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ARCHE DE ZOE
Garmirian : les responsables de l'Arche de Zoé "ont menti à tout leur staff"
NOUVELOBS.COM | 05.11.2007 | 12:38
Le reporter de Capa libéré hier affirme que ceux-ci "n'ont affiché l'objectif final de leur opération, ni à leur personnel, ni aux gens qui leur ont confié les enfants, ni aux enfants eux-mêmes". Il a eu "des conditions de détention largement au-dessus des conditions locales", pendant ses 11 jours d'incarcération.
Marc Garmirian, le reporter de Capa qui a regagné la France dans la nuit de dimanche 4 à lundi 5 novembre avec deux autres journalistes et quatre hôtesses espagnoles, affirme que les responsables de l'Arche de Zoé au Tchad ont "menti à tout leur staff".
Marc Garmirian, qui a été détenu pendant onze jours, considère que les responsables de l'Arche de Zoé "ont quand même menti à tout leur staff. Ils avaient plus de 100 personnes travaillant pour eux. Jamais ils n'ont affiché l'objectif final de leur opération, ni à leur personnel, ni aux gens qui leur ont confié les enfants, ni aux enfants eux-mêmes", a-t-il dit lundi à l'AFP.
"Breteau est un type qui est très fort dans sa tête"
Le reporter de Capa souligne également avoir été "frappé" par "la conviction, la détermination et l'état d'esprit" des membres de l'Arche de Zoé qui restent détenus à N'Djamena.
"Je n'arrive pas à trouver le terme pour les qualifier. Eric Breteau (le président de l'association, ndlr) est un type qui est très fort dans sa tête. Ce qui m'a frappé, c'est leur état d'esprit, leur conviction, ils sont convaincus de faire le bien et d'avoir une mission à effectuer", a-t-il ajouté.
Pour Eric Breteau, relève-t-il, "le point de départ, c'est la convention de Genève de 1951 qui justifie le sauvetage d'enfants menacés. Pour lui, ça justifie tout, ça justifie qu'on les sorte sans procédure administrative du Tchad".
"Amateurisme"
Lundi matin, Marc Garmirian avait déjà exposé sa position au micro de RTL. "Il n'y a absolument pas de question de trafic" d'enfants derrière l'opération ratée de l'Arche de Zoé, qu'il a refusé de qualifier de "secte". "Ce n'est pas une secte du tout", a-t-il dit, mais "sur les modalités de l'opération, ils ont fait preuve d'un amateurisme qui a eu des conséquences probablement dramatiques sur la vie de certains enfants", a-t-il complété ensuite sur France-Inter.
Marc Garmirian s'est notamment souvenu sur France-Inter des propos très violents du préfet d'Abéché qui a traité les détenus pêle-mêle de "trafiquants d'enfants, nouveaux négriers, colonialistes". "Ca a été extrêmement dur, dur à vivre", a-t-il confié, même s'il a finalement "compris" cette réaction, en se mettant "à la place des Tchadiens".
Des conditions de détention au-dessus des conditions locales
Il est également revenu sur sa détention pendant 11 jours, au micro de RTL.
"On a eu des conditions de détention largement au-dessus des conditions locales", a-t-il déclaré. "Le premier soir on a dormi dehors, il faisait un peu frais, et ensuite ils nous ont trouvé une pièce de quatre mètres sur six où on a dormi à 16 pendant plus d'une semaine", a-t-il expliqué.
"On avait accès à une terrasse, on pouvait sortir dehors, il y avait des toilettes locales, une douche, enfin, un tuyau d'arrosage local", a-t-il ajouté, au lendemain de sa libération et de son retour en France sous escorte présidentielle en compagnie de deux confrères et de quatre hôtesses de l'air espagnoles. Marc Garmirian a affirmé que "le commissaire sur place" les avait "extrêmement bien traités", qu'il avait "été sympa" avec les détenus. (avec AP et AFP)
Garmirian : les responsables de l'Arche de Zoé "ont menti à tout leur staff"
NOUVELOBS.COM | 05.11.2007 | 12:38
Le reporter de Capa libéré hier affirme que ceux-ci "n'ont affiché l'objectif final de leur opération, ni à leur personnel, ni aux gens qui leur ont confié les enfants, ni aux enfants eux-mêmes". Il a eu "des conditions de détention largement au-dessus des conditions locales", pendant ses 11 jours d'incarcération.
Marc Garmirian, le reporter de Capa qui a regagné la France dans la nuit de dimanche 4 à lundi 5 novembre avec deux autres journalistes et quatre hôtesses espagnoles, affirme que les responsables de l'Arche de Zoé au Tchad ont "menti à tout leur staff".
Marc Garmirian, qui a été détenu pendant onze jours, considère que les responsables de l'Arche de Zoé "ont quand même menti à tout leur staff. Ils avaient plus de 100 personnes travaillant pour eux. Jamais ils n'ont affiché l'objectif final de leur opération, ni à leur personnel, ni aux gens qui leur ont confié les enfants, ni aux enfants eux-mêmes", a-t-il dit lundi à l'AFP.
"Breteau est un type qui est très fort dans sa tête"
Le reporter de Capa souligne également avoir été "frappé" par "la conviction, la détermination et l'état d'esprit" des membres de l'Arche de Zoé qui restent détenus à N'Djamena.
"Je n'arrive pas à trouver le terme pour les qualifier. Eric Breteau (le président de l'association, ndlr) est un type qui est très fort dans sa tête. Ce qui m'a frappé, c'est leur état d'esprit, leur conviction, ils sont convaincus de faire le bien et d'avoir une mission à effectuer", a-t-il ajouté.
Pour Eric Breteau, relève-t-il, "le point de départ, c'est la convention de Genève de 1951 qui justifie le sauvetage d'enfants menacés. Pour lui, ça justifie tout, ça justifie qu'on les sorte sans procédure administrative du Tchad".
"Amateurisme"
Lundi matin, Marc Garmirian avait déjà exposé sa position au micro de RTL. "Il n'y a absolument pas de question de trafic" d'enfants derrière l'opération ratée de l'Arche de Zoé, qu'il a refusé de qualifier de "secte". "Ce n'est pas une secte du tout", a-t-il dit, mais "sur les modalités de l'opération, ils ont fait preuve d'un amateurisme qui a eu des conséquences probablement dramatiques sur la vie de certains enfants", a-t-il complété ensuite sur France-Inter.
Marc Garmirian s'est notamment souvenu sur France-Inter des propos très violents du préfet d'Abéché qui a traité les détenus pêle-mêle de "trafiquants d'enfants, nouveaux négriers, colonialistes". "Ca a été extrêmement dur, dur à vivre", a-t-il confié, même s'il a finalement "compris" cette réaction, en se mettant "à la place des Tchadiens".
Des conditions de détention au-dessus des conditions locales
Il est également revenu sur sa détention pendant 11 jours, au micro de RTL.
"On a eu des conditions de détention largement au-dessus des conditions locales", a-t-il déclaré. "Le premier soir on a dormi dehors, il faisait un peu frais, et ensuite ils nous ont trouvé une pièce de quatre mètres sur six où on a dormi à 16 pendant plus d'une semaine", a-t-il expliqué.
"On avait accès à une terrasse, on pouvait sortir dehors, il y avait des toilettes locales, une douche, enfin, un tuyau d'arrosage local", a-t-il ajouté, au lendemain de sa libération et de son retour en France sous escorte présidentielle en compagnie de deux confrères et de quatre hôtesses de l'air espagnoles. Marc Garmirian a affirmé que "le commissaire sur place" les avait "extrêmement bien traités", qu'il avait "été sympa" avec les détenus. (avec AP et AFP)
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dernière ligne droite, on y croit tous ! No stress que de la motivation !!!
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VIH-tuberculose, une co-infection « oubliée » qui menace le monde
[5 novembre 2007 - 11:50]
Un tiers des 40 millions de malades porteurs du virus du SIDA sont également infectés par le bacille tuberculeux. Une réalité d’autant plus préoccupante que c’est en Afrique sub-saharienne, déjà durement frappée par le VIH-SIDA, que les co-infections se multiplient…
Dans un nouveau rapport publié le 2 novembre, le Forum for Collaborative HIV Research (qui regroupe des chercheurs, des associations de patients, des représentants de gouvernements et de l’industrie pharmaceutique) sonne l’alarme. « A l’instar de la menace de pandémie grippale, celle de la co-épidémie VIH-tuberculose est une réalité. Mais la coordination indispensable pour y faire face est totalement insuffisante »…
La raison d’un tel pessimisme est simple. La pandémie de SIDA aurait augmenté d’environ 15% le nombre de cas de tuberculose dans le monde. Déprimant les défenses immunitaires, le VIH multiplie par trente le risque de tuberculose après un contact avec le bacille. Résultat, la moitié des nouveaux cas de tuberculose déclarés chaque année en Afrique sub-saharienne concerne des patients déjà infectés par le virus du SIDA.
Il s’agit d’un sérieux défi pour la communauté internationale. « La seule lutte efficace passe (en effet) par un diagnostic précoce, l’observance et le bon équilibre entre la toxicité des différents traitements » précisent les auteurs. « Or pour cela nous avons besoin d’unités de soins primaires intégrés VIH-Tuberculose ». Des structures qui aujourd’hui, n’existent toujours pas en Afrique.
[5 novembre 2007 - 11:50]
Un tiers des 40 millions de malades porteurs du virus du SIDA sont également infectés par le bacille tuberculeux. Une réalité d’autant plus préoccupante que c’est en Afrique sub-saharienne, déjà durement frappée par le VIH-SIDA, que les co-infections se multiplient…
Dans un nouveau rapport publié le 2 novembre, le Forum for Collaborative HIV Research (qui regroupe des chercheurs, des associations de patients, des représentants de gouvernements et de l’industrie pharmaceutique) sonne l’alarme. « A l’instar de la menace de pandémie grippale, celle de la co-épidémie VIH-tuberculose est une réalité. Mais la coordination indispensable pour y faire face est totalement insuffisante »…
La raison d’un tel pessimisme est simple. La pandémie de SIDA aurait augmenté d’environ 15% le nombre de cas de tuberculose dans le monde. Déprimant les défenses immunitaires, le VIH multiplie par trente le risque de tuberculose après un contact avec le bacille. Résultat, la moitié des nouveaux cas de tuberculose déclarés chaque année en Afrique sub-saharienne concerne des patients déjà infectés par le virus du SIDA.
Il s’agit d’un sérieux défi pour la communauté internationale. « La seule lutte efficace passe (en effet) par un diagnostic précoce, l’observance et le bon équilibre entre la toxicité des différents traitements » précisent les auteurs. « Or pour cela nous avons besoin d’unités de soins primaires intégrés VIH-Tuberculose ». Des structures qui aujourd’hui, n’existent toujours pas en Afrique.
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L’industrie pharmaceutique dénonce le rapport de l’IGAS sur la publicité
[6 novembre 2007 - 07:40]
Dans un rapport publié mercredi dernier, l’Inspection générale des Affaires sociales (IGAS) pointe du doigt la trop forte pression exercée selon elle, par les laboratoires pharmaceutiques sur les médecins généralistes. Pression des visiteurs médicaux et autres moyens promotionnels. Les Entreprises du médicament (Leem) contre-attaquent et brandissent l’étendard de la libre entreprise.
Le vocabulaire est guerrier. L’IGAS dénonce dans son rapport, la « course aux armements » qui aurait cours en matière de promotion des médicaments. Et l’inspection de citer des chiffres éloquents : entre 1999 et 2005, l’industrie pharmaceutique aurait augmenté de 48% ses dépenses promotionnelles. En 2005, ces dernières auraient ainsi atteint le chiffre impressionnant de 3 milliards d’euros. A titre d’exemple, un médecin généraliste voit défiler tous les ans dans son cabinet… 330 visiteurs médicaux. Une cohue qui ne semble pas du goût de l’IGAS.
« L’ampleur de (cet) investissement promotionnel permet de penser que la visite a un effet sur les prescriptions » assurent les rapporteurs. Comprendre bien sûr, un effet délétère... L’IGAS préconise donc que la Haute autorité de Santé devienne « l’émetteur unique d’information sur le bon usage du médicament ». Voilà qui rappellera quelque chose aux « anciens » des années 1978-81…
Que pensent les industriels de cette attaque en règle ? Rien de bon naturellement ! Dans un communiqué, le Leem dénonce ainsi le manque d’objectivité du document. « Le rapport s’abrite derrière l’autorité publique pour délivrer une charge contre l’action de l’industrie et sa légitimité, pour des raisons d’opposition de principe à l’initiative privée en ce domaine ». En clair, l’assaut de l’IGAS serait plus idéologique que pragmatique. Et pour enfoncer le clou, les entreprises du médicament rappellent « qu’elles sont les plus légitimes pour exposer la réalité de leurs médicaments ». Ce qui est exact… sans répondre pour autant, à la question de l’impact promotionnel sur les prescriptions.
[6 novembre 2007 - 07:40]
Dans un rapport publié mercredi dernier, l’Inspection générale des Affaires sociales (IGAS) pointe du doigt la trop forte pression exercée selon elle, par les laboratoires pharmaceutiques sur les médecins généralistes. Pression des visiteurs médicaux et autres moyens promotionnels. Les Entreprises du médicament (Leem) contre-attaquent et brandissent l’étendard de la libre entreprise.
Le vocabulaire est guerrier. L’IGAS dénonce dans son rapport, la « course aux armements » qui aurait cours en matière de promotion des médicaments. Et l’inspection de citer des chiffres éloquents : entre 1999 et 2005, l’industrie pharmaceutique aurait augmenté de 48% ses dépenses promotionnelles. En 2005, ces dernières auraient ainsi atteint le chiffre impressionnant de 3 milliards d’euros. A titre d’exemple, un médecin généraliste voit défiler tous les ans dans son cabinet… 330 visiteurs médicaux. Une cohue qui ne semble pas du goût de l’IGAS.
« L’ampleur de (cet) investissement promotionnel permet de penser que la visite a un effet sur les prescriptions » assurent les rapporteurs. Comprendre bien sûr, un effet délétère... L’IGAS préconise donc que la Haute autorité de Santé devienne « l’émetteur unique d’information sur le bon usage du médicament ». Voilà qui rappellera quelque chose aux « anciens » des années 1978-81…
Que pensent les industriels de cette attaque en règle ? Rien de bon naturellement ! Dans un communiqué, le Leem dénonce ainsi le manque d’objectivité du document. « Le rapport s’abrite derrière l’autorité publique pour délivrer une charge contre l’action de l’industrie et sa légitimité, pour des raisons d’opposition de principe à l’initiative privée en ce domaine ». En clair, l’assaut de l’IGAS serait plus idéologique que pragmatique. Et pour enfoncer le clou, les entreprises du médicament rappellent « qu’elles sont les plus légitimes pour exposer la réalité de leurs médicaments ». Ce qui est exact… sans répondre pour autant, à la question de l’impact promotionnel sur les prescriptions.
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L'allaitement augmenterait le QI de certains enfants, selon une étude
AFP - Lundi 5 novembre, 23h58
CHICAGO (AFP) - L'allaitement maternel pourrait avoir un effet positif sur le développement du quotient intellectuel (QI) de certains enfants, affirme une étude publiée lundi.
Les enfants pour qui l'allaitement s'est révélé bénéfique au niveau du développement cognitif bénéficiait d'une version particulière d'un gène nommé FADS2.
Cependant, souligne également cette étude, l'allaitement seul ne suffit pas à augmenter le QI qui dépend également de facteurs environnementaux (famille, milieu social...) et génétiques.
Selon les chercheurs qui ont réalisé cette étude auprès de 3.000 bébés nourris au sein en Grande-Bretagne et en Nouvelle-Zélande, les enfants dotés d'une version particulière du gène FADS2 avaient en moyenne un QI de 6,8 points plus haut que les autres enfants.
Cette différence persiste quel que soit le milieu socio-économique de l'enfant, le QI de la mère, le poids du bébé à la naissance ou l'âge de la mère durant la grossesse.
"Pendant au moins un siècle, la discussion sur l'intelligence s'est bornée au différend inné contre acquis. Nous avons découvert qu'inné et acquis fonctionnent ensemble", a dit Terrie Moffitt, professeur de psychologie et de sciences du cerveau à la Duke University et King's College de Londres, et co-auteur de l'étude publiée par Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS).
AFP - Lundi 5 novembre, 23h58
CHICAGO (AFP) - L'allaitement maternel pourrait avoir un effet positif sur le développement du quotient intellectuel (QI) de certains enfants, affirme une étude publiée lundi.
Les enfants pour qui l'allaitement s'est révélé bénéfique au niveau du développement cognitif bénéficiait d'une version particulière d'un gène nommé FADS2.
Cependant, souligne également cette étude, l'allaitement seul ne suffit pas à augmenter le QI qui dépend également de facteurs environnementaux (famille, milieu social...) et génétiques.
Selon les chercheurs qui ont réalisé cette étude auprès de 3.000 bébés nourris au sein en Grande-Bretagne et en Nouvelle-Zélande, les enfants dotés d'une version particulière du gène FADS2 avaient en moyenne un QI de 6,8 points plus haut que les autres enfants.
Cette différence persiste quel que soit le milieu socio-économique de l'enfant, le QI de la mère, le poids du bébé à la naissance ou l'âge de la mère durant la grossesse.
"Pendant au moins un siècle, la discussion sur l'intelligence s'est bornée au différend inné contre acquis. Nous avons découvert qu'inné et acquis fonctionnent ensemble", a dit Terrie Moffitt, professeur de psychologie et de sciences du cerveau à la Duke University et King's College de Londres, et co-auteur de l'étude publiée par Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS).
Puéricultrice
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désolée, j'espère ne pas t'avoir froissée avec le terme "négliger", en fait étant moi-même en préparation, je m'aperçois qu'il faut de l'entrainement pas forcément pour la difficulté mais pour la rapidité, ajoute en plus le stress le jour J et cela fera un super cocktail...!
Bravo parce que j'imagine que cela ne doit pas être évident de savoir comment répartir son temps entre le bac et la préparation pour le concours.
A plus tard.

Bravo parce que j'imagine que cela ne doit pas être évident de savoir comment répartir son temps entre le bac et la préparation pour le concours.
A plus tard.
Chiens dangereux : les sénateurs examinent le projet de loi
Un American Staff. Image d'archives/TF1
Le texte contraint les propriétaires de chiens dangereux à passer une sorte de permis de détention.
Il assimile les chiens "mordeurs" aux races réputées dangereuses.
- le 07/11/2007 - 06h25
Elaboré par la ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, après la mort à Bobigny, le 24 octobre, d'Aaron, un bébé de 19 mois mordu par un bâtard à la morphologie de rottweiler, le projet de loi sur les chiens dangereux que s'apprêtent à examiner les sénateurs instaure une formation à l'éducation canine, sanctionnée par une "attestation d'aptitude". Sa principale innovation consiste à imposer aux détenteurs de tout chien "mordeur" une "évaluation comportementale de leur animal", et à rendre obligatoire la déclaration en mairie de toute morsure, quelle que soit la race ou la taille de l'animal responsable.
Selon le rapporteur, Jean-Patrick Courtois (UMP), le nombre de morsures de chien est proche de 10.000 par an, "chiffre à ramener aux 8,5 millions de chiens qui vivent en France", et ces accidents "ont lieu particulièrement dans la sphère familiale". En 2007, trois personnes sont décédées suite à une morsure de chien.
Pouvoirs du maire renforcés
L'article 1er du projet de loi renforce les pouvoirs du maire, qui pourra procéder à l'euthanasie d'un animal de catégorie 1 (chien d'attaque) ou 2 (chien de garde ou de défense) si son propriétaire n'a pas suivi de formation adéquate. L'article 4 concerne les détenteurs de chiens "mordeurs", même un simple "toutou". Ils auront l'obligation de les déclarer au maire, qui les soumettra à une formation et à une "évaluation comportementale". En cas de manquement, les sanctions vont du placement du chien à l'euthanasie.
En commission des Lois, saisie au fond, et en commission des Affaires économiques, saisie pour avis, les sénateurs ont décidé de supprimer l'article 5, jugé inapplicable, qui interdit la détention de chiens de catégorie 1 nés après l'entrée en vigueur de la loi de 1999 sur les chiens dangereux.
Evaluation comportementale des chiens
Un amendement, voté en commission, prévoit en outre que "les agents de surveillance ou de gardiennage utilisant un chien dans l'exercice de leur activité devront suivre la formation destinée aux maîtres de chiens 'classés'", cette formation étant prise en charge par l'employeur. Un autre propose que soient soumis à une "évaluation comportementale" tous les chiens "que leur taille rend potentiellement plus dangereux que d'autres (dogues, bergers, dobermans...)".
Les deux commissions se sont également prononcées pour la suppression de l'article 12, qui permet aux dispensaires des associations de protection des animaux d'acquérir et de délivrer directement des médicaments vétérinaires, sans passer par un pharmacien. Selon les rapporteurs, "ces dispensaires ne respectent pas leurs obligations légales, en faisant payer les actes effectués ou en demandant aux clients de participer à la prise en charge des frais de l'établissement".
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Voila des ptites nouvelles !
Protection sociale et système de santé / CMU
La protection sociale désigne tous les mécanismes de prévoyance collective, permettant aux individus de faire face aux conséquences financières des "risques sociaux". Il s’agit de situations susceptibles de compromettre la sécurité économique de l’individu ou de sa famille, en provoquant une baisse de ses ressources ou une hausse de ses dépenses (vieillesse, maladie, invalidité, chômage, maternité, charges de famille, etc.). il y a 3 systèmes :
Une logique d’assurance sociale, dont l’objectif est de prémunir contre un risque de perte de revenu (chômage, maladie, vieillesse, accident du travail). Les prestations sociales sont financées par des cotisations sur les salaires (comme dans une assurance privée) et sont donc réservées à ceux qui cotisent ;
Une logique d’assistance, qui a pour objectif d’instaurer une solidarité entre les individus pour lutter contre les formes de pauvreté. Elle consiste à assurer un revenu minimum, qui ne couvre pas forcément un risque spécifique. Il est versé sous condition de ressources, mais non de cotisations préalables (revenu minimum d’insertion, allocation adulte handicapé) ;
Une logique de protection universelle, qui a pour but de couvrir certaines catégories de dépenses pour tous les individus. Les prestations sont donc accordées sans conditions de cotisations ni de ressources, mais sont les mêmes pour tous (prestations familiales).
Le rôle principal dans l'administration du système de santé revient à l'Etat, garant de l'intérêt public et de l'amélioration de l'état sanitaire de la population. L'Etat intervient parfois directement dans la production ou le financement des soins. Il exerce un contrôle sur les relations entre institutions de financement, professionnels et malades au nom des impératifs sanitaires et économiques généraux
La CMU (Couverture Maladie Universelle) a été votée dans le cadre de la loi du 27 juillet 1999 sous le gouvernement de Lionel Jospin, à l'initiative de Martine Aubry.
C’est une garantie offerte à toutes les personnes résidant régulièrement en France depuis plus de trois mois, de la prise en charge des soins par les régimes obligatoires de la Sécurité Sociale.
La CMU complémentaire est accordée condition de ressources.
Elle permet en théorie de bénéficier d’une prise en charge à 100 % des dépenses de santé, sans avoir à faire l’avance des frais.(source publique, caisse d'assurance maladie)
Le plafond annuel de ressources pour bénéficier de la CMU Complémentaire est fixé depuis le 1er juillet 2007 à 7272,00 euros par an, soit 606,00 euros par mois pour une personne seule en métropole. Ce montant évolue en fonction de la situation familiale et du lieu de résidence
PARITE
La parité est un concept d'égalité d'état ou d'équivalence fonctionnelle. Ce concept est également lié au chiffre deux. En sociologie, la parité fait référence à l'égalité des sexes. Proposé par le Conseil de l'Europe dès 1989, le concept de Parité est apparu dans les années 90 et s'est imposé au monde politique, grâce au combat inlassable des féministes européennes. L'Assemblée nationale a adopté, dans la nuit du mardi 25 au mercredi 26 janvier 2000, le projet de loi gouvernemental sur la parité, visant à accorder un égal accès des hommes et des femmes aux fonctions politiques.
IMPOTS
L'impôt est un prélèvement obligatoire effectué par voie d’autorité et destiné à alimenter le budget d’une collectivité, notamment, l'État, ou une subdivision nationale ou fédérale, comme une province, une région, un territoire, un département ou un district. Il est également utilisé pour mener une politique de redistribution des richesses.
Il comprend les cotisations sociales, mais se distingue des taxes. Ensemble, ils forment les prélèvements obligatoires.
Les impôts servent ainsi d’une part à alimenter le budget de fonctionnement des institutions, à payer les personnes qu’elles emploient (fonctionnaires), à assurer les fonctions régaliennes (police, justice, défense…), des missions de service public (éducation, soutien à la culture, infrastructures de transport, énergie…), et d’autre part à en redistribuer une partie sous forme d’aides diverses aux plus défavorisés et à ceux que le régime veut favoriser. Il s’agit donc d’un outil de redistribution des richesses et des revenus et d’orientation politique.
En tant qu’outil au service de la politique, l’impôt sert souvent à financer des projets, des axes d’action ou bien au contraire à décourager des comportements jugés nuisibles à la collectivité (par exemple avec des taxes sur les activités polluantes). Ainsi, pour des raisons purement politiques, un impôt d’un rendement médiocre pourra par exemple être maintenu car véhiculant l’image d’une certaine solidarité entre contribuables, et à l’inverse un autre, bien que rémunérateur, pourra être réduit voire supprimé en raison de sa perception injuste, liée à son mode de prélèvement.
Outre l’aspect humain et le respect de la DUDH (la sécurité sociale est inscrite dans son article 22), cette redistribution présente plusieurs intérêts sociaux et économiques. En assurant des moyens de subsistance aux personnes les plus démunies, elle permet une paix sociale et donc une sécurité publique.
Société de consommation
La consommation est le fait de consommer des biens et services, généralement dans le but de satisfaire ses besoins ou ses désirs. Le terme « société de consommation » est la simplification du terme « société industrielle de consommation dirigée », défini par Henri Lefebvre comme étant l'état du capitalisme d'après la Seconde Guerre mondiale. Elle caractérise une société dans laquelle le niveau moyen de revenu est suffisamment élevé pour satisfaire, en plus des besoins considérés comme essentiels (alimentation, logement, éducation, santé) des dépenses que certains jugent superflues. Cela concerne par exemple le fait d'accumuler des biens (par plaisir, pression sociale ou publicitaire) et de les utiliser ou juste les montrer (pour des raisons esthétiques ou autres).
Cela dit, la surconsommation entraîne des dégâts à l'environnement et à la santé par l'usage non modéré des ressources naturelles.
La consom'action ou consommation responsable est un phénomène socio-culturel récent, principalement dans des milieux "alternatifs". Il exprime l'idée selon laquelle on peut "voter avec son caddie" en choisissant à qui l'on donne son argent, en choisissant de consommer en tenant compte du « développement durable ».
Sectes
Le mot secte a d'abord désigné soit un ensemble d'hommes et de femmes partageant une même doctrine philosophique, religieuse, etc. soit un groupe plus ou moins important de fidèles qui se sont détachés de l'enseignement officiel d'une Église et qui ont créé leur propre doctrine.
Il est devenu un terme polémique, qui désigne un groupe ou une organisation le plus souvent à connotation religieuse dont les croyances ou le comportement sont jugés obscurs ou dévoyés. Généralement les responsables de ces groupes sont accusés d'une part de brimer les libertés individuelles au sein du groupe ou de manipuler mentalement leurs disciples afin de s'approprier leurs biens, de les maintenir sous contrôle, etc. et d'autre part d'être une menace pour l'ordre social
Il est indéniable que ce qu'il est convenu d'appeler les sectes pose un épineux problème d'ordre public, mais aussi pose le problème des libertés. En effet, évaluer l'influence et la dangerosité sectaire est difficile. L'état français doit donc osciller entre la tolérance applicable à toutes formes de religion et d'adhésion à un dogme, et la protection des individus et de la société.
Le gouvernement français a par exemple chargé une Commission de l'Assemblée nationale d'enquêter de manière plus approfondie sur le phénomène sectaire. D'après les informations fournies par les RG, la commission a établi, dans son rapport de 1995, une liste de 173 mouvements jugés sectaires, auxquels se sont ajoutés par la suite d'autres groupes dans le rapport de 1999. N'ont été retenus que les mouvements remplissant au moins un des dix critères de comportement sectaire définis par la commission.
La commission a établi trois catégories de sectes : les "sectes absolues", qui souhaitent changer la société et avec qui le dialogue est impossible (ex.: l'Église de Scientologie, l'Ordre du temple solaire); les mouvements dont le caractère religieux ou philosophique est incontestable, mais dont certains comportements sont susceptibles de porter atteinte aux droits de l'Homme (ex.: les Témoins de Jéhovah); et les mouvements supposés sectaires mais n'ayant pas vraiment fait l'objet d'étude approfondie (ex.: la galaxie anthroposophique).
Le nombre d'adeptes est évalué dans le rapport de 1995 à environ 160 000, tandis que le chiffre atteindrait 500 000 avec les sympathisants et les proches des adeptes.
L’immigration
Les apports de l’immigration :
- L’immigration a représenté un apport de main d’œuvre indispensable après la seconde guerre mondiale et certains pensent qu’une immigration contrôlée en nombre et en qualité (niveau de qualification) pourrait être une réponse à la pénurie de main d’œuvres et aux difficultés de paiements des retraites annoncés en 2010.
- Aujourd’hui les immigrés exercent des métiers peu prisés par les français (manœuvres, ouvriers à la chaîne, emplois de services)
- Les immigrés ayant un taux de fécondité plus élevé que les français, leurs enfants tempèrent la faible natalité et le vieillissement de la population française.
- Les personnes d’origine étrangère nous enrichissent de leurs cultures, leurs connaissances et leurs croyances. A leur tour, elles peuvent faire connaître la culture française dans leurs pays d’origine.
- Leur présence est une incitation à la tolérance et à la solidarité.
Les risques d’une trop forte immigration :
- Le développement de pratiques discriminatoires voire de la montée du racisme et de la xénophobie, en particulier dans les villes ou les quartiers où les immigrés sont concentrés.
- Une intégration insuffisante : échec scolaire, chômage, délinquance parfois violences des adolescents, pouvant menacer la cohésion sociale.
- Le développement d’un pouvoir politique fort avec des pratiques contraires au respect des droits de l’homme.
Retraites
La retraite, dans le sens social et financier, se caractérise par :
la cessation d'une activité professionnelle sous certaines conditions (âge, durée d'exercice, etc.)
le bénéfice d'une pension de vieillesse (appelée souvent elle aussi « retraite »), obtenu à titre gratuit ou onéreux, mais toujours sous conditions complexes.
La retraite, historiquement rare et courte, devient au XXe siècle avec l'allongement de l'espérance de vie une perspective probable posant des problèmes économiques et politiques ardus.
La cotisation a pu être versée en partie, ou la pension de retraite complétée, par un tiers (l'employeur, l'État...), notamment pour tenir compte de situations particulières (maternité, handicap, invalidité…)
Les retraites sont un véritable enjeu de développement durable, puisqu'elles concernent la solidarité intergénérationnelle. La définition du développement durable, indiquée dans le rapport Brundtland (un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs) correspond bien à cette problématique : les revenus que perçoivent les inactifs retraités ne doivent pas être une charge excessive pour la population active, qui a également en charge les études des plus jeunes afin qu'ils entrent à leur tour dans la vie active.
Plusieurs phénomènes tendent à remettre en question les mentalités sur les retraites dans tous les pays développés :
l'espérance de vie a augmenté ;
l'âge du départ en retraite a souvent diminué sous l'effet de loi avantageuses et des préretraites attribuées dans le cadre de plans sociaux depuis les années 1970 ;
les études se prolongent souvent plus longtemps ;
le chômage des jeunes est devenu chronique ;
la grande difficulté pour les salariés de plus de cinquante ans à trouver un emploi.
Protection sociale et système de santé / CMU
La protection sociale désigne tous les mécanismes de prévoyance collective, permettant aux individus de faire face aux conséquences financières des "risques sociaux". Il s’agit de situations susceptibles de compromettre la sécurité économique de l’individu ou de sa famille, en provoquant une baisse de ses ressources ou une hausse de ses dépenses (vieillesse, maladie, invalidité, chômage, maternité, charges de famille, etc.). il y a 3 systèmes :
Une logique d’assurance sociale, dont l’objectif est de prémunir contre un risque de perte de revenu (chômage, maladie, vieillesse, accident du travail). Les prestations sociales sont financées par des cotisations sur les salaires (comme dans une assurance privée) et sont donc réservées à ceux qui cotisent ;
Une logique d’assistance, qui a pour objectif d’instaurer une solidarité entre les individus pour lutter contre les formes de pauvreté. Elle consiste à assurer un revenu minimum, qui ne couvre pas forcément un risque spécifique. Il est versé sous condition de ressources, mais non de cotisations préalables (revenu minimum d’insertion, allocation adulte handicapé) ;
Une logique de protection universelle, qui a pour but de couvrir certaines catégories de dépenses pour tous les individus. Les prestations sont donc accordées sans conditions de cotisations ni de ressources, mais sont les mêmes pour tous (prestations familiales).
Le rôle principal dans l'administration du système de santé revient à l'Etat, garant de l'intérêt public et de l'amélioration de l'état sanitaire de la population. L'Etat intervient parfois directement dans la production ou le financement des soins. Il exerce un contrôle sur les relations entre institutions de financement, professionnels et malades au nom des impératifs sanitaires et économiques généraux
La CMU (Couverture Maladie Universelle) a été votée dans le cadre de la loi du 27 juillet 1999 sous le gouvernement de Lionel Jospin, à l'initiative de Martine Aubry.
C’est une garantie offerte à toutes les personnes résidant régulièrement en France depuis plus de trois mois, de la prise en charge des soins par les régimes obligatoires de la Sécurité Sociale.
La CMU complémentaire est accordée condition de ressources.
Elle permet en théorie de bénéficier d’une prise en charge à 100 % des dépenses de santé, sans avoir à faire l’avance des frais.(source publique, caisse d'assurance maladie)
Le plafond annuel de ressources pour bénéficier de la CMU Complémentaire est fixé depuis le 1er juillet 2007 à 7272,00 euros par an, soit 606,00 euros par mois pour une personne seule en métropole. Ce montant évolue en fonction de la situation familiale et du lieu de résidence
PARITE
La parité est un concept d'égalité d'état ou d'équivalence fonctionnelle. Ce concept est également lié au chiffre deux. En sociologie, la parité fait référence à l'égalité des sexes. Proposé par le Conseil de l'Europe dès 1989, le concept de Parité est apparu dans les années 90 et s'est imposé au monde politique, grâce au combat inlassable des féministes européennes. L'Assemblée nationale a adopté, dans la nuit du mardi 25 au mercredi 26 janvier 2000, le projet de loi gouvernemental sur la parité, visant à accorder un égal accès des hommes et des femmes aux fonctions politiques.
IMPOTS
L'impôt est un prélèvement obligatoire effectué par voie d’autorité et destiné à alimenter le budget d’une collectivité, notamment, l'État, ou une subdivision nationale ou fédérale, comme une province, une région, un territoire, un département ou un district. Il est également utilisé pour mener une politique de redistribution des richesses.
Il comprend les cotisations sociales, mais se distingue des taxes. Ensemble, ils forment les prélèvements obligatoires.
Les impôts servent ainsi d’une part à alimenter le budget de fonctionnement des institutions, à payer les personnes qu’elles emploient (fonctionnaires), à assurer les fonctions régaliennes (police, justice, défense…), des missions de service public (éducation, soutien à la culture, infrastructures de transport, énergie…), et d’autre part à en redistribuer une partie sous forme d’aides diverses aux plus défavorisés et à ceux que le régime veut favoriser. Il s’agit donc d’un outil de redistribution des richesses et des revenus et d’orientation politique.
En tant qu’outil au service de la politique, l’impôt sert souvent à financer des projets, des axes d’action ou bien au contraire à décourager des comportements jugés nuisibles à la collectivité (par exemple avec des taxes sur les activités polluantes). Ainsi, pour des raisons purement politiques, un impôt d’un rendement médiocre pourra par exemple être maintenu car véhiculant l’image d’une certaine solidarité entre contribuables, et à l’inverse un autre, bien que rémunérateur, pourra être réduit voire supprimé en raison de sa perception injuste, liée à son mode de prélèvement.
Outre l’aspect humain et le respect de la DUDH (la sécurité sociale est inscrite dans son article 22), cette redistribution présente plusieurs intérêts sociaux et économiques. En assurant des moyens de subsistance aux personnes les plus démunies, elle permet une paix sociale et donc une sécurité publique.
Société de consommation
La consommation est le fait de consommer des biens et services, généralement dans le but de satisfaire ses besoins ou ses désirs. Le terme « société de consommation » est la simplification du terme « société industrielle de consommation dirigée », défini par Henri Lefebvre comme étant l'état du capitalisme d'après la Seconde Guerre mondiale. Elle caractérise une société dans laquelle le niveau moyen de revenu est suffisamment élevé pour satisfaire, en plus des besoins considérés comme essentiels (alimentation, logement, éducation, santé) des dépenses que certains jugent superflues. Cela concerne par exemple le fait d'accumuler des biens (par plaisir, pression sociale ou publicitaire) et de les utiliser ou juste les montrer (pour des raisons esthétiques ou autres).
Cela dit, la surconsommation entraîne des dégâts à l'environnement et à la santé par l'usage non modéré des ressources naturelles.
La consom'action ou consommation responsable est un phénomène socio-culturel récent, principalement dans des milieux "alternatifs". Il exprime l'idée selon laquelle on peut "voter avec son caddie" en choisissant à qui l'on donne son argent, en choisissant de consommer en tenant compte du « développement durable ».
Sectes
Le mot secte a d'abord désigné soit un ensemble d'hommes et de femmes partageant une même doctrine philosophique, religieuse, etc. soit un groupe plus ou moins important de fidèles qui se sont détachés de l'enseignement officiel d'une Église et qui ont créé leur propre doctrine.
Il est devenu un terme polémique, qui désigne un groupe ou une organisation le plus souvent à connotation religieuse dont les croyances ou le comportement sont jugés obscurs ou dévoyés. Généralement les responsables de ces groupes sont accusés d'une part de brimer les libertés individuelles au sein du groupe ou de manipuler mentalement leurs disciples afin de s'approprier leurs biens, de les maintenir sous contrôle, etc. et d'autre part d'être une menace pour l'ordre social
Il est indéniable que ce qu'il est convenu d'appeler les sectes pose un épineux problème d'ordre public, mais aussi pose le problème des libertés. En effet, évaluer l'influence et la dangerosité sectaire est difficile. L'état français doit donc osciller entre la tolérance applicable à toutes formes de religion et d'adhésion à un dogme, et la protection des individus et de la société.
Le gouvernement français a par exemple chargé une Commission de l'Assemblée nationale d'enquêter de manière plus approfondie sur le phénomène sectaire. D'après les informations fournies par les RG, la commission a établi, dans son rapport de 1995, une liste de 173 mouvements jugés sectaires, auxquels se sont ajoutés par la suite d'autres groupes dans le rapport de 1999. N'ont été retenus que les mouvements remplissant au moins un des dix critères de comportement sectaire définis par la commission.
La commission a établi trois catégories de sectes : les "sectes absolues", qui souhaitent changer la société et avec qui le dialogue est impossible (ex.: l'Église de Scientologie, l'Ordre du temple solaire); les mouvements dont le caractère religieux ou philosophique est incontestable, mais dont certains comportements sont susceptibles de porter atteinte aux droits de l'Homme (ex.: les Témoins de Jéhovah); et les mouvements supposés sectaires mais n'ayant pas vraiment fait l'objet d'étude approfondie (ex.: la galaxie anthroposophique).
Le nombre d'adeptes est évalué dans le rapport de 1995 à environ 160 000, tandis que le chiffre atteindrait 500 000 avec les sympathisants et les proches des adeptes.
L’immigration
Les apports de l’immigration :
- L’immigration a représenté un apport de main d’œuvre indispensable après la seconde guerre mondiale et certains pensent qu’une immigration contrôlée en nombre et en qualité (niveau de qualification) pourrait être une réponse à la pénurie de main d’œuvres et aux difficultés de paiements des retraites annoncés en 2010.
- Aujourd’hui les immigrés exercent des métiers peu prisés par les français (manœuvres, ouvriers à la chaîne, emplois de services)
- Les immigrés ayant un taux de fécondité plus élevé que les français, leurs enfants tempèrent la faible natalité et le vieillissement de la population française.
- Les personnes d’origine étrangère nous enrichissent de leurs cultures, leurs connaissances et leurs croyances. A leur tour, elles peuvent faire connaître la culture française dans leurs pays d’origine.
- Leur présence est une incitation à la tolérance et à la solidarité.
Les risques d’une trop forte immigration :
- Le développement de pratiques discriminatoires voire de la montée du racisme et de la xénophobie, en particulier dans les villes ou les quartiers où les immigrés sont concentrés.
- Une intégration insuffisante : échec scolaire, chômage, délinquance parfois violences des adolescents, pouvant menacer la cohésion sociale.
- Le développement d’un pouvoir politique fort avec des pratiques contraires au respect des droits de l’homme.
Retraites
La retraite, dans le sens social et financier, se caractérise par :
la cessation d'une activité professionnelle sous certaines conditions (âge, durée d'exercice, etc.)
le bénéfice d'une pension de vieillesse (appelée souvent elle aussi « retraite »), obtenu à titre gratuit ou onéreux, mais toujours sous conditions complexes.
La retraite, historiquement rare et courte, devient au XXe siècle avec l'allongement de l'espérance de vie une perspective probable posant des problèmes économiques et politiques ardus.
La cotisation a pu être versée en partie, ou la pension de retraite complétée, par un tiers (l'employeur, l'État...), notamment pour tenir compte de situations particulières (maternité, handicap, invalidité…)
Les retraites sont un véritable enjeu de développement durable, puisqu'elles concernent la solidarité intergénérationnelle. La définition du développement durable, indiquée dans le rapport Brundtland (un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs) correspond bien à cette problématique : les revenus que perçoivent les inactifs retraités ne doivent pas être une charge excessive pour la population active, qui a également en charge les études des plus jeunes afin qu'ils entrent à leur tour dans la vie active.
Plusieurs phénomènes tendent à remettre en question les mentalités sur les retraites dans tous les pays développés :
l'espérance de vie a augmenté ;
l'âge du départ en retraite a souvent diminué sous l'effet de loi avantageuses et des préretraites attribuées dans le cadre de plans sociaux depuis les années 1970 ;
les études se prolongent souvent plus longtemps ;
le chômage des jeunes est devenu chronique ;
la grande difficulté pour les salariés de plus de cinquante ans à trouver un emploi.
Le "plan" contre la maladie d'Alzheimer laisse en suspens la question du financement
LEMONDE.FR avec AFP | 08.11.07 | 09h10 • Mis à jour le 08.11.07 | 09h10
L e plan national de lutte contre la maladie d'Alzheimer qui doit être remis jeudi 8 novembre à Nicolas Sarkozy propose dix objectifs, 28 recommandations et 48 mesures, tant pour une prise en charge digne des malades que pour accélérer la recherche, selon Le Figaro et Les Echos.
La commission du Pr Joël Ménard doit remettre, à 17 h 30, ses propositions sur le "plan" contre Alzheimer à Nicolas Sarkozy, qui va lancer une concertation avec les professionnels sur la base de ces propositions. L'accent est d'abord mis sur la recherche, aujourd'hui "dispersée" et "gravement insuffisante", qui devra bénéficier "d'un effort sans précédent" piloté par une Fondation de coopération scientifique (FCS), rapporte Les Echos. Partenaires institutionnels (Inserm...) et privés travailleraient ensemble au sein de cette fondation dans le cadre d'un réseau national d'excellence.
Selon Le Figaro, la commission évalue à une cinquantaine de millions les besoins supplémentaires en recherche, soit un euro par Français. Côté soins, la commission retient l'idée d'un "forfait annuel" versé au médecin traitant - qui doit assurer le suivi des malades car lui "seul connaît la personne dans son environnement" - incluant "formation continue", "participation aux actions de coordination" avec d'autres professionnels de santé...
QUELQUE 600 000 PERSONNES AFFECTÉES EN FRANCE
Mais la commission reste muette sur les modes de financement de ces dispositions, évoquant simplement la "nécessité d'un choix clair de financement public et de politique publique". Un autre grand axe concerne l'amélioration de la prise en charge, à commencer par la mise en place d'un "dispositif d'annonce" de la maladie, à l'instar de ce qui est fait pour le cancer, selon Les Echos, qui précise que les "consultations mémoires" devront être "renforcées et généralisées sur tout le territoire".
Selon Le Figaro, la commission s'est aussi penchée sur l'accompagnement du parcours de soins du patient (et de sa famille), à qui il faut laisser le libre choix entre rester à la maison avec tous les aménagements indispensables ou opter pour un établissement spécialisé. Ce troisième plan en six ans, après ceux de Bernard Kouchner en 2001 et de Philippe Douste-Blazy en 2004, vise à contrer cette affection neurodégénérative qui touche environ 600 000 personnes en France (860 000 si l'on compte les syndromes apparentés).
Un site internet (planalzheimer.gouv.fr) sera ouvert à compter du lundi 12 novembre pour recueillir les "avis" du public, précise le texte. Cette concertation sera organisée par les ministres du travail, Xavier Bertrand, de l'enseignement supérieur et de la recherche Valérie Pécresse, de la santé, Roselyne Bachelot et de Valérie Letard, secrétaire d'Etat chargée de la solidarité.
"Le président de la République annoncera les principales orientations du plan Alzheimer avant la fin de l'année. Sa mise en oeuvre débutera le 1er janvier 2008", rappelle un communiqué de l'Elysée. Principale cause de dépendance des personnes âgées en France, la maladie d'Alzheimer touche 225 000 personnes nouvelles par an. Le nombre de malades pourrait passer à 1,3 million en 2020 et 2,1 millions en 2040, selon un rapport publié en 2005 par l'Office parlementaire d'évaluation des politiques de santé (Opeps).
Le plan, qui doit être mis en oeuvre le 1er janvier 2008, a été préparé depuis deux mois par huit groupes d'experts chargés de faire des propositions concernant la recherche, le diagnostic, la continuité de la prise en charge des malades, l'accompagnement des familles et le financement. Les grandes orientations en ont déjà été dévoilées par le président Sarkozy le 21 septembre, à l'occasion de la journée mondiale de la maladie d'Alzheimer.
LEMONDE.FR avec AFP | 08.11.07 | 09h10 • Mis à jour le 08.11.07 | 09h10
L e plan national de lutte contre la maladie d'Alzheimer qui doit être remis jeudi 8 novembre à Nicolas Sarkozy propose dix objectifs, 28 recommandations et 48 mesures, tant pour une prise en charge digne des malades que pour accélérer la recherche, selon Le Figaro et Les Echos.
La commission du Pr Joël Ménard doit remettre, à 17 h 30, ses propositions sur le "plan" contre Alzheimer à Nicolas Sarkozy, qui va lancer une concertation avec les professionnels sur la base de ces propositions. L'accent est d'abord mis sur la recherche, aujourd'hui "dispersée" et "gravement insuffisante", qui devra bénéficier "d'un effort sans précédent" piloté par une Fondation de coopération scientifique (FCS), rapporte Les Echos. Partenaires institutionnels (Inserm...) et privés travailleraient ensemble au sein de cette fondation dans le cadre d'un réseau national d'excellence.
Selon Le Figaro, la commission évalue à une cinquantaine de millions les besoins supplémentaires en recherche, soit un euro par Français. Côté soins, la commission retient l'idée d'un "forfait annuel" versé au médecin traitant - qui doit assurer le suivi des malades car lui "seul connaît la personne dans son environnement" - incluant "formation continue", "participation aux actions de coordination" avec d'autres professionnels de santé...
QUELQUE 600 000 PERSONNES AFFECTÉES EN FRANCE
Mais la commission reste muette sur les modes de financement de ces dispositions, évoquant simplement la "nécessité d'un choix clair de financement public et de politique publique". Un autre grand axe concerne l'amélioration de la prise en charge, à commencer par la mise en place d'un "dispositif d'annonce" de la maladie, à l'instar de ce qui est fait pour le cancer, selon Les Echos, qui précise que les "consultations mémoires" devront être "renforcées et généralisées sur tout le territoire".
Selon Le Figaro, la commission s'est aussi penchée sur l'accompagnement du parcours de soins du patient (et de sa famille), à qui il faut laisser le libre choix entre rester à la maison avec tous les aménagements indispensables ou opter pour un établissement spécialisé. Ce troisième plan en six ans, après ceux de Bernard Kouchner en 2001 et de Philippe Douste-Blazy en 2004, vise à contrer cette affection neurodégénérative qui touche environ 600 000 personnes en France (860 000 si l'on compte les syndromes apparentés).
Un site internet (planalzheimer.gouv.fr) sera ouvert à compter du lundi 12 novembre pour recueillir les "avis" du public, précise le texte. Cette concertation sera organisée par les ministres du travail, Xavier Bertrand, de l'enseignement supérieur et de la recherche Valérie Pécresse, de la santé, Roselyne Bachelot et de Valérie Letard, secrétaire d'Etat chargée de la solidarité.
"Le président de la République annoncera les principales orientations du plan Alzheimer avant la fin de l'année. Sa mise en oeuvre débutera le 1er janvier 2008", rappelle un communiqué de l'Elysée. Principale cause de dépendance des personnes âgées en France, la maladie d'Alzheimer touche 225 000 personnes nouvelles par an. Le nombre de malades pourrait passer à 1,3 million en 2020 et 2,1 millions en 2040, selon un rapport publié en 2005 par l'Office parlementaire d'évaluation des politiques de santé (Opeps).
Le plan, qui doit être mis en oeuvre le 1er janvier 2008, a été préparé depuis deux mois par huit groupes d'experts chargés de faire des propositions concernant la recherche, le diagnostic, la continuité de la prise en charge des malades, l'accompagnement des familles et le financement. Les grandes orientations en ont déjà été dévoilées par le président Sarkozy le 21 septembre, à l'occasion de la journée mondiale de la maladie d'Alzheimer.
Courage à tous et à toutes !
dernière ligne droite, on y croit tous ! No stress que de la motivation !!!
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Trois ptites nouvelles !
Chômage / Travail
Le chômage peut être défini comme l’inactivité d’une personne souhaitant travailler. Cette définition du chômage connaît de nombreuses variantes et son concept donne toujours lieu à des controverses théoriques et statistiques.
En France, il y avait 19,9 millions d'actifs occupés en 1960, 23,4 millions en 1980, et 26,7 millions en 2000, une augmentation absolue deux fois plus importante que celle du nombre de chômeurs (négligeable en 1960, 1,8 millions en 1980, 3 millions en 2000, 4 millions en 2007).
Un travail est une occupation rémunérée, synonyme d’emploi (« avoir un travail ») ; il est régi par un code « Le Code du Travail ».
Peine de mort
La peine de mort (ou peine capitale) est une sentence appliquée par le pouvoir judiciaire consistant à retirer légalement la vie à une personne ayant été reconnue coupable d'un crime tombant sous une qualification pénale passible de cette peine.
La peine de mort est un sujet qui depuis l'Antiquité partage les opinions sur son abolition ou son maintien. Bien que le débat soit ancien, les arguments ont peu changé avec le temps. Alors que les uns invoquent le droit à la vie, l'irréversibilité de la peine et l'importance du pardon, les autres appellent la protection de la société et la nécessité de l'exemple pour dissuader les crimes.
La peine de mort en France existe officieusement depuis le Moyen Âge et a été abolie en 1981 (ce qui n’est pas le cas patout). Le 16 mars 1981, en pleine campagne électorale pour les élections présidentielles, François Mitterrand déclare clairement qu'il est contre la peine de mort. Il est élu Président de la République le 10 mai.
Aujourd'hui bien que plusieurs responsables politiques français se déclarent en faveur de la peine de mort, son rétablissement ne serait pas possible sans rejeter plusieurs traités internationaux.
Les OGM
Un organisme génétiquement modifié ou OGM est « un organisme vivant dont le patrimoine génétique a été modifié par génie génétique, soit pour accentuer certaines de ses caractéristiques ou lui en donner de nouvelles considérées comme désirables, soit au contraire pour atténuer, voire éliminer certaines caractéristiques considérées comme indésirables »
Les OGM offrent selon leurs partisans d’importantes opportunités : économiques, écologiques, de développement humain.
En parallèle, les partisans de la lutte anti-OGM estiment que quelques OGM, ou tous, poseraient des risques sanitaires, financiers, économiques et environnementaux importants. Au nom du principe de précaution, ils demandent l’arrêt des cultures à des fins de commercialisation, voire l’arrêt des cultures en plein air à des fins de recherche.
Les OGM sont source de grandes divergences d’opinion ; les avantages apportés par les OGM s’opposent à des risques sanitaires potentiels et à des craintes sur une éventuelle atteinte à la biodiversité.
Par contre, je n'arrive pas à trouver le nombre d'acif en 2007 si quelqu'un l'avait ce serait sympa de me le dire
Chômage / Travail
Le chômage peut être défini comme l’inactivité d’une personne souhaitant travailler. Cette définition du chômage connaît de nombreuses variantes et son concept donne toujours lieu à des controverses théoriques et statistiques.
En France, il y avait 19,9 millions d'actifs occupés en 1960, 23,4 millions en 1980, et 26,7 millions en 2000, une augmentation absolue deux fois plus importante que celle du nombre de chômeurs (négligeable en 1960, 1,8 millions en 1980, 3 millions en 2000, 4 millions en 2007).
Un travail est une occupation rémunérée, synonyme d’emploi (« avoir un travail ») ; il est régi par un code « Le Code du Travail ».
Peine de mort
La peine de mort (ou peine capitale) est une sentence appliquée par le pouvoir judiciaire consistant à retirer légalement la vie à une personne ayant été reconnue coupable d'un crime tombant sous une qualification pénale passible de cette peine.
La peine de mort est un sujet qui depuis l'Antiquité partage les opinions sur son abolition ou son maintien. Bien que le débat soit ancien, les arguments ont peu changé avec le temps. Alors que les uns invoquent le droit à la vie, l'irréversibilité de la peine et l'importance du pardon, les autres appellent la protection de la société et la nécessité de l'exemple pour dissuader les crimes.
La peine de mort en France existe officieusement depuis le Moyen Âge et a été abolie en 1981 (ce qui n’est pas le cas patout). Le 16 mars 1981, en pleine campagne électorale pour les élections présidentielles, François Mitterrand déclare clairement qu'il est contre la peine de mort. Il est élu Président de la République le 10 mai.
Aujourd'hui bien que plusieurs responsables politiques français se déclarent en faveur de la peine de mort, son rétablissement ne serait pas possible sans rejeter plusieurs traités internationaux.
Les OGM
Un organisme génétiquement modifié ou OGM est « un organisme vivant dont le patrimoine génétique a été modifié par génie génétique, soit pour accentuer certaines de ses caractéristiques ou lui en donner de nouvelles considérées comme désirables, soit au contraire pour atténuer, voire éliminer certaines caractéristiques considérées comme indésirables »
Les OGM offrent selon leurs partisans d’importantes opportunités : économiques, écologiques, de développement humain.
En parallèle, les partisans de la lutte anti-OGM estiment que quelques OGM, ou tous, poseraient des risques sanitaires, financiers, économiques et environnementaux importants. Au nom du principe de précaution, ils demandent l’arrêt des cultures à des fins de commercialisation, voire l’arrêt des cultures en plein air à des fins de recherche.
Les OGM sont source de grandes divergences d’opinion ; les avantages apportés par les OGM s’opposent à des risques sanitaires potentiels et à des craintes sur une éventuelle atteinte à la biodiversité.
Par contre, je n'arrive pas à trouver le nombre d'acif en 2007 si quelqu'un l'avait ce serait sympa de me le dire

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Un nouveau traitement contre le cancer du foie inopérable
[7 novembre 2007 - 10:45]
La Commission européenne vient d’accorder son autorisation de mise sur le marché (AMM) au Nexavar (soranefib) dans le traitement du carcinome hépatocellulaire. C’est la forme la plus fréquente de cancer du foie, qui chaque année tue plus de 8 000 Français.
« C’est une avancée énorme pour au moins un tiers des patients diagnostiqués », souligne le Pr Jean-François Seitz, chef du service d’oncologie digestive à l’hôpital de la Timone, à Marseille. « Nous allons passer d’une aire où il n’y avait aucun traitement efficace à proposer, à celle d’un traitement médicamenteux simple (par voie orale) et efficace qui statistiquement allongera l’espérance de survie de 44%. »
Pour autant, tous les malades ne pourront en bénéficier. « Nous seront certainement confrontés à de faux espoirs », convient Jean-François Seitz. « Ce traitement sera indiqué chez des patients qui ont un carcinome hépatocellulaire et ne peuvent être traités par la chirurgie, la radiofréquence ou la transplantation hépatique. Ils devront par ailleurs présenter un fonctionnement hépatique et un état de santé général satisfaisants ».
Le soranefib est ce que l’on appelle une biothérapie. Il bloque à la fois la croissance des tumeurs, et l’angiogénèse qui lui est indispensable. Ce traitement est également reconnu pour son bon profil de tolérance. « Les effets secondaires gênants, de type diarrhées ou syndrome mains-pieds, touchent moins de 10% des patients » souligne le Pr Seitz. Rappelons que ce traitement a déjà reçu une AMM dans le traitement du cancer du rein avancé.
[7 novembre 2007 - 10:45]
La Commission européenne vient d’accorder son autorisation de mise sur le marché (AMM) au Nexavar (soranefib) dans le traitement du carcinome hépatocellulaire. C’est la forme la plus fréquente de cancer du foie, qui chaque année tue plus de 8 000 Français.
« C’est une avancée énorme pour au moins un tiers des patients diagnostiqués », souligne le Pr Jean-François Seitz, chef du service d’oncologie digestive à l’hôpital de la Timone, à Marseille. « Nous allons passer d’une aire où il n’y avait aucun traitement efficace à proposer, à celle d’un traitement médicamenteux simple (par voie orale) et efficace qui statistiquement allongera l’espérance de survie de 44%. »
Pour autant, tous les malades ne pourront en bénéficier. « Nous seront certainement confrontés à de faux espoirs », convient Jean-François Seitz. « Ce traitement sera indiqué chez des patients qui ont un carcinome hépatocellulaire et ne peuvent être traités par la chirurgie, la radiofréquence ou la transplantation hépatique. Ils devront par ailleurs présenter un fonctionnement hépatique et un état de santé général satisfaisants ».
Le soranefib est ce que l’on appelle une biothérapie. Il bloque à la fois la croissance des tumeurs, et l’angiogénèse qui lui est indispensable. Ce traitement est également reconnu pour son bon profil de tolérance. « Les effets secondaires gênants, de type diarrhées ou syndrome mains-pieds, touchent moins de 10% des patients » souligne le Pr Seitz. Rappelons que ce traitement a déjà reçu une AMM dans le traitement du cancer du rein avancé.
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Quand la pollution fait monter la pression…
[8 novembre 2007 - 10:13]
Selon un travail américain, la pollution atmosphérique augmenterait la tension artérielle des patients souffrant de troubles cardio-vasculaires. Chez des personnes présentant un trouble du rythme cardiaque notamment, les auteurs ont constaté une hausse tensionnelle, au repos mais aussi après un effort.
Cette étude a été menée à Boston, auprès de 62 patients dits « sensibles d’un point de vue cardiaque » âgés en moyenne de 61 ans. Les teneurs en particules fines (PM) émises par les moteurs diesel ont été obtenues à partir d’un analyseur automatique installé sur le toit d’un local à moins de 1 km de l’hôpital.
Il en ressort qu’une augmentation des teneurs moyennes en PM au cours des 45 à 120 heures précédant les tests était associée à une élévation de la tension artérielle. C’était également le cas d’autres polluants comme le dioxyde de soufre, l’ozone ou le carbone. « Ces données sont d’autant plus intéressantes que nous avons constaté cette hausse avec une variation très faible des teneurs en polluants », souligne l’équipe américaine.
[8 novembre 2007 - 10:13]
Selon un travail américain, la pollution atmosphérique augmenterait la tension artérielle des patients souffrant de troubles cardio-vasculaires. Chez des personnes présentant un trouble du rythme cardiaque notamment, les auteurs ont constaté une hausse tensionnelle, au repos mais aussi après un effort.
Cette étude a été menée à Boston, auprès de 62 patients dits « sensibles d’un point de vue cardiaque » âgés en moyenne de 61 ans. Les teneurs en particules fines (PM) émises par les moteurs diesel ont été obtenues à partir d’un analyseur automatique installé sur le toit d’un local à moins de 1 km de l’hôpital.
Il en ressort qu’une augmentation des teneurs moyennes en PM au cours des 45 à 120 heures précédant les tests était associée à une élévation de la tension artérielle. C’était également le cas d’autres polluants comme le dioxyde de soufre, l’ozone ou le carbone. « Ces données sont d’autant plus intéressantes que nous avons constaté cette hausse avec une variation très faible des teneurs en polluants », souligne l’équipe américaine.
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Les personnes âgées sont trop accros aux psychotropes
[8 novembre 2007 - 14:19]
La Haute Autorité de Santé (HAS) est inquiète. « La consommation de médicaments psychotropes (antidépresseurs, anxiolytiques, hypnotiques, neuroleptiques…) est excessive et tend à se banaliser » souligne-t-elle. Particulièrement chez les personnes de plus de 70 ans…
Et pour cause, plus d’une sur deux consomme de façon prolongée des anxiolytiques ou des hypnotiques. Ce sont des femmes pour la plupart, puisqu’elles en avaleraient deux fois plus que les hommes ! Dans un rapport au titre explicite - « Améliorer la prescription des psychotropes chez le sujet âgé » - la Haute autorité souligne « la sur-prescription et la consommation (trop) prolongée d’anxiolytiques et d’hypnotiques dans les troubles du sommeil et de l’anxiété, alors que les risques liés à ces médicaments sont supérieurs (à leurs) bénéfices ».
De la même façon, elle relève une « sur-prescription de neuroleptiques dans les troubles du comportement ». Enfin et peut-être paradoxalement, la prescription d’antidépresseurs serait « insuffisante » chez les personnes âgées réellement dépressives.
Au delà des constats, la HAS propose -en concertation avec de nombreux partenaires professionnels (Ordre des médecins, Ordre des pharmaciens, sociétés savantes…) et institutionnels (DGS, AFSSAPS, INVS, INPES…)- une série d’actions à conduire auprès des médecins… mais aussi des patients. A retenir pour ces derniers, le lancement à venir d’une campagne d’information centrée sur l’insomnie et les somnifères d’une part, et sur l’anxiété et les anxiolytiques d’autre part.
[8 novembre 2007 - 14:19]
La Haute Autorité de Santé (HAS) est inquiète. « La consommation de médicaments psychotropes (antidépresseurs, anxiolytiques, hypnotiques, neuroleptiques…) est excessive et tend à se banaliser » souligne-t-elle. Particulièrement chez les personnes de plus de 70 ans…
Et pour cause, plus d’une sur deux consomme de façon prolongée des anxiolytiques ou des hypnotiques. Ce sont des femmes pour la plupart, puisqu’elles en avaleraient deux fois plus que les hommes ! Dans un rapport au titre explicite - « Améliorer la prescription des psychotropes chez le sujet âgé » - la Haute autorité souligne « la sur-prescription et la consommation (trop) prolongée d’anxiolytiques et d’hypnotiques dans les troubles du sommeil et de l’anxiété, alors que les risques liés à ces médicaments sont supérieurs (à leurs) bénéfices ».
De la même façon, elle relève une « sur-prescription de neuroleptiques dans les troubles du comportement ». Enfin et peut-être paradoxalement, la prescription d’antidépresseurs serait « insuffisante » chez les personnes âgées réellement dépressives.
Au delà des constats, la HAS propose -en concertation avec de nombreux partenaires professionnels (Ordre des médecins, Ordre des pharmaciens, sociétés savantes…) et institutionnels (DGS, AFSSAPS, INVS, INPES…)- une série d’actions à conduire auprès des médecins… mais aussi des patients. A retenir pour ces derniers, le lancement à venir d’une campagne d’information centrée sur l’insomnie et les somnifères d’une part, et sur l’anxiété et les anxiolytiques d’autre part.
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
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