Culture Générale
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hdenise a écrit :salut je voulais savoir comment je dois fairepour remonter le titre stp j'arive pas .merci d'avence
Pour ce sujet, tu cliques sur "éditer" en haut de ton 1er message, tu modifies le titre et tu envoies
crepeaujambon a écrit :hdenise a écrit :salut je voulais savoir comment je dois fairepour remonter le titre stp j'arive pas .merci d'avence
Salut hdenise
Comme j'avais créé le post il n'y a que moi je crois qui peut éditer
Non hdenise parle de ce post ici que je lui ai conseillé d'éditer plus haut

La pensée vole, et les mots vont à pieds.
- hdenise
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Le Sénat a adopté cette nuit le projet
de loi sur la lutte contre la récidive
Les sénateurs ont voté le texte qui instaure des peines plancher et écarte dans certains cas l'excuse de minorité pour les 16-18 ans.
Le Sénat a adopté dans la nuit de jeudi 5 à vendredi 6 juillet le projet de loi sur la lutte contre la récidive. Le texte instaure des peines plancher et écarte dans certains cas l'excuse de minorité pour les 16-18 ans, conformément à une promesse électorale de Nicolas Sarkozy.
Le texte a été défendu en première lecture au Sénat par la ministre de la Justice Rachida Dati, dont c'était le baptême du feu parlementaire. Il met en place des peines minimales dès la première récidive pour tous les crimes et délits passibles d'au moins trois ans d'emprisonnement.
Marge de manœuvre pour le juge
Critiqué par les syndicats de magistrats et les travailleurs sociaux, il offre toutefois la possibilité au juge de déroger à cette disposition par une décision spécialement motivée, en fonction des "circonstances de l'infraction", de la "personnalité de son auteur" ou de ses "garanties d'insertion ou de réinsertion".
De la même façon, si le projet exclut l'excuse de minorité pour les mineurs de plus de seize ans qui commettent des crimes ou délits de nature violente ou sexuelle après avoir été déjà condamnés à au moins deux reprises pour des faits identiques ou similaires, des dérogations sont possibles dans les mêmes conditions.
Injonction de soins obligatoire pour les délinquants sexuels
En outre le texte prévoit une injonction de soins obligatoire pour les délinquants sexuels, qui ne pourront bénéficier de réductions de peine ou de libération conditionnelle s'ils refusent de s'y soumettre.
"C'est d'abord et avant tout un signal de fermeté envoyé à des délinquants endurcis", a plaidé Rachida Dati, dont le projet de loi, débattu en procédure d'urgence (une seule lecture dans chaque chambre) était le premier à l'ordre du jour de la session extraordinaire du Parlement.
Robert Badinter pour le PS a dénoncé un texte "inutile, implicitement vexant pour la magistrature et, ce qui est plus grave, potentiellement dangereux". "Vous jouez, avec ce texte, au pompier pyromane. On comprend pourquoi vos prédécesseurs n'avaient pas voulu de peines plancher", a-t-il lancé.
Amendé à la marge
Les sénateurs l'ont amendé à la marge, notamment pour obliger le procureur à requérir une enquête sociale lorsqu'il décide de retenir l'état de récidive du délinquant, et pour prévoir que le condamné sera averti des conséquences qu'entraînerait une nouvelle condamnation pour des faits analogues.
Avec un avis favorable de Rachida Dati, ils ont adopté à l'unanimité un amendement PS défendu par Robert Badinter, visant à exclure du champ de la récidive des mineurs les mesures éducatives prononcées par les tribunaux pour enfants.
Ils ont en revanche repoussé à la demande de la ministre un amendement du rapporteur François Zochetto (UDF), tendant à élargir le champ des possibilités offertes au juge de déroger aux peines plancher proposées pour les multirécidivistes.
Gradation entre la première et la deuxième récidive
Afin de marquer une gradation entre la première et la deuxième récidive, ils ont ainsi maintenu la rédaction initiale du texte prévoyant qu'en deuxième récidive, le juge ne peut prononcer une peine inférieure à un certain seuil "que si l'accusé présente des garanties exceptionnelles d'insertion ou de réinsertion".
de loi sur la lutte contre la récidive
Les sénateurs ont voté le texte qui instaure des peines plancher et écarte dans certains cas l'excuse de minorité pour les 16-18 ans.
Le Sénat a adopté dans la nuit de jeudi 5 à vendredi 6 juillet le projet de loi sur la lutte contre la récidive. Le texte instaure des peines plancher et écarte dans certains cas l'excuse de minorité pour les 16-18 ans, conformément à une promesse électorale de Nicolas Sarkozy.
Le texte a été défendu en première lecture au Sénat par la ministre de la Justice Rachida Dati, dont c'était le baptême du feu parlementaire. Il met en place des peines minimales dès la première récidive pour tous les crimes et délits passibles d'au moins trois ans d'emprisonnement.
Marge de manœuvre pour le juge
Critiqué par les syndicats de magistrats et les travailleurs sociaux, il offre toutefois la possibilité au juge de déroger à cette disposition par une décision spécialement motivée, en fonction des "circonstances de l'infraction", de la "personnalité de son auteur" ou de ses "garanties d'insertion ou de réinsertion".
De la même façon, si le projet exclut l'excuse de minorité pour les mineurs de plus de seize ans qui commettent des crimes ou délits de nature violente ou sexuelle après avoir été déjà condamnés à au moins deux reprises pour des faits identiques ou similaires, des dérogations sont possibles dans les mêmes conditions.
Injonction de soins obligatoire pour les délinquants sexuels
En outre le texte prévoit une injonction de soins obligatoire pour les délinquants sexuels, qui ne pourront bénéficier de réductions de peine ou de libération conditionnelle s'ils refusent de s'y soumettre.
"C'est d'abord et avant tout un signal de fermeté envoyé à des délinquants endurcis", a plaidé Rachida Dati, dont le projet de loi, débattu en procédure d'urgence (une seule lecture dans chaque chambre) était le premier à l'ordre du jour de la session extraordinaire du Parlement.
Robert Badinter pour le PS a dénoncé un texte "inutile, implicitement vexant pour la magistrature et, ce qui est plus grave, potentiellement dangereux". "Vous jouez, avec ce texte, au pompier pyromane. On comprend pourquoi vos prédécesseurs n'avaient pas voulu de peines plancher", a-t-il lancé.
Amendé à la marge
Les sénateurs l'ont amendé à la marge, notamment pour obliger le procureur à requérir une enquête sociale lorsqu'il décide de retenir l'état de récidive du délinquant, et pour prévoir que le condamné sera averti des conséquences qu'entraînerait une nouvelle condamnation pour des faits analogues.
Avec un avis favorable de Rachida Dati, ils ont adopté à l'unanimité un amendement PS défendu par Robert Badinter, visant à exclure du champ de la récidive des mineurs les mesures éducatives prononcées par les tribunaux pour enfants.
Ils ont en revanche repoussé à la demande de la ministre un amendement du rapporteur François Zochetto (UDF), tendant à élargir le champ des possibilités offertes au juge de déroger aux peines plancher proposées pour les multirécidivistes.
Gradation entre la première et la deuxième récidive
Afin de marquer une gradation entre la première et la deuxième récidive, ils ont ainsi maintenu la rédaction initiale du texte prévoyant qu'en deuxième récidive, le juge ne peut prononcer une peine inférieure à un certain seuil "que si l'accusé présente des garanties exceptionnelles d'insertion ou de réinsertion".
admise à l'aphp
promo 2008/2011
Henri Mondor, vivement la rentré
enfin, il faut toujours croire en son rêve.
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Communiqué de presse, le 29 juin 2007


Cette 6ème édition de la "caravane d’été", qui aura lieu entre le 8 juillet et le 19 août, va permettre aux bénévoles de la Croix-Rouge française d’aller sur les lieux de vacances et dans les banlieues pour inviter petits et grands à découvrir les actions de solidarité menées par l’association tant au niveau local, national qu’international, à participer aux ateliers liés à l’autoprotection du citoyen lors de situations exceptionnelles et à être initiés gratuitement aux gestes de premiers secours.
Une heure d’été utile
Avec l’initiation aux premiers secours, la Croix-Rouge française rappelle que le témoin d’un accident est le premier maillon d’une chaîne de secours qui, grâce à son action immédiate avec des gestes simples et vitaux, va maintenir une personne en vie en attendant l’arrivée des secours.
En une heure de temps, jeunes et moins jeunes pourront ainsi acquérir les bons réflexes en cas d’urgence.L’initiation, réalisée sous forme d’ateliers par des secouristes formateurs bénévoles, est accessible aux enfants dès l’âge de 7 ans. De plus, au terme de cette sensibilisation, chacun reçoit un certificat d’initiation aux premiers secours (IPS).
Rappelons que l’IPS permet d’inculquer les gestes essentiels pour sauver une vie :la protection, l’alerte, la position latérale de sécurité, le bouche à bouche et le massage cardiaque.

Depuis sa création en 1999, la caravane d’été de la Croix-Rouge française a permis d’initier plus de 20.000 personnes. En 2006, le record est atteint avec 2889 initiés. "Avec 17% de personnes initiées et 27% de Français en possession d’un diplôme de secourisme (+20 points en 10 ans), la France compte désormais 44% de citoyens capables d’agir en cas d’accident et, par conséquent, susceptibles de sauver une vie". souligne Jean-François Mattei, président de la Croix-Rouge française, avant de poursuivre : "La Croix-Rouge est le premier opérateur d’initiations et de formations avec 53% des personnes formées par l’association".

Juillet
8 : Fort Mahon (Somme)
9 : Amiens (Somme)
11-12 : Ouistreham (Calvados)
14-15 : Ploemeur (Morbihan)
17-18 : Saint Jean de Monts (Vendée)
20-21 : Le Lac de Vassivière (Creuse)
23-24 : Carcan Maubuisson (Gironde)
26-27 : Biscarosse (Landes)
29-30 : Tarbes (Hautes Pyrénées)
Août
2-3 : Palavas-les-Flots (Hérault)
5-6 : Marignane (Bouches du Rhône)
8-9 : Vallon Pont d’Arche (Ardèche)
11-12 : Lac de Paladru (Isère)
14-15 : Creutzwald (Moselle)
17-18 : Tourcoing (Nord)
19 : Paris Plage (Paris)
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Communiqué de presse, le 4 juillet 2007

de premiers secours[/url]
C’est une première en France, six personnes détenues de la maison centrale de Saint-Maur, près de Châteauroux dans l’Indre (36), ont obtenu le diplôme de moniteur national de premiers secours (MNPS).Encadrés par deux formateurs de la Croix-Rouge française, ils auront vécu la semaine du 21 au 29 juin dernier en immersion totale. Résultat, le 29 juin : 100 % de réussite au monitorat !
Sylvia et Jean-Paul, les formateurs de la Croix-Rouge sont fiers de leurs élèves : "nos six volontaires pour devenir des formateurs en Attestation de Formation aux Premiers Secours (AFPS), ont fait preuve d’une très grande motivation et d’une volonté hors pair au cours des 50 heures d’apprentissage. Ils disposaient déjà de l’AFPS, nous les avons formés
pour qu’ils puissent former d’autres détenus à leur tour. Et puis, qui sait, s’ils changent de centrale, cela peut avoir un effet boule de neige… De plus, et ils en sont conscients, obtenir ce diplôme représente un pas de géant vers la réinsertion."

La formation aux premiers secours est un outil exceptionnel pour favoriser la réinsertion des personnes incarcérées. D’une part parce qu’elle est validée par l’octroi d’un diplôme reconnu au niveau européen. Comme il s’agit souvent du premier diplôme pour bon nombre de personnes détenues, cela constitue une expérience très valorisante, propre à leur faire réintégrer un véritable parcours de formation (Brevet d’Etat, CAP…). D’autre part parce que cela les place en situation d’aide par rapport à autrui, alors que les détenus se situent souvent dans un rapport de force ou de violence. Cette sensibilisation au respect de l’autre, constitue une approche éducative personnelle extrêmement enrichissante.
En 2006, la Croix-Rouge française a réalisé plus de 60 sessions de formations aux gestes qui sauvent en milieu carcéral, ce qui représente plus de 600 personnes détenues formées Cette formation est également dispensée aux personnels de surveillance qui peuvent être confrontés à des situations d’urgence nécessitant la connaissance des gestes de premier secours. Enfin, l’AFPS fait également partie de la panoplie des actions de prévention du suicide au sens large.
Aujourd’hui, avec 17 % de la population initiée aux Premiers secours (IPS) et 27 % possédant le diplôme de secourisme (AFPS), notre pays dénombre 44 % de citoyens capables d’agir en cas d’accident et, par conséquent, susceptibles de sauver une vie. Avec 53 % de français formés par l’association, la Croix-Rouge reste le premier opérateur d’initiations et de formations de notre pays.
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JEAN-MICHEL BADER. Publié le 05 juillet 2007 - Le Figaro.fr
Selon une étude allemande, deux carrés de « noir » par jour réduisent les risques cardiovasculaires.CINQ pharmacologues de l'université de Cologne ont publié hier dans le Journal of the American Medical Association un article très bien documenté sur les vertus médicinales du chocolat, qui confirme son excellence pour réduire la pression artérielle sans prendre de poids. On savait déjà, grâce à un sondage publié le 5 juin 2007, que 52 % des femmes britanniques préfèrent le chocolat au sexe ! D'autres études antérieures avaient déjà avancé le fait qu'une consommation quotidienne de 100 grammes de liqueur de chocolat, très riche en flavanols (famille des polyphénols, également présents dans le vin), diminue la pression artérielle. Mais on ignorait jusqu'à présent « quel effet pourraient avoir de petites quantités de chocolat noir, riche en cacao et faible en sucres et matières grasses », explique le Dr Dirk Taubert, auteur de l'étude.
Entre janvier 2005 et décembre 2006, 44 adultes (20 hommes et 24 femmes) de 56 à 73 ans souffrant d'une préhypertension (chiffres entre 130 et 140 mm de mercure de pression systolique) ou d'une hypertension de stade 1 (chiffres compris entre 140 et 160 mm Hg) ont été répartis en deux groupes.
Effet dilatateur
Le premier a mangé pendant dix-huit semaines 6,3 grammes de chocolat noir (deux carrés) contenant 30 milligrammes de polyphénols. Le second a dégusté du chocolat blanc dépourvu de ces substances. Les polyphénols des fèves de cacao sont de puissants antioxydants qui ont un effet apparemment dilatateur sur les artères.
Les personnes du groupe « noir » ont, à la fin de l'expérience, enregistré une diminution modeste, mais réelle, de leur pression artérielle, sans avoir pris de poids : la prévalence dans ce groupe de l'hypertension artérielle est passée de 86 à 68 %. Les consommateurs de chocolat blanc, eux, n'ont en rien modifié leurs chiffres de pression.
Or une réduction même faible de la pression systolique (cet à-coup de pression dû à l'onde de pression envoyée par la brusque contraction cardiaque) fait baisser le risque de mourir d'une attaque cérébrale ou cardiaque de respectivement 8 % et 5 %. En février dernier, dans la revue US Pharmacist, des chercheurs californiens avaient annoncé que le chocolat noir sans sucre joue sur le tonus musculaire de la paroi de l'artère humérale. Une autre étude présentée au congrès de l'American Heart Association à Chicago, en novembre 2006, par le Dr Diane Becker (Johns Hopkins University, Baltimore) avait démontré que quelques grammes quotidiens de « noir » avaient le même effet que l'aspirine pour réduire la coagulation sanguine. Enfin, le Dr Norman Hollenberg (Harvard University School of Medicine) a découvert un net accroissement du débit sanguin cérébral de quinquagénaires en bonne santé buvant de la liqueur de chocolat. D'ailleurs, les Indiens Kuna du Panama en consomment souvent et n'ont pas d'hypertension artérielle.

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LE MONDE | 09.07.07 | 15h02 • Mis à jour le 09.07.07 | 15h02
L'aggravation prévisible du déficit de la Sécurité sociale - 12 milliards d'euros pour 2007, dont un peu plus de la moitié pour les dépenses de santé -, a relancé la controverse sur l'efficacité de la réforme Douste-Blazy de 2004 et les conditions de prise en charge des pathologies les plus lourdes. Même s'ils restent convaincus que les nouvelles dispositions ont freiné les dépenses, les dirigeants de la Caisse nationale d'assurance-maladie (CNAM) considèrent que le rythme de croissance annuelle des vingt-cinq dernières années (1,3 point supérieur au produit intérieur brut) n'a pas de raison de s'infléchir.
Sur la base des tendances observées depuis 1998, ils estiment qu'"à l'horizon 2015, les dépenses d'assurance-maladie devraient atteindre 210 milliards d'euros contre 140 milliards actuellement, soit une hausse de 50 %". A l'origine de cette aggravation, l'augmentation des maladies chroniques et des polypathologies, devrait peser très lourdement. Selon la CNAM, 73 % des dépenses de soins de ville (1 000 euros par an et par assuré) étaient, en 2005, concentrées sur 20 % des assurés sociaux, soit 7,4 millions de patients atteints d'une des maladies reconnues en affection de longue durée (ALD) couverte à 100 % pour la partie spécifique de leur traitement. En 2015, leur nombre pourrait atteindre 12 millions. Parmi elles, les victimes de tumeurs malignes et de cancers risquent de passer de 1,4 million en 2005 à 2,6 millions en 2015 et les diabétiques de 1,3 million à 2,6 millions.
RENFORCER LA PRÉVENTION
La CNAM prend aussi en compte le développement des maladies cardio-vasculaires, l'insuffisance respiratoire chronique, les affections neurologiques ainsi que les troubles spécifiques du vieillissement comme la maladie d'Alzheimer. Dès lors, "la croissance des dépenses d'ALD représenterait plus de 80 % de la hausse tendancielle des dépenses, principalement sur les médicaments et l'hospitalisation".
Cette évolution n'est pas sans conséquence sur l'organisation du système de soins et le financement de la protection sociale. La CNAM préconise de renforcer la prévention, la généralisation du dépistage et les programmes d'accompagnement des maladies chroniques. Ce suivi suppose une modification des pratiques à l'hôpital comme avec le médecin traitant, les infirmières, les kinésithérapeutes... La Haute Autorité de santé (HAS) devrait avancer d'ici peu de nouvelles préconisations thérapeutiques.
Le coût des ALD est au coeur de la controverse provoquée par la création de franchises médicales, dont la ressource estimée serait sans commune mesure avec l'augmentation des dépenses. En revanche, la proposition formulée par Martin Hirsch, haut commissaire aux solidarités actives, en faveur d'un "bouclier sanitaire" lié aux revenus de ménages suppose une transformation radicale de la prise en charge de ces ALD. Dans un avis qui devrait être publié jeudi 12 juillet, le Haut Conseil pour l'avenir de l'assurance-maladie devrait lui aussi formuler des pistes de réflexion sur le niveau "supportable" des dépenses de santé. Tout en reconnaissant qu'elles ne règlent en rien le déficit actuel.
Michel Delberghe

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05/07/07 - © genethique.org
Selon une étude présentée au 23ème congrès annuel de la Société européenne de reproduction humaine et d'embryologie (ESHRE), le diagnostic préimplantatoire (DPI) sur les embryons de femmes d'âge avancé pourrait réduire les chances de grossesse. "Les résultats suggèrent que pour 9 femmes de 35 à 41 ans, qui prévoient 3 cycles de FIV, il y aura une naissance vivante de plus, si le diagnostic préimplantatoire à la recherche d'aneuploïdie n'est pas réalisé." Cette étude a été publiée dans le New England Journal of Medicine.
Les résultats de cette étude suggèrent donc que le DPI ne fasse pas partie des "examens de routine" pour les femmes âgées de plus de 35 ans qui ont recours à une fécondation in vitro, explique le Dr Mastenbroeck, l'un des auteurs de l'étude.
Au cours de l'étude, les scientifiques ont également étudié les effets du diagnostic préimplantatoire sur le déroulement des grossesses. 408 femmes âgées de 35 à 41 ans ont participé à l'étude, la moitié étant soumises au DPI. Le taux de grossesses s'est révélé inférieur dans le groupe ayant fait un DPI : 25% contre 37% dans l'autre groupe.
Par ailleurs, plus de 60% des embryons sélectionnés par DPI et implantés présentaient des anomalies. Plusieurs explications peuvent être avancées : "la biopsie servant au prélèvement de la cellule pourrait nuire au développement de l'embryon plus qu'on ne le pensait" ou "la cellule examinée pourrait ne pas être représentative de l'embryon tout entier", suggère les auteurs de l'étude.
Lire l'étude du "New England Journal of Medicine" en ligne
NDLR : Le DPI sélectionne les embryons sains pour les réimplanter dans l'utérus maternel. Aucun embryon n'est guéri par le DPI. Ceux qui sont malades sont détruits ou utilisés pour la recherche.

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La Cnil mitigée sur un plan de vidéosurveillance en France LEXPRESS.fr avec Reuters lundi 9 juillet 2007, mis à jour à 17:26
Au moment où le gouvernement songe à multiplier les caméras pour lutter contre le terrorisme, la Commission nationale de l'informatique et des libertés n'a pas émis d'opposition mais a soulevé quelques craintes.
La Cnil s'est montrée lundi mitigée sur un possible programme de caméras de surveillance déployé en France, sur le modèle britannique, mais a refusé pour le moment de trancher sur ce dispositif.
Nicolas Sarkozy, qui a préconisé l'installation d'un vaste réseau de caméras dans les transports en commun français, a jugé dans une interview au Journal du Dimanche, compatible ce dispositif avec les libertés individuelles.
Il a notamment évoqué la menace terroriste "générale et élevée", et s'est dit "très impressionné par l'efficacité de la police britannique grâce à ce réseau de caméras".
"La Cnil n'a jamais d'opposition de principe dans ces matières-là. Elle demande à ce qu'on lui donne le dossier. Elle l'examine dans le détail et se prononce", a déclaré lundi le président de la Commission nationale de l'informatique et des libertés, Alex Türk, lors de la présentation du rapport annuel 2006 de l'organisme.
Insistant sur le fait que "dire pour ou contre (...) n'avait pas beaucoup de sens", il a jugé surtout nécessaire d'accompagner un tel dispositif de moyens de contrôle.
"On a bien l'intention de se préoccuper de cette question", a-t-il dit.
"L'augmentation du nombre de caméras vidéosurveillance fera l'objet d'une réflexion de notre part. Mais cela nécessitera que ce soit encadrée", a précisé Alex Türk.
RÉDUCTION DE LIBERTÉ
"Il faut que les citoyens soient parfaitement conscients que s'ils acceptent d'une certaine manière une réduction de leur liberté au profit de la sécurité collective (...) il y a un organisme indépendant de contrôle pour vérifier que la loi est parfaitement appliquée, que le droit des personnes est respecté et que toutes les dérives possibles sont contrôlées par un organisme".
Le président de la Cnil a émis quelques craintes comme "la possibilité de tracer les personnes". "Cela s'ajoutent à la biométrie, à la géolocalisation (...). On voit bien que l'on entre dans une société où s'additionnent toute une série de moyens qui permettent de repérer, de situer, de localiser des personnes", a-t-il dit.
"Inévitablement notre sphère de vie privée qui touche à notre intimité, notre identité est forcément, à chaque fois, un peu réduite au profit d'un niveau de sécurité collective qu'on estime meilleure", a mis en garde Alex Türk.
Alex Türk estime à environ 400.000 le nombre de caméras de surveillance en France. "L'essentiel des caméras de surveillance sont dans le domaine public. C'est le préfet qui est compétent. Nous sommes compétents pour l'installation dans l'espace privé", a-t-il dit.
En 2006, la Cnil a enregistré 880 déclarations de mise en place de système de vidéosurveillance contre 300 en 2005 et les demandes d'autorisation de dispositifs biométriques ont été multipliées par dix en an.
Au moment où le gouvernement songe à multiplier les caméras pour lutter contre le terrorisme, la Commission nationale de l'informatique et des libertés n'a pas émis d'opposition mais a soulevé quelques craintes.
La Cnil s'est montrée lundi mitigée sur un possible programme de caméras de surveillance déployé en France, sur le modèle britannique, mais a refusé pour le moment de trancher sur ce dispositif.
Nicolas Sarkozy, qui a préconisé l'installation d'un vaste réseau de caméras dans les transports en commun français, a jugé dans une interview au Journal du Dimanche, compatible ce dispositif avec les libertés individuelles.
Il a notamment évoqué la menace terroriste "générale et élevée", et s'est dit "très impressionné par l'efficacité de la police britannique grâce à ce réseau de caméras".
"La Cnil n'a jamais d'opposition de principe dans ces matières-là. Elle demande à ce qu'on lui donne le dossier. Elle l'examine dans le détail et se prononce", a déclaré lundi le président de la Commission nationale de l'informatique et des libertés, Alex Türk, lors de la présentation du rapport annuel 2006 de l'organisme.
Insistant sur le fait que "dire pour ou contre (...) n'avait pas beaucoup de sens", il a jugé surtout nécessaire d'accompagner un tel dispositif de moyens de contrôle.
"On a bien l'intention de se préoccuper de cette question", a-t-il dit.
"L'augmentation du nombre de caméras vidéosurveillance fera l'objet d'une réflexion de notre part. Mais cela nécessitera que ce soit encadrée", a précisé Alex Türk.
RÉDUCTION DE LIBERTÉ
"Il faut que les citoyens soient parfaitement conscients que s'ils acceptent d'une certaine manière une réduction de leur liberté au profit de la sécurité collective (...) il y a un organisme indépendant de contrôle pour vérifier que la loi est parfaitement appliquée, que le droit des personnes est respecté et que toutes les dérives possibles sont contrôlées par un organisme".
Le président de la Cnil a émis quelques craintes comme "la possibilité de tracer les personnes". "Cela s'ajoutent à la biométrie, à la géolocalisation (...). On voit bien que l'on entre dans une société où s'additionnent toute une série de moyens qui permettent de repérer, de situer, de localiser des personnes", a-t-il dit.
"Inévitablement notre sphère de vie privée qui touche à notre intimité, notre identité est forcément, à chaque fois, un peu réduite au profit d'un niveau de sécurité collective qu'on estime meilleure", a mis en garde Alex Türk.
Alex Türk estime à environ 400.000 le nombre de caméras de surveillance en France. "L'essentiel des caméras de surveillance sont dans le domaine public. C'est le préfet qui est compétent. Nous sommes compétents pour l'installation dans l'espace privé", a-t-il dit.
En 2006, la Cnil a enregistré 880 déclarations de mise en place de système de vidéosurveillance contre 300 en 2005 et les demandes d'autorisation de dispositifs biométriques ont été multipliées par dix en an.
Le soleil est nouveau tous les jours.
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Les dépenses de santé pourraient augmenter de 50 % d'ici à 2015
LE MONDE | 09.07.07 | 15h02 • Mis à jour le 09.07.07 | 15h02
L'aggravation prévisible du déficit de la Sécurité sociale - 12 milliards d'euros pour 2007, dont un peu plus de la moitié pour les dépenses de santé -, a relancé la controverse sur l'efficacité de la réforme Douste-Blazy de 2004 et les conditions de prise en charge des pathologies les plus lourdes. Même s'ils restent convaincus que les nouvelles dispositions ont freiné les dépenses, les dirigeants de la Caisse nationale d'assurance-maladie (CNAM) considèrent que le rythme de croissance annuelle des vingt-cinq dernières années (1,3 point supérieur au produit intérieur brut) n'a pas de raison de s'infléchir.
Sur la base des tendances observées depuis 1998, ils estiment qu'"à l'horizon 2015, les dépenses d'assurance-maladie devraient atteindre 210 milliards d'euros contre 140 milliards actuellement, soit une hausse de 50 %". A l'origine de cette aggravation, l'augmentation des maladies chroniques et des polypathologies, devrait peser très lourdement. Selon la CNAM, 73 % des dépenses de soins de ville (1 000 euros par an et par assuré) étaient, en 2005, concentrées sur 20 % des assurés sociaux, soit 7,4 millions de patients atteints d'une des maladies reconnues en affection de longue durée (ALD) couverte à 100 % pour la partie spécifique de leur traitement. En 2015, leur nombre pourrait atteindre 12 millions. Parmi elles, les victimes de tumeurs malignes et de cancers risquent de passer de 1,4 million en 2005 à 2,6 millions en 2015 et les diabétiques de 1,3 million à 2,6 millions.
RENFORCER LA PRÉVENTION
La CNAM prend aussi en compte le développement des maladies cardio-vasculaires, l'insuffisance respiratoire chronique, les affections neurologiques ainsi que les troubles spécifiques du vieillissement comme la maladie d'Alzheimer. Dès lors, "la croissance des dépenses d'ALD représenterait plus de 80 % de la hausse tendancielle des dépenses, principalement sur les médicaments et l'hospitalisation".
Cette évolution n'est pas sans conséquence sur l'organisation du système de soins et le financement de la protection sociale. La CNAM préconise de renforcer la prévention, la généralisation du dépistage et les programmes d'accompagnement des maladies chroniques. Ce suivi suppose une modification des pratiques à l'hôpital comme avec le médecin traitant, les infirmières, les kinésithérapeutes... La Haute Autorité de santé (HAS) devrait avancer d'ici peu de nouvelles préconisations thérapeutiques.
Le coût des ALD est au coeur de la controverse provoquée par la création de franchises médicales, dont la ressource estimée serait sans commune mesure avec l'augmentation des dépenses. En revanche, la proposition formulée par Martin Hirsch, haut commissaire aux solidarités actives, en faveur d'un "bouclier sanitaire" lié aux revenus de ménages suppose une transformation radicale de la prise en charge de ces ALD. Dans un avis qui devrait être publié jeudi 12 juillet, le Haut Conseil pour l'avenir de l'assurance-maladie devrait lui aussi formuler des pistes de réflexion sur le niveau "supportable" des dépenses de santé. Tout en reconnaissant qu'elles ne règlent en rien le déficit actuel.
LE MONDE | 09.07.07 | 15h02 • Mis à jour le 09.07.07 | 15h02
L'aggravation prévisible du déficit de la Sécurité sociale - 12 milliards d'euros pour 2007, dont un peu plus de la moitié pour les dépenses de santé -, a relancé la controverse sur l'efficacité de la réforme Douste-Blazy de 2004 et les conditions de prise en charge des pathologies les plus lourdes. Même s'ils restent convaincus que les nouvelles dispositions ont freiné les dépenses, les dirigeants de la Caisse nationale d'assurance-maladie (CNAM) considèrent que le rythme de croissance annuelle des vingt-cinq dernières années (1,3 point supérieur au produit intérieur brut) n'a pas de raison de s'infléchir.
Sur la base des tendances observées depuis 1998, ils estiment qu'"à l'horizon 2015, les dépenses d'assurance-maladie devraient atteindre 210 milliards d'euros contre 140 milliards actuellement, soit une hausse de 50 %". A l'origine de cette aggravation, l'augmentation des maladies chroniques et des polypathologies, devrait peser très lourdement. Selon la CNAM, 73 % des dépenses de soins de ville (1 000 euros par an et par assuré) étaient, en 2005, concentrées sur 20 % des assurés sociaux, soit 7,4 millions de patients atteints d'une des maladies reconnues en affection de longue durée (ALD) couverte à 100 % pour la partie spécifique de leur traitement. En 2015, leur nombre pourrait atteindre 12 millions. Parmi elles, les victimes de tumeurs malignes et de cancers risquent de passer de 1,4 million en 2005 à 2,6 millions en 2015 et les diabétiques de 1,3 million à 2,6 millions.
RENFORCER LA PRÉVENTION
La CNAM prend aussi en compte le développement des maladies cardio-vasculaires, l'insuffisance respiratoire chronique, les affections neurologiques ainsi que les troubles spécifiques du vieillissement comme la maladie d'Alzheimer. Dès lors, "la croissance des dépenses d'ALD représenterait plus de 80 % de la hausse tendancielle des dépenses, principalement sur les médicaments et l'hospitalisation".
Cette évolution n'est pas sans conséquence sur l'organisation du système de soins et le financement de la protection sociale. La CNAM préconise de renforcer la prévention, la généralisation du dépistage et les programmes d'accompagnement des maladies chroniques. Ce suivi suppose une modification des pratiques à l'hôpital comme avec le médecin traitant, les infirmières, les kinésithérapeutes... La Haute Autorité de santé (HAS) devrait avancer d'ici peu de nouvelles préconisations thérapeutiques.
Le coût des ALD est au coeur de la controverse provoquée par la création de franchises médicales, dont la ressource estimée serait sans commune mesure avec l'augmentation des dépenses. En revanche, la proposition formulée par Martin Hirsch, haut commissaire aux solidarités actives, en faveur d'un "bouclier sanitaire" lié aux revenus de ménages suppose une transformation radicale de la prise en charge de ces ALD. Dans un avis qui devrait être publié jeudi 12 juillet, le Haut Conseil pour l'avenir de l'assurance-maladie devrait lui aussi formuler des pistes de réflexion sur le niveau "supportable" des dépenses de santé. Tout en reconnaissant qu'elles ne règlent en rien le déficit actuel.
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Prisons: protestation à Bois d'Arcy contre l'absence de grâce présidentielle
Publié le 09-07-2007 20:08
Une vingtaine de détenus de la maison d'arrêt de Bois d'Arcy (Yvelines) ont brièvement refusé de réintégrer leur cellule dimanche après-midi pour protester contre l'annonce de Nicolas Sarkozy de ne pas procéder aux grâces présidentielles, a-t-on appris lundi de source syndicale.
"Les prisonniers ont manifesté leur mécontentement en refusant pendant une demie-heure de réintégrer leur cellule après la promenade du dimanche après-midi", a affirmé à l'AFP, Samuel Dehondt, secrétaire régional de FO Pénitentiaire.
"C'était un petit mouvement de mécontentement mais on s'attend au pire pour le week-end du 14 juillet", a ajouté le représentant de FO, précisant qu'il n'avait pas d'information sur d'éventuelles sanctions disciplinaires que la direction aurait pu prendre.
La direction de la maison d'arrêt était injoignable lundi après-midi, mais, interrogé par l'AFP, le porte-parole du ministère de la Justice, Guillaume Didier, a assuré que "la direction de l'administration pénitentiaire n'a pas constaté d'événements particuliers ce week-end par rapport à la même période de 2006".
"La période estivale est, du fait de la réduction des activités en détention, une période sensible et l'attention des responsables d'établissement a d'ores et déjà été mobilisée pour prévenir les difficultés qui pourraient survenir, en particulier en cas de forte chaleur", a-t-il ajouté, rappelant que le plan de prévention de la canicule a été mis en place en juin.
Le chef de l'Etat, Nicolas Sarkozy, a confirmé, dans une interview au Journal du Dimanche, ce qu'il avait dit pendant la campagne, à savoir son hostilité aux grâces présidentielles, héritage de l'Ancien Régime qui avait permis en 2006 environ 3.500 sorties anticipées après remises de peine.
Publié le 09-07-2007 20:08
Une vingtaine de détenus de la maison d'arrêt de Bois d'Arcy (Yvelines) ont brièvement refusé de réintégrer leur cellule dimanche après-midi pour protester contre l'annonce de Nicolas Sarkozy de ne pas procéder aux grâces présidentielles, a-t-on appris lundi de source syndicale.
"Les prisonniers ont manifesté leur mécontentement en refusant pendant une demie-heure de réintégrer leur cellule après la promenade du dimanche après-midi", a affirmé à l'AFP, Samuel Dehondt, secrétaire régional de FO Pénitentiaire.
"C'était un petit mouvement de mécontentement mais on s'attend au pire pour le week-end du 14 juillet", a ajouté le représentant de FO, précisant qu'il n'avait pas d'information sur d'éventuelles sanctions disciplinaires que la direction aurait pu prendre.
La direction de la maison d'arrêt était injoignable lundi après-midi, mais, interrogé par l'AFP, le porte-parole du ministère de la Justice, Guillaume Didier, a assuré que "la direction de l'administration pénitentiaire n'a pas constaté d'événements particuliers ce week-end par rapport à la même période de 2006".
"La période estivale est, du fait de la réduction des activités en détention, une période sensible et l'attention des responsables d'établissement a d'ores et déjà été mobilisée pour prévenir les difficultés qui pourraient survenir, en particulier en cas de forte chaleur", a-t-il ajouté, rappelant que le plan de prévention de la canicule a été mis en place en juin.
Le chef de l'Etat, Nicolas Sarkozy, a confirmé, dans une interview au Journal du Dimanche, ce qu'il avait dit pendant la campagne, à savoir son hostilité aux grâces présidentielles, héritage de l'Ancien Régime qui avait permis en 2006 environ 3.500 sorties anticipées après remises de peine.
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Publié le 09-07-2007 18:00
Australie: refusé à l'école parce qu'il s'appelle "Enfer"
Un garçon dont le nom de famille est Hell ("enfer"), s'est vu refusé son inscription dans une école catholique australienne de Melbourne au prétexte que son nom allait poser problème lors de ses enseignements religieux.
Le père du jeune garçon, Alex Hell, 45 ans, s'est dit scandalisé après le refus de l'école primaire de Melbourne d'accepter son fils Max. "Nous sommes victimes de notre nom", a dit Alex Hell, dont le nom est d'origine autrichienne. "Nous sommes en 2007, pas en 1407, nous ne sommes plus à l'âge des ténèbres", s'est indigné ce catholique, père de trois enfants, auprès de l'agence de presse Australian Associated Press.
M. Hell a indiqué qu'il avait à un moment proposé de changer le nom de famille de son fils et de l'appeler Wembridge, le nom de jeune fille de sa femme, une suggestion qui avait été très bien accueillie par le principal de l'école primaire St Pierre l'Apôtre, Michael McGrath. Mais il a ensuite changé d'avis et s'est alors entendu dire que son enfant ne serait pas autorisé à s'incrire à l'école, a expliqué M. Hell.
L'école est ensuite revenue sur sa décision mais M. Hell affirme aujourd'hui qu'il n'y inscrira sous aucun prétexte son fils. "Je préfère aller dans une autre école, nous n'avons aucun problème avec l'école publique mais nous voulions juste approfondir l'éducation de Max", a tranché M. Hell qui a précisé qu'il allait déménager avec sa famille dans la ville voisine de Geelong et inscrire Max dans une autre école.
L'école St Pierre l'Apôtre a indiqué avoir proposé une place à Max et a confirmé que M. Hell avait proposé de changer le nom de son fils.
MELBOU
Australie: refusé à l'école parce qu'il s'appelle "Enfer"
Un garçon dont le nom de famille est Hell ("enfer"), s'est vu refusé son inscription dans une école catholique australienne de Melbourne au prétexte que son nom allait poser problème lors de ses enseignements religieux.
Le père du jeune garçon, Alex Hell, 45 ans, s'est dit scandalisé après le refus de l'école primaire de Melbourne d'accepter son fils Max. "Nous sommes victimes de notre nom", a dit Alex Hell, dont le nom est d'origine autrichienne. "Nous sommes en 2007, pas en 1407, nous ne sommes plus à l'âge des ténèbres", s'est indigné ce catholique, père de trois enfants, auprès de l'agence de presse Australian Associated Press.
M. Hell a indiqué qu'il avait à un moment proposé de changer le nom de famille de son fils et de l'appeler Wembridge, le nom de jeune fille de sa femme, une suggestion qui avait été très bien accueillie par le principal de l'école primaire St Pierre l'Apôtre, Michael McGrath. Mais il a ensuite changé d'avis et s'est alors entendu dire que son enfant ne serait pas autorisé à s'incrire à l'école, a expliqué M. Hell.
L'école est ensuite revenue sur sa décision mais M. Hell affirme aujourd'hui qu'il n'y inscrira sous aucun prétexte son fils. "Je préfère aller dans une autre école, nous n'avons aucun problème avec l'école publique mais nous voulions juste approfondir l'éducation de Max", a tranché M. Hell qui a précisé qu'il allait déménager avec sa famille dans la ville voisine de Geelong et inscrire Max dans une autre école.
L'école St Pierre l'Apôtre a indiqué avoir proposé une place à Max et a confirmé que M. Hell avait proposé de changer le nom de son fils.
MELBOU
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Mardi 10 Juillet 2007 - Mise à jour : 08h01
La mère de Ryan reconnaît avoir abandonné son fils
La mère de Ryan a reconnu avoir volontairement abandonné son petit garçon de 3-4 ans, découvert seul le 26 juin dans un fast-food à Paris. Elle était ensuite partie pour le Maroc.
Rentrée dans la nuit de vendredi à samedi en France, elle avait été placée en garde à vue à la Brigade de protection des mineurs. Agée de 34 ans, cette femme, d'origine marocaine, avait d'abord parlé d'un acte inconscient. Après une brève hospitalisation en psychiatrie, elle avait été placée de nouveau en garde à vue.
Les mobiles de son acte ne sont pas connus. Elle doit être transférée lundi soir au dépôt du palais de justice de Paris, dit-on de source judiciaire.
Etat dépressif
Elle s'est présentée samedi à la police parisienne avant d'être hospitalisée en raison de son état psychologique. Selon les autorités, son état dépressif nécessitait alors une courte hospitalisation dans un établissement psychiatrique. Mais hier soir, sa santé était jugée à nouveau compatible avec sa garde à vue qui a donc repris dans le cadre de l'enquête préliminaire en cours.
La jeune femme, âgée de 34 ans, aurait affirmé aux enquêteurs ne pas avoir voulu abandonner son fils. Elle pensait le récupérer plus tard dans le restaurant Quick où elle l'avait laissé et aurait pris peur à son retour en s'apercevant que son fils avait été confié aux policiers.
Selon Le Parisien, la jeune mère, sans emploi, aurait décidé quelques jours plus tard de rejoindre sa famille au Maroc avec son deuxième enfant, âgé de quelques mois. Puis, ce week-end, de revenir en France. Le parquet de Paris pourrait ouvrir une information judiciaire pour « délaissement de mineur ». Elle risque sept ans d'emprisonnement et jusqu'à 100 000 euros d'amende.
©2007 20 minutes
La mère de Ryan reconnaît avoir abandonné son fils
La mère de Ryan a reconnu avoir volontairement abandonné son petit garçon de 3-4 ans, découvert seul le 26 juin dans un fast-food à Paris. Elle était ensuite partie pour le Maroc.
Rentrée dans la nuit de vendredi à samedi en France, elle avait été placée en garde à vue à la Brigade de protection des mineurs. Agée de 34 ans, cette femme, d'origine marocaine, avait d'abord parlé d'un acte inconscient. Après une brève hospitalisation en psychiatrie, elle avait été placée de nouveau en garde à vue.
Les mobiles de son acte ne sont pas connus. Elle doit être transférée lundi soir au dépôt du palais de justice de Paris, dit-on de source judiciaire.
Etat dépressif
Elle s'est présentée samedi à la police parisienne avant d'être hospitalisée en raison de son état psychologique. Selon les autorités, son état dépressif nécessitait alors une courte hospitalisation dans un établissement psychiatrique. Mais hier soir, sa santé était jugée à nouveau compatible avec sa garde à vue qui a donc repris dans le cadre de l'enquête préliminaire en cours.
La jeune femme, âgée de 34 ans, aurait affirmé aux enquêteurs ne pas avoir voulu abandonner son fils. Elle pensait le récupérer plus tard dans le restaurant Quick où elle l'avait laissé et aurait pris peur à son retour en s'apercevant que son fils avait été confié aux policiers.
Selon Le Parisien, la jeune mère, sans emploi, aurait décidé quelques jours plus tard de rejoindre sa famille au Maroc avec son deuxième enfant, âgé de quelques mois. Puis, ce week-end, de revenir en France. Le parquet de Paris pourrait ouvrir une information judiciaire pour « délaissement de mineur ». Elle risque sept ans d'emprisonnement et jusqu'à 100 000 euros d'amende.
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Mardi 10 Juillet 2007 - Mise à jour : 08h04
La jeune femme ayant confié son bébé à des inconnus nie avoir voulu l'abandonner
Une jeune femme, qui avait confié samedi son bébé de quatre mois à des inconnus à Toulouse avant de disparaître, a été retrouvée et placée en garde à vue lundi après-midi, apprend-on de source judiciaire.
La jeune femme, en garde à vue à Toulouse après avoir été interpellée, a pris contact par téléphone avec la police, expliquant qu'elle n'avait pas voulu abandonner son enfant, a indiqué le vice-procureur Yves Delperié.
«Acheter des cigarettes»
Elle a confirmé avoir confié son bébé de quatre mois dans un landau samedi soir dans un parc public de Toulouse à quatre jeunes gens, auxquels elle avait indiqué s'absenter quelques instants «pour aller acheter des cigarettes».
Elle a affirmé être allée boire de la bière avec deux connaissances rencontrées en chemin. Quand elle est revenue «son enfant n'était plus là», selon ses explications aux enquêteurs.
Crainte
La jeune femme a ensuite erré, désemparée dans les rues de la ville selon ses dires, avant de se rendre chez sa soeur, qui lui a conseillé de contacter la police.
Elle a affirmé n'avoir eu «aucun désir d'abandonner son enfant» et ne pas s'être manifestée plus tôt, de crainte que son enfant ne lui soit retiré, a ajouté le vice-procureur, précisant que la garde à vue se poursuivrait mardi.
Confié à des militaires
Les quatre jeunes, des militaires, auxquels elle avait confié sa fillette, avaient donné l'alerte après avoir attendu vainement le retour de la maman. L'enfant avait été confié à un foyer maternel spécialisé.
Grâce à quelques mots échangés avec l'un des militaires au moment où elle leur laissait son enfant, elle avait été identifiée comme étant pensionnaire d'un foyer voisin de la prairie des Filtres, un espace vert situé le long de la Garonne où elle avait laissé son enfant.
La jeune femme avait déjà confié son enfant pour la nuit à d'autres pensionnaires de son foyer.
La jeune femme ayant confié son bébé à des inconnus nie avoir voulu l'abandonner
Une jeune femme, qui avait confié samedi son bébé de quatre mois à des inconnus à Toulouse avant de disparaître, a été retrouvée et placée en garde à vue lundi après-midi, apprend-on de source judiciaire.
La jeune femme, en garde à vue à Toulouse après avoir été interpellée, a pris contact par téléphone avec la police, expliquant qu'elle n'avait pas voulu abandonner son enfant, a indiqué le vice-procureur Yves Delperié.
«Acheter des cigarettes»
Elle a confirmé avoir confié son bébé de quatre mois dans un landau samedi soir dans un parc public de Toulouse à quatre jeunes gens, auxquels elle avait indiqué s'absenter quelques instants «pour aller acheter des cigarettes».
Elle a affirmé être allée boire de la bière avec deux connaissances rencontrées en chemin. Quand elle est revenue «son enfant n'était plus là», selon ses explications aux enquêteurs.
Crainte
La jeune femme a ensuite erré, désemparée dans les rues de la ville selon ses dires, avant de se rendre chez sa soeur, qui lui a conseillé de contacter la police.
Elle a affirmé n'avoir eu «aucun désir d'abandonner son enfant» et ne pas s'être manifestée plus tôt, de crainte que son enfant ne lui soit retiré, a ajouté le vice-procureur, précisant que la garde à vue se poursuivrait mardi.
Confié à des militaires
Les quatre jeunes, des militaires, auxquels elle avait confié sa fillette, avaient donné l'alerte après avoir attendu vainement le retour de la maman. L'enfant avait été confié à un foyer maternel spécialisé.
Grâce à quelques mots échangés avec l'un des militaires au moment où elle leur laissait son enfant, elle avait été identifiée comme étant pensionnaire d'un foyer voisin de la prairie des Filtres, un espace vert situé le long de la Garonne où elle avait laissé son enfant.
La jeune femme avait déjà confié son enfant pour la nuit à d'autres pensionnaires de son foyer.
Le soleil est nouveau tous les jours.
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- Localisation : sur un petit nuage !
Allez je m'y remets aussi en espérant que de nouvelles personnes (par rapport à l'ancien post) posteront :clin:
Bon courage à tous
____________________________________________________________
EN FINIR AVEC LE JEU DU FOULARD
Julien est décédé le 12 mars 2005, il avait douze ans ; Nicolas en 2000, il avait quatorze ans ; Sosthène avait treize ans... Tous ces enfants ont été victimes d’un jeu mortel : le jeu du foulard, un étranglement volontaire, pratiqué seul ou à plusieurs, avec l’objectif de vivre une expérience forte, de connaître des sensations. Cette activité de cour d’école, d’apparence anodine, existe depuis longtemps. Beaucoup d’élèves et de parents en ont entendu parler, tout comme du jeu de la tomate - en usage même dans les écoles maternelles -, qui consiste à cesser de respirer jusqu’à provoquer une syncope. Trop peu en revanche connaissent les risques que comportent ces jeux qui n’en sont pas : ils tuent ou, par suite de la privation d’oxygène, causent des dommages irréversibles au cerveau. Après avoir testé le jeu à plusieurs, souvent dans la cour de récréation, au centre de loisirs ou en colonie, pour relever un défi, pour « être cap » sous la pression du groupe, l’enfant ou l’ado peut être tenté de renouveler seul l’expérience, à l’aide d’un lien quelconque. Le risque est alors majeur, personne ne pouvant alerter les secours en cas d’étranglement prolongé après la perte de connaissance. Chaque année, en France, une dizaine d’enfants et d’adolescents de 7 à 18 ans en meurent. Le pic de mortalité se situe à 12 ans. Les victimes, en majorité des garçons mais pas seulement, sont issus de toutes les classes sociales, et souvent même de milieux très favorisés.
Depuis octobre 2000, les parents des enfants touchés par ce jeu mortel se sont mobilisés et ont créé l’Association de parents d’enfants accidentés par strangulation (Apeas). Son but est d’informer largement sur les dangers de cette pratique.
‹3/07/2007
Site Internet : www.jeudufoulard.com
Bon courage à tous
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EN FINIR AVEC LE JEU DU FOULARD
Julien est décédé le 12 mars 2005, il avait douze ans ; Nicolas en 2000, il avait quatorze ans ; Sosthène avait treize ans... Tous ces enfants ont été victimes d’un jeu mortel : le jeu du foulard, un étranglement volontaire, pratiqué seul ou à plusieurs, avec l’objectif de vivre une expérience forte, de connaître des sensations. Cette activité de cour d’école, d’apparence anodine, existe depuis longtemps. Beaucoup d’élèves et de parents en ont entendu parler, tout comme du jeu de la tomate - en usage même dans les écoles maternelles -, qui consiste à cesser de respirer jusqu’à provoquer une syncope. Trop peu en revanche connaissent les risques que comportent ces jeux qui n’en sont pas : ils tuent ou, par suite de la privation d’oxygène, causent des dommages irréversibles au cerveau. Après avoir testé le jeu à plusieurs, souvent dans la cour de récréation, au centre de loisirs ou en colonie, pour relever un défi, pour « être cap » sous la pression du groupe, l’enfant ou l’ado peut être tenté de renouveler seul l’expérience, à l’aide d’un lien quelconque. Le risque est alors majeur, personne ne pouvant alerter les secours en cas d’étranglement prolongé après la perte de connaissance. Chaque année, en France, une dizaine d’enfants et d’adolescents de 7 à 18 ans en meurent. Le pic de mortalité se situe à 12 ans. Les victimes, en majorité des garçons mais pas seulement, sont issus de toutes les classes sociales, et souvent même de milieux très favorisés.
Depuis octobre 2000, les parents des enfants touchés par ce jeu mortel se sont mobilisés et ont créé l’Association de parents d’enfants accidentés par strangulation (Apeas). Son but est d’informer largement sur les dangers de cette pratique.
‹3/07/2007
Site Internet : www.jeudufoulard.com
Dernière modification par crepeaujambon le 10 juil. 2007 08:46, modifié 1 fois.
En mode reconversion totale PDT_028
Reçue en Juillet 2007 PDT_002 Après 1 an d'attente ma demande de financement a enfin été acceptée PDT_020 ESI Promo 2008-2011 PDT_039
Reçue en Juillet 2007 PDT_002 Après 1 an d'attente ma demande de financement a enfin été acceptée PDT_020 ESI Promo 2008-2011 PDT_039