Culture Générale
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Franchises médicales : des malades poursuivent la grève des soins
Au moins quatre malades poursuivaient jeudi leur "grève des soins" contre les franchises médicales, d'autres ayant repris leur traitement, tout en se disant prêts à le suspendre à nouveau si "ça ne bouge pas", selon les personnes concernées ou des associations de patients.
Outre Bruno-Pascal Chevalier, malade du sida, qui le premier avait fait part de l'arrêt de son traitement, deux diabétiques, selon l'Association française des diabétiques (AFD), et une personne handicapée de naissance, selon Samaritains Handicap France, poursuivaient leur "grève des soins".
En revanche, d'autres, comme Alexandre Godfroy, également diabétique, ou Jean-Pierre Ona, qui avait annoncé dans Var Matin du 14 janvier l'interruption de son traitement contre une maladie rare nécessitant trois dialyses hebdomadaires de plus de cinq heures chacune, ont recommencé à se soigner, tout en déclarant rester "déterminés".
Alexandre Godfroy a expliqué à l'AFP qu'il avait décidé de reprendre son suivi médical après une "longue discussion" avec Bruno-Pascal Chevalier qui a déjà indiqué à plusieurs reprises ne vouloir "surtout pas" que d'autres malades fassent comme lui.
"Son argument consiste à dire que ce n'est pas la peine qu'on soit des dizaines à s'immoler. Je ne suis pas suicidaire. Je suis marié, j'ai deux enfants. Je veux pouvoir durer (...) Si j'utilise tous les moyens et que physiquement je ne peux plus tenir la route, j'aurais tout perdu", a affirmé Alexandre Godfroy.
"Je reste quand même sur une idée: jusqu'à quel niveau de prise de risques il faut aller pour se faire entendre dans ce pays? (...) J'aurai le temps d'en parler et je peux graduer ma prise de risques", a-t-il affirmé.
Mis en ligne le 25/01/08
Au moins quatre malades poursuivaient jeudi leur "grève des soins" contre les franchises médicales, d'autres ayant repris leur traitement, tout en se disant prêts à le suspendre à nouveau si "ça ne bouge pas", selon les personnes concernées ou des associations de patients.
Outre Bruno-Pascal Chevalier, malade du sida, qui le premier avait fait part de l'arrêt de son traitement, deux diabétiques, selon l'Association française des diabétiques (AFD), et une personne handicapée de naissance, selon Samaritains Handicap France, poursuivaient leur "grève des soins".
En revanche, d'autres, comme Alexandre Godfroy, également diabétique, ou Jean-Pierre Ona, qui avait annoncé dans Var Matin du 14 janvier l'interruption de son traitement contre une maladie rare nécessitant trois dialyses hebdomadaires de plus de cinq heures chacune, ont recommencé à se soigner, tout en déclarant rester "déterminés".
Alexandre Godfroy a expliqué à l'AFP qu'il avait décidé de reprendre son suivi médical après une "longue discussion" avec Bruno-Pascal Chevalier qui a déjà indiqué à plusieurs reprises ne vouloir "surtout pas" que d'autres malades fassent comme lui.
"Son argument consiste à dire que ce n'est pas la peine qu'on soit des dizaines à s'immoler. Je ne suis pas suicidaire. Je suis marié, j'ai deux enfants. Je veux pouvoir durer (...) Si j'utilise tous les moyens et que physiquement je ne peux plus tenir la route, j'aurais tout perdu", a affirmé Alexandre Godfroy.
"Je reste quand même sur une idée: jusqu'à quel niveau de prise de risques il faut aller pour se faire entendre dans ce pays? (...) J'aurai le temps d'en parler et je peux graduer ma prise de risques", a-t-il affirmé.
Mis en ligne le 25/01/08
Une fillette change de groupe sanguin après une transplantation
jeudi 24 janvier 2008 18h53
Le changement de groupe sanguin s'est produit neuf mois après la transplantation. Les médecins de l'hôpital pédiatrique de Sydney ont constaté il y a peu que Demi-Lee Brennan, une Australienne de 9 ans, avait un nouveau groupe sanguin après subi une transplantation du foie réalisée pour soigner une grave maladie. La petite fille, de groupe sanguin O rhesus négatif avant l'intervention, est passée dans le groupe O rhésus positif, comme le donneur de greffe, un jeune garçon décédé à l'âge de 12 ans.
Selon les médecins, c'est la première fois qu'un tel phénomène est observé. Il provient en fait d'une migration des cellules souches de son nouveau foie dans sa moelle osseuse qui produit les cellules sanguines. Les médecins qui ont traité Demi-Lee Brennan cherchent désormais à savoir si ce cas pourrait avoir des implications dans la chirurgie de transplantation, un domaine où le rejet des organes du donneur est un des principaux obstacles.
La fillette est aujourd'hui âgée de 15 ans et est en parfaite santé. La mère de Demi-Lee a qualifié la guérison de sa fille de "miraculeuse". La fillette a elle expliqué que les médecins lui avaient redonné la vie. "Je ne peux pas suffisamment les remercier. C'est comme une seconde chance de vivre", a-t-elle raconté.
jeudi 24 janvier 2008 18h53
Le changement de groupe sanguin s'est produit neuf mois après la transplantation. Les médecins de l'hôpital pédiatrique de Sydney ont constaté il y a peu que Demi-Lee Brennan, une Australienne de 9 ans, avait un nouveau groupe sanguin après subi une transplantation du foie réalisée pour soigner une grave maladie. La petite fille, de groupe sanguin O rhesus négatif avant l'intervention, est passée dans le groupe O rhésus positif, comme le donneur de greffe, un jeune garçon décédé à l'âge de 12 ans.
Selon les médecins, c'est la première fois qu'un tel phénomène est observé. Il provient en fait d'une migration des cellules souches de son nouveau foie dans sa moelle osseuse qui produit les cellules sanguines. Les médecins qui ont traité Demi-Lee Brennan cherchent désormais à savoir si ce cas pourrait avoir des implications dans la chirurgie de transplantation, un domaine où le rejet des organes du donneur est un des principaux obstacles.
La fillette est aujourd'hui âgée de 15 ans et est en parfaite santé. La mère de Demi-Lee a qualifié la guérison de sa fille de "miraculeuse". La fillette a elle expliqué que les médecins lui avaient redonné la vie. "Je ne peux pas suffisamment les remercier. C'est comme une seconde chance de vivre", a-t-elle raconté.
La pilule, bénéfique contre le cancer des ovaires
Vraie info ou lobbying des laboratoires pharmaceutiques ? Une étude à paraître dans la revue médicale The Lancet confirme le caractère protecteur des contraceptifs oraux vis-à-vis du cancer ovarien. Ce qu’on savait déjà, mais The Lancet va plus loin en affirmant que 100 000 morts par cancer des ovaires dans le monde auraient été évitées grâce à la pilule contraceptive depuis sa création. Son utilisation pourrait même permettre au cours des prochaines décennies de prévenir au moins 30 000 cas supplémentaires chaque année. Les bénéfices des contraceptifs oraux l’emporteraient donc sur les risques accrus de cancers du sein et du col de l’utérus liés également à leur utilisation. www.thelancet.com (25 Janvier 2008)
Vraie info ou lobbying des laboratoires pharmaceutiques ? Une étude à paraître dans la revue médicale The Lancet confirme le caractère protecteur des contraceptifs oraux vis-à-vis du cancer ovarien. Ce qu’on savait déjà, mais The Lancet va plus loin en affirmant que 100 000 morts par cancer des ovaires dans le monde auraient été évitées grâce à la pilule contraceptive depuis sa création. Son utilisation pourrait même permettre au cours des prochaines décennies de prévenir au moins 30 000 cas supplémentaires chaque année. Les bénéfices des contraceptifs oraux l’emporteraient donc sur les risques accrus de cancers du sein et du col de l’utérus liés également à leur utilisation. www.thelancet.com (25 Janvier 2008)
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Lèpre : un nouveau cas toutes les 3 minutes…
[25 janvier 2008 - 11:48]
En 2008 la lèpre, que l’on croit à tort éradiquée, frappera encore plusieurs centaines de milliers de personnes dans le monde. La Fondation Raoul Follereau et l’Ordre de Malte se mobilisent ce week-end partout en France, à l’occasion de la 55ème Journée mondiale des Lépreux.
Samedi 26 et dimanche 27 janvier, 30 000 quêteurs de la Fondation Raoul Follereau et 11 000 de l’Ordre de Malte vous tendront la main. Pour ne pas oublier une maladie qui existe toujours dans de nombreux pays en développement.
A ce jour, 14 millions de malades ont été guéris mais la contagion frappe encore une personne toutes les 3 minutes. Pourtant, « il ne suffit pas de soigner et de guérir un lépreux et d’arrêter la contagion », précise-t-on à la Fondation Raoul Follereau, qui cite le chiffre de 2 à 3 millions d’anciens malades qui présentent des infirmités liées à la lèpre.
Comme le souligne le Dr Pierre Bobin, Secrétaire général de l’Association des léprologues de langue française (ALLF), ces malades « continuent à souffrir de leur handicap. Et leur prise en charge est pratiquement inexistante dans la majorité des pays d’endémie. ». Vous souhaitez donner ou en savoir davantage sur cette journée ? Rendez vous sur le site de la Fondation Raoul Follereau à l’adresse : http://raoul-follereau.org/jml2008/. Ou sur celui de l’Ordre de Malte France, sur http://www.ordredemaltefrance.org/
[25 janvier 2008 - 11:48]
En 2008 la lèpre, que l’on croit à tort éradiquée, frappera encore plusieurs centaines de milliers de personnes dans le monde. La Fondation Raoul Follereau et l’Ordre de Malte se mobilisent ce week-end partout en France, à l’occasion de la 55ème Journée mondiale des Lépreux.
Samedi 26 et dimanche 27 janvier, 30 000 quêteurs de la Fondation Raoul Follereau et 11 000 de l’Ordre de Malte vous tendront la main. Pour ne pas oublier une maladie qui existe toujours dans de nombreux pays en développement.
A ce jour, 14 millions de malades ont été guéris mais la contagion frappe encore une personne toutes les 3 minutes. Pourtant, « il ne suffit pas de soigner et de guérir un lépreux et d’arrêter la contagion », précise-t-on à la Fondation Raoul Follereau, qui cite le chiffre de 2 à 3 millions d’anciens malades qui présentent des infirmités liées à la lèpre.
Comme le souligne le Dr Pierre Bobin, Secrétaire général de l’Association des léprologues de langue française (ALLF), ces malades « continuent à souffrir de leur handicap. Et leur prise en charge est pratiquement inexistante dans la majorité des pays d’endémie. ». Vous souhaitez donner ou en savoir davantage sur cette journée ? Rendez vous sur le site de la Fondation Raoul Follereau à l’adresse : http://raoul-follereau.org/jml2008/. Ou sur celui de l’Ordre de Malte France, sur http://www.ordredemaltefrance.org/
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Mises en garde renforcées pour les cardiaques sur l’antidiabétique rosiglitazone
[25 janvier 2008 - 12:11]
L’Agence européenne du Médicament (EMEA) et l’Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS) instaurent de nouvelles recommandations pour l’utilisation de la rosiglitazone, un antidiabétique diffusé en France sous les noms d’Avandia® et d’Avandamet®.
Aujourd’hui, l’AFSSaPS « recommande aux patients traités par rosiglitazone et présentant une pathologie cardiovasculaire, de prendre contact sans urgence avec leur médecin afin éventuellement d’adapter leur traitement antidiabétique ». Cette décision ne constitue pas une surprise. Elle résulte de la réévaluation de la classe des glitazones entreprise depuis plus d’un an par les deux agences.
Cette procédure s’est poursuivie en janvier 2008. Il est désormais recommandé de ne pas prescrire ce médicament aux patients atteints « de maladies cardiaques ischémiques (c’est-à-dire provoquées par une réduction ou une interruption du flux sanguin comme l’infarctus du myocarde, n.d.l.r.) ou de pathologies artérielles périphériques" (par réduction de la circulation dans les jambes ou le cou, comme l’artérite, n.d.l.r.). Une contre-indication est également ajoutée en cas « de syndrome coronarien aigu (infarctus du myocarde ou aggravation de crise d’angine de poitrine) ». S’agissant de malades généralement hospitalisés, cette recommandation peut être perçue comme de pure forme.
Ces décisions complètent les précisions émises par l’AFSSaPS en octobre dernier concernant les deux glitazones disponibles en France. La rosiglitazone donc, mais aussi la pioglitazone (Actos® et Competact®). Elles matérialisent les règles de bonne utilisation déjà reconnues et rappelons-le, l’AFSSaPS recommande aux patients présentant une pathologie cardiovasculaire de contacter « sans urgence » leur médecin
[25 janvier 2008 - 12:11]
L’Agence européenne du Médicament (EMEA) et l’Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS) instaurent de nouvelles recommandations pour l’utilisation de la rosiglitazone, un antidiabétique diffusé en France sous les noms d’Avandia® et d’Avandamet®.
Aujourd’hui, l’AFSSaPS « recommande aux patients traités par rosiglitazone et présentant une pathologie cardiovasculaire, de prendre contact sans urgence avec leur médecin afin éventuellement d’adapter leur traitement antidiabétique ». Cette décision ne constitue pas une surprise. Elle résulte de la réévaluation de la classe des glitazones entreprise depuis plus d’un an par les deux agences.
Cette procédure s’est poursuivie en janvier 2008. Il est désormais recommandé de ne pas prescrire ce médicament aux patients atteints « de maladies cardiaques ischémiques (c’est-à-dire provoquées par une réduction ou une interruption du flux sanguin comme l’infarctus du myocarde, n.d.l.r.) ou de pathologies artérielles périphériques" (par réduction de la circulation dans les jambes ou le cou, comme l’artérite, n.d.l.r.). Une contre-indication est également ajoutée en cas « de syndrome coronarien aigu (infarctus du myocarde ou aggravation de crise d’angine de poitrine) ». S’agissant de malades généralement hospitalisés, cette recommandation peut être perçue comme de pure forme.
Ces décisions complètent les précisions émises par l’AFSSaPS en octobre dernier concernant les deux glitazones disponibles en France. La rosiglitazone donc, mais aussi la pioglitazone (Actos® et Competact®). Elles matérialisent les règles de bonne utilisation déjà reconnues et rappelons-le, l’AFSSaPS recommande aux patients présentant une pathologie cardiovasculaire de contacter « sans urgence » leur médecin
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Après des décès, le vaccin Gardasil « surveillé de près »
[25 janvier 2008 - 12:33]
L’Agence européenne du Médicament (EMEA) a été informée « du décès de femmes préalablement vaccinées par le Gardasil®, y compris deux rapports concernant la mort subite et inexpliquée de deux jeunes femmes dans l’Union européenne. » L’un des cas aurait été observé en Autriche et l’autre en Allemagne. Dans les deux cas, la cause de la mort n’aurait pas été déterminée.
A ce stade, l’Agence européenne fait savoir dans un communiqué « qu’aucune relation de cause à effet n’a été démontrée entre la mort de ces jeunes femmes et l’administration du Gardasil® ». Elle estime pour l’heure que « les bénéfices du Gardasil® continuent de l’emporter sur ses risques. » Elle souligne néanmoins qu’elle va « continuer de surveiller de près la sécurité du Gardasil®, (et qu’elle agira) en conséquence si de nouveaux éléments mettent en cause le rapport bénéfice-risque du Gardasil® ».
[25 janvier 2008 - 12:33]
L’Agence européenne du Médicament (EMEA) a été informée « du décès de femmes préalablement vaccinées par le Gardasil®, y compris deux rapports concernant la mort subite et inexpliquée de deux jeunes femmes dans l’Union européenne. » L’un des cas aurait été observé en Autriche et l’autre en Allemagne. Dans les deux cas, la cause de la mort n’aurait pas été déterminée.
A ce stade, l’Agence européenne fait savoir dans un communiqué « qu’aucune relation de cause à effet n’a été démontrée entre la mort de ces jeunes femmes et l’administration du Gardasil® ». Elle estime pour l’heure que « les bénéfices du Gardasil® continuent de l’emporter sur ses risques. » Elle souligne néanmoins qu’elle va « continuer de surveiller de près la sécurité du Gardasil®, (et qu’elle agira) en conséquence si de nouveaux éléments mettent en cause le rapport bénéfice-risque du Gardasil® ».
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Roselyne Bachelot, ministre de la santé, de la jeunesse et des sports, et Christine Albanel, ministre de la culture, assistaient jeudi soir à Paris, à un dîner de bienfaisance en faveur de la recherche contre le Sida à l'initiative de la mode parisienne, a constaté un journaliste de l'AFP.
Les mannequins Claudia Schieffer et Dita Von Teese, les actrices Diane Kruger, Catherine Deneuve, Nathalie Baye, Nicole Garcia, Béatrice Dalle et Emmanuelle Seigner, Clotilde Courau et son époux le prince de Savoie, ainsi que les comédiens Richard Berry, Vincent Lindon, Vincent Perez, parmi de très nombreuses célébrités, avaient répondu à l'appel des principales griffes de la mode et de la couture au profit du Sidaction, avec la participation de la Fédération française de la couture et du prêt-à-porter.
Dès le début de cette soirée de bienfaisance orchestrée par Pierre Bergé, président du Sidaction, quelques 615.000 euros avaient été réunis par la vente des tables du dîner, sans compter le résultat de la tombola qui devait suivre.
"L'épidémie de Sida progresse. La lutte est inégale et nous sommes dépassés. Le virus est si malin que c'est peut-être un leurre d'essayer de le vaincre", a dit Pierre Bergé, en lançant un nouvel appel aux pouvoirs publics en faveur de l'indispensable prévention, notamment installer des distributeurs de préservatifs dans les collèges et les lycées.
"Nous voulons que le gouvernement s'engage !", a insisté le président du Sidaction.
Le professeur Yves Levi, président du comité scientifique du Sidaction, a souligné pour sa part que l'année 2007 avait été décevante sur le plan de la recherche contre le sida: "Il y a une vraie interrogation aujourd'hui de savoir si un vaccin sera mis au point".
Parmi les nombreux créateurs de mode et couturiers qui assistaient à ce gala, figuraient Jean-Charles de Castelbajac, Sonia et Nathalie Rykiel, Chantal Thomass, Inès de la Fressange, Loulou de la Falaise, Jean-Claude Jitrois, Agnès B., Jérôme Dreyfuss, Ora Ito, Alber Elbaz, Yohji Yamamoto...
Les mannequins Claudia Schieffer et Dita Von Teese, les actrices Diane Kruger, Catherine Deneuve, Nathalie Baye, Nicole Garcia, Béatrice Dalle et Emmanuelle Seigner, Clotilde Courau et son époux le prince de Savoie, ainsi que les comédiens Richard Berry, Vincent Lindon, Vincent Perez, parmi de très nombreuses célébrités, avaient répondu à l'appel des principales griffes de la mode et de la couture au profit du Sidaction, avec la participation de la Fédération française de la couture et du prêt-à-porter.
Dès le début de cette soirée de bienfaisance orchestrée par Pierre Bergé, président du Sidaction, quelques 615.000 euros avaient été réunis par la vente des tables du dîner, sans compter le résultat de la tombola qui devait suivre.
"L'épidémie de Sida progresse. La lutte est inégale et nous sommes dépassés. Le virus est si malin que c'est peut-être un leurre d'essayer de le vaincre", a dit Pierre Bergé, en lançant un nouvel appel aux pouvoirs publics en faveur de l'indispensable prévention, notamment installer des distributeurs de préservatifs dans les collèges et les lycées.
"Nous voulons que le gouvernement s'engage !", a insisté le président du Sidaction.
Le professeur Yves Levi, président du comité scientifique du Sidaction, a souligné pour sa part que l'année 2007 avait été décevante sur le plan de la recherche contre le sida: "Il y a une vraie interrogation aujourd'hui de savoir si un vaccin sera mis au point".
Parmi les nombreux créateurs de mode et couturiers qui assistaient à ce gala, figuraient Jean-Charles de Castelbajac, Sonia et Nathalie Rykiel, Chantal Thomass, Inès de la Fressange, Loulou de la Falaise, Jean-Claude Jitrois, Agnès B., Jérôme Dreyfuss, Ora Ito, Alber Elbaz, Yohji Yamamoto...
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Quand l’allaitement éloigne l’asthme !
[27 janvier 2008 - 19:00]
Des chercheurs de l’Unité INSERM 924 de Sophia-Antipolis près de Nice, ont mis en évidence pour la première fois les mécanismes expliquant l’effet protecteur de l’allaitement maternel contre l’asthme infantile. Une étude sur la souris leur a permis d’établir que le passage dans le lait maternel d’un allergène respiratoire diminue de plus de 60% la réponse allergique !
Les auteurs ont exposé des souris allaitantes à des allergènes diffusés dans l’air par aérosols. Une fois les séances terminées, l’allaitement des souriceaux se déroulait normalement. « Nous avons retrouvé l’allergène inhalé dans le lait des mères, 3 à 4 h après l’exposition. De plus, nous avons observé qu’une fois adultes, les souriceaux allaités étaient résistants à l’induction d’asthme », explique Valérie Verhasselt, l’une des responsables de ce travail.
Ainsi la réponse allergique a-t-elle diminué de 60% à 80% par rapport à des rongeurs allaités par des mères qui n’avaient pas été exposées à cet allergène. « Cette étude pourrait permettre de définir de nouvelles stratégies de prévention basées par exemple, sur la modification des pratiques d’allaitement et la qualité des laits artificiels ».
[27 janvier 2008 - 19:00]
Des chercheurs de l’Unité INSERM 924 de Sophia-Antipolis près de Nice, ont mis en évidence pour la première fois les mécanismes expliquant l’effet protecteur de l’allaitement maternel contre l’asthme infantile. Une étude sur la souris leur a permis d’établir que le passage dans le lait maternel d’un allergène respiratoire diminue de plus de 60% la réponse allergique !
Les auteurs ont exposé des souris allaitantes à des allergènes diffusés dans l’air par aérosols. Une fois les séances terminées, l’allaitement des souriceaux se déroulait normalement. « Nous avons retrouvé l’allergène inhalé dans le lait des mères, 3 à 4 h après l’exposition. De plus, nous avons observé qu’une fois adultes, les souriceaux allaités étaient résistants à l’induction d’asthme », explique Valérie Verhasselt, l’une des responsables de ce travail.
Ainsi la réponse allergique a-t-elle diminué de 60% à 80% par rapport à des rongeurs allaités par des mères qui n’avaient pas été exposées à cet allergène. « Cette étude pourrait permettre de définir de nouvelles stratégies de prévention basées par exemple, sur la modification des pratiques d’allaitement et la qualité des laits artificiels ».
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La vitamine D prend du poids
[28 janvier 2008 - 14:04]
L’arsenal thérapeutique contre l’ostéoporose vient à nouveau de s’enrichir. Les médecins disposent désormais d’un traitement dont le biphosphonate est associé à une dose plus importante de vitamine D. A savoir 5 600 unités internationales (UI), ce qui correspond à un apport journalier de 800 UI à 1 000 UI.
Ce dosage associé à un médicament efficace, serait optimal pour parvenir à une réduction du risque de fracture. Il répond aussi aux nouvelles recommandations des experts dans le domaine. « La vitamine D est importante, notamment chez les patientes ostéoporotiques, car elle favorise l’absorption du calcium. Or ce dernier est un élément fondamental de la solidité et de la santé des os. », souligne le Pr Thierry Thomas, rhumatologue au CHU de Saint-Etienne.
Il faut savoir en effet, que la prise de calcium seule ne permet pas de maintenir une bonne qualité osseuse. Car notre organisme assimile très mal ce calcium venu de l’extérieur. La vitamine D en revanche, augmente la capacité de l’intestin à absorber le calcium, mais aussi le phosphore. Ce qui est essentiel pour la bonne minéralisation des os.
Or cette fameuse vitamine D est difficile à obtenir par la seule alimentation. Seule solution, ingurgiter 22 œufs durs par jour ou 50 tranches de foie de veau, voire 5 plaquettes de beurre… Autre source, le soleil. Le hic c’est que la capacité de notre peau à synthétiser la vitamine D grâce à l’exposition solaire diminue nettement avec l’âge.
Autant de raisons qui expliquent pourquoi la supplémentation systématique au traitement s’avère intéressante. « Des sources supplémentaires de vitamine D sont donc essentielles pour les patientes atteintes d’ostéoporose », affirme le Pr Thomas.
[28 janvier 2008 - 14:04]
L’arsenal thérapeutique contre l’ostéoporose vient à nouveau de s’enrichir. Les médecins disposent désormais d’un traitement dont le biphosphonate est associé à une dose plus importante de vitamine D. A savoir 5 600 unités internationales (UI), ce qui correspond à un apport journalier de 800 UI à 1 000 UI.
Ce dosage associé à un médicament efficace, serait optimal pour parvenir à une réduction du risque de fracture. Il répond aussi aux nouvelles recommandations des experts dans le domaine. « La vitamine D est importante, notamment chez les patientes ostéoporotiques, car elle favorise l’absorption du calcium. Or ce dernier est un élément fondamental de la solidité et de la santé des os. », souligne le Pr Thierry Thomas, rhumatologue au CHU de Saint-Etienne.
Il faut savoir en effet, que la prise de calcium seule ne permet pas de maintenir une bonne qualité osseuse. Car notre organisme assimile très mal ce calcium venu de l’extérieur. La vitamine D en revanche, augmente la capacité de l’intestin à absorber le calcium, mais aussi le phosphore. Ce qui est essentiel pour la bonne minéralisation des os.
Or cette fameuse vitamine D est difficile à obtenir par la seule alimentation. Seule solution, ingurgiter 22 œufs durs par jour ou 50 tranches de foie de veau, voire 5 plaquettes de beurre… Autre source, le soleil. Le hic c’est que la capacité de notre peau à synthétiser la vitamine D grâce à l’exposition solaire diminue nettement avec l’âge.
Autant de raisons qui expliquent pourquoi la supplémentation systématique au traitement s’avère intéressante. « Des sources supplémentaires de vitamine D sont donc essentielles pour les patientes atteintes d’ostéoporose », affirme le Pr Thomas.
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HOMOPARENTALITE
Une homosexuelle réclame un congé paternité
NOUVELOBS.COM | 30.01.2008 | 08:44
La cour d'appel de Rennes doit statuer ce mercredi sur la demande de congé paternité, refusé par la Sécurité sociale, d'une femme homosexuelle.
La cour d'appel de Rennes se prononce ce mercredi 30 janvier sur la demande de congé paternité, qui lui a été refusé par la Sécurité sociale, d'une femme homosexuelle.
"J'attends du juge qu'il mette fin à cette discrimination. Mon but est militant. Je suis ici pour faire évoluer la loi, pour les autre familles homoparentales", avait expliqué la plaignante lors de l'audience de première instance, le 5 décembre dernier.
Elodie, 31 ans, réclame un congé paternité pour Basile, 3 ans et demi, l'enfant que sa compagne, Karine, a porté après une insémination artificielle en Belgique.
Ce congé lui a été refusé par l'assurance maladie de Nantes puis par le tribunal des affaires de sécurité sociale (Tass) de Nantes le 20 mars 2006.
Soutien de la Halde
Les deux femmes pacsées depuis 2004 ont également une fille de 21 mois, Lucie, qui a été porté par Elodie, après insémination également, et pour qui Karine, 32 ans, s'est également vu refuser un congé paternité. Aucune procédure n'a été engagée contre cet autre refus.
L'avocat d'Elodie a invité la cour à s'en remettre à la Convention européenne des droits de l'Homme et au traité de l'Union européenne qui condamnent la discrimination liée à l'orientation sexuelle.
De surcroît, la Haute autorité de lutte contre les discriminations (Halde) a apporté en septembre son soutien aux deux jeunes femmes.
La Halde a recommandé au Premier ministre de "substituer à la notion de congé paternité fondée sur le lien de filiation, un congé d'accueil du jeune enfant", qui serait ouvert au partenaire contribuant à l'éducation de l'enfant.
Une homosexuelle réclame un congé paternité
NOUVELOBS.COM | 30.01.2008 | 08:44
La cour d'appel de Rennes doit statuer ce mercredi sur la demande de congé paternité, refusé par la Sécurité sociale, d'une femme homosexuelle.
La cour d'appel de Rennes se prononce ce mercredi 30 janvier sur la demande de congé paternité, qui lui a été refusé par la Sécurité sociale, d'une femme homosexuelle.
"J'attends du juge qu'il mette fin à cette discrimination. Mon but est militant. Je suis ici pour faire évoluer la loi, pour les autre familles homoparentales", avait expliqué la plaignante lors de l'audience de première instance, le 5 décembre dernier.
Elodie, 31 ans, réclame un congé paternité pour Basile, 3 ans et demi, l'enfant que sa compagne, Karine, a porté après une insémination artificielle en Belgique.
Ce congé lui a été refusé par l'assurance maladie de Nantes puis par le tribunal des affaires de sécurité sociale (Tass) de Nantes le 20 mars 2006.
Soutien de la Halde
Les deux femmes pacsées depuis 2004 ont également une fille de 21 mois, Lucie, qui a été porté par Elodie, après insémination également, et pour qui Karine, 32 ans, s'est également vu refuser un congé paternité. Aucune procédure n'a été engagée contre cet autre refus.
L'avocat d'Elodie a invité la cour à s'en remettre à la Convention européenne des droits de l'Homme et au traité de l'Union européenne qui condamnent la discrimination liée à l'orientation sexuelle.
De surcroît, la Haute autorité de lutte contre les discriminations (Halde) a apporté en septembre son soutien aux deux jeunes femmes.
La Halde a recommandé au Premier ministre de "substituer à la notion de congé paternité fondée sur le lien de filiation, un congé d'accueil du jeune enfant", qui serait ouvert au partenaire contribuant à l'éducation de l'enfant.
IDE depuis le 31 mai 2012 !

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Cannabis : plus cancérigène, tu meurs
[29 janvier 2008 - 12:12]
Oui, le joint de cannabis a un véritable pouvoir cancérigène. Il est même tellement prononcé qu’il équivaudrait à celui de vingt cigarettes de tabac ! Voilà la conclusion pour le moins inquiétante d’une nouvelle étude conduite par une équipe de chercheurs néo-zélandais.
Le Pr Richard Beasley et ses collègues de l’Institut de Recherche médicale de la Nouvelle-Zélande ont suivi pendant 5 ans 102 patients de moins de 55 ans et atteints d’une tumeur au poumon. Tous ont été interrogés par questionnaire sur leur consommation d’alcool et surtout, de cannabis.
Le résultat fait froid dans le dos. Dans le groupe ayant consommé plus de 10 joints-année - cela correspond à la consommation d’un joint par jour sur dix ans ou deux joints par jour pendant 5 ans- le risque d’avoir un cancer bronchique a été multiplié par 6, « après ajustement des autres variables, dont le tabagisme » précise Richard Beasley. Au long cours, l’étude révèle que le risque de cancer du poumon augmente de 8% par joint-année. Et pour cause, la fumée de cannabis contient deux fois plus d’hydrocarbures cancérigènes que celle des cigarettes !
La façon de fumer accroît aussi le risque, « les joints étant généralement consommés sans filtre et presque jusqu’au bout, ce qui augmente la quantité de fumée inhalée ». Les dépôts de substances carcinogènes dans les bronches se trouvent donc facilités. Dernier point, « l’absorption de monoxyde de carbone dans le sang serait cinq fois plus importante après un joint qu’après une cigarette ».
C’est la première fois que le pouvoir cancérigène du cannabis est ainsi clairement mis au jour. Les quelques études épidémiologiques réalisées chez l’homme aboutissaient à des résultats contradictoires. Leur biais principal était la difficulté à séparer le pouvoir cancérigène du cannabis de celui de la cigarette, les deux étant souvent consommés ensemble. Pour Richard Beasley, il est primordial que « les programmes de santé publique incluent aussi des campagnes destinées à réduire l’usage du cannabis, en particulier chez les jeunes ». Une logique bien éloignée de celle qui avait cours dans les hautes sphères de l’Etat. Souvenez-vous : « fumer un joint chez soi est certainement moins dangereux que boire de l’alcool avant de conduire, pour soi et aussi pour autrui ». Cette phrase a été prononcée par Lionel Jospin, en 2002.
[29 janvier 2008 - 12:12]
Oui, le joint de cannabis a un véritable pouvoir cancérigène. Il est même tellement prononcé qu’il équivaudrait à celui de vingt cigarettes de tabac ! Voilà la conclusion pour le moins inquiétante d’une nouvelle étude conduite par une équipe de chercheurs néo-zélandais.
Le Pr Richard Beasley et ses collègues de l’Institut de Recherche médicale de la Nouvelle-Zélande ont suivi pendant 5 ans 102 patients de moins de 55 ans et atteints d’une tumeur au poumon. Tous ont été interrogés par questionnaire sur leur consommation d’alcool et surtout, de cannabis.
Le résultat fait froid dans le dos. Dans le groupe ayant consommé plus de 10 joints-année - cela correspond à la consommation d’un joint par jour sur dix ans ou deux joints par jour pendant 5 ans- le risque d’avoir un cancer bronchique a été multiplié par 6, « après ajustement des autres variables, dont le tabagisme » précise Richard Beasley. Au long cours, l’étude révèle que le risque de cancer du poumon augmente de 8% par joint-année. Et pour cause, la fumée de cannabis contient deux fois plus d’hydrocarbures cancérigènes que celle des cigarettes !
La façon de fumer accroît aussi le risque, « les joints étant généralement consommés sans filtre et presque jusqu’au bout, ce qui augmente la quantité de fumée inhalée ». Les dépôts de substances carcinogènes dans les bronches se trouvent donc facilités. Dernier point, « l’absorption de monoxyde de carbone dans le sang serait cinq fois plus importante après un joint qu’après une cigarette ».
C’est la première fois que le pouvoir cancérigène du cannabis est ainsi clairement mis au jour. Les quelques études épidémiologiques réalisées chez l’homme aboutissaient à des résultats contradictoires. Leur biais principal était la difficulté à séparer le pouvoir cancérigène du cannabis de celui de la cigarette, les deux étant souvent consommés ensemble. Pour Richard Beasley, il est primordial que « les programmes de santé publique incluent aussi des campagnes destinées à réduire l’usage du cannabis, en particulier chez les jeunes ». Une logique bien éloignée de celle qui avait cours dans les hautes sphères de l’Etat. Souvenez-vous : « fumer un joint chez soi est certainement moins dangereux que boire de l’alcool avant de conduire, pour soi et aussi pour autrui ». Cette phrase a été prononcée par Lionel Jospin, en 2002.
Puéricultrice
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Quand la cigarette fait ronfler Bébé !
[29 janvier 2008 - 14:19]
Selon une nouvelle étude britannique, 10% des 0 à 4 ans ronfleraient chaque nuit. En fait, 40% seulement de nos enfants seraient épargnés. Au-delà de l’aspect héréditaire du ronflement, c’est le tabagisme passif qui est avancé pour expliquer ces chiffres élevés.
Le travail a porté sur 6 811 petits Anglais du comté de Leicestershire, dans le centre de l’Angleterre. « Nous avons constaté qu’entre 0 et 4 ans, les enfants ronflaient beaucoup plus que ce que l’on pensait » concluent les auteurs dans la dernière livraison du Journal européen de Pneumologie.
En effet, 6% des nourrissons de moins d’un an ronflent toutes les nuits, mais ce chiffre bondit à… 13% à l’âge de 4 ans. Quant aux ronfleurs « occasionnels », ils sont bien plus nombreux encore : un enfant sur deux serait concerné ! « Ces données sont inquiétantes » poursuivent les auteurs. Le principal facteur de risque est sans surprise le tabagisme passif : « si l’un des parents est fumeur, le risque de ronflement pour le petit avoisine les 60%. Et il double si les deux parents fument ».
L’enjeu est de taille. Un ronflement précoce expose davantage à des risques de complications respiratoires : toux chronique, sifflements respiratoires, infections ORL à répétition… D’où la nécessité pour les parents de bien tendre l’oreille lorsque Bébé dort. Au moindre doute, parlez-en à son pédiatre.
[29 janvier 2008 - 14:19]
Selon une nouvelle étude britannique, 10% des 0 à 4 ans ronfleraient chaque nuit. En fait, 40% seulement de nos enfants seraient épargnés. Au-delà de l’aspect héréditaire du ronflement, c’est le tabagisme passif qui est avancé pour expliquer ces chiffres élevés.
Le travail a porté sur 6 811 petits Anglais du comté de Leicestershire, dans le centre de l’Angleterre. « Nous avons constaté qu’entre 0 et 4 ans, les enfants ronflaient beaucoup plus que ce que l’on pensait » concluent les auteurs dans la dernière livraison du Journal européen de Pneumologie.
En effet, 6% des nourrissons de moins d’un an ronflent toutes les nuits, mais ce chiffre bondit à… 13% à l’âge de 4 ans. Quant aux ronfleurs « occasionnels », ils sont bien plus nombreux encore : un enfant sur deux serait concerné ! « Ces données sont inquiétantes » poursuivent les auteurs. Le principal facteur de risque est sans surprise le tabagisme passif : « si l’un des parents est fumeur, le risque de ronflement pour le petit avoisine les 60%. Et il double si les deux parents fument ».
L’enjeu est de taille. Un ronflement précoce expose davantage à des risques de complications respiratoires : toux chronique, sifflements respiratoires, infections ORL à répétition… D’où la nécessité pour les parents de bien tendre l’oreille lorsque Bébé dort. Au moindre doute, parlez-en à son pédiatre.
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Diabétiques, doucement sur le café !
[30 janvier 2008 - 14:09]
Le petit noir sera-t-il bientôt interdit aux diabétiques ? Nous n’en sommes pas encore là, mais les résultats d’une étude américaine démontrent clairement que la caféine augmente la glycémie. Seul bémol mais il est… de taille, ce travail n’a concerné que 10 patients.
Des amateurs de café en l’occurrence, et qui souffraient d’un diabète de type 2. Tous suivaient un régime alimentaire adapté à leur maladie, et pratiquaient une activité physique régulière. Au cours du premier jour de son expérience, le Pr James Lane de la Duke University leur a administré des gélules contenant l’équivalent de 4 tasses de café. Puis le second jour, les participants ont ingurgité un « placebo ».
Au terme de cette petite étude, l’auteur a constaté une augmentation moyenne de 8% de la glycémie au cours de la première journée. Pour l’heure, aucune explication n’est proposée. Seule une hypothèse est envisagée, basée sur le fait que « la caféine augmente la production d’adrénaline, une hormone qui participe à l’élévation de la glycémie ».
Il est donc indispensable d’étendre ce travail à des cohortes plus larges. En attendant le café et le thé -la théine de ce dernier est en fait un équivalent de la caféine- sont permis mais avec modération… Pour les adeptes du principe de précaution, il existe la solution du thé rouge, autrement appelé le rooibos. Cultivé en Afrique du Sud, il est dépourvu de théine et riche en vitamine C.
[30 janvier 2008 - 14:09]
Le petit noir sera-t-il bientôt interdit aux diabétiques ? Nous n’en sommes pas encore là, mais les résultats d’une étude américaine démontrent clairement que la caféine augmente la glycémie. Seul bémol mais il est… de taille, ce travail n’a concerné que 10 patients.
Des amateurs de café en l’occurrence, et qui souffraient d’un diabète de type 2. Tous suivaient un régime alimentaire adapté à leur maladie, et pratiquaient une activité physique régulière. Au cours du premier jour de son expérience, le Pr James Lane de la Duke University leur a administré des gélules contenant l’équivalent de 4 tasses de café. Puis le second jour, les participants ont ingurgité un « placebo ».
Au terme de cette petite étude, l’auteur a constaté une augmentation moyenne de 8% de la glycémie au cours de la première journée. Pour l’heure, aucune explication n’est proposée. Seule une hypothèse est envisagée, basée sur le fait que « la caféine augmente la production d’adrénaline, une hormone qui participe à l’élévation de la glycémie ».
Il est donc indispensable d’étendre ce travail à des cohortes plus larges. En attendant le café et le thé -la théine de ce dernier est en fait un équivalent de la caféine- sont permis mais avec modération… Pour les adeptes du principe de précaution, il existe la solution du thé rouge, autrement appelé le rooibos. Cultivé en Afrique du Sud, il est dépourvu de théine et riche en vitamine C.
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Obésité: Bruxelles veut mieux étiqueter les aliments, mais épargne l'alcool
Il y a 19 heures
BRUXELLES (AFP) — Désireux de mieux informer les consommateurs et de lutter contre l'obésité croissante des Européens, Bruxelles veut rendre obligatoire l'étiquetage nutritionnel des denrées alimentaires mais épargne en revanche largement les boissons alcoolisées.
L'objectif affiché mercredi par le commissaire européen à la Santé Markos Kyprianou est de "donner au consommateur européen les moyens de faire le choix d'une alimentation équilibrée", en précisant les informations essentielles "de façon claire et lisible" sur les étiquettes.
Plus de la moitié de population adulte et un quart des écoliers de l'UE souffrent de surcharge pondérale ou d'obésité.
La proposition de la Commission prévoit d'apposer à l'avant des paquets d'aliments et de boissons une étiquette détaillant valeur énergétique ainsi que la présence de glucides, sucre, lipides, acides gras saturés et sel.
Ils seront indiqués en valeur absolue, pour cent grammes ou cent millilitres de produit, voire pour une portion, mais la présentation sera choisie librement, selon ce nouveau texte appelé à remplacer et simplifier huit lois existantes.
Une mention séparée sur l'apport nutritionnel journalier recommandé deviendra également obligatoire.
La Commission s'est aussi attaquée aux "alcopops", ces boissons alcoolisées et sucrées très en vogue chez les jeunes, qui devront être dûment étiquetées.
Mais sous la pression d'un certain nombre de pays producteurs et alors même qu'une ambitieuse réforme du secteur viticole a été entamée, le vin, la bière et les spiritueux ont été temporairement exclus.
Un rapport, produit dans cinq ans, décidera de conserver ou non ces dérogations. "Les consommateurs ont également besoin d'avoir accès à des informations sur les boissons alcoolisées", a souligné M. Kyprianou, en notant que la question rendant toutefois nécessaire "davantage de travail".
Trois tentatives législatives ont échoué en l'espace de plus de vingt-cinq ans pour mieux étiqueter le contenu de la bière, du vin et des spiritueux.
Les produits frais non traités, comme les fruits et légumes, n'auront pas besoin d'être étiquetés, tout comme certains produits emballés en-dessous d'une certaine taille comme des bonbons.
Concernant l'information par étiquetage sur les ingrédients entrant dans la composition d'un aliment -déjà assujettie à un certain nombre d'obligations-, les caractères d'imprimerie devront à l'avenir satisfaire à une taille minimum réglementaire (3 mm de hauteur). Nombre de consommateurs se plaignent en effet du manque de lisibilité des étiquettes.
Pour des raisons de santé publique, l'obligation actuelle d'étiquetage des allergènes sera en outre étendue aux denrées alimentaires non emballées, vendues dans les magasins, mais aussi les restaurants et les cantines.
Une liste de produits allergènes devant être mentionnés sur les étiquettes -dont les cacahuètes, le lait, le poisson et la moutarde- existe déjà au niveau européen.
En revanche, l'indication de l'origine géographique des aliments restera facultative dans l'UE. Si un producteur décide de préciser l'origine d'un produit, il sera toutefois tenu de fournir la provenance des principaux ingrédients s'ils viennent d'ailleurs. On pourrait ainsi lire "beurre produit en Belgique avec du lait danois".
Toutes ces obligations nouvelles n'empêcheront toutefois pas les Etats membres qui le souhaitent d'inscrire d'autres éléments sur le paquet. "Une simplification ne signifie pas un abaissement des normes pour les consommateurs", a insisté M. Kyprianou.
Une fois le règlement adopté, la Commission entend donner trois ans à l'industrie agroalimentaire pour s'adapter (cinq ans aux petites entreprises de moins de 10 employés).
Il y a 19 heures
BRUXELLES (AFP) — Désireux de mieux informer les consommateurs et de lutter contre l'obésité croissante des Européens, Bruxelles veut rendre obligatoire l'étiquetage nutritionnel des denrées alimentaires mais épargne en revanche largement les boissons alcoolisées.
L'objectif affiché mercredi par le commissaire européen à la Santé Markos Kyprianou est de "donner au consommateur européen les moyens de faire le choix d'une alimentation équilibrée", en précisant les informations essentielles "de façon claire et lisible" sur les étiquettes.
Plus de la moitié de population adulte et un quart des écoliers de l'UE souffrent de surcharge pondérale ou d'obésité.
La proposition de la Commission prévoit d'apposer à l'avant des paquets d'aliments et de boissons une étiquette détaillant valeur énergétique ainsi que la présence de glucides, sucre, lipides, acides gras saturés et sel.
Ils seront indiqués en valeur absolue, pour cent grammes ou cent millilitres de produit, voire pour une portion, mais la présentation sera choisie librement, selon ce nouveau texte appelé à remplacer et simplifier huit lois existantes.
Une mention séparée sur l'apport nutritionnel journalier recommandé deviendra également obligatoire.
La Commission s'est aussi attaquée aux "alcopops", ces boissons alcoolisées et sucrées très en vogue chez les jeunes, qui devront être dûment étiquetées.
Mais sous la pression d'un certain nombre de pays producteurs et alors même qu'une ambitieuse réforme du secteur viticole a été entamée, le vin, la bière et les spiritueux ont été temporairement exclus.
Un rapport, produit dans cinq ans, décidera de conserver ou non ces dérogations. "Les consommateurs ont également besoin d'avoir accès à des informations sur les boissons alcoolisées", a souligné M. Kyprianou, en notant que la question rendant toutefois nécessaire "davantage de travail".
Trois tentatives législatives ont échoué en l'espace de plus de vingt-cinq ans pour mieux étiqueter le contenu de la bière, du vin et des spiritueux.
Les produits frais non traités, comme les fruits et légumes, n'auront pas besoin d'être étiquetés, tout comme certains produits emballés en-dessous d'une certaine taille comme des bonbons.
Concernant l'information par étiquetage sur les ingrédients entrant dans la composition d'un aliment -déjà assujettie à un certain nombre d'obligations-, les caractères d'imprimerie devront à l'avenir satisfaire à une taille minimum réglementaire (3 mm de hauteur). Nombre de consommateurs se plaignent en effet du manque de lisibilité des étiquettes.
Pour des raisons de santé publique, l'obligation actuelle d'étiquetage des allergènes sera en outre étendue aux denrées alimentaires non emballées, vendues dans les magasins, mais aussi les restaurants et les cantines.
Une liste de produits allergènes devant être mentionnés sur les étiquettes -dont les cacahuètes, le lait, le poisson et la moutarde- existe déjà au niveau européen.
En revanche, l'indication de l'origine géographique des aliments restera facultative dans l'UE. Si un producteur décide de préciser l'origine d'un produit, il sera toutefois tenu de fournir la provenance des principaux ingrédients s'ils viennent d'ailleurs. On pourrait ainsi lire "beurre produit en Belgique avec du lait danois".
Toutes ces obligations nouvelles n'empêcheront toutefois pas les Etats membres qui le souhaitent d'inscrire d'autres éléments sur le paquet. "Une simplification ne signifie pas un abaissement des normes pour les consommateurs", a insisté M. Kyprianou.
Une fois le règlement adopté, la Commission entend donner trois ans à l'industrie agroalimentaire pour s'adapter (cinq ans aux petites entreprises de moins de 10 employés).