Culture Générale
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- aneso81
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Chez les plus de 60 ans… éviter les hypnotiques
[26 octobre 2007 - 09:32]
« Ne pas commencer les hypnotiques ». Voilà ce que recommandent aux personnes de plus de 60 ans, les rédacteurs de la Revue Prescrire. Fatigue résiduelle, troubles cognitifs, chutes… Les effets indésirables liés à l’utilisation de ces substances paraissent disproportionnés par rapport à leur éventuel bénéfice.
Tournez-vous plutôt vers une bonne hygiène du sommeil. Comme par exemple le fait de maintenir la température de votre chambre à 18°, ou de dîner légèrement en évitant les graisses et l’alcool. Ces conseils sont simples à mettre en œuvre, et ils évitent les risques du « tout médicament ».
Et des risques, il y en a ! Parmi les désagréments dus à ces médicaments, les plus fréquents sont les cauchemars, les céphalées, les nausées et les troubles digestifs. Mais d’autres effets indésirables, encore plus sérieux, peuvent constituer une menace vitale : risque accru de chutes (et donc de fracture du col fémoral), et troubles cognitifs. Et tout cela bien souvent, pour à peine une petite demi-heure de sommeil supplémentaire…
[26 octobre 2007 - 09:32]
« Ne pas commencer les hypnotiques ». Voilà ce que recommandent aux personnes de plus de 60 ans, les rédacteurs de la Revue Prescrire. Fatigue résiduelle, troubles cognitifs, chutes… Les effets indésirables liés à l’utilisation de ces substances paraissent disproportionnés par rapport à leur éventuel bénéfice.
Tournez-vous plutôt vers une bonne hygiène du sommeil. Comme par exemple le fait de maintenir la température de votre chambre à 18°, ou de dîner légèrement en évitant les graisses et l’alcool. Ces conseils sont simples à mettre en œuvre, et ils évitent les risques du « tout médicament ».
Et des risques, il y en a ! Parmi les désagréments dus à ces médicaments, les plus fréquents sont les cauchemars, les céphalées, les nausées et les troubles digestifs. Mais d’autres effets indésirables, encore plus sérieux, peuvent constituer une menace vitale : risque accru de chutes (et donc de fracture du col fémoral), et troubles cognitifs. Et tout cela bien souvent, pour à peine une petite demi-heure de sommeil supplémentaire…
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- aneso81
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La fluorose attaque les dents, mais aussi les os
[26 octobre 2007 - 12:16]
A l’état naturel, l’eau renferme une certaine quantité de fluor. En faibles concentrations , il protège les dents contre les caries. Mais s’il est absorbé en excès, il peut être à l’origine d’une véritable maladie, la fluorose. Elle s’attaque aux dents, mais aussi aux os. Avec des conséquences dévastatrices.
Tibiri, une ville située à 10 km de Maradi dans le sud du Niger, en a fait la cruelle expérience. L’histoire a commencé en 1985 par un forage qui devait alimenter la communauté en eau potable. Des analyses ont bien été réalisées pour déterminer si l’eau pouvait être bue par la population. Mais aucune recherche n’a concerné le fluor…
« Des années plus tard, des analyses ont montré que le taux de fluor était quatre fois supérieur à la norme » nous ont expliqué les autorités locales. Mais les conséquences sont lourdes, notamment parmi les enfants. En 15 ans, plus de 5 000 ont été touchés par la fluorose.
Des déformations osseuses…
La majorité d’entre eux souffre de « fluorose dentaire », une affection handicapante caractérisée par des taches et un « piquetage » des dents. Mais d’autres sont atteints par une forme bien plus grave de la maladie : celle qui atteint les os. L’accumulation progressive du fluor dans les tissus osseux entraîne des raideurs articulaires, voire une déformation des os (ostéopétrose).
« Avec l’aide de l’UNICEF, nous avons mis en place un programme spécifique » poursuivent les responsables du village. « Nous avons commencé par isoler le forage, et les enfants se sont faits progressivement opérer ». Un peu plus d’une soixantaine au total, pris en charge par la Maison de l’Espoir, un centre d’accueil et de réinsertion d’enfants handicapés financé par une ONG luxembourgeoise. Enfants et adolescents, y apprennent à lire, à écrire, à compter mais aussi à travailler. Qu’il s’agisse de coudre ou de jardiner.
Des moyens souvent importants et coûteux (exploitations des eaux profondes et construction de réservoirs…) sont nécessaires pour éliminer l’excès de fluor dans l’eau de boisson. Mais dans un rapport rendu public fin 2006, l’OMS présentait des remèdes plus économiques : utilisation de terre cuite pilée ou d’alumine active comme filtre absorbant. Dans tous les cas, l’intervention la plus appropriée doit être discutée au niveau local.
[26 octobre 2007 - 12:16]
A l’état naturel, l’eau renferme une certaine quantité de fluor. En faibles concentrations , il protège les dents contre les caries. Mais s’il est absorbé en excès, il peut être à l’origine d’une véritable maladie, la fluorose. Elle s’attaque aux dents, mais aussi aux os. Avec des conséquences dévastatrices.
Tibiri, une ville située à 10 km de Maradi dans le sud du Niger, en a fait la cruelle expérience. L’histoire a commencé en 1985 par un forage qui devait alimenter la communauté en eau potable. Des analyses ont bien été réalisées pour déterminer si l’eau pouvait être bue par la population. Mais aucune recherche n’a concerné le fluor…
« Des années plus tard, des analyses ont montré que le taux de fluor était quatre fois supérieur à la norme » nous ont expliqué les autorités locales. Mais les conséquences sont lourdes, notamment parmi les enfants. En 15 ans, plus de 5 000 ont été touchés par la fluorose.
Des déformations osseuses…
La majorité d’entre eux souffre de « fluorose dentaire », une affection handicapante caractérisée par des taches et un « piquetage » des dents. Mais d’autres sont atteints par une forme bien plus grave de la maladie : celle qui atteint les os. L’accumulation progressive du fluor dans les tissus osseux entraîne des raideurs articulaires, voire une déformation des os (ostéopétrose).
« Avec l’aide de l’UNICEF, nous avons mis en place un programme spécifique » poursuivent les responsables du village. « Nous avons commencé par isoler le forage, et les enfants se sont faits progressivement opérer ». Un peu plus d’une soixantaine au total, pris en charge par la Maison de l’Espoir, un centre d’accueil et de réinsertion d’enfants handicapés financé par une ONG luxembourgeoise. Enfants et adolescents, y apprennent à lire, à écrire, à compter mais aussi à travailler. Qu’il s’agisse de coudre ou de jardiner.
Des moyens souvent importants et coûteux (exploitations des eaux profondes et construction de réservoirs…) sont nécessaires pour éliminer l’excès de fluor dans l’eau de boisson. Mais dans un rapport rendu public fin 2006, l’OMS présentait des remèdes plus économiques : utilisation de terre cuite pilée ou d’alumine active comme filtre absorbant. Dans tous les cas, l’intervention la plus appropriée doit être discutée au niveau local.
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Les députés votent les franchises médicales
Reuters - il y a 2 heures 7 minutes
PARIS (Reuters) - Les députés, qui poursuivaient dans la nuit de vendredi à samedi l'examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2008, ont adopté l'article instaurant des franchises médicales.
Après un long débat, l'Assemblée a voté par 44 voix contre 27 l'article qui prévoit la mise en place, à partir du 1er janvier 2008, de franchises médicales, c'est-à-dire le non-remboursement de 50 centimes sur les médicaments et les actes paramédicaux et de 2 euros sur les transports en ambulance ou en taxi, le tout étant plafonné à 50 euros par an.
Sont exonérés de ces franchises les bénéficiaires de la couverture maladie universelle (CMU), les femmes enceintes et les enfants mineurs.
La gauche a vivement dénoncé ces mesures. "L'institution d'une franchise médicale revient à rompre avec le principe de solidarité et ne répond à aucune logique de responsabilisation des patients", a dit la communiste Jacqueline Fraysse.
"Ces mesures, qui s'apparentent à une taxe sur les malades, sont contraires au principe de solidarité sur lequel repose notre système de protection sociale", a affirmé pour sa part le socialiste Jean-Marie Le Guen.
La ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, a affirmé que ces franchises étaient destinées "à donner un coup d'accélérateur" aux plans de lutte contre le cancer, la maladie d'Alzheimer et les soins palliatifs.
L'examen du PLFSS, qui a pris du retard, s'achèvera finalement lundi et non pas samedi comme initialement prévu. Le gouvernement, avec l'accord de tous les groupes, a décidé de suspendre les travaux dans la nuit de vendredi à samedi et de les reprendre lundi à 18h00.
Les députés, a-t-il été confirmé, se prononceront mardi par un vote solennel sur l'ensemble de ce projet de loi que le Sénat examinera à son tour à partir du 12 novembre.
Reuters - il y a 2 heures 7 minutes
PARIS (Reuters) - Les députés, qui poursuivaient dans la nuit de vendredi à samedi l'examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2008, ont adopté l'article instaurant des franchises médicales.
Après un long débat, l'Assemblée a voté par 44 voix contre 27 l'article qui prévoit la mise en place, à partir du 1er janvier 2008, de franchises médicales, c'est-à-dire le non-remboursement de 50 centimes sur les médicaments et les actes paramédicaux et de 2 euros sur les transports en ambulance ou en taxi, le tout étant plafonné à 50 euros par an.
Sont exonérés de ces franchises les bénéficiaires de la couverture maladie universelle (CMU), les femmes enceintes et les enfants mineurs.
La gauche a vivement dénoncé ces mesures. "L'institution d'une franchise médicale revient à rompre avec le principe de solidarité et ne répond à aucune logique de responsabilisation des patients", a dit la communiste Jacqueline Fraysse.
"Ces mesures, qui s'apparentent à une taxe sur les malades, sont contraires au principe de solidarité sur lequel repose notre système de protection sociale", a affirmé pour sa part le socialiste Jean-Marie Le Guen.
La ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, a affirmé que ces franchises étaient destinées "à donner un coup d'accélérateur" aux plans de lutte contre le cancer, la maladie d'Alzheimer et les soins palliatifs.
L'examen du PLFSS, qui a pris du retard, s'achèvera finalement lundi et non pas samedi comme initialement prévu. Le gouvernement, avec l'accord de tous les groupes, a décidé de suspendre les travaux dans la nuit de vendredi à samedi et de les reprendre lundi à 18h00.
Les députés, a-t-il été confirmé, se prononceront mardi par un vote solennel sur l'ensemble de ce projet de loi que le Sénat examinera à son tour à partir du 12 novembre.
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Boutin ne veut pas de mal-logés sur les trottoirs
Des militants du DAL et des familles de mal-logés ont installé des tentes rue de la Banque.
Alors que des protestataires campent toujours en plein Paris, elle demande aux "gens qui sont logés, même mal logés", de "ne pas aller sur le trottoir".
Les campeurs de la rue de la Banque "ont un logement certes pas confortable et pas complètement digne (...) et ils en sont sortis", déplore Christine Boutin.
- le 29/10/2007 - 12h12
Les militants du Droit au Logement ont compris la leçon des Enfants de Don Quichotte et des tentes du canal Saint-Martin : rendre la misère aussi visible que possible peut avoir un impact direct sur la mobilisation des pouvoirs publics. C'est donc à l'initiative du Dal que des dizaines de mal-logés ont investi depuis début octobre les abords de la rue de la Banque. Le campement se trouve en plein coeur de à Paris, tout près de la place de la Bourse, et au pied du "ministère de la crise du logement", un immeuble haussmannien squatté depuis le début de l'année par le Dal, ainsi que par les associations Macaq (artistes précaires) et Jeudi Noir. Evacués à plusieurs reprises, leurs tentes confisquées, les protestataires persistent et reviennent à chaque fois, quitte à camper sous de simples bâches. Ils ont reçu les visites et le soutien de personnalités du monde du spectacle. Et le campement s'étend...
Embarras et colère de la ministre du Logement : alors que le nombre des tentes, démontées, évacuées, puis remontées, atteint désormais la centaine, Christine Boutin a demandé lundi aux personnes mal logées... de "rester dans leur logement". Elle a donné ses arguments au micro de RMC : "Aujourd'hui, j'ai un traitement d'urgence et une justice sociale à respecter : j'ai à loger des gens qui sont déjà sur le trottoir et qui n'ont pas de logement. Les gens qui sont logés, même mal logés, je leur demande de rester dans leur logement et de ne pas aller sur le trottoir !". "Mme Boutin confond logement et hébergement", répond Jean-Baptiste Eyraud, porte-parole de Droit au logement. "Les familles de ce campement n'ont pas de 'logement', elles sont hébergées de façon précaire."
"Toutes les échéances sont respectées"
Sur RMC, Christine Boutin a également rappelé qu'elle avait demandé au porte-parole de l'association Droit au Logement "les dossiers des personnes qu'il met sur le trottoir de façon à pouvoir régler leur cas" dans le cadre de la loi Dalo qui prévoit de rendre opposable le droit au logement. Ces personnes, essentiellement des familles africaines et maghrébines en situation régulière, qui sont hébergées dans des hôtels, "ont un logement certes pas confortable et pas complètement digne mais elles ont un logement et elles en sont sorties", a déploré Christine Boutin.
Revenant sur la loi Dalo, la ministre a assuré que "toutes les échéances sont respectées : les commissions de médiation seront mises en place au 1er janvier et je travaille déjà pour qu'à Paris cette commission puisse être mise en place avant (cette date) de façon à anticiper les difficultés". Message donc au mal-logés : patience et restez chez vous...
Des militants du DAL et des familles de mal-logés ont installé des tentes rue de la Banque.
Alors que des protestataires campent toujours en plein Paris, elle demande aux "gens qui sont logés, même mal logés", de "ne pas aller sur le trottoir".
Les campeurs de la rue de la Banque "ont un logement certes pas confortable et pas complètement digne (...) et ils en sont sortis", déplore Christine Boutin.
- le 29/10/2007 - 12h12
Les militants du Droit au Logement ont compris la leçon des Enfants de Don Quichotte et des tentes du canal Saint-Martin : rendre la misère aussi visible que possible peut avoir un impact direct sur la mobilisation des pouvoirs publics. C'est donc à l'initiative du Dal que des dizaines de mal-logés ont investi depuis début octobre les abords de la rue de la Banque. Le campement se trouve en plein coeur de à Paris, tout près de la place de la Bourse, et au pied du "ministère de la crise du logement", un immeuble haussmannien squatté depuis le début de l'année par le Dal, ainsi que par les associations Macaq (artistes précaires) et Jeudi Noir. Evacués à plusieurs reprises, leurs tentes confisquées, les protestataires persistent et reviennent à chaque fois, quitte à camper sous de simples bâches. Ils ont reçu les visites et le soutien de personnalités du monde du spectacle. Et le campement s'étend...
Embarras et colère de la ministre du Logement : alors que le nombre des tentes, démontées, évacuées, puis remontées, atteint désormais la centaine, Christine Boutin a demandé lundi aux personnes mal logées... de "rester dans leur logement". Elle a donné ses arguments au micro de RMC : "Aujourd'hui, j'ai un traitement d'urgence et une justice sociale à respecter : j'ai à loger des gens qui sont déjà sur le trottoir et qui n'ont pas de logement. Les gens qui sont logés, même mal logés, je leur demande de rester dans leur logement et de ne pas aller sur le trottoir !". "Mme Boutin confond logement et hébergement", répond Jean-Baptiste Eyraud, porte-parole de Droit au logement. "Les familles de ce campement n'ont pas de 'logement', elles sont hébergées de façon précaire."
"Toutes les échéances sont respectées"
Sur RMC, Christine Boutin a également rappelé qu'elle avait demandé au porte-parole de l'association Droit au Logement "les dossiers des personnes qu'il met sur le trottoir de façon à pouvoir régler leur cas" dans le cadre de la loi Dalo qui prévoit de rendre opposable le droit au logement. Ces personnes, essentiellement des familles africaines et maghrébines en situation régulière, qui sont hébergées dans des hôtels, "ont un logement certes pas confortable et pas complètement digne mais elles ont un logement et elles en sont sorties", a déploré Christine Boutin.
Revenant sur la loi Dalo, la ministre a assuré que "toutes les échéances sont respectées : les commissions de médiation seront mises en place au 1er janvier et je travaille déjà pour qu'à Paris cette commission puisse être mise en place avant (cette date) de façon à anticiper les difficultés". Message donc au mal-logés : patience et restez chez vous...
Courage à tous et à toutes !
dernière ligne droite, on y croit tous ! No stress que de la motivation !!!
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Réduisez vos déchets et économisez 600 euros
LCI
Les poubelles envahissent Naples
Il est possible de produire deux fois moins de déchets en choisissant mieux les produits que l'on achète, selon une étude de l'Ademe.
Une démarche qui permet aussi de réduire les dépenses.
- le 29/10/2007 - 12h16
Grenelle de l'environnement :
cliquez ici pour découvrir notre dossier spécial
Les Français pourraient produire deux fois moins de déchets en achetant par exemple des produits réutilisables ou sans emballage. Selon une étude de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe), cette bonne pratique permet au passage d'économiser 50 euros par mois, soit 600 euros par an, sur l'achat des produits.
Choisir torchons et mouchoirs en tissu plutôt qu'en papier, boire l'eau du robinet pour éviter les bouteilles en plastique, privilégier rasoirs, stylos et piles rechargeables, acheter fruits et légumes au détail et non pas préemballés, et emporter le tout dans votre propre cabas en renonçant aux sacs plastique distribués à la caisse : telles sont quelques-unes des recettes pour moins polluer.
Chariot "mini-déchets"
L'Ademe, qui a présenté lundi son étude au ministère de l'Ecologie, a pris en compte deux types de comportements différents pour acheter quelque 150 produits de consommation courante (alimentaire, hygiène, entretien) : un chariot "mini-déchets" regroupant les produits générant le moins possible de déchets et un chariot "maxi-déchets" à l'opposé. Les chariots de référence ont été remplis pour un foyer d'une personne et pour un foyer de quatre personnes.
La masse de déchets ainsi générée est de 50 kilos par an et par personne pour le chariot mini-déchets et de 100 kg pour le deuxième, avec un résultat quasi identique pour le célibataire et pour le foyer de quatre personnes. Le chariot moyen génère actuellement environ 83 kg de déchets par personne et par an, selon l'Ademe.
En choisissant systématiquement les produits générant le moins de déchets possible, on peut les réduire de 33 kg par an. En revanche, le poids des déchets généré augmente de 17 kg par an et par personne quand on achète les produits générant le plus de déchets. La différence s'explique principalement par les emballages en plus ou moins grande quantité et par la présence ou non de produits qui se retrouvent à la poubelle après usage (rasoirs jetables, mouchoirs en papier, stylos et piles non rechargeables, bouteilles d'eau, doses individuelles de produits alimentaires etc.).
LCI
Les poubelles envahissent Naples
Il est possible de produire deux fois moins de déchets en choisissant mieux les produits que l'on achète, selon une étude de l'Ademe.
Une démarche qui permet aussi de réduire les dépenses.
- le 29/10/2007 - 12h16
Grenelle de l'environnement :
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Les Français pourraient produire deux fois moins de déchets en achetant par exemple des produits réutilisables ou sans emballage. Selon une étude de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe), cette bonne pratique permet au passage d'économiser 50 euros par mois, soit 600 euros par an, sur l'achat des produits.
Choisir torchons et mouchoirs en tissu plutôt qu'en papier, boire l'eau du robinet pour éviter les bouteilles en plastique, privilégier rasoirs, stylos et piles rechargeables, acheter fruits et légumes au détail et non pas préemballés, et emporter le tout dans votre propre cabas en renonçant aux sacs plastique distribués à la caisse : telles sont quelques-unes des recettes pour moins polluer.
Chariot "mini-déchets"
L'Ademe, qui a présenté lundi son étude au ministère de l'Ecologie, a pris en compte deux types de comportements différents pour acheter quelque 150 produits de consommation courante (alimentaire, hygiène, entretien) : un chariot "mini-déchets" regroupant les produits générant le moins possible de déchets et un chariot "maxi-déchets" à l'opposé. Les chariots de référence ont été remplis pour un foyer d'une personne et pour un foyer de quatre personnes.
La masse de déchets ainsi générée est de 50 kilos par an et par personne pour le chariot mini-déchets et de 100 kg pour le deuxième, avec un résultat quasi identique pour le célibataire et pour le foyer de quatre personnes. Le chariot moyen génère actuellement environ 83 kg de déchets par personne et par an, selon l'Ademe.
En choisissant systématiquement les produits générant le moins de déchets possible, on peut les réduire de 33 kg par an. En revanche, le poids des déchets généré augmente de 17 kg par an et par personne quand on achète les produits générant le plus de déchets. La différence s'explique principalement par les emballages en plus ou moins grande quantité et par la présence ou non de produits qui se retrouvent à la poubelle après usage (rasoirs jetables, mouchoirs en papier, stylos et piles non rechargeables, bouteilles d'eau, doses individuelles de produits alimentaires etc.).
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Trop de femmes brisées, alors que la vie est devant elles !
[29 octobre 2007 - 07:50]
Selon une enquête européenne de TNS HealthCare il faut attendre la première fracture, chez une femme sur cinq, pour que soit posé le diagnostic d’ostéoporose ! Un constat d’autant plus surprenant que nous disposons aujourd’hui de tous les outils de diagnostic et de traitement.
Est-il nécessaire de rappeler qu’en France et depuis le 1er juillet 2006, l’ostéodensitométrie est prise en charge à hauteur de 70% par l’Assurance-maladie sous certaines conditions ? Prescrit par le médecin traitant, cet examen parfaitement indolore permet de poser le diagnostic d’ostéoporose… et de mettre en œuvre un traitement avant que ne survienne la première fracture.
L’enquête révèle également d’autres surprises. Plus d’une femme sur trois par exemple, parmi celles chez qui un diagnostic d’ostéoporose a été posé, ne suit aucun traitement médicamenteux. C’est même le cas de pratiquement une femme sur deux en Allemagne ! Malgré l’existence de thérapies qui ont largement prouvé leur efficacité, le traitement de la maladie fait donc aujourd’hui encore défaut.
Résultat, 62% des patientes souffrant d’ostéoporose ont déjà été victimes d’une fracture. Or bien souvent, ces accidents débouchent sur une perte d’autonomie. Ainsi en va-t-il de la redoutable fracture de la hanche, qui frappe chaque année plus de 50 000 Françaises. Une femme sur quatre en meurt dans l’année suivante, et 60% des survivantes ne recouvrent jamais leur autonomie.
[29 octobre 2007 - 07:50]
Selon une enquête européenne de TNS HealthCare il faut attendre la première fracture, chez une femme sur cinq, pour que soit posé le diagnostic d’ostéoporose ! Un constat d’autant plus surprenant que nous disposons aujourd’hui de tous les outils de diagnostic et de traitement.
Est-il nécessaire de rappeler qu’en France et depuis le 1er juillet 2006, l’ostéodensitométrie est prise en charge à hauteur de 70% par l’Assurance-maladie sous certaines conditions ? Prescrit par le médecin traitant, cet examen parfaitement indolore permet de poser le diagnostic d’ostéoporose… et de mettre en œuvre un traitement avant que ne survienne la première fracture.
L’enquête révèle également d’autres surprises. Plus d’une femme sur trois par exemple, parmi celles chez qui un diagnostic d’ostéoporose a été posé, ne suit aucun traitement médicamenteux. C’est même le cas de pratiquement une femme sur deux en Allemagne ! Malgré l’existence de thérapies qui ont largement prouvé leur efficacité, le traitement de la maladie fait donc aujourd’hui encore défaut.
Résultat, 62% des patientes souffrant d’ostéoporose ont déjà été victimes d’une fracture. Or bien souvent, ces accidents débouchent sur une perte d’autonomie. Ainsi en va-t-il de la redoutable fracture de la hanche, qui frappe chaque année plus de 50 000 Françaises. Une femme sur quatre en meurt dans l’année suivante, et 60% des survivantes ne recouvrent jamais leur autonomie.
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Herpès : en dehors des crises, consultez !
[29 octobre 2007 - 10:09]
Communément appelé « bouton de fièvre », l’herpès oro-facial est une maladie très contagieuse. Si le virus demeure à vie dans l’organisme, nous ne sommes pas sans solutions. Or aujourd’hui, plus de la moitié des patients ne consultent pas.
En dehors des crises, prenez conseil auprès de votre médecin. Il saura vous informer sur les différents traitements qui permettent de réduire la fréquence des crises. Et suivez également les recommandations suivantes :
Dialoguez avec votre partenaire pour limiter les risques de transmission ;
Evitez au maximum les situations de stress et de tension susceptibles de provoquer une crise ;
Utilisez une crème solaire si vous vous exposez au soleil ;
Apprenez enfin à reconnaître les signes annonciateurs d’une crise. Vous pourrez ainsi débuter le traitement le plus rapidement possible.
[29 octobre 2007 - 10:09]
Communément appelé « bouton de fièvre », l’herpès oro-facial est une maladie très contagieuse. Si le virus demeure à vie dans l’organisme, nous ne sommes pas sans solutions. Or aujourd’hui, plus de la moitié des patients ne consultent pas.
En dehors des crises, prenez conseil auprès de votre médecin. Il saura vous informer sur les différents traitements qui permettent de réduire la fréquence des crises. Et suivez également les recommandations suivantes :
Dialoguez avec votre partenaire pour limiter les risques de transmission ;
Evitez au maximum les situations de stress et de tension susceptibles de provoquer une crise ;
Utilisez une crème solaire si vous vous exposez au soleil ;
Apprenez enfin à reconnaître les signes annonciateurs d’une crise. Vous pourrez ainsi débuter le traitement le plus rapidement possible.
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Ostéoporose : agrumes, olives et… phyto-estrogènes au menu !
[29 octobre 2007 - 11:16]
Si le rôle du calcium et de la vitamine D n’est plus à démontrer dans la prévention de l’ostéoporose, qu’en est-il des produits végétaux ? D’après des chercheurs de l’INRA, la consommation d’agrumes, d’olives ou d’huile d’olive serait également bénéfique pour le squelette. En tout cas, chez la souris.
Ils ont mis en évidence chez cet animal, l’efficacité de deux polyphénols jusque là ignorés : l’hespéridine des agrumes, et l’oleuropéine de l’olivier. A tel point qu’à leurs yeux, « l’impact de l’alimentation sur le métabolisme squelettique ouvre aujourd’hui la voie d’une véritable prévention nutritionnelle ».
Les auteurs ont montré d’autre part, que « les animaux exposés aux phyto-estrogènes au cours de la période prénatale ont une masse osseuse supérieure et une meilleure résistance à la fracture en fin de vie ». Des expérimentations sont en cours pour confirmer ou infirmer ces effets chez l’homme.
[29 octobre 2007 - 11:16]
Si le rôle du calcium et de la vitamine D n’est plus à démontrer dans la prévention de l’ostéoporose, qu’en est-il des produits végétaux ? D’après des chercheurs de l’INRA, la consommation d’agrumes, d’olives ou d’huile d’olive serait également bénéfique pour le squelette. En tout cas, chez la souris.
Ils ont mis en évidence chez cet animal, l’efficacité de deux polyphénols jusque là ignorés : l’hespéridine des agrumes, et l’oleuropéine de l’olivier. A tel point qu’à leurs yeux, « l’impact de l’alimentation sur le métabolisme squelettique ouvre aujourd’hui la voie d’une véritable prévention nutritionnelle ».
Les auteurs ont montré d’autre part, que « les animaux exposés aux phyto-estrogènes au cours de la période prénatale ont une masse osseuse supérieure et une meilleure résistance à la fracture en fin de vie ». Des expérimentations sont en cours pour confirmer ou infirmer ces effets chez l’homme.
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Quand la mort échappe aux statistiques !
[29 octobre 2007 - 12:20]
Chaque année dans le monde, 48 des 128 millions de naissances ne sont pas enregistrées. La situation est encore pire sur le front des décès. L’OMS estime en effet ne recevoir de statistiques fiables sur les causes de décès, que de… 31 Etats membres sur 193.
La proportion des décès non enregistrés atteint les deux tiers : 38 millions sur 57. Dans de telles conditions, « les autorités ne peuvent mettre au point des politiques de santé efficaces, mesurer leurs effets ou déterminer si le budget de la santé est bien réparti », insiste l’Organisation.
Lorsque les naissances ne sont pas relevées, les enfants ont logiquement moins de chance de voir leurs droits fondamentaux respectés. Et cela qu’il s’agisse de droits sociaux, politiques, civiques ou économiques. Voilà pourquoi le Réseau de métrologie sanitaire lance une initiative qui vise à encourager les pays à enregistrer l’ensemble des naissances et décès survenant sur leur territoire.
[29 octobre 2007 - 12:20]
Chaque année dans le monde, 48 des 128 millions de naissances ne sont pas enregistrées. La situation est encore pire sur le front des décès. L’OMS estime en effet ne recevoir de statistiques fiables sur les causes de décès, que de… 31 Etats membres sur 193.
La proportion des décès non enregistrés atteint les deux tiers : 38 millions sur 57. Dans de telles conditions, « les autorités ne peuvent mettre au point des politiques de santé efficaces, mesurer leurs effets ou déterminer si le budget de la santé est bien réparti », insiste l’Organisation.
Lorsque les naissances ne sont pas relevées, les enfants ont logiquement moins de chance de voir leurs droits fondamentaux respectés. Et cela qu’il s’agisse de droits sociaux, politiques, civiques ou économiques. Voilà pourquoi le Réseau de métrologie sanitaire lance une initiative qui vise à encourager les pays à enregistrer l’ensemble des naissances et décès survenant sur leur territoire.
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L’hygiène, pour ralentir la propagation des épidémies
[29 octobre 2007 - 14:10]
Pour se prémunir des infections respiratoires ou ralentir la transmission d’un virus en période d’épidémie, grippale par exemple, rien ne vaut l’hygiène. C’est même essentiel pour ce qui concerne les plus fragiles d’entre nous, comme les enfants, les femmes enceintes et les personnes âgées notamment.
Alors suivez bien ces quelques conseils de bon sens :
Tout d’abord, lavez-vous les mains soigneusement et fréquemment. Avec de l’eau et du savon de Marseille ;
Un éternuement ? Un accès de toux ? Couvrez-vous la bouche, les microbes se dissémineront moins. Et ensuite, lavez-vous à nouveau les mains… avec de l’eau et du savon ;
N’utilisez pas de mouchoirs en tissu, ils retiennent les microbes. Optez plutôt pour des mouchoirs en papier que vous jetterez après chaque utilisation. Ensuite… lavez-vous les mains ;
Evitez également de partager votre linge de maison, et ne laissez personne utiliser vos couverts ou votre brosse à dents ;
Idéalement, si vous êtes grippés ou souffrez d’une gastro-entérite, abstenez-vous de serrer la main ou d’embrasser vos proches ;
Même si cela devrait aller de soi, ne crachez pas dans la rue ;
Enfin en cas de pandémie grippale, les autorités sanitaires conseillent le port d’un masque et de gants.
[29 octobre 2007 - 14:10]
Pour se prémunir des infections respiratoires ou ralentir la transmission d’un virus en période d’épidémie, grippale par exemple, rien ne vaut l’hygiène. C’est même essentiel pour ce qui concerne les plus fragiles d’entre nous, comme les enfants, les femmes enceintes et les personnes âgées notamment.
Alors suivez bien ces quelques conseils de bon sens :
Tout d’abord, lavez-vous les mains soigneusement et fréquemment. Avec de l’eau et du savon de Marseille ;
Un éternuement ? Un accès de toux ? Couvrez-vous la bouche, les microbes se dissémineront moins. Et ensuite, lavez-vous à nouveau les mains… avec de l’eau et du savon ;
N’utilisez pas de mouchoirs en tissu, ils retiennent les microbes. Optez plutôt pour des mouchoirs en papier que vous jetterez après chaque utilisation. Ensuite… lavez-vous les mains ;
Evitez également de partager votre linge de maison, et ne laissez personne utiliser vos couverts ou votre brosse à dents ;
Idéalement, si vous êtes grippés ou souffrez d’une gastro-entérite, abstenez-vous de serrer la main ou d’embrasser vos proches ;
Même si cela devrait aller de soi, ne crachez pas dans la rue ;
Enfin en cas de pandémie grippale, les autorités sanitaires conseillent le port d’un masque et de gants.
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Les fumeuses font des enfants obèses selon une étude japonaise
AFP - il y a 2 heures 6 minutes
TOKYO (AFP) - Les enfants dont les mères fumaient, même au tout début de la grossesse, ont presque trois fois plus de risque de devenir obèses, affirme une étude japonaise.
Les chercheurs n'ont pas pu établir une corrélation exacte, mais l'une des théories serait que les bébés dont les mères fumaient ont manqué de nourriture lorsqu'ils étaient dans le placenta.
L'étude a également mis en évidence le fait qu'un enfant dont la mère avait l'habitude de sauter le petit-déjeuner pendant la grossesse, a 2,4 fois plus de risque d'avoir des problèmes de poids.
L'étude, qui s'est déroulée sur près de 20 ans sous la direction de Zentaro Yamagata, professeur à l'université de médecine de Yamanashi, a suivi 1.400 femmes japonaises qui ont accouché entre avril 1991 et mars 1997 et observé l'évolution d'un millier de leurs enfants jusqu'à l'âge de 9 ou 10 ans.
Le risque d'obésité était 2,9 fois plus élevé parmi les enfants dont la mère fumait dans les 3 premiers mois ou même simplement au tout début de la grossesse, comparé aux enfants nés de mère non fumeuse.
Les résultats de cette étude "montre que fumer pendant la grossesse, même au tout début, peut avoir des conséquences sur la santé des enfants, pendant une longue période de leur vie", a déclaré M. Yamagata.
Les chercheurs peuvent se livrer à des "spéculations" sur le fait que des enfants mal nourris pendant la grossesse vont stocker la nourriture après la naissance. "Mais nous ne savons pas si cela est vrai. Ce qui est important c'est d'arrêter de fumer", a-t-il dit.
Selon le professeur Yamagata, d'autres études ont été faites à travers le monde pour montrer le lien entre le tabac et l'obésité infantile, mais c'est la première fois que des recherches sont menées sur un groupe d'enfants depuis la naissance jusqu'à l'âge de 10 ans.
AFP - il y a 2 heures 6 minutes
TOKYO (AFP) - Les enfants dont les mères fumaient, même au tout début de la grossesse, ont presque trois fois plus de risque de devenir obèses, affirme une étude japonaise.
Les chercheurs n'ont pas pu établir une corrélation exacte, mais l'une des théories serait que les bébés dont les mères fumaient ont manqué de nourriture lorsqu'ils étaient dans le placenta.
L'étude a également mis en évidence le fait qu'un enfant dont la mère avait l'habitude de sauter le petit-déjeuner pendant la grossesse, a 2,4 fois plus de risque d'avoir des problèmes de poids.
L'étude, qui s'est déroulée sur près de 20 ans sous la direction de Zentaro Yamagata, professeur à l'université de médecine de Yamanashi, a suivi 1.400 femmes japonaises qui ont accouché entre avril 1991 et mars 1997 et observé l'évolution d'un millier de leurs enfants jusqu'à l'âge de 9 ou 10 ans.
Le risque d'obésité était 2,9 fois plus élevé parmi les enfants dont la mère fumait dans les 3 premiers mois ou même simplement au tout début de la grossesse, comparé aux enfants nés de mère non fumeuse.
Les résultats de cette étude "montre que fumer pendant la grossesse, même au tout début, peut avoir des conséquences sur la santé des enfants, pendant une longue période de leur vie", a déclaré M. Yamagata.
Les chercheurs peuvent se livrer à des "spéculations" sur le fait que des enfants mal nourris pendant la grossesse vont stocker la nourriture après la naissance. "Mais nous ne savons pas si cela est vrai. Ce qui est important c'est d'arrêter de fumer", a-t-il dit.
Selon le professeur Yamagata, d'autres études ont été faites à travers le monde pour montrer le lien entre le tabac et l'obésité infantile, mais c'est la première fois que des recherches sont menées sur un groupe d'enfants depuis la naissance jusqu'à l'âge de 10 ans.
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Par Destination Santé Destination Sante - il y a 2 heures 43 minutes
Pour se prémunir des infections respiratoires ou ralentir la transmission d'un virus en période d'épidémie, grippale par exemple, rien ne vaut l'hygiène. C'est même essentiel pour ce qui concerne les plus fragiles d'entre nous, comme les enfants, les femmes enceintes et les personnes âgées notamment.
Alors suivez bien ces quelques conseils de bon sens :
Tout d'abord, lavez-vous les mains soigneusement et fréquemment. Avec de l'eau et du savon de Marseille ;
Un éternuement ? Un accès de toux ? Couvrez-vous la bouche, les microbes se dissémineront moins. Et ensuite, lavez-vous à nouveau les mains… avec de l'eau et du savon ;
N'utilisez pas de mouchoirs en tissu, ils retiennent les microbes. Optez plutôt pour des mouchoirs en papier que vous jetterez après chaque utilisation. Ensuite… lavez-vous les mains ;
Evitez également de partager votre linge de maison, et ne laissez personne utiliser vos couverts ou votre brosse à dents ;
Idéalement, si vous êtes grippés ou souffrez d'une gastro-entérite, abstenez-vous de serrer la main ou d'embrasser vos proches ;
Même si cela devrait aller de soi, ne crachez pas dans la rue ;
Enfin en cas de pandémie grippale, les autorités sanitaires conseillent le port d'un masque et de gants.
Pour se prémunir des infections respiratoires ou ralentir la transmission d'un virus en période d'épidémie, grippale par exemple, rien ne vaut l'hygiène. C'est même essentiel pour ce qui concerne les plus fragiles d'entre nous, comme les enfants, les femmes enceintes et les personnes âgées notamment.
Alors suivez bien ces quelques conseils de bon sens :
Tout d'abord, lavez-vous les mains soigneusement et fréquemment. Avec de l'eau et du savon de Marseille ;
Un éternuement ? Un accès de toux ? Couvrez-vous la bouche, les microbes se dissémineront moins. Et ensuite, lavez-vous à nouveau les mains… avec de l'eau et du savon ;
N'utilisez pas de mouchoirs en tissu, ils retiennent les microbes. Optez plutôt pour des mouchoirs en papier que vous jetterez après chaque utilisation. Ensuite… lavez-vous les mains ;
Evitez également de partager votre linge de maison, et ne laissez personne utiliser vos couverts ou votre brosse à dents ;
Idéalement, si vous êtes grippés ou souffrez d'une gastro-entérite, abstenez-vous de serrer la main ou d'embrasser vos proches ;
Même si cela devrait aller de soi, ne crachez pas dans la rue ;
Enfin en cas de pandémie grippale, les autorités sanitaires conseillent le port d'un masque et de gants.
Dernière modification par Amiwi le 29 oct. 2007 16:59, modifié 1 fois.
PARIS (AFP) - Deux enfants souffrant d'une maladie génétique rare, l'adrénoleucodystrophie, ont pu pour la première fois pu être traité avec succès par thérapie génique, s'est félicitée lundi l'Association européenne contre les leucodystrophies (ELA).
Cette maladie génétique liée au chromosome X se traduit par la destruction de la gaine de myéline (qui enveloppe les nerfs) dans le cerveau et la moelle épinière. Toutes les fonctions vitales peuvent être affectées, précise dans un communiqué l'association que parraine le footballeur Zinédine Zidane.
Jusqu'à présent le traitement de l'adrénoleucodystrophie (ALD), forme de leucodystrophie la plus courante, avec environ 35 nouveaux cas par an en France, reposait sur la greffe de moelle osseuse, berceau où se développent les futures cellules sanguines (globules rouges et blancs, plaquettes..) quand elle est possible.
Lors de l'essai de thérapie génique réalisé par le Pr Aubourg (hôpital Saint-Vincent de Paul, Paris), un virus du sida (VIH) inactivé a servi de vecteur pour introduire le "gène médicament" dans l'ADN des cellules de moelle osseuse.
Le VIH est un virus qui doit introduire son matériel génétique dans l'ADN des cellules qu'il parasite pour s'y reproduire. Cette propriété a été utilisée, grâce à une souche inactivée du virus, pour transférer le gène thérapeutique dans le noyau des cellules-cibles.
Les cellules génétiquement corrigées ont ensuite été réinjectées dans le sang des deux jeunes patients dans le service du Pr Alain Fischer à l'hôpital Necker (Paris), précise encore l'association ELA.
Avec un recul de six mois à un an, pour les deux enfants, les résultats seraient jugés "encourageants" par l'équipe médicale, car la protéine déficiente "s'exprime dans un pourcentage important des cellules du sang", rapporte l'association.
Cette maladie génétique liée au chromosome X se traduit par la destruction de la gaine de myéline (qui enveloppe les nerfs) dans le cerveau et la moelle épinière. Toutes les fonctions vitales peuvent être affectées, précise dans un communiqué l'association que parraine le footballeur Zinédine Zidane.
Jusqu'à présent le traitement de l'adrénoleucodystrophie (ALD), forme de leucodystrophie la plus courante, avec environ 35 nouveaux cas par an en France, reposait sur la greffe de moelle osseuse, berceau où se développent les futures cellules sanguines (globules rouges et blancs, plaquettes..) quand elle est possible.
Lors de l'essai de thérapie génique réalisé par le Pr Aubourg (hôpital Saint-Vincent de Paul, Paris), un virus du sida (VIH) inactivé a servi de vecteur pour introduire le "gène médicament" dans l'ADN des cellules de moelle osseuse.
Le VIH est un virus qui doit introduire son matériel génétique dans l'ADN des cellules qu'il parasite pour s'y reproduire. Cette propriété a été utilisée, grâce à une souche inactivée du virus, pour transférer le gène thérapeutique dans le noyau des cellules-cibles.
Les cellules génétiquement corrigées ont ensuite été réinjectées dans le sang des deux jeunes patients dans le service du Pr Alain Fischer à l'hôpital Necker (Paris), précise encore l'association ELA.
Avec un recul de six mois à un an, pour les deux enfants, les résultats seraient jugés "encourageants" par l'équipe médicale, car la protéine déficiente "s'exprime dans un pourcentage important des cellules du sang", rapporte l'association.
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Du tartre sur les dents ? Rendez-vous chez le dentiste !
[30 octobre 2007 - 07:50]
Le tartre ? C’est cette pâte blanchâtre qui à partir de la plaque dentaire, s’est durcie sous l’influence des phosphates et du calcium de la salive. Sa présence résulte donc en fait, d’un brossage insuffisant ou mal exécuté.
Pour être efficace, le brossage doit durer de 3 à 5 minutes, ce qui est rarement le cas. D’abord, brossez les faces externe et interne des dents, toujours en allant de la gencive vers l’extrémité de la dent. N’appuyez pas trop fort : si vous courbez les poils de la brosse, ils ne pourront plus déloger les débris alimentaires qui sont pris entre les dents. Et n’oubliez pas de terminer, en haut comme en bas, par les faces horizontales des dents. Ce sont elles qui vous servent à mastiquer…
Le brossage doit être effectué si possible peu après les repas, au minimum deux fois par jour. Et n’oubliez pas qu’en la matière, l’outil est aussi important que la technique ! Qu’elle soit synthétique ou en soies de sanglier, abandonnez la brosse dure, qui se contente de racler la surface des dents sans nettoyer entre ces dernières. Choisissez une brosse vraiment souple, dont les poils pénètrent bien les espaces inter-dentaires.
Si vous appliquez régulièrement ces recommandations, vous n’aurez peut-être même pas besoin du détartrage annuel, pourtant bien utile pour effectuer une petite révision. Et comme c’est dès la petite enfance qu’il faut penser à protéger son capital dentaire, apprenez aux enfants, très jeunes, à bien se brosser les dents.
[30 octobre 2007 - 07:50]
Le tartre ? C’est cette pâte blanchâtre qui à partir de la plaque dentaire, s’est durcie sous l’influence des phosphates et du calcium de la salive. Sa présence résulte donc en fait, d’un brossage insuffisant ou mal exécuté.
Pour être efficace, le brossage doit durer de 3 à 5 minutes, ce qui est rarement le cas. D’abord, brossez les faces externe et interne des dents, toujours en allant de la gencive vers l’extrémité de la dent. N’appuyez pas trop fort : si vous courbez les poils de la brosse, ils ne pourront plus déloger les débris alimentaires qui sont pris entre les dents. Et n’oubliez pas de terminer, en haut comme en bas, par les faces horizontales des dents. Ce sont elles qui vous servent à mastiquer…
Le brossage doit être effectué si possible peu après les repas, au minimum deux fois par jour. Et n’oubliez pas qu’en la matière, l’outil est aussi important que la technique ! Qu’elle soit synthétique ou en soies de sanglier, abandonnez la brosse dure, qui se contente de racler la surface des dents sans nettoyer entre ces dernières. Choisissez une brosse vraiment souple, dont les poils pénètrent bien les espaces inter-dentaires.
Si vous appliquez régulièrement ces recommandations, vous n’aurez peut-être même pas besoin du détartrage annuel, pourtant bien utile pour effectuer une petite révision. Et comme c’est dès la petite enfance qu’il faut penser à protéger son capital dentaire, apprenez aux enfants, très jeunes, à bien se brosser les dents.
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