pansement alcoolisé
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Léopold Anasthase a écrit :Tiède, verser de l'eau chaude puis de l'alcool. Un pansement alcoolisé tiède ne doit être appliqué qu'à une personne capable de le retirer elle-même. Sinon les risques de brûlure sont trop importants.
Oui ya tiède et ... tiède

Je ne vois pas ce que tu veux dire en parlant des risques de brulure, il va de soi qu'avant d'appliquer la pansement, on teste la chaleur. Si la personne doit être apte à retirer le pansement car trop chaud, c'est qu'il l'étais déjà au moment de la pose.
J'essaie de suivre pourtant

La pensée vole, et les mots vont à pieds.
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Gengis a écrit :Je ne vois pas ce que tu veux dire en parlant des risques de brulure, il va de soi qu'avant d'appliquer la pansement, on teste la chaleur. Si la personne doit être apte à retirer le pansement car trop chaud, c'est qu'il l'étais déjà au moment de la pose.
Pour créer une brûlure, il faut une certaine quantité d'énergie. Cette énergie dépend de la différence de température entre la peau et l'agent causal (en l'occurence, l'eau chaude) et la durée de l'exposition. Par exemple, si vous posez la main sur un radiateur à 45°, vous ne vous brûlez pas. Mais si vous laissez la main trois heures, vous êtes brûlé. C'est pareil avec le pansement alcoolisé : ce qui peut vous sembler suportable quand vous testez peut être responsable de brûlure du fait de la durée d'application.
Par ailleurs, l'expérience et les rapports d'incidents montrent que les brûlures peuvent survenir avec un pansement alcoolisé, et que ces brûlures ne surviennent que chez des personnes incapables de retirer elles-mêmes le pansement (coma, personnes attachées...).
D'où la règle de ne placer un pansement chaud que si le patient peut le retirer lui-même.
Léopold Anasthase a écrit :Gengis a écrit :Je ne vois pas ce que tu veux dire en parlant des risques de brulure, il va de soi qu'avant d'appliquer la pansement, on teste la chaleur. Si la personne doit être apte à retirer le pansement car trop chaud, c'est qu'il l'étais déjà au moment de la pose.
Pour créer une brûlure, il faut une certaine quantité d'énergie. Cette énergie dépend de la différence de température entre la peau et l'agent causal (en l'occurence, l'eau chaude) et la durée de l'exposition. Par exemple, si vous posez la main sur un radiateur à 45°, vous ne vous brûlez pas. Mais si vous laissez la main trois heures, vous êtes brûlé. C'est pareil avec le pansement alcoolisé : ce qui peut vous sembler suportable quand vous testez peut être responsable de brûlure du fait de la durée d'application.
Par ailleurs, l'expérience et les rapports d'incidents montrent que les brûlures peuvent survenir avec un pansement alcoolisé, et que ces brûlures ne surviennent que chez des personnes incapables de retirer elles-mêmes le pansement (coma, personnes attachées...).
D'où la règle de ne placer un pansement chaud que si le patient peut le retirer lui-même.
Oui, le tiède est subjectif...
Merci de ces précisions monsieur léopold.
La pensée vole, et les mots vont à pieds.
pansement alcoolisé
bonjour,
Souvent lorsqu une perfusion diffuse, je vois faire des pansements alcoolisés donc j'aimerais savoir comment vous les faites, avec quel produit, quelle dilution?
JE VOUS REMERCIE PAR AVANCE.
Souvent lorsqu une perfusion diffuse, je vois faire des pansements alcoolisés donc j'aimerais savoir comment vous les faites, avec quel produit, quelle dilution?
JE VOUS REMERCIE PAR AVANCE.
pour ma part je prends un pansement americain nn sterile, que j'imbibe d'eau chaude et que j'asperge d'alcool. l'eau chaud permet la vasodilatation des vassieaux, et donc de soulager le patient. il n'y a pas de dilution particuliere, il faut juste que ca soit bien imbibe, et une fois sec tu le changes
Chi vive sperendu morre caguandu
C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que certains ont l'air brillant avant d'avoir l'air con
C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que certains ont l'air brillant avant d'avoir l'air con