concours printemps 2007
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Salut tout le monde.
S'ayait je suis passée à Allonnes. Le sujet était "Voilà une formule de Ionesco qui dit: les poètes restent inutiles mains nécessaire" "c'est pareil plour les comiques" Daniel Prevost. Que vous suggère cette opinion? Est vous pour ou contre?
Sujet qui m'inspirait pas du tout.
Quand je suis passé à l'entretien, je me suis présentée, j'ai parlé de mon sujet. En voyant leur tête je voyait bien que ce n'était pas trop la direction dans laquelle il souhaitais que je réponde.
Puis je suis passée aux motivations. PUis il m'ont demander si j'avais mon permis, pourquoi je voulais aller à Allonnes, si j'avais une option dans mes études, quel était la particularité de cette école, ....
Voilà à peu près mon entretien.
Conclusion je ne sais pas si je suis reçu (???????)
Bonne soirée à tous
S'ayait je suis passée à Allonnes. Le sujet était "Voilà une formule de Ionesco qui dit: les poètes restent inutiles mains nécessaire" "c'est pareil plour les comiques" Daniel Prevost. Que vous suggère cette opinion? Est vous pour ou contre?
Sujet qui m'inspirait pas du tout.
Quand je suis passé à l'entretien, je me suis présentée, j'ai parlé de mon sujet. En voyant leur tête je voyait bien que ce n'était pas trop la direction dans laquelle il souhaitais que je réponde.
Puis je suis passée aux motivations. PUis il m'ont demander si j'avais mon permis, pourquoi je voulais aller à Allonnes, si j'avais une option dans mes études, quel était la particularité de cette école, ....
Voilà à peu près mon entretien.
Conclusion je ne sais pas si je suis reçu (???????)
Bonne soirée à tous
Etudiante infirmiere d'ALLONNES
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- popsette68
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quelqu'un peut m'aider concernant les résultats du concours?je m'appelle gabrielle dengaky et si ya une personne disponible pour aller regarder le résultat jlui serait reconnaissante.cependant j'ai pas bcp d'espoire car jconnais 4échecs pour le moment et c'est mon dernier!

rien ne vaut mieu qu'une bonne infirmiere 

- KidAngel
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j'ai fait les condition d'avant, la non prise en charge et aussi la médication moin imprtante
Et aujourdhui, le corps ramoli, l'amélioration des technique, l'écoute du patient.........
Mais je pense avoir fait un hors sujet.
J'ai également parlé du protocole avec la regle graduet.
Et aujourdhui, le corps ramoli, l'amélioration des technique, l'écoute du patient.........
Mais je pense avoir fait un hors sujet.
J'ai également parlé du protocole avec la regle graduet.
AS de jour en Unité de Soin Continu
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salut popsette!
je viens de passer l'oral à colmar, pour ceux qui se poser la question on est 380 apparement à passer l'oral..
je suis passée la première et j'ai eu " la violence aux femmes" fallait parler des moyens mis en oeuvre pour lutter contre..
bon la question ça allait, mais beaucoup de questions autour du sujet et sur ce que j'avais répondu ( parler de l'inf qui peut dénoncer les violences et soutenir la femme dans sa démarche)
après bref résumé de mon parcours,
mes motivations
quelle est la situation qui me fait peur dans ce métier? jai dit que p-e la relation avec la douleur et la mort, mais qu'une équipe d'inf doit être souder, doit se soutenir
qu'est ce que j'attend de l'équipe pédagogique?
qu'est ce qu'une journée type d'inf? (je savais pas du tout comment mexprimer là :s, bon j'ai dit qqch mais voilà)
organisation et rigueur pensez vous qu'il en faut dans ce métier?
pi après question sur les stages, comment j'irai (vu que je suis de stras) les horaires, "connaissez vous les horaires? " euh alors là j'ai dit en gros 6h milieu d'aprem et aprem soirée koi
et là je me suis faite avoir j'ai dit qu'apparement on pouvait en faire sur strasbourg! ( c'est mm une cadre inf ki me lavé di) et là le jury me sort que non!..bref
je sais pas du tout koi en penser, ils ont eut lair d'aimer mon parcours mais après je trouve que j'ai bafouillé dans ce que je disais, ça se voyait que j'étais stressée
et le jury était froid, sauf la psy super gentille tjrs entrain de me sourir
je viens de passer l'oral à colmar, pour ceux qui se poser la question on est 380 apparement à passer l'oral..
je suis passée la première et j'ai eu " la violence aux femmes" fallait parler des moyens mis en oeuvre pour lutter contre..
bon la question ça allait, mais beaucoup de questions autour du sujet et sur ce que j'avais répondu ( parler de l'inf qui peut dénoncer les violences et soutenir la femme dans sa démarche)
après bref résumé de mon parcours,
mes motivations
quelle est la situation qui me fait peur dans ce métier? jai dit que p-e la relation avec la douleur et la mort, mais qu'une équipe d'inf doit être souder, doit se soutenir
qu'est ce que j'attend de l'équipe pédagogique?
qu'est ce qu'une journée type d'inf? (je savais pas du tout comment mexprimer là :s, bon j'ai dit qqch mais voilà)
organisation et rigueur pensez vous qu'il en faut dans ce métier?
pi après question sur les stages, comment j'irai (vu que je suis de stras) les horaires, "connaissez vous les horaires? " euh alors là j'ai dit en gros 6h milieu d'aprem et aprem soirée koi
et là je me suis faite avoir j'ai dit qu'apparement on pouvait en faire sur strasbourg! ( c'est mm une cadre inf ki me lavé di) et là le jury me sort que non!..bref

je sais pas du tout koi en penser, ils ont eut lair d'aimer mon parcours mais après je trouve que j'ai bafouillé dans ce que je disais, ça se voyait que j'étais stressée

et le jury était froid, sauf la psy super gentille tjrs entrain de me sourir
IDE en réa
- ameliboubou
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- popsette68
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Merci pour les renseignements carok1007 !
En fait pour colmar on a a peu près 1 chance sur 2 donc je vais me donner au max ! j'espere que pour toi le résultat sera positif !
Et pour tous les autres aussi !
Je vous tiendrait au courant de mon sujet !
En fait pour colmar on a a peu près 1 chance sur 2 donc je vais me donner au max ! j'espere que pour toi le résultat sera positif !
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Esi à Colmar
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" Faites que vos rêves dévorent votre vie afin que la vie ne dévore pas vos rêves ... "
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oral
Sujet donné en oral :
La précarité est-elle une fatalité ?
On estime que 10 à 15 millions de personnes en France aujourd’hui sont touchés par la précarité. Mais que recouvre ce terme de « précarité » ? Elle fait référence à l’instabilité des situations qui peuvent affecter les individus. Soit une multiplicité de possibles précarités affectant le logement, l’emploi, la santé, mais aussi la vie de famille, les liens sociaux, la citoyenneté, l’équilibre personnel.
Comment appréhender une réalité aussi complexe et mieux la combattre ?
Les inégalités qui se creusent, ces fragilités qui déstabilisent même ceux qui se croyaient à l'abri, est-ce là le visage inéluctable de la modernité ?
Le terme précarité est alors utilisé comme un terme « absolu », et la précarité associée à un « processus » menant potentiellement à la pauvreté. Cependant cette précarité n’est pas le fait d’une seul événement majeur mais d’une conjoncteur d’évènements. Aussi peut-on dire que la précarité dans notre société est un fatalité ? Comment en arriver à distinguer clairement les différentes situations de précarité
I.
Les caractéristiques de cette « précarité « sont principalement :
les origines,
- ordre politique
- répartition des chances de réussite sociale
- répartition des richesses, organisation sociale
- ordre institutionnel et professionnel
Causes :
- l’absence de qualifications,
- la rareté et l’irrégularité des ressources,
- les conditions de logement dégradées,
- les problèmes de santé,
- l’absence ou la rareté des liens sociaux ,
- l’équilibre précaire dans la vie de couple, le divorce
*conséquences des différentes situations de précarité
-cumul précarité et pb de santé ,
un ressenti d' inégalité chez les personnes qui ont moins que les autres, un mal être : altérations narcissiques, honte, sentiment d' insécurité, d' inutilité, (pb psy, alcoolisme, drogue, pb dentaire du à la mauvaise nutrition)
- les contacts avec la familles et les proches sont caractérisés par une différentions des relation interpersonnelles
= isolement socialement voulu (car honte) ou non (tourne le dos)
- équation entre précarité professionnelle et précarité sociale
- famille à l'épreuve de la précarité
- dégradation des conditions de vie
oui il y a tout cela, mais la précarité n’est pas une fatalité, on peut s’en sortir.
II.
lutte contre la précarité est un des grands enjeux sociaux d'aujourd'hui.
la lutte contre la précarité est-elle adaptée ?
- Les nouveaux aspects de la protection sociale
- associations d’aide à la réinsertion sociale et professionnelle
- plus de travail et que le salaire permette de vivre dignement.
- Notre société doit remettre sur le devant de la scène - Europe
conclusion :
Face aux personnes en situation de précarité et de détresse, nous n'avons pas à nous demander avec méfiance “comment ont-ils bien pu en arriver là” et à les soupçonner trop facilement de manquer de volonté ou de courage. qu'ils “devraient pouvoir s'en sortir” alors que nous sommes à mille lieues des réalités de leur existence. Si dans la majorité des cas, la précarité qui a pour corollaire la détresse financière n’est pas choisie, quelle « vous tombe dessus comme ça », ne somme nous pas en droit de nous interroger sur le fait de savoir si cette pers marginale ne recherche pas cette précarité pour éviter d’avoir des attaches, des contraintes ? (SDF, bellecour, tentes, reportage « je choisi ce mode vie)
La précarité est-elle une fatalité ?
On estime que 10 à 15 millions de personnes en France aujourd’hui sont touchés par la précarité. Mais que recouvre ce terme de « précarité » ? Elle fait référence à l’instabilité des situations qui peuvent affecter les individus. Soit une multiplicité de possibles précarités affectant le logement, l’emploi, la santé, mais aussi la vie de famille, les liens sociaux, la citoyenneté, l’équilibre personnel.
Comment appréhender une réalité aussi complexe et mieux la combattre ?
Les inégalités qui se creusent, ces fragilités qui déstabilisent même ceux qui se croyaient à l'abri, est-ce là le visage inéluctable de la modernité ?
Le terme précarité est alors utilisé comme un terme « absolu », et la précarité associée à un « processus » menant potentiellement à la pauvreté. Cependant cette précarité n’est pas le fait d’une seul événement majeur mais d’une conjoncteur d’évènements. Aussi peut-on dire que la précarité dans notre société est un fatalité ? Comment en arriver à distinguer clairement les différentes situations de précarité
I.
Les caractéristiques de cette « précarité « sont principalement :
les origines,
- ordre politique
- répartition des chances de réussite sociale
- répartition des richesses, organisation sociale
- ordre institutionnel et professionnel
Causes :
- l’absence de qualifications,
- la rareté et l’irrégularité des ressources,
- les conditions de logement dégradées,
- les problèmes de santé,
- l’absence ou la rareté des liens sociaux ,
- l’équilibre précaire dans la vie de couple, le divorce
*conséquences des différentes situations de précarité
-cumul précarité et pb de santé ,
un ressenti d' inégalité chez les personnes qui ont moins que les autres, un mal être : altérations narcissiques, honte, sentiment d' insécurité, d' inutilité, (pb psy, alcoolisme, drogue, pb dentaire du à la mauvaise nutrition)
- les contacts avec la familles et les proches sont caractérisés par une différentions des relation interpersonnelles
= isolement socialement voulu (car honte) ou non (tourne le dos)
- équation entre précarité professionnelle et précarité sociale
- famille à l'épreuve de la précarité
- dégradation des conditions de vie
oui il y a tout cela, mais la précarité n’est pas une fatalité, on peut s’en sortir.
II.
lutte contre la précarité est un des grands enjeux sociaux d'aujourd'hui.
la lutte contre la précarité est-elle adaptée ?
- Les nouveaux aspects de la protection sociale
- associations d’aide à la réinsertion sociale et professionnelle
- plus de travail et que le salaire permette de vivre dignement.
- Notre société doit remettre sur le devant de la scène - Europe
conclusion :
Face aux personnes en situation de précarité et de détresse, nous n'avons pas à nous demander avec méfiance “comment ont-ils bien pu en arriver là” et à les soupçonner trop facilement de manquer de volonté ou de courage. qu'ils “devraient pouvoir s'en sortir” alors que nous sommes à mille lieues des réalités de leur existence. Si dans la majorité des cas, la précarité qui a pour corollaire la détresse financière n’est pas choisie, quelle « vous tombe dessus comme ça », ne somme nous pas en droit de nous interroger sur le fait de savoir si cette pers marginale ne recherche pas cette précarité pour éviter d’avoir des attaches, des contraintes ? (SDF, bellecour, tentes, reportage « je choisi ce mode vie)