Réfléchissons ensemble: LMD
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers
Au nom des milliers de collègues ayant bénéficié de cette formation je te remercie de nous traiter de nuls.
Je te le répète, si tu veux faire des infirmières des professionnelles omniscientes, quel que soit le secteur d'exercice impose leur dix ans de formation initiale dont 90% ne leur serviront jamais.
Les infirmières de pédiatries sont-elles des nulles sous prétexte qu'elles ne sont pas puéricultrices ?
Traiter une appendicité aigüe chez un schizophrène équilibré sous traitement exige-t-il d'avoir un diplôme en psychiatrie ?
Arrête un peu ton mépris. Nous essayons d'avoir des infirmières aussi polyvalentes que possible avec une formation aussi raisonnable que possible. Si tu veux avoir 0 candidates demain, continue ta technique "Monsieur Plus".
Je te le répète, si tu veux faire des infirmières des professionnelles omniscientes, quel que soit le secteur d'exercice impose leur dix ans de formation initiale dont 90% ne leur serviront jamais.
Les infirmières de pédiatries sont-elles des nulles sous prétexte qu'elles ne sont pas puéricultrices ?
Traiter une appendicité aigüe chez un schizophrène équilibré sous traitement exige-t-il d'avoir un diplôme en psychiatrie ?
Arrête un peu ton mépris. Nous essayons d'avoir des infirmières aussi polyvalentes que possible avec une formation aussi raisonnable que possible. Si tu veux avoir 0 candidates demain, continue ta technique "Monsieur Plus".
STP, Eric, ne tombe pas dans la caricature, je t'ai connu meilleur...
Avoir des cours théoriques de psychiatrie ne veut pas dire qu'on est diplômé en psy et tu le sais bien...
Toi et tes collègues, bien sûr que vous n'êtes pas nuls et mon engagement à la FNESI devrait suffir à te prouver que je ne le pense pas. Par contre, je pense que ce fut une avancée que d'inclure un programme psy dans notre formation et qu'il est dommage que certains comme toi veuillent revenir en arrière plutôt que demander des améliorations.
Avoir des cours théoriques de psychiatrie ne veut pas dire qu'on est diplômé en psy et tu le sais bien...
Toi et tes collègues, bien sûr que vous n'êtes pas nuls et mon engagement à la FNESI devrait suffir à te prouver que je ne le pense pas. Par contre, je pense que ce fut une avancée que d'inclure un programme psy dans notre formation et qu'il est dommage que certains comme toi veuillent revenir en arrière plutôt que demander des améliorations.
- terminator_is_ide
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mais si je cogite bueno ben avec ce barouf :
l'ancien DE on devient quoi c bien bo de causer des petits nouveaux mais les anciens on les met au musee?
et puis le niveau bac +3 en france c cadre!!!...
et oui bac +3 on peut le valoir avec 4 ans d'etudes?
et y aura t il des differences de salaires suivant les etudes?
et puis les nouveaux y auront aussi de la pratique !!! rassurer moi la dessus ... je deprime je me tape les esi boullet en ce moment!!! desolé mais c la cata donc ... l'avenir ma fais peur...
ouai ben ca va etre caqueux tout ca dans qq annees...
comment va on etre considéré nous ancien DE ... le premiers petit jeunots qui me traite de dinosaure je lui fais du maxillo-facial maison

l'ancien DE on devient quoi c bien bo de causer des petits nouveaux mais les anciens on les met au musee?
et puis le niveau bac +3 en france c cadre!!!...
et oui bac +3 on peut le valoir avec 4 ans d'etudes?
et y aura t il des differences de salaires suivant les etudes?
et puis les nouveaux y auront aussi de la pratique !!! rassurer moi la dessus ... je deprime je me tape les esi boullet en ce moment!!! desolé mais c la cata donc ... l'avenir ma fais peur...


ouai ben ca va etre caqueux tout ca dans qq annees...
comment va on etre considéré nous ancien DE ... le premiers petit jeunots qui me traite de dinosaure je lui fais du maxillo-facial maison






Éboueur du bitume ... Je ramasse la viande tiède !!
Tu devrais relire un peu tes posts précédents.julie a écrit :STP, Eric, ne tombe pas dans la caricature, je t'ai connu meilleur...
Tiens je te le remets en ligne :
«...C'est dingue comme certaines personens préfèrent tirer vers le bas que vers le haut!»
Donc, si tu prenais la peine de me lire jusqu'au bout tu aurais remarqué que j'ai précisé DEUX fois qu'il s'agissait de déplacer le programme de psychiatrie lourde et pédo-psy vers une spécialité tout en gardant la santé mentale dans le cursus général.
Donc, un vieux alzheimer et un alcoolo tu pourras t'en occuper sans problème.
Par contre un schizo en crise et autres joyeusetés tu le remettras à ton collègue infirmier spécialisé en psy qui sait aussi faire des soins somatiques puisqu'il a eu la même formation que toi.
En clair, tout dépend de ce qui domine dans le tableau pathologique.
Quand un de tes clients fait son appendoc tu n'exige pas d'aller au bloc pour l'anesthésiser et servir le chirurgien ? Tu laisses ça aux personnes compétentes les IADE et les IBODE ?
Je ne vois pas ce qui poserait problème.
Aujourd'hui la psy est mal enseignée et mal étudiée en Ifsi - ce n'est pas moi qui le dit, ce sont les organisations d'infirmiers psy - alors qu'avant cette réforme elle l'était bien mieux.
Je relaie simplement une demande légitime qui est de redonner à la psy sa juste place et ce n'est pas un retour en arrière puisqu'il ne s'agit pas de re-séparer les diplômes.
Créer cette spécialité en un ou deux an (à voir avec les personnes compétentes) redonnerait une véritable qualité de prise en charge pour les problèmes dépassant les troubles du comportement basiques de la population générale et allègerait d'autant les études généralistes auxquelles - et quoi que tu en penses - ça n'apporte que l'impression d'avoir des compétences en psy.
Savoir connaître ses limites est une qualité dans notre profession.
Re: Réfléchissons ensemble: LMD
4 ans et des brouettes plus tard5 aout 2004 julie a écrit :
En effet, comme vous le savez surement, le système Licence, Master, Doctorat sera très prochainement mis en place.

C'est pas gagné

Remise du rappot sur le LMD
Le 08 Octobre 2008 - (APM International) : L'application du dispositif licence-master-doctorat (LMD) aux professions paramédicales et aux sages-femmes est légitime mais serait "coûteuse pour les finances publiques et sociales", selon un rapport commun de l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) et de l'Inspection générale de l'administration, de l'enseignement supérieur et de la recherche (IGAENR) rendu public mardi.
L'Igas, l'IGAENR et deux conseillers généraux des établissements de santé, Dominique Acker et Dominique Noiré avaient été chargés en septembre 2007 d'une analyse exhaustive des conséquences d'une adaptation du cursus LMD aux études et à la formation des paramédicaux mais leur rapport était attendu pour fin janvier 2008 afin d'engager le mouvement de réforme dans la foulée, rappelle la lettre de mission annexée au rapport, signée par Roselyne Bachelot, Valérie Pécresse, Eric Woerth et André Santini.
Dans leur synthèse, les auteurs du rapport considèrent que cette démarche, prévue au niveau européen dans le processus de Bologne engagé en 1999, répond à une attente forte des étudiants et des professionnels concernés et qu'elle "constitue une perspective positive, légitime et fructueuse".
Ils recommandent de la mettre en oeuvre graduellement, en proposant un calendrier étalé sur cinq ans, selon trois orientations: faire le choix d'une universitarisation maîtrisée, tout en respectant les spécificités des différentes professions concernées et en conduisant une "nécessaire clarification avec l'échelon régional" (cf dépêche APM MHLJ7001).
Le coût total de sa mise en oeuvre pourrait avoisiner 3,058 milliards d'euros sur cinq ans, ce à quoi il faudrait ajouter un surcoût de l'objectif national des dépenses d'assurance maladie (Ondam) de 90 millions d'euros par an.
La mission souligne que le périmètre de la réforme est large, puisqu'il concerne (hors formation des sages-femmes), les deux certificats de capacité d'orthophoniste et d'orthoptiste, et les sept diplômes d'Etat d'audioprothésiste, d'infirmier, de masseur-kinésithérapeute, de pédicure-podologue, d'ergothérapeute, de psychomotricien et de manipulateur d'électroradiologie médicale.
Elle note en effet que pour les autres professions paramédicales (opticiens-lunetiers, prothésistes et orthésistes et diététiciens), le diplôme concerné (BTS ou DUT) est déjà intégré au dispositif LMD tandis que pour les techniciens de laboratoire d'analyse de biologie médicale (LABM), le BTS constitue déjà la voie principale de recrutement.
SORTIR LA FRANCE DE SON ISOLEMENT EUROPEEN
D'emblée, la mission observe que la France serait "de plus en isolée si elle se maintenait dans un système sans aucun lien avec l'université et le dispositif LMD", alors que de nombreux pays se sont engagés dans cette voie conformément au processus de Bologne, en permettant aux étudiants de poursuivre leur cursus dans un autre Etat membre de l'Union européenne, comme la Suède, la Norvège, mais aussi la Pologne, la Bulgarie, l'Espagne et l'Italie.
Elle souligne la légitimité de l'inscription des professions paramédicales et de la profession de sage-femme dans le cadre du dispositif LMD, d'abord en raison du symbole fort de la reconnaissance du niveau licence (bac+3) aux diplômes paramédicaux, et des avancées du dispositif en termes de possibilités de réorientation professionnelle (passerelles), de reprise des études et de spécialisation, de mobilité en cours de formation initiale ou ultérieure sur le territoire de l'Union, et de qualité dans la transmission des connaissances.
Par ailleurs, une telle réforme pourrait permettre de "revisiter" le contenu et les méthodes de formation des professions de santé concernées, selon la mission, qui entrevoit une série d'améliorations possibles, dont le partage d'un tronc commun d'enseignement en économie, éthique et sciences humaines, l'instauration de passerelles entre les filières d'études médicales et paramédicales, la conception de formations supérieures (masters 1 ou 2) et d'un doctorat permettant le développement de la recherche clinique.
PRESERVATION DU CARACTERE PROFESSIONNEL
La mission recommande ainsi d'instaurer des passerelles entre les formations médicales et paramédicales, et de constituer des unités d'enseignement mutualisées assurant des formations communes.
Elle pose plusieurs conditions à l'universitarisation des études paramédicales, dont "la préservation impérative d'un contenu et d'une finalité professionnelles à ces formations".
S'agissant des infirmiers et infirmières, la mission rappelle que le niveau actuel de recrutement (pour l'essentiel le bac professionnel ou aides-soignantes en formation professionnelle) doit "conduire à écarter toute formule qui ferait courir le risque d'une formation élitiste ou trop abstraite" et assurer le maintien de la promotion interne, tout en faisant "toute sa place" à la validation des acquis par l'expérience (VAE).
Pour ces raisons, la mission conseille pour cette profession de réserver l'admission en master à un nombre limité de personnes et de restreindre l'accès au grade de docteur.
NEGOCIATIONS A PREVOIR DANS LE PUBLIC ET LE PRIVE
Le rapport détaille des "répercussions financières en cascade aboutissant à un coût substantiel pour les finances publiques".
Le coût de la mise en oeuvre, calculé sur cinq ans, est estimé à 2,6 milliards d'euros pour la fonction publique hospitalière (FPH), à 58,8 millions d'euros pour la fonction publique d'Etat et les collectivités territoriales et à 400 millions d'euros pour le secteur médico-social privé.
La mission envisage notamment l'impact du passage en catégorie A des professionnels concernés, en particulier pour la FPH, et l'évolution des honoraires des paramédicaux libéraux, qui pourrait représenter un surcoût annuel pour l'Ondam de 90 millions d'euros.
Elle recommande la tenue d'une concertation avec les organisations syndicales pour déterminer notamment le champ des bénéficiaires de la réforme (soignants en poste quel que soit la date d'obtention du diplôme, étudiants en cours de formation, diplômés relevant du nouveau schéma LMD), et le niveau de revalorisation des rémunérations.
Une négociation devrait également intervenir dans le secteur privé ambulatoire, portant notamment sur la réduction du volume d'actes, un "nouvel engagement fort" sur la répartition des professionnels sur le territoire, la délégation de tâches et "un engagement de formation supplémentaire continue avant d'accéder à la revalorisation tarifaire".
Evaluation de l’impact du dispositif LMD sur les formations et le statut des professions paramédicales (817.4 ko)

Dommage que le sujet de SUD ait été fermé parce que de toute façon les gens ne reliront pas les pages précédentes pour la plupart

La pensée vole, et les mots vont à pieds.
Re: Réfléchissons ensemble: LMD
Si, pour les gens que ça intéresse...Gengis a écrit :
Dommage que le sujet de SUD ait été fermé parce que de toute façon les gens ne reliront pas les pages précédentes pour la plupart

Infirmière libé...rée!!! 

Re: Réfléchissons ensemble: LMD
ce que je veux dire c'est qu'un sujet récent avec un titre ad hoc est plus accrocheur pour les personnes qui ne lisent pas habituellement ce genre de sujet ou qui décrochent dès la 2 pagetililoo a écrit :Si, pour les gens que ça intéresse...Gengis a écrit :
Dommage que le sujet de SUD ait été fermé parce que de toute façon les gens ne reliront pas les pages précédentes pour la plupart
Et bien on verra combien sont intéressés...


La pensée vole, et les mots vont à pieds.
Ce qui n'empêche que le sujet aurait pu rester ouvert (merci à vous de mettre des liens pour les gens qui ne savent pas ou ne veulent pas chercher
)
Ca se fait pour d'autres sujets qui ont une moindre portée (je ne parle pas nécessairement en importance, chaque sujet est important pour la personne qui le lance, mais en terme d'impact général)


Ca se fait pour d'autres sujets qui ont une moindre portée (je ne parle pas nécessairement en importance, chaque sujet est important pour la personne qui le lance, mais en terme d'impact général)
La pensée vole, et les mots vont à pieds.
- SUD Montperrin
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- Inscription : 11 janv. 2008 13:58
- Localisation : Local SUD du CH Montperrin(Aix en Provence)
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D'autant que l'analyse (pour valoir ce qu'elle valait bien sur) était finalement assez prophétique sur certains points (je vous rappele que SUD ne participe pas à "Unité LMD"-seule orga à ne pas le faire). Les organisations qui poussent des cris d'orfraies devaient savoir depuis assez longtemps ce qui se profilait dans ce rapport non?
Solidaires
Unitaires
Démocratiques
Unitaires
Démocratiques
Dans le LMD on ne parle qu'en années....Pourquoi considérer que seuls les diplômés depuis 1995 seraient éligibles à la licence?
Réfléchissons en volume d'heures de formation.
Programme 79 (psy) 5280 h avec les stages complémentaires ( et non pas optionnels)
Programme 92.... 4760 h....!!!!
En ramenant ces 5280 h en semaines de 35 h....cela fait combien de semaines ??? 150
Programme 92....136 semaines...
A l'époque, rien d'optionnel ...tout obligatoire!
Alors,moins formés les anciens???
Réfléchissons en volume d'heures de formation.
Programme 79 (psy) 5280 h avec les stages complémentaires ( et non pas optionnels)
Programme 92.... 4760 h....!!!!
En ramenant ces 5280 h en semaines de 35 h....cela fait combien de semaines ??? 150
Programme 92....136 semaines...
A l'époque, rien d'optionnel ...tout obligatoire!
Alors,moins formés les anciens???
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Et combien d'heures programmées pour la "nouvelle mouture"?
Nous l'avons assez dit et rebattu:
IL NE FALLAIT PAS NEGOCIER SUR LE LMD EN PREMIER!
L'important était une reconnaissance du DE à bac +3, les conditions salariales (augmentation minimum de 500 euros-simple rattrapage depuis 1980) et les conditions de travail!
Nous voila partis pour 5 ans de négociations minimum sans rien à la clef de sur!
Certaines organisations prof et syndicales sont parties sur un très mauvais choix: elles ont cru pouvoir satisfaire cette vieille revendication universitaire des infirmiers sans penser à l'essentiel: les revendications salariales!
Avions nous besoin d'être reconnus avant d'être revalorisé par le TRAVAIL QUE NOUS FAISONS DEJA?
Soyons clairs: les coups de Trafalgar et de Jarnac que font certains organisations sont extrèmement dommageable aux salariés que nous sommes.
Mais entre l'intérèt des salariés ou bien celui d'avoir la "gloire???" d'être le premier à annoncer aux IDE que "ca yest vous êtes dans le cursus LMD", "ca yest vous avez un ordre", on voit très bien ce qui a été choisi. Entre la discorde et l'unité dans l'intérèt du salarié, NOUS avions et nous choisirons toujours le "camps" des personnels de la santé.
Quitte à dire certaines choses qui peuvent déplairent!
Négocier sur des réformes sans en connaitre d'avance les avancées réelles en terme de pouvoir d'achat et de travail(-c'est à dire l'intérèt du "PROFESSIONNEL" et non de "LA PROFESSION"-)nous semble sans intérèt et lourd de conséquences.
SUD a à nouveau joué les Cassandre sans être écouté, et nous le déplorons vivement.
Nous l'avons assez dit et rebattu:
IL NE FALLAIT PAS NEGOCIER SUR LE LMD EN PREMIER!
L'important était une reconnaissance du DE à bac +3, les conditions salariales (augmentation minimum de 500 euros-simple rattrapage depuis 1980) et les conditions de travail!
Nous voila partis pour 5 ans de négociations minimum sans rien à la clef de sur!
Certaines organisations prof et syndicales sont parties sur un très mauvais choix: elles ont cru pouvoir satisfaire cette vieille revendication universitaire des infirmiers sans penser à l'essentiel: les revendications salariales!
Avions nous besoin d'être reconnus avant d'être revalorisé par le TRAVAIL QUE NOUS FAISONS DEJA?
Soyons clairs: les coups de Trafalgar et de Jarnac que font certains organisations sont extrèmement dommageable aux salariés que nous sommes.
Mais entre l'intérèt des salariés ou bien celui d'avoir la "gloire???" d'être le premier à annoncer aux IDE que "ca yest vous êtes dans le cursus LMD", "ca yest vous avez un ordre", on voit très bien ce qui a été choisi. Entre la discorde et l'unité dans l'intérèt du salarié, NOUS avions et nous choisirons toujours le "camps" des personnels de la santé.
Quitte à dire certaines choses qui peuvent déplairent!
Négocier sur des réformes sans en connaitre d'avance les avancées réelles en terme de pouvoir d'achat et de travail(-c'est à dire l'intérèt du "PROFESSIONNEL" et non de "LA PROFESSION"-)nous semble sans intérèt et lourd de conséquences.
SUD a à nouveau joué les Cassandre sans être écouté, et nous le déplorons vivement.
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Re:
Effectivement, pour les rapporteurs, une année de formation doit faire 12 mois, alors que pour tous les autres étudiants elle doit faire une année universitaire d'octobre à juin !antochrit a écrit :Dans le LMD on ne parle qu'en années....Pourquoi considérer que seuls les diplômés depuis 1995 seraient éligibles à la licence?
Réfléchissons en volume d'heures de formation.
Programme 79 (psy) 5280 h avec les stages complémentaires ( et non pas optionnels)
Programme 92.... 4760 h....!!!!
En ramenant ces 5280 h en semaines de 35 h....cela fait combien de semaines ??? 150
Programme 92....136 semaines...
A l'époque, rien d'optionnel ...tout obligatoire!
Alors,moins formés les anciens???