Culture Générale
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Re: La différence entre une bactérie et un virus
Guga a écrit :céline71 a écrit :aneso81 a écrit :Les procaryotes possèdent un noyau, mais à la difference ds cellules eucaryotes elles possèdent une paroi dlimitant la cellule.
la cellule procaryote ne possede pas de noyau!!!!!!!!!!!
Je confirme ici :
http://ead.univ-angers.fr/~jaspard/Page ... oEucar.htm
En mode reconversion totale PDT_028
Reçue en Juillet 2007 PDT_002 Après 1 an d'attente ma demande de financement a enfin été acceptée PDT_020 ESI Promo 2008-2011 PDT_039
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Gastro-entérite : c’est l’épidémie dans 13 régions françaises
[12 décembre 2007 - 09:59]
Près de 670 000 personnes ont consulté leur médecin généraliste pour une gastro-entérite, au cours des deux dernières semaines en France. D’après les médecins du réseau Sentinelles, « le pic épidémique devrait être atteint cette semaine ».
Au 9 décembre 2007, l’incidence nationale de la diarrhée aiguë a été de 495 cas pour 100 000 habitants, largement au-dessus du seuil épidémique fixé à 260 cas pour 100 000. Treize régions du pays ont dépassé ce seuil.
Avec 1 610 cas pour 100 000 habitants, c’est dans le Nord-Pas-de-Calais que l’activité épidémique est la plus forte. Les autres régions concernées sont la Corse (585 cas pour 100 000), Champagne-Ardennes (508), PACA (431), Bretagne (423), Lorraine (401), Franche-Comté (399), Poitou-Charentes (384), Centre (339), Languedoc-Roussillon (324), Alsace (311), Midi-Pyrénées (306), Aquitaine (305).
En revanche sur le front de la grippe, l’activité est qualifiée de « faible ». L’incidence nationale étant de 55 cas pour 100 000 habitants alors que le seuil épidémique est situé à 153 cas pour 100 000. « Les modèles mathématiques utilisés par le réseau Sentinelles ne prévoient pas de démarrage de l’épidémie dans les 3 semaines à venir ». Il est donc toujours temps de se faire vacciner.
[12 décembre 2007 - 09:59]
Près de 670 000 personnes ont consulté leur médecin généraliste pour une gastro-entérite, au cours des deux dernières semaines en France. D’après les médecins du réseau Sentinelles, « le pic épidémique devrait être atteint cette semaine ».
Au 9 décembre 2007, l’incidence nationale de la diarrhée aiguë a été de 495 cas pour 100 000 habitants, largement au-dessus du seuil épidémique fixé à 260 cas pour 100 000. Treize régions du pays ont dépassé ce seuil.
Avec 1 610 cas pour 100 000 habitants, c’est dans le Nord-Pas-de-Calais que l’activité épidémique est la plus forte. Les autres régions concernées sont la Corse (585 cas pour 100 000), Champagne-Ardennes (508), PACA (431), Bretagne (423), Lorraine (401), Franche-Comté (399), Poitou-Charentes (384), Centre (339), Languedoc-Roussillon (324), Alsace (311), Midi-Pyrénées (306), Aquitaine (305).
En revanche sur le front de la grippe, l’activité est qualifiée de « faible ». L’incidence nationale étant de 55 cas pour 100 000 habitants alors que le seuil épidémique est situé à 153 cas pour 100 000. « Les modèles mathématiques utilisés par le réseau Sentinelles ne prévoient pas de démarrage de l’épidémie dans les 3 semaines à venir ». Il est donc toujours temps de se faire vacciner.
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Scanner, IRM : une salle, plusieurs ambiances !
[12 décembre 2007 - 14:00]
A l’avenir, les patients qui devront subir une IRM ou un scanner pourront peut-être choisir l’ambiance lumineuse de la salle d’examen. Ce type de procédé vient d’être expérimenté dans 4 établissements allemands. A la plus grande satisfaction semble-t-il, des patients.
Du vert, du rouge, du jaune ou du bleu… Chacun des 192 sujets (119 dans le groupe « IRM », 73 dans la cohorte « scanner ») qui ont participé à cette étude, a pu choisir « sa » couleur. Au final, 7 sur 10 ont rapporté avoir été « moins angoissés » avant et pendant l’examen.
Plus détendu, le patient est moins oppressé durant son séjour dans le « tube » de l’appareil. Il est également censé moins bouger. Résultat, le risque d’interruption de l’examen est réduit, de même que le nombre de clichés rendus inexploitables par la nervosité du patient.
Mis au point par Philips, le dispositif AmbiScene est actuellement exploité à la clinique Saint-Georges de Nice et à l’Hôpital Robert Debré, à Paris. Son installation est en cours au Centre régional de lutte contre le cancer Léon Bérard à Lyon. « D’autres devraient rapidement suivre » promet le fabricant.
[12 décembre 2007 - 14:00]
A l’avenir, les patients qui devront subir une IRM ou un scanner pourront peut-être choisir l’ambiance lumineuse de la salle d’examen. Ce type de procédé vient d’être expérimenté dans 4 établissements allemands. A la plus grande satisfaction semble-t-il, des patients.
Du vert, du rouge, du jaune ou du bleu… Chacun des 192 sujets (119 dans le groupe « IRM », 73 dans la cohorte « scanner ») qui ont participé à cette étude, a pu choisir « sa » couleur. Au final, 7 sur 10 ont rapporté avoir été « moins angoissés » avant et pendant l’examen.
Plus détendu, le patient est moins oppressé durant son séjour dans le « tube » de l’appareil. Il est également censé moins bouger. Résultat, le risque d’interruption de l’examen est réduit, de même que le nombre de clichés rendus inexploitables par la nervosité du patient.
Mis au point par Philips, le dispositif AmbiScene est actuellement exploité à la clinique Saint-Georges de Nice et à l’Hôpital Robert Debré, à Paris. Son installation est en cours au Centre régional de lutte contre le cancer Léon Bérard à Lyon. « D’autres devraient rapidement suivre » promet le fabricant.
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TRANSPORT
Le Vélib' arrive en banlieue en 2008
NOUVELOBS.COM | 13.12.2007 | 10:13
4.500 vélos répartis sur 300 stations doivent être installés dès le second semestre 2008 dans trente villes limitrophes de la capitale.
(Reuters)
Le Vélib' sera bientôt disponible dans trente villes voisines de Paris, révèle jeudi 13 décembre le Parisien, qui publie la carte des futurs emplacements.
Dès le second semestre 2008, 4.500 vélos répartis sur 300 stations seront installés dans un rayon de 1,5km par rapport aux limites de la capitale, pour l'utilisation des habitants de la petite couronne. Les Parisiens sont aussi concernés, puisque 120.000 d'entre eux traversent chaque jour le périphérique pour aller travailler. Actuellement, 15% des utilisateurs sont des habitants de banlieue. Les conditions d'utilisation seront les mêmes que dans la capitale, soit 29€ pour un abonnement annuel.
Les villes concernées
Le projet doit être validé lundi 17 décembre par le Conseil de Paris. Lancé le 15 juillet 2007, le dispositif Vélib' compte aujourd'hui 10.600 vélos répartis sur 1.200 stations.
Les villes concernés sont Saint-Denis, Aubervilliers, Pantin, Le Pré-Saint-Gervais, Les Lilas, Bagnolet, Montreuil, Vincennes, Saint-Mandé, Fontenay-sous-Bois, Nogent-sur-Marne, Joinville-le-Pont, Saint-Maurice, Charenton-le-Pont, Ivry-sur-Seine, le Kremlin-Bicêtre, Gentilly, Arcueil, Montrouge, Malakoff, Vanves, Issy-les-Moulineaux, Boulogne-Billancourt, Saint-Cloud, Suresnes, Puteaux, Neuilly-sur-Seine, Levallois-Perret, Clichy-sur-Seine, et Saint-Ouen.
Le Vélib' arrive en banlieue en 2008
NOUVELOBS.COM | 13.12.2007 | 10:13
4.500 vélos répartis sur 300 stations doivent être installés dès le second semestre 2008 dans trente villes limitrophes de la capitale.
(Reuters)
Le Vélib' sera bientôt disponible dans trente villes voisines de Paris, révèle jeudi 13 décembre le Parisien, qui publie la carte des futurs emplacements.
Dès le second semestre 2008, 4.500 vélos répartis sur 300 stations seront installés dans un rayon de 1,5km par rapport aux limites de la capitale, pour l'utilisation des habitants de la petite couronne. Les Parisiens sont aussi concernés, puisque 120.000 d'entre eux traversent chaque jour le périphérique pour aller travailler. Actuellement, 15% des utilisateurs sont des habitants de banlieue. Les conditions d'utilisation seront les mêmes que dans la capitale, soit 29€ pour un abonnement annuel.
Les villes concernées
Le projet doit être validé lundi 17 décembre par le Conseil de Paris. Lancé le 15 juillet 2007, le dispositif Vélib' compte aujourd'hui 10.600 vélos répartis sur 1.200 stations.
Les villes concernés sont Saint-Denis, Aubervilliers, Pantin, Le Pré-Saint-Gervais, Les Lilas, Bagnolet, Montreuil, Vincennes, Saint-Mandé, Fontenay-sous-Bois, Nogent-sur-Marne, Joinville-le-Pont, Saint-Maurice, Charenton-le-Pont, Ivry-sur-Seine, le Kremlin-Bicêtre, Gentilly, Arcueil, Montrouge, Malakoff, Vanves, Issy-les-Moulineaux, Boulogne-Billancourt, Saint-Cloud, Suresnes, Puteaux, Neuilly-sur-Seine, Levallois-Perret, Clichy-sur-Seine, et Saint-Ouen.
Courage à tous et à toutes !
dernière ligne droite, on y croit tous ! No stress que de la motivation !!!
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Vitamine D : visez la bonne dose !
[13 décembre 2007 - 10:47]
Au cours du 20ème Congrès de Rhumatologie qui se tenait à Paris du 2 au 5 décembre, des spécialistes ont rappelé le rôle essentiel de la vitamine D dans la prise en charge de l’ostéoporose. Une maladie qui en France, concerne plus de 3 millions de femmes.
Caractérisée par une faible masse osseuse et une détérioration de la micro-architecture du tissus osseux, elle augmente naturellement le risque de fracture.
Selon le Pr Maurice Audran, Chef du service de Rhumatologie du CHU d’Angers, « 800 unités de vitamine D par jour (800UI/jour) sont nécessaires pour réduire le risque de chutes et 700 à 800 UI/jour pour diminuer celui de fracture. » De manière générale donc, un apport minimum quotidien de 800 UI/jour semble constituer la bonne dose pour améliorer tout à la fois :
la force musculaire ;
la fonction neuromusculaire ;
et même réduire le risque de fracture surtout lorsque cette vitamine D est associée à un traitement.
Or plusieurs études ont montré qu’en France, près de 60% des femmes ménopausées présentent une insuffisance en vitamine D, donc un terrain favorable à la perte de masse osseuse et aux fractures. Faute de vitamine D en effet, l’organisme ne peut optimiser l’absorption du calcium, indispensable à la solidité osseuse. Résultat, le risque de fracture augmente.
D’où l’intérêt de s’en remettre à une supplémentation en vitamine D. Soit sous forme de médicament, soit directement associé au traitement contre l’ostéoporose. Maurice Audran a d’ailleurs insisté sur l’importance de la prévention. « Elle passe notamment par les règles hygiéno-diététiques comme une activité physique régulière, qui chez la femme ménopausée ralentit la diminution de la masse osseuse. La lutte contre le tabagisme et l’alcoolisme font également partie de ces règles ».
[13 décembre 2007 - 10:47]
Au cours du 20ème Congrès de Rhumatologie qui se tenait à Paris du 2 au 5 décembre, des spécialistes ont rappelé le rôle essentiel de la vitamine D dans la prise en charge de l’ostéoporose. Une maladie qui en France, concerne plus de 3 millions de femmes.
Caractérisée par une faible masse osseuse et une détérioration de la micro-architecture du tissus osseux, elle augmente naturellement le risque de fracture.
Selon le Pr Maurice Audran, Chef du service de Rhumatologie du CHU d’Angers, « 800 unités de vitamine D par jour (800UI/jour) sont nécessaires pour réduire le risque de chutes et 700 à 800 UI/jour pour diminuer celui de fracture. » De manière générale donc, un apport minimum quotidien de 800 UI/jour semble constituer la bonne dose pour améliorer tout à la fois :
la force musculaire ;
la fonction neuromusculaire ;
et même réduire le risque de fracture surtout lorsque cette vitamine D est associée à un traitement.
Or plusieurs études ont montré qu’en France, près de 60% des femmes ménopausées présentent une insuffisance en vitamine D, donc un terrain favorable à la perte de masse osseuse et aux fractures. Faute de vitamine D en effet, l’organisme ne peut optimiser l’absorption du calcium, indispensable à la solidité osseuse. Résultat, le risque de fracture augmente.
D’où l’intérêt de s’en remettre à une supplémentation en vitamine D. Soit sous forme de médicament, soit directement associé au traitement contre l’ostéoporose. Maurice Audran a d’ailleurs insisté sur l’importance de la prévention. « Elle passe notamment par les règles hygiéno-diététiques comme une activité physique régulière, qui chez la femme ménopausée ralentit la diminution de la masse osseuse. La lutte contre le tabagisme et l’alcoolisme font également partie de ces règles ».
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L’assiette des Français est encore trop grasse…
[14 décembre 2007 - 11:22]
Consommation de fruits et légumes en hausse pour les adultes, stabilisation du surpoids et de l’obésité pour les enfants et baisse sensible des apports en sel. Telle est en résumé, la face positive des résultats de l’étude nationale nutrition santé (ENNS) 2006 de l’Institut de Veille sanitaire (InVS).
Celle-ci a été réalisée auprès de 3 115 adultes et 1 675 enfants, sur l’ensemble de l’année 2006. Son objectif était de fournir des données actualisées sur les consommations alimentaires, l’état nutritionnel et l’activité physique de la population. Parmi les principaux résultats, retenons que 43% des Français mangent 5 fruits et légumes par jour. Ce qui est bien. Mais encore un tiers des adultes et près de 60% des enfants consomment moins de 3,5 portions par jour. Quant aux apports en lipides, ils restent trop élevés chez 65% des adultes et 59% des enfants.
Bonne nouvelle en revanche, les Français mangeraient moins salé. Leurs apports s’élèvent à 8,5g pour les plus âgés et 6,9g pour les plus jeunes, contre une moyenne de 10g qui ressortait de différentes études réalisées entre 1994 et 1998. Il y a du mieux certes, mais rappelons que l’OMS préconise une consommation quotidienne de 5g… De son côté le Programme national nutrition santé (PNNS) s’était fixé dans un premier temps, un objectif de 8g !
Si l’épidémie de surpoids et d’obésité chez les enfants n’est toujours pas enrayée dans notre pays, elle semble marquer le pas. La prévalence du surpoids s’élève à 18% dans la tranche de 3 ans à 17 ans. Quant à celle de l’obésité, elle ne dépasse les 3,5%. Des chiffres comparables à ceux observés en 2000. Enfin, les deux-tiers de la population étudiée affirme pratiquer quotidiennement au moins 30 minutes d’activité physique. Tandis que 53% des adultes et 39% des enfants passent plus de 3 heures par jour devant un écran de télévision, un ordinateur ou des jeux vidéo.
[14 décembre 2007 - 11:22]
Consommation de fruits et légumes en hausse pour les adultes, stabilisation du surpoids et de l’obésité pour les enfants et baisse sensible des apports en sel. Telle est en résumé, la face positive des résultats de l’étude nationale nutrition santé (ENNS) 2006 de l’Institut de Veille sanitaire (InVS).
Celle-ci a été réalisée auprès de 3 115 adultes et 1 675 enfants, sur l’ensemble de l’année 2006. Son objectif était de fournir des données actualisées sur les consommations alimentaires, l’état nutritionnel et l’activité physique de la population. Parmi les principaux résultats, retenons que 43% des Français mangent 5 fruits et légumes par jour. Ce qui est bien. Mais encore un tiers des adultes et près de 60% des enfants consomment moins de 3,5 portions par jour. Quant aux apports en lipides, ils restent trop élevés chez 65% des adultes et 59% des enfants.
Bonne nouvelle en revanche, les Français mangeraient moins salé. Leurs apports s’élèvent à 8,5g pour les plus âgés et 6,9g pour les plus jeunes, contre une moyenne de 10g qui ressortait de différentes études réalisées entre 1994 et 1998. Il y a du mieux certes, mais rappelons que l’OMS préconise une consommation quotidienne de 5g… De son côté le Programme national nutrition santé (PNNS) s’était fixé dans un premier temps, un objectif de 8g !
Si l’épidémie de surpoids et d’obésité chez les enfants n’est toujours pas enrayée dans notre pays, elle semble marquer le pas. La prévalence du surpoids s’élève à 18% dans la tranche de 3 ans à 17 ans. Quant à celle de l’obésité, elle ne dépasse les 3,5%. Des chiffres comparables à ceux observés en 2000. Enfin, les deux-tiers de la population étudiée affirme pratiquer quotidiennement au moins 30 minutes d’activité physique. Tandis que 53% des adultes et 39% des enfants passent plus de 3 heures par jour devant un écran de télévision, un ordinateur ou des jeux vidéo.
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Vous voulez cesser de fumer ? Faites-vous surveiller par vos copains !
[14 décembre 2007 - 13:05]
L’entrée en vigueur de l’interdiction de fumer dans tous les lieux publics au 1er janvier prochain, libère les initiatives anti-tabac. Un nouveau site internet propose ainsi un moyen d’arrêter de fumer pour le moins original : se faire surveiller par ses amis ! Explications.
C’est connu, l’arrêt du tabac demande à la fois motivation… et patience. Rien de tel donc qu’un challenge pour relever le gant et partant, prouver à son entourage que l’on peut « décrocher ». C’est justement l’idée qu’ont eue deux jeunes Français.
Le principe de www.stobacco.com est simple : une fois inscrit (gratuitement), il suffit de choisir la date à laquelle vous voulez arrêter de fumer. Puis d’inviter vos proches à participer en inscrivant leurs adresses électroniques. Une fois le challenge lancé, vous avez 6 mois pour prouver votre détermination à quitter le monde enfumé de la cigarette. Et au moindre écart, vos amis ou parents embarqués dans l’aventure devront en témoigner sur le site !
Au bout de trois faux pas, votre challenge est perdu. Vous n’avez plus qu’à recommencer. Enfin pour les incorrigibles, ils pourront soutenir leur motivation en suivant en temps réel le nombre de cigarettes non fumées… et l’argent économisé !
[14 décembre 2007 - 13:05]
L’entrée en vigueur de l’interdiction de fumer dans tous les lieux publics au 1er janvier prochain, libère les initiatives anti-tabac. Un nouveau site internet propose ainsi un moyen d’arrêter de fumer pour le moins original : se faire surveiller par ses amis ! Explications.
C’est connu, l’arrêt du tabac demande à la fois motivation… et patience. Rien de tel donc qu’un challenge pour relever le gant et partant, prouver à son entourage que l’on peut « décrocher ». C’est justement l’idée qu’ont eue deux jeunes Français.
Le principe de www.stobacco.com est simple : une fois inscrit (gratuitement), il suffit de choisir la date à laquelle vous voulez arrêter de fumer. Puis d’inviter vos proches à participer en inscrivant leurs adresses électroniques. Une fois le challenge lancé, vous avez 6 mois pour prouver votre détermination à quitter le monde enfumé de la cigarette. Et au moindre écart, vos amis ou parents embarqués dans l’aventure devront en témoigner sur le site !
Au bout de trois faux pas, votre challenge est perdu. Vous n’avez plus qu’à recommencer. Enfin pour les incorrigibles, ils pourront soutenir leur motivation en suivant en temps réel le nombre de cigarettes non fumées… et l’argent économisé !
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Après un cancer du sein, l’appel du sexe revient… mais lentement
[14 décembre 2007 - 14:09]
Comment vivre pleinement sa sexualité après avoir gagné le combat contre un cancer du sein ? Si dans le passé cette question pouvait paraître secondaire tant la lutte pour la survie occupait les esprits, elle prend aujourd’hui tout son sens. Plus de 400 000 Françaises sont en effet concernées !
« La plupart des études montrent que plus de 50% des femmes mastectomisées –celles qui ont subi une ablation du sein n.d.l.r.- ont des troubles de la sexualité dans l’année suivant l’intervention » rappelle le Dr Sylvain Mimoun, gynécologue et psychiatre à l’hôpital Cochin de Paris. Et pour cause. « Presque toutes les patientes ont plus de mal qu’auparavant à parvenir à l’orgasme ».
Une situation pas vraiment surprenante, compte-tenu de la lourdeur de l’intervention chirurgicale et du suivi médical consécutif à l’ablation d’un sein. Un organe investi d’une symbolique forte en termes de féminité et de sexualité. D’ailleurs, « après l’ablation d’un seul sein, une femme sur deux ne ressent plus de sensations érotiques au niveau des deux seins ». Dans ce contexte, il n’est donc pas étonnant que le désir sexuel s’amenuise.
C’est sûr, le conjoint peut faire la différence. « Il est l’accompagnant privilégié de sa femme » poursuit Sylvain Mimoun. « C’est lui qui peut la soutenir dans le désarroi, et la rassurer par sa présence ». Progressivement, les gestes de tendresse ouvrent la porte aux caresses à caractère sexuel. Et durant cette transition difficile, la patience reste le maître-mot. « L’adaptation à la nouvelle situation dure en moyenne, plus d’un an. Mais en général quand on retrouve un intérêt sexuel, c’est l’amorce d’une réintégration corporelle ». Avec à la clé, la sortie de « l’état maladie » et une reprise de confiance.
[14 décembre 2007 - 14:09]
Comment vivre pleinement sa sexualité après avoir gagné le combat contre un cancer du sein ? Si dans le passé cette question pouvait paraître secondaire tant la lutte pour la survie occupait les esprits, elle prend aujourd’hui tout son sens. Plus de 400 000 Françaises sont en effet concernées !
« La plupart des études montrent que plus de 50% des femmes mastectomisées –celles qui ont subi une ablation du sein n.d.l.r.- ont des troubles de la sexualité dans l’année suivant l’intervention » rappelle le Dr Sylvain Mimoun, gynécologue et psychiatre à l’hôpital Cochin de Paris. Et pour cause. « Presque toutes les patientes ont plus de mal qu’auparavant à parvenir à l’orgasme ».
Une situation pas vraiment surprenante, compte-tenu de la lourdeur de l’intervention chirurgicale et du suivi médical consécutif à l’ablation d’un sein. Un organe investi d’une symbolique forte en termes de féminité et de sexualité. D’ailleurs, « après l’ablation d’un seul sein, une femme sur deux ne ressent plus de sensations érotiques au niveau des deux seins ». Dans ce contexte, il n’est donc pas étonnant que le désir sexuel s’amenuise.
C’est sûr, le conjoint peut faire la différence. « Il est l’accompagnant privilégié de sa femme » poursuit Sylvain Mimoun. « C’est lui qui peut la soutenir dans le désarroi, et la rassurer par sa présence ». Progressivement, les gestes de tendresse ouvrent la porte aux caresses à caractère sexuel. Et durant cette transition difficile, la patience reste le maître-mot. « L’adaptation à la nouvelle situation dure en moyenne, plus d’un an. Mais en général quand on retrouve un intérêt sexuel, c’est l’amorce d’une réintégration corporelle ». Avec à la clé, la sortie de « l’état maladie » et une reprise de confiance.
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La preuve par… Actimel
[18 décembre 2007 - 07:40]
Selon un travail mené au Royaume-Uni, la consommation d’Actimel à raison de deux fois par jour a permis de réduire le risque de diarrhées chez des patients traités par antibiothérapie. Or ces dernières constituent un effet secondaire majeur – et parfois grave - de l’antibiotique.
Le Pr Christopher Bulpitt du Hammersmith Hospital de Londres, a pris en compte 135 patients de plus de 50 ans, hospitalisés et traités par antibiothérapie. Une partie a consommé quotidiennement deux flacons, au déjeuner puis au dîner. Les autres patients pour leur part, ont reçu le même volume d’une boisson placebo. Et conformément aux règles de bonne pratique en matière de recherche clinique, les deux groupes ont été randomisés en double aveugle.
Et les résultats sont parlants. Les épisodes de diarrhées ont été réduits de 22% chez les sujets du premier groupe, alors que ces dernières compliquent fréquemment la prise d’antibiotiques. « L’infection à Clostridium difficile, cause la plus fréquente de diarrhées nosocomiales, peut entraîner des symptômes sévères voire une issue fatale », souligne ainsi Chris Bulpitt.
Or au cours de son travail, l’auteur n’a observé aucun cas de diarrhées à C. difficile dans le groupe traité, contre 56 dans le groupe placebo. Selon lui, les effets positifs du traitement adjuvant par Actimel « peuvent tout à fait être spécifiques à la souche probiotique L.casei Defensis et non extrapolables à d’autres produits ».
De nombreuses études ont démontré les bénéfices des probiotiques dans la prévention des diarrhées. Ces micro-organismes vivants, sont utiles au développement et à la croissance de certaines bactéries, par exemple de la flore intestinale. Cette dernière, véritable barrière protectrice qui s’oppose à l’implantation de germes nuisibles à l’organisme, est souvent mise à mal par les antibiotiques.
[18 décembre 2007 - 07:40]
Selon un travail mené au Royaume-Uni, la consommation d’Actimel à raison de deux fois par jour a permis de réduire le risque de diarrhées chez des patients traités par antibiothérapie. Or ces dernières constituent un effet secondaire majeur – et parfois grave - de l’antibiotique.
Le Pr Christopher Bulpitt du Hammersmith Hospital de Londres, a pris en compte 135 patients de plus de 50 ans, hospitalisés et traités par antibiothérapie. Une partie a consommé quotidiennement deux flacons, au déjeuner puis au dîner. Les autres patients pour leur part, ont reçu le même volume d’une boisson placebo. Et conformément aux règles de bonne pratique en matière de recherche clinique, les deux groupes ont été randomisés en double aveugle.
Et les résultats sont parlants. Les épisodes de diarrhées ont été réduits de 22% chez les sujets du premier groupe, alors que ces dernières compliquent fréquemment la prise d’antibiotiques. « L’infection à Clostridium difficile, cause la plus fréquente de diarrhées nosocomiales, peut entraîner des symptômes sévères voire une issue fatale », souligne ainsi Chris Bulpitt.
Or au cours de son travail, l’auteur n’a observé aucun cas de diarrhées à C. difficile dans le groupe traité, contre 56 dans le groupe placebo. Selon lui, les effets positifs du traitement adjuvant par Actimel « peuvent tout à fait être spécifiques à la souche probiotique L.casei Defensis et non extrapolables à d’autres produits ».
De nombreuses études ont démontré les bénéfices des probiotiques dans la prévention des diarrhées. Ces micro-organismes vivants, sont utiles au développement et à la croissance de certaines bactéries, par exemple de la flore intestinale. Cette dernière, véritable barrière protectrice qui s’oppose à l’implantation de germes nuisibles à l’organisme, est souvent mise à mal par les antibiotiques.
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La bataille de notre organisme contre le froid !
[18 décembre 2007 - 14:22]
Si vous êtes bien couvert et en bonne santé, votre organisme dispose en théorie de toutes les armes pour lutter contre le froid et éviter l’hypothermie. Quels sont les mécanismes en jeu ? Comment notre corps répond-il au froid ? Pourquoi est-il important de mettre un bonnet en hiver ?
Notre centrale thermique est au fin fond du cerveau. C’est le thalamus. Il a pour fonction notamment, de maintenir la température de nos organes vitaux - cœur, reins, foie… - aux alentours de 37°C.
En période de grands froids et pour maintenir cette température de 37°C, le thalamus provoque une diminution de l’afflux de sang vers la périphérie du corps. C’est-à-dire vers la peau. Une action qui entraîne une perte de sensations et un engourdissement aux extrémités : mains, pieds, nez, lobes d’oreilles.
Seulement voilà, ce mécanisme n’existe pas au niveau de la tête. Et pour cause, puisqu’il risquerait de réduire l’apport de sang au cerveau, ce qui lui serait gravement préjudiciable ! Pour le protéger, notre organisme accepte donc que la tête soit une source importante de déperditions caloriques. Voilà pourquoi pour la limiter, il est particulièrement recommandé de porter un bonnet ou tout autre couvre-chef, en période de froid intense.
Lorsque la température du corps s’abaisse malgré tout, un mécanisme de protection prend le relais : la contraction involontaire des muscles. Elle vise à produire de la chaleur, et se traduit par le frisson puis le grelottement. A ce stade, il est impératif de se réchauffer grâce à un environnement plus chaud ou en bougeant ! Brrr…
[18 décembre 2007 - 14:22]
Si vous êtes bien couvert et en bonne santé, votre organisme dispose en théorie de toutes les armes pour lutter contre le froid et éviter l’hypothermie. Quels sont les mécanismes en jeu ? Comment notre corps répond-il au froid ? Pourquoi est-il important de mettre un bonnet en hiver ?
Notre centrale thermique est au fin fond du cerveau. C’est le thalamus. Il a pour fonction notamment, de maintenir la température de nos organes vitaux - cœur, reins, foie… - aux alentours de 37°C.
En période de grands froids et pour maintenir cette température de 37°C, le thalamus provoque une diminution de l’afflux de sang vers la périphérie du corps. C’est-à-dire vers la peau. Une action qui entraîne une perte de sensations et un engourdissement aux extrémités : mains, pieds, nez, lobes d’oreilles.
Seulement voilà, ce mécanisme n’existe pas au niveau de la tête. Et pour cause, puisqu’il risquerait de réduire l’apport de sang au cerveau, ce qui lui serait gravement préjudiciable ! Pour le protéger, notre organisme accepte donc que la tête soit une source importante de déperditions caloriques. Voilà pourquoi pour la limiter, il est particulièrement recommandé de porter un bonnet ou tout autre couvre-chef, en période de froid intense.
Lorsque la température du corps s’abaisse malgré tout, un mécanisme de protection prend le relais : la contraction involontaire des muscles. Elle vise à produire de la chaleur, et se traduit par le frisson puis le grelottement. A ce stade, il est impératif de se réchauffer grâce à un environnement plus chaud ou en bougeant ! Brrr…
Puéricultrice
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- aneso81
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Près d’un million de gastro-entérites en 4 semaines
[18 décembre 2007 - 17:46]
Sur le front de la gastro-entérite, c’est le « début de la décrue épidémique » annoncent officiellement les médecins du réseau Sentinelles. Une décrue toute relative, puisque l’incidence nationale de la diarrhée aiguë est de 405 cas pour 100 000 habitants, toujours très au-dessus du seuil épidémique fixé à 268 cas pour 100 000. Quelque 950 000 Français ont consulté leur médecin généraliste au cours des 4 semaines d’épidémie.
Au 16 décembre 2007, onze régions étaient encore en épidémie : Nord-Pas-de-Calais (762 cas pour 100 000), Lorraine (513), Corse (461), Haute-Normandie (420), Rhône-Alpes (418), Languedoc-Roussillon (400), Limousin (376), PACA (349), Basse-Normandie (328), Alsace (279) et Picardie (273).
« Le début de décrue épidémique enregistré cette semaine devrait se confirmer lors des semaines à venir » précisent les médecins Sentinelles. Quant à la grippe saisonnière, elle traîne les pieds. Les modèles mathématiques ne prévoient pas de démarrage de l’épidémie dans les 3 semaines à venir. Il est donc toujours temps de se faire vacciner.
[18 décembre 2007 - 17:46]
Sur le front de la gastro-entérite, c’est le « début de la décrue épidémique » annoncent officiellement les médecins du réseau Sentinelles. Une décrue toute relative, puisque l’incidence nationale de la diarrhée aiguë est de 405 cas pour 100 000 habitants, toujours très au-dessus du seuil épidémique fixé à 268 cas pour 100 000. Quelque 950 000 Français ont consulté leur médecin généraliste au cours des 4 semaines d’épidémie.
Au 16 décembre 2007, onze régions étaient encore en épidémie : Nord-Pas-de-Calais (762 cas pour 100 000), Lorraine (513), Corse (461), Haute-Normandie (420), Rhône-Alpes (418), Languedoc-Roussillon (400), Limousin (376), PACA (349), Basse-Normandie (328), Alsace (279) et Picardie (273).
« Le début de décrue épidémique enregistré cette semaine devrait se confirmer lors des semaines à venir » précisent les médecins Sentinelles. Quant à la grippe saisonnière, elle traîne les pieds. Les modèles mathématiques ne prévoient pas de démarrage de l’épidémie dans les 3 semaines à venir. Il est donc toujours temps de se faire vacciner.
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A l'examen de CG : faire un plan?
Bonjour à tous,
je fais appel à vos souvenir d'examens.
Lors de l'écrit de culture G, avez vous systématiquement fait un plan pour vos explications de texte?
Quels conseils me donneriez vous? J'ai fait un concours blanc en situation, et en 2 heures, je n'ai eu le temps de traiter que 4 sujets sur 5....comment faire pour gagner du temps sachant que je ne rédige évidemment pas mon développement au brouillon.
Merci de vos conseils
Vanesa67
je fais appel à vos souvenir d'examens.
Lors de l'écrit de culture G, avez vous systématiquement fait un plan pour vos explications de texte?
Quels conseils me donneriez vous? J'ai fait un concours blanc en situation, et en 2 heures, je n'ai eu le temps de traiter que 4 sujets sur 5....comment faire pour gagner du temps sachant que je ne rédige évidemment pas mon développement au brouillon.
Merci de vos conseils

Vanesa67
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Ce sont des réponses courtes, par exemple
http://www.infirmiers.com/concours-ifsi ... nerale.php
Pour en savoir plus, il y a tous les sujets qui concernent la culture générale dans la FAQ
http://www.infirmiers.com/frm/ftopic27787.php
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