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angelito94
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Re: Entraînement culture générale 2012

Message par angelito94 »

Je vous dis bonne chance à tout les candidats de l'ap-hp , RDV demain au parc des expos donnez le meilleur de vous :D

Je vous souhaite un grand courage , No stress et faîtes vous confiance !!!!

Si les autres y arrivent VOUS AUSSI !

Good Luck dormez bien :D
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angelito94
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Re: Fiches culture générale 2012

Message par angelito94 »

Je vous dis bonne chance à tout les candidats de l'ap-hp , RDV demain au parc des expos donnez le meilleur de vous :D

Je vous souhaite un grand courage , No stress et faîtes vous confiance !!!!

Si les autres y arrivent VOUS AUSSI !

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debella
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Re: Fiches culture générale 2012

Message par debella »

Grosse M***E !! A tous pour demain, on pensera a vous !!! :clin:
Venez nous raconter ce soir !
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sixela95
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Re: Fiches culture générale 2012

Message par sixela95 »

Dons d’organes
Des milliers de personnes meurent en attente d'une transplantation

Définition :
Le don d'organes consiste à prélever sur un individu décédé ou beaucoup plus rarement vivant, un greffon pour le transplanter sur une personne malade.
Ce geste se réalise par un acte chirurgical.
C'est un acte de générosité et de solidarité don organe = don de vie, acte bénévole

Organes pour Greffes = Cœur, poumon, rein, foie ou pancréas
Greffes de tissus = cornée, os, valves cardiaque, tissus ou peau

Organe = partie du corps humain destinés à remplir une fonction propre ou nécessaire à la vie.

- types de greffes : autogreffe (donneur = receveur), allogreffe(organe prélevé sur un donneur), xénogreffe
- conditions de réussite : compatibilité tissulaire(HLA), maîtrise des phénomènes de rejet (TTT immunosuppresseurs)
- le rejet : phénomène naturel du système immunitaire qui consiste à détruire après sa reconnaissance tout élément étranger pénétrant dans un organisme vivant.
- Compatibilité : tous égaux face à l’attribution d un greffon, mais l’organe doit être de même volume ou <, géographiquement disponible (durée de vie courte du greffon), compatible sur le plan immunologique.

Malades concernés :
Des pers atteintes de malformation cardiaque, de cirrhose, de mucoviscidose, d’insuffisance rénale terminale et certains cancers …
Des patients de tous âges du bébé a des pers de + de 70 ans. En 2008 1 119 patients de plus de 60 ans ont reçu une greffe d’organe. Décision prise par un médecin. Tout dépend de la maladie, de l’efficacité des traitements prescrits de l’état de santé général du malade.

Choix du bénéficiaire:
Cela va dépendre de divers critères, comme la menace vitale, l’âge, l’ancienneté d’inscription sur la liste. Les enfants (jusqu’à 17 ans) sont des bénéficiaires prioritaires.

Liste d'attente :
-Seuls les patients inscrits sur cette liste pourront bénéficier un jour d'un greffon.
-Certains patients bénéficient d'une priorité nationale, c'est le cas des receveurs de moins de 16 ans et des patients hyper immunisés.
En dehors de ces priorités, les greffons sont répartis en fonction de nombreux critères, notamment le degré de compatibilité et la concordance d'âge entre le donneur et le receveur
L'attente avant transplantation peut être longue, parfois plusieurs années en raison du nombre limité de greffons disponibles. Elle est différente entre les receveurs en fonction notamment de leur profil biologique (groupe sanguin ou degré d'immunisation). Elle n'est pas directement liée à la date d'inscription sur la liste d'attente

Quelques chiffres :
Historique :
1959 : 1er succès de transplantation chez l'homme dans le monde = rein
1967 : 1ère greffe cardiaque
1972 : 1ère greffe du foie
1981 : 1èregreffe pulmonaire
1980 : apparition de la CICLOSPORINE, (immunosuppresseur spécifique à la transplantation )
cette molécule a remplacé (dans la plus grande partie des cas) les corticoïdes , aux effets secondaires trop nombreux.
2009 : grande cause nationale

Chiffres de 2008 :
4 666 malades ont bénéficié de greffes mais 13 000 patients sont encore en attente et 227 personnes en liste d’attente sont mortes faute de greffe
En France, il y a déjà eu 30 000 transplantés depuis 1968
1 donneur = 4 greffés.
Manque d'info du donneur = première cause de refus de la famille
Pénurie de greffons= l’attente de greffe +++ (des mois ou année).
On sait aujourd’hui greffer avec succès 6 organes différents :
- rein le plus souvent greffé (64% en 2008)
-foie (22% en 2008)
-cœur 8% en 2008)
-poumons (4 %)
-pancréas
-parties de l’intestin).

En France, 7.7% des greffes rénales et 4.8% des greffes hépatiques sont effectuées du vivant du donneur. Ces taux sont >+++ aux USA.

Réglementation
Loi Caillavet du 22 décembre 1976 toute personne est considérée comme consentante si elle n'a pas manifesté son refus de son vivant. Pour un enfant ce n'est possible qu’avec l'accord de ses parents.
Lois sur la bioéthique de 1994 et de 2004

-Principes :
oGratuit et anonymat
oConsentement préalable (express ou présumé)
oInterdiction de pub
oRespect exigence sanitaire = Le prélèvement s'effectue dans les mêmes conditions qu'une intervention médicale, analyses biologique et médicales (VIH, hep B, Hep C)
osélection clinique des donneurs
oseul un hôpital habilité peut effectuer un prélèvement
orespect de l’aspect extérieur du défunt avant la restitution a la famille
oconservation des organes dans le froid et dans liquides de conservation
odurée de conservation de quelques heures seulement et varie selon les organes
orespect de la religion de chacun

-Prélèvement sur personne vivante : en principe que sur pers de + 18 ans, consentent et quand le don est destiné à un proche parent. Interdit pour enfant ou pers faisant l’objet d’une protection légale (tutelle, curatelle, sauvegarde de justice)

-Prélèvement sur pers morte = autorisé que si celle-ci n’a pas faire savoir de son vivant qu’elle s’y opposait.
oQue si certificat de décès établi
oDoit se faire à des fins thérapeutiques ou scientifiques
-Don d’organe en cas de mort céphalique = « mort cérébrale » :
oEtat particulier (2000 cas pour 550 000 morts par an en France)
oCerveau = irrémédiablement détruit mais où équipe médicale peut maintenir artificiellement l’activité cardiaque et respiratoire durant quelques heures => explique nécessité d’une décision rapide pour organiser 1 éventuel prélèvement.
o= majorité des cas. Tout sujet en mort cérébrale est considéré comme un donneur potentiel, c'est le principe du consentement présumé.
ola mort cérébrale est déclarée après un examen clinique précis et constaté par deux médecins :
absence de conscience
absenc de ventilation spontanée
2électro-encéphalogramme plats à quelques heures d’intervalle
-Il existe, en parallèle un registre des refus depuis 1997, il est consulté par les équipes avant tout prélèvement ou demandes aux familles


Problèmes Un manque cruel de greffons
-Demande croissante de greffons (vieillissement de la population, recourt + fréquent a cette thérapeutique)
-Peu de donneurs potentiels et augmentation du nombre de personnes en liste d’attente et donc de décès
-Ambiguïté de la loi sur les dons post mortem (accompagnement des familles insuffisant, famille qui ignore la volonté du défunt, manque de confiance aux médecins, raisons religieuses, craintes que le corps soit mutilé)
-Faible recours aux donneurs vivants apparentés
-Augmentation nombres de greffes à partir de donneurs vivants surtout pour les reins=Risques pour le donneur.
-Problème d’éthique en ce qui concerne le prélèvement d’un organe sur une personne en bonne santé (foie, rein) attribution de greffons sur des critères de chance, réussite, nationalité et le développement du trafic d'organes en provenance des pays pauvres (rémunération, risques de transmissions au donneur d'une maladie infectieuse)

Conséquences :
De nombreux malades meurent ou attendent une greffe pendant des années avec 1 qualité de vie médiocre, risque du développement du trafic d’organe.

Solutions
-Sensibilisation du public = inciter d’avantage de pers à exprimer à leur proche (carte de donneur), informer et arguments en faveur du don. (Guide gd public élaboré par l’agence de biomédecine : « Donner ou pas, pourquoi et comment je le dis à mes proches »), témoignage dans les médias, obligation d’info des jeunes dans les lycées…) TV, Radio, asso (ADOT) Agence de biomédecine=sous l'autorité directe des pouvoirs publics et est chargée depuis 2005 de promouvoir les dons en développant l'information du public, de mieux répartir les greffes par l'établissement d'une liste d'attente nationale, de contrôler la qualité des greffons, et d'évaluer l'activité de greffe et ses résultats.
-Développement de l’activité de prélèvement : + de centre + de personnel habilité, meilleur recensement des patient en mort cérébrale
-Nouveaux progrès porteur d’espoir : création de banques de cellules (cellules souches embryonnaire de placenta ou cordon ombilical) ou d’organes, la xénotransplantation (implantation d'organes des animaux - technique encore expérimental = des risques de rejet ou de transmission de virus dangereux de l'animal à l'homme)
-Stricte réglementation du don d’organe entre vivants.
-Faire connaître son choix : signaler à ces proches, porter une carte de donneur sur soi, mentionné si l’on veut exclure des organes du don.

Conclusion :
La situation de pénurie persiste. Chaque année, le nombre de personnes inscrites en liste d'attente est plus élevé et le décalage entre le nombre de nouveaux inscrits et le nombre de greffes réalisées reste important. Or la greffe est une thérapeutique de mieux en mieux maitrisée, dont les résultats en termes de survie et de qualité de vie sont en constante progression.
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
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sixela95
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Re: Fiches culture générale 2012

Message par sixela95 »

Dons de sang :
Définition:
C'est un prélèvement de 250 à 400ml de sang ou de composé de sang (plasmaphérèse) possible entre 18 et 65 ans et uniquement dans un centre de transfusion sanguine agréé.

Qui peut donner :
-18 à 65 ans, ne pas dépasser 5 dons/an
-Etre en bonne santé: entretien médical obligatoire.
-Les pers ayant bénéficiés d'une transfusion ou d'une greffe, ainsi que des risque hypothétiques futurs (par ex: mal. de Creutzfeldt -Jakob) ne peuvent donner leur sang par mesure de précaution.

=> Plusieurs centaines de milliers de pers. ont besoin d'une transfusion sanguine, les dons de sang marquent une baisse inquiétante ! Chaque année les dons sauvent des milliers de vie mais leur nombre est insuffisant.

Contre indications aux personnes de moins de 50 kilos, les femmes enceintes, jusqu'à six mois après l'accouchement, les personnes sous protection légale (tutelle ou curatelle). Pour la maladie de la vache folle, c'est en cas de séjour de plus d'un an en Grande Bretagne entre 1980 et 1996.

Déroulement:
-une inscription administrative
-un entretien médical strictement confidentiel, le secret médical est absolu. Il permet de vérifier que vous pouvez donner votre sang.
-le don de sang (5 à 10 minutes)
-le temps de repose et la collation.

Législation et établissements :
- Loi de bioéthique de 1994 :« le corps ne peut pas faire l'objet d'un commerce » le don du sang est anonyme et gratuit.
- Dispositif de sécurité transfusionnelle renforcé suite à la conta de transfusés par VIH (jusqu'en 1985) ou de l'hép C (jusqu'en 1990). L'agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSPS) est chargée de vérifier la qualité des tests et des produits et les bonnes pratiques dans les centres de sécurité sanguine.
Le dispositif visant à limiter le risque de transmission d'une maladie infectieuse lors d'une transfusion sanguine comporte 2 grandes mesures : questionnaire visant à éliminer du don les personnes à risque et des tests de sécurité afin de supprimer le risque de transmission de nombreuses maladies infectieuses (sida, hépatites b et c, syphilis, paludisme...) Et le recours à l'autotransfusion est aussi fréquent que possible.
- Fond d'indemnisation des hémophiles et des transfusés créé en 1991 pour indemniser le préjudice spécifique de contamination des victimes, le préjudice économique subi par celles-ci ou par leurs proches et le préjudice moral infligé à l'entourage.

Problèmes :
- Pas assez de dons car les donneurs ont peur de se voir contracter ou révéler une maladie.
- Possible transmission du prion responsable de la maladie de Creutzfeldt Jakob.
- Difficultés d'indemnisation rencontrées par les victimes et leurs familles en cas de transmission de l'hépatite C.

Remèdes :
- Campagnes de dons du sang pour sensibiliser l'opinion publique à la pénurie de sang dans les hôpitaux et rappellent que donner son sang est un geste de solidarité.
- Sécurité des transfusions renforcée avec l'application de certaines techniques d'inactivation virale aux produits fabriqués à partir de plasma et enfin la mise à disposition de médicaments dérivés du sang à partir de plasma prélevé dans les pays peu exposés aux risques de contaminations par la maladie de la vache folle.
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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Elfe, la plus grande étude sur le développement des enfants, se poursuit


L'étude Elfe, lancée par l’Ined et l’Inserm, continue son chemin. La plus grande étude jamais mise en œuvre sur l’influence de l’environnement sur le développement et la santé des enfants passe désormais au stade 3. Les familles volontaires des bébés nés cet automne recevront un questionnaire, et leur enfant sera suivi jusqu'à l'adolescence, comme pour les 20.000 bébés prévus !

L’étude Elfe entre aujourd’hui dans sa troisième phase. Les parents des enfants qui vont naître entre ce 27 septembre et le 4 octobre sont en effet invités à participer à ce travail unique en son genre, en France tout du moins. Il vise, rappelons-le, à suivre 20.000 enfants depuis le jour de leur naissance jusqu’à leur adolescence. À ce stade, 7.400 nourrissons ont déjà intégré la cohorte des petits Elfes…

Actuellement, un entretien téléphonique est effectué auprès des parents des nourrissons qui sont nés cet été. Il prend en compte la santé de leur enfant, leur croissance depuis la naissance et leur environnement familial. Enfin les parents « des bébés du printemps » reçoivent quant à eux, un questionnaire portant sur la diversification alimentaire.
L'étude Elfe souhaite suivre 20.000 enfants, de la naissance à l'adolescence.
L'étude Elfe souhaite suivre 20.000 enfants, de la naissance à l'adolescence. © Elfe

En France, 313 maternités sont mobilisées pour l'étude Elfe

« L’un des apports majeurs des enquêtes Elfe – pour Étude longitudinale française depuis l’enfance - sera de prendre systématiquement en compte le point de vue des enfants à partir de l’âge de 4 ans », explique Bertrand Geay, directeur adjoint de l’étude et professeur de sociologie de l’éducation à l’université de Picardie. « On aura ainsi l’opportunité d’analyser de quelle manière interagissent les aspects objectifs et subjectifs des dynamiques de réussite et d’échec. »

Cette étude longitudinale dont l’objectif est de suivre 20.000 enfants, permettra de mieux comprendre comment l’environnement affecte, de la période intra-utérine à l’adolescence, le développement, la santé, la socialisation et le parcours scolaire des enfants. Au total, 313 maternités sont mobilisées en France métropolitaine. Le prochain et dernier rendez-vous est prévu le 28 novembre. Rappelons enfin que cette recherche est pilotée par l’Institut national d’études démographiques (Ined) et l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), en partenariat avec l’Établissement français du sang (EFS).


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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Première étude sur le suicide des enfants


Boris Cyrulnik rend ce jeudi son rapport sur ce douloureux phénomène sous-estimé.

«Comment concevoir qu'un petit âgé de 5 à 12 ans se tue, se donne la mort, réalise un homicide de soi, un autoassassinat ?» La question, posée par le neuropsychiatre Boris Cyrulnik, est insoutenable. Mais, alors que le mal-être semble gagner des enfants de plus en plus jeunes, elle se devait d'être posée et analysée. Le célèbre neuropsychiatre rend ce jeudi un rapport qui explore ce territoire inconnu et effrayant à la secrétaire d'État chargée de la Jeunesse, Jeannette Bougrab. Son travail, intitulé Quand un enfant se donne la mort , est également publié aux Éditions Odile Jacob.

«40 % des enfants pensent à la mort tant ils sont anxieux et malheureux», se désole Jeannette Bougrab en préambule du rapport. Jugés plus précoces, les enfants sont-ils aujourd'hui plus fragiles ? «La précocité des enfants, valorisée par notre culture, n'est pas un facteur de protection, prévient Boris Cyrulnik. Elle améliore les résultats scolaires au prix de l'angoisse et des troubles relationnels.» Deuxième cause de décès chez les 16-25 ans, le nombre des passages à l'acte serait largement sous-estimé chez les plus jeunes, selon le spécialiste de la résilience.

«L'épidémiologie des suicides des enfants de 5 à 12 ans est floue. Les suicides aboutis sont rares mais ses masques nous incitent à dire qu'ils sont certainement plus fréquents. À peu près 30 à 100 enfants se tuent chaque année, mais on peut penser qu'un grand nombre d'accidents sont des analogues suicidaires», avance Boris Cyrulnik.

Une mauvaise note
«Pour se donner la mort, un enfant cherche autour de lui les outils qui pourraient la lui accorder : se pencher par la fenêtre, traverser la rue en courant», ajoute-t-il. Maquillés en jeux dangereux ou non, ces passages à l'acte semblent provoqués par des petits riens dérisoires et insondables : un accrochage avec un parent, une mauvaise note, ou une interdiction de manger des sucreries comme pour cette fillette de 9 ans, diabétique, qui s'est jetée du cinquième étage en janvier dernier après avoir accusé sa nounou d'être trop sévère. «Avant l'âge de 13 ans, 16 % des enfants pensent que la mort pourrait être une solution à leurs problèmes de famille, d'école ou de relations amicales !» indique Boris Cyrulnik. Bien évidemment, des raisons plus profondes se retrouvent à l'origine d'un acte suicidaire. Elles sont multifactorielles, fait valoir le neuropsychiatre, qui refuse de séparer facteurs génétiques et familiaux, biologiques et culturels. Quant à la vulnérabilité émotionnelle, qui facilite le passage à l'acte, l'impulsivité, elle est acquise très tôt, dès les premiers mois. Même in utero, elle peut être gravée dans le cerveau de l'enfant par la souffrance parentale, nous dit Boris Cyrulnik.

Pour faire face à cette vulnérabilité émotionnelle, il propose de dresser quatre piliers autour de la naissance, de l'école, de la famille et de la culture. Un arsenal de guerre qui commence par un suivi des interactions précoces en fin de grossesse, passe par la création d'une université de la petite enfance pour les professionnels et s'appuie sur le retour à une culture de partage, à travers des clubs de quartier par exemple. Retarder la notation «stigmatisante» pour les petits, lutter contre le harcèlement scolaire, revoir les rythmes des élèves, développer des «traits d'union» entre les enseignants et les familles : le neuropsychiatre suggère de repenser l'école et de renforcer l'aide parentale. Au-delà d'une série de mesures, il invite à une véritable réflexion sur l'encadrement des enfants dans notre société.


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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Education : 14.000 postes supprimés en 2012

Le nombre d'élèves par classe devrait augmenter dans les établissements scolaires.

«On ne peut pas parler de désengagement de l'État en matière d'éducation», affirme-t-on ce mercredi soir au ministère de l'éducation nationale. Certes, la «mission enseignement scolaire» totalisera, en 2012, 62,33 milliards d'euros en crédits de paiement contre 61,8 milliards d'euros en 2011. Mais concrètement le projet de budget 2012 poursuit sur la lancée des budgets des années précédentes avec la suppression de plusieurs milliers de postes d'enseignants. L'enseignement scolaire «contribue substantiellement à l'effort de non-remplacement d'un départ à la retraite sur deux. Ainsi, 14.200 emplois ne seront pas remplacés en 2012 », précise Bercy.

A la demande du président de la République, soucieux des remontées des élus locaux, «le solde des fermetures et des ouvertures de classes sera nul à la rentrée 2012 dans le premier degré»: 5700 postes y seront toutefois supprimés. L'enseignement secondaire payera le plus lourd tribut, avec 6550 postes de professeurs en moins. A ces suppressions de postes, s'ajoutent celles de l'enseignement privé et d'environ 400 administratifs. Le ministère table sur une petite dizaine de «leviers» pour y parvenir. Le nombre d'élèves par classe devrait augmenter dans les écoles et les collèges, sauf en éducation prioritaire où un plafond réglementé fixe un maximum de 25 élèves.

Dispositifs innovants

Les suppressions porteront sur des postes d'assistants de langues, d'assistants pédagogiques, et d'enseignants en surnombre. Des établissements seront regroupés, des options mutualisées. «Aujourd'hui, 300 collèges publics et 500 collèges privés comptent moins de 200 élèves», fait-on observer. Le ministère entend poursuivre la diminution du nombre d'enfants de deux ans en maternelle. Il évoque aussi des possibilités de suppressions de postes dans des classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) et dans des BTS (brevets de techniciens supérieurs). «3000 places sont aujourd'hui vacantes dans les BTS, du fait, notamment, de bacheliers qui ont préféré aller à l'université», précise-t-on. Le ministère pointe aussi des classes CPGE composées de quatre à cinq élèves, seulement, une «situation indécente». Les élus locaux «se battent essentiellement pour conserver des maternelles et des classes prépas, ceci explique donc cela...».

Conformément aux engagements pris, les économies générées «bénéficieront d'abord aux personnels», affirme Bercy. Les enseignants en début de carrière bénéficient d'une augmentation de leur traitement depuis la rentrée scolaire 2010 : 180 millions d'euros permettront de continuer à améliorer leur situation financière.

Le document de Bercy indique par ailleurs que «la mise en place de dispositifs innovants permet d'apporter une réponse adaptée à chaque élève» comme «le renforcement de l'accueil des élèves handicapés», avec «le recrutement progressif de plusieurs milliers d'assistants de scolarisation qualifiés (2 000 recrutements à la rentrée 2011 et 2 300 à la rentrée 2012)».

Les internats d'excellence dont la capacité d'accueil est de «10.300 places à la rentrée 2011 devrait être portée à 16.200 places à la rentrée 2012, et environ 20.000 places à terme, financées en majorité par les crédits du programme investissements d'avenir».

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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Val-d'Oise : une école de Garges infestée par les puces

Des élèves et une institutrice du groupe scolaire Henri-Barbusse de Garges ont été piqués par des puces. Des rats pourraient être à l’origine de la présence de ces parasites.

A l’école, les enfants et les enseignants font face aux poux, parfois à des cas de gale, mais voici que les puces font leur apparition. Depuis la rentrée scolaire, le groupe scolaire Henri-Barbusse de Garges-lès-Gonesse, qui accueille 230 élèves, est confronté à ce problème. Les puces, qui auraient été véhiculées par des rats, piquent, irritent et causent parfois des réactions allergiques, ce qui affole les parents des enfants touchés.
A tel point qu’hier soir des mamans et une institutrice piquée à de nombreuses reprises se sont invitées au conseil municipal. « Par notre présence, nous voulons dénoncer cette situation inacceptable », expliquent les parents qui ont patienté jusqu’à la fin de la séance pour voir la question abordée.

« Des institutrices, des Atsem (NDLR : agent territorial spécialisé des écoles maternelles) mais aussi des élèves de petite section ont été piqués », dénonce Rafika Korta, une maman. Elle a d’ailleurs refusé de remettre son enfant à l’école ce matin par précaution. « Je ne suis pas la seule à prendre cette décision. C’est trop dangereux, dit-elle. Ce n’est pas parce que notre école est en ZEP (zone d’éducation prioritaire) que nos enfants n’ont pas le droit d’avoir une scolarité dans des conditions décentes. »

« Il y a effectivement des problèmes de piqûres de puces dans cette école, confirme Maurice Lefèvre, le maire (UMP). Une institutrice souffre d’une réaction de type allergique. Nous avons fait procéder entre le 16 septembre et hier à trois désinfections dans l’ensemble du groupe scolaire. Et, très récemment, une campagne de dératisation a également eu lieu sur le site. Selon les techniciens, ce sont les rats qui auraient pu être porteurs de ces parasites. » La Direction de la prévention et de l’action sociale (Dipas) pencherait aussi pour cette explication, d’après Maurice Lefèvre.

Les parents envisagent de réclamer la fermeture de l’établissement si la situation ne s’arrange pas. « Ce sera à la Dipas de trancher », répond le maire.

Christophe Dieu, conseiller municipal PS, au nom du groupe d’opposition, n’a pas manqué d’interpeller le maire hier soir. « Les rats sont malheureusement un problème récurrent en ville, explique-t-il. Des groupes scolaires ont même été fermés pour cette raison. Mais cette invasion de puces, c’est une première! » « Il y a eu déjà trois épisodes de désinfection qui n’ont rien changé. Comptez-vous évacuer l’école pour procéder à une fumigation? » a enchaîné Hussein Moktari, également conseiller municipal d’opposition. « Pour l’heure, nous ne savons pas », a répondu le maire, qui attend de voir si la dernière intervention des techniciens a porté ses fruits.

La commune, propriétaire des locaux scolaires, a pour obligation d’en assurer les bonnes conditions d’hygiène. « Nous sensibilisons régulièrement la population pour que les gens arrêtent de nourrir les rats, notamment en jetant de la nourriture par les fenêtres », a conclu le maire. Les parents ont prévu de se réunir ce matin à l’école pour évoquer le sujet et décider d’une éventuelle action.



Le Parisien
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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Chaque Français a consommé 48 boîtes de médicaments en 2010

Le Point.fr - Publié le 29/09/2011 à 07:16
Un médicament sur quatre était un générique. En pharmacie, le Doliprane, le Dafalgan et l'Efferalgan ont été les plus vendus.

Les Français ont consommé en moyenne 48 boîtes de médicaments en 2010, soit presque une boîte par semaine, pour un total de 27,5 milliards d'euros, dans un marché pharmaceutique en croissance ralentie (+ 1,2 %), a indiqué mercredi l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (l'Afssaps).

Depuis 2000, le marché pharmaceutique a progressé en moyenne annuelle de 4,7 %, selon l'Afssaps. Sur le total de 27,5 milliards, les médicaments remboursables ont représenté 19,9 milliards, contre 19,8 milliards en 2009. Un médicament sur quatre était un générique. Si la croissance s'est ralentie en 2010, la consommation hospitalière, qui représente 21 % de l'ensemble (contre 79 % pour les ventes en officines pharmaceutiques), a continué à croître de 4,2 %. Mais en moyenne annuelle, depuis 2000, la progression pour les médicaments prescrits à l'hôpital a été de 8,5 %. En médecine de ville, la majeure partie (68 %) des médicaments sont pris par voie orale alors qu'à l'hôpital les formes injectables prédominent (67 %).

Le Doliprane, champion des pharmacies


L'ensemble des médicaments vendus représentait 10 350 spécialités, 14 500 représentations (pour un même médicament, il y a parfois plusieurs catégories) et 3 000 substances actives. À l'hôpital, parmi les 50 produits les plus vendus, on dénombre surtout les anticancéreux, les antirétroviraux (contre le VIH) ainsi que quelques spécialités de maladies rares. En ville, ce sont les médicaments liés aux maladies cardio-vasculaires, aux ulcères, au système nerveux et à l'asthme.


Dans les pharmacies, le médicament ayant réalisé le plus gros chiffre d'affaires est le Tahor, un hypolipidémiant. En quantité (nombre de boîtes), c'est le Doliprane, devant deux autres antalgiques, le Dafalgan et l'Efferalgan. À l'hôpital, le médicament qui arrive en tête en chiffre d'affaires est l'Avastin, un antinéoplasique (anticancéreux). Dans l'ensemble, la part de marché des génériques est de 24,5 % en quantité, mais seulement de 11,5 % en valeur. Ces médicaments moins chers sont maintenant présents dans la plupart des classes thérapeutiques.
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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

L'addiction à internet, un mal moderne

La dépendance à internet touche de plus en plus de monde. C'est ce que révèle une étude allemande. Mais cette dépendance est-elle, comme certains l'entendent, une maladie mentale ? Et se traite-t-elle comme n'importe quelle addiction?

Une étude commandée par le ministère de la Santé allemand, parue le 26 septembre, révèle que plus d'un demi-million d'Allemands seraient dépendants à internet. Un mal qui se traduit, selon les chercheurs, par une consommation moyenne de quatre heures du média internet chaque jour. «Le temps passé sur internet est un facteur peu fiable, nuance tout de même Elizabeth Rosset, psychologue à l'hôpital Marmottan de Paris. Une personne peut passer peu de temps sur internet mais être obnubilé toute la journée parce qu'elle va y faire».

L'addiction à internet, qui provoque l'isolement et le repli social, n'est pas forcément considérée comme une maladie au sens commun du terme, bien qu'elle se soigne. En France, la guérison passe d'abord par le dialogue avec les psychologues ou addictologues. «La plus grande difficulté consiste à faire venir les gens à nous, explique Elizabeth Rosset. Mais lorsqu'une personne prend conscience de son problème, on peut plus facilement la traiter». Aux États-Unis et en Chine, par exemple, l'addiction à internet se soigne par la manière forte dans des établissements spécialisés, créés sur le même principe que les centres de désintoxication. Le Docteur Karila, de l'hôpital Paul Brousse à Villejuif, parle d'un traitement «cognitif et comportemental» pouvant éventuellement être appuyé par une prise «contrôlée et limitée dans le temps» de médicaments de type antidépresseurs.

Accro à internet ou aux activités sur internet ?

Contrairement à une addiction à la drogue ou à l'alcool, la dépendance à internet est à double tranchant : elle peut concerner le média en lui-même comme les activités que l'on peut y pratiquer (jeux en ligne, jeux d'argent, pornographie, achats etc). Les deux se rejoignent selon le Dr Karila : «Internet est le support de l'addiction. On traite donc la dépendance associée au net». Elizabeth Rosset estime que ce sont les «spécificités» d'internet en particulier son accessibilité qui modifient le rapport à la dépendance.

C'est d'ailleurs l'une des raisons qui fait que la population dépendante à internet ne constitue pas un groupe homogène. «Quand le problème concerne les jeux vidéo, ce sont les jeunes qui sont principalement touchés mais la moyenne d'âge augmente si la dépendance a trait aux jeux d'argent», explique Elizabeth Rosset.

Les réseaux sociaux, simple phénomène de société ?

Les jeunes sont d'ailleurs fortement concernés par la question de la dépendance des réseaux sociaux. L'étude du ministère de la Santé allemand révèle une dépendance aux réseaux sociaux très importante chez les jeunes filles (77%) mais également chez les garçons (65%). La frontière entre l'addiction au sens propre et la simple consommation abusive, relativement classique chez les adolescents et les jeunes en général, est néanmoins très mince.

L'utilisation des réseaux sociaux pourrait en effet s'apparenter à l'utilisation du téléphone ou de la télévision. Des jeunes qui passent beaucoup de temps à téléphoner ou envoyer des messages à leurs amis ne sont pas considérés comme dépendants mais pratiquent pourtant la même activité sur un réseau social comme Facebook. Le site de l'Américain Mark Zuckerberg (sur lequel la France compte la neuvième communauté mondiale avec plus de 23 millions d'utilisateurs) est d'ailleurs le seul réseau social réellement vecteur de «conduite addictive». Une étude SNCD menée en juillet révèle en effet que 68% des utilisateurs de Facebook se rendent sur le site au moins une fois par jour alors que ce chiffre chute à 30% pour Twitter et en-dessous de 15% pour les autres réseaux sociaux. Même constat pour le temps passé sur le site : la communauté Facebook y passe en moyenne 52 minutes par jour alors que les personnes inscrites sur Twitter n'y passent que 25 minutes par jour.

Difficile alors de parler de réelle addiction aux réseaux sociaux. Ici, le terme de phénomène de mode serait bien plus approprié. «Il y a un certain nombre de pratiques qui s'atténuent avec l'âge, confirme Elizabeth Rosset. C'est également le cas pour les jeux vidéo ». Elle considère que cet abus relève bien souvent «d'un manque de limites fixées par les parents» qui, selon le Dr Karila, va surtout poser problème à une «minorité vulnérable qui va s'accrocher à internet».

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Re: Fiches culture générale 2012

Message par missdu33 »

bonne chance a tous et bon courage
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Re: Fiches culture générale 2012

Message par sixela95 »

Bonne chance à tous!!
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Re: Actualités concours 2012

Message par mouchou64 »

Bonjour tout le monde!!

Je suis désolée je ne vais pas avoir le temps de faire un résumé du magazine de la santé cet apres-midi,trop de boulot!ça prends quand même du temps du coup je suis en retards dans les tests psychotechniques...

Y aurait-il des personnes qui peuvent faire des résumés le jeudi et vendredi? :clin:

Merci!
Bonne journée :D
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Re: Fiches culture générale 2012

Message par Zackfair »

je pense à ceux qui sont en train de passer leur concours et je suis avec eux par la pensée bonne chance :D
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