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HAMLET-30
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Message par HAMLET-30 »

Les News Santé


Help réconforte les accros de la cigarette

Jeudi 17 janvier 2008


Entre les bonnes résolutions et la résignation, les fumeurs ne peuvent plus échapper à cette évidence : fumer librement va devenir de plus en plus compliqué. Alors pourquoi ne pas profiter des bonnes résolutions 2008 pour stopper la cigarette définitivement ? La campagne européenne "Help, pour une vie sans tabac" propose à tous ceux qui ne veulent pas arrêter seuls, de l'aide, des supports et de l'information.


La campagne 2008 repose ainsi sur : Un service en ligne de Web Coaching. Totalement gratuit et anonyme, cet accompagnement par mail est disponible sur le site www.help-eu.com. Les internautes s'inscrivent en ligne et reçoivent des e-mails à intervalles réguliers pendant 2 mois. Ces e-mails les aident et les encouragent dans leur processus de sevrage. Des spots publicitaires sur TF1 et M6 et sur les sites Internet nationaux et paneuropéens des 27 Etats membres de l'Union européenne.

La lutte contre le tabagisme passif gagne chaque mois du terrain en Europe. Moins d'un an après que la France ait imposé une interdiction de fumer nationale dans les lieux publics (y compris les hôpitaux, les écoles et les bureaux), celle-ci a été étendue aux bars, restaurants, hôtels, night-clubs et cafés le 1er janvier 2008. Huit régions allemandes interdisent de fumer dans les espaces publics, incluant les restaurants et les bars, depuis le 1er janvier 2008. Aux Pays-Bas, l'interdiction de fumer entrera en vigueur le 1er juillet, mais il semble que de nombreux restaurants aient déjà banni l'usage du tabac au début 2008.

Source : Communiqué Help du 16 janvier 2008
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Message par HAMLET-30 »

GRENELLE DE L'INSERTION
Hirsch veut "révolutionner" les politiques d'insertion
NOUVELOBS.COM | 17.01.2008 | 12:57
"Nos politiques d'insertion sont à bout de souffle", a déclaré le Haut commissaire aux solidarités actives, qui veut les " transformer, bouleverser, révolutionner", pour " faire reculer la pauvreté en créant de la richesse".



Martin Hirsch, Haut commissaire aux Solidarités actives, a ouvert jeudi 17 janvier un débat au Sénat sur le "Grenelle de l'insertion". Il propose "dix principes d'action" susceptibles d'en guider les travaux.
Le Haut commissaire a dressé un constat d'échec des politiques d'insertion en France. "Nos politiques d'insertion sont à bout de souffle", "il faut changer le système", a-t-il martelé. "Notre pays n'a pas des résultats à la hauteur de sa richesse économique, ni de son ambition sociale".

Créer de la richesse

"Si nous poursuivons les politiques actuelles, nous connaîtrons simultanément des pénuries considérables de main d'oeuvre et des taux de chômage massifs dans certaines catégories de la population. Si nous transformons, bouleversons, révolutionnons les politiques d'insertion, nous pouvons faire reculer la pauvreté en créant de la richesse", a-t-il ajouté.
Au premier rang des priorités, la nécessité de "simplifier de façon drastique les dispositifs", alors que, face aux situations d'exclusion , "on a chaque fois rajouté un dispositif au précédent", explique Martin Hirsch.

Un système à simplifier

Il décrit un système actuel complexe, où la personne en difficulté s'entend répondre: "Vous avez un problème? Nous avons une solution, mais qui ne s'applique pas à vous parce que vous êtes à l'API (Allocation de parent isolé), pas au RMI, parce que vous êtes trop vieux d'un an, trop jeune de deux, pas encore assez éloigné de l'emploi, pas tout à fait suffisamment surendetté."
Contre cela, il défend la mise en place du Revenu de solidarité active (RSA), se substituant aux minima sociaux, du "contrat unique d'insertion", et du "bouclier sanitaire" liant au revenu le reste à charge des dépenses de santé.
"Une bonne législation est une législation qui pose les principes de la solidarité et qui en laisse la traduction en actions aux acteurs de terrain", a fait valoir le Haut commissaire, dont la politique aura pour objectif d'"assurer des revenus du travail supérieurs aux revenus de la solidarité".

Privilégier "l'évaluation et l'expérimentation"

Il a également défendu "une conception plus souple, plus large et plus réaliste de la notion d'employabilité", qui permette de "passer d'un système de contrats aidés à une logique de contrats aidant, fondée sur la notion de parcours", ainsi qu'"une universalité effective de l'accès au service public de l'emploi, de l'insertion et de la formation".
Privilégier "l'évaluation et l'expérimentation", c'est ce que Martin Hirsch compte faire pour y parvenir. "Nous proposerons que les réformes réservent systématiquement une part de financement à l'évaluation et de continuer, comme nous l'avons fait avec le RSA, d'utiliser l'expérimentation comme voie de réforme", a-t-il indiqué.
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Message par HAMLET-30 »

L'Europe se divise sur la viande clonée

Le comité de bioéthique de la Commission européenne émet des "doutes" sur la commercialisation de viande et de lait issus d'animaux clonés.
Il prend ainsi le contre-pied de l'Autorité européenne de sécurité des aliments, qui avait jugé cette viande globalement aussi fiable que celle d'animaux non clonés.
- le 17/01/2008 - 14h05
Sans risque pour la consommation humaine, la viande d'animaux clonés ? Pas de doute aux Etats-Unis, où la commercialisation de produits issus de bovins, d'ovins et de porcs obtenus par clonage a reçu le feu vert. En Europe, en revanche, le débat ne fait que commencer. A peine publié, le rapport de l'Autorité européenne de sécurité des aliments, jugeant cette viande très probablement sans danger pour la santé humaine, est aussitôt contesté par le comité de bioéthique de la Commission européenne.

Premier argument : celui du bien-être des animaux. "Compte tenu de l'ampleur actuelle des souffrances et des problèmes de santé des animaux porteurs et des animaux clonés, le comité doute de la justification éthique du clonage des animaux à des fins alimentaires", souligne-t-il. A l'heure actuelle, le comité "ne voit pas d'arguments convaincants justifiant la production de nourriture à partir de clones et de leur progéniture".

Pas de décision avant mai pour l'UE

Deuxième argument : la nécessité de mesurer les impacts éventuels sur la santé humaine. Si l'Union européenne devait, au bout du compte, autoriser la commercialisation de tels produits, le comité recommande d'appliquer plusieurs critères stricts. Il demande que l'innocuité de ces produits pour la consommation alimentaire humaine soit garantie et que des études scientifiques soient menées régulièrement au sujet de la progéniture des animaux clonés. L'UE devrait aussi s'assurer que les animaux clonés utilisés soient bien traités, qu'une traçabilité efficace des bêtes soit mise en place, ainsi qu'une stricte surveillance aux frontières pour l'importation des produits clonés, afin qu'ils respectent les mêmes critères qu'à l'intérieur de l'UE.

Le comité d'éthique européen sur la science et les nouvelles technologies (EGE), qui a été mis en place par la Commission européenne, a rendu cet avis lors d'une réunion mercredi, quelques jours à peine après le rapport de l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), et alors que l'Agence américaine de réglementation des produits alimentaires (FDA) a donné son feu vert à la commercialisation de produits issus de certains animaux clonés. La perspective d'une décision similaire en Europe a déjà suscité de nombreuses protestations dans l'Union européenne. Outre le comité de bioéthique, la Commission européenne s'est engagée à consulter les citoyens européens avant toute décision.

"Il est très important pour nous" d'avoir l'opinion des Européens sur cette question, a affirmé mercredi le commissaire européen à la Santé Markos Kyprianou devant quelques journalistes à Bruxelles. Il a ajouté qu'aucune décision rapide ne serait prise, faisant valoir que l'EFSA ne rendrait son avis final sur la question qu'en mai.

D'après agence
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Dowbette
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Message par Dowbette »

Merci HAMLET-30, ça répond à ma question. Pourquoi ? Pour baisser les prix en jouant avec la concurrence. 8)
IDE depuis le 31 mai 2012 ! :D
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salima-69
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Message par salima-69 »

Cancer de la prostate : bientôt un test pour évaluer les risques
France Info - 07:39
Une équipe de scientifiques américains et suédois a découvert que certaines mutations génétiques augmentent le risque de développer un cancer de la prostate. Un test pour évaluer les risques de développer ce cancer est en préparation.


Les résultats des travaux ont été publiés dans le New England Journal of Medecine : plusieurs variations génétiques augmentent nettement les prédispositions héréditires au cancer de la prostate.

Le cancer de la prostate est responsable de 10 000 morts par an en France. Environ 40 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année. Une simple prise de sang permettra bientôt aux hommes qui le souhaitent de réaliser un test pour savoir s’ils sont, ou non, exposés à un risque supérieur à la moyenne d’être atteints d’un cancer de la prostate.

Le seul test de dépistage du cancer de la prostate, actuellement disponible, consiste en un dosage de la PSA (Antigène Prostatique Spécifique), une molécule connue pour être un marqueur biologique de cette tumeur. Mais l’efficacité de cette pratique fait l’objet de polémique.
Lyon Croix RougeESI 2008/2011
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Message par HAMLET-30 »

Des médicaments non remboursés bientôt en accès libre

Martine Perez
18/01/2008 | Mise à jour : 12:30 | Commentaires 1 .
Au deuxième trimestre 2008, certaines molécules vendues sans ordonnance seront en libre-service dans les pharmacies. Le but : faire baisser le prix des médicaments en vente libre.
Vous pourrez bientôt choisir l'antalgique ou l'antitussif de votre choix, puisque certains de ces produits seront vendus en libre-service dans les pharmacies à partir du deuxième trimestre 2008. Cette décision annoncée hier par Roselyne Bachelot fait suite à un rapport publié l'an dernier, qui recommandait au gouvernement de favoriser l'automédication en mettant certains médicaments en libre-service dans les officines. Il est pour l'instant hors de question de vendre ces molécules dans des grandes surfaces, comme aux États-Unis. Un des objectifs de cette décision est de faire baisser les prix des médicaments non remboursés par le jeu de la concurrence. « Quand un produit est vendu devant le comptoir, vous pouvez plus facilement comparer les prix » , expliquait hier Mme Bachelot dans Le Parisien.

Les médicaments qui seront accessibles dans les linéaires des pharmacies concernent, selon la ministre, environ 200 spécialités répondant aux critères de sécurité définis par l'Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé). Il s'agit d'an­talgiques, d'antitussifs, de mé­dicaments ORL, dermatologiques ou de spécialités utilisées en gastro-entérologie, en ophtalmologie, mais aussi des produits de se­vrage antitabagique. Au total, 3 000 produits seraient potentiellement éligibles.


Plus vigilant avec les notices

Cet accès libre concernera uniquement les médicaments délivrables hors prescription. Jusqu'à présent, seuls les produits de parapharmacie étaient en accès libre pour les clients-patients dans les pharmacies. Les médicaments, mê­me non remboursés et même accessibles hors prescription, de­meuraient installés derrière le comptoir. Ils seront désormais « devant le comptoir ».

Les quelques médecins généralistes que nous avons interrogés estiment que cela ne devrait pas changer grand-chose sur le plan médical. « Si cela peut faire baisser le prix des médicaments non remboursés, c'est une très bonne chose, car beaucoup de patients se plaignent de leur prix, assure le Dr Alain Pariente (médecin généraliste à Paris). Notre seule inquiétude porte sur les effets secondaires. Ce n'est pas parce qu'un médicament est en vente libre qu'il n'a pas d'effets secondaires ou de contre-indications. Par exemple, l'Actifed et l'Humex ne doivent pas être prescrits à des patients atteints de glaucome, d'adénome prostatique ou encore d'hypertension. Il existe aussi des interactions entre médicaments qui peuvent avoir de graves conséquences. Il est donc très important que le patient lise la notice du produit avec les mises en garde et qu'il les respecte. Aux États-Unis, il y a des rayons entiers de médicaments dans les supermarchés sans problème. Il n'y a pas de raison pour que la vente libre en France pose plus de difficultés qu'ailleurs.»

Les laboratoires ont salué jeudi la vente annoncée de médicaments en libre-service dans les pharmacies, jugeant que cela permettra de soigner « plus facilement des maladies bénignes» .

Les En­treprises du médicament (Leem, patronat) ont également affirmé « ne pas attendre de cette facilité un développement significatif de leur activité, compte tenu de la liste limitée des médicaments concernés, 200 au départ, 1 000 à 1 500 ensuite ».

Bien qu'elle ne soit pas concernée par cette mesure, la Fédération des entreprises du commerce et de la distribution (FCD) s'est réjouie, elle aussi, de l'annonce de Mme Bachelot affirmant que « la concurrence fera baisser les prix ». On ne peut que souhaiter que les prix de ces médicaments vendus « devant le comptoir » deviennent enfin raisonnables.

INFOGRAPHIE Le prix des médicaments déremboursés
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Message par HAMLET-30 »

Des malades arrêtent de se soigner pour dénoncer les franchises
LE MONDE | 18.01.08 | 11h49

il a choisi ce mode radical d'action car, "à notre époque, il faut faire des choses un peu provocantes si on veut se faire entendre". Bruno-Pascal Chevalier, 45 ans, travailleur social et malade du sida, a entamé "une grève des soins" pour protester contre l'instauration des franchises médicales et l'augmentation des déremboursements de médicaments.

Affirmant agir au nom de "toutes les personnes exclues du système de santé", M. Chevalier ne prend plus son traitement depuis fin septembre 2007 mais n'a rendu publique son action qu'après l'entrée en vigueur des franchises, le 1er janvier. Jeudi 17 janvier, l'Association française des diabétiques a fait savoir qu'un patient traité à l'insuline avait lui aussi cessé son traitement, mettant dorénavant "sa vie en jeu". Un insuffisant rénal a fait part de la même initiative.

Depuis le début de l'année, les assurés sociaux ne sont plus remboursés de 50 centimes d'euros par boîte de médicament et acte paramédical, et de 2 euros par transport sanitaire, dans la limite d'un plafond de 50 euros par an. Ces franchises, qui s'appliquent notamment aux malades en affection longue durée (ALD), s'ajoutent au forfait d'1euro sur le remboursement des consultations médicales, instauré en 2004, et aux 18 euros sur les interventions hospitalières dépassant 91 euros.

Un "collectif national contre les franchises médicales et pour l'accès aux soins pour tous", a été mis en place à l'automne 2007, réunissant partis de gauche et associations de patients, et soutenant une pétition de plus de 86 000 signatures. C'est "pour aller plus loin" que l'action symbolique du collectif, qui lui a apporté son soutien, que M. Chevalier, responsable du centre communal d'action sociale de Morsang-sur-Orge (Essonne), ancien militant d'Act-Up et d'Aides, a décidé d'entamer sa grève de soins. Affirmant "être fatigué, mais pas à l'article de la mort", il dissuade les personnes qui le contactent sur son blog (www.grevedesoins.fr) de l'imiter.

Le 3 janvier, il écrivait à Nicolas Sarkozy, pour demander "l'abrogation de cette loi injuste". "Avec la franchise médicale, chacun de nous se sent responsable voire coupable d'être malade, et, par cette faute, nous allons devoir payer pour l'accès à ce droit fondamental qu'est celui de la santé", écrivait-il.

Dans sa réponse, datée du 14 janvier, le chef de l'Etat justifie les franchises, en affirmant que, "lorsque la situation de l'assurance-maladie est dégradée, les nouveaux besoins en matière de santé supposent de nouveaux financements". Rappelant que les franchises devraient permettre de mieux prendre en charge les malades d'Alzheimer, du cancer ou en soins palliatifs, il affirme qu'elle ne prive nullement de soins "les plus vulnérables", puisque les bénéficiaires de la couverture maladie universelle, les enfants et les femmes enceintes en sont exonérés, "soit 15 millions de personnes".

M. Sarkozy estime par ailleurs que le plafonnement des franchises, équivalent à 4 euros par mois, "est une somme modique". "Toutes les objections faites à ce dispositif me semblent occulter cette réalité", écrit-il.

Au passage, le président de la République énonce une contre-vérité. Il affirme que "les franchises sont assurables par les organismes complémentaires dans le cadre des contrats responsables, ce qui offre un niveau de protection supplémentaire". Or la loi 2008 de finances de la Sécurité sociale exclut le remboursement des franchises dans le cadre des "contrats responsables", qui représentent la quasi-totalité de l'offre des mutuelles et des complémentaires santé.

Le principe de ces contrats, instaurés en 2004, est de ne pas rembourser les forfaits et franchises, afin de responsabiliser les patients dans leur consommation de soins, tout en n'augmentant pas le coût des cotisations. Selon la Mutualité française, si elles devaient être prises en charge par les complémentaires santé, les franchises impliqueraient une hausse de 15 % à 20 % des contrats.

Cécile Prieur
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Message par HAMLET-30 »

Manger trop de chocolat nuirait à la santé des os
Publié le 18 janvier 2008 - 09:21
La consommation de chocolat ne serait pas bonne pour la densité des os.
Il s'agit de la première étude faisant un lien entre consommation de chocolat et densité osseuse Une étude australienne publiée dans la revue American Journal of Clinical Nutrition réalisée auprès de 1.000 femmes âgées de 70 à 85 ans montre que plus on consomme de chocolat, et plus on a les os fins.

Selon les auteurs, il s'agirait des premiers travaux faisant un lien entre consommation de chocolat et densité osseuse.

Les résultats de l'étude révèlent que les femmes qui consomment quotidiennement du chocolat auraient une densité osseuse de 3,1% inférieure à celles qui n'en consomment qu'une fois par semaine.

Selon les auteurs de l'étude, ce constat pourrait être lié à la présence d'oxalates dans le chocolat, qui ont pour effet de diminuer l'absorption du calcium et du sucre.

Jusqu'ici, les études sur le chocolat avaient plutôt démontré les vertus d'une consommation raisonnable de chocolat noir, grâce aux flavonoïdes qu'il contient. Celui-ci aurait une action antidéprime, anticoagulante, antioxydante et stimulerait le cerveau.
Source : Relaxnews
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Message par HAMLET-30 »

Le bon point de Greenpeace à Apple

L'ONG constate qu'Apple est sur "la bonne voie" en matière de développement de produits écologiques avec le MacBook Air, même s'il reste encore quelques efforts à faire.
A l'automne, Greenpeace avait notamment épinglé l'iPhone, que l'ONG qualifiait "d'innovation loin de toute préoccupation écologique".
A.C. (avec agence) - le 18/01/2008 - 14h24
Bien, mais peut encore mieux faire. Greenpeace a salué vendredi les efforts d'Apple en matière de respect de l'environnement, avec la sortir de son MacBook Air, un ordinateur qui ne contient ni arsenic ni mercure. "C'est un premier pas vers l'éco conception qui va au-delà des exigences de la réglementation européenne" sur les substances dangereuses et "place la barre très haut pour les industries concurrentes", a estimé l'ONG.

Greenpeace note également l'absence de retardateurs de flammes bromés et de plastique chloré de type PVC dans le câblage de la carte mère, "ce qui constitue une grande avancée, même si la marque Sony l'a déjà réalisé sur plusieurs modèles de sa gamme d'ordinateurs portables", rappelle-t-elle.

Apple doit généraliser sa démarche

"Apple est sur la bonne voie", estime Yannick Vicaire, responsable des campagnes Toxiques de Greenpeace. "Elle doit maintenant généraliser cette nouvelle démarche d'éco conception à tous ses produits, qu'ils soient anciens ou nouveaux» commente Yannick Vicaire, chargé de campagne Toxiques à Greenpeace.

A la suite d'une campagne de 50.000 "cyberactivistes", rappelle Greenpeace, Apple s'était engagé à éliminer de ses produits d'ici fin 2008 les substances mentionnées, nuisibles à l'environnement et à la santé. Greenpeace avait notamment épinglé l'iPhone, que l'ONG qualifiait "d'innovation loin de toute préoccupation écologique".
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Message par HAMLET-30 »

Le Planning familial relance la bataille de l'avortement

Crédit Photo : TF1/LCI Affiche du Planning familial pour le droit à l'avortement (18 janvier 2008)
Un droit, l'IVG ? Oui, mais pas toujours facile à faire appliquer. Délais d'attente, refus de prise en charge : le Planning familial monte au créneau.
Une campagne d'affichage dans le métro parisien est lancée à partir de ce 18 janvier.
- le 18/01/2008 - 12h33
"Sexualité - Contraception - Avortement - Un droit, mon choix". Trois mots et un rappel : la contraception et l'avortement sont un droit. L'affiche, sur fond de visages de couples souriants, interpelle depuis ce 18 janvier les usagers du métro parisien. C'est le nouveau cheval de bataille du Planning familial. Un combat d'arrière-garde ? Il est vrai que l'interruption volontaire de grossesse a été légalisée voilà plus de trente ans. Et pourtant, l'accès à l'IVG reste difficile en France, selon les associations.

Refus de prise en charge, délais importants, invocation de la clause de conscience et diminution du nombre de centres dédiés à l'IVG, forcent les femmes à livrer une véritable course contre la montre pour rester dans les délais légaux de 12 semaines. Le Mouvement français pour le Planning familial évalue, pour l'ensemble de la France, le nombre de femmes contraintes chaque année d'aller avorter à l'étranger à 3000-5000. Avec des disparités régionales. L'Ile-de-France, la Provence-Alpes-Côte d'Azur et l'Outre-Mer connaissent les plus grandes difficultés d'accès à l'IVG. D'où le choix de l'Ile-de-France, région particulièrement concernée par le problème, pour lancer cette campagne d'affichage.

L'avortement, une course d'obstacles

"Ce qui est un droit et devrait être obtenu facilement en un minimum de temps est aujourd'hui une tolérance, une course d'obstacles très dure à vivre psychologiquement", explique Maïté Albagly, secrétaire générale du Planning familial. Une enquête réalisée entre janvier et avril 2005 pour la DHOS (direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins) a constaté 47% de refus de prise en charge (deux fois plus importants dans le privé que dans le public), à l'issue d'un appel téléphonique. Les raisons avancées sont diverses : pas de rendez-vous disponible, absence de prise en charge des IVG tardives (plus de 10 semaines), refus car la femme n'habite pas à proximité, clause de conscience.

Outre ces réticences, dans 94% des établissements, l'IVG est pratiqué en fonction des plages horaires libérées par les autres activités. Lorsqu'une date d'intervention est donnée, elle est fixée dans 25% des cas 2 à 3 semaines après l'appel. Et très souvent, il est demandé avant le premier rendez-vous une échographie, pour vérifier où en est la grossesse. "Non seulement cela rallonge les délais, mais c'est aussi très dur psychologiquement car la femme n'ose pas dire qu'elle ne garde pas l'enfant", estime Danièle Gaudry, gynécologue adhérente au Planning familial.

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Message par HAMLET-30 »

Roselyne Bachelot veut sauver votre peau

Les professionels du piercing se disciplinentLe ministère de la santé compte publier dans les prochaines semaines deux décrets réglementant le piercing et le tatouage.
Une perspective qui est loin d'enchanter tous les professionnels, dont certains dénoncent un texte trop rigide.
- le 17/01/2008 - 19h19
Le ministère de la santé les annonce pour les prochaines semaines : deux décrets devraient bientôt réglementer le piercing et le tatouage. Confirmant des informations du Quotidien du Médecin, le ministère a précisé jeudi que les deux décrets avaient été validés par le Conseil d'Etat. Ils devraient être soumis à la signature de la ministre de la santé Roselyne Bachelot d'ici deux semaines, ainsi qu'aux ministres de la Justice Rachida Dati et de l'Economie Christine Lagarde.

Les deux textes seront les premiers à réglementer les conditions de tatouage et de piercing, souligne le ministère. Ils précisent les règles de fabrication, de conditionnement et d'importation des produits utilisés, ainsi que les conditions d'hygiène que doivent respecter les professionnels, avec notamment "l'utilisation de dispositifs à usage unique".

Les risques : septicémie, hépatites, allergies...

Dans un rapport récent, l'Académie nationale de médecine avait pointé les "risques réels" du piercing et du tatouage, et dressé un inventaire détaillé des nombreuses complications que peuvent entraîner ces pratiques "sans aucun contrôle médical" (septicémie, hépatites, allergies, complications dentaires...). Elle avait réclamé "des mesures de réglementation ou au minimum d'encadrement", souhaitant "des conditions de sécurité identiques à celles d'un acte médico-chirurgical".

Parmi ses dix recommandations, l'Académie préconisait que les studios de tatouage ou perçage soient agréés par les autorités sanitaires compétentes et que le futur client reçoive "une fiche d'information standardisée, établie par les autorités sanitaires".

Les syndicats professionnels ont réagi vigoureusement jeudi au rapport et au projet de décret. "Le décret, si c'est celui dont on a eu connaissance, va beaucoup trop loin, avec l'obligation d'utiliser des dispositifs stériles", s'est insurgé le président du Syndicat National des Artistes Tatoueurs M. Tin-Tin. "Le tout-stérile n'est utilisé ni par les gynécologues ni par les dermatologues", fait-il valoir. Le SNAT dénonce, comme le syndicat des perceurs professionnels français les "préjugés" et le "parti pris" du rapport de l'Académie de médecine.

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Message par aneso81 »

Une conférence grand public sur les « gestes qui sauvent »

[17 janvier 2008 - 07:55]

En marge du XVIIIème Congrès de la Société française de Cardiologie qui se déroule actuellement à Paris, la Fédération française de Cardiologie (FFC) organise une conférence publique sur le thème "Arrêt cardiaque : 1 vie = 3 gestes". Pour y participer, rendez-vous samedi 19 janvier de 14h à 16h30 à l’Amphithéâtre « Bordeaux » du Palais des Congrès de Paris, Porte Maillot. L’entrée y sera gratuite.

Appelez-Massez-Défibrillez : voilà selon la FFC, les trois gestes qui sauvent une personne en arrêt cardio-respiratoire. La priorité est de composer le 15, rappelle la Fédération. Laquelle insiste sur le fait que « 40 000 à 60 000 Français sont victimes chaque année d’une mort subite. Un décès sur trois pourrait être évité si les Français connaissaient mieux les gestes qui sauvent et si les lieux publics étaient davantage équipés de défibrillateurs automatiques ».

Au programme de cette conférence publique, plusieurs présentations réalisées par des spécialistes comme le Pr Pierre Carli, médecin urgentiste et directeur du SAMU de Paris. Avec son équipe, il effectuera d’ailleurs une démonstration « grandeur nature » des gestes qui sauvent. Pour en savoir davantage, rendez-vous à l’adresse http://www.fedecardio.com/ewb_pages/c/campagne-1272.php.

Rappelons enfin que des formations existent pour apprendre les gestes qui sauvent et se voir délivrer une attestation de formation aux premiers secours (AFPS). Renseignez-vous auprès de la Protection civile (sur Paris uniquement), de la Croix-Rouge française ou des Sapeurs Pompiers.
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Message par aneso81 »

Des larves pour traiter les plaies ? Peut-être l’avenir…

[17 janvier 2008 - 14:10]

Saviez-vous qu’en France, les larves d’asticots bénéficiaient du statut de médicament ? Elles sont parfois utilisées en effet, dans la prise en charge des plaies chroniques. Les spécialistes parlent alors de larvothérapie. Une étude de grande ampleur vient de débuter dans 3 centres hospitaliers. Objectif : évaluer l’efficacité de ce traitement, déjà vieux de quatre siècles.

Au total, 120 patients participent à ce travail randomisé, en double aveugle. Les uns doivent être traités par larvothérapie, les autres recevant les traitements classiques (antibiothérapie). « Les résultats seront publiés vers la fin 2008 », souligne le Dr Anne Dompmartin, qui coordonne ce travail au CHU de Caen. Les deux autres centres d’étude sont situés à Paris et Lyon.

La larvothérapie est définie comme l’emploi d’asticots à des fins thérapeutiques. Les plaies chroniques (ulcère veineux, plaie d’amputation, escarre…) en constituent la principale indication. Leur efficacité repose sur le fait que les larves se nourrissent des tissus nécrosés de la plaie. « La larve émet une salive qui détruit la fibrine et les tissus morts » enchaîne la spécialiste. « Elle a une action bactéricide sur certaines bactéries (staphylocoques résistants) et stimule la cicatrisation en augmentant le pH local ».

Précision d’importance, les larves ne sont pas disposées directement sur la plaie, « afin d’éviter qu’elles ne sortent du pansement ». Elles sont déposées dans un sac à la paroi très fine. « Les patients ne les voient pas avant le soin et surtout ne les sentent pas. Il est très important de le préciser, car le premier obstacle à leur emploi est avant tout psychologique ».

Les premiers patients ? Des soldats livrés à eux-mêmes sur le champ de bataille

Chaque année en France -« en dehors du protocole multicentrique »- seule une cinquantaine de patients bénéficieraient de la larvothérapie. « A chaque fois, nous demandons à l’AFSSaPS une Autorisation temporaire d’utilisation (ATU) », explique Anne Dompmartin. Ce traitement rare comporte à ses yeux plusieurs avantages majeurs : « la facilité du soin, puisque le personnel infirmier n’a pas à décaper la plaie. Etape douloureuse mais indispensable, ce temps de détersion est assuré par les larves. Le travail des larves permet aux infirmières d’effectuer un soin plus rapide et de meilleure qualité pour préparer le lit de la plaie à la cicatrisation. L’efficacité clinique de la larvothérapie est souvent spectaculaire ».

Une efficacité constatée encore récemment dans une étude portant sur onze patients et réalisée à l’hôpital Desgenettes de Lyon. « Neuf cas ont été d’incontestables succès » ont précisé les auteurs. « Ce traitement a été jugé positif par le personnel soignant spécialisé dans la prise en charge des plaies ».

Les effets bénéfiques des larves sur les plaies ne datent pas d’hier. Après Ambroise Paré au XVIème siècle, le Dr William Baer avait constaté leur action antiseptique lors de la Première Guerre mondiale sur deux soldats, « abandonnés » sur le champ de bataille pendant 7 jours. Ils présentaient d’importantes plaies abdominales et fémorales, lesquelles étaient infestées de larves. Non seulement ces hommes ont cicatrisé, mais ils ont survécu dans d’excellentes conditions à une époque où les antibiotiques n’existaient pas.
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Message par aneso81 »

Journée nationale Hépatites : informer, rassurer, traiter

[18 janvier 2008 - 12:22]

Le samedi 19 janvier, à l’occasion de la 3ème journée nationale Hépatites, professionnels de la santé, chercheurs et associations se mobilisent dans toute la France. Leur objectif : informer bien sûr mais aussi sensibiliser le plus grand nombre au dépistage et à la prévention des hépatites B et C.

Plus de 500 000 Français sont concernés par ces maladies. Et « un patient sur deux l’ignore » explique le Pr Jean-Pierre Zarski, Président de la Fédération nationale des Pôles et Réseaux hépatites (FPRH). « Notre devoir d’information est d’autant plus légitime que nous possédons désormais des traitements très efficaces contre ces maladies ». Des traitements qui permettent parfois d’éviter, ou de retarder leur trop fréquente évolution vers une cirrhose ou un cancer.

L’enjeu est de taille. Pour Jean-Pierre Zarski, « si on parvenait à dépister l’ensemble des sujets porteurs d’un virus de l’hépatite B ou C, la mortalité actuelle pourrait diminuer de 30% à 40% d’ici 10 à 15 ans ». Rappelons que chaque année en France, 1 500 personnes décèdent d’une hépatite B. Et 2 600 des suites d’une hépatite C.

Près d’une quarantaine de manifestations sont prévues dans toute la France. Chacune d’entre elles sera l’occasion de découvrir le « Parcours hépatites ». Un drôle de jeu qui vous invite à « rebondir » de case en case pour vous informer sur les hépatites B et C. Pour tout savoir, rendez-vous sur http://www.journee-hepatites.com.
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Message par aneso81 »

Le thermalisme fait ses preuves contre les troubles anxieux

[18 janvier 2008 - 14:11]

Bonne nouvelle une fois n’est pas coutume, pour les personnes qui souffrent d’anxiété, de stress, de déprime. Mieux vaut dans certains cas, faire une cure thermale plutôt que de prendre des antidépresseurs ! Une étude financée par le Conseil national des Exploitants thermaux, révèle en effet l’intérêt médical du thermalisme dans la prise en charge du trouble anxieux généralisé (TAG).

STOP-TAG (pour Suivi du Thermalisme à Orientation Psychosomatique dans le Trouble Anxieux Généralisé) est un essai comparatif randomisé de deux groupes de patients (237 au total) souffrant de TAG.

Cette approche méthodologique s’inscrit en droite ligne des recommandations de l’Académie nationale de Médecine en la matière. Le premier groupe de patients a suivi une cure thermale de trois semaines. Le deuxième lui, s’est vu prescrire dans un premier temps de la paroxétine, un antidépresseur leader de la classe des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (IRS). Ce traitement a été suivi d’une cure thermale « pour égaliser les deux groupes » et préserver le principe du double aveugle, précisent les auteurs. L’évaluation a eu lieu à huit semaines de traitement.

« La moyenne d’amélioration de l’état des patients après la cure thermale a été de 50%, pour seulement 35,6% après traitement médicamenteux » affirme le psychiatre et médecin thermal Olivier Dubois, principal auteur de ce travail.

Cette étude est la première du genre en France. Elle devrait peut-être contribuer à faire baisser le recours aux antidépresseurs dans notre pays. Champions d’Europe en la matière, les Français en consomment en effet près de 65 millions de boîtes chaque année… avec tous les risques liés à leur utilisation. En tout cas, une petite cure thermale pour sa part, ne devrait pas faire de mal !
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