Culture Générale
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CONTRACEPTION
Il y a 40 ans, la pilule était légalisée
NOUVELOBS.COM | 20.12.2007 | 11:58
1 réaction
Le 19 décembre 1967, la proposition de loi de Lucien Neuwirth pour libéraliser la contraception était définitivement votée.
La pilule (Sipa)
Le 19 décembre 1967, la proposition de loi de Lucien Neuwirth, libéralisant la contraception, était votée, puis adoptée le 28 décembre. Quarante ans après la loi Neuwirth, la fécondité est nettement mieux contrôlée en France, avec huit naissances sur dix "planifiées", mais concernant les grossesses, qui ne vont pas toutes à leur terme, une sur trois reste "imprévue". Depuis 1967, le taux d'utilisation de la pilule chez les femmes de 20 à 44 ans n'a cessé d'augmenter, passant de 5% en 1970 à 37% en 1978, pour atteindre 60% aujourd'hui, relève l'étude de l'Institut national d'études démographiques (Ined) publiée mardi. Cette libéralisation de la contraception a permis une meilleure "maîtrise de la fécondité", note l'Ined. A la fin des années 60, 15% des grossesses ayant donné lieu à une naissance étaient ainsi "mal planifiées", c'est-à-dire souhaitées par les parents mais pour "plus tard", 15% survenaient alors que la femme "n'y pensait pas" et 11% étaient "non désirées".
Trente ans plus tard, dans les années 90, "ces proportions n'étaient plus respectivement que de 7%, 9% et 2%", indique l'Institut. Dans le même temps, le taux des naissances "bien programmées", souhaitées "à ce moment-là", est passé de 59% en 1970 à 83% en 1995.
"Taux d’échec" entre "5 et 6%"
Il reste cependant 15 à 20% de naissances "mal planifiées, ou non désirées (...) aucune méthode contraceptive n'étant totalement fiable", remarque l'Ined, évaluant le "taux d'échec" de la pilule ou du stérilet entre "5 et 6%".
L'évaluation du degré de maîtrise de la fécondité doit également tenir compte des avortements. La France a ainsi enregistré environ 210.000 interruptions volontaires de grossesse en 2004. Si on les ajoute au nombre de naissances non désirées, "la part des grossesses ‘non désirées’ atteint un quart (24%)", selon l'Ined.
Enfin, si on additionne ces grossesses "non désirées" et les naissances "mal planifiées" ou survenues alors que la femme "n'y pensait pas", on estime à un tiers (36%) la part des grossesses "non prévues".
"Programmer" la naissance
Le développement de la contraception a également permis aux futurs parents de "programmer" la naissance de leur enfant. Ils peuvent notamment se fixer des conditions, en particulier d'ordre matériel: "90% des femmes et 84% des hommes considèrent qu'il est 'très important' que l'un des deux au moins ait un travail stable", avant d'avoir leur enfant.
"Les couples ont aussi plus d'exigences quant au moment précis où doit survenir la naissance", remarque l'Ined. Les enfants très rapprochés sont en particulier devenus rares. En 1965, près d'une seconde naissance sur cinq survenait dans l'année civile qui suivait la première naissance, contre 6% dans les années 90. "L'espacement idéal", selon l'Ined, entre les deux premiers enfants serait ainsi de 3 ans.
Une préférence pour le printemps
Par ailleurs, si la plupart des personnes attendant ou cherchant à avoir un enfant disent avoir cessé leur contraception parce qu'elles se sentaient "prêtes", "un couple sur cinq a choisi le mois d'arrêt par anticipation de la période d'accouchement, afin que l'enfant naisse à une période précise de l'année", révèle l'Ined.
"Les préférences se portent principalement sur le printemps, saison considérée comme la plus agréable pour avoir un enfant", poursuit-il.
L'Ined rappelle toutefois que la conception reste "un évènement aléatoire", le délai entre l'arrêt de la contraception et le début de la grossesse pouvant varier de un à douze mois.
Il y a 40 ans, la pilule était légalisée
NOUVELOBS.COM | 20.12.2007 | 11:58
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Le 19 décembre 1967, la proposition de loi de Lucien Neuwirth pour libéraliser la contraception était définitivement votée.
La pilule (Sipa)
Le 19 décembre 1967, la proposition de loi de Lucien Neuwirth, libéralisant la contraception, était votée, puis adoptée le 28 décembre. Quarante ans après la loi Neuwirth, la fécondité est nettement mieux contrôlée en France, avec huit naissances sur dix "planifiées", mais concernant les grossesses, qui ne vont pas toutes à leur terme, une sur trois reste "imprévue". Depuis 1967, le taux d'utilisation de la pilule chez les femmes de 20 à 44 ans n'a cessé d'augmenter, passant de 5% en 1970 à 37% en 1978, pour atteindre 60% aujourd'hui, relève l'étude de l'Institut national d'études démographiques (Ined) publiée mardi. Cette libéralisation de la contraception a permis une meilleure "maîtrise de la fécondité", note l'Ined. A la fin des années 60, 15% des grossesses ayant donné lieu à une naissance étaient ainsi "mal planifiées", c'est-à-dire souhaitées par les parents mais pour "plus tard", 15% survenaient alors que la femme "n'y pensait pas" et 11% étaient "non désirées".
Trente ans plus tard, dans les années 90, "ces proportions n'étaient plus respectivement que de 7%, 9% et 2%", indique l'Institut. Dans le même temps, le taux des naissances "bien programmées", souhaitées "à ce moment-là", est passé de 59% en 1970 à 83% en 1995.
"Taux d’échec" entre "5 et 6%"
Il reste cependant 15 à 20% de naissances "mal planifiées, ou non désirées (...) aucune méthode contraceptive n'étant totalement fiable", remarque l'Ined, évaluant le "taux d'échec" de la pilule ou du stérilet entre "5 et 6%".
L'évaluation du degré de maîtrise de la fécondité doit également tenir compte des avortements. La France a ainsi enregistré environ 210.000 interruptions volontaires de grossesse en 2004. Si on les ajoute au nombre de naissances non désirées, "la part des grossesses ‘non désirées’ atteint un quart (24%)", selon l'Ined.
Enfin, si on additionne ces grossesses "non désirées" et les naissances "mal planifiées" ou survenues alors que la femme "n'y pensait pas", on estime à un tiers (36%) la part des grossesses "non prévues".
"Programmer" la naissance
Le développement de la contraception a également permis aux futurs parents de "programmer" la naissance de leur enfant. Ils peuvent notamment se fixer des conditions, en particulier d'ordre matériel: "90% des femmes et 84% des hommes considèrent qu'il est 'très important' que l'un des deux au moins ait un travail stable", avant d'avoir leur enfant.
"Les couples ont aussi plus d'exigences quant au moment précis où doit survenir la naissance", remarque l'Ined. Les enfants très rapprochés sont en particulier devenus rares. En 1965, près d'une seconde naissance sur cinq survenait dans l'année civile qui suivait la première naissance, contre 6% dans les années 90. "L'espacement idéal", selon l'Ined, entre les deux premiers enfants serait ainsi de 3 ans.
Une préférence pour le printemps
Par ailleurs, si la plupart des personnes attendant ou cherchant à avoir un enfant disent avoir cessé leur contraception parce qu'elles se sentaient "prêtes", "un couple sur cinq a choisi le mois d'arrêt par anticipation de la période d'accouchement, afin que l'enfant naisse à une période précise de l'année", révèle l'Ined.
"Les préférences se portent principalement sur le printemps, saison considérée comme la plus agréable pour avoir un enfant", poursuit-il.
L'Ined rappelle toutefois que la conception reste "un évènement aléatoire", le délai entre l'arrêt de la contraception et le début de la grossesse pouvant varier de un à douze mois.
Courage à tous et à toutes !
dernière ligne droite, on y croit tous ! No stress que de la motivation !!!
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ETUDE
Le thé vert freine l'avancée du cancer de la prostate
NOUVELOBS.COM | 19.12.2007 | 17:05
Des chercheurs japonais ont mis en évidence une substance appelée catéchine, qui peut abaisser le niveau de testostérone, facteur de risque dans le développement de la maladie.
Un service d'urologie en Allemagne (AP)
La consommation quotidienne de cinq ou six tasses de thé vert peut freiner le développement du cancer de la prostate, selon une étude japonaise publiée mercredi 19 décembre.
Une équipe de chercheurs du ministère de la Santé a observé les habitudes alimentaires de 49.920 hommes âgés de 40 à 69 ans, entre 1990 et 1993, et a ensuite suivi l'évolution de leur état de santé jusqu'en 2004, a précisé le Centre national du cancer.
Pendant cette période, 404 hommes ont été diagnostiqués avec un cancer de la prostate, dont 114 à un état avancé, 271 avec un cancer localisé et 19 à un état indéterminé.
Une analyse a démontré que les risques de développer un cancer de la prostate à un état avancé était 50% inférieurs pour les hommes qui consomment au moins 5 tasses de thé vert, par rapport à ceux buvant moins d'une tasse par jour.
Un cancer rare en Asie
"Le thé vert n'a pas eu d'effet sur les cancers de la prostate localisés", a relevé l'étude, mais "le thé vert peut avoir un effet réducteur des risques d'un cancer de la prostate à un état avancé".
L'équipe de chercheurs a mis en évidence une substance appelée catéchine dans le thé vert qui peut contribuer à réduire les risques en abaissant le niveau de testostérone, une hormone masculine considérée comme un facteur de risque dans le cancer de la prostate.
Constatant que ce type de cancer était beaucoup plus rare en Asie comparé aux populations occidentales, les chercheurs ont supposé que la grande consommation de thé vert pouvait avoir un lien.
Les résultats de l'étude ont été publiés sur la version internet du Journal américain d'épidémiologie.
Le thé vert freine l'avancée du cancer de la prostate
NOUVELOBS.COM | 19.12.2007 | 17:05
Des chercheurs japonais ont mis en évidence une substance appelée catéchine, qui peut abaisser le niveau de testostérone, facteur de risque dans le développement de la maladie.
Un service d'urologie en Allemagne (AP)
La consommation quotidienne de cinq ou six tasses de thé vert peut freiner le développement du cancer de la prostate, selon une étude japonaise publiée mercredi 19 décembre.
Une équipe de chercheurs du ministère de la Santé a observé les habitudes alimentaires de 49.920 hommes âgés de 40 à 69 ans, entre 1990 et 1993, et a ensuite suivi l'évolution de leur état de santé jusqu'en 2004, a précisé le Centre national du cancer.
Pendant cette période, 404 hommes ont été diagnostiqués avec un cancer de la prostate, dont 114 à un état avancé, 271 avec un cancer localisé et 19 à un état indéterminé.
Une analyse a démontré que les risques de développer un cancer de la prostate à un état avancé était 50% inférieurs pour les hommes qui consomment au moins 5 tasses de thé vert, par rapport à ceux buvant moins d'une tasse par jour.
Un cancer rare en Asie
"Le thé vert n'a pas eu d'effet sur les cancers de la prostate localisés", a relevé l'étude, mais "le thé vert peut avoir un effet réducteur des risques d'un cancer de la prostate à un état avancé".
L'équipe de chercheurs a mis en évidence une substance appelée catéchine dans le thé vert qui peut contribuer à réduire les risques en abaissant le niveau de testostérone, une hormone masculine considérée comme un facteur de risque dans le cancer de la prostate.
Constatant que ce type de cancer était beaucoup plus rare en Asie comparé aux populations occidentales, les chercheurs ont supposé que la grande consommation de thé vert pouvait avoir un lien.
Les résultats de l'étude ont été publiés sur la version internet du Journal américain d'épidémiologie.
Courage à tous et à toutes !
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oui bien lire les consignes, ne pas faire un brouillon trop complet, ecrit simplement les idées que le texte te donne, les grandes lignes! Pour ma part j'avais présenté ca sous forme de mini-dissert' : petite intro de 2 lignes, un développement qui reste neutre, et une conclusion qui propose une ouverture... Plus facil à dire qu'à faire malgré tout...
courage!

M., 20 ans,
Dernière ligne droite, actuellement en stage prépro en Pédiatrie: mon rêve!
- aneso81
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Gastro, diarrhées… choisissez la douceur et la prudence
[20 décembre 2007 - 07:50]
Mauvaise nouvelle pour le petit million de personnes actuellement touchées par l’épidémie de gastro-entérite en France ! En dehors de la réhydratation, les traitements ne sont pas légion. Ils visent principalement à soulager les symptômes et à « tarir la source » des diarrhées. Et il existe aussi, une option « homéopathie ».
Diaralia® par exemple, est un médicament homéopathique indiqué dans le « traitement de courte durée des diarrhées aiguës passagères chez l’adulte et l’enfant à partir de six ans ». Cette restriction d’usage est "liée à la forme pharmaceutique en comprimés, et au risque de fausse route », précise le fabricant. Ce médicament associe du quinquina rouge et de la podophylle. Il agit simultanément sur les ballonnements, les gargouillis et les troubles dus aux pertes liquidiennes, ainsi que sur les « urgences » intestinales...
En dehors de l’homéopathie, des traitements antispasmodiques peuvent être utilisés pour calmer les douleurs abdominales en attendant des jours meilleurs… L’inconvénient de ces produits est qu’ils entraînent assez fréquemment des effets secondaires potentiellement sérieux.
En tout état de cause, n’oubliez pas que pour compenser les pertes en eau et en sels minéraux, il convient surtout de s’hydrater régulièrement et par petites quantités. Disponibles en pharmacie, des sels de réhydratation orale (SRO) sont fortement recommandés aux nourrissons et aux enfants de moins de 5 ans. Une dernière chose : pensez prévention et lavez-vous régulièrement les mains à l’eau et au savon. Cette action constitue en effet la meilleure arme face aux virus. Et si les symptômes persistent, s’aggravent ou s’accompagnent de fièvre, consultez sans tarder.
[20 décembre 2007 - 07:50]
Mauvaise nouvelle pour le petit million de personnes actuellement touchées par l’épidémie de gastro-entérite en France ! En dehors de la réhydratation, les traitements ne sont pas légion. Ils visent principalement à soulager les symptômes et à « tarir la source » des diarrhées. Et il existe aussi, une option « homéopathie ».
Diaralia® par exemple, est un médicament homéopathique indiqué dans le « traitement de courte durée des diarrhées aiguës passagères chez l’adulte et l’enfant à partir de six ans ». Cette restriction d’usage est "liée à la forme pharmaceutique en comprimés, et au risque de fausse route », précise le fabricant. Ce médicament associe du quinquina rouge et de la podophylle. Il agit simultanément sur les ballonnements, les gargouillis et les troubles dus aux pertes liquidiennes, ainsi que sur les « urgences » intestinales...
En dehors de l’homéopathie, des traitements antispasmodiques peuvent être utilisés pour calmer les douleurs abdominales en attendant des jours meilleurs… L’inconvénient de ces produits est qu’ils entraînent assez fréquemment des effets secondaires potentiellement sérieux.
En tout état de cause, n’oubliez pas que pour compenser les pertes en eau et en sels minéraux, il convient surtout de s’hydrater régulièrement et par petites quantités. Disponibles en pharmacie, des sels de réhydratation orale (SRO) sont fortement recommandés aux nourrissons et aux enfants de moins de 5 ans. Une dernière chose : pensez prévention et lavez-vous régulièrement les mains à l’eau et au savon. Cette action constitue en effet la meilleure arme face aux virus. Et si les symptômes persistent, s’aggravent ou s’accompagnent de fièvre, consultez sans tarder.
Puéricultrice
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Gardes médicales: les urgentistes veulent une plus grande "reconnaissance"
AFP - il y a 59 minutes
PARIS (AFP) - Les urgentistes hospitaliers, qui observeront une grève symbolique à Noël, sans conséquences pour les patients, veulent une plus grande "reconnaissance" de leur travail, alors que les médecins de ville viennent d'obtenir une hausse de leur rémunération pour les gardes de week-end.
Au delà de revendications purement salariales, les urgentistes qui entament une grève illimitée le 24 décembre, mettent en cause le système de "permanence de soins" (PDS) tel qu'il existe depuis 2003, lorsqu'a été mis fin à l'obligation pour les médecins libéraux d'assurer les gardes et astreintes.
Selon un rapport officiel rendu public en septembre, ce système est "peu fiable, fragile et coûteux" et souffre d'un "désengagement progressif des médecins libéraux" qui accroît l'activité des urgences hospitalières.
Le rapport juge nécessaire de "remettre à plat la situation et de changer de stratégie", alors que "les dépenses de PDS croissent sans cesse pour atteindre hors transports un coût 2006 de l'ordre de 370 millions d'euros".
"Si le service public est le seul à assurer la permanence des soins dans certains secteurs il doit en avoir les moyens", selon l'Association des médecins urgentistes de France (Amuf) qui appelle à la grève avec le syndicat Samu de France qui regroupe les médecins des Samu.
"La puissance publique refuse de reconnaître les choses comme elles sont dans le domaine de la permanence de soins libérale (...) Le système est à changer, il a été cassé quand on a supprimé l'obligation de faire garde en 2003", a déclaré le président de Samu de France, Marc Giroud.
Selon l'Amuf, une garde réalisée par un urgentiste hospitalier est payée 250 euros, alors que les médecins libéraux, outre un forfait de 150 euros, sont payés à l'acte (un seul acte pouvant atteindre 80 euros un dimanche).
L'Amuf réclame "une vraie revalorisation des gardes à l'hôpital" et "la fin du paiement à l'acte dans le secteur libéral".
Sous l'impulsion de la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, l'assurance maladie a conclu mercredi un accord avec les syndicats de médecins libéraux étendant la rémunération des astreintes au samedi après-midi.
La ministre "entend poursuivre avec les syndicats et le conseil de l'Ordre un travail de concertation visant à renforcer le dispositif existant et à le rendre plus efficient et plus fiable".
Outre la revalorisation des gardes, les urgentistes hospitaliers demandent au gouvernement de "tenir ses promesses en matière de pénibilité, compte épargne temps (jours de congés accumulés et heures supplémentaires impayées, ndlr), et retraites".
Mme Bachelot a déclaré vendredi au Figaro que la négociation sur le paiement des arriérés de RTT dus aux personnels hospitaliers serait "lancée début janvier", rappelant que "le stock, dans les hôpitaux s'élève à 23 millions d'heures supplémentaires non réglées et à 3,5 millions de RTT (...) soit 800 à 900 millions d'euros".
Quant aux patients, les urgentistes soulignent que la grève n'aura aucune conséquence pour eux, les médecins pouvant être "assignés" et donc travailler tout en étant comptabilisés comme grévistes.
Le 24, les pilotes d'hélicoptères de sociétés privées dédiés au transport d'urgence des 36 Samu de France ont également déposé un préavis de grève symbolique jusqu'au 2 janvier inclus, pour réclamer notamment des hausses de salaire.
AFP - il y a 59 minutes
PARIS (AFP) - Les urgentistes hospitaliers, qui observeront une grève symbolique à Noël, sans conséquences pour les patients, veulent une plus grande "reconnaissance" de leur travail, alors que les médecins de ville viennent d'obtenir une hausse de leur rémunération pour les gardes de week-end.
Au delà de revendications purement salariales, les urgentistes qui entament une grève illimitée le 24 décembre, mettent en cause le système de "permanence de soins" (PDS) tel qu'il existe depuis 2003, lorsqu'a été mis fin à l'obligation pour les médecins libéraux d'assurer les gardes et astreintes.
Selon un rapport officiel rendu public en septembre, ce système est "peu fiable, fragile et coûteux" et souffre d'un "désengagement progressif des médecins libéraux" qui accroît l'activité des urgences hospitalières.
Le rapport juge nécessaire de "remettre à plat la situation et de changer de stratégie", alors que "les dépenses de PDS croissent sans cesse pour atteindre hors transports un coût 2006 de l'ordre de 370 millions d'euros".
"Si le service public est le seul à assurer la permanence des soins dans certains secteurs il doit en avoir les moyens", selon l'Association des médecins urgentistes de France (Amuf) qui appelle à la grève avec le syndicat Samu de France qui regroupe les médecins des Samu.
"La puissance publique refuse de reconnaître les choses comme elles sont dans le domaine de la permanence de soins libérale (...) Le système est à changer, il a été cassé quand on a supprimé l'obligation de faire garde en 2003", a déclaré le président de Samu de France, Marc Giroud.
Selon l'Amuf, une garde réalisée par un urgentiste hospitalier est payée 250 euros, alors que les médecins libéraux, outre un forfait de 150 euros, sont payés à l'acte (un seul acte pouvant atteindre 80 euros un dimanche).
L'Amuf réclame "une vraie revalorisation des gardes à l'hôpital" et "la fin du paiement à l'acte dans le secteur libéral".
Sous l'impulsion de la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, l'assurance maladie a conclu mercredi un accord avec les syndicats de médecins libéraux étendant la rémunération des astreintes au samedi après-midi.
La ministre "entend poursuivre avec les syndicats et le conseil de l'Ordre un travail de concertation visant à renforcer le dispositif existant et à le rendre plus efficient et plus fiable".
Outre la revalorisation des gardes, les urgentistes hospitaliers demandent au gouvernement de "tenir ses promesses en matière de pénibilité, compte épargne temps (jours de congés accumulés et heures supplémentaires impayées, ndlr), et retraites".
Mme Bachelot a déclaré vendredi au Figaro que la négociation sur le paiement des arriérés de RTT dus aux personnels hospitaliers serait "lancée début janvier", rappelant que "le stock, dans les hôpitaux s'élève à 23 millions d'heures supplémentaires non réglées et à 3,5 millions de RTT (...) soit 800 à 900 millions d'euros".
Quant aux patients, les urgentistes soulignent que la grève n'aura aucune conséquence pour eux, les médecins pouvant être "assignés" et donc travailler tout en étant comptabilisés comme grévistes.
Le 24, les pilotes d'hélicoptères de sociétés privées dédiés au transport d'urgence des 36 Samu de France ont également déposé un préavis de grève symbolique jusqu'au 2 janvier inclus, pour réclamer notamment des hausses de salaire.
Puéricultrice
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Renseignements complémentaires culture générale
Bonjour, je recherche depuis ce matin sans résultat un site où je pourrais trouver les côuts d'une journée d'hospitalisation pour les personnes souffrantes de cancer, du sida (prix de la thritérapie) et autres pathologies mais impossible de trouver sur le web. Quelqu'un connaitrait-il les tarifs ou connaîtrait-il un site où je pourrais avoir ce genre de renseignements. Merci
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- Contact :
coucou,
j'ai trouvé ce lien.......il y a un tableau avec des tarifs.....cela peut te donner une idée....car je ne sais pas si on peut faire confiance à tout ce qui provient du net.......
http://www.rees-france.com/IMG/pdf/ART- ... ux_eco.pdf
mais ca peut t'aider........
joyeuses fetes de fin d'année
j'ai trouvé ce lien.......il y a un tableau avec des tarifs.....cela peut te donner une idée....car je ne sais pas si on peut faire confiance à tout ce qui provient du net.......
http://www.rees-france.com/IMG/pdf/ART- ... ux_eco.pdf
mais ca peut t'aider........
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- Forcené
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- Localisation : sur un petit nuage !
Bonjour
Appelles la Direction de la Clientèle du Centre Hospitalier de chez toi (c comme ca qu'elle s'appelle chez nous, elle comprend le service Admissions et Facturation qui gère cela).
S'ils n'ont pas la réponse ils pourront peut être te donner des pistes pour tes recherhces
Appelles la Direction de la Clientèle du Centre Hospitalier de chez toi (c comme ca qu'elle s'appelle chez nous, elle comprend le service Admissions et Facturation qui gère cela).
S'ils n'ont pas la réponse ils pourront peut être te donner des pistes pour tes recherhces

En mode reconversion totale PDT_028
Reçue en Juillet 2007 PDT_002 Après 1 an d'attente ma demande de financement a enfin été acceptée PDT_020 ESI Promo 2008-2011 PDT_039
Reçue en Juillet 2007 PDT_002 Après 1 an d'attente ma demande de financement a enfin été acceptée PDT_020 ESI Promo 2008-2011 PDT_039
- aneso81
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Quand la grippe pèse sur le cœur…
[26 décembre 2007 - 07:27]
Selon un travail britannique, les infections respiratoires et en particulier la grippe saisonnière exposeraient à la survenue de troubles cardio-vasculaires, et notamment d’accidents vasculaires cérébraux (AVC). Avec un risque bien plus élevé chez les cardiaques, dans la semaine qui suit l’infection.
En préambule de leur travail, les auteurs soulignent la surmortalité attribuée, durant les mois d’hiver, aux maladies coronariennes et aux AVC. Les Prs Tim Clayton et Tom Meade de la London School of Hygiene and Tropical Medicine de Londres, ont donc cherché à savoir si des infections respiratoires, courantes pendant cette période de l’année, pouvaient en être la cause.
A partir d’une base de données rassemblant les dossiers de plus de 2 millions de Britanniques, ils ont noté qu’une infection respiratoire au cours de sa première semaine, doublerait le risque d’infarctus du myocarde et d’AVC ! Ce qui leur fait recommander au nom du simple bon sens aux « personnes souffrant d’une maladie cardio-vasculaire de se faire impérativement vacciner contre la grippe. Cette maladie est un tueur potentiel ».
[26 décembre 2007 - 07:27]
Selon un travail britannique, les infections respiratoires et en particulier la grippe saisonnière exposeraient à la survenue de troubles cardio-vasculaires, et notamment d’accidents vasculaires cérébraux (AVC). Avec un risque bien plus élevé chez les cardiaques, dans la semaine qui suit l’infection.
En préambule de leur travail, les auteurs soulignent la surmortalité attribuée, durant les mois d’hiver, aux maladies coronariennes et aux AVC. Les Prs Tim Clayton et Tom Meade de la London School of Hygiene and Tropical Medicine de Londres, ont donc cherché à savoir si des infections respiratoires, courantes pendant cette période de l’année, pouvaient en être la cause.
A partir d’une base de données rassemblant les dossiers de plus de 2 millions de Britanniques, ils ont noté qu’une infection respiratoire au cours de sa première semaine, doublerait le risque d’infarctus du myocarde et d’AVC ! Ce qui leur fait recommander au nom du simple bon sens aux « personnes souffrant d’une maladie cardio-vasculaire de se faire impérativement vacciner contre la grippe. Cette maladie est un tueur potentiel ».
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A chacune sa contraception !
[26 décembre 2007 - 09:28]
Pilule, patch, implant, anneau, dispositif intra-utérin… Les femmes disposent aujourd’hui d’une large gamme de moyens contraceptifs. En fonction de son mode de vie, de ses besoins, chacune peut trouver sa contraception. Toujours au terme d’un dialogue avec son médecin.
« La prise d’un contraceptif est un acte médical lourd », explique le Dr Christian Jamin, gynécologue-endocrinologue à l’hôpital Bichat de Paris. « Nous devons faire le bon choix, et ne pas donner un contraceptif susceptible d’altérer la santé d’une femme par ailleurs en pleine forme. En réalité, c’est surtout par l’interrogatoire et l’examen que l’on peut choisir le meilleur contraceptif. Et il y a une seule question à ne pas oublier : est-ce que vous avez fait une phlébite ou est-ce que votre mère a fait une phlébite ? C’est la question par laquelle il faut toujours passer. Et l’autre chose absolument indispensable, c’est qu’il ne doit pas y avoir de prescription contraceptive sans prise de la tension artérielle. »
Au fil du temps, les contraceptifs se sont considérablement améliorés. Ils permettent ainsi d’atténuer ce que les spécialistes appellent le syndrome prémenstruel. C’est un ensemble de symptômes – tension dans les seins, jambes lourdes, céphalées…- qui apparaissent quelques jours avant l’apparition des règles. « Le syndrome prémenstruel est lié à la fluctuation hormonale chez la femme », précise Christian Jamin. « Quand on veut en diminuer l’impact, la solution c’est d’utiliser des pilules combinées, les moins androgéniques. Mais surtout le grand progrès pour éviter les fluctuations, c’est d’enchaîner plusieurs plaquettes ou plusieurs anneaux contraceptifs à la suite, ce qui évite d’avoir des arrêts réguliers et atténue logiquement le syndrome pré-menstruel ».
[26 décembre 2007 - 09:28]
Pilule, patch, implant, anneau, dispositif intra-utérin… Les femmes disposent aujourd’hui d’une large gamme de moyens contraceptifs. En fonction de son mode de vie, de ses besoins, chacune peut trouver sa contraception. Toujours au terme d’un dialogue avec son médecin.
« La prise d’un contraceptif est un acte médical lourd », explique le Dr Christian Jamin, gynécologue-endocrinologue à l’hôpital Bichat de Paris. « Nous devons faire le bon choix, et ne pas donner un contraceptif susceptible d’altérer la santé d’une femme par ailleurs en pleine forme. En réalité, c’est surtout par l’interrogatoire et l’examen que l’on peut choisir le meilleur contraceptif. Et il y a une seule question à ne pas oublier : est-ce que vous avez fait une phlébite ou est-ce que votre mère a fait une phlébite ? C’est la question par laquelle il faut toujours passer. Et l’autre chose absolument indispensable, c’est qu’il ne doit pas y avoir de prescription contraceptive sans prise de la tension artérielle. »
Au fil du temps, les contraceptifs se sont considérablement améliorés. Ils permettent ainsi d’atténuer ce que les spécialistes appellent le syndrome prémenstruel. C’est un ensemble de symptômes – tension dans les seins, jambes lourdes, céphalées…- qui apparaissent quelques jours avant l’apparition des règles. « Le syndrome prémenstruel est lié à la fluctuation hormonale chez la femme », précise Christian Jamin. « Quand on veut en diminuer l’impact, la solution c’est d’utiliser des pilules combinées, les moins androgéniques. Mais surtout le grand progrès pour éviter les fluctuations, c’est d’enchaîner plusieurs plaquettes ou plusieurs anneaux contraceptifs à la suite, ce qui évite d’avoir des arrêts réguliers et atténue logiquement le syndrome pré-menstruel ».
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Epidémies saisonnières : la grippe pour succéder à la gastro ?
[26 décembre 2007 - 10:27]
Plus de 1,16 million de personnes ont consulté leur médecin généraliste pour une gastro-entérite au cours des 5 dernières semaines. Les médecins du Réseau Sentinelles confirment la décrue d’une épidémie, dont « la fin devrait être déclarée dans les 15 prochains jours ». Pour laisser place à la grippe ?
Au 23 décembre, l’incidence nationale de la diarrhée aiguë était de 369 cas pour 100 000 habitants, au-dessus du seuil épidémique fixé à 274 cas pour 100 000. Onze régions étaient toujours en situation d’épidémie (voir la carte ci-contre).
L’incidence la plus forte a été relevée en Corse (527 cas pour 100 000), devant Nord-Pas-de-Calais (519), Haute-Normandie (468), PACA (414), Lorraine (406), Champagne-Ardennes (398), Languedoc-Roussillon (381), Ile-de-France (346), Alsace (300), Auvergne (281) et Pays-de-la-Loire (281).
L’activité de la grippe clinique est, quant à elle, toujours qualifiée de « faible ». Mais attention, elle est « en augmentation », précisent les médecins Sentinelles. A tel point que l’incidence nationale « devrait se rapprocher du seuil épidémique dans les 15 prochains jours ».
[26 décembre 2007 - 10:27]
Plus de 1,16 million de personnes ont consulté leur médecin généraliste pour une gastro-entérite au cours des 5 dernières semaines. Les médecins du Réseau Sentinelles confirment la décrue d’une épidémie, dont « la fin devrait être déclarée dans les 15 prochains jours ». Pour laisser place à la grippe ?
Au 23 décembre, l’incidence nationale de la diarrhée aiguë était de 369 cas pour 100 000 habitants, au-dessus du seuil épidémique fixé à 274 cas pour 100 000. Onze régions étaient toujours en situation d’épidémie (voir la carte ci-contre).
L’incidence la plus forte a été relevée en Corse (527 cas pour 100 000), devant Nord-Pas-de-Calais (519), Haute-Normandie (468), PACA (414), Lorraine (406), Champagne-Ardennes (398), Languedoc-Roussillon (381), Ile-de-France (346), Alsace (300), Auvergne (281) et Pays-de-la-Loire (281).
L’activité de la grippe clinique est, quant à elle, toujours qualifiée de « faible ». Mais attention, elle est « en augmentation », précisent les médecins Sentinelles. A tel point que l’incidence nationale « devrait se rapprocher du seuil épidémique dans les 15 prochains jours ».
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Monoxyde de carbone : anticipez le danger !
[26 décembre 2007 - 14:10]
En cette période de grand froid, attention à vos installations de chauffage ou de production d’eau chaude ! Et ce quel que soit le combustible utilisé. L’intoxication par monoxyde carbone (CO) tue 300 personnes chaque année en France. Et 6 000 autres sont hospitalisées. Plusieurs dizaines de personnes ont d’ailleurs été intoxiquées ces derniers jours.
L’accident est très vite arrivé. Le CO est en effet un gaz sournois : indolore, inodore et surtout… mortel. Les symptômes ne trompent pas : maux de tête, nausées, confusion mentale, fatigue soudaine… Au moindre doute, réagissez en aérant bien vos locaux !
Afin de prévenir ces intoxications, la Direction générale de la Santé tient à rappeler l’importance du bon usage des appareils de combustion :
Ne jamais utiliser pour se chauffer des appareils non destinés à cet usage (cuisinière, brasero, etc.) ;
Ne pas utiliser les chauffages d’appoint en continu. L’intermittence est la règle ;
Installer impérativement les groupes électrogènes à l’extérieur des bâtiments et jamais dans des lieux clos ;
Si vous venez d’acquérir un nouvel appareil de chauffage, veillez à sa bonne installation et son bon fonctionnement auprès d’un professionnel qualifié. Et cela, avant la mise en service.
Par ailleurs, n’oubliez pas qu’une installation de chauffage se vérifie régulièrement. Ainsi le ramonage du conduit de cheminée est-il obligatoire à l’entrée de l’hiver. Vous risquez sinon, de ne pas être couvert par votre assurance. Enfin, aérez quotidiennement votre habitation, même par grand froid. Suivez ces conseils et vous lutterez contre l’une des premières causes de mort toxique accidentelle.
[26 décembre 2007 - 14:10]
En cette période de grand froid, attention à vos installations de chauffage ou de production d’eau chaude ! Et ce quel que soit le combustible utilisé. L’intoxication par monoxyde carbone (CO) tue 300 personnes chaque année en France. Et 6 000 autres sont hospitalisées. Plusieurs dizaines de personnes ont d’ailleurs été intoxiquées ces derniers jours.
L’accident est très vite arrivé. Le CO est en effet un gaz sournois : indolore, inodore et surtout… mortel. Les symptômes ne trompent pas : maux de tête, nausées, confusion mentale, fatigue soudaine… Au moindre doute, réagissez en aérant bien vos locaux !
Afin de prévenir ces intoxications, la Direction générale de la Santé tient à rappeler l’importance du bon usage des appareils de combustion :
Ne jamais utiliser pour se chauffer des appareils non destinés à cet usage (cuisinière, brasero, etc.) ;
Ne pas utiliser les chauffages d’appoint en continu. L’intermittence est la règle ;
Installer impérativement les groupes électrogènes à l’extérieur des bâtiments et jamais dans des lieux clos ;
Si vous venez d’acquérir un nouvel appareil de chauffage, veillez à sa bonne installation et son bon fonctionnement auprès d’un professionnel qualifié. Et cela, avant la mise en service.
Par ailleurs, n’oubliez pas qu’une installation de chauffage se vérifie régulièrement. Ainsi le ramonage du conduit de cheminée est-il obligatoire à l’entrée de l’hiver. Vous risquez sinon, de ne pas être couvert par votre assurance. Enfin, aérez quotidiennement votre habitation, même par grand froid. Suivez ces conseils et vous lutterez contre l’une des premières causes de mort toxique accidentelle.
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Franchises médicales : ce qu’il faut savoir
[26 décembre 2007 - 17:18]
Annoncées par Nicolas Sarkozy pour financer les investissements consacrés à lutte contre le cancer, la maladie d’Alzheimer et l’amélioration des soins palliatifs, les franchises médicales vont s’appliquer à partir du 1er janvier 2008. Le point sur cette mesure loin de faire l’unanimité…
La franchise médicale correspond à une somme qui sera déduite des remboursements effectués par la caisse d’Assurance-maladie sur les médicaments (0,50 euro par boîte), les actes paramédicaux (0,50 euro par acte) et les transports sanitaires (2 euros par transport).
Le montant de la franchise est plafonné à 50 euros par an pour l’ensemble des actes ou prestations concernés. « En pratique », indique l’Assurance-maladie, « cette somme sera déduite au fur et à mesure des remboursements effectués par les caisses d’Assurance-maladie. En cas de tiers-payant, la franchise sera déduite d’un remboursement ultérieur ». Les bénéficiaires de la Couverture maladie universelle complémentaire, les enfants et les jeunes de moins de 18 ans ainsi que les femmes enceintes en sont toutefois exonérés.
Un plafond journalier a également été mis en place pour les actes paramédicaux et les transports sanitaires : « on ne pourra pas déduire plus de 2 euros par jour sur les actes paramédicaux et 4 euros par jour pour les transports sanitaires » précise l’Assurance-maladie. Laquelle rappelle enfin qu’un « rapport sera présenté tous les ans devant le Parlement pour préciser l’affectation des montants correspondants aux franchises ».
[26 décembre 2007 - 17:18]
Annoncées par Nicolas Sarkozy pour financer les investissements consacrés à lutte contre le cancer, la maladie d’Alzheimer et l’amélioration des soins palliatifs, les franchises médicales vont s’appliquer à partir du 1er janvier 2008. Le point sur cette mesure loin de faire l’unanimité…
La franchise médicale correspond à une somme qui sera déduite des remboursements effectués par la caisse d’Assurance-maladie sur les médicaments (0,50 euro par boîte), les actes paramédicaux (0,50 euro par acte) et les transports sanitaires (2 euros par transport).
Le montant de la franchise est plafonné à 50 euros par an pour l’ensemble des actes ou prestations concernés. « En pratique », indique l’Assurance-maladie, « cette somme sera déduite au fur et à mesure des remboursements effectués par les caisses d’Assurance-maladie. En cas de tiers-payant, la franchise sera déduite d’un remboursement ultérieur ». Les bénéficiaires de la Couverture maladie universelle complémentaire, les enfants et les jeunes de moins de 18 ans ainsi que les femmes enceintes en sont toutefois exonérés.
Un plafond journalier a également été mis en place pour les actes paramédicaux et les transports sanitaires : « on ne pourra pas déduire plus de 2 euros par jour sur les actes paramédicaux et 4 euros par jour pour les transports sanitaires » précise l’Assurance-maladie. Laquelle rappelle enfin qu’un « rapport sera présenté tous les ans devant le Parlement pour préciser l’affectation des montants correspondants aux franchises ».
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