Actualités 2009
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Re: Actualités 2009
Diabétiques aux pieds d’argile...
Chaque année en France, 8 000 diabétiques (dont 1 500 âgés de moins de 60 ans) subissent une amputation d’un membre inférieur. Un chiffre d’autant moins acceptable que ces interventions sont en grande partie évitables ! A condition pour les diabétiques, d’être vraiment attentifs à l’état de leurs pieds.
Gare aux petites lésions. D’une manière générale, le diabète provoque des atteintes des artères, des vaisseaux sanguins et des nerfs. Celles-ci vont particulièrement fragiliser les pieds (tout comme d’ailleurs les yeux et les reins, très richement vascularisés) au point d’aggraver des plaies pré-existantes, d’entraîner des douleurs et ce qui est plus grave, une perte de sensibilité…
Dans un grand nombre de cas en effet, cette insensibilité va même empêcher la perception des lésions, petites ou grandes. Ainsi un certain nombre de diabétiques ne sentent-ils pas, sous leur pieds, la présence d’un cor, d’un durillon, d’une fissure, d’une coupure, d’une crevasse ou d’une mycose.
Ces blessures à la cicatrisation difficile, vont s’amplifier voire s’infecter. Dans les cas extrêmes, elles peuvent conduire à une amputation. Chaque année en France, 9 500 actes d’amputation des membres inférieurs sont pratiqués chez 8 000 diabétiques. D’après l’Association Française des Diabétiques (AFD), « un diabétique sur dix courrait un risque d’amputation »…
Indispensable prévention. Très souvent toutefois, ces complications du diabète pourraient être évitées. Si vous êtes concerné, Soyez vigilant. Attachez-vous à enrayer au plus tôt, la moindre lésion ou la plus petite infection. Pour cela :
* Lavez-vous chaque jour les pieds et les orteils et surtout, séchez-les soigneusement pour éviter les mycoses ;
* Examinez quotidiennement la plante de vos pieds, les interstices entre les orteils ainsi que les ongles à la recherche d’une coupure, d’une égratignure. Si nécessaire, aidez-vous d’un miroir ou demandez l’aide d’un proche ;
* Evitez de vous couper les ongles trop court ;
* Optez pour des chaussures adaptées et confortables ;
* Préférez des chaussettes en fibres naturelles, sans coutures intérieures. Et changez-les chaque jour ;
* Ne portez pas de chaussures sans chaussettes ;
* Ne marchez jamais pieds nus ;
* N’utilisez pas de bouillotte. Elle pourrait assécher la peau des pieds, et entraîner des coupures ;
* Au moins une fois par an, montrez vos pieds à votre généraliste ou à un podologue,. Ces consultations sont désormais inscrites dans vos droits, et mieux prises en charge par l’Assurance-maladie.
En cas de plaie. Montrez-la sans attendre à votre médecin. Comme le soulignent les responsables de l’AFD, « en cas de pied infecté, il faut retrouver un diabète équilibré, arrêter de fumer (car le tabac a des effets sur la circulation sanguine), éviter les autres facteurs de risque » comme l’alcool, les aliments sucrés et gras.
Sachez enfin que des dispositifs médicaux existent aujourd’hui pour accélérer la cicatrisation, en cas d’ulcère chronique sur un pied diabétique. C’est ainsi que CACIPLIQ20 vient d’être présenté aux médecins, lors du récent congrès de diabétologie de l’ALFEDIAM à Strasbourg. Si l’on en croit son fabricant, ce kit de cicatrisation « améliore la vitesse et la qualité de la réparation cutanée de l’ulcère chronique du pied diabétique ».
Vous êtes concerné ? N’oubliez pas que l’AFD met des fiches pratiques à votre disposition. Elles sont téléchargeables ici : Les devoirs du diabétiques : ce que vous devez connaître ou Les droits du diabétique : ce que comporte votre suivi médical.
Chaque année en France, 8 000 diabétiques (dont 1 500 âgés de moins de 60 ans) subissent une amputation d’un membre inférieur. Un chiffre d’autant moins acceptable que ces interventions sont en grande partie évitables ! A condition pour les diabétiques, d’être vraiment attentifs à l’état de leurs pieds.
Gare aux petites lésions. D’une manière générale, le diabète provoque des atteintes des artères, des vaisseaux sanguins et des nerfs. Celles-ci vont particulièrement fragiliser les pieds (tout comme d’ailleurs les yeux et les reins, très richement vascularisés) au point d’aggraver des plaies pré-existantes, d’entraîner des douleurs et ce qui est plus grave, une perte de sensibilité…
Dans un grand nombre de cas en effet, cette insensibilité va même empêcher la perception des lésions, petites ou grandes. Ainsi un certain nombre de diabétiques ne sentent-ils pas, sous leur pieds, la présence d’un cor, d’un durillon, d’une fissure, d’une coupure, d’une crevasse ou d’une mycose.
Ces blessures à la cicatrisation difficile, vont s’amplifier voire s’infecter. Dans les cas extrêmes, elles peuvent conduire à une amputation. Chaque année en France, 9 500 actes d’amputation des membres inférieurs sont pratiqués chez 8 000 diabétiques. D’après l’Association Française des Diabétiques (AFD), « un diabétique sur dix courrait un risque d’amputation »…
Indispensable prévention. Très souvent toutefois, ces complications du diabète pourraient être évitées. Si vous êtes concerné, Soyez vigilant. Attachez-vous à enrayer au plus tôt, la moindre lésion ou la plus petite infection. Pour cela :
* Lavez-vous chaque jour les pieds et les orteils et surtout, séchez-les soigneusement pour éviter les mycoses ;
* Examinez quotidiennement la plante de vos pieds, les interstices entre les orteils ainsi que les ongles à la recherche d’une coupure, d’une égratignure. Si nécessaire, aidez-vous d’un miroir ou demandez l’aide d’un proche ;
* Evitez de vous couper les ongles trop court ;
* Optez pour des chaussures adaptées et confortables ;
* Préférez des chaussettes en fibres naturelles, sans coutures intérieures. Et changez-les chaque jour ;
* Ne portez pas de chaussures sans chaussettes ;
* Ne marchez jamais pieds nus ;
* N’utilisez pas de bouillotte. Elle pourrait assécher la peau des pieds, et entraîner des coupures ;
* Au moins une fois par an, montrez vos pieds à votre généraliste ou à un podologue,. Ces consultations sont désormais inscrites dans vos droits, et mieux prises en charge par l’Assurance-maladie.
En cas de plaie. Montrez-la sans attendre à votre médecin. Comme le soulignent les responsables de l’AFD, « en cas de pied infecté, il faut retrouver un diabète équilibré, arrêter de fumer (car le tabac a des effets sur la circulation sanguine), éviter les autres facteurs de risque » comme l’alcool, les aliments sucrés et gras.
Sachez enfin que des dispositifs médicaux existent aujourd’hui pour accélérer la cicatrisation, en cas d’ulcère chronique sur un pied diabétique. C’est ainsi que CACIPLIQ20 vient d’être présenté aux médecins, lors du récent congrès de diabétologie de l’ALFEDIAM à Strasbourg. Si l’on en croit son fabricant, ce kit de cicatrisation « améliore la vitesse et la qualité de la réparation cutanée de l’ulcère chronique du pied diabétique ».
Vous êtes concerné ? N’oubliez pas que l’AFD met des fiches pratiques à votre disposition. Elles sont téléchargeables ici : Les devoirs du diabétiques : ce que vous devez connaître ou Les droits du diabétique : ce que comporte votre suivi médical.
Carpe Diem
•.¸.•*¨۰۪۪۫۫●۪۫۰¨*•.¸.•Envol pour 2009-2012 à Chambéry •.¸.•*¨۰۪۪۫۫●۪۫۰¨*•.¸.•
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Re: Actualités 2009
L'Allemagne va encadrer l'usage des tests génétiques
BERLIN - L'Allemagne va encadrer strictement les tests génétiques sur l'embryon et ceux de recherche de paternité, et interdire aux employeurs ou aux assurances d'y recourir, selon un projet adopté mercredi par une commission parlementaire.
"Les tests pré-nataux devront avoir un but purement médical" et seuls seront autorisés les tests pour dépister "des caractéristiques qui peuvent mettre en danger la vie de l'enfant à naître avant ou après la naissance", explique un communiqué du Bundestag, où la loi devrait être adoptée vendredi.
Les tests de dépistage de la trisomie pourront par exemple toujours être pratiqués, mais pas le dépistage de prédispositions "à des maladies qui ne se déclareront qu'après les 18 ans révolus".
De façon générale, "les tests génétiques ne devront être pratiqués qu'avec le consentement de la personne testée et seulement par un médecin".
Les tests de paternité ne pourront être menés qu'avec le consentement de la personne testée, sous peine d'une amende de 5.000 euros.
Les compagnies d'assurance et les employeurs n'auront pas le droit d'exiger des tests sur leurs assurés ou employés, ni d'utiliser les résultats de tests déjà effectués, sauf pour des contrats d'assurance de plus de 300.000 euros.
La question de la protection des données personnelles est particulièrement sensible en Allemagne, où des scandales d'espionnage par des employeurs de la vie privée de leurs salariés se sont succédés ces derniers mois.
Le projet a été adopté mercredi en commission parlementaire avec le soutien des sociaux-démocrates du SPD et des conservateurs de la CDU, qui détiennent la majorité au Bundestag, mais des membres de l'opposition libérale du FDP, des Verts et de l'extrême gauche en ont critiqué "les manques" et "les faiblesses".
BERLIN - L'Allemagne va encadrer strictement les tests génétiques sur l'embryon et ceux de recherche de paternité, et interdire aux employeurs ou aux assurances d'y recourir, selon un projet adopté mercredi par une commission parlementaire.
"Les tests pré-nataux devront avoir un but purement médical" et seuls seront autorisés les tests pour dépister "des caractéristiques qui peuvent mettre en danger la vie de l'enfant à naître avant ou après la naissance", explique un communiqué du Bundestag, où la loi devrait être adoptée vendredi.
Les tests de dépistage de la trisomie pourront par exemple toujours être pratiqués, mais pas le dépistage de prédispositions "à des maladies qui ne se déclareront qu'après les 18 ans révolus".
De façon générale, "les tests génétiques ne devront être pratiqués qu'avec le consentement de la personne testée et seulement par un médecin".
Les tests de paternité ne pourront être menés qu'avec le consentement de la personne testée, sous peine d'une amende de 5.000 euros.
Les compagnies d'assurance et les employeurs n'auront pas le droit d'exiger des tests sur leurs assurés ou employés, ni d'utiliser les résultats de tests déjà effectués, sauf pour des contrats d'assurance de plus de 300.000 euros.
La question de la protection des données personnelles est particulièrement sensible en Allemagne, où des scandales d'espionnage par des employeurs de la vie privée de leurs salariés se sont succédés ces derniers mois.
Le projet a été adopté mercredi en commission parlementaire avec le soutien des sociaux-démocrates du SPD et des conservateurs de la CDU, qui détiennent la majorité au Bundestag, mais des membres de l'opposition libérale du FDP, des Verts et de l'extrême gauche en ont critiqué "les manques" et "les faiblesses".
Carpe Diem
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Re: Actualités 2009
Les ventes d’armes explosent pour l’anniversaire de Columbine
Cela faisait 10 ans lundi qu’Eric Harris et Dylan Klebold massacraient treize personnes dans leur lycée de Littletown, Colorado. A l’époque, l’Amérique traumatisée par la plus grave tuerie scolaire de son histoire, s’était posée la question du libre accès aux armes, en particulier chez les plus jeunes. En 2009, le débat en est toujours au même point et malgré d’autres drames, les propriétaires d’armes ont réussi à protéger leur passion.
Détenir une arme pour pouvoir se protéger est un droit immuable aux Etats-Unis. La Constitution prévoit dans son deuxième amendement que les citoyens puissent s’organiser en milices, détenir et porter des armes afin d’assurer leur sécurité. Cet argument a toujours permis aux lobbys favorable au port libre d’armes à feu de justifier le maintien de cette pratique. Les différents partis ne sont cependant pas d’accord sur l’interprétation de cet amendement. S’agit-il d’un droit individuel justifiant l’achat d’une arme personnelle ou d’un droit collectif qui pourrait permettre de limiter le port d’armes aux forces de l’ordre ?
Suite à la tuerie du lycée Columbine de Littletown, le débat s’est fait plus houleux et quelques hommes politiques du parti démocrate ont décidé de s’y intéresser. En 2000, Al Gore, alors candidat à la présidence, a perdu de nombreux points dans les sondages en évoquant la suppression de la liberté d’achat d’armes à feu. Barack Obama avait à la même époque alerté les propriétaires d’armes en proposant d’augmenter les taxes de 500%.
Cette prise de position a peut être participé à la défaite d’Al Gore en 2000 et a failli ralentir Barack Obama en 2008. Posséder une arme à feu fait partie intégrante de la culture américaine. Si certains Etats sont prêts à évoluer, d’autres, dans lesquels la police fédérale est très peu représentée, craignent une véritable augmentation de la criminalité si les citoyens ne pouvaient plus se défendre. Près de 300 millions d’américains détiennent 270 millions d’armes à feu aujourd’hui.
L’importance économique de ce marché pour le pays est également un facteur non négligeable. Les Etats-Unis produisent 30% des armements exportés dans le monde. Sur les 10 principales entreprises de production d’équipements de défense, 7 sont américaines et généraient un chiffre d’affaires cumulé de 144 milliards de dollars pour cette activité en 2007.
Depuis 1927, 40 000 lois fédérales ont été appliquées concernant cette question et ont progressivement augmenté les barrières à l’achat et à la détention d’armes. Aujourd’hui, il est plus difficile d’acheter des armes d’assaut ou des armes automatiques. N’importe quel Américain peut cependant acquérir, si son casier judiciaire n’implique pas le contraire, un fusil de chasse dés l’âge de 18 ans et une arme de point dés l’âge de 21 ans.
Les ventes explosent
Les ventes d’armes à feu n’ont jamais été aussi élevées. Malgré l’action plus active que jamais des associations anti-armes, les américains se précipitent pour acheter armes de poings et de chasse. Selon le FBI, les ventes ont augmenté approximativement de 42% au second semestre 2008 et de 27% au premier trimestre 2009.
Il existe deux raisons principales à cette augmentation. La première, c’est l’opposition du nouveau président à cette coutume. De nombreux américains craignent que Barack Obama ne durcisse plus que jamais l’accès aux armes à feu. En prévision d’une éventuelle législation, ils se précipitent et stockent un maximum d’équipements de défense tant qu’ils le peuvent. M. Obama reste cependant relativement discret sur cette question qui pourrait soulever toute une partie de l’opinion. Remettre en cause la détention d’armes est particulièrement complexe et délicat.
La crise a également joué en faveur des ventes d’armes. Avec l’augmentation des situations sociales critiques et du chômage, le sentiment d’insécurité augmente en flèche. Les citoyens ont peur de ce dont seraient capables les désespérés. Le climat particulièrement tendu incite de nombreux particuliers à s’armer pour protéger leurs domiciles ou leurs magasins.
L’achat d’armes à feu a été compliqué par le président Clinton avec l’instauration de la loi Brady en 1994 qui devait permette d’empêcher les citoyens dangereux d’acheter des fusils. Depuis, la mise en place de foires et de salons a littéralement explosé et permet à tout un chacun de venir acheter rapidement et sans rien justifier les armes de son choix. Il n’existe toujours pas de réglementation efficace limitant ce phénomène qui permet à presque n’importe qui d’acquérir une arme. Depuis le début de l’année 2009, une soixantaine de personnes ont été tuées au cours de fusillades.
Cela faisait 10 ans lundi qu’Eric Harris et Dylan Klebold massacraient treize personnes dans leur lycée de Littletown, Colorado. A l’époque, l’Amérique traumatisée par la plus grave tuerie scolaire de son histoire, s’était posée la question du libre accès aux armes, en particulier chez les plus jeunes. En 2009, le débat en est toujours au même point et malgré d’autres drames, les propriétaires d’armes ont réussi à protéger leur passion.
Détenir une arme pour pouvoir se protéger est un droit immuable aux Etats-Unis. La Constitution prévoit dans son deuxième amendement que les citoyens puissent s’organiser en milices, détenir et porter des armes afin d’assurer leur sécurité. Cet argument a toujours permis aux lobbys favorable au port libre d’armes à feu de justifier le maintien de cette pratique. Les différents partis ne sont cependant pas d’accord sur l’interprétation de cet amendement. S’agit-il d’un droit individuel justifiant l’achat d’une arme personnelle ou d’un droit collectif qui pourrait permettre de limiter le port d’armes aux forces de l’ordre ?
Suite à la tuerie du lycée Columbine de Littletown, le débat s’est fait plus houleux et quelques hommes politiques du parti démocrate ont décidé de s’y intéresser. En 2000, Al Gore, alors candidat à la présidence, a perdu de nombreux points dans les sondages en évoquant la suppression de la liberté d’achat d’armes à feu. Barack Obama avait à la même époque alerté les propriétaires d’armes en proposant d’augmenter les taxes de 500%.
Cette prise de position a peut être participé à la défaite d’Al Gore en 2000 et a failli ralentir Barack Obama en 2008. Posséder une arme à feu fait partie intégrante de la culture américaine. Si certains Etats sont prêts à évoluer, d’autres, dans lesquels la police fédérale est très peu représentée, craignent une véritable augmentation de la criminalité si les citoyens ne pouvaient plus se défendre. Près de 300 millions d’américains détiennent 270 millions d’armes à feu aujourd’hui.
L’importance économique de ce marché pour le pays est également un facteur non négligeable. Les Etats-Unis produisent 30% des armements exportés dans le monde. Sur les 10 principales entreprises de production d’équipements de défense, 7 sont américaines et généraient un chiffre d’affaires cumulé de 144 milliards de dollars pour cette activité en 2007.
Depuis 1927, 40 000 lois fédérales ont été appliquées concernant cette question et ont progressivement augmenté les barrières à l’achat et à la détention d’armes. Aujourd’hui, il est plus difficile d’acheter des armes d’assaut ou des armes automatiques. N’importe quel Américain peut cependant acquérir, si son casier judiciaire n’implique pas le contraire, un fusil de chasse dés l’âge de 18 ans et une arme de point dés l’âge de 21 ans.
Les ventes explosent
Les ventes d’armes à feu n’ont jamais été aussi élevées. Malgré l’action plus active que jamais des associations anti-armes, les américains se précipitent pour acheter armes de poings et de chasse. Selon le FBI, les ventes ont augmenté approximativement de 42% au second semestre 2008 et de 27% au premier trimestre 2009.
Il existe deux raisons principales à cette augmentation. La première, c’est l’opposition du nouveau président à cette coutume. De nombreux américains craignent que Barack Obama ne durcisse plus que jamais l’accès aux armes à feu. En prévision d’une éventuelle législation, ils se précipitent et stockent un maximum d’équipements de défense tant qu’ils le peuvent. M. Obama reste cependant relativement discret sur cette question qui pourrait soulever toute une partie de l’opinion. Remettre en cause la détention d’armes est particulièrement complexe et délicat.
La crise a également joué en faveur des ventes d’armes. Avec l’augmentation des situations sociales critiques et du chômage, le sentiment d’insécurité augmente en flèche. Les citoyens ont peur de ce dont seraient capables les désespérés. Le climat particulièrement tendu incite de nombreux particuliers à s’armer pour protéger leurs domiciles ou leurs magasins.
L’achat d’armes à feu a été compliqué par le président Clinton avec l’instauration de la loi Brady en 1994 qui devait permette d’empêcher les citoyens dangereux d’acheter des fusils. Depuis, la mise en place de foires et de salons a littéralement explosé et permet à tout un chacun de venir acheter rapidement et sans rien justifier les armes de son choix. Il n’existe toujours pas de réglementation efficace limitant ce phénomène qui permet à presque n’importe qui d’acquérir une arme. Depuis le début de l’année 2009, une soixantaine de personnes ont été tuées au cours de fusillades.
Carpe Diem
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Re: Actualités 2009
Mort d'Ilyès : nouvelle mise en examen
Près de quatre mois après la mort d'Yliès, 3 ans, l'enquête vient de conduire à une nouvelle mise en examen : celle du pharmacien de l'hôpital Cochin, pour "homicide involontaire", révèle mercredi le Figaro.
L'enfant avait été conduit dans la matinée du 24 décembre par ses parents au service pédiatrique de l'hôpital Saint-Vincent-de-Paul pour une angine. Il devait décéder dans la soirée en réanimation après qu'une infirmière lui eut administré par erreur une perfusion de chlorure de magnésium au lieu d'un sérum glucosé, le B46, destiné à le réhydrater, ce qui a provoqué un arrêt cardiaque.
Le pharmacien a été mis en examen par la juge Marie-Odile Bertella-Geoffroy et laissé libre sans contrôle judiciaire.
La justice le soupçonne d'avoir commis des "fautes caractérisées dans le contrôle et l'acheminement de médicaments", selon une source proche du dossier.
Le service du pharmacien de Cochin est soupçonné d'être à l'origine de l'erreur de livraison à l'hôpital Saint-Vincent-de-Paul d'un colis de médicaments qui aurait été à l'origine des faits. L'infirmière qui a réalisé la perfusion avait elle aussi été mise en examen pour "homicide involontaire" le 26 décembre.
[Source : tf1.fr]
Près de quatre mois après la mort d'Yliès, 3 ans, l'enquête vient de conduire à une nouvelle mise en examen : celle du pharmacien de l'hôpital Cochin, pour "homicide involontaire", révèle mercredi le Figaro.
L'enfant avait été conduit dans la matinée du 24 décembre par ses parents au service pédiatrique de l'hôpital Saint-Vincent-de-Paul pour une angine. Il devait décéder dans la soirée en réanimation après qu'une infirmière lui eut administré par erreur une perfusion de chlorure de magnésium au lieu d'un sérum glucosé, le B46, destiné à le réhydrater, ce qui a provoqué un arrêt cardiaque.
Le pharmacien a été mis en examen par la juge Marie-Odile Bertella-Geoffroy et laissé libre sans contrôle judiciaire.
La justice le soupçonne d'avoir commis des "fautes caractérisées dans le contrôle et l'acheminement de médicaments", selon une source proche du dossier.
Le service du pharmacien de Cochin est soupçonné d'être à l'origine de l'erreur de livraison à l'hôpital Saint-Vincent-de-Paul d'un colis de médicaments qui aurait été à l'origine des faits. L'infirmière qui a réalisé la perfusion avait elle aussi été mise en examen pour "homicide involontaire" le 26 décembre.
[Source : tf1.fr]
IDE en HAD encore en remplacement en réanimation polyvalente
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Re: Actualités 2009
Journée morte dans les cabinets de radiologie
Il sera très difficile pour un patient de faire réaliser une radio ou une échographie aujourd'hui.
Les syndicats de radiologues appellent à une « journée radiologie morte » pour protester contre les baisses de tarifs entrées en vigueur le mois dernier.
« Environ 70 % des cabinets ont l'intention de fermer leurs portes », affirme Jacques Niney, président de la Fédération nationale des médecins radiologues (FNMR). Les services de radiologie des cliniques, eux, n'assureront que les urgences.
Une nouvelle grille tarifaire de l'assurance-maladie s'applique depuis la mi-mars.
Lorsque plusieurs actes de radiologie sont réalisés pour le même patient, le premier est tarifé normalement, mais les suivants à 50 % seulement.
Même mécanisme lorsqu'une mammographie est associée à une échographie - pour le dépistage du cancer du sein notamment : l'un des actes est facturé à 100 % à l'assurance-maladie, le deuxième à 50 %.
Cette mesure doit rapporter une centaine de millions d'euros par an d'économies à la Sécurité sociale.
Les radiologues protestent. « Nous avions proposé que le deuxième acte soit moins bien rémunéré lorsque l'appareil utilisé est le même, explique Jacques Niney, mais cette mesure va beaucoup plus loin. Lorsque deux appareils différents sont utilisés, les frais sont plus élevés.»
Le président de la FNMR l'assure, ces nouveaux tarifs risquent de faire disparaître « 250 à 300 » petites structures, soit la moitié des cabinets de proximité, qui n'ont pas de scanner ou d'IRM pour compenser le manque à gagner sur les radios.
On compte 1.800 cabinets de radiologie en France, toutes tailles confondues.
L'assurance-maladie souligne de son côté que la baisse de tarifs ne représente que 4,3% des honoraires de la profession, et que ceux-ci progressent rapidement (4 % par an en moyenne au cours des 8 dernières années).
Elle pointe aussi les revenus élevés des quelque 4 600 radiologues libéraux : ils gagnent en moyenne 168.000 euros par an, selon un rapport récent de l'IGAS, ce qui en fait la spécialité la plus lucrative, devant les chirurgiens (155 000 €) et très loin devant les pédiatres (79 000 €) ou les généralistes (72 000€).
[Source : Les Echos 23/04/09]
Il sera très difficile pour un patient de faire réaliser une radio ou une échographie aujourd'hui.
Les syndicats de radiologues appellent à une « journée radiologie morte » pour protester contre les baisses de tarifs entrées en vigueur le mois dernier.
« Environ 70 % des cabinets ont l'intention de fermer leurs portes », affirme Jacques Niney, président de la Fédération nationale des médecins radiologues (FNMR). Les services de radiologie des cliniques, eux, n'assureront que les urgences.
Une nouvelle grille tarifaire de l'assurance-maladie s'applique depuis la mi-mars.
Lorsque plusieurs actes de radiologie sont réalisés pour le même patient, le premier est tarifé normalement, mais les suivants à 50 % seulement.
Même mécanisme lorsqu'une mammographie est associée à une échographie - pour le dépistage du cancer du sein notamment : l'un des actes est facturé à 100 % à l'assurance-maladie, le deuxième à 50 %.
Cette mesure doit rapporter une centaine de millions d'euros par an d'économies à la Sécurité sociale.
Les radiologues protestent. « Nous avions proposé que le deuxième acte soit moins bien rémunéré lorsque l'appareil utilisé est le même, explique Jacques Niney, mais cette mesure va beaucoup plus loin. Lorsque deux appareils différents sont utilisés, les frais sont plus élevés.»
Le président de la FNMR l'assure, ces nouveaux tarifs risquent de faire disparaître « 250 à 300 » petites structures, soit la moitié des cabinets de proximité, qui n'ont pas de scanner ou d'IRM pour compenser le manque à gagner sur les radios.
On compte 1.800 cabinets de radiologie en France, toutes tailles confondues.
L'assurance-maladie souligne de son côté que la baisse de tarifs ne représente que 4,3% des honoraires de la profession, et que ceux-ci progressent rapidement (4 % par an en moyenne au cours des 8 dernières années).
Elle pointe aussi les revenus élevés des quelque 4 600 radiologues libéraux : ils gagnent en moyenne 168.000 euros par an, selon un rapport récent de l'IGAS, ce qui en fait la spécialité la plus lucrative, devant les chirurgiens (155 000 €) et très loin devant les pédiatres (79 000 €) ou les généralistes (72 000€).
[Source : Les Echos 23/04/09]
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Re: Actualités 2009
Comprendre l'oncogériatrie
Comprendre l'onco-gériatrie tel est le thème de la nouvelle brochure de l’Association pour la Recherche sur le Cancer (ARC), une brochure réalisée avec le concours du Pr Olivier Saint-Jean, chef du service de gériatrie à l'Hôpital Européen Georges Pompidou (Paris) et responsable de l'unité pilote en oncogériatrie de l'ouest parisien.
Qu'appelle-t-on oncogériatrie ? Comment prévenir ou dépister un cancer chez une personne âgée ? Quels sont les traitements ? Jusqu'à quel âge peut-on traiter une personne âgée ? Quels espoirs pour la recherche ? Quelle prise en charge ? Où s'adresser ? La brochure éditée par l'ARC répond à ces questions.
Il faut savoir que le risque de survenue d’un cancer augmente avec l’âge, et c’est d’autant plus vrai avec les cancers les plus fréquents (cancer du sein chez la femme, cancer de la prostate chez l’homme, cancer colorectal chez les deux sexes)
Selon l’Institut de veille sanitaire (InVS), près d’un tiers des nouveaux cas de cancers diagnostiqués chaque année surviennent chez des personnes de plus de 70 ans.
Depuis quelques années, l’oncogériatrie est devenue une discipline à part entière.
Son objectif est d’organiser et de proposer des parcours de soins adaptés aux malades âgés.
Il y a cinquante ans, la France comptait 2 millions de personnes de plus de 75 ans.
En 2020, ils seront trois fois plus nombreux.
En 2050, plus d’un tiers de la population sera âgé de plus de 60 ans (INSEE 2008).
Si le vieillissement n’est pas la seule cause de cancer, il en augmente cependant l’incidence. En effet, pour de nombreux types de cancers, le risque de survenue augmente avec la durée d’exposition à des facteurs de risque comme le tabac ou l’alcool.
Devant l’ampleur du cancer chez les personnes âgées, une nouvelle discipline se développe depuis une dizaine d’années seulement : l’onco-gériatrie. Elle est pratiquée par des cancérologues qui ont reçu une formation en gérontologie et qui mettent en pratique une approche globale et multidisciplinaire auprès de leurs patients.
L'objectif de cette brochure est d'aider les malades mais aussi leurs proches à mieux comprendre la maladie pour mieux y faire face et faciliter dépistage et prévention afin de retarder la survenue d’un cancer et/ou d’en limiter l’étendue.
Plus un diagnostic est précoce, meilleure sera la prise en charge des malades, quel que soit l’âge.
[Source : sante-actu.com 21/04/09]
Comprendre l'onco-gériatrie tel est le thème de la nouvelle brochure de l’Association pour la Recherche sur le Cancer (ARC), une brochure réalisée avec le concours du Pr Olivier Saint-Jean, chef du service de gériatrie à l'Hôpital Européen Georges Pompidou (Paris) et responsable de l'unité pilote en oncogériatrie de l'ouest parisien.
Qu'appelle-t-on oncogériatrie ? Comment prévenir ou dépister un cancer chez une personne âgée ? Quels sont les traitements ? Jusqu'à quel âge peut-on traiter une personne âgée ? Quels espoirs pour la recherche ? Quelle prise en charge ? Où s'adresser ? La brochure éditée par l'ARC répond à ces questions.
Il faut savoir que le risque de survenue d’un cancer augmente avec l’âge, et c’est d’autant plus vrai avec les cancers les plus fréquents (cancer du sein chez la femme, cancer de la prostate chez l’homme, cancer colorectal chez les deux sexes)
Selon l’Institut de veille sanitaire (InVS), près d’un tiers des nouveaux cas de cancers diagnostiqués chaque année surviennent chez des personnes de plus de 70 ans.
Depuis quelques années, l’oncogériatrie est devenue une discipline à part entière.
Son objectif est d’organiser et de proposer des parcours de soins adaptés aux malades âgés.
Il y a cinquante ans, la France comptait 2 millions de personnes de plus de 75 ans.
En 2020, ils seront trois fois plus nombreux.
En 2050, plus d’un tiers de la population sera âgé de plus de 60 ans (INSEE 2008).
Si le vieillissement n’est pas la seule cause de cancer, il en augmente cependant l’incidence. En effet, pour de nombreux types de cancers, le risque de survenue augmente avec la durée d’exposition à des facteurs de risque comme le tabac ou l’alcool.
Devant l’ampleur du cancer chez les personnes âgées, une nouvelle discipline se développe depuis une dizaine d’années seulement : l’onco-gériatrie. Elle est pratiquée par des cancérologues qui ont reçu une formation en gérontologie et qui mettent en pratique une approche globale et multidisciplinaire auprès de leurs patients.
L'objectif de cette brochure est d'aider les malades mais aussi leurs proches à mieux comprendre la maladie pour mieux y faire face et faciliter dépistage et prévention afin de retarder la survenue d’un cancer et/ou d’en limiter l’étendue.
Plus un diagnostic est précoce, meilleure sera la prise en charge des malades, quel que soit l’âge.
[Source : sante-actu.com 21/04/09]
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Re: Actualités 2009
«Secouer le bébé» pour le faire taire, l'application polémique de l'iPhone
Vous croyiez avoir tout vu en matière d’applications ridicules pour l’iPhone?
Il y avait celles, très populaires, pour envoyer des pets. Ou encore celles pour remplir son écran avec de la bière virtuelle. Sans parler de l’agenda pour suivre au jour le jour le cycle menstruel de sa/ses compagnes.
Vous pensiez avoir tout entendu du refrain «le processus d’approbation/rejet des applications est en bois»?
En vrac: Apple laisse parfois traîner sa décision pendant des mois, sans justification; refuse une application Twitter sous le prétexte qu’elle contient «des gros mots» ou encore une autre qui fait «concurrence» à iTunes.
En revanche, quand il s’agit de tuer un bébé en secouant son iPhone pour qu’il arrête de pleurer, Apple n’a pas de problème...
Jusqu’à ce que des médias s’y intéressent et que l’application «Secouer le bébé» pour le faire taire, l'application polémique de l'iPhone «Baby Shaker», en vente depuis lundi pour 99 cents, disparaisse de l’app store mercredi après-midi.
«Combien de temps pourrez-vous supporter ses adorables cris avant que vous trouviez un moyen de le faire taire?», demande la description de l’application, qui précise qu'il ne faut «jamais, jamais secouer un vrai bébé».
Pour faire stopper les pleurs, il faut agiter son iPhone jusqu’à ce que deux croix rouges apparaissent sur les yeux du nourrisson.
Selon son degré d’humour, on peut trouver cela drôle, bête ou juste de mauvais goût. Jennipher Dickens, une maman dont le bébé a subi de graves dommages cérébraux après que son père l’a secoué trop fort, a alerté Cnet et se dit «horrifiée».
Chaque année, plusieurs milliers de bébés meurent aux Etats-Unis (et ailleurs) du syndrome du bébé secoué.
Sans surprise, Apple n’a répondu à aucun de nos coups de téléphone et emails l’invitant à s’expliquer. Alors que le nombre de téléchargements d’applications iPhone approche à grands pas du milliard, il est temps qu’Apple clarifie son processus de validation.
[Source : 20minutes.fr]
Vous croyiez avoir tout vu en matière d’applications ridicules pour l’iPhone?
Il y avait celles, très populaires, pour envoyer des pets. Ou encore celles pour remplir son écran avec de la bière virtuelle. Sans parler de l’agenda pour suivre au jour le jour le cycle menstruel de sa/ses compagnes.
Vous pensiez avoir tout entendu du refrain «le processus d’approbation/rejet des applications est en bois»?
En vrac: Apple laisse parfois traîner sa décision pendant des mois, sans justification; refuse une application Twitter sous le prétexte qu’elle contient «des gros mots» ou encore une autre qui fait «concurrence» à iTunes.
En revanche, quand il s’agit de tuer un bébé en secouant son iPhone pour qu’il arrête de pleurer, Apple n’a pas de problème...
Jusqu’à ce que des médias s’y intéressent et que l’application «Secouer le bébé» pour le faire taire, l'application polémique de l'iPhone «Baby Shaker», en vente depuis lundi pour 99 cents, disparaisse de l’app store mercredi après-midi.
«Combien de temps pourrez-vous supporter ses adorables cris avant que vous trouviez un moyen de le faire taire?», demande la description de l’application, qui précise qu'il ne faut «jamais, jamais secouer un vrai bébé».
Pour faire stopper les pleurs, il faut agiter son iPhone jusqu’à ce que deux croix rouges apparaissent sur les yeux du nourrisson.
Selon son degré d’humour, on peut trouver cela drôle, bête ou juste de mauvais goût. Jennipher Dickens, une maman dont le bébé a subi de graves dommages cérébraux après que son père l’a secoué trop fort, a alerté Cnet et se dit «horrifiée».
Chaque année, plusieurs milliers de bébés meurent aux Etats-Unis (et ailleurs) du syndrome du bébé secoué.
Sans surprise, Apple n’a répondu à aucun de nos coups de téléphone et emails l’invitant à s’expliquer. Alors que le nombre de téléchargements d’applications iPhone approche à grands pas du milliard, il est temps qu’Apple clarifie son processus de validation.
[Source : 20minutes.fr]
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Re: Actualités 2009
Première greffe en France d'une cornée artificielle, réalisée à Marseille
Une équipe de l'hôpital de La Timone à Marseille a réussi la première greffe de cornée artificielle jamais réalisée en France, selon un communiqué diffusé mercredi par l'Assistance Publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM).
Cette opération chirurgicale, réalisée au sein du service d'ophtalmologie de l'hôpital de La Timone, dirigé par le professeur Bernard Ridings, a été réalisée par le docteur Louis Hoffart.
"Cette cornée artificielle est destinée aux patients auxquels on ne peut plus proposer de greffe de cornée en raison d'un risque majeur de rejet", explique l'AP-HM, dans un communiqué précisant que la technique utilisée était importée des Etats-Unis.
"Les cornées artificielles une fois implantées, sont colonisées par les tissus oculaires et intégrées dans la cornée du patient", indique l'AP-HM.
"Après un laps de temps de plusieurs mois (4 à 28 mois), les trois quarts des patients greffés ont retrouvé une acuité visuelle leur permettant de retrouver une autonomie et de distinguer les formes", ajoute le communiqué.
[Source : AFP]
Une équipe de l'hôpital de La Timone à Marseille a réussi la première greffe de cornée artificielle jamais réalisée en France, selon un communiqué diffusé mercredi par l'Assistance Publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM).
Cette opération chirurgicale, réalisée au sein du service d'ophtalmologie de l'hôpital de La Timone, dirigé par le professeur Bernard Ridings, a été réalisée par le docteur Louis Hoffart.
"Cette cornée artificielle est destinée aux patients auxquels on ne peut plus proposer de greffe de cornée en raison d'un risque majeur de rejet", explique l'AP-HM, dans un communiqué précisant que la technique utilisée était importée des Etats-Unis.
"Les cornées artificielles une fois implantées, sont colonisées par les tissus oculaires et intégrées dans la cornée du patient", indique l'AP-HM.
"Après un laps de temps de plusieurs mois (4 à 28 mois), les trois quarts des patients greffés ont retrouvé une acuité visuelle leur permettant de retrouver une autonomie et de distinguer les formes", ajoute le communiqué.
[Source : AFP]
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Re: Actualités 2009
Un site et un guide pour lutter conter la pollution intérieure
Nous passons en moyenne quatorze heures par jour à notre domicile.
La qualité de l’air que nous y respirons peut être dégradée par des sources différentes comme le tabagisme, les produits d’entretien et de bricolage (leurs composants sont très volatils), la combustion défectueuse des appareils de chauffage ou de production d’eau chaude (elle peut libérer du monoxyde de carbone, qui peut être mortel), les animaux et acariens qui sont des facteurs d’allergie très répandus.
Les effets sur la santé vont d’une simple gêne à des pathologies touchant principalement le système respiratoire : maux de tête, irritations des voies respiratoires, allergies...
Certaines personnes y sont particulièrement sensibles (les nourrissons, les enfants, les femmes enceintes, les personnes âgées ou les personnes atteintes de maladies chroniques).
De simples réflexes au quotidien permettent de respirer un air plus sain.
Chaque jour, hiver comme été, aérer pendant dix minutes, permet de renouveler l’air dans le logement.
La ventilation est également un bon moyen de renouveler l’air intérieur. Si tous les logements ne sont pas équipés d’une ventilation mécanique contrôlée (VMC), une ventilation « naturelle » est prévue, qui permet la circulation de l’air dans le logement. Il ne faut donc pas boucher les entrées d’air, grilles ou bouches d’aération et il faut penser à les entretenir.
De même, il faut aérer davantage lors de certaines activités : bricolage, cuisine, ménage, après avoir étendu le linge ou après une douche ou un bain. Pour plus d’informations sur le sujet, le site prévention maison répond à de nombreuses questions.
L’Inpes propose également un guide complet disponible, gratuitement, sur commande à partir du site.
[Source : nouvelobs.com 22/04/09]
Nous passons en moyenne quatorze heures par jour à notre domicile.
La qualité de l’air que nous y respirons peut être dégradée par des sources différentes comme le tabagisme, les produits d’entretien et de bricolage (leurs composants sont très volatils), la combustion défectueuse des appareils de chauffage ou de production d’eau chaude (elle peut libérer du monoxyde de carbone, qui peut être mortel), les animaux et acariens qui sont des facteurs d’allergie très répandus.
Les effets sur la santé vont d’une simple gêne à des pathologies touchant principalement le système respiratoire : maux de tête, irritations des voies respiratoires, allergies...
Certaines personnes y sont particulièrement sensibles (les nourrissons, les enfants, les femmes enceintes, les personnes âgées ou les personnes atteintes de maladies chroniques).
De simples réflexes au quotidien permettent de respirer un air plus sain.
Chaque jour, hiver comme été, aérer pendant dix minutes, permet de renouveler l’air dans le logement.
La ventilation est également un bon moyen de renouveler l’air intérieur. Si tous les logements ne sont pas équipés d’une ventilation mécanique contrôlée (VMC), une ventilation « naturelle » est prévue, qui permet la circulation de l’air dans le logement. Il ne faut donc pas boucher les entrées d’air, grilles ou bouches d’aération et il faut penser à les entretenir.
De même, il faut aérer davantage lors de certaines activités : bricolage, cuisine, ménage, après avoir étendu le linge ou après une douche ou un bain. Pour plus d’informations sur le sujet, le site prévention maison répond à de nombreuses questions.
L’Inpes propose également un guide complet disponible, gratuitement, sur commande à partir du site.
[Source : nouvelobs.com 22/04/09]
IDE en HAD encore en remplacement en réanimation polyvalente
Re: Actualités 2009
Après Tati sans pipe, Coco Chanel et sa cigarette interdit de métro parisien Suivante
En pyjama de satin blanc, Audrey Tautou toise les passants sur l'affiche du film "Coco avant Chanel", une cigarette à la main... sauf dans le métro parisien d'où cette publicité a été bannie, comme l'a été la pipe de Jacques Tati, au nom du respect de la loi Evin contre le tabac.
"La cigarette de Coco Chanel a été refusée par Métrobus, la régie publicitaire de la RATP alors que pour tous les autres afficheurs, elle ne posait aucun problème", a déclaré à l'AFP Olivier Snanoudj, directeur général adjoint de Warner France, qui a produit le film d'Anne Fontaine sorti mercredi.
"Nous avons dû nous résoudre à n'utiliser dans le métro parisien que deux affiches de complément, où Audrey Tautou apparaît au côté des acteurs masculins", dit-il. Sur les 5.800 affiches diffusées en France, les 1.100 destinées au métro et aux autobus parisiens ont ainsi été substituées.
"Mais pour nous, la vraie affiche est celle où Coco Chanel fume dans une pose naturelle qui traduit sa forte personnalité et sa modernité", dit M. Snanoudj, pour qui "Métrobus fait souvent preuve d'un zèle particulier dans ces affaires-là".
Interrogée par l'AFP, la régie publicitaire de la RATP a affirmé s'en tenir à l'"application de la loi Evin, qui interdit toute publicité directe ou indirecte pour le tabac".
"Nous sommes dans des lieux qui sont des services publics, où nous devons respecter la loi. Nous avons donc demandé au distributeur de +Coco avant Chanel+ de nous fournir d'autres visuels, ce qu'il a fait", a-t-on précisé.
Ces derniers jours, Métrobus a déjà provoqué la polémique en faisant supprimer, sur l'affiche d'une exposition de la Cinémathèque française consacrée à Jacques Tati, la pipe du cinéaste, pour la remplacer par un moulin à vent.
La Cinémathèque s'est amusée mercredi de ce qu'elle a qualifié d'"incident burlesque" dans "l?esprit de Jacques Tati", tout en appelant à apporter des amendements à la loi Evin dont l'application "rigide" conduit selon elle, à des "décisions absurdes".
Deux organisations professionnelles, la Société des Réalisateurs de Films (SRF) et le Syndicat de la Critique de Cinéma ont exigé une nouvelle campagne gratuite d'affichage, afin que réapparaisse la pipe "censurée".
De son côté l'Observatoire de la liberté de création de la Ligue des droits de l?Homme (LDH) a lancé une pétition en ligne pour le retrait de "la ridicule hélice jaune qui masque" la pipe de Monsieur Hulot, héros des films de Tati.
Devant ce tollé la ministre de la Santé Roselyne Bachelot a lancé la semaine dernière : "Ah non, moi, je ne suis pas pour enlever la pipe à Jacques Tati !"
Et son prédécesseur, à l'origine de la loi votée en 1991, Claude Evin, a lui-même jugé la suppression de la pipe "ridicule". "On n'est pas dans cette situation de publicité indirecte, il s'agit d'un patrimoine culturel qui s'inscrit dans notre culture cinématographique", a-t-il argumenté.
Jean-Pierre Teyssier, qui préside l'Autorité de Régulation Professionnelle de la Publicité, plaide pour un assouplissement de la loi.
"Quand une personne a joué un rôle culturel important, de Gainsbourg à Simenon, que la cigarette ou la pipe est un attribut inséparable de sa personnalité et que l'annonceur est sans rapport avec l'industrie du tabac, il pourrait y avoir une exception", a-t-il dit à l'AFP.
Cette modification tomberait à pic pour le film "Serge Gainsbourg, vie héroïque" de Joann Sfar, ou le "Sherlock Holmes" de Guy Ritchie, tous deux en cours de production... et consacrés à des fumeurs impénitents.
source : internaute actualité
En pyjama de satin blanc, Audrey Tautou toise les passants sur l'affiche du film "Coco avant Chanel", une cigarette à la main... sauf dans le métro parisien d'où cette publicité a été bannie, comme l'a été la pipe de Jacques Tati, au nom du respect de la loi Evin contre le tabac.
"La cigarette de Coco Chanel a été refusée par Métrobus, la régie publicitaire de la RATP alors que pour tous les autres afficheurs, elle ne posait aucun problème", a déclaré à l'AFP Olivier Snanoudj, directeur général adjoint de Warner France, qui a produit le film d'Anne Fontaine sorti mercredi.
"Nous avons dû nous résoudre à n'utiliser dans le métro parisien que deux affiches de complément, où Audrey Tautou apparaît au côté des acteurs masculins", dit-il. Sur les 5.800 affiches diffusées en France, les 1.100 destinées au métro et aux autobus parisiens ont ainsi été substituées.
"Mais pour nous, la vraie affiche est celle où Coco Chanel fume dans une pose naturelle qui traduit sa forte personnalité et sa modernité", dit M. Snanoudj, pour qui "Métrobus fait souvent preuve d'un zèle particulier dans ces affaires-là".
Interrogée par l'AFP, la régie publicitaire de la RATP a affirmé s'en tenir à l'"application de la loi Evin, qui interdit toute publicité directe ou indirecte pour le tabac".
"Nous sommes dans des lieux qui sont des services publics, où nous devons respecter la loi. Nous avons donc demandé au distributeur de +Coco avant Chanel+ de nous fournir d'autres visuels, ce qu'il a fait", a-t-on précisé.
Ces derniers jours, Métrobus a déjà provoqué la polémique en faisant supprimer, sur l'affiche d'une exposition de la Cinémathèque française consacrée à Jacques Tati, la pipe du cinéaste, pour la remplacer par un moulin à vent.
La Cinémathèque s'est amusée mercredi de ce qu'elle a qualifié d'"incident burlesque" dans "l?esprit de Jacques Tati", tout en appelant à apporter des amendements à la loi Evin dont l'application "rigide" conduit selon elle, à des "décisions absurdes".
Deux organisations professionnelles, la Société des Réalisateurs de Films (SRF) et le Syndicat de la Critique de Cinéma ont exigé une nouvelle campagne gratuite d'affichage, afin que réapparaisse la pipe "censurée".
De son côté l'Observatoire de la liberté de création de la Ligue des droits de l?Homme (LDH) a lancé une pétition en ligne pour le retrait de "la ridicule hélice jaune qui masque" la pipe de Monsieur Hulot, héros des films de Tati.
Devant ce tollé la ministre de la Santé Roselyne Bachelot a lancé la semaine dernière : "Ah non, moi, je ne suis pas pour enlever la pipe à Jacques Tati !"
Et son prédécesseur, à l'origine de la loi votée en 1991, Claude Evin, a lui-même jugé la suppression de la pipe "ridicule". "On n'est pas dans cette situation de publicité indirecte, il s'agit d'un patrimoine culturel qui s'inscrit dans notre culture cinématographique", a-t-il argumenté.
Jean-Pierre Teyssier, qui préside l'Autorité de Régulation Professionnelle de la Publicité, plaide pour un assouplissement de la loi.
"Quand une personne a joué un rôle culturel important, de Gainsbourg à Simenon, que la cigarette ou la pipe est un attribut inséparable de sa personnalité et que l'annonceur est sans rapport avec l'industrie du tabac, il pourrait y avoir une exception", a-t-il dit à l'AFP.
Cette modification tomberait à pic pour le film "Serge Gainsbourg, vie héroïque" de Joann Sfar, ou le "Sherlock Holmes" de Guy Ritchie, tous deux en cours de production... et consacrés à des fumeurs impénitents.
source : internaute actualité
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Re: Actualités 2009
Radiofréquences: le Grenelle des ondes démarre prudemment
Le "Grenelle des ondes" a démarré prudemment jeudi, avec l'ambition affichée du gouvernement de réduire la confrontation entre opérateurs de téléphonie mobile et écologistes, qui ont prévenu qu'ils attendaient des "décisions" au-delà du simple dialogue.
D'entrée, la secrétaire d'Etat à l'Ecologie Chantal Jouanno a semblé faire une concession aux écologistes, en évoquant devant la presse leur requête d'un moratoire sur l'implantation de nouvelles antennes pendant quelques mois.
Cette table ronde "radiofréquences, santé et environnement", tenue au ministère de la Santé, veut essayer de répondre aux inquiétudes grandissantes dans la population sur l'impact des ondes sur la santé.
Ont été conviés une cinquantaine d'acteurs concernés par le sujet -représentants de l'Etat, associations, élus, syndicats, opérateurs...
Jean-Marie Danjou, délégué général de l'Association française des opérateurs mobiles (Afom), a souhaité que l'on sorte des "confrontations stériles" et des "dialogues de sourds".
"Des acteurs commencent à se parler, il faut encore qu'il s'écoutent et s'entendent", a noté Stephen Kerckhove, délégué général de l'association Agir pour l'environnement, qui "veut des décisions". "Un simple guide des bonnes pratiques ou une charte, ça ne suffira pas", prévient-il.
Les représentants du gouvernement se sont dits prêts à prendre le temps qu'il faudra, alors que le processus doit en principe durer jusqu'à fin mai, avec trois séances de travail et une réunion plénière de synthèse. "S'il faut plus de temps, nous prendrons plus de temps", a assuré Roselyne Bachelot, ministre de la Santé.
Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat à l'Economie numérique, a reconnu que "personne n'est satisfait de la situation actuelle", et que la réglementation "a besoin d'être remise à jour".
Pour les responsables gouvernementaux, il est clair cependant que les risques sanitaires sont plus du côté des téléphones portables que des antennes. "Les portables sont notre priorité numéro 1", a dit Chantal Jouanno. "On sera aussi ferme sur les antennes que sur les portables", a rétorqué Janine le Calvez, présidente de l'association Priartem.
Pour cette première journée, les choses n'ont guère avancé. "On a débattu de la forme que pourrait prendre le débat, on en est aux balbutiements", a relevé Stephen Kerckhove, pour qui "il faut de la réglementation".
M. Danjou a rappelé que les opérateurs doivent couvrir l'ensemble du territoire et se voient obligés par la justice de démonter des antennes. "Nous ne pouvons être à la fois dans l'obligation d'installer les antennes-relais et de les démonter", a-t-il noté, demandant un cadre juridique "stable et clair".
"Cette table ronde doit mettre un terme à l'instabilité juridique" et "concilier protection de l'environnement et développement économique", a renchéri France nature environnement (FNE).
Mme Jouanno a évoqué "la possibilité de suspendre l'implantation de nouvelles antennes" en attendant une étude sur le sujet que doit rendre en septembre l'Afsset (Agence de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail), comme le demandait FNE.
Un moratoire qui cependant nécessiterait un "arbitrage interministériel", a-t-elle reconnu.
Elle s'est déclarée favorable à la non-utilisation du portable par les enfants jusqu'à leur entrée au collège.
La première réunion de travail, sur les antennes, se tiendra le 6 mai, soit beaucoup trop tôt pour les associations, qui réclament la présence d'experts scientifiques et l'organisation d'un débat entre eux.
source: l'internaute actualité
Le "Grenelle des ondes" a démarré prudemment jeudi, avec l'ambition affichée du gouvernement de réduire la confrontation entre opérateurs de téléphonie mobile et écologistes, qui ont prévenu qu'ils attendaient des "décisions" au-delà du simple dialogue.
D'entrée, la secrétaire d'Etat à l'Ecologie Chantal Jouanno a semblé faire une concession aux écologistes, en évoquant devant la presse leur requête d'un moratoire sur l'implantation de nouvelles antennes pendant quelques mois.
Cette table ronde "radiofréquences, santé et environnement", tenue au ministère de la Santé, veut essayer de répondre aux inquiétudes grandissantes dans la population sur l'impact des ondes sur la santé.
Ont été conviés une cinquantaine d'acteurs concernés par le sujet -représentants de l'Etat, associations, élus, syndicats, opérateurs...
Jean-Marie Danjou, délégué général de l'Association française des opérateurs mobiles (Afom), a souhaité que l'on sorte des "confrontations stériles" et des "dialogues de sourds".
"Des acteurs commencent à se parler, il faut encore qu'il s'écoutent et s'entendent", a noté Stephen Kerckhove, délégué général de l'association Agir pour l'environnement, qui "veut des décisions". "Un simple guide des bonnes pratiques ou une charte, ça ne suffira pas", prévient-il.
Les représentants du gouvernement se sont dits prêts à prendre le temps qu'il faudra, alors que le processus doit en principe durer jusqu'à fin mai, avec trois séances de travail et une réunion plénière de synthèse. "S'il faut plus de temps, nous prendrons plus de temps", a assuré Roselyne Bachelot, ministre de la Santé.
Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat à l'Economie numérique, a reconnu que "personne n'est satisfait de la situation actuelle", et que la réglementation "a besoin d'être remise à jour".
Pour les responsables gouvernementaux, il est clair cependant que les risques sanitaires sont plus du côté des téléphones portables que des antennes. "Les portables sont notre priorité numéro 1", a dit Chantal Jouanno. "On sera aussi ferme sur les antennes que sur les portables", a rétorqué Janine le Calvez, présidente de l'association Priartem.
Pour cette première journée, les choses n'ont guère avancé. "On a débattu de la forme que pourrait prendre le débat, on en est aux balbutiements", a relevé Stephen Kerckhove, pour qui "il faut de la réglementation".
M. Danjou a rappelé que les opérateurs doivent couvrir l'ensemble du territoire et se voient obligés par la justice de démonter des antennes. "Nous ne pouvons être à la fois dans l'obligation d'installer les antennes-relais et de les démonter", a-t-il noté, demandant un cadre juridique "stable et clair".
"Cette table ronde doit mettre un terme à l'instabilité juridique" et "concilier protection de l'environnement et développement économique", a renchéri France nature environnement (FNE).
Mme Jouanno a évoqué "la possibilité de suspendre l'implantation de nouvelles antennes" en attendant une étude sur le sujet que doit rendre en septembre l'Afsset (Agence de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail), comme le demandait FNE.
Un moratoire qui cependant nécessiterait un "arbitrage interministériel", a-t-elle reconnu.
Elle s'est déclarée favorable à la non-utilisation du portable par les enfants jusqu'à leur entrée au collège.
La première réunion de travail, sur les antennes, se tiendra le 6 mai, soit beaucoup trop tôt pour les associations, qui réclament la présence d'experts scientifiques et l'organisation d'un débat entre eux.
source: l'internaute actualité
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Re: Actualités 2009
Un dossier complet sur le téléphone portable et les risques pour la santé ICI
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Re: Actualités 2009
Migrants à Calais: Besson annonce la fermeture de la "jungle" et des mesures humanitaires
Le ministre de l'immigration Eric Besson a annoncé jeudi à Calais la fermeture "avant la fin de l'année" de la "jungle", cette vaste zone située près du port où transitent des centaines de migrants clandestins, et annoncé une série d'actions humanitaires concrètes.
M. Besson, qui avait promis en janvier aux habitants de Calais de venir apporter "des solutions" avant le 1er mai, a aussi exhorté la Grande-Bretagne, "eldorado" que les migrants tentent inlassablement d'atteindre au péril de leur vie, de mieux contrôler sa frontière avec l'espace Schengen. Il a souhaité que des discussions dans ce sens aboutissent avant le sommet franco-britannique du 6 juillet.
"Nos amis britanniques doivent prendre une part plus grande dans le contrôle de leur frontière avec l'espace Schengen (...) Seul le message clair et crédible que la frontière vers l'Angleterre ne peut être franchie permettra de dissuader durablement les filières d'immigration clandestines de s'implanter à Calais", a-t-il dit devant la presse.
La maire UMP de Calais, Natacha Bouchart, avait interpellé le gouvernement sur le cas de la Grande-Bretagne. Si celle-ci appartenait à cet espace ouvert (Schengen), a-t-elle fait valoir, la France n'aurait pas à verrouiller ainsi sa frontière et le flux des réfugiés serait plus équitablement réparti entre les différents pays européens de l'espace Schengen.
M. Besson a par ailleurs confirmé le démantèlement de la "jungle". "Nous prendrons le temps nécessaire (...) mais la jungle devra avoir disparu avant la fin de l'année", a-t-il dit.
"Il n'y a pas assez de pression de la police sur les passeurs et les filières clandestines", a-t-il estimé en demandant au préfet de "renouveler des opérations" comme celle de mardi pour parvenir à cette fermeture.
Mardi matin, près de 200 migrants, essentiellement des Afghans et des Irakiens, ont été interpellés dans le Calaisis lors d'une importante opération qui a mobilisé près de 500 policiers et gendarmes.
Les personnes interpellées ont toutes été libérées depuis, une dizaine ayant été placées dans des centres de rétention pour des raisons administratives. Selon Jean-Yves Taupin, directeur central de la Police aux frontières, présent aux côtés de M. Besson, "un travail en aval va être fait" pour arrêter les passeurs.
M. Besson a détaillé parallèlement une série de mesures humanitaires pour les migrants: "six actions concrètes mais pas de nouveau ni de mini-Sangatte".
Il a cité "un point de recueil de demandes d'asile qui devrait être opérationnel le 5 mai", "un point d'information" pour les migrants y compris pour ceux qui voudraient un retour volontaire, "un point de distribution de repas", un autre "permettant un accès aux soins" ainsi qu'un autre emplacement qui serait "un point d'accueil supplémentaire pour les personnes les plus fragiles" à une dizaine de kilomètres de Calais. Il y aura enfin un point sanitaire avec des douches dans la périphérie est de Calais.
Les associations s'occupant des migrants ont été longuement reçues par le ministre. Deux des principales, Salam et C'Sur, ont reconnu que les propositions de M. Besson "constituaient de réelles avancées". Elles ont en revanche critiqué sa volonté de démanteler la jungle, arguant que "cela ne fera que déplacer le problème".
M. Besson a par ailleurs souligné que "l'Etat n'abandonnera pas les Calaisiens" et annoncé que 8 millions d'euros d'aide seront engagés à Calais dans le cadre du plan de relance avec notamment des opérations de renouvellement urbain.
Source: l'internaute actualité
Le ministre de l'immigration Eric Besson a annoncé jeudi à Calais la fermeture "avant la fin de l'année" de la "jungle", cette vaste zone située près du port où transitent des centaines de migrants clandestins, et annoncé une série d'actions humanitaires concrètes.
M. Besson, qui avait promis en janvier aux habitants de Calais de venir apporter "des solutions" avant le 1er mai, a aussi exhorté la Grande-Bretagne, "eldorado" que les migrants tentent inlassablement d'atteindre au péril de leur vie, de mieux contrôler sa frontière avec l'espace Schengen. Il a souhaité que des discussions dans ce sens aboutissent avant le sommet franco-britannique du 6 juillet.
"Nos amis britanniques doivent prendre une part plus grande dans le contrôle de leur frontière avec l'espace Schengen (...) Seul le message clair et crédible que la frontière vers l'Angleterre ne peut être franchie permettra de dissuader durablement les filières d'immigration clandestines de s'implanter à Calais", a-t-il dit devant la presse.
La maire UMP de Calais, Natacha Bouchart, avait interpellé le gouvernement sur le cas de la Grande-Bretagne. Si celle-ci appartenait à cet espace ouvert (Schengen), a-t-elle fait valoir, la France n'aurait pas à verrouiller ainsi sa frontière et le flux des réfugiés serait plus équitablement réparti entre les différents pays européens de l'espace Schengen.
M. Besson a par ailleurs confirmé le démantèlement de la "jungle". "Nous prendrons le temps nécessaire (...) mais la jungle devra avoir disparu avant la fin de l'année", a-t-il dit.
"Il n'y a pas assez de pression de la police sur les passeurs et les filières clandestines", a-t-il estimé en demandant au préfet de "renouveler des opérations" comme celle de mardi pour parvenir à cette fermeture.
Mardi matin, près de 200 migrants, essentiellement des Afghans et des Irakiens, ont été interpellés dans le Calaisis lors d'une importante opération qui a mobilisé près de 500 policiers et gendarmes.
Les personnes interpellées ont toutes été libérées depuis, une dizaine ayant été placées dans des centres de rétention pour des raisons administratives. Selon Jean-Yves Taupin, directeur central de la Police aux frontières, présent aux côtés de M. Besson, "un travail en aval va être fait" pour arrêter les passeurs.
M. Besson a détaillé parallèlement une série de mesures humanitaires pour les migrants: "six actions concrètes mais pas de nouveau ni de mini-Sangatte".
Il a cité "un point de recueil de demandes d'asile qui devrait être opérationnel le 5 mai", "un point d'information" pour les migrants y compris pour ceux qui voudraient un retour volontaire, "un point de distribution de repas", un autre "permettant un accès aux soins" ainsi qu'un autre emplacement qui serait "un point d'accueil supplémentaire pour les personnes les plus fragiles" à une dizaine de kilomètres de Calais. Il y aura enfin un point sanitaire avec des douches dans la périphérie est de Calais.
Les associations s'occupant des migrants ont été longuement reçues par le ministre. Deux des principales, Salam et C'Sur, ont reconnu que les propositions de M. Besson "constituaient de réelles avancées". Elles ont en revanche critiqué sa volonté de démanteler la jungle, arguant que "cela ne fera que déplacer le problème".
M. Besson a par ailleurs souligné que "l'Etat n'abandonnera pas les Calaisiens" et annoncé que 8 millions d'euros d'aide seront engagés à Calais dans le cadre du plan de relance avec notamment des opérations de renouvellement urbain.
Source: l'internaute actualité
IDE
Re: Actualités 2009
L'article date du 10 avril, mais la pilule en questions est disponible dés aujourd'hui en pharmacie sans ordonnance.
Un médicament anti-obésité sur la sellette: la pillule Alli
Le médicament sera en vente libre le mois prochain (aujourd'hui). Attention, il s’adresse à ceux qui souffrent d’obésité, et pas à ceux qui cherchent à perdre deux ou trois kilos avant l’été, rappelle l’Afssaps.
C’est une petite pilule pas vraiment inoffensive qui arrive sur le marché. Alli sera disponible, sans ordonnance, en pharmacie. Et c’est précisément ce qui inquiète l’Afssaps, l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé.
Car Alli est un médicament anti-obésité. Et la tentation pourrait être grande, avec les beaux jours qui reviennent, de l’utiliser pour perdre ces quelques kilos disgrâcieux accumulés pendant l’hiver... Ce n’est pas son utilité, martèle l’Affsaps.
Et ce peut être même dangereux. Car Alli agit dans l’intestin pour limiter l’absorption des graisses ingérées ; il est réservé aux individus, adultes, qui présentent un fort surpoids. Totalement contre-indiqué aux mineurs et aux femmes enceintes.
Quant à son efficacité, elle est toute relative. Alli n’est en fait qu’une demi-dose de Xenical, vendu, lui, sur ordonnance depuis 1998.
Son principe actif, l’orlistat, élimine les graisses dans les selles, occasionnant parfois des diarrhées sévères.
Alli ne doit pas se substituer à une consultation chez son médecin.
Malgré ces réserves très officielles, Alli arrive donc sur le marché français en toute liberté, ou presque. Alors même que la France y était hostile. Seulement, sa commercialisation a été autorisée au niveau européen...
Ce qui n’empêche pas le directeur général de l’Afssaps, Jean Marimbert, de souligner dès aujourd’hui qu’il serait vigilant sur les risques de dérives et d’écarts.
Source: France Info
En cherchant l'info, je suis tombée sur des forums ou bon nombre de jeunes et trés jeunes filles veulent absolument prendre cette pilule .... il faut vraiment que les pharmaciens soient vigilants au moment de la délivrance de ce médicament ....
Un médicament anti-obésité sur la sellette: la pillule Alli
Le médicament sera en vente libre le mois prochain (aujourd'hui). Attention, il s’adresse à ceux qui souffrent d’obésité, et pas à ceux qui cherchent à perdre deux ou trois kilos avant l’été, rappelle l’Afssaps.
C’est une petite pilule pas vraiment inoffensive qui arrive sur le marché. Alli sera disponible, sans ordonnance, en pharmacie. Et c’est précisément ce qui inquiète l’Afssaps, l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé.
Car Alli est un médicament anti-obésité. Et la tentation pourrait être grande, avec les beaux jours qui reviennent, de l’utiliser pour perdre ces quelques kilos disgrâcieux accumulés pendant l’hiver... Ce n’est pas son utilité, martèle l’Affsaps.
Et ce peut être même dangereux. Car Alli agit dans l’intestin pour limiter l’absorption des graisses ingérées ; il est réservé aux individus, adultes, qui présentent un fort surpoids. Totalement contre-indiqué aux mineurs et aux femmes enceintes.
Quant à son efficacité, elle est toute relative. Alli n’est en fait qu’une demi-dose de Xenical, vendu, lui, sur ordonnance depuis 1998.
Son principe actif, l’orlistat, élimine les graisses dans les selles, occasionnant parfois des diarrhées sévères.
Alli ne doit pas se substituer à une consultation chez son médecin.
Malgré ces réserves très officielles, Alli arrive donc sur le marché français en toute liberté, ou presque. Alors même que la France y était hostile. Seulement, sa commercialisation a été autorisée au niveau européen...
Ce qui n’empêche pas le directeur général de l’Afssaps, Jean Marimbert, de souligner dès aujourd’hui qu’il serait vigilant sur les risques de dérives et d’écarts.
Source: France Info
En cherchant l'info, je suis tombée sur des forums ou bon nombre de jeunes et trés jeunes filles veulent absolument prendre cette pilule .... il faut vraiment que les pharmaciens soient vigilants au moment de la délivrance de ce médicament ....
IDE
Re: Actualités 2009
mag83 a écrit :
Attention, il s’adresse à ceux qui souffrent d’obésité, et pas à ceux qui cherchent à perdre deux ou trois kilos avant l’été, rappelle l’Afssaps.
Petite question perso: Pourquoi sort-elle 2 mois avant l'été alors si ça n'est pas pour la vendre justement dans ce but là .... et de ce coup faire beaucoup d'argent .....

IDE