Actualités 2009
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Actualités 2009
J'avais acheté son premier livre suite à son passage dans le magazine de la santé d'ailleurs. J'ai beaucoup aimé sa façon d'ecrire, son humour décalé ... c'est sûr que si on idéalise le métier d'infirmier, on déchante vite en le lisant !.... mais c'est un excellent témoignage de ce que peux être le quotidien d'un infirmier. Si on te demande à l'oral quelles sont les contraintes du métier, il y a de quoi dire !LeeLoo19 a écrit :Il est passé aujourd'hui dans le magazine de la santé d'ailleurs, tu en as pensé quoi du premier ?
Il en ont dit quoi de son dernier livre au mag de la santé ?
Tu as lu son premier ?
Je vais me renseigner aussi sur le livre dont tu parles Alno.
Je viens aussi de lire "pour tous les Vincent du monde" de Marie Humbert , l'euthanasie, vaste sujet ......
Dernière modification par mag83 le 24 avr. 2009 15:55, modifié 1 fois.
IDE
Re: Actualités 2009
Non je n'ai pas lu le premier mais je pense que je vais le faire rapidement !
Donc on fait c'était l'invité, donc il a expliqué le pourquoi du comment de ce livre, son ressenti, rien de plus, il a surtout parler de ce qu'il parle dans son livre je pense, il n'y a pas eu de critiques venant les animateurs.
Donc on fait c'était l'invité, donc il a expliqué le pourquoi du comment de ce livre, son ressenti, rien de plus, il a surtout parler de ce qu'il parle dans son livre je pense, il n'y a pas eu de critiques venant les animateurs.
ESI 2oo9 - 2o12 à Clermont - Ferrand 

- lechatjaune
- Accro
- Messages : 956
- Inscription : 05 avr. 2009 19:16
Re: Actualités 2009
Un infirmier détourne presque un million d'euros
Un infirmier de Neuville-sur-Orge (Essonne) a été mis en examen hier pour avoir escroqué la CPAM de l'essonne de plus d'un million d'euros.
Ce professionnel de 51 ans surfacturait certains actes médicaux et en inventait d'autres.
Une information judiciaire avait été ouverte pour déterminer depuis quand ce Franco-Egyptien se livrait à ce manège. L'enquête de la police judiciaire d'Evry estime qu'il aurait commencé son arnaque en septembre.
Ce mois-ci, il avait envoyé à la CPAM, pour remboursement, une note pharaonique de 900 000€, qui regroupait les factures de soins délivrés ces derniers mois, auprès de plusieurs malades, souvent lourdement handicapés et dépendants.
Diplômé de médecine en Egypte, il avait l'intention de repartir dans son pays d'origine et de monter une clinique de luxe.
[Source : Le Parisien 25/04/09]
Un infirmier de Neuville-sur-Orge (Essonne) a été mis en examen hier pour avoir escroqué la CPAM de l'essonne de plus d'un million d'euros.
Ce professionnel de 51 ans surfacturait certains actes médicaux et en inventait d'autres.
Une information judiciaire avait été ouverte pour déterminer depuis quand ce Franco-Egyptien se livrait à ce manège. L'enquête de la police judiciaire d'Evry estime qu'il aurait commencé son arnaque en septembre.
Ce mois-ci, il avait envoyé à la CPAM, pour remboursement, une note pharaonique de 900 000€, qui regroupait les factures de soins délivrés ces derniers mois, auprès de plusieurs malades, souvent lourdement handicapés et dépendants.
Diplômé de médecine en Egypte, il avait l'intention de repartir dans son pays d'origine et de monter une clinique de luxe.
[Source : Le Parisien 25/04/09]
IDE en HAD encore en remplacement en réanimation polyvalente
Re: Actualités 2009
Virus - Alerte à la grippe porcine au Mexique et aux Etats-Unis
* Une cinquantaine de personnes pourraient être mortes ces dernières semaines au Mexique du fait de ce virus alors qu'au moins huit personnes ont été contaminées aux Etats-Unis.
* Pour éviter que le virus ne se propage, les autorités sanitaires recommandent aux Mexicains de pas se serrer la main ni de s'embrasser et d'éviter de se déplacer en métro.
La mairie de Mexico a annoncé vendredi le lancement d'une campagne massive de vaccination contre la grippe porcine, un virus qui pourrait avoir fait une cinquantaine de morts ces dernières semaines au Mexique, en particulier dans la région de la capitale, et contaminé au moins huit personnes aux Etats-Unis, six en Californie et deux au Texas. L'Organisation mondiale de la santé, qui s'est dite vendredi "très inquiète", a confirmé la mort de 18 personnes au Mexique. Les autorités mexicaines citent de leur côté 20 décès et 40 autres cas mortels suspects à l'étude.
L'OMS, qui craint qu'une nouvelle souche de la grippe porcine ne donne naissance à une pandémie, a "activé son centre d'opérations" pour récolter toutes les informations et centraliser l'action de l'organisation dans les situations d'urgence. Aux Etats-Unis, les experts médicaux sont également "très inquiets", alors que "la Maison Blanche prend l'affaire au sérieux et suit tout nouveau développement". Les inquiétudes portent notamment sur le fait que ce virus inédit se transmet d'homme à homme et est constituée de plusieurs souches. "C'est la première fois que nous voyons une souche aviaire, deux souches porcines et une souche humaine", a expliqué le porte-parole des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies, Dave Daigle. Aucun décès n'a pour l'instant été relevé aux Etats-Unis, où le virus responsable de la maladie a été identifié comme étant de la souche A/H1N1.
Les Mexicains priés de ne pas se serrer la main
Au Mexique, les premiers signes de l'épidémie ont été relevés à la fin du mois de mars, avec un pic en avril. "C'est un virus qui a muté des porcs et s'est transmis à un homme", a précisé le ministre mexicain de la Santé, Jose Angel Cordova. "Les patients au Mexique sont en général de jeunes adultes qui ne souffraient pas auparavant de maladies connues", a précisé la porte-parole de l'OMS. Des laboratoires canadiens et américains ont confirmé qu'il s'agissait "d'un nouveau virus grippal", a ajouté le ministre mexicain de la Santé, sans précisé si le virus était le même que celui qui sévit dans les Etats américains voisins de Californie et du Texas.
Pour tenter d'enrayer la propagation de la maladie, le gouvernement mexicain a ordonné vendredi la fermeture totale des écoles et universités publiques et privées de la ville de Mexico et de l'Etat de Mexico, en plus de la vaste campagne de vaccination lancée par la mairie de Mexico. Les autorités sanitaires ont également recommandé aux Mexicains de pas se serrer la main ni de s'embrasser et d'éviter de se déplacer en métro.
La France de son côté met en place un centre de crise pour suivre l’évolution de la maladie. Il s’agit essentiellement d’émettre des recommandations aux expatriés vivant au Mexique et aux voyageurs. Une réunion ministérielle a eu lieu pour envisager les mesures à mettre en œuvre si nécessaire. Aucun cas n’a été détecté en France. Il ne faut pas céder à la panique car l’épidémie reste localisée. C’est l’avis de Jeanne Brugère-Picoux, professeur à l’Ecole nationale vétérinaire de Maison-Alfort.
* Une cinquantaine de personnes pourraient être mortes ces dernières semaines au Mexique du fait de ce virus alors qu'au moins huit personnes ont été contaminées aux Etats-Unis.
* Pour éviter que le virus ne se propage, les autorités sanitaires recommandent aux Mexicains de pas se serrer la main ni de s'embrasser et d'éviter de se déplacer en métro.
La mairie de Mexico a annoncé vendredi le lancement d'une campagne massive de vaccination contre la grippe porcine, un virus qui pourrait avoir fait une cinquantaine de morts ces dernières semaines au Mexique, en particulier dans la région de la capitale, et contaminé au moins huit personnes aux Etats-Unis, six en Californie et deux au Texas. L'Organisation mondiale de la santé, qui s'est dite vendredi "très inquiète", a confirmé la mort de 18 personnes au Mexique. Les autorités mexicaines citent de leur côté 20 décès et 40 autres cas mortels suspects à l'étude.
L'OMS, qui craint qu'une nouvelle souche de la grippe porcine ne donne naissance à une pandémie, a "activé son centre d'opérations" pour récolter toutes les informations et centraliser l'action de l'organisation dans les situations d'urgence. Aux Etats-Unis, les experts médicaux sont également "très inquiets", alors que "la Maison Blanche prend l'affaire au sérieux et suit tout nouveau développement". Les inquiétudes portent notamment sur le fait que ce virus inédit se transmet d'homme à homme et est constituée de plusieurs souches. "C'est la première fois que nous voyons une souche aviaire, deux souches porcines et une souche humaine", a expliqué le porte-parole des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies, Dave Daigle. Aucun décès n'a pour l'instant été relevé aux Etats-Unis, où le virus responsable de la maladie a été identifié comme étant de la souche A/H1N1.
Les Mexicains priés de ne pas se serrer la main
Au Mexique, les premiers signes de l'épidémie ont été relevés à la fin du mois de mars, avec un pic en avril. "C'est un virus qui a muté des porcs et s'est transmis à un homme", a précisé le ministre mexicain de la Santé, Jose Angel Cordova. "Les patients au Mexique sont en général de jeunes adultes qui ne souffraient pas auparavant de maladies connues", a précisé la porte-parole de l'OMS. Des laboratoires canadiens et américains ont confirmé qu'il s'agissait "d'un nouveau virus grippal", a ajouté le ministre mexicain de la Santé, sans précisé si le virus était le même que celui qui sévit dans les Etats américains voisins de Californie et du Texas.
Pour tenter d'enrayer la propagation de la maladie, le gouvernement mexicain a ordonné vendredi la fermeture totale des écoles et universités publiques et privées de la ville de Mexico et de l'Etat de Mexico, en plus de la vaste campagne de vaccination lancée par la mairie de Mexico. Les autorités sanitaires ont également recommandé aux Mexicains de pas se serrer la main ni de s'embrasser et d'éviter de se déplacer en métro.
La France de son côté met en place un centre de crise pour suivre l’évolution de la maladie. Il s’agit essentiellement d’émettre des recommandations aux expatriés vivant au Mexique et aux voyageurs. Une réunion ministérielle a eu lieu pour envisager les mesures à mettre en œuvre si nécessaire. Aucun cas n’a été détecté en France. Il ne faut pas céder à la panique car l’épidémie reste localisée. C’est l’avis de Jeanne Brugère-Picoux, professeur à l’Ecole nationale vétérinaire de Maison-Alfort.
Dernière modification par Alno le 25 avr. 2009 08:55, modifié 1 fois.
Carpe Diem
•.¸.•*¨۰۪۪۫۫●۪۫۰¨*•.¸.•Envol pour 2009-2012 à Chambéry •.¸.•*¨۰۪۪۫۫●۪۫۰¨*•.¸.•
•.¸.•*¨۰۪۪۫۫●۪۫۰¨*•.¸.•Envol pour 2009-2012 à Chambéry •.¸.•*¨۰۪۪۫۫●۪۫۰¨*•.¸.•
- lechatjaune
- Accro
- Messages : 956
- Inscription : 05 avr. 2009 19:16
Re: Actualités 2009
Grippe porcine au Mexique: la France met en place un centre de crise
Pas de panique. Mais une vigilance accrue.
Le ministère de la Santé met en place ce samedi un centre de crise afin de suivre l'évolution de la situation sanitaire au Mexique où 800 cas d'infections respiratoires sévères ont été observés depuis mars faisant, selon les sources entre 20 et 68 morts.
Le centre de crise va notamment émettre des recommandations à destination des Français résidant au Mexique et des conseils aux voyageurs, précise la direction générale de la santé (DGS).
«Une réunion interministérielle a eu lieu vendredi à Paris pour faire un nouveau point de la situation et envisager les mesures à mettre en oeuvre au niveau national», ajoute la DGS.
«Aucun cas de grippe porcine (qui frappe actuellement le Mexique) touchant les humains ou de maladies respiratoires en lien avec de tels cas n'a été recensé à ce jour sur le territoire français», souligne la DGS.
Article connexe : Faut-il craindre la grippe porcine ?
[Source : Le Parisien 25/04/09]
Pas de panique. Mais une vigilance accrue.
Le ministère de la Santé met en place ce samedi un centre de crise afin de suivre l'évolution de la situation sanitaire au Mexique où 800 cas d'infections respiratoires sévères ont été observés depuis mars faisant, selon les sources entre 20 et 68 morts.
Le centre de crise va notamment émettre des recommandations à destination des Français résidant au Mexique et des conseils aux voyageurs, précise la direction générale de la santé (DGS).
«Une réunion interministérielle a eu lieu vendredi à Paris pour faire un nouveau point de la situation et envisager les mesures à mettre en oeuvre au niveau national», ajoute la DGS.
«Aucun cas de grippe porcine (qui frappe actuellement le Mexique) touchant les humains ou de maladies respiratoires en lien avec de tels cas n'a été recensé à ce jour sur le territoire français», souligne la DGS.
Article connexe : Faut-il craindre la grippe porcine ?
[Source : Le Parisien 25/04/09]
IDE en HAD encore en remplacement en réanimation polyvalente
Re: Actualités 2009
Premières pistes au "Grenelle des ondes"
C'est une première en France. Trois ministères (santé, écologie et économie numérique) se sont emparés, jeudi 23 avril, du sujet de la téléphonie mobile et des antennes-relais, en lançant le "Grenelle des ondes". Bâtie sur le modèle du Grenelle de l'environnement, la table ronde a réuni une cinquantaine de représentants d'organismes publics, d'opérateurs de téléphonie mobile, d'organisations non gouvernementales (ONG), de syndicats, ainsi que des parlementaires, élus locaux et personnalités qualifiées. L'objectif est de sortir de la confrontation entre opérateurs et ONG, et d'aboutir à une série de propositions.
"L'Etat prendra ses responsabilités, a affirmé Chantal Jouanno, secrétaire d'Etat à l'écologie. Nous pouvons faire évoluer la réglementation." "La situation actuelle ne satisfait personne", a déclaré Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat à l'économie numérique.
La tension est allée croissant ces derniers mois. Les ONG dénoncent l'absence de certitudes sur l'innocuité des ondes électromagnétiques, et réclament l'application du principe de précaution. Elles prônent l'adoption d'une limitation des émissions à 0,6 volt par mètre (V/m) - contre 41 et 61 V/m aujourd'hui selon les fréquences. Plusieurs tribunaux sont récemment allés dans leur sens, en reconnaissant la nécessité d'appliquer le principe de précaution et en ordonnant le démontage de certaines antennes-relais. De leur côté, les opérateurs mettent en avant leur obligation d'assurer une bonne couverture du territoire et demandent un cadre juridique stable.
Le Grenelle des ondes a commencé dans une certaine improvisation. Plusieurs participants ont demandé "un calendrier plus large" et les ONG ont regretté "une méthode de travail floue". "L'ordre du jour des différents ateliers de travail n'a toujours pas été dévoilé précisément", regrette Stéphane Kerckhove, de l'association Agir pour l'environnement. Les ministres ont d'emblée annoncé que les discussions pourraient être plus nombreuses que prévu, et se poursuivre au-delà de la date de clôture initialement retenue, le 25 mai.
En réponse aux inquiétudes des ONG, Roselyne Bachelot, la ministre de la santé, a affirmé que chaque intervenant pourrait solliciter les experts de son choix. Mais le temps est compté. La prochaine réunion, consacrée aux antennes-relais, aura lieu le 6 mai et les auditions de scientifiques n'ont pas été organisées en amont. "Cela nous laisse un temps très réduit pour organiser la venue des experts", relève M. Kerckhove.
DISCUSSIONS "SANS TABOU"
Sur le fond, les ministres ont affirmé que les discussions se dérouleraient "sans tabou". Cependant, la téléphonie mobile est présentée comme "la priorité numéro un" du gouvernement. "Il existe un gros bagage scientifique démontrant l'existence d'incertitudes sur les impacts sanitaires des téléphones portables, a affirmé Mme Bachelot. Ce n'est pas le cas pour les antennes-relais." "Dès le départ, le problème des antennes est minimisé", contestent les ONG.
Les ministres ont lancé des pistes sur de possibles évolutions de la réglementation. Ils ont rappelé que le projet de loi Grenelle 2 propose d'interdire la commercialisation de téléphones conçus pour les moins de 6 ans, et la publicité à destination des moins de 12 ans. Ces limites d'âge pourraient être relevées. Mme Bachelot a insisté sur la nécessité de "mieux informer le public".
Mme Jouanno a également évoqué "la possibilité de suspendre" les implantations d'antennes-relais dans l'attente des résultats de deux grandes études (l'une française, l'autre internationale), qui doivent faire le point concernant toutes les connaissances scientifiques sur le sujet. Leur publication est attendue en septembre. Une telle mesure, réclamée par les ONG, nécessiterait "un arbitrage interministériel", a cependant précisé la secrétaire d'Etat à l'écologie.
C'est une première en France. Trois ministères (santé, écologie et économie numérique) se sont emparés, jeudi 23 avril, du sujet de la téléphonie mobile et des antennes-relais, en lançant le "Grenelle des ondes". Bâtie sur le modèle du Grenelle de l'environnement, la table ronde a réuni une cinquantaine de représentants d'organismes publics, d'opérateurs de téléphonie mobile, d'organisations non gouvernementales (ONG), de syndicats, ainsi que des parlementaires, élus locaux et personnalités qualifiées. L'objectif est de sortir de la confrontation entre opérateurs et ONG, et d'aboutir à une série de propositions.
"L'Etat prendra ses responsabilités, a affirmé Chantal Jouanno, secrétaire d'Etat à l'écologie. Nous pouvons faire évoluer la réglementation." "La situation actuelle ne satisfait personne", a déclaré Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat à l'économie numérique.
La tension est allée croissant ces derniers mois. Les ONG dénoncent l'absence de certitudes sur l'innocuité des ondes électromagnétiques, et réclament l'application du principe de précaution. Elles prônent l'adoption d'une limitation des émissions à 0,6 volt par mètre (V/m) - contre 41 et 61 V/m aujourd'hui selon les fréquences. Plusieurs tribunaux sont récemment allés dans leur sens, en reconnaissant la nécessité d'appliquer le principe de précaution et en ordonnant le démontage de certaines antennes-relais. De leur côté, les opérateurs mettent en avant leur obligation d'assurer une bonne couverture du territoire et demandent un cadre juridique stable.
Le Grenelle des ondes a commencé dans une certaine improvisation. Plusieurs participants ont demandé "un calendrier plus large" et les ONG ont regretté "une méthode de travail floue". "L'ordre du jour des différents ateliers de travail n'a toujours pas été dévoilé précisément", regrette Stéphane Kerckhove, de l'association Agir pour l'environnement. Les ministres ont d'emblée annoncé que les discussions pourraient être plus nombreuses que prévu, et se poursuivre au-delà de la date de clôture initialement retenue, le 25 mai.
En réponse aux inquiétudes des ONG, Roselyne Bachelot, la ministre de la santé, a affirmé que chaque intervenant pourrait solliciter les experts de son choix. Mais le temps est compté. La prochaine réunion, consacrée aux antennes-relais, aura lieu le 6 mai et les auditions de scientifiques n'ont pas été organisées en amont. "Cela nous laisse un temps très réduit pour organiser la venue des experts", relève M. Kerckhove.
DISCUSSIONS "SANS TABOU"
Sur le fond, les ministres ont affirmé que les discussions se dérouleraient "sans tabou". Cependant, la téléphonie mobile est présentée comme "la priorité numéro un" du gouvernement. "Il existe un gros bagage scientifique démontrant l'existence d'incertitudes sur les impacts sanitaires des téléphones portables, a affirmé Mme Bachelot. Ce n'est pas le cas pour les antennes-relais." "Dès le départ, le problème des antennes est minimisé", contestent les ONG.
Les ministres ont lancé des pistes sur de possibles évolutions de la réglementation. Ils ont rappelé que le projet de loi Grenelle 2 propose d'interdire la commercialisation de téléphones conçus pour les moins de 6 ans, et la publicité à destination des moins de 12 ans. Ces limites d'âge pourraient être relevées. Mme Bachelot a insisté sur la nécessité de "mieux informer le public".
Mme Jouanno a également évoqué "la possibilité de suspendre" les implantations d'antennes-relais dans l'attente des résultats de deux grandes études (l'une française, l'autre internationale), qui doivent faire le point concernant toutes les connaissances scientifiques sur le sujet. Leur publication est attendue en septembre. Une telle mesure, réclamée par les ONG, nécessiterait "un arbitrage interministériel", a cependant précisé la secrétaire d'Etat à l'écologie.
Carpe Diem
•.¸.•*¨۰۪۪۫۫●۪۫۰¨*•.¸.•Envol pour 2009-2012 à Chambéry •.¸.•*¨۰۪۪۫۫●۪۫۰¨*•.¸.•
•.¸.•*¨۰۪۪۫۫●۪۫۰¨*•.¸.•Envol pour 2009-2012 à Chambéry •.¸.•*¨۰۪۪۫۫●۪۫۰¨*•.¸.•
Re: Actualités 2009
Nicolas Sarkozy s'engage à réécrire la réforme de la gouvernance à l'hôpital LE MONDE | 23.04.09
Le président de la République, Nicolas Sarkozy s'est engagé, mercredi 22 avril, à réécrire les dispositions sur la gouvernance hospitalière de la loi Hôpital, patients, santé, territoire. Recevant les représentants de la communauté médicale pendant deux heures à l'Elysée, le président de la République a annoncé la constitution d'un groupe de travail, sous l'égide de son conseiller social, Raymond Soubie, afin de lever "les malentendus rédactionnels" de la loi. Les médecins contestent depuis des semaines la réforme de la gouvernance, en l'accusant de conférer tous les pouvoirs aux directeurs d'hôpitaux. Les représentants des médecins hospitaliers se sont déclarés satisfaits à l'issue de la réunion. "Nous avons le sentiment d'avoir été écoutés, explique Laurent Brochard, président du Comité consultatif médical de l'hôpital Henri-Mondor à Créteil. Nous restons cependant mobilisés pour la grève et la manifestation du 28 avril." Des milliers de médecins et personnels soignants devraient défiler dans Paris sur un mot d'ordre de sauvegarde de l'hôpital public.
Le président de la République, Nicolas Sarkozy s'est engagé, mercredi 22 avril, à réécrire les dispositions sur la gouvernance hospitalière de la loi Hôpital, patients, santé, territoire. Recevant les représentants de la communauté médicale pendant deux heures à l'Elysée, le président de la République a annoncé la constitution d'un groupe de travail, sous l'égide de son conseiller social, Raymond Soubie, afin de lever "les malentendus rédactionnels" de la loi. Les médecins contestent depuis des semaines la réforme de la gouvernance, en l'accusant de conférer tous les pouvoirs aux directeurs d'hôpitaux. Les représentants des médecins hospitaliers se sont déclarés satisfaits à l'issue de la réunion. "Nous avons le sentiment d'avoir été écoutés, explique Laurent Brochard, président du Comité consultatif médical de l'hôpital Henri-Mondor à Créteil. Nous restons cependant mobilisés pour la grève et la manifestation du 28 avril." Des milliers de médecins et personnels soignants devraient défiler dans Paris sur un mot d'ordre de sauvegarde de l'hôpital public.
Carpe Diem
•.¸.•*¨۰۪۪۫۫●۪۫۰¨*•.¸.•Envol pour 2009-2012 à Chambéry •.¸.•*¨۰۪۪۫۫●۪۫۰¨*•.¸.•
•.¸.•*¨۰۪۪۫۫●۪۫۰¨*•.¸.•Envol pour 2009-2012 à Chambéry •.¸.•*¨۰۪۪۫۫●۪۫۰¨*•.¸.•
Re: Actualités 2009
Une peinture pour lutter contre les infections nosocomiales
Comme sous-produit de leur recherche portant sur des textiles anti-microbiens et même des tenues en Kevlar pour soldats en pleine guerre bactériologique, un groupe de chercheurs de l’université du Dakota du Sud vient de mette au point des peintures murales tueuses de microbes. Son large spectre la rendrait très utile pour lutter contre les infections nosocomiales.
Lorsque Yuyu Sun a commencé ses études de chimie en Chine, ses objectifs étaient très pragmatiques. En effet, le pays étant l’un des premiers exportateurs de textile dans le monde, un diplôme dans le domaine de la chimie des textiles anti-microbiens était un bon moyen de s’assurer un poste dans l’industrie.
L’étudiant ambitieux s’est assez rapidement mué en un chercheur passionné et Yuyu Sun a finalement poursuivi ses recherches au-delà du doctorat dans les grandes universités américaines comme celle de Californie à Davis. Il s’est particulièrement intéressé aux N-halamines, des composés organiques azotés liés à des halogènes connus comme d’excellents tueurs de microbes. L’idée était de trouver le moyen de les intégrer dans les textiles, les matières plastiques, les caoutchoucs, les peintures et les revêtements. L'idée de revêtements muraux aux propriétés bactéricides est loin d'être nouvelle et constitue aujourd'hui une active voie de recherche. Au MIT (Massachusetts Institute of Technology), une équipe a mis au point un polymère agissant mécaniquement, grâce à des micropointes perçant la membrane bactérienne, offrant l'avantage d'éviter l'apparition d'une résistance.
L'intérêt des N-Halamines est leur large spectre. En plus d’être efficace contre les champignons, les moisissures et les virus, les peintures incorporant des N-halamines viennent à bout de bactéries résistant à beaucoup d’antibiotiques, comme le célèbre staphylocoque doré, Staphylococcus aureus (MRSA), devenu au cours des ans un problème majeur.
Une arme de plus contre les maladies nosocomiales ?
Comme application, on pense à les intégrer à des costumes en Kevlar de soldats, qui pourraient opérer sur le champ de bataille d'une guerre bactériologique, ce que Sun a effectivement étudié. Mais une retombée bien plus pacifique et directe de ces recherches est de fournir le moyen de réduire les infections nosocomiales.
Avec son collègue Zhengbing Cao, Yuyu Sun vient précisément de produire ce genre de peinture comme ils l’expliquent dans une publication du journal de l’American Chemical Society, Applied Materials & Interfaces.
Aux Etats-Unis, des microbes devenus extrêmement résistants à la plupart des antibiotiques et que l’on retrouve sur les murs des hôpitaux sont responsables de 88.000 décès chaque année. En France, on estime à 4.000 par an le nombre de décès dus aux maladies nosocomiales. Des matériaux dits biocides incorporant des N-halamines, comme des vêtements protecteurs, des respirateurs ou mêmes les peintures murales seraient donc bienvenus.
Comme sous-produit de leur recherche portant sur des textiles anti-microbiens et même des tenues en Kevlar pour soldats en pleine guerre bactériologique, un groupe de chercheurs de l’université du Dakota du Sud vient de mette au point des peintures murales tueuses de microbes. Son large spectre la rendrait très utile pour lutter contre les infections nosocomiales.
Lorsque Yuyu Sun a commencé ses études de chimie en Chine, ses objectifs étaient très pragmatiques. En effet, le pays étant l’un des premiers exportateurs de textile dans le monde, un diplôme dans le domaine de la chimie des textiles anti-microbiens était un bon moyen de s’assurer un poste dans l’industrie.
L’étudiant ambitieux s’est assez rapidement mué en un chercheur passionné et Yuyu Sun a finalement poursuivi ses recherches au-delà du doctorat dans les grandes universités américaines comme celle de Californie à Davis. Il s’est particulièrement intéressé aux N-halamines, des composés organiques azotés liés à des halogènes connus comme d’excellents tueurs de microbes. L’idée était de trouver le moyen de les intégrer dans les textiles, les matières plastiques, les caoutchoucs, les peintures et les revêtements. L'idée de revêtements muraux aux propriétés bactéricides est loin d'être nouvelle et constitue aujourd'hui une active voie de recherche. Au MIT (Massachusetts Institute of Technology), une équipe a mis au point un polymère agissant mécaniquement, grâce à des micropointes perçant la membrane bactérienne, offrant l'avantage d'éviter l'apparition d'une résistance.
L'intérêt des N-Halamines est leur large spectre. En plus d’être efficace contre les champignons, les moisissures et les virus, les peintures incorporant des N-halamines viennent à bout de bactéries résistant à beaucoup d’antibiotiques, comme le célèbre staphylocoque doré, Staphylococcus aureus (MRSA), devenu au cours des ans un problème majeur.
Une arme de plus contre les maladies nosocomiales ?
Comme application, on pense à les intégrer à des costumes en Kevlar de soldats, qui pourraient opérer sur le champ de bataille d'une guerre bactériologique, ce que Sun a effectivement étudié. Mais une retombée bien plus pacifique et directe de ces recherches est de fournir le moyen de réduire les infections nosocomiales.
Avec son collègue Zhengbing Cao, Yuyu Sun vient précisément de produire ce genre de peinture comme ils l’expliquent dans une publication du journal de l’American Chemical Society, Applied Materials & Interfaces.
Aux Etats-Unis, des microbes devenus extrêmement résistants à la plupart des antibiotiques et que l’on retrouve sur les murs des hôpitaux sont responsables de 88.000 décès chaque année. En France, on estime à 4.000 par an le nombre de décès dus aux maladies nosocomiales. Des matériaux dits biocides incorporant des N-halamines, comme des vêtements protecteurs, des respirateurs ou mêmes les peintures murales seraient donc bienvenus.
Carpe Diem
•.¸.•*¨۰۪۪۫۫●۪۫۰¨*•.¸.•Envol pour 2009-2012 à Chambéry •.¸.•*¨۰۪۪۫۫●۪۫۰¨*•.¸.•
•.¸.•*¨۰۪۪۫۫●۪۫۰¨*•.¸.•Envol pour 2009-2012 à Chambéry •.¸.•*¨۰۪۪۫۫●۪۫۰¨*•.¸.•
- lechatjaune
- Accro
- Messages : 956
- Inscription : 05 avr. 2009 19:16
Re: Actualités 2009
Des figurines à tête d'organe en appellent à votre bon coeur
Les poupées en latex créées par un artiste américain doivent sensibiliser au don d'organe...
Du pur latex, un peu plus de 8 centimètres de haut, 24 coloris, pas moins de 5 points d'articulations et, en guise de tête, un foie, un cœur ou un rein.
Ces figurines sont l'œuvre de David Foox, et sont destinées à sensibiliser au don d'organe. Un joli cadeau anatomique pour inciter à la générosité, le tout pour la modique somme de 15 dollars. Une idée venue à l'artiste américain après la transplantation pulmonaire de son oncle Ken.
Le principe: vous passez commande sur le site de David Foox, et vous recevez une «Organ donor» dans une «boîte aveugle», c'est-à-dire que vous recevez une surprise.
Parmi les neuf organes déclinés, certains modèles sont plus rares que d'autres, comme les «reins au marché noir». Mauvais goût? Peut-être. Mais une idée à creuser pour faire parler du don, grande cause nationale 2009, en cette période de pénurie d'organes.
[Source : 20minutes.fr 24/04/09]
Les poupées en latex créées par un artiste américain doivent sensibiliser au don d'organe...
Du pur latex, un peu plus de 8 centimètres de haut, 24 coloris, pas moins de 5 points d'articulations et, en guise de tête, un foie, un cœur ou un rein.
Ces figurines sont l'œuvre de David Foox, et sont destinées à sensibiliser au don d'organe. Un joli cadeau anatomique pour inciter à la générosité, le tout pour la modique somme de 15 dollars. Une idée venue à l'artiste américain après la transplantation pulmonaire de son oncle Ken.
Le principe: vous passez commande sur le site de David Foox, et vous recevez une «Organ donor» dans une «boîte aveugle», c'est-à-dire que vous recevez une surprise.
Parmi les neuf organes déclinés, certains modèles sont plus rares que d'autres, comme les «reins au marché noir». Mauvais goût? Peut-être. Mais une idée à creuser pour faire parler du don, grande cause nationale 2009, en cette période de pénurie d'organes.
[Source : 20minutes.fr 24/04/09]
IDE en HAD encore en remplacement en réanimation polyvalente
Re: Actualités 2009
LA GRIPPE PORCINE...
Cà y'est j'ai entendu du nouveau!
Ils ont repéré 4 suspects français dont un stewart, qui seraient peut être atteints de la grippe porcine!!
Cà y'est j'ai entendu du nouveau!
Ils ont repéré 4 suspects français dont un stewart, qui seraient peut être atteints de la grippe porcine!!
¤~ IDE en EHPAD en quête de changement
~¤
"C'est en tombant qu'on apprend à se relever"

"C'est en tombant qu'on apprend à se relever"
Re: Actualités 2009
espérons que la Police les attrape alors !!!Pôlyn a écrit :LA GRIPPE PORCINE...
Ils ont repéré 4 suspects français dont un stewart



IDE
Re: Actualités 2009
Le point sur la grippe porcine (source OMS)
Face aux cas de grippe porcine à A/H1N1 signalés au Mexique et aux États-Unis d'Amérique, le Directeur général a convoqué une réunion du Comité d'urgence afin d'évaluer la situation et d'avoir son avis sur les mesures qu'il conviendrait de prendre.
La mise en place du Comité, qui est composé d'experts internationaux d'un grand nombre de disciplines, est conforme au Règlement sanitaire international (2005).
Le Comité d'urgence a tenu sa première réunion le samedi 25 avril 2009.
Après avoir examiné les informations disponibles concernant la situation actuelle, les membres du Comité ont constaté un certain nombre de lacunes concernant les données sur les caractéristiques cliniques, l'épidémiologie, et la virologie des cas signalés ainsi que les mesures appropriées.
Le Comité a estimé que des réponses à plusieurs questions spécifiques seraient nécessaires pour lui faciliter la tâche.
Le Comité a toutefois jugé que la situation actuelle constitue une urgence de santé publique de portée internationale.
Fort de cet avis, le Directeur général a décidé que les événements actuels constituent une urgence de santé publique de portée internationale, au sens du Règlement.
S'agissant des mesures de santé publique, le Directeur général, conformément au Règlement, recommande, sur l'avis du Comité, que tous les pays intensifient la surveillance de flambées inhabituelles de maladies de type grippal et de pneumonie sévère.
Par ailleurs, le Comité a convenu qu'il faudrait davantage d'informations pour pouvoir décider si la phase 3 actuelle d'alerte à une pandémie de grippe reste appropriée.
Face aux cas de grippe porcine à A/H1N1 signalés au Mexique et aux États-Unis d'Amérique, le Directeur général a convoqué une réunion du Comité d'urgence afin d'évaluer la situation et d'avoir son avis sur les mesures qu'il conviendrait de prendre.
La mise en place du Comité, qui est composé d'experts internationaux d'un grand nombre de disciplines, est conforme au Règlement sanitaire international (2005).
Le Comité d'urgence a tenu sa première réunion le samedi 25 avril 2009.
Après avoir examiné les informations disponibles concernant la situation actuelle, les membres du Comité ont constaté un certain nombre de lacunes concernant les données sur les caractéristiques cliniques, l'épidémiologie, et la virologie des cas signalés ainsi que les mesures appropriées.
Le Comité a estimé que des réponses à plusieurs questions spécifiques seraient nécessaires pour lui faciliter la tâche.
Le Comité a toutefois jugé que la situation actuelle constitue une urgence de santé publique de portée internationale.
Fort de cet avis, le Directeur général a décidé que les événements actuels constituent une urgence de santé publique de portée internationale, au sens du Règlement.
S'agissant des mesures de santé publique, le Directeur général, conformément au Règlement, recommande, sur l'avis du Comité, que tous les pays intensifient la surveillance de flambées inhabituelles de maladies de type grippal et de pneumonie sévère.
Par ailleurs, le Comité a convenu qu'il faudrait davantage d'informations pour pouvoir décider si la phase 3 actuelle d'alerte à une pandémie de grippe reste appropriée.
IDE
Re: Actualités 2009
Grippe porcine : les E-U décrètent l'état d'urgence
Au moins vingt personnes seraient touchées aux Etats-Unis et quatre cas sont actuellement examinés en France. L'OMS, qui évoque une véritable «pandémie», estime que le virus peut évoluer et devenir encore plus dangereux.
«Pandémie». L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a lâché le mot tant redouté samedi, en l'entourant de précautions. Pour l'organisation, qui a déclaré l'épidémie «urgence de santé publique internationale», la grippe porcine qui a frappé le Mexique, où elle a tué 22 personnees de manière certaine et probablement 86 au total, présente bel et bien un «potentiel pandémique».
A Mexico, mégalopole de 20 millions d'habitants, l'Etat est sur le pied de guerre. On compte 1.324 malades déjà signalés dans le pays, dont 20 pour la seule journée de samedi. Dimanche, deux nouvelles personnes sont décédés, et trois autres décés sont considérés pour le moment comme suspect. Ces nouveaux décès portent à 86 le nombre de morts apparemment liées à la grippe porcine, dont 22 confirmées, au Mexique.
Tous les malades atteints ou présentant les symptômes de la maladie sont placé à l'isolement , tandis que les forces de l'ordre ont autorité pour pénétrer dans «tout local» si nécessaire pour lutter contre la contagion. Les établissements scolaires sont fermés jusqu'au 6 mai prochain dans la capitale. La messe a également été annulée dimanche.
Les Etats-Unis déclenchent l'etat d'urgence sanitaire
Mais la contagion a déjà atteint les Etats-Unis. Les autorités sanitaires américaines ont déclaré dimanche l' «état d'urgence sanitaire». Elles font état de 20 cas aux Etats-Unis, huit à New-York (nord-est), sept en Californie (ouest), deux au Texas (sud), deux au Kansas (centre) et un dans l'Ohio (nord). Pour elles, le virus s'étend et ne peut pas être contenu dans l'immédiat. Washington a dépêché une équipe d'experts au Mexique. Le Canada a également annoncé quatre cas de grippe porcine.
Le reste du monde n'est pas épargné. En Angleterre, le cas suspect signalé en fin de semaine s'est révélé être une fausse alerte. En Colombie, cinq voyageurs présentant des symptômes ont été hospitalisés. En Nouvelle-Zélande, un groupe de 25 lycéens de retour du Mexique a été placé en quarantaine. Dix présentent des symptômes et sont «probablement» atteints. L'Asie, déjà frappée par la grippe aviaire, se mobilise. Distribution de masques au Japon, réunion d'urgence des ministres en Corée du Sud...
En Europe, l'épidémie prend également de l'ampleur. L'Espagne comptait dimanche six cas possibles de grippe porcine. En France, quatre cas sont actuellement en cours d'investigation : un groupe de trois personnes dans le Nord et une femme dans la région parisienne. Tous reviennent de régions où l'épidémie existe (Mexique et sud des Etats-Unis).
Une mutation « inédite» du virus
Selon l'OMS, la maladie touche «des jeunes adultes en bonne santé», et la mutation du virus est inédite, «dans des gênes jamais rencontrés auparavant» . Mexico assure que tous les cas constatés sont issus de contamination d'homme à homme, ce qui inquiète les spécialistes.
Le Mexique, qui avait avancé l'hypothèse d'une campagne de vaccination massive, penche désormais pour une distribution de médicaments. Un fonds de 450 millions de dollars (340 millions d'euros) a été débloqué pour lutter contre la maladie.
En France, Françoise Weber, directrice de l'Institut de veille sanitaire (InVS), a annoncé quatre «cas suspects» de grippe porcine, alors que la suspicion sur deux autres cas signalés samedi a été levée. Dimanche après-midi, trois nouveau cas suspect ont été signalés dans le Nord et pris en charge au centre hospitalier de Tourcoing.
Le directeur général de la Santé, Didier Houssin, explique au Parisien que deux personnes de retour du Mexique présentaient samedi «des doutes, non confirmés», de contamination. Pour Didier Houssin, «d'autres cas ne vont certainement pas manquer de survenir dans les jours à venir car les déplacements aériens ou par bateau sont nombreux». Il «n'est pas exclu qu'une personne malade, donc potentiellement contagieuse, puisse rentrer en France», estime-t-il.
La France a mis en place un centre de crise afin de suivre l'évolution de la situation sanitaire au Mexique. Paris a précisé samedi que «la France n'importe pas de porcs vivants, ni de viande porcine du Mexique».
Maladie respiratoire de type viral qui s'attrape dans les elevages de porcs, la grippe porcine se transmet ensuite d'homme à homme par voie aérienne. La souche mutante responsable de l'épidémie, A/H1N1, combine des éléments des virus grippaux porcin, aviaire et humain, a mis plusieurs semaines à être identifiée au Mexique. La question de la transmission interhumaine n'est pas tranchée par les spécialistes. Ce virus peut se traiter avec le Tamiflu, médicament déjà employé pour la grippe aviaire. Un vaccin pourrait être rapidement mis au point.
Au moins vingt personnes seraient touchées aux Etats-Unis et quatre cas sont actuellement examinés en France. L'OMS, qui évoque une véritable «pandémie», estime que le virus peut évoluer et devenir encore plus dangereux.
«Pandémie». L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a lâché le mot tant redouté samedi, en l'entourant de précautions. Pour l'organisation, qui a déclaré l'épidémie «urgence de santé publique internationale», la grippe porcine qui a frappé le Mexique, où elle a tué 22 personnees de manière certaine et probablement 86 au total, présente bel et bien un «potentiel pandémique».
A Mexico, mégalopole de 20 millions d'habitants, l'Etat est sur le pied de guerre. On compte 1.324 malades déjà signalés dans le pays, dont 20 pour la seule journée de samedi. Dimanche, deux nouvelles personnes sont décédés, et trois autres décés sont considérés pour le moment comme suspect. Ces nouveaux décès portent à 86 le nombre de morts apparemment liées à la grippe porcine, dont 22 confirmées, au Mexique.
Tous les malades atteints ou présentant les symptômes de la maladie sont placé à l'isolement , tandis que les forces de l'ordre ont autorité pour pénétrer dans «tout local» si nécessaire pour lutter contre la contagion. Les établissements scolaires sont fermés jusqu'au 6 mai prochain dans la capitale. La messe a également été annulée dimanche.
Les Etats-Unis déclenchent l'etat d'urgence sanitaire
Mais la contagion a déjà atteint les Etats-Unis. Les autorités sanitaires américaines ont déclaré dimanche l' «état d'urgence sanitaire». Elles font état de 20 cas aux Etats-Unis, huit à New-York (nord-est), sept en Californie (ouest), deux au Texas (sud), deux au Kansas (centre) et un dans l'Ohio (nord). Pour elles, le virus s'étend et ne peut pas être contenu dans l'immédiat. Washington a dépêché une équipe d'experts au Mexique. Le Canada a également annoncé quatre cas de grippe porcine.
Le reste du monde n'est pas épargné. En Angleterre, le cas suspect signalé en fin de semaine s'est révélé être une fausse alerte. En Colombie, cinq voyageurs présentant des symptômes ont été hospitalisés. En Nouvelle-Zélande, un groupe de 25 lycéens de retour du Mexique a été placé en quarantaine. Dix présentent des symptômes et sont «probablement» atteints. L'Asie, déjà frappée par la grippe aviaire, se mobilise. Distribution de masques au Japon, réunion d'urgence des ministres en Corée du Sud...
En Europe, l'épidémie prend également de l'ampleur. L'Espagne comptait dimanche six cas possibles de grippe porcine. En France, quatre cas sont actuellement en cours d'investigation : un groupe de trois personnes dans le Nord et une femme dans la région parisienne. Tous reviennent de régions où l'épidémie existe (Mexique et sud des Etats-Unis).
Une mutation « inédite» du virus
Selon l'OMS, la maladie touche «des jeunes adultes en bonne santé», et la mutation du virus est inédite, «dans des gênes jamais rencontrés auparavant» . Mexico assure que tous les cas constatés sont issus de contamination d'homme à homme, ce qui inquiète les spécialistes.
Le Mexique, qui avait avancé l'hypothèse d'une campagne de vaccination massive, penche désormais pour une distribution de médicaments. Un fonds de 450 millions de dollars (340 millions d'euros) a été débloqué pour lutter contre la maladie.
En France, Françoise Weber, directrice de l'Institut de veille sanitaire (InVS), a annoncé quatre «cas suspects» de grippe porcine, alors que la suspicion sur deux autres cas signalés samedi a été levée. Dimanche après-midi, trois nouveau cas suspect ont été signalés dans le Nord et pris en charge au centre hospitalier de Tourcoing.
Le directeur général de la Santé, Didier Houssin, explique au Parisien que deux personnes de retour du Mexique présentaient samedi «des doutes, non confirmés», de contamination. Pour Didier Houssin, «d'autres cas ne vont certainement pas manquer de survenir dans les jours à venir car les déplacements aériens ou par bateau sont nombreux». Il «n'est pas exclu qu'une personne malade, donc potentiellement contagieuse, puisse rentrer en France», estime-t-il.
La France a mis en place un centre de crise afin de suivre l'évolution de la situation sanitaire au Mexique. Paris a précisé samedi que «la France n'importe pas de porcs vivants, ni de viande porcine du Mexique».
Maladie respiratoire de type viral qui s'attrape dans les elevages de porcs, la grippe porcine se transmet ensuite d'homme à homme par voie aérienne. La souche mutante responsable de l'épidémie, A/H1N1, combine des éléments des virus grippaux porcin, aviaire et humain, a mis plusieurs semaines à être identifiée au Mexique. La question de la transmission interhumaine n'est pas tranchée par les spécialistes. Ce virus peut se traiter avec le Tamiflu, médicament déjà employé pour la grippe aviaire. Un vaccin pourrait être rapidement mis au point.
IDE
Re: Actualités 2009
Faut-il bannir les bouteilles d'eau en plastique ?
Le plastique des bouteilles libère des perturbateurs endocriniens dans l'eau minérale. Ils pourraient avoir des effets sur la santé, y compris à faibles doses.
L'eau minérale des bouteilles en plastique contient deux fois plus d'hormones (féminines ou masculines) que celle stockée dans des bouteilles en verre ou l'eau du robinet. Autrement dit, le plastique libère dans l'eau ce que l'on appelle des perturbateurs endocriniens. Leurs effets à très faible dose sont encore très mal connus, mais ils sont soupçonnés de modifier chez l'homme le développement et les fonctions sexuelles et reproductrices. L'étude conduite par deux chercheurs allemands est publiée dans la revue Environmental Science and Pollution Research.
Martin Wagner et Jörg Oehlman, de l'université Goethe, basée à Francfort, ont sélectionné vingt emballages en plastique d'eaux minérales vendues en Allemagne. Ils ont tous en commun de contenir du polyéthylène téréphthalate (PET). Ce plastique est présent également dans les bouteilles en plastique de boissons gazeuses, d'huile de cuisine et il tapisse aussi l'aluminium recouvrant l'intérieur des briques de boissons de plusieurs marques. Le PET assure à la fois «la transparence du plastique, sa résistance aux chocs, son faible poids et son imperméabilité à l'eau, aux gaz et aux arômes».
[...]
Secret industriel:
Sans surprise, l'étude a déclenché une levée de boucliers des industriels des plastiques alimentaires. Le BFR, l'organisme allemand chargé de l'évaluation du risque, a publié un communiqué pour préciser que les résultats de cette étude ne permettent pas de conclure à un risque pour la santé. Ce n'était d'ailleurs pas le but des deux chercheurs allemands : ils voulaient seulement mettre en évidence la présence d'hormones dans les bouteilles en plastique. L'origine des perturbateurs endocriniens reste pour eux inexpliquée. Provienent-ils du PET, d'un cocktail de plusieurs molécules du plastique ou de l'antimoine, un minéral utilisé dans la catalyse de plastiques et connu pour être un perturbateur endocrinien ?
«Il y a un défaut d'informations sur les emballages alimentaires. On n'arrive pas à connaître leur composition», relève René Habert qui a récemment montré l'effet toxique d'un phtalate contenu dans le plastique sur des cultures de cellules de testicules. Secret industriel oblige, les toxicologues ont toutes les peines du monde à obtenir la composition précise des produits, comme le déplore aussi Gilles Husson, président de l'Association scientifique européenne pour l'eau et la santé.
Aujourd'hui, le marché de l'eau minérale est aussi contesté pour des raisons environnementales. Il faut sept litres d'eau pour fabriquer une bouteille en plastique et leur commercialisation nécessite des kilomètres de déplacement alors qu'une eau de qualité coule de nos robinets.
Le plastique des bouteilles libère des perturbateurs endocriniens dans l'eau minérale. Ils pourraient avoir des effets sur la santé, y compris à faibles doses.
L'eau minérale des bouteilles en plastique contient deux fois plus d'hormones (féminines ou masculines) que celle stockée dans des bouteilles en verre ou l'eau du robinet. Autrement dit, le plastique libère dans l'eau ce que l'on appelle des perturbateurs endocriniens. Leurs effets à très faible dose sont encore très mal connus, mais ils sont soupçonnés de modifier chez l'homme le développement et les fonctions sexuelles et reproductrices. L'étude conduite par deux chercheurs allemands est publiée dans la revue Environmental Science and Pollution Research.
Martin Wagner et Jörg Oehlman, de l'université Goethe, basée à Francfort, ont sélectionné vingt emballages en plastique d'eaux minérales vendues en Allemagne. Ils ont tous en commun de contenir du polyéthylène téréphthalate (PET). Ce plastique est présent également dans les bouteilles en plastique de boissons gazeuses, d'huile de cuisine et il tapisse aussi l'aluminium recouvrant l'intérieur des briques de boissons de plusieurs marques. Le PET assure à la fois «la transparence du plastique, sa résistance aux chocs, son faible poids et son imperméabilité à l'eau, aux gaz et aux arômes».
[...]
Secret industriel:
Sans surprise, l'étude a déclenché une levée de boucliers des industriels des plastiques alimentaires. Le BFR, l'organisme allemand chargé de l'évaluation du risque, a publié un communiqué pour préciser que les résultats de cette étude ne permettent pas de conclure à un risque pour la santé. Ce n'était d'ailleurs pas le but des deux chercheurs allemands : ils voulaient seulement mettre en évidence la présence d'hormones dans les bouteilles en plastique. L'origine des perturbateurs endocriniens reste pour eux inexpliquée. Provienent-ils du PET, d'un cocktail de plusieurs molécules du plastique ou de l'antimoine, un minéral utilisé dans la catalyse de plastiques et connu pour être un perturbateur endocrinien ?
«Il y a un défaut d'informations sur les emballages alimentaires. On n'arrive pas à connaître leur composition», relève René Habert qui a récemment montré l'effet toxique d'un phtalate contenu dans le plastique sur des cultures de cellules de testicules. Secret industriel oblige, les toxicologues ont toutes les peines du monde à obtenir la composition précise des produits, comme le déplore aussi Gilles Husson, président de l'Association scientifique européenne pour l'eau et la santé.
Aujourd'hui, le marché de l'eau minérale est aussi contesté pour des raisons environnementales. Il faut sept litres d'eau pour fabriquer une bouteille en plastique et leur commercialisation nécessite des kilomètres de déplacement alors qu'une eau de qualité coule de nos robinets.
IDE
- lechatjaune
- Accro
- Messages : 956
- Inscription : 05 avr. 2009 19:16
Re: Actualités 2009
Lutte contre le cancer, la France bon élève de l'Europe
La France, et c'est plutôt une bonne nouvelle, est le bon élève de l'Europe en ce qui concerne la lutte contre le cancer.
Selon l'étude Eurocare-4 dont les résultats ont été publiés dans l'European Journal of Cancer, le taux de guérisson de la maladie y est nettement supérieur à la moyenne européenne, la France se distinguant. dans de nombreux domaines.
Selon cette étude portant sur 23 pays, 58,6% des femmes atteintes des cancers sont guéries en France alors que ce pourcentage n'est que de 38% en Pologne.
A noter que c'est l'Islande qui obtient le meilleur taux pour les hommes (46,6%).
Il existe bien sûr des différences, en termes de guérison, selon les pays et selon le type de cancer.
Ainsi la France obtient le meilleur taux de guérison européen du cancer colorectal avec 49.4% contre 48% aux Pays-Bas mais seulement 24.8% en Pologne.
La France se distingue également en ce qui concerne :
* le taux de guérison du cancer de la prostate avec 57,9%.
Elle devance l'Islande (56,5%) et les Pays-Bas (54%)
* le taux de guérison du cancer du poumon avec 10,3%.
Elle devance l'Espagne (10%) et les Pays-Bas (9,9%).
En ce qui concerne le cancer du sein, la France avec 72.8% de taux de guérison se place derrière la Suède (73.4% de taux de guérison), la Finlande (73,2%) et l'Espagne (72,9%).
A l'autre extrémité de l'échelle, la République tchèque n'obtient que 54,7% de taux de guérison.
Lancée en 1990 cette étude Eurocare qui a déjà donné lieu à des publications préliminaires est basée sur l'analyse de 82 registres répartis dans 23 pays.
Eurocare est aujourd'hui l'étude coopérative la plus importante sur la survie des patients européens traités pour un cancer.
A noter également que cette étude apporte des données sur les différences de survie entre les patients âgés de 55 à 69 ans et ceux de 70 à 84 ans, entre hommes et femmes et enfin entre les enfants (0-14 ans) et les jeunes adultes (15-24 ans).
Tous cancers confondus, la survie à 5 ans des patients est inférieure dans la tranche 70-84 ans (45,6% pour les femmes v. 62% pour les 55-69 ans ; 31,3% pour les hommes v. 38,7%).
En ce qui concerne les différences femmes/hommes, l'étude a porté sur 1,6 million de cancers (26 localisations) répartis dans 23 pays.
Pour 15 de ces localisations, la survie est significativement supérieure chez les femmes. L'excès de risque de mortalité est significativement inférieur, toujours chez les femmes, pour 16 localisations.
[Source : Santé-actu 26/04/09]
La France, et c'est plutôt une bonne nouvelle, est le bon élève de l'Europe en ce qui concerne la lutte contre le cancer.
Selon l'étude Eurocare-4 dont les résultats ont été publiés dans l'European Journal of Cancer, le taux de guérisson de la maladie y est nettement supérieur à la moyenne européenne, la France se distinguant. dans de nombreux domaines.
Selon cette étude portant sur 23 pays, 58,6% des femmes atteintes des cancers sont guéries en France alors que ce pourcentage n'est que de 38% en Pologne.
A noter que c'est l'Islande qui obtient le meilleur taux pour les hommes (46,6%).
Il existe bien sûr des différences, en termes de guérison, selon les pays et selon le type de cancer.
Ainsi la France obtient le meilleur taux de guérison européen du cancer colorectal avec 49.4% contre 48% aux Pays-Bas mais seulement 24.8% en Pologne.
La France se distingue également en ce qui concerne :
* le taux de guérison du cancer de la prostate avec 57,9%.
Elle devance l'Islande (56,5%) et les Pays-Bas (54%)
* le taux de guérison du cancer du poumon avec 10,3%.
Elle devance l'Espagne (10%) et les Pays-Bas (9,9%).
En ce qui concerne le cancer du sein, la France avec 72.8% de taux de guérison se place derrière la Suède (73.4% de taux de guérison), la Finlande (73,2%) et l'Espagne (72,9%).
A l'autre extrémité de l'échelle, la République tchèque n'obtient que 54,7% de taux de guérison.
Lancée en 1990 cette étude Eurocare qui a déjà donné lieu à des publications préliminaires est basée sur l'analyse de 82 registres répartis dans 23 pays.
Eurocare est aujourd'hui l'étude coopérative la plus importante sur la survie des patients européens traités pour un cancer.
A noter également que cette étude apporte des données sur les différences de survie entre les patients âgés de 55 à 69 ans et ceux de 70 à 84 ans, entre hommes et femmes et enfin entre les enfants (0-14 ans) et les jeunes adultes (15-24 ans).
Tous cancers confondus, la survie à 5 ans des patients est inférieure dans la tranche 70-84 ans (45,6% pour les femmes v. 62% pour les 55-69 ans ; 31,3% pour les hommes v. 38,7%).
En ce qui concerne les différences femmes/hommes, l'étude a porté sur 1,6 million de cancers (26 localisations) répartis dans 23 pays.
Pour 15 de ces localisations, la survie est significativement supérieure chez les femmes. L'excès de risque de mortalité est significativement inférieur, toujours chez les femmes, pour 16 localisations.
[Source : Santé-actu 26/04/09]
IDE en HAD encore en remplacement en réanimation polyvalente