Mon expérience, ma clinique.... ma haine...
Modérateurs : Modérateurs, Aides-soignants
Re bonjour,
Quelques news...
Alors au niveau des salaires, 2% en plus sur la prime de vêture.
et 10 euros net de plus par dimanche travaillé...
Et pas de création d'embauche au niveau du personnel !!
Donc le personnel va décider !!!!!
En fonction de la décision du personnel.. La clinique risque de fermer !!!!!!!
Quelques news...
Alors au niveau des salaires, 2% en plus sur la prime de vêture.
et 10 euros net de plus par dimanche travaillé...
Et pas de création d'embauche au niveau du personnel !!
Donc le personnel va décider !!!!!
En fonction de la décision du personnel.. La clinique risque de fermer !!!!!!!
La clinique de l'Alliance autorisée à reprendre son activité
Après une visite de contrôle hier matin, l'Agence régionale d'hospitalisation (ARH) a décidé de lever la mesure de suspension d'activité prise vendredi soir à la clinique de l'Alliance. La direction s'explique.
La clinique de l'Alliance, à Saint-Cyr-sur-Loire, a été autorisée hier par l'Agence régionale de l'hospitalisation à reprendre son activité, tant en médecine qu'en chirurgie. Après une visite de contrôle menée par la Ddass pour vérifier que les personnels nécessaires aux soins des patients étaient présents, la décision de la tutelle est tombée à 10 h 30.
La reprise de l'activité se fera « en douceur » expliquait hier après-midi la direction de l'établissement, où des patients en attente d'admission commençaient à remplir le hall d'accueil. Les interventions programmées reprendront donc ce matin. 120 interventions ont été déprogrammées depuis vendredi suite au conflit qui a secoué la clinique.
Après un long silence, Sylvie Lefèvre, directrice de la clinique, et Christophe Alfandari, président du directoire de l'Alliance ont répondu à quelques questions.
Ce conflit n'était-il pas prévisible ?
« On a été surpris par le mouvement de grève, sans préavis. On a proposé de mettre en place un service minimum, pour pouvoir gérer l'évacuation des patients. Les syndicats l'ont refusé. Il y avait alors 160 patients dans la clinique. Avec une dizaine de soignants non grévistes et du personnel technique, on les a regroupés pour les maintenir en sécurité avant d'organiser l'évacuation, en liaison avec la préfecture. Après avis médical, un tiers des patients sont rentrés chez eux, une cinquantaine ont trouvé une place dans un autre établissement, clinique ou hôpital, et les derniers sont partis en maison de convalescence. »
Comment avez-vous informé ces patients ?
« On leur a expliqué qu'on était face à un mouvement de grève. Ils n'étaient pas contents, bien sûr. On a fait de notre mieux pour assurer la continuité des soins en les transférant vers d'autres établissements. Il nous a fallu faire vite. Nous sommes conscients des désagréments subis par eux et leurs familles. On a fait comme on a pu, au milieu de la tourmente. Aujourd'hui, nous présentons nos excuses aux patients. »
On a l'impression d'un vrai débordement face aux revendications sociales. L'installation avait-elle été bien préparée ?
« On a ouvert un établissement neuf. En très peu de temps, il a fallu préparer les plannings et l'environnement de travail. On a manqué de temps pour tout mettre en place… »
Les demandes d'augmentation étaient antérieures à la grève…
« On avait fixé au 18 octobre les rendez-vous pour les négociations salariales. Après le protocole d'accord signé vendredi soir, des négociations reprendront la semaine prochaine, pour aller au delà. »
Jugez-vous les revendications des salariés normales ?
« Leurs revendications ne sont pas illégitimes. Depuis de nombreuses années, on demande que nos tarifs rejoignent ceux du public. Pour envisager une grille du privé qui se rapproche des salaires du public, il faudrait que nos tarifs soient relevés. Mais on nous répond que cela coûterait trop cher à la Sécurité sociale. Je n'ai pas actuellement la capacité de répondre à cette revendication sans entamer la capacité d'investissement de l'entreprise. »
Les médecins réunis hier dans le cadre de la Conférence médicale d'établissement « déplorent les désagréments importants dont ont été victimes leurs patients et présentent leurs excuses ». Ils estiment dans un communiqué que « l'Alliance est un outil performant en matière de santé, mais qu'il doit être amélioré dans son organisation et sa communication ».
Propos recueillis par Brigitte BARNÉOUD sources : http://www.lanouvellerepublique.fr/
La clinique de l'Alliance, à Saint-Cyr-sur-Loire, a été autorisée hier par l'Agence régionale de l'hospitalisation à reprendre son activité, tant en médecine qu'en chirurgie. Après une visite de contrôle menée par la Ddass pour vérifier que les personnels nécessaires aux soins des patients étaient présents, la décision de la tutelle est tombée à 10 h 30.
La reprise de l'activité se fera « en douceur » expliquait hier après-midi la direction de l'établissement, où des patients en attente d'admission commençaient à remplir le hall d'accueil. Les interventions programmées reprendront donc ce matin. 120 interventions ont été déprogrammées depuis vendredi suite au conflit qui a secoué la clinique.
Après un long silence, Sylvie Lefèvre, directrice de la clinique, et Christophe Alfandari, président du directoire de l'Alliance ont répondu à quelques questions.
Ce conflit n'était-il pas prévisible ?
« On a été surpris par le mouvement de grève, sans préavis. On a proposé de mettre en place un service minimum, pour pouvoir gérer l'évacuation des patients. Les syndicats l'ont refusé. Il y avait alors 160 patients dans la clinique. Avec une dizaine de soignants non grévistes et du personnel technique, on les a regroupés pour les maintenir en sécurité avant d'organiser l'évacuation, en liaison avec la préfecture. Après avis médical, un tiers des patients sont rentrés chez eux, une cinquantaine ont trouvé une place dans un autre établissement, clinique ou hôpital, et les derniers sont partis en maison de convalescence. »
Comment avez-vous informé ces patients ?
« On leur a expliqué qu'on était face à un mouvement de grève. Ils n'étaient pas contents, bien sûr. On a fait de notre mieux pour assurer la continuité des soins en les transférant vers d'autres établissements. Il nous a fallu faire vite. Nous sommes conscients des désagréments subis par eux et leurs familles. On a fait comme on a pu, au milieu de la tourmente. Aujourd'hui, nous présentons nos excuses aux patients. »
On a l'impression d'un vrai débordement face aux revendications sociales. L'installation avait-elle été bien préparée ?
« On a ouvert un établissement neuf. En très peu de temps, il a fallu préparer les plannings et l'environnement de travail. On a manqué de temps pour tout mettre en place… »
Les demandes d'augmentation étaient antérieures à la grève…
« On avait fixé au 18 octobre les rendez-vous pour les négociations salariales. Après le protocole d'accord signé vendredi soir, des négociations reprendront la semaine prochaine, pour aller au delà. »
Jugez-vous les revendications des salariés normales ?
« Leurs revendications ne sont pas illégitimes. Depuis de nombreuses années, on demande que nos tarifs rejoignent ceux du public. Pour envisager une grille du privé qui se rapproche des salaires du public, il faudrait que nos tarifs soient relevés. Mais on nous répond que cela coûterait trop cher à la Sécurité sociale. Je n'ai pas actuellement la capacité de répondre à cette revendication sans entamer la capacité d'investissement de l'entreprise. »
Les médecins réunis hier dans le cadre de la Conférence médicale d'établissement « déplorent les désagréments importants dont ont été victimes leurs patients et présentent leurs excuses ». Ils estiment dans un communiqué que « l'Alliance est un outil performant en matière de santé, mais qu'il doit être amélioré dans son organisation et sa communication ».
Propos recueillis par Brigitte BARNÉOUD sources : http://www.lanouvellerepublique.fr/
On a l'impression d'un vrai débordement face aux revendications sociales. L'installation avait-elle été bien préparée ?
« On a ouvert un établissement neuf. En très peu de temps, il a fallu préparer les plannings et l'environnement de travail. On a manqué de temps pour tout mettre en place… »
Super la réponse de la direction !!!!
Et bien dit donc à les écouter, on peu dire que la clinique c'est monté en peu de temps !!! Et que ce projet a été lancé y a 6 mois.
Ils leur manquaient du temps !!!! C'est sûr !!!
Ah les mecs et les filles vous auriez dû attendre jeudi prochain pour votre grève !!!! Pas de TGV pour faire les transferts hihi
« On a ouvert un établissement neuf. En très peu de temps, il a fallu préparer les plannings et l'environnement de travail. On a manqué de temps pour tout mettre en place… »
Super la réponse de la direction !!!!
Et bien dit donc à les écouter, on peu dire que la clinique c'est monté en peu de temps !!! Et que ce projet a été lancé y a 6 mois.
Ils leur manquaient du temps !!!! C'est sûr !!!
Ah les mecs et les filles vous auriez dû attendre jeudi prochain pour votre grève !!!! Pas de TGV pour faire les transferts hihi
cadre
• Alliance : témoins et victimes du conflit
Une patiente admise en début de semaine dernière à la clinique de l'Alliance vient de déposer une plainte auprès du procureur de la République, pour manque de soins et mise en danger de la vie d'autrui. Son témoignage donne le détail de ce qu'elle a vécu depuis « un bilan préopératoire succinct » jusqu'au choix « proposé le vendredi après-midi : recherche d'un lit dans une autre clinique pour le week-end, ou retour au domicile 48 heures après l'intervention. J'ai opté pour le second choix… » En passant par de longs moments d'attente durant lesquels « je souffre et je me sens abandonnée ».
Cette lectrice nous écrivait hier : « A ce jour, aucun résultat des prélèvements, ni excuse, ni même souci de mon état… J'ai l'impression d'un grand n'importe quoi ! »
sources :la nouvelle république
Et bien ça chauffe par chez vous !!!!
Courage
Une patiente admise en début de semaine dernière à la clinique de l'Alliance vient de déposer une plainte auprès du procureur de la République, pour manque de soins et mise en danger de la vie d'autrui. Son témoignage donne le détail de ce qu'elle a vécu depuis « un bilan préopératoire succinct » jusqu'au choix « proposé le vendredi après-midi : recherche d'un lit dans une autre clinique pour le week-end, ou retour au domicile 48 heures après l'intervention. J'ai opté pour le second choix… » En passant par de longs moments d'attente durant lesquels « je souffre et je me sens abandonnée ».
Cette lectrice nous écrivait hier : « A ce jour, aucun résultat des prélèvements, ni excuse, ni même souci de mon état… J'ai l'impression d'un grand n'importe quoi ! »
sources :la nouvelle république
Et bien ça chauffe par chez vous !!!!
Courage
cadre
Alliance : témoins et victimes du conflit
Un lecteur d'Azay-sur-Cher a vécu les prémices du conflit puisqu'il était entré en urgence lundi 8 octobre à l'Alliance : « J'ai immédiatement constaté, malgré la bonne volonté du personnel, un affolement symptomatique d'un dysfonctionnement que je ne comprenais pas… Je fus conduit au bloc par des brancardiers dont le sujet unique n'était pas de me rassurer, loin de là, mais un préavis de grève déposé et impliquant, ou pas, leur présence… Enfin, l'anesthésiste, qui semblait officier sur plusieurs blocs simultanément, arriva…
« Mon réveil fut horrible… La douleur empira dans la journée malgré la morphine… La nuit me fut moins pénible, l'infirmière étant, elle, à l'écoute de la douleur d'autrui… » Après deux interventions avec anesthésies générales en trois jours, « ce furent les soins qui furent négligés. Le jeudi à 7 h 45, des douleurs très vives me reprenaient. Une aide-soignante vint s'informer. Mais en fait, à plus de midi, personne n'était intervenu. N'y aurait-il pas là une faute professionnelle grave ? Depuis plus de douze heures, personne ne m'avait pris ni ma température ni ma tension… Je peux comprendre toutes les revendications, mais pas qu'on mette la vie des gens en danger… »
Pour faire réfléchir
« Ma mère, 86 ans, hospitalisée depuis quinze jours, atteinte de la maladie d'Alzheimer, a été évacuée de l'Alliance vers Saint-Gatien vendredi soir, rapporte une lectrice de Tours. Présente à ce moment, je suis écœurée de la façon dont ce transfert s'est passé : ambulanciers très “ hargneux ”, ne prenant aucune précaution à l'encontre de ma pauvre mère déjà très mal en point… Heureusement, à Saint-Gatien, j'ai pu constater le professionnalisme de cet établissement… »
Une autre, de Saint-Cyr, écrit : « Mon mari, hospitalisé en urgence lundi 8, était absolument incapable de rentrer à la maison, et cependant, un médecin a signé la sortie, sans tenir compte de son état de faiblesse. Sans doute est-ce le protocole utilisé pour pallier le manque de personnel ! Impossible de joindre le médecin dans le service duquel il était admis : fuirait-il ses responsabilités ? Personne pour m'aider. Voyant ma grande détresse, le Dr Vaujois qui passait à ce moment-là, a pris les choses en main et organisé le transfert à Fleming. A l'arrivée de l'ambulance, l'Alliance ne disposait même pas d'un fauteuil roulant pour descendre mon mari, que nous avons dû porter littéralement… Que cette lettre fasse réfléchir les responsables d'une clinique ouverte dans la précipitation… »
Mme B…, de Saint-Laurent-de-Lin, estime que « c'est une honte de fermer une clinique nouvellement installée… Elle n'aurait dû fonctionner qu'une fois tout réglé, le résultat est nul et le malade subit… »
Une salariée de l'Alliance relève que « le déménagement était prévu de longue date… Les patients ont été accueillis au milieu des cartons qui traînaient un peu partout, faute d'étagères ou de placards. Prendre une semaine pour ranger, faire l'inventaire du matériel manquant ou inutilisable, ça n'a même pas effleuré la direction. Quant à sa surprise devant notre grève, ils sont bien sourds, car nous parlons de nos problèmes depuis longtemps… C'est parce que la sécurité des patients n'était pas assurée que les salariés ont fait grève… »
Un cadre de la clinique reconnaît : « Certains patients n'ont pas bénéficié de leurs traitements, beaucoup n'ont pu avoir les soins de confort (douche, aide à la toilette), beaucoup n'ont pas eu de repas durant deux jours… Les effectifs soignants étant très faibles, nous avons dû utiliser les étudiants en stage… Nous étions parfaitement conscients des difficultés que rencontrait le personnel, tant sur le manque de matériel que sur la charge de travail… J'avoue que nous n'avons apporté aucune réponse satisfaisante et efficace, ce qui a abouti à ce chaos.
« La direction invoquait le manque de moyens : totalement faux, les inaugurations ont coûté par exemple 11.000 € pour la location d'un barnum et le traiteur… Elle a décidé de mettre les effectifs a minima pour augmenter la rentabilité. Le personnel n'a pas eu d'autre choix que de cesser le travail, car ses lettres recommandées et les réunions n'avaient rien apporté et n'apporteraient rien, nous avions des directives… Les salariés ont obtenu des “ mesurettes ”. La pression sur eux se fait par l'intermédiaire de certains médecins actionnaires… »
source : la nouvelle république
« Mon réveil fut horrible… La douleur empira dans la journée malgré la morphine… La nuit me fut moins pénible, l'infirmière étant, elle, à l'écoute de la douleur d'autrui… » Après deux interventions avec anesthésies générales en trois jours, « ce furent les soins qui furent négligés. Le jeudi à 7 h 45, des douleurs très vives me reprenaient. Une aide-soignante vint s'informer. Mais en fait, à plus de midi, personne n'était intervenu. N'y aurait-il pas là une faute professionnelle grave ? Depuis plus de douze heures, personne ne m'avait pris ni ma température ni ma tension… Je peux comprendre toutes les revendications, mais pas qu'on mette la vie des gens en danger… »
Pour faire réfléchir
« Ma mère, 86 ans, hospitalisée depuis quinze jours, atteinte de la maladie d'Alzheimer, a été évacuée de l'Alliance vers Saint-Gatien vendredi soir, rapporte une lectrice de Tours. Présente à ce moment, je suis écœurée de la façon dont ce transfert s'est passé : ambulanciers très “ hargneux ”, ne prenant aucune précaution à l'encontre de ma pauvre mère déjà très mal en point… Heureusement, à Saint-Gatien, j'ai pu constater le professionnalisme de cet établissement… »
Une autre, de Saint-Cyr, écrit : « Mon mari, hospitalisé en urgence lundi 8, était absolument incapable de rentrer à la maison, et cependant, un médecin a signé la sortie, sans tenir compte de son état de faiblesse. Sans doute est-ce le protocole utilisé pour pallier le manque de personnel ! Impossible de joindre le médecin dans le service duquel il était admis : fuirait-il ses responsabilités ? Personne pour m'aider. Voyant ma grande détresse, le Dr Vaujois qui passait à ce moment-là, a pris les choses en main et organisé le transfert à Fleming. A l'arrivée de l'ambulance, l'Alliance ne disposait même pas d'un fauteuil roulant pour descendre mon mari, que nous avons dû porter littéralement… Que cette lettre fasse réfléchir les responsables d'une clinique ouverte dans la précipitation… »
Mme B…, de Saint-Laurent-de-Lin, estime que « c'est une honte de fermer une clinique nouvellement installée… Elle n'aurait dû fonctionner qu'une fois tout réglé, le résultat est nul et le malade subit… »
Une salariée de l'Alliance relève que « le déménagement était prévu de longue date… Les patients ont été accueillis au milieu des cartons qui traînaient un peu partout, faute d'étagères ou de placards. Prendre une semaine pour ranger, faire l'inventaire du matériel manquant ou inutilisable, ça n'a même pas effleuré la direction. Quant à sa surprise devant notre grève, ils sont bien sourds, car nous parlons de nos problèmes depuis longtemps… C'est parce que la sécurité des patients n'était pas assurée que les salariés ont fait grève… »
Un cadre de la clinique reconnaît : « Certains patients n'ont pas bénéficié de leurs traitements, beaucoup n'ont pu avoir les soins de confort (douche, aide à la toilette), beaucoup n'ont pas eu de repas durant deux jours… Les effectifs soignants étant très faibles, nous avons dû utiliser les étudiants en stage… Nous étions parfaitement conscients des difficultés que rencontrait le personnel, tant sur le manque de matériel que sur la charge de travail… J'avoue que nous n'avons apporté aucune réponse satisfaisante et efficace, ce qui a abouti à ce chaos.
« La direction invoquait le manque de moyens : totalement faux, les inaugurations ont coûté par exemple 11.000 € pour la location d'un barnum et le traiteur… Elle a décidé de mettre les effectifs a minima pour augmenter la rentabilité. Le personnel n'a pas eu d'autre choix que de cesser le travail, car ses lettres recommandées et les réunions n'avaient rien apporté et n'apporteraient rien, nous avions des directives… Les salariés ont obtenu des “ mesurettes ”. La pression sur eux se fait par l'intermédiaire de certains médecins actionnaires… »
source : la nouvelle république
cadre
Bonjour,
Dans notre établissement, nous avons des référents en qualité !!!
( petit cadre non diplômé pro direction pour la plus part avec 2 à 4 ans d'expérience dans le milieu )
Les référents de nuit, auront une tache particulière..
Quand une collègue la nuit aura un problème médicale avec un patient...
Elle devra faire appelle aux référents de nuit, qui viendra vérifier l'état de santé du patient et elle prendra la décision ou non de téléphoner au médecin de garde !!!!!!!!!!
La référente de nuit a informé son équipe hier !!
Dans notre établissement, nous avons des référents en qualité !!!
( petit cadre non diplômé pro direction pour la plus part avec 2 à 4 ans d'expérience dans le milieu )
Les référents de nuit, auront une tache particulière..
Quand une collègue la nuit aura un problème médicale avec un patient...
Elle devra faire appelle aux référents de nuit, qui viendra vérifier l'état de santé du patient et elle prendra la décision ou non de téléphoner au médecin de garde !!!!!!!!!!
La référente de nuit a informé son équipe hier !!
Bonsoir,
Voici un message recu par un membre du site :
bien sur que les consditions de travail sont limites, mais c'est le cas partout, dans n'importe quelle ville. bie sure il ne faut pas faire de généralité, mais Tours n'est pas catastrophique, les hopitaux sont quand même bien réputés hormis cette fameuse clinique qui commence mal... faut savoir faire la part des choses et réparer les erreurs, n'est ce pas ce qu'ils font?
bonne soirée
Je te remercie pour ce message : pour y répondre je te dirai que dans le public pour y avoir travailler, et plus sécurisant pour une IDE qui travaille de nuit...
Un médecin est toujours disponible !! jour et nuit à l'hopital
Dans le privé, il faut que les IDE se battent pour avoir au bout du file le médecin référent de la personne !!!
Et il faut se battre encore et encore pour que le médecin vienne voir les patients !!!!
les patients sont en dangés !!! Et les IDE risquent leur diplome !!!
Voici un message recu par un membre du site :
bien sur que les consditions de travail sont limites, mais c'est le cas partout, dans n'importe quelle ville. bie sure il ne faut pas faire de généralité, mais Tours n'est pas catastrophique, les hopitaux sont quand même bien réputés hormis cette fameuse clinique qui commence mal... faut savoir faire la part des choses et réparer les erreurs, n'est ce pas ce qu'ils font?
bonne soirée
Je te remercie pour ce message : pour y répondre je te dirai que dans le public pour y avoir travailler, et plus sécurisant pour une IDE qui travaille de nuit...
Un médecin est toujours disponible !! jour et nuit à l'hopital
Dans le privé, il faut que les IDE se battent pour avoir au bout du file le médecin référent de la personne !!!
Et il faut se battre encore et encore pour que le médecin vienne voir les patients !!!!
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