Culture Générale
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aneso81
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Cancer de la thyroïde : une étude rassurante pour les futures mamans
[28 mai 2008 - 13:59]
Chaque année en France, près de 6 700 cancers de la thyroïde sont diagnostiqués. Les trois quarts des patients sont des femmes, souvent jeunes. Le traitement habituel, par l’iode radioactif les exposent-elles à des risques spécifiques en cas de grossesse ? Une étude française lève le voile sur ce point, rassurant les candidates à la maternité.
Lorsqu’un cancer de la thyroïde est diagnostiqué, le traitement consiste en l’ablation de cette glande située à la base du cou. Dans la plupart des cas elle est suivie d’un traitement à l’iode radioactif, pour détruire les cellules cancéreuses subsistant après la chirurgie.
Pour savoir si ce traitement permet d’envisager sans risque une grossesse, Florent de Vathaire et son équipe de l’unité mixte INSERM/Institut Gustave Roussy (Villejuif) ont suivi 2 673 futures mères. Parmi ces dernières, 1 126 avaient été traitées pour un cancer de la thyroïde dans 4 centres, en France et en Italie.
Leur travail a « permis d’établir pour la première fois, que l’iode radioactif administré pour le traitement de ces cancers n’augmentait ni le risque de fausse couche, ni celui de prématurité. Le risque de mettre au monde un bébé de faible poids n’est pas plus élevé non plus ».
[28 mai 2008 - 13:59]
Chaque année en France, près de 6 700 cancers de la thyroïde sont diagnostiqués. Les trois quarts des patients sont des femmes, souvent jeunes. Le traitement habituel, par l’iode radioactif les exposent-elles à des risques spécifiques en cas de grossesse ? Une étude française lève le voile sur ce point, rassurant les candidates à la maternité.
Lorsqu’un cancer de la thyroïde est diagnostiqué, le traitement consiste en l’ablation de cette glande située à la base du cou. Dans la plupart des cas elle est suivie d’un traitement à l’iode radioactif, pour détruire les cellules cancéreuses subsistant après la chirurgie.
Pour savoir si ce traitement permet d’envisager sans risque une grossesse, Florent de Vathaire et son équipe de l’unité mixte INSERM/Institut Gustave Roussy (Villejuif) ont suivi 2 673 futures mères. Parmi ces dernières, 1 126 avaient été traitées pour un cancer de la thyroïde dans 4 centres, en France et en Italie.
Leur travail a « permis d’établir pour la première fois, que l’iode radioactif administré pour le traitement de ces cancers n’augmentait ni le risque de fausse couche, ni celui de prématurité. Le risque de mettre au monde un bébé de faible poids n’est pas plus élevé non plus ».
Puéricultrice
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tigrounette
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En 2050, un Français sur trois aura plus de 60 ans
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 29.05.08 | 09h37
La France métropolitaine devrait compter 70 millions d'habitants en 2050, près d'un habitant sur trois devrait avoir plus de 60 ans, contre un sur cinq en 2005, et il ne devrait plus y avoir que 1,4 actif pour un inactif de plus de 60 ans, contre 2,2 en 2005, selon des études rendues publiques jeudi 29 mai.
La précédente projection de l'Insee (Institut national de la statistique et des études économiques), en 2001, faisait état d'une population de 64 millions d'habitants en 2050. L'institut a justifié sa révision à la hausse par une population de départ plus nombreuse, ainsi qu'une fécondité et un solde migratoire plus élevés.
Ces études sur des projections de population et d'actifs à l'horizon 2050 ont été publiées dans le dernier numéro de la revue Economie et Statistique de l'Insee. Le scénario central retenu par l'institut suppose la poursuite des tendances démographiques récentes, avec notamment une hypothèse de fécondité de 1,9 enfant par femme et un solde migratoire de 100 000 entrées nettes par an. "La population augmenterait sur toute la période projetée mais à un rythme de moins en moins rapide", écrit l'Insee. La croissance démographique serait ainsi de 0,11 % seulement en 2049, contre + 0,56 % en 2005 et jusqu'à + 0,8 % dans les années d'après-guerre.
LE NOMBRE DE SENIORS EN AUGMENTATION DE 50 % EN 45 ANS
La population vieillissant, le nombre de décès augmenterait fortement (773 000 en 2049 contre 531 000 en 2005) et dépasserait vers 2045 le nombre de naissances, selon le scénario central. Le solde naturel de population, en baisse depuis 2005, deviendrait alors négatif mais ce déficit naturel serait compensé par le solde migratoire positif. Avec ce vieillissement, la France métropolitaine compterait en 2050 22,3 millions de personnes âgées de 60 ans ou plus, soit 32 % de la population alors que cette proportion était d'un cinquième en 2005.
Au sommet de la pyramide des âges, l'effectif des 75 ans et plus passerait même de 4,9 à 10,9 millions entre 2005 et 2050 et celui des 85 ans et plus de 1,1 à 4,2 millions."Même si l'espérance de vie se stabilisait à son niveau de 2005, le nombre de personnes âgées de 60 ans ou plus augmenterait de 50 % en 45 ans", souligne l'étude.
Aucun scénario ne remet en cause la tendance au vieillissement de la population, note l'Insee tout en ajoutant que ce phénomène resterait toutefois moins marqué que dans la plupart des pays européens. Selon des projections établies en 2005 par Eurostat, l'agence de statistiques de l'Union européenne, l'Allemagne, notamment, devrait voir sa population baisser vers 2015 et, tout en restant le pays le plus peuplé de l'Union européenne, n'en représenterait plus que 19 % de la population à l'horizon 2050, contre 22 % en 2004. L'Italie et l'Espagne, de leur côté, auraient plus de 40 % de leur population au-dessus de 60 ans en 2050.
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 29.05.08 | 09h37
La France métropolitaine devrait compter 70 millions d'habitants en 2050, près d'un habitant sur trois devrait avoir plus de 60 ans, contre un sur cinq en 2005, et il ne devrait plus y avoir que 1,4 actif pour un inactif de plus de 60 ans, contre 2,2 en 2005, selon des études rendues publiques jeudi 29 mai.
La précédente projection de l'Insee (Institut national de la statistique et des études économiques), en 2001, faisait état d'une population de 64 millions d'habitants en 2050. L'institut a justifié sa révision à la hausse par une population de départ plus nombreuse, ainsi qu'une fécondité et un solde migratoire plus élevés.
Ces études sur des projections de population et d'actifs à l'horizon 2050 ont été publiées dans le dernier numéro de la revue Economie et Statistique de l'Insee. Le scénario central retenu par l'institut suppose la poursuite des tendances démographiques récentes, avec notamment une hypothèse de fécondité de 1,9 enfant par femme et un solde migratoire de 100 000 entrées nettes par an. "La population augmenterait sur toute la période projetée mais à un rythme de moins en moins rapide", écrit l'Insee. La croissance démographique serait ainsi de 0,11 % seulement en 2049, contre + 0,56 % en 2005 et jusqu'à + 0,8 % dans les années d'après-guerre.
LE NOMBRE DE SENIORS EN AUGMENTATION DE 50 % EN 45 ANS
La population vieillissant, le nombre de décès augmenterait fortement (773 000 en 2049 contre 531 000 en 2005) et dépasserait vers 2045 le nombre de naissances, selon le scénario central. Le solde naturel de population, en baisse depuis 2005, deviendrait alors négatif mais ce déficit naturel serait compensé par le solde migratoire positif. Avec ce vieillissement, la France métropolitaine compterait en 2050 22,3 millions de personnes âgées de 60 ans ou plus, soit 32 % de la population alors que cette proportion était d'un cinquième en 2005.
Au sommet de la pyramide des âges, l'effectif des 75 ans et plus passerait même de 4,9 à 10,9 millions entre 2005 et 2050 et celui des 85 ans et plus de 1,1 à 4,2 millions."Même si l'espérance de vie se stabilisait à son niveau de 2005, le nombre de personnes âgées de 60 ans ou plus augmenterait de 50 % en 45 ans", souligne l'étude.
Aucun scénario ne remet en cause la tendance au vieillissement de la population, note l'Insee tout en ajoutant que ce phénomène resterait toutefois moins marqué que dans la plupart des pays européens. Selon des projections établies en 2005 par Eurostat, l'agence de statistiques de l'Union européenne, l'Allemagne, notamment, devrait voir sa population baisser vers 2015 et, tout en restant le pays le plus peuplé de l'Union européenne, n'en représenterait plus que 19 % de la population à l'horizon 2050, contre 22 % en 2004. L'Italie et l'Espagne, de leur côté, auraient plus de 40 % de leur population au-dessus de 60 ans en 2050.
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Rosalie
Le WWF met en garde contre la contamination de l'homme aux P
Le WWF met en garde contre la contamination de l'homme aux PCB
LEMONDE.FR | 29.05.08 | 16h04 • Mis à jour le 29.05.08 | 17h21
e WWF "tire la sonnette d'alarme", à l'occasion de la publication, jeudi 29 mai, de "la première étude menée en France sur l'imprégnation de l'homme aux PCB", ou pyralènes, ces produits chimiques chlorés toxiques dont de fortes concentrations ont été relevées ces dernières années dans les poissons du Rhône.
Guillaume Llorca, responsable des investigations au WWF, à l'origine de cette étude menée par l'Association santé-environnement Provence sur un échantillon restreint (une soixantaine de volontaires), a dévoilé des résultats préoccupants : les personnes vivant près du Rhône et de la Seine, et consommant du poisson au moins une fois par semaine, présentent des taux de PCB dans le sang au moins cinq fois supérieurs au taux d'un groupe témoin en consommant peu. Pire : même des populations témoins, qui ne mangent pas ou très peu de poisson et ne vivent pas à proximité d'un fleuve pollué aux PCB sont contaminées par des PCB, à un niveau qui varie entre 5 et 15 picogrammes (millionième de millionième de gramme) par gramme de matière grasse dans le sang. "L'étude montre aussi le rapport avec l'alimentation : les personnes mangeant régulièrement du poisson d'eau douce connaissent un taux d'imprégnation bien supérieur. Troisième constat, géographique : l'imprégnation est plus forte pour les populations vivant près du Rhône, mais aussi près de la Seine", explique M. Llorca.
WWF estime que l'Etat doit consacrer des budgets à la recherche sur les pathologies liées aux PCB. "Des études menées à l'étranger, notamment aux Etats-Unis et en Espagne, montrent que les PCB constituent un des facteurs qui peut déclencher un cancer du sein chez la femme, du colon chez l'homme, des problème de fertilité, des problèmes neuro-psychiatriques au niveau des enfants, des pertes de QI..."
Au regard de ses résultats, l'association de défense de l'environnement appelle le gouvernement à accélérer l'étude à grande échelle sur l'imprégnation de la population française aux PCB, dont le lancement a été décidé lors d'une conférence interministérielle en février. "Le protocole est en cours de validation, l'étude doit débuter le 13 juin, mais les résultats définitifs ne sont attendus qu'en 2011, ce qui paraît loin", souligne M. Llorca. Il va aussi falloir travailler sur d'autres sources d'alimentation pouvant provoquer des imprégnations aux PCB – la viande, le lait, les œufs, souligne M. Llorca.
Dans l'immédiat, WWF appelle le ministère de la santé à faire de la prévention.
Enfin, l'ONG estime que la pollution aux PCB est la conséquence de pratiques industrielles toujours d'actualité. "Il faut bien sûr consacrer des moyens à la dépollution, mais aussi à arrêter cette pollution, dont nous tentons d'identifier les causes", précise le responsable de l'ONG.
M. Llorca estime que cette affaire montre l'urgence de la mise en œuvre, dans la loi, des décisions du Grenelle de l'environnement, "sur la mise en place de systèmes d'alerte, de prévention, et le principe pollueur-payeur".
Claire Ané
Les PCB, des produits chimiques autorisés jusqu'en 1987
Les polychlorobiphényles (PCB), communément appelés pyralènes, sont des produits chimiques chlorés toxiques, probablement cancérigènes, qui ont été utilisés comme isolants ou lubrifiants par l'industrie à partir des années 1930, jusqu'à leur interdiction en 1987.
Leur rejet dans l'environnement, associé au caractère persistant et non soluble de ces substances, a conduit à leur accumulation dans les sédiments des cours d'eau, puis dans les graisses de poissons de fond comme les anguilles, les brèmes ou les barbeaux.
LEMONDE.FR | 29.05.08 | 16h04 • Mis à jour le 29.05.08 | 17h21
e WWF "tire la sonnette d'alarme", à l'occasion de la publication, jeudi 29 mai, de "la première étude menée en France sur l'imprégnation de l'homme aux PCB", ou pyralènes, ces produits chimiques chlorés toxiques dont de fortes concentrations ont été relevées ces dernières années dans les poissons du Rhône.
Guillaume Llorca, responsable des investigations au WWF, à l'origine de cette étude menée par l'Association santé-environnement Provence sur un échantillon restreint (une soixantaine de volontaires), a dévoilé des résultats préoccupants : les personnes vivant près du Rhône et de la Seine, et consommant du poisson au moins une fois par semaine, présentent des taux de PCB dans le sang au moins cinq fois supérieurs au taux d'un groupe témoin en consommant peu. Pire : même des populations témoins, qui ne mangent pas ou très peu de poisson et ne vivent pas à proximité d'un fleuve pollué aux PCB sont contaminées par des PCB, à un niveau qui varie entre 5 et 15 picogrammes (millionième de millionième de gramme) par gramme de matière grasse dans le sang. "L'étude montre aussi le rapport avec l'alimentation : les personnes mangeant régulièrement du poisson d'eau douce connaissent un taux d'imprégnation bien supérieur. Troisième constat, géographique : l'imprégnation est plus forte pour les populations vivant près du Rhône, mais aussi près de la Seine", explique M. Llorca.
WWF estime que l'Etat doit consacrer des budgets à la recherche sur les pathologies liées aux PCB. "Des études menées à l'étranger, notamment aux Etats-Unis et en Espagne, montrent que les PCB constituent un des facteurs qui peut déclencher un cancer du sein chez la femme, du colon chez l'homme, des problème de fertilité, des problèmes neuro-psychiatriques au niveau des enfants, des pertes de QI..."
Au regard de ses résultats, l'association de défense de l'environnement appelle le gouvernement à accélérer l'étude à grande échelle sur l'imprégnation de la population française aux PCB, dont le lancement a été décidé lors d'une conférence interministérielle en février. "Le protocole est en cours de validation, l'étude doit débuter le 13 juin, mais les résultats définitifs ne sont attendus qu'en 2011, ce qui paraît loin", souligne M. Llorca. Il va aussi falloir travailler sur d'autres sources d'alimentation pouvant provoquer des imprégnations aux PCB – la viande, le lait, les œufs, souligne M. Llorca.
Dans l'immédiat, WWF appelle le ministère de la santé à faire de la prévention.
Enfin, l'ONG estime que la pollution aux PCB est la conséquence de pratiques industrielles toujours d'actualité. "Il faut bien sûr consacrer des moyens à la dépollution, mais aussi à arrêter cette pollution, dont nous tentons d'identifier les causes", précise le responsable de l'ONG.
M. Llorca estime que cette affaire montre l'urgence de la mise en œuvre, dans la loi, des décisions du Grenelle de l'environnement, "sur la mise en place de systèmes d'alerte, de prévention, et le principe pollueur-payeur".
Claire Ané
Les PCB, des produits chimiques autorisés jusqu'en 1987
Les polychlorobiphényles (PCB), communément appelés pyralènes, sont des produits chimiques chlorés toxiques, probablement cancérigènes, qui ont été utilisés comme isolants ou lubrifiants par l'industrie à partir des années 1930, jusqu'à leur interdiction en 1987.
Leur rejet dans l'environnement, associé au caractère persistant et non soluble de ces substances, a conduit à leur accumulation dans les sédiments des cours d'eau, puis dans les graisses de poissons de fond comme les anguilles, les brèmes ou les barbeaux.
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aneso81
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Plan canicule 2008 : c’est parti !
[29 mai 2008 - 14:11]
C’est désormais une tradition : le 1er juin signe le retour « administratif » de la canicule. La ministre de la Santé Roselyne Bachelot-Narquin se prête donc à l’exercice, et annonce la réactivation du Plan canicule. Sa version 2008 n’apporte rien de nouveau par rapport à l’an dernier, si ce n’est une volonté affichée d’améliorer la communication.
Aussi bien en direction du public que des professionnels de santé. Dès le 1er juin et jusqu’au 31 août, le Plan Canicule sera donc de nouveau opérationnel. Concrètement, cela signifie la mise en place d’une veille météorologique poussée, et de dispositifs d’alerte et de prévention renforcés. Les cibles prioritaires sont les personnes âgées (qu’elles vivent en institution ou à domicile), les travailleurs en plein air, les handicapés, les jeunes enfants et les sans-abri.
Enfin le numéro vert (gratuit) 0800 066 666 sera de nouveau disponible pour répondre à toutes les questions. Au rayon des nouveautés, la ministre annonce « une meilleure diffusion des informations relatives à la météo nocturne pour permettre l’adaptation des comportements (et notamment l’aération des logements) ». Un effort particulier est également prévu pour améliorer « la communication et la coordination entre les professionnels de santé ».
[29 mai 2008 - 14:11]
C’est désormais une tradition : le 1er juin signe le retour « administratif » de la canicule. La ministre de la Santé Roselyne Bachelot-Narquin se prête donc à l’exercice, et annonce la réactivation du Plan canicule. Sa version 2008 n’apporte rien de nouveau par rapport à l’an dernier, si ce n’est une volonté affichée d’améliorer la communication.
Aussi bien en direction du public que des professionnels de santé. Dès le 1er juin et jusqu’au 31 août, le Plan Canicule sera donc de nouveau opérationnel. Concrètement, cela signifie la mise en place d’une veille météorologique poussée, et de dispositifs d’alerte et de prévention renforcés. Les cibles prioritaires sont les personnes âgées (qu’elles vivent en institution ou à domicile), les travailleurs en plein air, les handicapés, les jeunes enfants et les sans-abri.
Enfin le numéro vert (gratuit) 0800 066 666 sera de nouveau disponible pour répondre à toutes les questions. Au rayon des nouveautés, la ministre annonce « une meilleure diffusion des informations relatives à la météo nocturne pour permettre l’adaptation des comportements (et notamment l’aération des logements) ». Un effort particulier est également prévu pour améliorer « la communication et la coordination entre les professionnels de santé ».
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aneso81
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Le « oui » des Français au 100% « zéro tabac »
[29 mai 2008 - 16:55]
A l’occasion de la Journée mondiale sans tabac le 31 mai 2008, la ministre en charge de la Santé Roselyne Bachelot-Narquin a présenté un premier bilan de l’interdiction de fumer dans les lieux publics. Cinq mois donc après l’entrée en vigueur du décret. Et le moins que l’on puisse dire, est que les Français respectent massivement la nouvelle réglementation.
Ils sont en effet plus de 95% à déclarer ne plus jamais allumer de cigarette à l’intérieur des restaurants, des bars et des cafés. Un chiffre qui ressort d’une enquête téléphonique conduite auprès de 911 fumeurs par l’Institut national de Prévention et d’Education pour la Santé (INPES).
Plus pertinent peut-être, 83% des fumeurs déclarent « adhérer » à ce tour de vis réglementaire dans les restaurants. Ils n’étaient que 67% avant l’interdiction... En revanche pour les bars, les habitudes semblent plus tenaces : seuls 61% perçoivent l’éviction du tabac comme un fait positif. Soit une progression de 20 points par rapport à 2005.
Enfin concernant l’impact de l’interdiction sur la consommation des fumeurs, les progrès sont beaucoup moins évidents : si 12% affirment avoir levé le pied sur le tabac à domicile, 6% déclarent au contraire en consommer plus. Une difficulté à « décrocher » que l’on retrouve en voiture : 10% déclarent fumer « moins souvent et 8% plus souvent.
[29 mai 2008 - 16:55]
A l’occasion de la Journée mondiale sans tabac le 31 mai 2008, la ministre en charge de la Santé Roselyne Bachelot-Narquin a présenté un premier bilan de l’interdiction de fumer dans les lieux publics. Cinq mois donc après l’entrée en vigueur du décret. Et le moins que l’on puisse dire, est que les Français respectent massivement la nouvelle réglementation.
Ils sont en effet plus de 95% à déclarer ne plus jamais allumer de cigarette à l’intérieur des restaurants, des bars et des cafés. Un chiffre qui ressort d’une enquête téléphonique conduite auprès de 911 fumeurs par l’Institut national de Prévention et d’Education pour la Santé (INPES).
Plus pertinent peut-être, 83% des fumeurs déclarent « adhérer » à ce tour de vis réglementaire dans les restaurants. Ils n’étaient que 67% avant l’interdiction... En revanche pour les bars, les habitudes semblent plus tenaces : seuls 61% perçoivent l’éviction du tabac comme un fait positif. Soit une progression de 20 points par rapport à 2005.
Enfin concernant l’impact de l’interdiction sur la consommation des fumeurs, les progrès sont beaucoup moins évidents : si 12% affirment avoir levé le pied sur le tabac à domicile, 6% déclarent au contraire en consommer plus. Une difficulté à « décrocher » que l’on retrouve en voiture : 10% déclarent fumer « moins souvent et 8% plus souvent.
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aneso81
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Un traitement anti-ostéoporose réduit de 35% la récurrence du cancer du sein
AFP - il y a 1 heure 12 minutes
CHICAGO (AFP) - Un médicament contre l'ostéoporose, le Zometa du laboratoire suisse Novartis, a réduit de 35% le risque de récurrence chez des femmes pré-ménopausées atteintes d'un cancer précoce du sein, selon un essai clinique prometteur présenté samedi à Chicago.
Il s'agit de la première étude clinique à grande échelle (1.800 femmes) confirmant les propriétés anti-cancéreuses du Zometa (acide zolédronique), un nouveau bisphosphate.
Cette catégorie de médicament est déjà utilisé contre les métastases osseuses et l'ostéoropose, une maladie qui provoque une diminution de la masse des os.
"C'est exaltant de découvrir que l'acide zolédronique, outre le fait d'empêcher la perte de tissu osseux chez les femmes suivant un traitement hormonal contre le cancer du sein, peut aussi réduire la probabilité d'une réapparition de la tumeur", a déclaré le Dr Michael Gnant, professeur de chirurgie à l'Université de Vienne (Autriche), principal auteur de ces travaux.
Il a présenté les résultats de cette étude à la 44e conférence annuelle de l'American college of clinical oncology (ASCO) réunie ce week-end à Chicago (Illinois, nord).
"Cet essai clinique à grande échelle démontre que les propriétés anti-tumeur de l'acide zolédronique améliorent les résultats du traitement au-delà des seuls effets de la thérapie hormonale", a-t-il dit lors d'une présentation à la presse.
"Les futures recherches viseront à optimiser les doses et à déterminer quelles patientes sont susceptibles de bénéficier le plus de ce traitement", a ajouté le Dr Gnant.
Si une seconde étude clinique en cours avec le Zometa confirme ces résultats, les cancérologues pensent que ce traitement pourrait être testé contre d'autres cancers présentant un risque élevé de métastases dans les os, comme notamment le cancer du rein.
AFP - il y a 1 heure 12 minutes
CHICAGO (AFP) - Un médicament contre l'ostéoporose, le Zometa du laboratoire suisse Novartis, a réduit de 35% le risque de récurrence chez des femmes pré-ménopausées atteintes d'un cancer précoce du sein, selon un essai clinique prometteur présenté samedi à Chicago.
Il s'agit de la première étude clinique à grande échelle (1.800 femmes) confirmant les propriétés anti-cancéreuses du Zometa (acide zolédronique), un nouveau bisphosphate.
Cette catégorie de médicament est déjà utilisé contre les métastases osseuses et l'ostéoropose, une maladie qui provoque une diminution de la masse des os.
"C'est exaltant de découvrir que l'acide zolédronique, outre le fait d'empêcher la perte de tissu osseux chez les femmes suivant un traitement hormonal contre le cancer du sein, peut aussi réduire la probabilité d'une réapparition de la tumeur", a déclaré le Dr Michael Gnant, professeur de chirurgie à l'Université de Vienne (Autriche), principal auteur de ces travaux.
Il a présenté les résultats de cette étude à la 44e conférence annuelle de l'American college of clinical oncology (ASCO) réunie ce week-end à Chicago (Illinois, nord).
"Cet essai clinique à grande échelle démontre que les propriétés anti-tumeur de l'acide zolédronique améliorent les résultats du traitement au-delà des seuls effets de la thérapie hormonale", a-t-il dit lors d'une présentation à la presse.
"Les futures recherches viseront à optimiser les doses et à déterminer quelles patientes sont susceptibles de bénéficier le plus de ce traitement", a ajouté le Dr Gnant.
Si une seconde étude clinique en cours avec le Zometa confirme ces résultats, les cancérologues pensent que ce traitement pourrait être testé contre d'autres cancers présentant un risque élevé de métastases dans les os, comme notamment le cancer du rein.
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titechipie56
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Oui, bravo et merci pour toutes les articles de presse.
J'espère également que tu auras ton bac, si tu t'impliques autant en cours, il ne devrait pas y avoir de soucis, maintenant le concours en plus, ça serait top pour toi !!
Bonne chance pour tes épreuves, j'ai passé mon bac éco l année dernière, je sais ce que c est
J'espère également que tu auras ton bac, si tu t'impliques autant en cours, il ne devrait pas y avoir de soucis, maintenant le concours en plus, ça serait top pour toi !!
Bonne chance pour tes épreuves, j'ai passé mon bac éco l année dernière, je sais ce que c est
ESI crf Brest promo 2008/2011
Les 2 MSP : validées, modules (PA+PSY III+Ortho-Traumato) : validés, Stages (1,2,3) : validés.
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aneso81
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Merci c'est gentil!!!Sa me fais plaisir!!!
J'aime faire part des articles que je lis et que je trouve interessant.
J'espère aussi que j'aurai mon bac en revanche mon concours sa sera je l'espère l'an prochain!
J'espère que tous ces articles vous serviront pour votre oral!!!
Bon courage!!!
J'aime faire part des articles que je lis et que je trouve interessant.
J'espère aussi que j'aurai mon bac en revanche mon concours sa sera je l'espère l'an prochain!
J'espère que tous ces articles vous serviront pour votre oral!!!
Bon courage!!!
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aneso81
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A la plage ou sur les marchés, gare au tatouage
[2 juin 2008 - 07:40]
A l’approche de l’été, l’Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS) renouvelle sa mise en garde contre les tatouages temporaires noirs à base de henné. Ces derniers peuvent en effet se trouver à l’origine d’allergies cutanées potentiellement graves.
Plusieurs cas d’eczéma de contact ont été enregistrés ces dernières années. Ils surviennent dans un délai de quelques jours à quelques semaines suivant la réalisation d’un tatouage à base de henné contenant de la paraphénylènediamine. Une substance allergisante, et d’ailleurs illicite pour cet usage.
« Compte tenu des cas d’eczéma signalés, des difficultés de contrôle du circuit de distribution des produits », l’Agence déconseille la réalisation de tatouages noirs temporaires au henné. Elle rappelle aussi que « toute réaction cutanée faisant suite à la réalisation d’un tatouage noir temporaire doit être signalée à un professionnel de santé ».
[2 juin 2008 - 07:40]
A l’approche de l’été, l’Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS) renouvelle sa mise en garde contre les tatouages temporaires noirs à base de henné. Ces derniers peuvent en effet se trouver à l’origine d’allergies cutanées potentiellement graves.
Plusieurs cas d’eczéma de contact ont été enregistrés ces dernières années. Ils surviennent dans un délai de quelques jours à quelques semaines suivant la réalisation d’un tatouage à base de henné contenant de la paraphénylènediamine. Une substance allergisante, et d’ailleurs illicite pour cet usage.
« Compte tenu des cas d’eczéma signalés, des difficultés de contrôle du circuit de distribution des produits », l’Agence déconseille la réalisation de tatouages noirs temporaires au henné. Elle rappelle aussi que « toute réaction cutanée faisant suite à la réalisation d’un tatouage noir temporaire doit être signalée à un professionnel de santé ».
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VIH-SIDA : l’ONU se veut encourageante
[2 juin 2008 - 14:08]
Dans un rapport conjoint (résumé en français) rendu public ce matin, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), l’ONUSIDA et l’UNICEF se félicitent des dernières avancées en matière de lutte contre le VIH-SIDA : meilleur accès aux antirétroviraux, progrès dans la prise en charge des enfants contaminés, multiplication des campagnes de dépistage… l’année 2007 a semble-t-il, marqué un tournant encourageant. Cette évolution par ailleurs, est surtout sensible dans les pays les plus pauvres. Mais beaucoup d’efforts sont encore nécessaires.
A la fin de l’année 2007, près de 500 000 femmes (notamment des Africaines) avaient accès aux antirétroviraux dans le monde. Elles n’étaient que 350 000 en 2006. Au même moment, 200 000 enfants séropositifs recevaient les thérapies anti-VIH adéquates. C’est-à-dire 70 000 de plus que l’année précédente.
« Avec près de 3 millions de personnes sous antirétroviraux dans les pays en développement, un pas important vient d’être franchi dans la lutte contre la pandémie à VIH-SIDA » applaudissent très officiellement les trois organisations onusiennes.
Et pour cause, la barre des 3 millions est hautement symbolique. C’est l’objectif qu’elles s’étaient assigné en 2003 dans le cadre de l’initiative 3 en 5. Laquelle rappelons-le, prévoyait de traiter 3 millions de malades en… 2005. Le progrès est donc réel, même s’il se concrétise avec 3 ans de retard. D’autant plus qu’avec 9,7 millions de porteurs du VIH, le monde est encore très loin de maîtriser l’expansion du SIDA...
[2 juin 2008 - 14:08]
Dans un rapport conjoint (résumé en français) rendu public ce matin, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), l’ONUSIDA et l’UNICEF se félicitent des dernières avancées en matière de lutte contre le VIH-SIDA : meilleur accès aux antirétroviraux, progrès dans la prise en charge des enfants contaminés, multiplication des campagnes de dépistage… l’année 2007 a semble-t-il, marqué un tournant encourageant. Cette évolution par ailleurs, est surtout sensible dans les pays les plus pauvres. Mais beaucoup d’efforts sont encore nécessaires.
A la fin de l’année 2007, près de 500 000 femmes (notamment des Africaines) avaient accès aux antirétroviraux dans le monde. Elles n’étaient que 350 000 en 2006. Au même moment, 200 000 enfants séropositifs recevaient les thérapies anti-VIH adéquates. C’est-à-dire 70 000 de plus que l’année précédente.
« Avec près de 3 millions de personnes sous antirétroviraux dans les pays en développement, un pas important vient d’être franchi dans la lutte contre la pandémie à VIH-SIDA » applaudissent très officiellement les trois organisations onusiennes.
Et pour cause, la barre des 3 millions est hautement symbolique. C’est l’objectif qu’elles s’étaient assigné en 2003 dans le cadre de l’initiative 3 en 5. Laquelle rappelons-le, prévoyait de traiter 3 millions de malades en… 2005. Le progrès est donc réel, même s’il se concrétise avec 3 ans de retard. D’autant plus qu’avec 9,7 millions de porteurs du VIH, le monde est encore très loin de maîtriser l’expansion du SIDA...
Puéricultrice
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aneso81
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Les parabens, des conservateurs… pas très cosmétiques
[2 juin 2008 - 12:10]
Shampoings, crèmes, mousses à raser, déodorants… Ils sont partout ! « Ils », ce sont les parabens, un groupe de produits chimiques (trop ?) souvent utilisés comme conservateurs, notamment dans la grande majorité des produits cosmétiques. Le hic, c’est qu’ils sont soupçonnés d’être impliqués dans la survenue de certains cancers du sein. Juste soupçonnés, pour l’instant… Tour d’horizon.
Impossible d’y échapper. Depuis des décennies, les parabens (ces parahydroxybenzoates dérivés donc, de l’acide parahydroxybenzoïque, sont parfois aussi appelés parabènes) font partie de notre quotidien. Les industriels ont recours à ces conservateurs de première classe, dont ils apprécient les propriétés antimicrobiennes et antifongiques. On en retrouve même dans des produits alimentaires comme des pâtés, des chips, des confiseries ! Les plus courants sont le methylparaben, l’ethylparaben (E214), le propylparaben (E126) et le butylparaben.
Or ces dernières années, les soupçons de cancérogénicité se sont multipliés à leur propos. Notamment après la publication en 2004 d’une étude du Dr Philippa Darbre, biologiste moléculaire à l’Université de Reading, en Grande-Bretagne. Elle mettait en évidence alors, la présence de parabens dans des biopsies de tumeurs mammaires.
Mais à en croire l’Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS), la menace est exagérée. Dans son dernier rapport de vigilances sanitaires en date de 2004, l’Agence « se prononce favorablement à la poursuite de l’utilisation aux conditions prévues par la réglementation actuelle, des parabens les plus couramment utilisés ». Et ce conformément à l’annexe VI de la directive européenne 76/768/CE.
Il n’en reste pas moins que pour l’UFC-Que Choisir, « mieux vaut s’abstenir (de les utiliser) en attendant de nouvelles études ». Et l’Association de défense des consommateurs de classer les parabens dans la catégorie des « substances douteuses ». Fort de ce débat, plusieurs industriels proposent désormais des cosmétiques 100% dépourvus de parabens. Encore faut-il être un chimiste chevronné pour décrypter des étiquettes souvent incompréhensibles…
[2 juin 2008 - 12:10]
Shampoings, crèmes, mousses à raser, déodorants… Ils sont partout ! « Ils », ce sont les parabens, un groupe de produits chimiques (trop ?) souvent utilisés comme conservateurs, notamment dans la grande majorité des produits cosmétiques. Le hic, c’est qu’ils sont soupçonnés d’être impliqués dans la survenue de certains cancers du sein. Juste soupçonnés, pour l’instant… Tour d’horizon.
Impossible d’y échapper. Depuis des décennies, les parabens (ces parahydroxybenzoates dérivés donc, de l’acide parahydroxybenzoïque, sont parfois aussi appelés parabènes) font partie de notre quotidien. Les industriels ont recours à ces conservateurs de première classe, dont ils apprécient les propriétés antimicrobiennes et antifongiques. On en retrouve même dans des produits alimentaires comme des pâtés, des chips, des confiseries ! Les plus courants sont le methylparaben, l’ethylparaben (E214), le propylparaben (E126) et le butylparaben.
Or ces dernières années, les soupçons de cancérogénicité se sont multipliés à leur propos. Notamment après la publication en 2004 d’une étude du Dr Philippa Darbre, biologiste moléculaire à l’Université de Reading, en Grande-Bretagne. Elle mettait en évidence alors, la présence de parabens dans des biopsies de tumeurs mammaires.
Mais à en croire l’Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS), la menace est exagérée. Dans son dernier rapport de vigilances sanitaires en date de 2004, l’Agence « se prononce favorablement à la poursuite de l’utilisation aux conditions prévues par la réglementation actuelle, des parabens les plus couramment utilisés ». Et ce conformément à l’annexe VI de la directive européenne 76/768/CE.
Il n’en reste pas moins que pour l’UFC-Que Choisir, « mieux vaut s’abstenir (de les utiliser) en attendant de nouvelles études ». Et l’Association de défense des consommateurs de classer les parabens dans la catégorie des « substances douteuses ». Fort de ce débat, plusieurs industriels proposent désormais des cosmétiques 100% dépourvus de parabens. Encore faut-il être un chimiste chevronné pour décrypter des étiquettes souvent incompréhensibles…
Puéricultrice
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Entrainement à la culture générale (Session 2009)
Si nous traitons quelques sujets de culture général pour le concour 2009. Par exemple : les médicaments en vente libre depuis lundi 30 juin 2008
La méningite
L'obésité infantile
L'euthanasie
Le dopage
[Titre modifié => Juju5544]
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unesourisverte
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Coucou
Peut être que pour partir sur de meilleures base que l'an passé nous pourions mettre en récapitulatif les sujets traités avec des liens vers les posts qui s'y réfèrent... Ce sera plus facile pour faire des fiches et ça éviterait aux nouveaux et nouvelles de répéter plusieurs fois les mêmes questions déjà traitées ou de devoir lire les 200 pages que nous ne manquerons pas d'écrire pour trouver une réponse
Qu'en pensez vous ??
Peut être que pour partir sur de meilleures base que l'an passé nous pourions mettre en récapitulatif les sujets traités avec des liens vers les posts qui s'y réfèrent... Ce sera plus facile pour faire des fiches et ça éviterait aux nouveaux et nouvelles de répéter plusieurs fois les mêmes questions déjà traitées ou de devoir lire les 200 pages que nous ne manquerons pas d'écrire pour trouver une réponse
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La p'tite Souris Verte, ESI 2008-2011
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