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Le forum de l'admission en IFSI

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Juju5544
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Message par Juju5544 »

De nombreux conseils par ici.

Bonne lecture :clin:
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doudoufighter
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Message par doudoufighter »

Tu peux surveiller le contenu des emissions de la 5 comme le mag de la santé bien sûr mais aussi c'est dans l'air.
L'avantage, c'est que les vidéos sont disponibles sur internet pendant une semaine, donc tu peux zapper ce qui ne te semble pas interessant.
Tu peux également t'inscrire aux alertes Google pour revoir des informations en fonction de mots clés.
charlotte20
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Message par charlotte20 »

salut :
il y a un truc simple et interressant aussi c'est de regarder les informations ..journal télévisée ...finalement on connais après tous les plus grands sujets d'actualités !
Rosalie

Message par Rosalie »

Plan autisme: 4.100 places sur cinq ans, ouverture à de "nouvelles méthodes"
AFP - Vendredi 16 mai, 12h43

PARIS (AFP) - Le gouvernement a annoncé vendredi la création de 4.100 places supplémentaires en cinq ans pour accueillir les autistes, améliorer le diagnostic et l'expérimentation de nouvelles méthodes de prise en charge, dans le cadre d'un plan visant à "faire sortir les autistes du ghetto".


Le coût global de ce plan triennal s'élève à 187 millions d'euros, ont indiqué vendredi la ministre de la Santé Roselyne Bachelot et la secrétaire d'Etat à la Solidarité Valérie Létard en rendant public leur plan autisme 2008-2010, très attendu des familles.

Pour améliorer l'accueil, il est annoncé la création, sur cinq ans, soit une durée plus longue que le plan, de 4.100 places, dont 1.500 pour enfants. Le premier plan 2005-2007 avait permis la création, sur trois ans, de 2.830 places, dont 1.530 pour enfants.

La création de petites unités de vie est encouragée, ainsi que l'internat souple et les structures expérimentales de "décompression" pour les adolescents. Les établissements médico-sociaux sont appelés à adapter leur prise en charge aux "aspirations nouvelles" des familles.

"On part de très loin, bien sûr ce n'est pas suffisant" a reconnu Mme Létard devant la presse, en soulignant "l'ambition" du gouvernement: "que plus personne en France ne puisse encore ignorer ce qu'est l'autisme".

Alors que les professionnels en France se divisent sur les méthodes de prise en charge des autistes (psychiatrie ou approche comportementale), le gouvernement souhaite recenser ce qui existe et permettre une expérimentation de nouvelles méthodes, en conduisant une réflexion juridique et éthique sur les droits fondamentaux des personnes touchées par l'autisme.

L'accent est mis aussi sur l'amélioration du diagnostic, en prévoyant des expérimentations en régions sur des dispositifs d'annonce personnalisée, pour lesquels un appel à projets est lancé.

Les professionnels de santé, les enseignants et auxiliaires de vie scolaire seront formés pour mieux accueillir et accompagner les autistes, pour lesquels seront expérimentés, dans dix départements volontaires, de nouveaux types de lieux de vie et de travail.

Le plan prévoit enfin le renforcement des connaissances scientifiques et de pratiques de terrain, qui feront l'objet d'un document largement diffusé.

La recherche sur l'autisme et les troubles envahissants du développement (TED) sera encouragée pour un coût global de 5,45 millions d'euros.

Pour Mme Bachelot, "il faut sortir les autistes du ghetto". "Sur huit ans d'études médicales, seules deux heures sont consacrées à l'autisme" a-t-elle déploré.

L'actrice Sandrine Bonnaire, qui a contribué à dénoncer les carences de prise en charge en France, avec son film "Elle s'appelle Sabine", était présente lors de la conférence de presse. "Bien sûr ce n'est pas suffisant", a-t-elle dit, "il y a tellement de demandes et de besoins mais les choses ne peuvent pas se faire comme ça". "C'est à la fois une goutte d'eau, mais il y a des progrès sur le plan de la qualité, il y a une vraie volonté de l'Etat", a-t-elle dit.
Rosalie

Message par Rosalie »

Tueurs en série du futur : cancers, maladies cardiovasculaires et route

20/05/2008 16:00

En 2030, trois causes de décès vont davantage se développer selon une récente étude de l'OMS : les maladies cardiaques, les accidents cérébro-vasculaires et les maladies pulmonaires obstructives chroniques.

D'ici 25 ans, l'homme va devoir affronter une nouvelle menace : mourir d'un cancer, d'une maladie cardiovasculaire ou d'un accident de la route. A eux seuls, ces trois fléaux seront la cause de 30% des décès dans le monde en 2030, selon une étude de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

« Globalement, les morts par cancer vont augmenter de 7,4 millions en 2004 à 11,8 millions en 2030 (+59,46%), et le nombre des décès par maladies cardiovasculaires va passer durant la même période de 17,1 millions à 23,4 millions (+36,84%) » détaille l'étude.
Le tabac, un facteur puissant dans le processus de mortalité

"La plus grande part de l'augmentation des maladies pulmonaires obstructives chroniques est associée à l'augmentation prévue de la consommation de tabac" a prédit l'OMS.

L'ensemble des maladies associées au tabac ont causé la mort de 5,4 millions de personnes en 2004 et un quart de siècle plus tard en tueront 8,3 millions dont 80% dans les pays en voie de développement. En moyenne, un fumeur perd 15 années de vie rappelle l'organisation, en déplorant que les mesures de prévention du tabagisme ne touchent pas plus de 5% de la population mondiale.
Second facteur : les accidents de la route

Le nombre de morts dans des accidents de la route va presque doubler, passant de 1,3 million à 2,4 millions entre 2004 et 2030. Selon l'OMS ce bilan proviendrait de "l'augmentation du nombre de propriétaires de véhicules à moteur et de l'utilisation de ceux-ci à la faveur de la croissance économique dans les pays à faible et moyen revenu".

Levif.be avec Belga
Rosalie

Message par Rosalie »

La France peut carburer au Red Bull


La France entre dans l'arène. Dernier pays européen avec le Danemark à interdire la boisson énergisante Red Bull (« taureau rouge »), elle a finalement décidé d'en autoriser la vente dès à présent. Le ministère de l'Economie a donné son feu vert ce week-end, passant outre les recommandations des autorités sanitaires nationales. Celles-ci dénonçaient jusqu'à présent les « effets neuro-comportementaux indésirables » de la taurine, acide aminé contenu dans les canettes de Red Bull. Insomnie, tachycardie, nervosité, troubles cardio-vasculaires sont les effets les plus fréquemment cités. Et « l'intérêt nutritionnel » du Red Bull n'a toujours pas été démontré, selon l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments.

Même si le fabricant déconseille toute association du Red Bull à de l'alcool, les pratiques sont tout autres, notamment celles des jeunes. En soirée, le Red Bull est fréquemment mélangé à de la vodka ou à du champagne. Plusieurs adeptes, interrogés par 20 Minutes, le confirment. « J'ai testé la vodka-Red Bull avec des amis, un soir à Bruxelles. Le mélange est explosif, on a passé la nuit à sauter dans tous les sens, en surconsommant de l'alcool. Le lendemain, la gueule de bois était minimale, mais j'avais des trous de mémoire », se souvient Frédéric. S'il regrette, lui, « le goût de médicament chimique », Grégory, reconnaît « l'effet tonique ». « J'étais surpris de ne pas m'endormir avant le petit matin avec tout l'alcool ingurgité », explique ce trentenaire.

Bastien Bonnefous - ©2008 20 minutes
20 Minutes, éditions du 20/05/2008 - 07h09
Rosalie

Mères porteuses : la France de plain-pied dans le débat

Message par Rosalie »

Mères porteuses : la France de plain-pied dans le débat
Famille. La gestation pour autrui est désormais soutenue par des parlementaires.

CHARLOTTE ROTMAN
QUOTIDIEN : vendredi 23 mai 2008

C’est une période charnière. Taboue, voire refoulée il y a peu, la question des mères porteuses revient dans le débat français. Mais pas pour faire mouliner les fantasmes, ni pour alimenter les anathèmes. Aujourd’hui, les instances médicales et législatives réfléchissent très sérieusement à encadrer légalement le recours à une gestatrice pour abriter, le temps d’une grossesse, l’embryon d’un couple infertile qui seront les parents de l’enfant. Une pratique interdite en France par la loi de bioéthique, qui doit être révisée l’année prochaine.

En octobre 2007, la justice française a reconnu que Sylvie et Dominique Mennesson - un couple qui, en 2000, avait eu des jumelles grâce à une mère porteuse de Californie (la méthode y est légale) - étaient bien les «parents» des petites. Depuis cette victoire historique, sur laquelle la Cour de cassation rendra un arrêt fin juin, les auditions se multiplient.

Les questions ne tournent plus autour de la légitimité - pourquoi légaliser la gestation pour autrui (GPA) ? - mais se focalisent sur les conditions - comment ? sur quels critères ? avec quels garde-fous ? Le Sénat s’apprête à rendre un rapport favorable à l’encadrement de cette pratique. «Il faut légiférer», affirme Michèle André, sénatrice socialiste de Puy-de-Dôme, qui préside le groupe de travail.

«Recul». L’histoire de Sylvie et Dominique Mennesson est imbriquée dans le combat pour la levée de l’interdiction de la GPA. C’est un couple emblématique, le seul à témoigner à visages découverts sur cette question. A leur retour en France, il y a sept ans, ils ont été accusés «d’enlèvements d’enfants» et d’«adoption frauduleuse».

Aujourd’hui, le débat a évolué. «On a montré que les frontières n’étaient pas étanches, qu’on ne pouvait pas faire une police des maternités», constate Dominique. Hier à Paris, ils ont inventé des amis, des adhérents de leur association Clara qui ont fait appel à une gestatrice ou souhaitent le faire, des experts (psychanalyste, médecins…). Ils ont présenté leur livre (1), «pas un mode d’emploi» mais un témoignage pour «sensibiliser». «Il y a une accélération de l’histoire, constatent-ils. Le prêt-à-penser est en train d’exploser. On confronte les gens aux pratiques à l’étranger. Aujourd’hui, on a le recul, et l’expérience.» Le couple a remarqué de plus en plus de ralliements : «On ne trouve plus de médecins pour faire campagne contre. Et certains disent tout haut qu’ils sont pour.» Dans la confidentialité des cabinets médicaux, de plus en plus de gynécologues acceptent de conseiller les couples en chemin vers la GPA, à l’étranger.

Plaider. Depuis la dernière décision de la cour d’appel en leur faveur, Sylvie et Dominique sont allés plaider à l’Académie de médecine, au Sénat ; le 10 juin, ils iront devant l’office parlementaire chargé de réfléchir à l’évolution des lois bioéthiques. «Très vite on aborde des choses très pointues. Il n’y a plus d’idéologie», relève Dominique. Les questions sont concrètes. Quelles indications médicales ? Comment recruter les mères porteuses ? Doit-on les défrayer ? Quel organe de régulation ?, etc. A la tête d’une autre association (Maia) qui aide les couples infertiles, Laure Camborieux a également constaté ce regain d’intérêt : «Tout le monde recherche des pistes. On sent moins de résistances.» Une «nounou» est même venue expliquer pourquoi elle avait accepté de porter l’enfant d’un couple. Les Mennesson ont raconté qu’il fallait «encourager la relation, entre les deux femmes, et les deux couples», comme eux l’ont fait avec Mary, l’«amie» californienne.

Inventer. Au Sénat, Michèle André a mené une cinquantaine d’auditions. Son groupe de travail, crée à la suite de la décision de justice concernant les Mennesson, s’est également rendu en Grande-Bretagne. «Au début, il a fallu réexpliquer à certains sénateurs ce qu’était un ovocyte, ou un gamète [les cellules reproductrices, ndlr]», sourit-elle. Après plusieurs mois de travail, la voilà convaincue : «On ne peut pas laisser des femmes françaises en difficulté pour porter des enfants, par exemple celles qui n’ont pas d’utérus, partir à l’étranger pour un tourisme procréatif. Ce n’est pas satisfaisant.» D’autant, estime-t-elle, que quand «les parents intentionnels» reviennent, leurs enfants sont «dans le flou juridique».Elle pense qu’il faut «aider ces femmes» infertiles et clarifier l’état civil des enfants. Sa position n’est «pas unanime», mais elle est partagée par d’autres parlementaires, «à gauche comme à droite». Elle souhaite déboucher sur une proposition de loi.

Les filles de Sylvie et Dominique ont compris qu’ils avaient inventé «une nouvelle façon de faire les bébés». L’une d’elles a expliqué à l’école, que parfois la «maman n’a pas de sac» et qu’il faut demander «à une autre dame». «On a réussi à les préserver mais avec l’affaire judiciaire, elles sont inquiètes. Cela leur revient comme un bomerang.» Dominique et Sylvie, qui ont accepté de ne plus se cacher espèrent que d’autres couples «vont prendre la relève».

(1) Interdits d’enfants, éd. Michalon, (sortie le 29 mai).

http://www.liberation.fr/actualite/soci ... 742.FR.php

Plus d'infos avec une entrevue avec Michèle André, sénatrice socialiste du Puy-de-Dôme ici :
http://www.la-croix.com/article/index.jsp?docId=2338111&rubId=4076
Rosalie

Message par Rosalie »

Journée mains propres à l’hôpital avec Roselyne Bachelot

"Des mains désinfectées, des risques évités" : tel est le slogan de la première journée nationale sur l’hygiène des mains, qui se tient ce vendredi 23 mai. Cette journée, annoncée en janvier dernier par la ministre de la santé Roselyne Bachelot, a pour but d’informer et sensibiliser les patients et les professionnels de santé sur les gestes à faire pour réduire les risques d’infections nosocomiales.

Absentes au moment de l’admission du patient, les infections nosocomiales sont contractées à l’hôpital. Elles touchent 7% des patients hospitalisés, soit près de 800.000 personnes par an.

A l’occasion de cette première journée nationale sur l’hygiène des mains, Roselyne Bachelot visite le centre chirurgical Marie Lannelongue (PSPH) au Plessis-Robinson, dans les Hauts-de Seine. Elle doit discuter avec le personnel de l’établissement sur les nouveaux outils pédagogiques, les affiches et les plaquettes que le ministère de la santé a mis à leur disposition.

Une charte d’engagement en 10 points sera signée par le directeur et le président de la commission médicale d’établissement (CME) du centre. Développement d’une politique "mains sans bijou", généralisation de l’installation de distributeurs de produits hydro-alcooliques dans les chambres et à aux postes de soins, achat de produits pour la friction des mains aux normes européennes... constituent quelques-uns des points clés de cette charte.

Le site du ministère de la santé proposera bientôt deux clips vidéo de sensibilisation, actuellement visibles sur le site du Centre de coordination de la lutte contre les infections nosocomiales (Cclin) Sud-Ouest : www.cclin-sudouest.com.

Différents hôpitaux participent à cette première journée nationale sur l’hygiène des mains. Avec différentes animations. A l’hôpital Saint-Joseph à Paris, par exemple, on a prévu une "boitacoucou" où chacun aura la possibilité de tester la qualité de la désinfection de ses mains.
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aneso81
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Message par aneso81 »

Une contraception pour 5 ans, sans y penser

[23 mai 2008 - 08:30]

La contraception intra-utérine connait un succès grandissant en France. Au point qu’elle se place désormais en deuxième position, juste après la pilule contraceptive. Mais il y a « stérilet » et « stérilet ». Si le traditionnel dispositif en cuivre existe toujours, les femmes se tournent de plus en plus vers les « systèmes Intra-Utérins » (SIU) diffuseurs de progestatif. Une voie contraceptive plus souple et mieux tolérée.

« Il s’agit d’une nouvelle catégorie de stérilet, qui délivre de manière régulière une petite quantité de progestérone » nous explique le Pr Patrick Thonneau. Pour ce gynécologue-obstétricien à l’hôpital Paule de Viguier (Toulouse) et Directeur de recherche INSERM, « le SIU hormonal s’est avéré plus efficace que les DIU les plus fortement chargés en cuivre.

« Cette méthode est particulièrement appréciée des femmes qui viennent d’avoir un enfant. » A tel point qu’aujourd’hui, une sur deux s’est déjà tournée vers le SIU hormonal. Son avantage ? « Une diminution non négligeable des règles, en durée comme en intensité. Il apporte à la fois une meilleure efficacité contraceptive et une qualité de vie améliorée… et se fait oublier ! »

Mieux « il n’existe pas d’effets secondaires connus, si ce n’est l’acceptation par la femme d’un petit corps étranger à l’intérieur de soi. Les seules contraintes sont donc des examens de contrôle réguliers. » Le SIU hormonal permet ainsi un confort plus important. Quant à sa durée d’utilisation, « elle est progressivement passée de 3 ans à 5 ans. Avec un retour rapide à la fertilité après son retrait, le SIU hormonal peut-être retiré dès un nouveau désir de grossesse . » Ce qui en fait une contraception vraiment adaptée à la vie active de la femme moderne !
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Message par aneso81 »

La spondylarthrite ? Un mal de dos, mais pas seulement…

[23 mai 2008 - 12:39]

Quel lien peut-il bien exister entre un mal de dos et… la perte d’acuité visuelle ? Comme le précise le Pr Philippe Goupille rhumatologue à Tours, « nous ne connaissons pas les mécanismes physiologiques qui permettent de l’expliquer. Mais toujours est-il que 20% à 30% des malades qui souffrent de spondylarthrite ankylosante font des uvéites ».

Une uvéite est une inflammation de l’uvée, une membrane de l’œil qui comprend notamment l’iris et les corps ciliaires. Cette affection se traduit le plus souvent par une rougeur locale associée à une douleur, laquelle n’a rien de commun avec la sensation de « grain de sable » typique d’une conjonctivite.

« Une uvéite nécessite un traitement d’urgence pour éviter des complications et une perte au moins partielle de la vision » explique Philippe Goupille. « Un œil rouge et douloureux doit entraîner la consultation d’un ophtalmologue ». C’est un conseil à suivre à la lettre, et cela lors de chaque épisode d’uvéite. Car c’est une affection qui tend à récidiver.

Outre des signes très caractéristiques, la spondylarthrite ankylosante entraîne dans son sillage un cortège de troubles associés, que les spécialistes qualifient « d’extra-articulaires ». L’uvéite en fait partie, mais pas seulement. D’autres manifestations peuvent survenir, comme une douleur au talon… qui présente la caractéristique singulière de s’améliorer à la marche. Voilà pourquoi si vous êtes traité pour un « mal de dos », surtout persistant et si vous avez des douleurs oculaires ou dans le talon, vous devez en parler sans tarder à votre médecin traitant. Il vous enverra certainement voir un spécialiste.
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Message par aneso81 »

Handicap : avion ou train, préparez vos vacances

[23 mai 2008 - 14:46]

Vaccinations, trousse à pharmacie, médicaments… Lointain ou non, un voyage ne s’improvise jamais. Encore moins lorsque l’on est en situation de handicap. Vous êtes concerné ? Notez bien ces quelques conseils pratiques avant de réserver votre prochain lieu de villégiature.

Si vous optez pour le train, sachez que la SNCF a mis en place le service Accès Plus pour vous accompagner gratuitement et « sans rupture depuis l’entrée en gare de départ jusqu’à la sortie de la gare d’arrivée ». A ce jour, 348 gares françaises proposent ce service.

Comme le précise la SNCF, « trois publics de personnes handicapées sont concernés » : les titulaires d’une carte d’invalidité ; les titulaires d’une carte « réformé/pensionné de guerre », quel que soit leur taux d’invalidité et les « clients utilisateurs d’un fauteuil roulant dans leur vie quotidienne et qui arrivent en gare avec leur fauteuil ». Pour tout savoir, rendez-vous sur le site d’Accès Plus ou téléphonez au 0890 640 650 (0,11 € TTC/mn) de 7h à 22h.

Vous avez choisi la voie des airs ? Signalez votre état de santé dès votre réservation, en précisant à l’agence de voyage vos éventuels besoins spécifiques. Si vous voyagez avec Air France, contactez SAPHIR, le Service d’Assistance aux Personnes Handicapées pour les Informations et les Réservations au 0820 01 24 24 (0,12 € TTC/min), de 9 h à 19 h du lundi au vendredi et de 9 h à 18 h le samedi.

Notez enfin que certains sites internet d’aéroports français contiennent des informations pratiques dédiées aux personnes à mobilité réduite. C’est le cas des aéroports de Paris, Lyon, Nice ou Toulouse. N’hésitez pas à les consulter, y compris si vous êtes accompagnant.
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Message par pingou38 »

J'aurai aimé participer mais il est trop tard vu que les concours sont quasiment terminés.
ESI 2008/2011 Henri Mondor

Infectieux, cardio validé
1ere msp validé
Rosalie

Message par Rosalie »

pingou38 a écrit :J'aurai aimé participer mais il est trop tard vu que les concours sont quasiment terminés.


Il n'est jamais trop tard.
Les oraux ne font que commencer dans beaucoup d'IFSI :clin:
Rosalie

Message par Rosalie »

Par chance, le pacte suicidaire a échoué

Trois jeunes gens ont été sauvés, jeudi, après avoir tenté de mettre fin à leurs jours, dans le Nord. Ils avaient planifié leur suicide via Internet.

La Bretonne de 22 ans, le Lillois de 23 ans et la Tourangelle de 19 ans s'étaient garés, jeudi, vers 2 h du matin, en forêt de Mormal (Nord). Jusqu'à ce jour, ils ne se connaissaient pas de visu, mais étaient entrés en communication via un forum consacré au suicide, sur Internet. La voiture avait été stationnée le long d'un chemin, un tuyau relié au pot d'échappement.

« Une des jeunes filles, qui avait changé d'avis au cours de la nuit, a quitté la voiture et a demandé l'aide d'un automobiliste qui l'a amenée à l'hôpital de Maubeuge », indique le capitaine Thierry Bride, de la gendarmerie d'Avesnes-sur-Helpe. Elle n'aurait pas révélé la présence de ses compagnons.

Ce sont des bûcherons, au petit matin, qui ont secouru les deux autres jeunes gens, encore vivants en dépit de l'absorption de gaz d'échappement et de médicaments. Ils ont été hospitalisés à Maubeuge et leurs jours ne sont plus en danger.

Internet facilite le passage à l'acte ?

La rubrique « suicide » du site utilisé par les jeunes gens a été fermée. L'enquête judiciaire est entre les mains du procureur de la République qui devrait éventuellement décider de poursuites à l'encontre de l'hébergeur du site.

L'impact d'Internet sur les suicides collectifs défraie la chronique. Le phénomène aurait démarré au Japon où plusieurs cas spectaculaires ont été relevés ces dernières années. Fin avril, la police japonaise a demandé aux fournisseurs d'accès à Internet de retirer toute information permettant de concocter un gaz mortel, utilisé récemment par plusieurs dizaines de personnes pour mettre fin à leurs jours.

La responsabilité de sites a également été soulevée dans la série noire de Brigbend, cette localité du sud-ouest du pays de Galles où dix-neuf jeunes gens ont mis fin à leurs jours en l'espace de quinze mois. Mais il semble que la plupart de ces jeunes se connaissaient déjà.

Selon une étude britannique sur l'influence des sites dédiés au suicide, publiée dans le British Medical Journal, l'entrée d'une combinaison de mots-clés relatifs au suicide renvoie en priorité sur des sites facilitant le passage à l'acte plutôt que sur des sites de prévention. En France, une cellule, basée à Rosny-sous-Bois, traque les sites qui incitent au suicide. Cependant, les statistiques sont formelles. Le suicide des 15-24 ans, gros consommateurs d'Internet, a baissé de 36 % depuis dix ans.
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Message par aneso81 »

Ne sautez jamais votre déjeuner !

[28 mai 2008 - 12:15]

Peut-on déjeuner vite et bien ? Cette question, des milliers de femmes et d’hommes se la posent tous les midis. Et les bonnes réponses ne manquent pas ! En ville surtout, bien des salariés n’ont pas le temps de déjeuner. Ou plutôt ne prennent pas ce temps.

Une pomme et des petits gâteaux cachés dans le tiroir du bureau sont souvent le seul repas au travail. Pourtant quel que soit le budget, il est toujours possible de s’offrir un repas équilibré pour le déjeuner de midi. Au café du coin, un sandwich jambon-fromage avec une salade, un verre d’eau et une tasse de café suffisent pour une ration convenable.

Sur le pouce et au bureau, ce n’est pas plus compliqué. Du pain, un oeuf dur, une ou deux tomates et pour finir, un yaourt ou une portion de fromage. Vous n’aurez peut-être pas le sentiment d’avoir "bien mangé" sur un plan gastronomique. Mais pour ce qui est de la diététique, ce sera tout à fait satisfaisant. Et infiniment mieux que de sauter un repas.
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