestion des épidémies de dengue (Psage-Dengue). Ce passage en phase 4, niveau 1, signifie que la Martinique est dans une "situation d'épidémie confirmée".
Depuis le début du mois d'août 2007, "1300 personnes ayant consulté un médecin généraliste pour un syndrome évocateur de la dengue ont été recensées et une quarantaine a été hospitalisée pour une dengue, selon le communiqué.
En phase 4, des actions de démoustication vers les zones les plus touchées et l'implication des municipalités de l'île sont notamment prévues. En outre, il est recommandé aux populations de prendre des mesures de protection individuelles comme "l'utilisation de moustiquaires et de répulsifs ainsi que le port de vêtements longs".
La dengue est une maladie virale. Elle prend la forme de fortes fièvres accompagnées de maux de têtes, de courbatures et d'asthénie et peut durer plusieurs semaines.
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
Vis un rêve éveillée
-
- Accro
- Messages : 1196
- Inscription : 08 janv. 2007 02:35
- Localisation : ici, là et ailleurs
- Contact :
Habitat et humanisme vend des clefs au profit des mal-logés
L'association lyonnaise Habitat et humanisme reconduit actuellement sa campagne nationale "Une clé pour les mal-logés", initiée l'an dernier et qui vise à sensibiliser l'opinion au sort des plus de 3,2 millions de personnes qui vivent dans des conditions inacceptables : chômeurs, travailleurs pauvres, mères célibataires, étudiants, personnes âgées, etc., ainsi qu'à récolter des fonds pour financer ses actions en leur faveur.
Symbole de l'accès à un logement, une clef, déclinée en quatre couleurs représentant les valeurs défendues par l'association (le partage, la solidarité, l'amour et le bonheur) sont ainsi proposées à la vente (2 euros) durant cette campagne, avec l'aide de "commerçants solidaires", commerces de proximité et grandes enseignes, invités à participer à l'opération en installant ces clefs près de leurs caisses.
La campagne comprend deux autres volets, à commencer par la 12e édition des "rentrées solidaires", lancées en 1996 par Habitat et humanisme, et au cours desquelles plus de 10 000 étudiants et autres volontaires font passer le message de l'association auprès des passants dans plus de 30 villes de France, comme à Lyon, Paris, Lille, Strasbourg, Marseille, Bordeaux, Nantes...
Elle connaîtra enfin son point d'orgue le week-end du 11 novembre, "week-end de la Saint-Martin, symbole du partage", avec toute une palette de manifestations festives et symboliques, souligne dans son dossier de presse l'organisation caritative, créée en 1985 par un prêtre, Bernard Devert.
Pour plus de précisions : www.habitat-humanisme.org.
L'association lyonnaise Habitat et humanisme reconduit actuellement sa campagne nationale "Une clé pour les mal-logés", initiée l'an dernier et qui vise à sensibiliser l'opinion au sort des plus de 3,2 millions de personnes qui vivent dans des conditions inacceptables : chômeurs, travailleurs pauvres, mères célibataires, étudiants, personnes âgées, etc., ainsi qu'à récolter des fonds pour financer ses actions en leur faveur.
Symbole de l'accès à un logement, une clef, déclinée en quatre couleurs représentant les valeurs défendues par l'association (le partage, la solidarité, l'amour et le bonheur) sont ainsi proposées à la vente (2 euros) durant cette campagne, avec l'aide de "commerçants solidaires", commerces de proximité et grandes enseignes, invités à participer à l'opération en installant ces clefs près de leurs caisses.
La campagne comprend deux autres volets, à commencer par la 12e édition des "rentrées solidaires", lancées en 1996 par Habitat et humanisme, et au cours desquelles plus de 10 000 étudiants et autres volontaires font passer le message de l'association auprès des passants dans plus de 30 villes de France, comme à Lyon, Paris, Lille, Strasbourg, Marseille, Bordeaux, Nantes...
Elle connaîtra enfin son point d'orgue le week-end du 11 novembre, "week-end de la Saint-Martin, symbole du partage", avec toute une palette de manifestations festives et symboliques, souligne dans son dossier de presse l'organisation caritative, créée en 1985 par un prêtre, Bernard Devert.
Pour plus de précisions : www.habitat-humanisme.org.
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
Héraclite d'Ephèse
-
- Accro
- Messages : 1196
- Inscription : 08 janv. 2007 02:35
- Localisation : ici, là et ailleurs
- Contact :
Un "accompagnement logistique" à l'auto-évaluation des structures sociales
La Dordogne compte établissements et services de prise en charge de mineurs et jeunes majeurs faisant l'objet d'une mesure de protection prononcée le plus souvent par la justice : 12 établissements soit 695 places et un service d'action éducative en milieu ouvert (AEMO) qui peut suivre 600 mesures à domicile pour des mineurs en difficulté. Ils bénéficient d'une double habilitation et donc d'un financement commun justice-conseil général au titre de l'aide sociale à l'enfance (ASE). Quant aux structures d'accueil des adultes handicapés, accompagnement social ou hébergement médicalisé ou non, elles sont au nombre de 30 pour une capacité d'accueil de 1 278 places. Elles sont principalement autorisés et financées par le département. S'y ajoutent 72 établissements gérontologiques, pour 5 654 places. La gérontologie n'a pas été directement associée à la démarche du conseil général dans la mesure où ces structures, et en particulier les établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD), ont une longueur d'avance en la matière, dans le cadre de la réforme de la tarification et des conventions tripartites.
Pour aider ses établissements et services à mener à bien la démarche d'auto-évaluation qui leur est imposée par la loi du 2 janvier 2002 rénovant l'action sociale et médico-sociale, le conseil général de la Dordogne a initié un projet de référentiel commun, qui a fait l'objet d'une journée de lancement, le 7 septembre dernier à Périgueux, en présence de 120 personnes.
Les résultats du contrôle interne de l'activité et de la qualité des prestations des structures concernées doivent être communiqués tous les cinq ans aux autorités publiques ayant délivré leur autorisation de fonctionnement. Un report de deux ans, jusqu'au 4 janvier 2009, a cependant été accordé aux gestionnaires pour la première application de cette mesure.
Pas facile en effet de savoir comment s'y prendre dans cet exercice inédit pour beaucoup. Par où commencer ? A quel questionnement procéder ? Quels critères appliquer ? Autant d'interrogations qui restent sans réponses pour des établissements peu coutumiers de ce genre de procédures.
Un besoin d'information
"Nous sommes bien conscients que tous les établissements confrontés à une démarche d'auto-évaluation n'ont pas le niveau d'information requis et ne possèdent pas les outils nécessaires pour la mener à bien", a expliqué au site Internet des ASH Jean-Pierre Hottiaux, directeur adjoint de la prévention et de la solidarité au conseil général et animateur du projet.
C'est notamment le cas de structures de petite taille ou isolées, ça l'est moins d'établissements ou services affiliés à des groupements d'employeurs et autres fédérations (comme la Fegapei ou l'APF par exemple), susceptibles de les accompagner dans ce dispositif qui s'apparente à "une démarque qualité", selon lui, "même si la loi ne le dit pas, mais à partir du moment où on évalue, on entre dans un processus d'amélioration continue des services".
"L'idée est donc de construire un outil de référence avec une grille de lecture commune à l'ensemble des intervenants", a-t-il poursuivi. Car "l'enjeu est de ne pas rater ce premier exercice et d'obtenir des résultats à la hauteur pour améliorer le bien-être des usagers et prévenir la maltraitance".
En fait déjà mobilisé sur la question depuis plusieurs mois, le conseil général a organisé une première réunion d'information, le 26 avril 2007, à destination des gestionnaires de la prise en charge des personnes handicapées. Elle a été suivie d'une autre, le 14 juin, pour l'enfance, en partenariat avec les services de la direction départementale de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ).
Des travaux encadrés par un spécialiste
Un comité de pilotage a été installé, dès le 15 juin, pour le secteur du handicap, où les travaux sont un peu plus avancés que pour l'enfance. Un décalage qui n'empêche pas la réflexion de se poursuivre en parallèle dans les deux domaines, au sein de quatre ateliers, constitués de professionnels de terrain, de responsables associatifs, d'agents administratifs et d'élus.
Les participants sont guidés et encadrés dans le travail de rédaction du référentiel par un consultant extérieur, Jean-Luc Joing, universitaire à Nantes et expert dans le domaine de la qualité et de l'éthique des pratiques sociales.
Auteur de plusieurs ouvrages de référence, il a en particulier contribué à dégager les quatre thèmes retenus pour les ateliers : les droits et la participation des usagers, les établissements et services dans leur environnement, le projet d'établissement et sa mise en oeuvre, et enfin l'organisation des structures en termes de ressources humaines et matérielles. Ces sujets devront, entre autres, être examinés sous l'angle de la réalisation des objectifs de la structure.
"Chaque atelier a pour mission de concevoir les questions permettant d'auditer ces quatre thèmes" d'ici à la fin de l'année, a précisé Jean-Pierre Hottiaux, afin de concevoir dans les temps l'outil d'auto-évaluation qui sera proposé à l'ensemble des établissements.
Au-delà de cet "accompagnement logistique", le conseil général et la PJJ ont aussi prévu d'accorder, dès 2008, un crédit de 10 000 euros aux structures menant cette démarche qualité, pour le financement d'un intervenant extérieur.
La Dordogne compte établissements et services de prise en charge de mineurs et jeunes majeurs faisant l'objet d'une mesure de protection prononcée le plus souvent par la justice : 12 établissements soit 695 places et un service d'action éducative en milieu ouvert (AEMO) qui peut suivre 600 mesures à domicile pour des mineurs en difficulté. Ils bénéficient d'une double habilitation et donc d'un financement commun justice-conseil général au titre de l'aide sociale à l'enfance (ASE). Quant aux structures d'accueil des adultes handicapés, accompagnement social ou hébergement médicalisé ou non, elles sont au nombre de 30 pour une capacité d'accueil de 1 278 places. Elles sont principalement autorisés et financées par le département. S'y ajoutent 72 établissements gérontologiques, pour 5 654 places. La gérontologie n'a pas été directement associée à la démarche du conseil général dans la mesure où ces structures, et en particulier les établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD), ont une longueur d'avance en la matière, dans le cadre de la réforme de la tarification et des conventions tripartites.
Pour aider ses établissements et services à mener à bien la démarche d'auto-évaluation qui leur est imposée par la loi du 2 janvier 2002 rénovant l'action sociale et médico-sociale, le conseil général de la Dordogne a initié un projet de référentiel commun, qui a fait l'objet d'une journée de lancement, le 7 septembre dernier à Périgueux, en présence de 120 personnes.
Les résultats du contrôle interne de l'activité et de la qualité des prestations des structures concernées doivent être communiqués tous les cinq ans aux autorités publiques ayant délivré leur autorisation de fonctionnement. Un report de deux ans, jusqu'au 4 janvier 2009, a cependant été accordé aux gestionnaires pour la première application de cette mesure.
Pas facile en effet de savoir comment s'y prendre dans cet exercice inédit pour beaucoup. Par où commencer ? A quel questionnement procéder ? Quels critères appliquer ? Autant d'interrogations qui restent sans réponses pour des établissements peu coutumiers de ce genre de procédures.
Un besoin d'information
"Nous sommes bien conscients que tous les établissements confrontés à une démarche d'auto-évaluation n'ont pas le niveau d'information requis et ne possèdent pas les outils nécessaires pour la mener à bien", a expliqué au site Internet des ASH Jean-Pierre Hottiaux, directeur adjoint de la prévention et de la solidarité au conseil général et animateur du projet.
C'est notamment le cas de structures de petite taille ou isolées, ça l'est moins d'établissements ou services affiliés à des groupements d'employeurs et autres fédérations (comme la Fegapei ou l'APF par exemple), susceptibles de les accompagner dans ce dispositif qui s'apparente à "une démarque qualité", selon lui, "même si la loi ne le dit pas, mais à partir du moment où on évalue, on entre dans un processus d'amélioration continue des services".
"L'idée est donc de construire un outil de référence avec une grille de lecture commune à l'ensemble des intervenants", a-t-il poursuivi. Car "l'enjeu est de ne pas rater ce premier exercice et d'obtenir des résultats à la hauteur pour améliorer le bien-être des usagers et prévenir la maltraitance".
En fait déjà mobilisé sur la question depuis plusieurs mois, le conseil général a organisé une première réunion d'information, le 26 avril 2007, à destination des gestionnaires de la prise en charge des personnes handicapées. Elle a été suivie d'une autre, le 14 juin, pour l'enfance, en partenariat avec les services de la direction départementale de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ).
Des travaux encadrés par un spécialiste
Un comité de pilotage a été installé, dès le 15 juin, pour le secteur du handicap, où les travaux sont un peu plus avancés que pour l'enfance. Un décalage qui n'empêche pas la réflexion de se poursuivre en parallèle dans les deux domaines, au sein de quatre ateliers, constitués de professionnels de terrain, de responsables associatifs, d'agents administratifs et d'élus.
Les participants sont guidés et encadrés dans le travail de rédaction du référentiel par un consultant extérieur, Jean-Luc Joing, universitaire à Nantes et expert dans le domaine de la qualité et de l'éthique des pratiques sociales.
Auteur de plusieurs ouvrages de référence, il a en particulier contribué à dégager les quatre thèmes retenus pour les ateliers : les droits et la participation des usagers, les établissements et services dans leur environnement, le projet d'établissement et sa mise en oeuvre, et enfin l'organisation des structures en termes de ressources humaines et matérielles. Ces sujets devront, entre autres, être examinés sous l'angle de la réalisation des objectifs de la structure.
"Chaque atelier a pour mission de concevoir les questions permettant d'auditer ces quatre thèmes" d'ici à la fin de l'année, a précisé Jean-Pierre Hottiaux, afin de concevoir dans les temps l'outil d'auto-évaluation qui sera proposé à l'ensemble des établissements.
Au-delà de cet "accompagnement logistique", le conseil général et la PJJ ont aussi prévu d'accorder, dès 2008, un crédit de 10 000 euros aux structures menant cette démarche qualité, pour le financement d'un intervenant extérieur.
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
Héraclite d'Ephèse
-
- Accro
- Messages : 1196
- Inscription : 08 janv. 2007 02:35
- Localisation : ici, là et ailleurs
- Contact :
Un chantier de peinture pour aider les jeunes en difficulté
Quelque 21 associations et 297 éducateurs, répartis en 64 équipes de rue, interviennent pour la prévention spécialisée dans 17 arrondissements de la capitale (le IVe, VIIe et le VIIIe arrondissements ne sont pas concernés). En 2006, 16 000 jeunes Parisiens ont été suivis. Ce public est âgé en moyenne de 17 ans et demi et est composé de près de 35% de filles. L'actuelle majorité assure avoir augmenté de 50 % le budget destiné à la prévention spécialisée, sur l'ensemble de sa mandature, ce qui le porte cette année à 18 millions d'euros. Entre 2001 et 2007, les effectifs d'éducateurs ont été augmentés de 72 postes.
Gisèle Stievenard, adjointe au maire de Paris chargée de la solidarité et des affaires sociales et Christophe Caresche, adjoint chargé de la prévention et de la sécurité, ont rendu visite, jeudi 13 septembre, à une équipe de prévention spécialisée de l'Association des jeunes amis du Marais (AJAM), affectée au secteur Bonsergent-Magenta dans le Xe arrondissement.
Ce déplacement, effectué en présence du maire de l'arrondissement, Tony Dreyfus (PS), avait pour but d'éclairer l'action de la municipalité en matière de prévention pour les jeunes en difficulté (voir encadré) et celle, plus spécifique, de l'AJAM, troisième association la plus importante de la capitale en terme d'effectifs d'éducateurs.
Elle intervient pour le compte de la mairie sur trois secteurs du Xe arrondissement (Bonsergent-Magenta, Grange-aux-belles et "les Portes") et une quatrième équipe oeuvrant aussi dans le XIXe (secteur Solidarité-Petit).
Les élus parisiens ont donc rencontré un groupe de quatre jeunes et leurs deux éducateurs, qui ont démarré, début septembre, un chantier de peinture dans le local d'appui de l'association, au 62, rue de Lancry, à deux pas du canal Saint-Martin. Une réfection à but éducatif qui doit permettre de favoriser l'insertion de ces jeunes majeurs.
"C'est un véritable tremplin pour leur redonner le goût du travail", a estimé Romain Templeraud, éducateur de rue et un des salariés de l'AJAM dans le Xe arrondissement (11 équivalents temps plein). "Cela leur donne des repères, comme les horaires par exemple, et cela peut aussi leur permettre de trouver un emploi durable", a-t-il poursuivi.
Un chantier éducatif entre la rue et l'insertion
En effet, les éducateurs orientent aussi les jeunes encadrés vers des cursus et l'AJAM développe des partenariats avec des organismes de formation pour assurer un meilleur suivi.
L'outil principal de l'association ce sont les ateliers à travail multiple (ATRAM), des ateliers "hors les murs", le plus souvent loin des locaux de l'AJAM.
"On est vraiment entre la rue et l'insertion professionnelle", a souligné Yann Bourbris, éducateur spécialisé et responsable des ATRAM sur tous les secteurs de l'AJAM. "Nous ne sommes pas une véritable entreprise d'insertion. Ici, c'est beaucoup plus souple. Notre but, c'est de faire de l'éducatif grâce au travail, en s'inspirant de la pédagogie de Célestin Freinet. Alors on passe beaucoup de temps avec eux, comme dans ce chantier où l'on peint aussi. Tout ça pour leur redonner confiance", a-t-il expliqué.
Ces jeunes, qui ont eu auparavant des problèmes de justice, ou qui sont en échec scolaire, sans emploi, et qui ont vécu une trop grande période d'inactivité, se sont engagés pour deux semaines sur ce chantier. Ils vont pouvoir y découvrir un métier, recevoir leur première fiche de paie et surtout obtenir une certaine reconnaissance, une place nouvelle dans leur quartier. Ainsi, l'AJAM multiplie les chantiers dans son secteur d'intervention : affichage pour le compte de la mairie d'arrondissement ou encore réfection des murs extérieurs de l'hôpital Saint-Louis.
"C'est la deuxième fois que je travaille avec l'AJAM", a raconté au cours de la visite l'un des jeunes qui participent au chantier. Agé de 23 ans, ce jeune homme a vécu deux ans et demi sans rien faire après avoir quitté la terminale, sans obtenir son bac. "Je ne connaissais pas le monde du travail et cela m'a permis d'avoir enfin un rythme de vie. Même si le bâtiment ne m'intéresse pas, je le prends comme un vrai boulot et je m'implique. Maintenant je suis motivé pour trouver un emploi, peut-être dans le domaine du social", a-t-il ajouté.
En 2006, l'AJAM a accompagné 1 233 jeunes sur ses quatre secteurs d'intervention.
Quelque 21 associations et 297 éducateurs, répartis en 64 équipes de rue, interviennent pour la prévention spécialisée dans 17 arrondissements de la capitale (le IVe, VIIe et le VIIIe arrondissements ne sont pas concernés). En 2006, 16 000 jeunes Parisiens ont été suivis. Ce public est âgé en moyenne de 17 ans et demi et est composé de près de 35% de filles. L'actuelle majorité assure avoir augmenté de 50 % le budget destiné à la prévention spécialisée, sur l'ensemble de sa mandature, ce qui le porte cette année à 18 millions d'euros. Entre 2001 et 2007, les effectifs d'éducateurs ont été augmentés de 72 postes.
Gisèle Stievenard, adjointe au maire de Paris chargée de la solidarité et des affaires sociales et Christophe Caresche, adjoint chargé de la prévention et de la sécurité, ont rendu visite, jeudi 13 septembre, à une équipe de prévention spécialisée de l'Association des jeunes amis du Marais (AJAM), affectée au secteur Bonsergent-Magenta dans le Xe arrondissement.
Ce déplacement, effectué en présence du maire de l'arrondissement, Tony Dreyfus (PS), avait pour but d'éclairer l'action de la municipalité en matière de prévention pour les jeunes en difficulté (voir encadré) et celle, plus spécifique, de l'AJAM, troisième association la plus importante de la capitale en terme d'effectifs d'éducateurs.
Elle intervient pour le compte de la mairie sur trois secteurs du Xe arrondissement (Bonsergent-Magenta, Grange-aux-belles et "les Portes") et une quatrième équipe oeuvrant aussi dans le XIXe (secteur Solidarité-Petit).
Les élus parisiens ont donc rencontré un groupe de quatre jeunes et leurs deux éducateurs, qui ont démarré, début septembre, un chantier de peinture dans le local d'appui de l'association, au 62, rue de Lancry, à deux pas du canal Saint-Martin. Une réfection à but éducatif qui doit permettre de favoriser l'insertion de ces jeunes majeurs.
"C'est un véritable tremplin pour leur redonner le goût du travail", a estimé Romain Templeraud, éducateur de rue et un des salariés de l'AJAM dans le Xe arrondissement (11 équivalents temps plein). "Cela leur donne des repères, comme les horaires par exemple, et cela peut aussi leur permettre de trouver un emploi durable", a-t-il poursuivi.
Un chantier éducatif entre la rue et l'insertion
En effet, les éducateurs orientent aussi les jeunes encadrés vers des cursus et l'AJAM développe des partenariats avec des organismes de formation pour assurer un meilleur suivi.
L'outil principal de l'association ce sont les ateliers à travail multiple (ATRAM), des ateliers "hors les murs", le plus souvent loin des locaux de l'AJAM.
"On est vraiment entre la rue et l'insertion professionnelle", a souligné Yann Bourbris, éducateur spécialisé et responsable des ATRAM sur tous les secteurs de l'AJAM. "Nous ne sommes pas une véritable entreprise d'insertion. Ici, c'est beaucoup plus souple. Notre but, c'est de faire de l'éducatif grâce au travail, en s'inspirant de la pédagogie de Célestin Freinet. Alors on passe beaucoup de temps avec eux, comme dans ce chantier où l'on peint aussi. Tout ça pour leur redonner confiance", a-t-il expliqué.
Ces jeunes, qui ont eu auparavant des problèmes de justice, ou qui sont en échec scolaire, sans emploi, et qui ont vécu une trop grande période d'inactivité, se sont engagés pour deux semaines sur ce chantier. Ils vont pouvoir y découvrir un métier, recevoir leur première fiche de paie et surtout obtenir une certaine reconnaissance, une place nouvelle dans leur quartier. Ainsi, l'AJAM multiplie les chantiers dans son secteur d'intervention : affichage pour le compte de la mairie d'arrondissement ou encore réfection des murs extérieurs de l'hôpital Saint-Louis.
"C'est la deuxième fois que je travaille avec l'AJAM", a raconté au cours de la visite l'un des jeunes qui participent au chantier. Agé de 23 ans, ce jeune homme a vécu deux ans et demi sans rien faire après avoir quitté la terminale, sans obtenir son bac. "Je ne connaissais pas le monde du travail et cela m'a permis d'avoir enfin un rythme de vie. Même si le bâtiment ne m'intéresse pas, je le prends comme un vrai boulot et je m'implique. Maintenant je suis motivé pour trouver un emploi, peut-être dans le domaine du social", a-t-il ajouté.
En 2006, l'AJAM a accompagné 1 233 jeunes sur ses quatre secteurs d'intervention.
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
Héraclite d'Ephèse
-
- Accro
- Messages : 1196
- Inscription : 08 janv. 2007 02:35
- Localisation : ici, là et ailleurs
- Contact :
Rugby: Heineken, le parrain qui dérange
Le juge des référés a estimé que le parrainage de la Coupe du monde de rugby par le brasseur était en contradiction avec la loi Evin de 1991.
Il a ordonné vendredi le retrait de la voie publique et des débits de boissons de toutes les publicités Heineken relatives à la Coupe du monde de rugby.
On ne devrait plus voir de publicité Heineken sur la Coupe du monde de rugby, ni sur la voie publique, ni dans les débits de boissons. Un juge des référés de Paris a ordonné vendredi leur retrait, estimant que le parrainage de la Coupe du monde de rugby par le brasseur était en contradiction avec la loi Evin de 1991, qui interdit la promotion de l'alcool lors de manifestations sportives.
Le juge "fait injonction de retirer ce matériel publicitaire dans les 48 heures qui suivent la signification de l'ordonnance, sous astreinte provisoire de 5 000 euros par infraction constatée", écrit le juge dans son ordonnance. La société Heineken a la possibilité de faire appel de cette ordonnance. Aucune décision n'était connue en début d'après-midi.
Le juge des référés a estimé que le parrainage de la Coupe du monde de rugby par le brasseur était en contradiction avec la loi Evin de 1991.
Il a ordonné vendredi le retrait de la voie publique et des débits de boissons de toutes les publicités Heineken relatives à la Coupe du monde de rugby.
On ne devrait plus voir de publicité Heineken sur la Coupe du monde de rugby, ni sur la voie publique, ni dans les débits de boissons. Un juge des référés de Paris a ordonné vendredi leur retrait, estimant que le parrainage de la Coupe du monde de rugby par le brasseur était en contradiction avec la loi Evin de 1991, qui interdit la promotion de l'alcool lors de manifestations sportives.
Le juge "fait injonction de retirer ce matériel publicitaire dans les 48 heures qui suivent la signification de l'ordonnance, sous astreinte provisoire de 5 000 euros par infraction constatée", écrit le juge dans son ordonnance. La société Heineken a la possibilité de faire appel de cette ordonnance. Aucune décision n'était connue en début d'après-midi.
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
Héraclite d'Ephèse
- aneso81
- Insatiable
- Messages : 624
- Inscription : 10 juil. 2007 14:10
- Localisation : Dans les nuages!!!xD
La Chine rappelle des médicaments anti-leucémie contaminés
La Chine rappelle des médicaments anti-leucémie contaminés
AFP - il y a 15 minutes
PEKIN (AFP) - La plupart des médicaments, produits par une entreprise pharmaceutique de Shanghai, ont déjà été rappelés mais une partie est encore manquante, a indiqué un officiel de Shanghai, cité par l'agence officielle Chine Nouvelle.
La production et la vente des médicaments incriminés, methotrexate et cytarabin hydrochloride, ont été suspendues après que des patients se sont plaints de ne plus pouvoir marcher après leur administration.
Selon le ministère de la Santé, les médicaments contiennent une substance anti-cancéreuse, qui y a été ajoutée par erreur durant la phase de production.
Il n'a pas été précisé si le médicament avait été exporté.
La Chine est régulièrement sur la sellette en matière de sécurité alimentaire et pharmaceutique mais les scandales ont été particulièrement nombreux ces derniers mois, touchant dentifrices, produits de la mer, pneus ou aliments pour animaux.
Parallèlement, plusieurs hauts responsables ont été condamnés, dans deux cas au moins à la peine de mort (dont un avec sursis) pour avoir laissé sur le marché des produits potentiellement dangereux, moyennant pots-de-vin.
L'ancien directeur de l'Administration d'Etat de l'alimentation et des médicaments, Zheng Xiaoyu, qui avait rang de ministre, a ainsi été exécuté en juillet pour avoir touché 6,4 millions de yuans (620.000 euros) de pots-de-vin d'entreprises pharmaceutiques, selon les autorités.
AFP - il y a 15 minutes
PEKIN (AFP) - La plupart des médicaments, produits par une entreprise pharmaceutique de Shanghai, ont déjà été rappelés mais une partie est encore manquante, a indiqué un officiel de Shanghai, cité par l'agence officielle Chine Nouvelle.
La production et la vente des médicaments incriminés, methotrexate et cytarabin hydrochloride, ont été suspendues après que des patients se sont plaints de ne plus pouvoir marcher après leur administration.
Selon le ministère de la Santé, les médicaments contiennent une substance anti-cancéreuse, qui y a été ajoutée par erreur durant la phase de production.
Il n'a pas été précisé si le médicament avait été exporté.
La Chine est régulièrement sur la sellette en matière de sécurité alimentaire et pharmaceutique mais les scandales ont été particulièrement nombreux ces derniers mois, touchant dentifrices, produits de la mer, pneus ou aliments pour animaux.
Parallèlement, plusieurs hauts responsables ont été condamnés, dans deux cas au moins à la peine de mort (dont un avec sursis) pour avoir laissé sur le marché des produits potentiellement dangereux, moyennant pots-de-vin.
L'ancien directeur de l'Administration d'Etat de l'alimentation et des médicaments, Zheng Xiaoyu, qui avait rang de ministre, a ainsi été exécuté en juillet pour avoir touché 6,4 millions de yuans (620.000 euros) de pots-de-vin d'entreprises pharmaceutiques, selon les autorités.
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
Vis un rêve éveillée
culture générale
Bonjour
La questions va vous sembler débile mais pour les épreuves écrites, est-il préférable d'écrire au stylo bic noir, bleu ou stylo plume?
La questions va vous sembler débile mais pour les épreuves écrites, est-il préférable d'écrire au stylo bic noir, bleu ou stylo plume?
- marielaure66
- Fidèle
- Messages : 203
- Inscription : 29 juin 2007 09:35
- Localisation : entre perpi et montpel
-
- Accro
- Messages : 1196
- Inscription : 08 janv. 2007 02:35
- Localisation : ici, là et ailleurs
- Contact :
Les pesticides à l'origine d'un désastre sanitaire aux Antilles
PARIS (AFP) - Le ministre de l'Agriculture Michel Barnier a estimé lundi sur Europe 1 que la situation était "très grave" aux Antilles, qui ont été "empoisonnées" par des pesticides, selon un rapport qui doit être rendu public mardi.
La Martinique et la Guadeloupe sont "empoisonnées" par les pesticides, affirme le cancérologue Dominique Belpomme, auteur d'un rapport qui sera rendu public mardi à l'Assemblée nationale, dans un entretien à Aujourd'hui en France/Le Parisien paru lundi.
"Les expertises scientifiques que nous avons menées sur les pesticides conduisent au constat d'un désastre sanitaire aux Antilles", estime le professeur à l'hôpital George-Pompidou, selon qui, "il s'agit d'un véritable empoisonnement de la Martinique et de la Guadeloupe". D'après le cancérologue, qui a conduit récemment une mission scientifique dans ces deux départements d'Outre-mer pour mesurer les conséquences de l'usage massif de pesticides par l'agriculture antillaise, "l'empoisonnement concerne le sol et l'eau"
Parmi les produits incriminés figurent "le chlordécone, le paraquat (interdit très récemment) et plusieurs dizaines d'autres pesticides utilisés dans des conditions opaques", explique le professeur Dominique Belpomme.
Il a constaté que le taux des cancers de la prostate est "majeur" aux Antilles mais que les scientifiques n'ont "pas encore la preuve épidémiologique" qu'ils sont "liés au chlordécone", un produit que "la France a interdit en 1990 sur son territoire, sauf... aux Antilles", a-t-il précisé.
PARIS (AFP) - Le ministre de l'Agriculture Michel Barnier a estimé lundi sur Europe 1 que la situation était "très grave" aux Antilles, qui ont été "empoisonnées" par des pesticides, selon un rapport qui doit être rendu public mardi.
La Martinique et la Guadeloupe sont "empoisonnées" par les pesticides, affirme le cancérologue Dominique Belpomme, auteur d'un rapport qui sera rendu public mardi à l'Assemblée nationale, dans un entretien à Aujourd'hui en France/Le Parisien paru lundi.
"Les expertises scientifiques que nous avons menées sur les pesticides conduisent au constat d'un désastre sanitaire aux Antilles", estime le professeur à l'hôpital George-Pompidou, selon qui, "il s'agit d'un véritable empoisonnement de la Martinique et de la Guadeloupe". D'après le cancérologue, qui a conduit récemment une mission scientifique dans ces deux départements d'Outre-mer pour mesurer les conséquences de l'usage massif de pesticides par l'agriculture antillaise, "l'empoisonnement concerne le sol et l'eau"
Parmi les produits incriminés figurent "le chlordécone, le paraquat (interdit très récemment) et plusieurs dizaines d'autres pesticides utilisés dans des conditions opaques", explique le professeur Dominique Belpomme.
Il a constaté que le taux des cancers de la prostate est "majeur" aux Antilles mais que les scientifiques n'ont "pas encore la preuve épidémiologique" qu'ils sont "liés au chlordécone", un produit que "la France a interdit en 1990 sur son territoire, sauf... aux Antilles", a-t-il précisé.
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
Héraclite d'Ephèse
-
- Accro
- Messages : 1196
- Inscription : 08 janv. 2007 02:35
- Localisation : ici, là et ailleurs
- Contact :
L'Europe tacle le « foot-en-salon » !
Par Destination Santé Destination Sante - il y a 19 minutes
« Allez, sors de ton canapé ! ». Le slogan de la prochaine campagne télévisée menée conjointement par l'Union européenne et l'Union des associations européennes de football (UEFA) ne peut pas être plus clair. Objectif, encourager l'activité physique.
Pour le moins décalé, le spot de la campagne met en scène plusieurs hommes qui, avachis sur leur canapé, se passent un ballon sur un terrain de foot. Diffusé simultanément dans plus de 40 pays européens au cours des mi-temps de chacun des 125 matchs de la ligue des champions, il devrait toucher plus de 80 millions de téléspectateurs par semaine.
Aujourd'hui près de la moitié de la population adulte souffre de surpoids et d'obésité. Selon l'OMS, un Européen sur trois ne fait aucun exercice physique et reste assis en moyenne plus de 5 heures par jour. « Par cette campagne publicitaire télévisée, nous voulons aider les téléspectateurs à mieux comprendre l'importance de l'exercice physique pour la santé et les encourager à introduire une activité dans leur vie de tous les jours », précise Markos Kyprianou, commissaire européen chargé de la santé.
Par Destination Santé Destination Sante - il y a 19 minutes
« Allez, sors de ton canapé ! ». Le slogan de la prochaine campagne télévisée menée conjointement par l'Union européenne et l'Union des associations européennes de football (UEFA) ne peut pas être plus clair. Objectif, encourager l'activité physique.
Pour le moins décalé, le spot de la campagne met en scène plusieurs hommes qui, avachis sur leur canapé, se passent un ballon sur un terrain de foot. Diffusé simultanément dans plus de 40 pays européens au cours des mi-temps de chacun des 125 matchs de la ligue des champions, il devrait toucher plus de 80 millions de téléspectateurs par semaine.
Aujourd'hui près de la moitié de la population adulte souffre de surpoids et d'obésité. Selon l'OMS, un Européen sur trois ne fait aucun exercice physique et reste assis en moyenne plus de 5 heures par jour. « Par cette campagne publicitaire télévisée, nous voulons aider les téléspectateurs à mieux comprendre l'importance de l'exercice physique pour la santé et les encourager à introduire une activité dans leur vie de tous les jours », précise Markos Kyprianou, commissaire européen chargé de la santé.
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
Héraclite d'Ephèse
-
- Accro
- Messages : 1196
- Inscription : 08 janv. 2007 02:35
- Localisation : ici, là et ailleurs
- Contact :
L'Inde entre au palmarès des "10 lieux les plus pollués au monde", selon un rapport
AFP - il y a 3 minutes
NEW YORK (AFP) - De nouveaux sites industriels extrêmement polluants en Inde, Chine et dans l'ex-Union soviétique ont fait leur apparition dans le peloton de tête des "lieux les plus pollués au monde", selon le classement 2007 publié par l'ONG Blackmisth Institute, basée à New York.
(Publicité)
Le "Top 10" des lieux les plus pollués au monde est concentré dans sept pays et affecte la santé de 12 millions de personnes, essentiellement des enfants, selon l'institut qui a établi ce classement en collaboration avec la fondation Green Cross Suisse.
Le nouveau classement comporte quatre nouveaux sites: deux sont situés en Inde (Sukinda et Vapi), un en Chine (Tianying) et un en Azerbaïdjan (Sumgayit).
"L'exploitation des mines, la pollution datant de la guerre froide et la production industrielle dérégulée sont les principaux responsables de la pollution identifiés dans le rapport du Blacksmith Institute", écrit l'institut.
Ainsi, Vapi "symbolise une région surchargée de sites industriels: plus de 50 empoisonnent le sol et l'eau avec des pesticides, des PCB (polychloro-biphényles), du chrome, du mercure, du plomb et du cadmium".
Parmi les dix autres lieux les plus pollués, figurent Linfen (Chine), La Oroya (Pérou), Dzerjinsk et Norilsk (Russie), Tchernobyl (Ukraine) dont un réacteur de la centrale nucléaire avait explosé en avril 1986, et Kabwe (Zambie).
L'ONG a également dressé la liste des "30 lieux pollués" décrits comme "très toxiques et dangereux pour la santé humaine", dont des endroits au Kirghizstan et en République dominicaine.
Les seules régions géographiques ne figurant pas dans le palmarès des "30" sont le Proche-Orient et l'Océanie.
Blacksmith Institute a été fondé en 1999 et s'est donné pour mission de soutenir des projets environnementaux liés à la pollution.
La Fondation Green Cross Suisse lutte pour la maîtrise des dommages consécutifs aux catastrophes industrielles et militaires.
AFP - il y a 3 minutes
NEW YORK (AFP) - De nouveaux sites industriels extrêmement polluants en Inde, Chine et dans l'ex-Union soviétique ont fait leur apparition dans le peloton de tête des "lieux les plus pollués au monde", selon le classement 2007 publié par l'ONG Blackmisth Institute, basée à New York.
(Publicité)
Le "Top 10" des lieux les plus pollués au monde est concentré dans sept pays et affecte la santé de 12 millions de personnes, essentiellement des enfants, selon l'institut qui a établi ce classement en collaboration avec la fondation Green Cross Suisse.
Le nouveau classement comporte quatre nouveaux sites: deux sont situés en Inde (Sukinda et Vapi), un en Chine (Tianying) et un en Azerbaïdjan (Sumgayit).
"L'exploitation des mines, la pollution datant de la guerre froide et la production industrielle dérégulée sont les principaux responsables de la pollution identifiés dans le rapport du Blacksmith Institute", écrit l'institut.
Ainsi, Vapi "symbolise une région surchargée de sites industriels: plus de 50 empoisonnent le sol et l'eau avec des pesticides, des PCB (polychloro-biphényles), du chrome, du mercure, du plomb et du cadmium".
Parmi les dix autres lieux les plus pollués, figurent Linfen (Chine), La Oroya (Pérou), Dzerjinsk et Norilsk (Russie), Tchernobyl (Ukraine) dont un réacteur de la centrale nucléaire avait explosé en avril 1986, et Kabwe (Zambie).
L'ONG a également dressé la liste des "30 lieux pollués" décrits comme "très toxiques et dangereux pour la santé humaine", dont des endroits au Kirghizstan et en République dominicaine.
Les seules régions géographiques ne figurant pas dans le palmarès des "30" sont le Proche-Orient et l'Océanie.
Blacksmith Institute a été fondé en 1999 et s'est donné pour mission de soutenir des projets environnementaux liés à la pollution.
La Fondation Green Cross Suisse lutte pour la maîtrise des dommages consécutifs aux catastrophes industrielles et militaires.
Le soleil est nouveau tous les jours.
Héraclite d'Ephèse
Héraclite d'Ephèse
- lovelydu31
- Insatiable
- Messages : 425
- Inscription : 06 juil. 2007 13:09
- Localisation : Toulouse