Culture Générale
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Ordonnances expirées: les pharmaciens autorisés à dépanner certains malades
21.01.08 | 13h01
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es pharmaciens vont être autorisés à délivrer pour une fois des médicaments à des malades chroniques lorsque la validité de l'ordonnance est expirée, a annoncé lundi le ministère de la Santé dans un communiqué.
Un décret publié "dans les prochains jours" autorisera "les pharmaciens à délivrer, lorsque la validité de l'ordonnance est expirée, les médicaments nécessaires à la poursuite d'un traitement chronique", précise le ministère.
"Cette mesure, consentie à titre exceptionnel, permettra à ces malades d'éviter une interruption de traitement qui pourrait porter préjudice à leur santé", explique-t-il.
"La même ordonnance ne pourra donner lieu à d'autres dispensations", indique le communiqué.
"Pour garantir la qualité de soins offerte aux patients", l'ordonnance présentée par le patient et dont la durée de validité est expirée, devra "concerner un traitement d'au moins trois mois, limitant ainsi son application aux traitements chroniques".
Les médicaments prescrits pour une durée plus courte et les "médicaments stupéfiants" sont exclus de cette mesure.
Le pharmacien devra par ailleurs "délivrer le traitement dans le conditionnement comportant le plus petit nombre d'unités de prise, inscrire sur l'ordonnance la mention +délivrance par procédure exceptionnelle d'une boîte supplémentaire+ et y apposer le timbre de l'officine et la date de délivrance", annonce le ministère de la Santé, précisant que "la même ordonnance ne pourra donner lieu à d'autres dispensations".
Enfin, le pharmacien devra "informer le médecin prescripteur de cette dispensation exceptionnelle".
21.01.08 | 13h01
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es pharmaciens vont être autorisés à délivrer pour une fois des médicaments à des malades chroniques lorsque la validité de l'ordonnance est expirée, a annoncé lundi le ministère de la Santé dans un communiqué.
Un décret publié "dans les prochains jours" autorisera "les pharmaciens à délivrer, lorsque la validité de l'ordonnance est expirée, les médicaments nécessaires à la poursuite d'un traitement chronique", précise le ministère.
"Cette mesure, consentie à titre exceptionnel, permettra à ces malades d'éviter une interruption de traitement qui pourrait porter préjudice à leur santé", explique-t-il.
"La même ordonnance ne pourra donner lieu à d'autres dispensations", indique le communiqué.
"Pour garantir la qualité de soins offerte aux patients", l'ordonnance présentée par le patient et dont la durée de validité est expirée, devra "concerner un traitement d'au moins trois mois, limitant ainsi son application aux traitements chroniques".
Les médicaments prescrits pour une durée plus courte et les "médicaments stupéfiants" sont exclus de cette mesure.
Le pharmacien devra par ailleurs "délivrer le traitement dans le conditionnement comportant le plus petit nombre d'unités de prise, inscrire sur l'ordonnance la mention +délivrance par procédure exceptionnelle d'une boîte supplémentaire+ et y apposer le timbre de l'officine et la date de délivrance", annonce le ministère de la Santé, précisant que "la même ordonnance ne pourra donner lieu à d'autres dispensations".
Enfin, le pharmacien devra "informer le médecin prescripteur de cette dispensation exceptionnelle".
Courage à tous et à toutes !
dernière ligne droite, on y croit tous ! No stress que de la motivation !!!
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grippe aviaire pandemie
Grippe Aviaire - Risque de pandémie - Vaccin
Grippe aviaire, l’Angleterre confirme un nouveau cas de virus H5N1 chez un cygne 21/01/2008 15:47 (Par Pierre MELQUIOT)
Grippe aviaire, l’Angleterre confirme un nouveau cas de virus H5N1 chez un cygne. L’Angleterre a en effet confirmé dimanche avoir détecté un nouveau cas de virus H5N1 de la grippe aviaire chez un cygne qui a été retrouvé mort dans le Dorset, dans le sud du pays.
L’Angleterre a confirmé avoir détecté un nouveau cas de virus H5N1 de la grippe aviaire chez un cygne. Le ministère britannique de l'Agriculture a en effet annoncé dimanche la découverte de la souche mortelle H5N1 de la grippe aviaire sur un cinquième cygne dans le Dorset, dans le sud de l'Angleterre.
Le Defra a confirmé dimanche un cinquième cas de cygne atteint par le virus hautement pathogène de la grippe aviaire recueillis le 14 janvier dans le cadre de la surveillance des oiseaux sauvages dans la région du sud de l’Angleterre où ont été testés positifs quatre cygne au virus H5N1 hautement pathogène de la grippe aviaire.
Grippe Aviaire - Risque de pandémie - Vaccin
Grippe aviaire, l’Angleterre confirme un nouveau cas de virus H5N1 chez un cygne 21/01/2008 15:47 (Par Pierre MELQUIOT)
Grippe aviaire, l’Angleterre confirme un nouveau cas de virus H5N1 chez un cygne. L’Angleterre a en effet confirmé dimanche avoir détecté un nouveau cas de virus H5N1 de la grippe aviaire chez un cygne qui a été retrouvé mort dans le Dorset, dans le sud du pays.
L’Angleterre a confirmé avoir détecté un nouveau cas de virus H5N1 de la grippe aviaire chez un cygne. Le ministère britannique de l'Agriculture a en effet annoncé dimanche la découverte de la souche mortelle H5N1 de la grippe aviaire sur un cinquième cygne dans le Dorset, dans le sud de l'Angleterre.
Le Defra a confirmé dimanche un cinquième cas de cygne atteint par le virus hautement pathogène de la grippe aviaire recueillis le 14 janvier dans le cadre de la surveillance des oiseaux sauvages dans la région du sud de l’Angleterre où ont été testés positifs quatre cygne au virus H5N1 hautement pathogène de la grippe aviaire.
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Mobilisation contre les franchises médicales
21/01/2008 - 10h20
Le Collectif national contre les franchises a lancé la pétition « Appel contre la franchise Sarkozy ». Ce mouvement a annoncé une mobilisation importante, comptabilisant déjà près de 96 000 signataires. Une autre pétition, à l’initiative de l'Union confédérale des retraités CGT (UCR-CGT), aurait recueilli plus de 200 000 signatures.
Rappelons que ces franchises ont été mises en place en début d'année. Les malades prennent à leur charge 50 centimes par boîte de médicaments achetée, et deux euros lors d'un transport en ambulance (par trajet). Des soins paramédicaux sont aussi soumis à cette franchise. Le plafond est fixé à 50 euros par an et par patient.
Depuis l’annonce de la grève des soins de Bruno-Pascal Chevalier, malade du Sida, d’autres malades se sont mis en grève de traitement pour dénoncer ce nouveau système. De leur côté, ni la ministre de la Santé, ni le Président de la République n’ont montré d’intention de modifier cette disposition.
21/01/2008 - 10h20
Le Collectif national contre les franchises a lancé la pétition « Appel contre la franchise Sarkozy ». Ce mouvement a annoncé une mobilisation importante, comptabilisant déjà près de 96 000 signataires. Une autre pétition, à l’initiative de l'Union confédérale des retraités CGT (UCR-CGT), aurait recueilli plus de 200 000 signatures.
Rappelons que ces franchises ont été mises en place en début d'année. Les malades prennent à leur charge 50 centimes par boîte de médicaments achetée, et deux euros lors d'un transport en ambulance (par trajet). Des soins paramédicaux sont aussi soumis à cette franchise. Le plafond est fixé à 50 euros par an et par patient.
Depuis l’annonce de la grève des soins de Bruno-Pascal Chevalier, malade du Sida, d’autres malades se sont mis en grève de traitement pour dénoncer ce nouveau système. De leur côté, ni la ministre de la Santé, ni le Président de la République n’ont montré d’intention de modifier cette disposition.
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PARIS - Bruno-Pascal Chevalier, le premier malade du SIDA ayant suspendu son traitement pour protester contre le principe de la franchise médicale, a dénoncé lundi un système qui "culpabilise" les malades.
(publicité)
"On culpabilise les malades en disant: 'Parce que vous êtes malades, il va falloir que vous payiez, que vous participiez aux soins", a-t-il déclaré sur RTL. "C'est scandaleux". Lui-même a cessé son traitement "depuis septembre", a-t-il précisé.
Le principe de la franchise médicale prévoit que les 45 millions d'assurés sociaux doivent prendre en charge 50 centimes par boîte de médicaments et par acte paramédical, et deux euros par transport sanitaire. Le montant total de la franchise ne peut pas dépasser 50 euros par an. Mais les personnes souffrant d'une affection de longue durée (ALD), qui pâtissent d'importants restes à charge, doivent l'acquitter, ce que dénoncent les malades qui se sont mis en grève de soins.
Réfutant l'idée qu'il risquait sa vie "pour 50 euros", M. Chevalier a affirmé qu'en revanche, "c'est ce qui se passe involontairement pour beaucoup de patients qui ne perçoivent que des petites ressources comme l'allocation adulte handicapé, c'est-à-dire 740 euros par mois, qui tous les mois ont des frais de soins et de santé, qui ne sont plus du tout remboursés par la Sécurité sociale". Et "on leur dit: 'oh la la, vous coûtez cher'", s'est-il indigné. "Ça, c'est aller vers l'assurance privée".
La ministre de la Santé Roselyne Bachelot avait appelé vendredi les malades en grève à reprendre leur traitement, tout en défendant le principe de la franchise. AP
(publicité)
"On culpabilise les malades en disant: 'Parce que vous êtes malades, il va falloir que vous payiez, que vous participiez aux soins", a-t-il déclaré sur RTL. "C'est scandaleux". Lui-même a cessé son traitement "depuis septembre", a-t-il précisé.
Le principe de la franchise médicale prévoit que les 45 millions d'assurés sociaux doivent prendre en charge 50 centimes par boîte de médicaments et par acte paramédical, et deux euros par transport sanitaire. Le montant total de la franchise ne peut pas dépasser 50 euros par an. Mais les personnes souffrant d'une affection de longue durée (ALD), qui pâtissent d'importants restes à charge, doivent l'acquitter, ce que dénoncent les malades qui se sont mis en grève de soins.
Réfutant l'idée qu'il risquait sa vie "pour 50 euros", M. Chevalier a affirmé qu'en revanche, "c'est ce qui se passe involontairement pour beaucoup de patients qui ne perçoivent que des petites ressources comme l'allocation adulte handicapé, c'est-à-dire 740 euros par mois, qui tous les mois ont des frais de soins et de santé, qui ne sont plus du tout remboursés par la Sécurité sociale". Et "on leur dit: 'oh la la, vous coûtez cher'", s'est-il indigné. "Ça, c'est aller vers l'assurance privée".
La ministre de la Santé Roselyne Bachelot avait appelé vendredi les malades en grève à reprendre leur traitement, tout en défendant le principe de la franchise. AP
Ide en chir ortho depuis novembre 2011 ---> démission !
Début a l'hôpital des enfants le 29 octobre puis ...
Etudiante puer' à Toulouse 2013 !
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Action contre la Faim quitte le Burundi
L'organisation humanitaire Action contre la faim (ACF) a annoncé ce soir qu'elle avait décidé de se retirer du Burundi, trois semaines après l'attaque qui a coûté la vie à Agnès Dury, une psychologue de l'ONG, et grièvement blessé une autre expatriée.
"Action contre la Faim a pris la décision d'arrêter ses programmes au Burundi", lit-on dans ce texte.
"A ce jour, les circonstances de ce drame et ses raisons ne sont pas élucidées. La seule certitude est que l'attaque survenue le 31 décembre contre le véhicule d'Action contre la Faim était délibérée", poursuit ACF.
Source: AFP
L'organisation humanitaire Action contre la faim (ACF) a annoncé ce soir qu'elle avait décidé de se retirer du Burundi, trois semaines après l'attaque qui a coûté la vie à Agnès Dury, une psychologue de l'ONG, et grièvement blessé une autre expatriée.
"Action contre la Faim a pris la décision d'arrêter ses programmes au Burundi", lit-on dans ce texte.
"A ce jour, les circonstances de ce drame et ses raisons ne sont pas élucidées. La seule certitude est que l'attaque survenue le 31 décembre contre le véhicule d'Action contre la Faim était délibérée", poursuit ACF.
Source: AFP
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Les News Santé
Cancer du col de l'utérus : informez-vous !
Lundi 21 janvier 2008
Le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF) participe à la semaine européenne de prévention du cancer du col de l'utérus, organisée du 20 au 26 janvier 2008.
Cette semaine de prévention a été créée à l'initiative de l'ECCA (European Cervical Cancer Association). Elle permettra de rappeler que l'arrivée des vaccins contre le cancer du col de l'utérus, recommandés pour les jeunes filles de 14 ans et en "rattrapage" pour les jeunes femmes de 15 à 23 ans, n'exonère pas d'un dépistage régulier par frottis. Cette semaine de sensibilisation sera l'occasion d'informer sur la nécessité d'une surveillance suivie, qui demeure indispensable chez les femmes vaccinées ou non.
Le Collège met à la disposition du grand public un numéro de téléphone Indigo (0,15 €/mn) toute la journée du 23 janvier prochain, de 9h00 à 19h00 : 0820 366 110. Les jeunes filles et leurs mères pourront ainsi poser toutes questions relatives aux infections par papillomavirus, à la vaccination et à la surveillance. Des gynécologues-obstétriciens répondront à leurs interrogations
L'Agence Nationale d'Accréditation et d'Evaluation en Santé (ANAES) recommande notamment un frottis cervico-vaginal tous les 3 ans après deux frottis normaux à un an d'intervalle chez les femmes âgées de 25 à 65 ans, ayant une activité sexuelle. Pratiqué régulièrement, le frottis permet de détecter des lésions précancéreuses asymptomatiques impossibles à diagnostiquer par d'autres techniques. De plus, le vaccin ne protége pas contre tous les cancers du col de l'utérus, le CNGOF encourage donc les femmes à poursuivre le système de dépistage par frottis et propose de nouvelles recommandations pour le dépistage et le traitement des lésions pré-cancéreuses.
Source : Communiqué du CNGOF - janvier 2008
Cancer du col de l'utérus : informez-vous !
Lundi 21 janvier 2008
Le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF) participe à la semaine européenne de prévention du cancer du col de l'utérus, organisée du 20 au 26 janvier 2008.
Cette semaine de prévention a été créée à l'initiative de l'ECCA (European Cervical Cancer Association). Elle permettra de rappeler que l'arrivée des vaccins contre le cancer du col de l'utérus, recommandés pour les jeunes filles de 14 ans et en "rattrapage" pour les jeunes femmes de 15 à 23 ans, n'exonère pas d'un dépistage régulier par frottis. Cette semaine de sensibilisation sera l'occasion d'informer sur la nécessité d'une surveillance suivie, qui demeure indispensable chez les femmes vaccinées ou non.
Le Collège met à la disposition du grand public un numéro de téléphone Indigo (0,15 €/mn) toute la journée du 23 janvier prochain, de 9h00 à 19h00 : 0820 366 110. Les jeunes filles et leurs mères pourront ainsi poser toutes questions relatives aux infections par papillomavirus, à la vaccination et à la surveillance. Des gynécologues-obstétriciens répondront à leurs interrogations
L'Agence Nationale d'Accréditation et d'Evaluation en Santé (ANAES) recommande notamment un frottis cervico-vaginal tous les 3 ans après deux frottis normaux à un an d'intervalle chez les femmes âgées de 25 à 65 ans, ayant une activité sexuelle. Pratiqué régulièrement, le frottis permet de détecter des lésions précancéreuses asymptomatiques impossibles à diagnostiquer par d'autres techniques. De plus, le vaccin ne protége pas contre tous les cancers du col de l'utérus, le CNGOF encourage donc les femmes à poursuivre le système de dépistage par frottis et propose de nouvelles recommandations pour le dépistage et le traitement des lésions pré-cancéreuses.
Source : Communiqué du CNGOF - janvier 2008
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Le lundi 21 janvier 2008
Offensive contre les nouveaux produits du tabac
Les produits dérivés du tabac, en particulier les cigarillos à saveur de fruits, connaissent un regain de popularité.
Le Soleil, Patrice Laroche
Daphnée Dion-Viens
Le Soleil
Québec
La cigarette perd des adeptes, alors que les nouveaux produits du tabac font fureur. Le Conseil québécois sur le tabac et la santé lance une nouvelle offensive contre les cigarillos à saveur de fruits, le tabac à chiquer et la chicha, toujours plus populaires auprès des jeunes.
Le lancement de la Semaine québécoise pour un avenir sans tabac était l’occasion hier de révéler que le taux de tabagisme, en constante diminution depuis 10 ans, est passé sous le cap des 20 % au cours de la dernière année.
La diminution, qui s’est surtout fait sentir chez les jeunes de 20 à 25 ans, est notamment attribuable à l’interdiction de fumer dans les lieux publics, affirme le président du Conseil, Mario Bujold. Depuis six mois, 403 000 fumeurs auraient décidé d’écraser une fois pour toutes, selon cette étude réalisée pour les ministères de la Santé et des Finances.
Mais il ne faudrait pas se réjouir trop vite, ajoute M. Bujold. Les produits dérivés du tabac, en particulier les cigarillos à saveur de fruits, connaissent un regain de popularité. Alors que 15 % des adolescents fument la cigarette, 22 % consomment des cigarillos.
«On voit ici le génie de cette industrie perverse, qui pense constamment à recruter de nouveaux consommateurs, affirme Alain Poirier, directeur national de la santé publique. La popularité de ces produits est un phénomène important qui nous inquiète beaucoup.» Les jeunes croient à tort que ces produits sont moins nocifs que la cigarette, mais ce n’est pas le cas, ajoute le Dr Poirier : «De façon générale, on retrouve de 40 à 50 molécules cancérigènes dans ces produits.»
Le Conseil québécois sur le tabac fait pression auprès du ministère de la Santé pour qu’il resserre la réglementation entourant ces nouveaux produits du tabac, afin qu’ils soient soumis aux mêmes restrictions que la cigarette.
Offensive contre les nouveaux produits du tabac
Les produits dérivés du tabac, en particulier les cigarillos à saveur de fruits, connaissent un regain de popularité.
Le Soleil, Patrice Laroche
Daphnée Dion-Viens
Le Soleil
Québec
La cigarette perd des adeptes, alors que les nouveaux produits du tabac font fureur. Le Conseil québécois sur le tabac et la santé lance une nouvelle offensive contre les cigarillos à saveur de fruits, le tabac à chiquer et la chicha, toujours plus populaires auprès des jeunes.
Le lancement de la Semaine québécoise pour un avenir sans tabac était l’occasion hier de révéler que le taux de tabagisme, en constante diminution depuis 10 ans, est passé sous le cap des 20 % au cours de la dernière année.
La diminution, qui s’est surtout fait sentir chez les jeunes de 20 à 25 ans, est notamment attribuable à l’interdiction de fumer dans les lieux publics, affirme le président du Conseil, Mario Bujold. Depuis six mois, 403 000 fumeurs auraient décidé d’écraser une fois pour toutes, selon cette étude réalisée pour les ministères de la Santé et des Finances.
Mais il ne faudrait pas se réjouir trop vite, ajoute M. Bujold. Les produits dérivés du tabac, en particulier les cigarillos à saveur de fruits, connaissent un regain de popularité. Alors que 15 % des adolescents fument la cigarette, 22 % consomment des cigarillos.
«On voit ici le génie de cette industrie perverse, qui pense constamment à recruter de nouveaux consommateurs, affirme Alain Poirier, directeur national de la santé publique. La popularité de ces produits est un phénomène important qui nous inquiète beaucoup.» Les jeunes croient à tort que ces produits sont moins nocifs que la cigarette, mais ce n’est pas le cas, ajoute le Dr Poirier : «De façon générale, on retrouve de 40 à 50 molécules cancérigènes dans ces produits.»
Le Conseil québécois sur le tabac fait pression auprès du ministère de la Santé pour qu’il resserre la réglementation entourant ces nouveaux produits du tabac, afin qu’ils soient soumis aux mêmes restrictions que la cigarette.
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La France ne peut plus refuser l'adoption à un homosexuel
Laurent Suply et Laure Daussy (lefigaro.fr) avec AFP
22/01/2008 | Mise à jour : 12:09 | .
La Cour européenne des droits de l'homme a condamné la France pour avoir refusé à une institutrice homosexuelle célibataire le droit d'adopter un enfant.
La Cour européenne des droits de l'homme a condamné mardi la France pour discrimination à l'encontre d'une homosexuelle. Celle-ci recevra 10 000 euros pour dommage moral. Mais surtout, cet arrêt de la CEDH bouleverse la jurisprudence en matière d'adoption. « Désormais, la France ne peut plus refuser un agrément d'adoption à une personne célibataire au motif qu'elle est homosexuelle », explique l'avocate de la plaignante, contactée par lefigaro.fr.
La France est en effet condamnée pour avoir refusé à cette femme de 45 ans le droit à adopter, et la décision de la Cour de Strasbourg devrait s'imposer aux juridictions françaises, ainsi qu'à celles des pays européens qui autorisent l'adoption par un célibataire. La demande d'adoption de l'institutrice, déposée en 1998 avec mention de son orientation sexuelle et d'une relation stable avec une femme, avait été refusée. Un refus confirmé en 2000 par la cour administrative d'appel de Nancy, et en 2002 par le Conseil d'Etat, fondé selon ces instances non pas sur une discrimination sur l'orientation sexuelle, mais sur l'absence de figure paternelle, et donc au nom l'intérêt de l'enfant adopté.
Mais mardi, la CEDH a donné tort à la France. Elle estime qu'il y a bien eu discrimination. Dans les différentes décisions françaises, « la référence à l'homosexualité de la requérante était sinon explicite du moins implicite et l'influence de son homosexualité sur l'appréciation de sa demande est non seulement avérée, mais a également revêtu un caractère décisif ».
Elle ajoute que pour refuser cette adoption, dont la demande a été formulée au nom d'une célibataire et non d'un couple homosexuel, il faudrait « des raisons particulièrement graves et convaincantes ». Et, selon la Cour, « de telles raisons n'existent pas (…) puisque le droit français autorise l'adoption d'un enfant par un célibataire ».
Cette décision a été approuvée par dix juges contre sept. Etant émis par la Grande Chambre de la CEDH, il est définitif.
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Sommeil : la cause des lundis difficiles identifiée
Le sommeil de la nuit de dimanche à lundi est le pire de la semaine, selon une étude.
D'autres travaux soulignent que l'usage du téléphone mobile avant d'aller au lit peut également perturber le sommeil.
Matthieu DURAND - le 22/01/2008 - 12h02
Qui ne connaît pas ces lundis matins difficiles, où l'on n'est pas réveillé, où tout énerve, où l'on n'arrive pas à se concentrer ? Il y a une explication : le sommeil de la nuit de dimanche à lundi est le pire de la semaine.
C'est en tout cas ce qui ressort d'une étude britannique menée auprès de 3500 adultes pour le compte de la chaîne d'hôtels Travelodge. Résultat : 60% d'entre eux déclarent dormir le moins bien le dimanche soir alors que la nuit de vendredi à samedi est la plus réparatrice pour 80% des personnes interrogées.
Stress au boulot
Les salariés évoquent principalement le stress du boulot comme cause de leur insomnie dominicale, explique BBC News qui relaie cette étude. Un stress provoqué par des relations difficiles avec son patron, une réunion importante à laquelle assister ou l'arrivée d'une deadline pour un travail qui n'est pas encore prêt.
Tout cela n'est pas sans conséquences sur le lieu de travail : plus d'un quart des personnes interrogées avoue se faire porter pâle le lundi matin, faute d'avoir bien dormi. Ceux qui se rendent malgré tout au bureau ne sont pas d'une efficacité optimale : la moitié du panel déclare avoir des problèmes de concentration, ce qui entraîne des erreurs dans leur travail ; un tiers passe ses nerfs sur son boss et ses collègues ; un salarié sur cinq pique même du nez à son poste.
Le stress du travail est une des causes de ce mauvais sommeil mais pas la seule, souligne toutefois un expert à BBC News, qui relaie l'étude. Veillées tardives, grasses matinées, repas copieux, activités physiques et mentales réduites... le programme du week-end bouleverse les habitudes de sommeil, pointe le Dr Neil Stanley, spécialiste du sommeil à l'hôpital universitaire de Norfolk et Norwich. La solution à ces coups de barre du lundi : rester éveillé et actif la journée et garder les mêmes habitudes de sommeil. "Ce que votre organisme veut vraiment, affirme-t-il, c'est aller au lit et se lever à la même heure chaque jour".
(Mauvaises) ondes
Utiliser un téléphone mobile avant d'aller au lit perturbe également le sommeil. La faute aux ondes électromagnétiques auxquels sont soumis les usagers. Des chercheurs de l'Institut Karolinska (Suède) et de l'Université Wayne (Etats-Unis) sont parvenus à cette conclusion après avoir soumis la moitié d'un panel de 70 personnes des deux sexes aux rayonnements équivalents à ceux émise par un mobile.
Les "exposés" ont mis plus de temps à entrer dans la première phase de sommeil profond et leur phase de sommeil la plus profonde a duré moins longtemps. Les ondes agiraient sur des zones du cerveau qui activent et coordonnent le niveau de stress. Autre explication avancée par les chercheurs : les rayonnements pourraient perturber la production de mélatonine, une hormone qui contrôle l'horloge biologique interne.
La moitié des cobayes s'est par ailleurs déclarée sensible aux ondes électromagnétiques, évoquant des maux de têtes ou des problèmes auditifs après usage du mobile. Toutefois, ces "électrosensibles" ont été incapables de préciser si, au cours du test, ils avaient été soumis ou non à des rayonnements. L'étude a été commanditée par le groupement des constructeurs de téléphones mobiles (Mobile Manufacturers Forum).
Le sommeil de la nuit de dimanche à lundi est le pire de la semaine, selon une étude.
D'autres travaux soulignent que l'usage du téléphone mobile avant d'aller au lit peut également perturber le sommeil.
Matthieu DURAND - le 22/01/2008 - 12h02
Qui ne connaît pas ces lundis matins difficiles, où l'on n'est pas réveillé, où tout énerve, où l'on n'arrive pas à se concentrer ? Il y a une explication : le sommeil de la nuit de dimanche à lundi est le pire de la semaine.
C'est en tout cas ce qui ressort d'une étude britannique menée auprès de 3500 adultes pour le compte de la chaîne d'hôtels Travelodge. Résultat : 60% d'entre eux déclarent dormir le moins bien le dimanche soir alors que la nuit de vendredi à samedi est la plus réparatrice pour 80% des personnes interrogées.
Stress au boulot
Les salariés évoquent principalement le stress du boulot comme cause de leur insomnie dominicale, explique BBC News qui relaie cette étude. Un stress provoqué par des relations difficiles avec son patron, une réunion importante à laquelle assister ou l'arrivée d'une deadline pour un travail qui n'est pas encore prêt.
Tout cela n'est pas sans conséquences sur le lieu de travail : plus d'un quart des personnes interrogées avoue se faire porter pâle le lundi matin, faute d'avoir bien dormi. Ceux qui se rendent malgré tout au bureau ne sont pas d'une efficacité optimale : la moitié du panel déclare avoir des problèmes de concentration, ce qui entraîne des erreurs dans leur travail ; un tiers passe ses nerfs sur son boss et ses collègues ; un salarié sur cinq pique même du nez à son poste.
Le stress du travail est une des causes de ce mauvais sommeil mais pas la seule, souligne toutefois un expert à BBC News, qui relaie l'étude. Veillées tardives, grasses matinées, repas copieux, activités physiques et mentales réduites... le programme du week-end bouleverse les habitudes de sommeil, pointe le Dr Neil Stanley, spécialiste du sommeil à l'hôpital universitaire de Norfolk et Norwich. La solution à ces coups de barre du lundi : rester éveillé et actif la journée et garder les mêmes habitudes de sommeil. "Ce que votre organisme veut vraiment, affirme-t-il, c'est aller au lit et se lever à la même heure chaque jour".
(Mauvaises) ondes
Utiliser un téléphone mobile avant d'aller au lit perturbe également le sommeil. La faute aux ondes électromagnétiques auxquels sont soumis les usagers. Des chercheurs de l'Institut Karolinska (Suède) et de l'Université Wayne (Etats-Unis) sont parvenus à cette conclusion après avoir soumis la moitié d'un panel de 70 personnes des deux sexes aux rayonnements équivalents à ceux émise par un mobile.
Les "exposés" ont mis plus de temps à entrer dans la première phase de sommeil profond et leur phase de sommeil la plus profonde a duré moins longtemps. Les ondes agiraient sur des zones du cerveau qui activent et coordonnent le niveau de stress. Autre explication avancée par les chercheurs : les rayonnements pourraient perturber la production de mélatonine, une hormone qui contrôle l'horloge biologique interne.
La moitié des cobayes s'est par ailleurs déclarée sensible aux ondes électromagnétiques, évoquant des maux de têtes ou des problèmes auditifs après usage du mobile. Toutefois, ces "électrosensibles" ont été incapables de préciser si, au cours du test, ils avaient été soumis ou non à des rayonnements. L'étude a été commanditée par le groupement des constructeurs de téléphones mobiles (Mobile Manufacturers Forum).
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Dati veut condamner les mineurs en fonction de 3 tranches d'âges
NOUVELOBS.COM | 22.01.2008 | 11:09
Les 10-13 ans, 13-16 ans et 16-18 ans, se verront attribuer des peines spécifiques dans le cadre d'une réforme de l'ordonnance de 1945.
Rachida Dati (Sipa)
La garde des Sceaux Rachida Dati veut "individualiser davantage les peines en fonction des tranches d'âge: 10-13 ans, 13-16 ans et 16-18 ans", dans le cadre d'une "remise à plat de l'ordonnance de 1945" sur les mineurs délinquants dans une interview à Ouest-France qui paraît ce mardi 22 janvier.
Soulignant que l'ordonnance de 1945 a "déjà été modifiée" à maintes reprises, Rachida Dati a fait valoir qu'il s'agit "cette fois de la remettre à plat, de refondre les procédures actuelles de comparutions des mineurs".
Création de 5 centres expérimentaux
"Je voudrais que l'on individualise davantage les peines en fonction des tranches d'âge: 10-13 ans, 13-16 ans et 16-18 ans", dit-elle.
La ministre de la Justice affirme que "l'excuse de minorité sera maintenue ainsi que la primauté de l'éducatif".
Indiquant qu'"un peu moins de 300 jeunes délinquants" étaient "accueillis dans 32 centres éducatifs fermés", la ministre fait part de l'ouverture en 2008 de "cinq sites expérimentaux avec prise en charge pédopsychiatrique".
La garde des Sceaux avait évoqué le 17 janvier une modification de l'ordonnance de 1945 ainsi qu'une "révision du code de procédure pénale".
NOUVELOBS.COM | 22.01.2008 | 11:09
Les 10-13 ans, 13-16 ans et 16-18 ans, se verront attribuer des peines spécifiques dans le cadre d'une réforme de l'ordonnance de 1945.
Rachida Dati (Sipa)
La garde des Sceaux Rachida Dati veut "individualiser davantage les peines en fonction des tranches d'âge: 10-13 ans, 13-16 ans et 16-18 ans", dans le cadre d'une "remise à plat de l'ordonnance de 1945" sur les mineurs délinquants dans une interview à Ouest-France qui paraît ce mardi 22 janvier.
Soulignant que l'ordonnance de 1945 a "déjà été modifiée" à maintes reprises, Rachida Dati a fait valoir qu'il s'agit "cette fois de la remettre à plat, de refondre les procédures actuelles de comparutions des mineurs".
Création de 5 centres expérimentaux
"Je voudrais que l'on individualise davantage les peines en fonction des tranches d'âge: 10-13 ans, 13-16 ans et 16-18 ans", dit-elle.
La ministre de la Justice affirme que "l'excuse de minorité sera maintenue ainsi que la primauté de l'éducatif".
Indiquant qu'"un peu moins de 300 jeunes délinquants" étaient "accueillis dans 32 centres éducatifs fermés", la ministre fait part de l'ouverture en 2008 de "cinq sites expérimentaux avec prise en charge pédopsychiatrique".
La garde des Sceaux avait évoqué le 17 janvier une modification de l'ordonnance de 1945 ainsi qu'une "révision du code de procédure pénale".
Courage à tous et à toutes !
dernière ligne droite, on y croit tous ! No stress que de la motivation !!!
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- aneso81
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Mort subite du nourrisson : encore 250 décès de trop chaque année en France…
[22 janvier 2008 - 11:38]
Le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) publié aujourd’hui est consacré à la mort subite inexpliquée du nourrisson (MSIN) et aux « morts inattendues du nourrisson » (MIN), concept nouveau en provenance semble-t-il, des Etats-unis. Si globalement les chiffres sont en forte baisse, 250 décès ont tout de même été enregistrés en France en 2005. C’est encore beaucoup trop en comparaison des résultats de nos voisins européens.
Comme l’explique dans son éditorial Daniel Montagnon, ancien président de l’association de soutien aux parents Naître et Vivre, la mort subite du nourrisson constitue « toujours (en France) un enjeu de santé publique à comprendre, à traiter et à prévenir ».
En effet, la part des MSIN dans la mortalité infantile est encore d’un décès sur 10. Et pour l’ensemble des enfants de moins d’un an, la mort subite du nourrisson constitue la troisième cause de décès, après les affections périnatales et les malformations congénitales. Les garçons se trouvent en première ligne : 25% des morts de moins d’un an seraient ainsi dus à une MSIN, contre 20% chez les filles.
Si ces chiffres demeurent élevés, ils sont en baisse de 74% depuis les années 1970. Mais malgré les nombreuses campagnes de prévention et le renforcement de la prise en charge de la petite enfance, la France n’arrive pas encore à rejoindre la courbe européenne en la matière. Avec un taux moyen de 31,9 décès pour 100 000 naissances vivantes en 2005, nous figurons toujours parmi les mauvais élèves d’Europe. Derrière le Royaume-Uni (26,2 pour 100 0000) mais surtout la Bulgarie, la Roumanie et la Grèce où les MSIN ne dépassent pas les 10 pour 100 000.
[22 janvier 2008 - 11:38]
Le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) publié aujourd’hui est consacré à la mort subite inexpliquée du nourrisson (MSIN) et aux « morts inattendues du nourrisson » (MIN), concept nouveau en provenance semble-t-il, des Etats-unis. Si globalement les chiffres sont en forte baisse, 250 décès ont tout de même été enregistrés en France en 2005. C’est encore beaucoup trop en comparaison des résultats de nos voisins européens.
Comme l’explique dans son éditorial Daniel Montagnon, ancien président de l’association de soutien aux parents Naître et Vivre, la mort subite du nourrisson constitue « toujours (en France) un enjeu de santé publique à comprendre, à traiter et à prévenir ».
En effet, la part des MSIN dans la mortalité infantile est encore d’un décès sur 10. Et pour l’ensemble des enfants de moins d’un an, la mort subite du nourrisson constitue la troisième cause de décès, après les affections périnatales et les malformations congénitales. Les garçons se trouvent en première ligne : 25% des morts de moins d’un an seraient ainsi dus à une MSIN, contre 20% chez les filles.
Si ces chiffres demeurent élevés, ils sont en baisse de 74% depuis les années 1970. Mais malgré les nombreuses campagnes de prévention et le renforcement de la prise en charge de la petite enfance, la France n’arrive pas encore à rejoindre la courbe européenne en la matière. Avec un taux moyen de 31,9 décès pour 100 000 naissances vivantes en 2005, nous figurons toujours parmi les mauvais élèves d’Europe. Derrière le Royaume-Uni (26,2 pour 100 0000) mais surtout la Bulgarie, la Roumanie et la Grèce où les MSIN ne dépassent pas les 10 pour 100 000.
Puéricultrice
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aide pour rediger un texte de cg
Services aux personnes: nouvelles aides aux familles
le projet de loi adopte hier par les minitres s'etend àl'aide aux personnes agees ou handicapees.
le gouvernement a adopte hier un pprojet de loi permettant à des menages non impossables mais travaillant, de beneficier d'une aide lorsqu'ils ont recours à des services à la personne.
Le parlement avait adote, en fin d'annee, le principe de cette aide, maisl'avait limite à la garde d'enfant, au soutien scolaire et aux cours à domicile.
Tous les metiers de services à la personne
Dans son projet de loi, le gouvernement entend integrer l'aide aux personnes agees ou handicapees. l'ensemble des metier de services à la personne seront concernes: travaux menagers, assistance informatique, jardinage.
la reforme, si elle est adoptee par le parlement, entrera en application en 2008, pour des depenses engagees par les menages en 2007.
Actuellement, seuls les particuliers assujettis à l'impot sur le revenu beneficent d'avantages fiscaux pour l'emploi de salariés à domicile.
Le projet instaure un crédit d'impot qui poura etre partieellement ou entierement restitue aux menages dont l'impot sur le revenu est inferieur au credit ou qui ne sont pas imposable.
Ilprendra alors la forme d'une prime annuelle versée par l'etat.
La mesure benificiera à l'ensemble des menages actifs qui payent les services à la personnes en chéque emploi
Exclusion des retraites non impossables se retrouvent exclus du dispositif, mais sont d'ailleurs deja beneficiaires de nombreuses aides sociales dans ce domaine a indique le president de l'agence nationale des services à la personne
question: quelles réflexions vous inspire cet article
pouvez vous me donner des idees pour rediger ce texte merci
le projet de loi adopte hier par les minitres s'etend àl'aide aux personnes agees ou handicapees.
le gouvernement a adopte hier un pprojet de loi permettant à des menages non impossables mais travaillant, de beneficier d'une aide lorsqu'ils ont recours à des services à la personne.
Le parlement avait adote, en fin d'annee, le principe de cette aide, maisl'avait limite à la garde d'enfant, au soutien scolaire et aux cours à domicile.
Tous les metiers de services à la personne
Dans son projet de loi, le gouvernement entend integrer l'aide aux personnes agees ou handicapees. l'ensemble des metier de services à la personne seront concernes: travaux menagers, assistance informatique, jardinage.
la reforme, si elle est adoptee par le parlement, entrera en application en 2008, pour des depenses engagees par les menages en 2007.
Actuellement, seuls les particuliers assujettis à l'impot sur le revenu beneficent d'avantages fiscaux pour l'emploi de salariés à domicile.
Le projet instaure un crédit d'impot qui poura etre partieellement ou entierement restitue aux menages dont l'impot sur le revenu est inferieur au credit ou qui ne sont pas imposable.
Ilprendra alors la forme d'une prime annuelle versée par l'etat.
La mesure benificiera à l'ensemble des menages actifs qui payent les services à la personnes en chéque emploi
Exclusion des retraites non impossables se retrouvent exclus du dispositif, mais sont d'ailleurs deja beneficiaires de nombreuses aides sociales dans ce domaine a indique le president de l'agence nationale des services à la personne
question: quelles réflexions vous inspire cet article
pouvez vous me donner des idees pour rediger ce texte merci
Vero
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Grippe et gastro : le Nord-Pas-de-Calais durement touché
[22 janvier 2008 - 17:50]
Les médecins du réseau Sentinelles confirment l’arrivée de l’épidémie de grippe saisonnière. Au 20 janvier soit en seulement deux semaines, 400 000 personnes avaient déjà consulté leur médecin généraliste. Quant à la gastro-entérite elle décline. Mais bien lentement.
La semaine dernière, l’incidence nationale de la grippe clinique a été de 380 cas pour 100 000 habitants. C’est au-dessus du seuil épidémique, fixé à 170 cas pour 100 000. Au total, quatorze régions ont dépassé ce cap (voir carte ci-contre). Le Nord-Pas-de-Calais est la plus touchée, avec une incidence de 657 cas pour 100 000.
Alsace (649 cas pour 100 000), Languedoc-Roussillon (586), Auvergne (583) et Rhône-Alpes (483) figurent également parmi les régions les plus frappées par la grippe. Et ce n’est pas terminé. D’après les prévisions des médecins Sentinelles, « le pic épidémique est attendu d’ici une quinzaine de jours ».
Concernant la gastro, ils commencent toutefois à évoquer une « décrue épidémique ». Au cours des 9 dernières semaines, la maladie a déjà mené 2,15 millions de Français chez leur médecin. Comme pour la grippe, le Nord-Pas-de-Calais est particulièrement concerné avec une incidence de 586 cas pour 100 000. Un chiffre largement supérieur au seuil épidémique fixé à 280 cas pour 100 000. Derrière, 11 régions sont toujours en épidémie, dont la Corse (528 cas pour 100 000), l’Auvergne (488), PACA (470) et le Limousin (439).
[22 janvier 2008 - 17:50]
Les médecins du réseau Sentinelles confirment l’arrivée de l’épidémie de grippe saisonnière. Au 20 janvier soit en seulement deux semaines, 400 000 personnes avaient déjà consulté leur médecin généraliste. Quant à la gastro-entérite elle décline. Mais bien lentement.
La semaine dernière, l’incidence nationale de la grippe clinique a été de 380 cas pour 100 000 habitants. C’est au-dessus du seuil épidémique, fixé à 170 cas pour 100 000. Au total, quatorze régions ont dépassé ce cap (voir carte ci-contre). Le Nord-Pas-de-Calais est la plus touchée, avec une incidence de 657 cas pour 100 000.
Alsace (649 cas pour 100 000), Languedoc-Roussillon (586), Auvergne (583) et Rhône-Alpes (483) figurent également parmi les régions les plus frappées par la grippe. Et ce n’est pas terminé. D’après les prévisions des médecins Sentinelles, « le pic épidémique est attendu d’ici une quinzaine de jours ».
Concernant la gastro, ils commencent toutefois à évoquer une « décrue épidémique ». Au cours des 9 dernières semaines, la maladie a déjà mené 2,15 millions de Français chez leur médecin. Comme pour la grippe, le Nord-Pas-de-Calais est particulièrement concerné avec une incidence de 586 cas pour 100 000. Un chiffre largement supérieur au seuil épidémique fixé à 280 cas pour 100 000. Derrière, 11 régions sont toujours en épidémie, dont la Corse (528 cas pour 100 000), l’Auvergne (488), PACA (470) et le Limousin (439).
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