Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Rédaction de l'écrit de culture générale
Depuis quelques anéees nous assistons a une forte augmentation de la violence scolaire où enseignants parents ou élèves se sentent désorientés devant tant de violences qui surviennent la plupart du temps par des jeunes qui sont descolarisés ou en echec scolaires.
Ce sont souvent des élèves qui n'ont pas de soutien familiaux: parents au chomage, famille monoparentale , parents debordés entre le travail et la maison.Certains parents auraient besoin d'une aide afin de recrée le lien parents-enfant afin d'obtenir une nouvelle autorité .Des éleves de parents étrangers qui n'ont pas la meme culture ni la meme langue que nous et qui donc ont beaucoup de mal à suivre une scolarité normale.
Ces élèves sont le plus souvents dans les établissements appelés ZEP(zone d'education prioritaire) 41% d'actes de violences signalées, les REP (réseau d'éducation prioritaire) ainsi que les lycees professionnels.Où pour ces jeunes la violence est leur seul moyen de communication dont les professeurs et médiateurs n'arrivent pas a leur apprendre l'importance d'une vie scolaire au lieu de trainer toute la journee dans la rue.
De plus en plus en plus d'enseignants ne se sentent plus en securité beaucoup recoivent des violences physiques qui sont desormais plus séverement puni par la loi. Les enseignants , parents et éleves réclament plus de securité donc plus de surveillants de médiateurs des vidéos surveillance des permanences de police autour des lycées les plus sensibles ainsi que diminuer le nombre d'effectifs dans les classes.Enseigner aux etudiants des cours à la citoyenneté ; création de classe relais pour les eleves en rupture scolaire.
En conclusion , ces mesures devraient etre mis en place rapidement pour essayer de mettre un frein à la violence dont nos enfants font les frais tous les jours.
voila pour moi j'ai un peu peur de mettre un peu egarée sur le sujet dites moi ce que vous en pensez merci!!
Ce sont souvent des élèves qui n'ont pas de soutien familiaux: parents au chomage, famille monoparentale , parents debordés entre le travail et la maison.Certains parents auraient besoin d'une aide afin de recrée le lien parents-enfant afin d'obtenir une nouvelle autorité .Des éleves de parents étrangers qui n'ont pas la meme culture ni la meme langue que nous et qui donc ont beaucoup de mal à suivre une scolarité normale.
Ces élèves sont le plus souvents dans les établissements appelés ZEP(zone d'education prioritaire) 41% d'actes de violences signalées, les REP (réseau d'éducation prioritaire) ainsi que les lycees professionnels.Où pour ces jeunes la violence est leur seul moyen de communication dont les professeurs et médiateurs n'arrivent pas a leur apprendre l'importance d'une vie scolaire au lieu de trainer toute la journee dans la rue.
De plus en plus en plus d'enseignants ne se sentent plus en securité beaucoup recoivent des violences physiques qui sont desormais plus séverement puni par la loi. Les enseignants , parents et éleves réclament plus de securité donc plus de surveillants de médiateurs des vidéos surveillance des permanences de police autour des lycées les plus sensibles ainsi que diminuer le nombre d'effectifs dans les classes.Enseigner aux etudiants des cours à la citoyenneté ; création de classe relais pour les eleves en rupture scolaire.
En conclusion , ces mesures devraient etre mis en place rapidement pour essayer de mettre un frein à la violence dont nos enfants font les frais tous les jours.
voila pour moi j'ai un peu peur de mettre un peu egarée sur le sujet dites moi ce que vous en pensez merci!!
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Re: Rédaction de l'écrit de culture générale
Coucou je suis nouvelle ici !! Je me lance !!
La violence dans les établissements scolaires est un phénomène malheureusement de plus en plus fréquent dans notre société, les médias nous renseingnent quotidiennement à ce sujet et les délits sont de plus en plus graves. Le personnel étucatif doit trouver des solutions auplus vite pour apaiser les tensions dans ces établissements.
Chez certains élèves issuent de milieux fragils, quartiers modestes, familles monoparentales ou familles immigrées ayant des problèmes d'intégration,on constate un refus de l'autorité parentale et du cadre scolaire. Leur taux d'absentéisme important conduit à la delinquance.
Le quotidien de ces établissements est annimé de bagares, d'injures, de bousculades, d'agressions et donc d'insecurité.
Pour lutter contre cet incivisme, il faudrait tout d'abord sensibiliser et prévenir les parents en les aidant à maintenir une autorité plus forte avec leurs enfants. Ensuite, l'éducation civique doit etre d'avantage enseignée de la maternelle jusqu'au lycée. Cela permettrai de leur inculquer les valeurs fondamentales comme le respet, la tolérance, la politesse, les droits et devoirs de chacun...
L'Etat à mis en place le système des ZEP (zone d'education prioritaire) qui permet à certains établissements fragils et modestes d'etre suivi et d'avoir de meilleures ressources financières et éducatives mais ce système devrait être d'avantage devellopé.
De plus, le cadre enseignant devrait avoir une meilleure formation concernant le comportement à avoir avec un élève difficil. D'autres parsonnel comme le conseillé principal d'éducation, l'infirmière ou l'assistante sociale devraient être d'avanta au contact des élèves afin d'avoir un encadrement complet et une meilleure écoute afin de leur proposer des solutions à leurs problémes.
La délinquance dans les établissemnts scolaires est un problème à resoudre rapidement en favorisant la médiation, l'éducation et la prévention. Toutefois le répression est nécessaire c'est pour cela que le gouvernement se montre de plus en plus stricte avec les mineurs.
La violence dans les établissements scolaires est un phénomène malheureusement de plus en plus fréquent dans notre société, les médias nous renseingnent quotidiennement à ce sujet et les délits sont de plus en plus graves. Le personnel étucatif doit trouver des solutions auplus vite pour apaiser les tensions dans ces établissements.
Chez certains élèves issuent de milieux fragils, quartiers modestes, familles monoparentales ou familles immigrées ayant des problèmes d'intégration,on constate un refus de l'autorité parentale et du cadre scolaire. Leur taux d'absentéisme important conduit à la delinquance.
Le quotidien de ces établissements est annimé de bagares, d'injures, de bousculades, d'agressions et donc d'insecurité.
Pour lutter contre cet incivisme, il faudrait tout d'abord sensibiliser et prévenir les parents en les aidant à maintenir une autorité plus forte avec leurs enfants. Ensuite, l'éducation civique doit etre d'avantage enseignée de la maternelle jusqu'au lycée. Cela permettrai de leur inculquer les valeurs fondamentales comme le respet, la tolérance, la politesse, les droits et devoirs de chacun...
L'Etat à mis en place le système des ZEP (zone d'education prioritaire) qui permet à certains établissements fragils et modestes d'etre suivi et d'avoir de meilleures ressources financières et éducatives mais ce système devrait être d'avantage devellopé.
De plus, le cadre enseignant devrait avoir une meilleure formation concernant le comportement à avoir avec un élève difficil. D'autres parsonnel comme le conseillé principal d'éducation, l'infirmière ou l'assistante sociale devraient être d'avanta au contact des élèves afin d'avoir un encadrement complet et une meilleure écoute afin de leur proposer des solutions à leurs problémes.
La délinquance dans les établissemnts scolaires est un problème à resoudre rapidement en favorisant la médiation, l'éducation et la prévention. Toutefois le répression est nécessaire c'est pour cela que le gouvernement se montre de plus en plus stricte avec les mineurs.
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Re: Rédaction de l'écrit de culture générale
faites moi part de vos critiques svp !!!
- naima13006
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Re: Rédaction de l'écrit de culture générale
je suis pasune experte en matière de correction mais je vous donne tout de même mon avis.
sévelou: pour commencer tu n'es pas hors-sujet .Il manque des virgules ce qui donne une phrase trés longue.Tu as donné de bons exemples.Une intro correct ainsi que ta conclusion.c'est pas mal pour une maman qui manque de temps!!
najette(désolé si je me trompe sur ton pseudo):il manque des mots,fait attention de bien te relire.ensuite tu as donné quelques exemples c'est juste.
bon j'espere que vous ne le prendrez pas mal et je le rapelle que je suis pas une experte en correction.
sévelou: pour commencer tu n'es pas hors-sujet .Il manque des virgules ce qui donne une phrase trés longue.Tu as donné de bons exemples.Une intro correct ainsi que ta conclusion.c'est pas mal pour une maman qui manque de temps!!
najette(désolé si je me trompe sur ton pseudo):il manque des mots,fait attention de bien te relire.ensuite tu as donné quelques exemples c'est juste.
bon j'espere que vous ne le prendrez pas mal et je le rapelle que je suis pas une experte en correction.

Ifas Martigues: admise
Ifas Croix Rouge Marseille: admise
EAS 2017/2018
Ifas Croix Rouge Marseille: admise
EAS 2017/2018
Re: Rédaction de l'écrit de culture générale
merci naima et t'inquiete pas je ne le prends pas mal du tout , au contraire cela aide! meme moi en me relisant j'ai trouver que cela manquait de paragraphes!comme tu as fait le tien c'ets super avec des exemples et solutions je trouve cela tres bien!
oui heureusment que le papa aide un peu sinon cela serait impossible
oui heureusment que le papa aide un peu sinon cela serait impossible

Re: Rédaction de l'écrit de culture générale
juste quelques mots si tu veux bien sur ton écrit, pour te dire de faire attention aux jugements de valeur ("malheureusement" ou"le taux d'absentéisme conduit à la délinquance"...)au concours on demande d'expliquer, d'analyser un phénomène sanitaire ou social avec ouverture d'esprit et connaissances.l'évaluation porte sur ces points. Il n'appartient pas aux candidats de dire si c'est "bien " ou "mal", "heureux" ou malheureux" car quand vous serez auprès des patients vous n'aurez pas à porter de "jugements" sur leur situation ou les raisons pour lesquelles ils sont là (vous pourrez avoir des patients qui ont été jugés pour des actes répréhendés par la loi par exemple...)
Alors mieux vaut écrire, par exemple, "la violence dans les établissements scolaires semblent, à écouter les médias, de plus en plus fréquente..." ou "le taux d'absenteisme pose questions car il traduit des difficultés soit avec l'école, soit avec la famille et, le jeune, livré à lui-même, peut se retrouver impliqué ou à l'origine d'actes délictueux"
voila ! ne le prend pas mal mais c'est un conseil pour t'éviter des points en moins
Bon courage !
Alors mieux vaut écrire, par exemple, "la violence dans les établissements scolaires semblent, à écouter les médias, de plus en plus fréquente..." ou "le taux d'absenteisme pose questions car il traduit des difficultés soit avec l'école, soit avec la famille et, le jeune, livré à lui-même, peut se retrouver impliqué ou à l'origine d'actes délictueux"
voila ! ne le prend pas mal mais c'est un conseil pour t'éviter des points en moins
Bon courage !
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Re: Rédaction de l'écrit de culture générale
merci farfalla !! je retiens ton conseil !!
culture générale 2010
l'euthanasie:
>>définition étymologiquement euthanose signifie "la bonne mort"
-Autrefois synonyme de mort calme et sans souffrance ,ce terme est aujourd'hui réservé a la pratique qui consiste a hâter la mort d'un malade incurable,dans le but d'abréger ses souffrances.
-Il existe 2 types d'euthanasies:
*l'euthanasie active:c'est le geste d'un tiers qui donne la mort.
*l'euthanasie passive:c'est l'arrêt des traitements qui abrège la vie lorsque le cas est désespéré.Certains disent que c'est un refus d'acharnement thérapeutique.
LES ARGUMENTS POUR :
-fin de la souffrance> si les douleurs sont actuellement bien prises en compte et souvent calmées de manière efficace, en particulier dans les services de soins palliatifs, il persiste des souffrances importantes qui ne sont pas des douleurs.Tels que (la perte progressive du contrôle sur son propre corps comme dans le cas de maladies neurodégénératives,la sensation d'étouffement,la déformation de son corps, et surtout de son visage,la perte définitive de son autonomie).
-Même s'ils s'efforcent de prendre également en compte la souffrance, les soins palliatifs ne peuvent pas toujours l'apaiser complètement, et l'euthanasie reste une porte de sortie.
-Effectuer une euthanasie dans un cadre médicalisé évite la clandestinité du geste et permet de limiter certaines dérives.
-Vision de la dignité humaine .
-la maladie est perçue comme une dégradation inacceptable par le patient;
-la maladie peut entraîner des altérations des facultés psychiques (raison et volonté en particulier) sur lesquelles reposent les valeurs morales de l'Occident ;
dépendance très importante ou totale de l'aide d'autrui.
-sentiment d'inutilité sociale.
-Vision de la liberté de l'Homme
-l'Homme est seul titulaire des droits associé à son corps, seul maître de sa vie (c'est la simple application de la liberté individuelle. Il doit être le seul à décider de ce qu'il veut faire de son corps mais aussi de son esprit).
-liberté de choix du malade, qui sait mieux que quiconque ce qu'il désire.
LES ARGUMENTS CONTRE:
-Raisons d'ordre moral > pour de nombreuses personnes, il existe un interdit général du meurtre voire du suicide qui s'applique à l'euthanasie. Il est basé sur l'idée d'inviolabilité de la vie humaine, qui peut s'appuyer sur des références religieuses. Par exemple, les fidèles des trois monothéismes considèrent la vie humaine comme un don de Dieu, dont l'homme n'a pas la libre disposition. Pour les Chrétiens ou les Juifs l'homme étant en outre créé à l'image de Dieu, sa vie est sacrée et ne diminue pas en dignité en cas d'incapacité.
-Inutilité > une partie des médecins estime que les progrès en matière de traitement de la douleur et de la souffrance (soins palliatifs) rendent l'euthanasie inutile. Ainsi la forte baisse des cas d'euthanasie aux Pays-Bas entre 2001 et 2005 est attribuée par la majorité des médecins à l'amélioration des soins palliatifs21.
En cas d'incapacité de décider (inconscience, lourd handicap mental, démence etc.), la décision doit être prise par quelqu'un d'autre.
-Mort par empoisonnement, parfois très pénible qui prive l'euthanasié et ses proches de vivre des moments jugés essentiels qui peuvent précéder la mort naturelle.
-Tout suicide peut-être vu comme un drame personnel et un échec pour la société.
-Les personnes favorables à l'euthanasie changent souvent d'avis quand elles deviennent malades.
-Risque de dérapage>(pressions financières sur le malade à cause du coût élevé des soins pour les proches,pressions financières pour les plus pauvres, qui risquent de « préférer » mourir rapidement,intérêt financier de l'établissement hospitalier : une personne très malade coute cher (pathologies multiples, soins lourds), l'accélération de l'inéluctable allège donc ses charges).
CLASSIFICATION PAR TYPE DE CONSENTEMENTS:
-Euthanasie volontaire : lorsqu'un individu a la capacité mentale et physique de demander de l'aide pour mourir et qu'il le demande.
-Euthanasie non volontaire 1 : lorsqu'un individu n'a plus la capacité mentale et physique de demander de l'aide pour mourir mais a précédemment exprimé une telle volonté.
Euthanasie non volontaire 2 : lorsqu'un individu n'a plus la capacité mentale et physique de demander de l'aide pour mourir ou de s'y opposer et qu'on ignore quelle aurait été sa volonté.
>>définition étymologiquement euthanose signifie "la bonne mort"
-Autrefois synonyme de mort calme et sans souffrance ,ce terme est aujourd'hui réservé a la pratique qui consiste a hâter la mort d'un malade incurable,dans le but d'abréger ses souffrances.
-Il existe 2 types d'euthanasies:
*l'euthanasie active:c'est le geste d'un tiers qui donne la mort.
*l'euthanasie passive:c'est l'arrêt des traitements qui abrège la vie lorsque le cas est désespéré.Certains disent que c'est un refus d'acharnement thérapeutique.
LES ARGUMENTS POUR :
-fin de la souffrance> si les douleurs sont actuellement bien prises en compte et souvent calmées de manière efficace, en particulier dans les services de soins palliatifs, il persiste des souffrances importantes qui ne sont pas des douleurs.Tels que (la perte progressive du contrôle sur son propre corps comme dans le cas de maladies neurodégénératives,la sensation d'étouffement,la déformation de son corps, et surtout de son visage,la perte définitive de son autonomie).
-Même s'ils s'efforcent de prendre également en compte la souffrance, les soins palliatifs ne peuvent pas toujours l'apaiser complètement, et l'euthanasie reste une porte de sortie.
-Effectuer une euthanasie dans un cadre médicalisé évite la clandestinité du geste et permet de limiter certaines dérives.
-Vision de la dignité humaine .
-la maladie est perçue comme une dégradation inacceptable par le patient;
-la maladie peut entraîner des altérations des facultés psychiques (raison et volonté en particulier) sur lesquelles reposent les valeurs morales de l'Occident ;
dépendance très importante ou totale de l'aide d'autrui.
-sentiment d'inutilité sociale.
-Vision de la liberté de l'Homme
-l'Homme est seul titulaire des droits associé à son corps, seul maître de sa vie (c'est la simple application de la liberté individuelle. Il doit être le seul à décider de ce qu'il veut faire de son corps mais aussi de son esprit).
-liberté de choix du malade, qui sait mieux que quiconque ce qu'il désire.
LES ARGUMENTS CONTRE:
-Raisons d'ordre moral > pour de nombreuses personnes, il existe un interdit général du meurtre voire du suicide qui s'applique à l'euthanasie. Il est basé sur l'idée d'inviolabilité de la vie humaine, qui peut s'appuyer sur des références religieuses. Par exemple, les fidèles des trois monothéismes considèrent la vie humaine comme un don de Dieu, dont l'homme n'a pas la libre disposition. Pour les Chrétiens ou les Juifs l'homme étant en outre créé à l'image de Dieu, sa vie est sacrée et ne diminue pas en dignité en cas d'incapacité.
-Inutilité > une partie des médecins estime que les progrès en matière de traitement de la douleur et de la souffrance (soins palliatifs) rendent l'euthanasie inutile. Ainsi la forte baisse des cas d'euthanasie aux Pays-Bas entre 2001 et 2005 est attribuée par la majorité des médecins à l'amélioration des soins palliatifs21.
En cas d'incapacité de décider (inconscience, lourd handicap mental, démence etc.), la décision doit être prise par quelqu'un d'autre.
-Mort par empoisonnement, parfois très pénible qui prive l'euthanasié et ses proches de vivre des moments jugés essentiels qui peuvent précéder la mort naturelle.
-Tout suicide peut-être vu comme un drame personnel et un échec pour la société.
-Les personnes favorables à l'euthanasie changent souvent d'avis quand elles deviennent malades.
-Risque de dérapage>(pressions financières sur le malade à cause du coût élevé des soins pour les proches,pressions financières pour les plus pauvres, qui risquent de « préférer » mourir rapidement,intérêt financier de l'établissement hospitalier : une personne très malade coute cher (pathologies multiples, soins lourds), l'accélération de l'inéluctable allège donc ses charges).
CLASSIFICATION PAR TYPE DE CONSENTEMENTS:
-Euthanasie volontaire : lorsqu'un individu a la capacité mentale et physique de demander de l'aide pour mourir et qu'il le demande.
-Euthanasie non volontaire 1 : lorsqu'un individu n'a plus la capacité mentale et physique de demander de l'aide pour mourir mais a précédemment exprimé une telle volonté.
Euthanasie non volontaire 2 : lorsqu'un individu n'a plus la capacité mentale et physique de demander de l'aide pour mourir ou de s'y opposer et qu'on ignore quelle aurait été sa volonté.
Re: culture générale 2010
L'alcool
-Depuis plusieurs décennies, la consommation d'alcool en France est en diminution régulière : la consommation annuelle d'alcool pur a ainsi baissé de moitié entre 1960 et aujourd'hui. Malgré cette diminution, la France reste parmi les pays les plus consommateurs, au 4e rang des pays de l'Union européenne et au 6e rang mondial.
EFFETS ET DANGERS:
-L'alcool n'est pas digéré > il passe directement du tube digestif aux vaisseaux sanguins. En quelques minutes, le sang le transporte dans toutes les parties de l'organisme.
Les risques immédiats
-A court terme et lorsqu'il est consommé à des doses importantes, l'alcool provoque un état d'ivresse et peut entraîner des troubles digestifs, des nausées, des vomissements... Boire une grande quantité d'alcool en peu de temps provoque une montée importante du taux d'alcoolémie, qui baisse ensuite en fonction de la quantité bue : seul le temps permet de le faire baisser. On compte qu'il faut une heure en moyenne par verre absorbé. Si on boit sans manger, l'alcool passe plus rapidement dans le sang et ses effets sont plus importants.
-La consommation d'alcool peut exposer à des risques majeurs :
>> diminution de la vigilance, souvent responsable d'accidents de la circulation, d'accidents du travail ;
>> pertes de contrôle de soi qui peuvent conduire à des comportements de violence, à des passages à l'acte, agressions sexuelles, suicide, homicide ;
>> exposition à des agressions en raison d'une attitude parfois provocatrice ou du fait que la personne en état d'ébriété n'est plus capable de se défendre.
Les risques à plus long terme
La consommation régulière, quand elle est excessive (ou au-delà des seuils de 2 à 3 verres par jour);augmente le risque de nombreuses pathologies :
- cancers (notamment de la bouche, de la gorge, de l'osophage, entre autres)
- maladies du foie (cirrhose)
- maladies du pancréas
- troubles cardiovasculaires, hypertension artérielle, maladies du système nerveux et troubles psychiques (anxiété, dépression, troubles du comportement).
LA DEPENDANCE:
-On parle de dépendance lorsque la personne est devenue incapable de réduire ou d'arrêter sa consommation, malgré la persistance des dommages. De nombreux symptômes apparaissent lors de la consommation ou de l'arrêt : tremblements, crampes, anorexie, troubles du comportement.
Cette dépendance s'accompagne de difficultés majeures d'ordre relationnel, social, professionnel, sanitaire, judiciaire.
ALCOOL ET GROSSESSE, LES LIAISONS DANGEREUSES
-Une consommation, même occasionnelle ou faible, d'alcool pendant la grossesse n'est pas anodine et peut entraîner des risques pour l'enfant à naître.
L'alcool passe du sang maternel au sang du foetus, sans que le placenta ne joue le rôle de "filtre" : les concentrations d'alcool chez le foetus sont donc très proches des concentrations dans le sang maternel.
>> Une consommation quotidienne, même très faible, ou des ivresses épisodiques peuvent entraîner des complications durant la grossesse (retards de croissance du foetus, accouchements prématurés), ainsi que des troubles des fonctions cognitives, tels que des troubles définitifs de la mémoire, de l'apprentissage, de l'attention.
>> Une consommation quotidienne importante peut provoquer des troubles graves chez l'enfant à naître. Le syndrome de l'alcoolisation foetale est l'atteinte la plus grave de l'exposition prénatale à l'alcool. Il se manifeste notamment par : des anomalies dans la croissance, des anomalies faciales, des dommages du système nerveux central susceptibles d'entraîner des déficits fonctionnels tels que le retard mental ou l'hyperactivité.
LA SÉCURITÉ ROUTIÈRE ET L'ALCOOL:
Des contrôles d'alcoolémie sont possibles, même en l'absence d'infraction ou d'accident, à l'initiative du procureur de la République ou d'un officier de police judiciaire.
>> Le taux légal d'alcoolémie maximale est fixé à 0,5 gramme d'alcool par litre de sang (contrôle par analyse de sang) et à 0,25 milligramme par litre d'air expiré (contrôle par éthylomètre). Ce taux légal d'alcoolémie maximale est fixé à 0,2 gramme d'alcool par litre de sang pour les conducteurs de véhicules de transport en commun.
-Depuis plusieurs décennies, la consommation d'alcool en France est en diminution régulière : la consommation annuelle d'alcool pur a ainsi baissé de moitié entre 1960 et aujourd'hui. Malgré cette diminution, la France reste parmi les pays les plus consommateurs, au 4e rang des pays de l'Union européenne et au 6e rang mondial.
EFFETS ET DANGERS:
-L'alcool n'est pas digéré > il passe directement du tube digestif aux vaisseaux sanguins. En quelques minutes, le sang le transporte dans toutes les parties de l'organisme.
Les risques immédiats
-A court terme et lorsqu'il est consommé à des doses importantes, l'alcool provoque un état d'ivresse et peut entraîner des troubles digestifs, des nausées, des vomissements... Boire une grande quantité d'alcool en peu de temps provoque une montée importante du taux d'alcoolémie, qui baisse ensuite en fonction de la quantité bue : seul le temps permet de le faire baisser. On compte qu'il faut une heure en moyenne par verre absorbé. Si on boit sans manger, l'alcool passe plus rapidement dans le sang et ses effets sont plus importants.
-La consommation d'alcool peut exposer à des risques majeurs :
>> diminution de la vigilance, souvent responsable d'accidents de la circulation, d'accidents du travail ;
>> pertes de contrôle de soi qui peuvent conduire à des comportements de violence, à des passages à l'acte, agressions sexuelles, suicide, homicide ;
>> exposition à des agressions en raison d'une attitude parfois provocatrice ou du fait que la personne en état d'ébriété n'est plus capable de se défendre.
Les risques à plus long terme
La consommation régulière, quand elle est excessive (ou au-delà des seuils de 2 à 3 verres par jour);augmente le risque de nombreuses pathologies :
- cancers (notamment de la bouche, de la gorge, de l'osophage, entre autres)
- maladies du foie (cirrhose)
- maladies du pancréas
- troubles cardiovasculaires, hypertension artérielle, maladies du système nerveux et troubles psychiques (anxiété, dépression, troubles du comportement).
LA DEPENDANCE:
-On parle de dépendance lorsque la personne est devenue incapable de réduire ou d'arrêter sa consommation, malgré la persistance des dommages. De nombreux symptômes apparaissent lors de la consommation ou de l'arrêt : tremblements, crampes, anorexie, troubles du comportement.
Cette dépendance s'accompagne de difficultés majeures d'ordre relationnel, social, professionnel, sanitaire, judiciaire.
ALCOOL ET GROSSESSE, LES LIAISONS DANGEREUSES
-Une consommation, même occasionnelle ou faible, d'alcool pendant la grossesse n'est pas anodine et peut entraîner des risques pour l'enfant à naître.
L'alcool passe du sang maternel au sang du foetus, sans que le placenta ne joue le rôle de "filtre" : les concentrations d'alcool chez le foetus sont donc très proches des concentrations dans le sang maternel.
>> Une consommation quotidienne, même très faible, ou des ivresses épisodiques peuvent entraîner des complications durant la grossesse (retards de croissance du foetus, accouchements prématurés), ainsi que des troubles des fonctions cognitives, tels que des troubles définitifs de la mémoire, de l'apprentissage, de l'attention.
>> Une consommation quotidienne importante peut provoquer des troubles graves chez l'enfant à naître. Le syndrome de l'alcoolisation foetale est l'atteinte la plus grave de l'exposition prénatale à l'alcool. Il se manifeste notamment par : des anomalies dans la croissance, des anomalies faciales, des dommages du système nerveux central susceptibles d'entraîner des déficits fonctionnels tels que le retard mental ou l'hyperactivité.
LA SÉCURITÉ ROUTIÈRE ET L'ALCOOL:
Des contrôles d'alcoolémie sont possibles, même en l'absence d'infraction ou d'accident, à l'initiative du procureur de la République ou d'un officier de police judiciaire.
>> Le taux légal d'alcoolémie maximale est fixé à 0,5 gramme d'alcool par litre de sang (contrôle par analyse de sang) et à 0,25 milligramme par litre d'air expiré (contrôle par éthylomètre). Ce taux légal d'alcoolémie maximale est fixé à 0,2 gramme d'alcool par litre de sang pour les conducteurs de véhicules de transport en commun.
Re: culture générale 2010
drogues:
La consommation de drogues illicites fait des ravages, surtout chez les jeunes et pose des problèmes délicats de prise en charge dans un contexte juridique et sanitaire pas toujours bien adapté.
La toxicomanie correspond à l’usage intensif et répété de drogues
Cet usage s’accompagne :
- D’un état de dépendance physique et /ou psychique
- D’un phénomène de tolérance (c’est-à-dire tendance à augmenter les doses pour retrouver l’effet recherché)
Principales drogues illicites utilisées en France :
-Cannabis : dépendance psychique et physique, faible diminution des défenses immunitaires responsable d’un certains nombre d’accidents de la route.
-Héroïne : dépendance physique et psychique très fortes importante dangerosité sociale : vols, prostitution, marginalisation, comportements violents, etc.…
-Cocaïne : dépendance physique faible mais psychique forte , comportements paranoïaques
-Ecstasy : dépendance physique faible, dépendance forte, possibilités d’accidents mortels, hyperthermiques du fait de la consommation associée à d’autres produits
-Crack : dépendance psychique très rapide, effets secondaires très dangereux (épilepsie, infarctus), comportements violents.
LES PROBLÈMES:
-Montée de la toxicomanie :
›Le cannabis bien qu’illégal semble se banaliser chez les jeunes
›La consommation d’héroïne augmente également notamment dans les ghettos
›L’ecstasy est maintenant un produit largement distribué, disponible dans tous les milieux sociaux et de moins en moins cher.
›Le crack connaît un développement spectaculaire du fait de son coût peu élevé (dîtes drogues du pauvre) dont la consommation progresse avec la misère et l’exclusion.
Une menace pour l’ordre public :
- Les toxicomanes pour trouver l’argent nécessaire à leur consommation quotidienne de drogue sont amener a voler (argents, auto radio, bijoux chez les particuliers) ou à se prostituer.
- Ce sont souvent des personnes marginalisées, sans emplois, sans ressources, sans familles.
Une menace pour la santé publique :
- Sa consommation entraîne rapidement une dégradation de l’état physique et psychique > amaigrissement, fatigue intellectuelle avec difficultés de concentration voire délires.
- L’échange fréquent de seringues entre toxicomanes favorise la transmission du SIDA et de l’hépatite B ou C.
LES MESURES :
Un renforcement de la lutte contre le trafic de drogues :
›Augmentation du nombre de gendarmes et adjoints de la sécurité surveillants les abords des établissements scolaires sensibles.
Une meilleure prévention :
›Lancement d’une campagne nationale de prévention sur les comportements
›Service d’accueil téléphonique « drogues infos service »
›Développement de consultations pour adolescents en difficultés psychologiques.
>Renforcement de la prévention des risques sanitaires et sociaux chez les heroïnomanes (Programme d’échanges de seringues ,Distributeurs automatiques de seringues dans les grandes villes ).
La consommation de drogues illicites fait des ravages, surtout chez les jeunes et pose des problèmes délicats de prise en charge dans un contexte juridique et sanitaire pas toujours bien adapté.
La toxicomanie correspond à l’usage intensif et répété de drogues
Cet usage s’accompagne :
- D’un état de dépendance physique et /ou psychique
- D’un phénomène de tolérance (c’est-à-dire tendance à augmenter les doses pour retrouver l’effet recherché)
Principales drogues illicites utilisées en France :
-Cannabis : dépendance psychique et physique, faible diminution des défenses immunitaires responsable d’un certains nombre d’accidents de la route.
-Héroïne : dépendance physique et psychique très fortes importante dangerosité sociale : vols, prostitution, marginalisation, comportements violents, etc.…
-Cocaïne : dépendance physique faible mais psychique forte , comportements paranoïaques
-Ecstasy : dépendance physique faible, dépendance forte, possibilités d’accidents mortels, hyperthermiques du fait de la consommation associée à d’autres produits
-Crack : dépendance psychique très rapide, effets secondaires très dangereux (épilepsie, infarctus), comportements violents.
LES PROBLÈMES:
-Montée de la toxicomanie :
›Le cannabis bien qu’illégal semble se banaliser chez les jeunes
›La consommation d’héroïne augmente également notamment dans les ghettos
›L’ecstasy est maintenant un produit largement distribué, disponible dans tous les milieux sociaux et de moins en moins cher.
›Le crack connaît un développement spectaculaire du fait de son coût peu élevé (dîtes drogues du pauvre) dont la consommation progresse avec la misère et l’exclusion.
Une menace pour l’ordre public :
- Les toxicomanes pour trouver l’argent nécessaire à leur consommation quotidienne de drogue sont amener a voler (argents, auto radio, bijoux chez les particuliers) ou à se prostituer.
- Ce sont souvent des personnes marginalisées, sans emplois, sans ressources, sans familles.
Une menace pour la santé publique :
- Sa consommation entraîne rapidement une dégradation de l’état physique et psychique > amaigrissement, fatigue intellectuelle avec difficultés de concentration voire délires.
- L’échange fréquent de seringues entre toxicomanes favorise la transmission du SIDA et de l’hépatite B ou C.
LES MESURES :
Un renforcement de la lutte contre le trafic de drogues :
›Augmentation du nombre de gendarmes et adjoints de la sécurité surveillants les abords des établissements scolaires sensibles.
Une meilleure prévention :
›Lancement d’une campagne nationale de prévention sur les comportements
›Service d’accueil téléphonique « drogues infos service »
›Développement de consultations pour adolescents en difficultés psychologiques.
>Renforcement de la prévention des risques sanitaires et sociaux chez les heroïnomanes (Programme d’échanges de seringues ,Distributeurs automatiques de seringues dans les grandes villes ).
Re: culture générale 2010
les maladies sexuellement transmissibles(M.S.T):
-Les M.S.T sont des infections qui se transmettre lors des rapports sexuels.
La plupart de M.S.T traitées à temps se guérissent, généralement sans séquelle.
Un traitement tardif n’empêche pas toujours l’apparition de complications : transmission chez le nouveau né, stérilité, cancer, etc.
-La majorité des M.S.T se traitent par des médicaments. La seule manière de les éviter c'est de se protéger en utilisant un préservatif.
-Chaque année en France, des centaines de milliers de personnes sont contaminées par une M.S.T, parfois même sans le savoir.
-Démangeaisons, pertes anormales, douleurs pendant les rapports sexuels … sont les signes qui doivent alerter et pousser à consulter un médecin afin de détecter une éventuelle infection, et la traiter au plus vite. Car certaines peuvent s’avérer très dangereuses.
Les différentes M.S.T:
-L’infection à chlamydia> très répandue en France, l’infection à chlamydia est due à la bactérie chlamydia trachomatis, particulièrement contagieuse, avec cette particularité que cette infection ne provoque que peu de symptômes. Si symptômes il y a, il sagit chez la femme de pertes vaginales anormales, de douleurs abdominales ou pelviennes ; Chez l’homme, il s’agit d’un écoulement pénien, d’une brûlure en urinant.
-Les papillomavirus humains (HPV) sont des virus qui peuvent affecter la peau, ou les muqueuses. En fait, tout dépend du type d'HPV impliqué. Il existe plus d'une centaine d'HPV différents, connus.
-L'herpès génital est dû au virus HSV2 (herpes simplex virus 2) ; en France, plus de 2 millions de personnes seraient touchées par cette infection. Une fois infectée, la personne le reste toute sa vie, bien que le virus puisse demeurer latent pendant de longues périodes. Aucun remède ne permet aujourd’hui d’éradiquer complètement l’herpès ; des traitements oraux et locaux (des aniti-viraux) permettent cependant de diminuer la gravité des symptômes, la durée et la fréquence des poussées récurrentes.
-Le sida est une maladie qui entraîne une diminution des capacités naturelles de l’organisme à se défendre contre les infections. Si les traitements ont fait d’énormes progrès ces dernières années, ils ne permettent cependant pas une guérison ; d’où l’importance de la prévention, seule arme réellement efficace. Le virus est présent notamment dans les sécrétions sexuelles (sperme et sécrétions vaginales) ; il peut se transmettre par contact avec une muqueuse (zone tapissant la bouche, le vagin, le pénis, l’anus). La transmission peut donc avoir lieu lors d’une fellation non protégée. Avec tout nouveau partenaire, le préservatif est de mise : une personne porteuse du VIH, même non malade, est contagieuse. acronyme de Syndrome de l’Immunodéficience Acquise, est une maladie infectieuse causée par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), qui entraîne la dégénérescence du système immunitaire. Depuis le début de l’épidémie, trois modes de transmission ont été observés : la transmission par voie sexuelle, la transmission par voie sanguine, la transmission de la mère à l’enfant.
-La syphilis est une maladie infectieuse sexuellement transmissible très contagieuse, causée par la bactérie treponema pallidum. Après une régression dans les années 80-90, grâce aux campagnes de prévention contre le sida, cette infection est en recrudescence depuis ces dernières années.
-Les M.S.T sont des infections qui se transmettre lors des rapports sexuels.
La plupart de M.S.T traitées à temps se guérissent, généralement sans séquelle.
Un traitement tardif n’empêche pas toujours l’apparition de complications : transmission chez le nouveau né, stérilité, cancer, etc.
-La majorité des M.S.T se traitent par des médicaments. La seule manière de les éviter c'est de se protéger en utilisant un préservatif.
-Chaque année en France, des centaines de milliers de personnes sont contaminées par une M.S.T, parfois même sans le savoir.
-Démangeaisons, pertes anormales, douleurs pendant les rapports sexuels … sont les signes qui doivent alerter et pousser à consulter un médecin afin de détecter une éventuelle infection, et la traiter au plus vite. Car certaines peuvent s’avérer très dangereuses.
Les différentes M.S.T:
-L’infection à chlamydia> très répandue en France, l’infection à chlamydia est due à la bactérie chlamydia trachomatis, particulièrement contagieuse, avec cette particularité que cette infection ne provoque que peu de symptômes. Si symptômes il y a, il sagit chez la femme de pertes vaginales anormales, de douleurs abdominales ou pelviennes ; Chez l’homme, il s’agit d’un écoulement pénien, d’une brûlure en urinant.
-Les papillomavirus humains (HPV) sont des virus qui peuvent affecter la peau, ou les muqueuses. En fait, tout dépend du type d'HPV impliqué. Il existe plus d'une centaine d'HPV différents, connus.
-L'herpès génital est dû au virus HSV2 (herpes simplex virus 2) ; en France, plus de 2 millions de personnes seraient touchées par cette infection. Une fois infectée, la personne le reste toute sa vie, bien que le virus puisse demeurer latent pendant de longues périodes. Aucun remède ne permet aujourd’hui d’éradiquer complètement l’herpès ; des traitements oraux et locaux (des aniti-viraux) permettent cependant de diminuer la gravité des symptômes, la durée et la fréquence des poussées récurrentes.
-Le sida est une maladie qui entraîne une diminution des capacités naturelles de l’organisme à se défendre contre les infections. Si les traitements ont fait d’énormes progrès ces dernières années, ils ne permettent cependant pas une guérison ; d’où l’importance de la prévention, seule arme réellement efficace. Le virus est présent notamment dans les sécrétions sexuelles (sperme et sécrétions vaginales) ; il peut se transmettre par contact avec une muqueuse (zone tapissant la bouche, le vagin, le pénis, l’anus). La transmission peut donc avoir lieu lors d’une fellation non protégée. Avec tout nouveau partenaire, le préservatif est de mise : une personne porteuse du VIH, même non malade, est contagieuse. acronyme de Syndrome de l’Immunodéficience Acquise, est une maladie infectieuse causée par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), qui entraîne la dégénérescence du système immunitaire. Depuis le début de l’épidémie, trois modes de transmission ont été observés : la transmission par voie sexuelle, la transmission par voie sanguine, la transmission de la mère à l’enfant.
-La syphilis est une maladie infectieuse sexuellement transmissible très contagieuse, causée par la bactérie treponema pallidum. Après une régression dans les années 80-90, grâce aux campagnes de prévention contre le sida, cette infection est en recrudescence depuis ces dernières années.
Re: culture générale 2010
[b]l'illétrisme:[/b]
-L'illettrisme désigne l'état d'une personne qui a bénéficié d'apprentissages, mais qui n'a pas acquis, ou a perdu, la maîtrise de la lecture, de l'écriture et du calcul. L'illettrisme est donc à distinguer de l'analphabétisme qui résulte d'une absence d'apprentissage.
-Plus de 2 millions de personnes, en France, éprouvent de réelles difficultés à parler, écrire et maîtriser le français ; d'où un réel handicap à «communiquer» dans les sociales et professionnelles.
CAUSES OU RAISONS:
>La moitié, environ n'a pas le français pour langue maternelle. Ils éprouvent de grandes difficultés scolaires et ne peuvent compter sur aucune aide en famille.
>La différence sociale vis à vis des autres est patente; ce pourcentage d'illettrés plus fort dans les mieux défavorisés, chez les chômeurs et dans les populations immigrées Ce chiffre atteint même plus de 50 % chez les allocataires du R.M.I.
>Les tests pratiqués lors des épreuves de sélection militaires révèlent que 20 % des jeunes éprouvent des difficultés face à un texte simple de 70 mots.
>L'absence de pratique de la lecture pèse lourd mais, de plus le « mal lire» et le « mal écrire » s’ajoutent au «mal parler».
>Ils cumulent ainsi les difficultés : lire un journal, interpréter les petites annonces, rédiger une lettré administrative lire un plan, remplir un formulaire, tenir un budget, comprendre un contrat…
>Ainsi, l'illettré, s'efforçait de cacher son handicap, se renferme souvent dans isolement où humiliation et honte se confondent.
>Bien qu’il existe des centres de formation contre l'illettrisme, la démarche est souvent difficile car il leur faut alors retrouver l'atmosphère de l'école souvent entachée d'échec, refaire l'apprentissage de la langue et réapprendre des gestes d'enfance.
-L'illettrisme désigne l'état d'une personne qui a bénéficié d'apprentissages, mais qui n'a pas acquis, ou a perdu, la maîtrise de la lecture, de l'écriture et du calcul. L'illettrisme est donc à distinguer de l'analphabétisme qui résulte d'une absence d'apprentissage.
-Plus de 2 millions de personnes, en France, éprouvent de réelles difficultés à parler, écrire et maîtriser le français ; d'où un réel handicap à «communiquer» dans les sociales et professionnelles.
CAUSES OU RAISONS:
>La moitié, environ n'a pas le français pour langue maternelle. Ils éprouvent de grandes difficultés scolaires et ne peuvent compter sur aucune aide en famille.
>La différence sociale vis à vis des autres est patente; ce pourcentage d'illettrés plus fort dans les mieux défavorisés, chez les chômeurs et dans les populations immigrées Ce chiffre atteint même plus de 50 % chez les allocataires du R.M.I.
>Les tests pratiqués lors des épreuves de sélection militaires révèlent que 20 % des jeunes éprouvent des difficultés face à un texte simple de 70 mots.
>L'absence de pratique de la lecture pèse lourd mais, de plus le « mal lire» et le « mal écrire » s’ajoutent au «mal parler».
>Ils cumulent ainsi les difficultés : lire un journal, interpréter les petites annonces, rédiger une lettré administrative lire un plan, remplir un formulaire, tenir un budget, comprendre un contrat…
>Ainsi, l'illettré, s'efforçait de cacher son handicap, se renferme souvent dans isolement où humiliation et honte se confondent.
>Bien qu’il existe des centres de formation contre l'illettrisme, la démarche est souvent difficile car il leur faut alors retrouver l'atmosphère de l'école souvent entachée d'échec, refaire l'apprentissage de la langue et réapprendre des gestes d'enfance.
Re: culture générale 2010
le suicide:
Le suicide (du latin "suicidium", du verbe sui caedere « se massacrer soi-même ») est l’acte délibéré de mettre fin à sa propre vie. Dans le domaine médical, on parle aussi d’autolyse (du grec αὐτο- / auto- « soi-même » et λύσις / lúsis « destruction »).
Le nombre de décès par suicide, après avoir régressé dans les années 1990, a de nouveau atteint un seuil préoccupant avec, actuellement un taux de suicide en 2008 de 26.4 % pour les hommes et de 7.2 % pour les femmes.
Le suicide :
- est 3 fois plus élevé chez les hommes ;
- a triplé en trente ans chez les moins de 35 ans ;
- concerne fortement les personnes âgées ;
- est fréquemment en corrélation avec l'alcool.
LES CAUSES:
Chez les jeunes :
- la vision pessimiste de leur avenir ;
- la violence, l'agressivité latente ;
- les divers conflits familiaux, sociaux...;
- les comportements excessifs, excès d'alcool, de drogue, la très grande vitesse.
Chez les 25-35 ans :
- difficultés conjugales et réactionnelles ;
- fragilité de la personnalité (échecs sentimentaux, professionnels...);
- groupes socialement défavorisés, marqués par l'isolement ;
- pathologies sociales et mentales lourdes (hérédité, alcoolisme...).
Chez les personnes âgées :
- mauvaise santé physique et mentale ;
- solitude ;
- mort du conjoint ou d'un être cher ;
- arrêt de l'activité lors de la retraite (avec souvent brusque diminution du rêve
- interruption du mode de vie habituel.
Les moyens de prévention
>L’écoute et le dialogue en famille ;
>La relation éducative à l'école afin que le jeune ne se sente pas isolé, incompris et ignoré.
>La pratique de rapports conviviaux dans l'entreprise, entre amis, dans le quartier, chez les commerçants ;
>La connaissance d'associations locales ;
>Le numéro vert
>démarche auprès de professionnels (médecin, infirmier, assistante sociale afin de prévenir l'acte de certains proches.
Le suicide (du latin "suicidium", du verbe sui caedere « se massacrer soi-même ») est l’acte délibéré de mettre fin à sa propre vie. Dans le domaine médical, on parle aussi d’autolyse (du grec αὐτο- / auto- « soi-même » et λύσις / lúsis « destruction »).
Le nombre de décès par suicide, après avoir régressé dans les années 1990, a de nouveau atteint un seuil préoccupant avec, actuellement un taux de suicide en 2008 de 26.4 % pour les hommes et de 7.2 % pour les femmes.
Le suicide :
- est 3 fois plus élevé chez les hommes ;
- a triplé en trente ans chez les moins de 35 ans ;
- concerne fortement les personnes âgées ;
- est fréquemment en corrélation avec l'alcool.
LES CAUSES:
Chez les jeunes :
- la vision pessimiste de leur avenir ;
- la violence, l'agressivité latente ;
- les divers conflits familiaux, sociaux...;
- les comportements excessifs, excès d'alcool, de drogue, la très grande vitesse.
Chez les 25-35 ans :
- difficultés conjugales et réactionnelles ;
- fragilité de la personnalité (échecs sentimentaux, professionnels...);
- groupes socialement défavorisés, marqués par l'isolement ;
- pathologies sociales et mentales lourdes (hérédité, alcoolisme...).
Chez les personnes âgées :
- mauvaise santé physique et mentale ;
- solitude ;
- mort du conjoint ou d'un être cher ;
- arrêt de l'activité lors de la retraite (avec souvent brusque diminution du rêve
- interruption du mode de vie habituel.
Les moyens de prévention
>L’écoute et le dialogue en famille ;
>La relation éducative à l'école afin que le jeune ne se sente pas isolé, incompris et ignoré.
>La pratique de rapports conviviaux dans l'entreprise, entre amis, dans le quartier, chez les commerçants ;
>La connaissance d'associations locales ;
>Le numéro vert
>démarche auprès de professionnels (médecin, infirmier, assistante sociale afin de prévenir l'acte de certains proches.
Re: culture générale 2010
L’ADOPTION
-L’age minimum pour pouvoir adopté un enfant d’après la loi de 1995 est de 28 ans.
-D’après cette même loi il faut être marié depuis plus de 2 ans.
-La convention de la haye sur la protection des enfants et la coopération en matière de d’adoption international a été élaboré en 1993.
-Actuellement l’accouchement sous « X » concerné 500 enfants par ans.
-La procédure d’adoption :
*l’agrément est indispensable pour toute adoption qui est délivré par le président du conseil générale du département de résidence.
*cette agrément est valable 5 ans pour toute adoption national ou international.
Il existe plusieurs formes d’adoption :
*l’adoption plénière>>l’enfant adopté perd tout lien avec sa famille d’origine. De plus, elle est irrévocable et définitive.
*l’adoption simple>>les liens ne sont pas rompu.
P.S: si vous connéssez d'autres infos sur l'adoption et la bioethique ainsis que la deonologie proféssionels sa serai gentille de me les transsemettre.
-L’age minimum pour pouvoir adopté un enfant d’après la loi de 1995 est de 28 ans.
-D’après cette même loi il faut être marié depuis plus de 2 ans.
-La convention de la haye sur la protection des enfants et la coopération en matière de d’adoption international a été élaboré en 1993.
-Actuellement l’accouchement sous « X » concerné 500 enfants par ans.
-La procédure d’adoption :
*l’agrément est indispensable pour toute adoption qui est délivré par le président du conseil générale du département de résidence.
*cette agrément est valable 5 ans pour toute adoption national ou international.
Il existe plusieurs formes d’adoption :
*l’adoption plénière>>l’enfant adopté perd tout lien avec sa famille d’origine. De plus, elle est irrévocable et définitive.
*l’adoption simple>>les liens ne sont pas rompu.
P.S: si vous connéssez d'autres infos sur l'adoption et la bioethique ainsis que la deonologie proféssionels sa serai gentille de me les transsemettre.
Re: Rédaction de l'écrit de culture générale
A mon tout de vous donner le bilan de mes recherches ( je n'ai lu aucune de vos rpse afin de ne pas influencer mon argumentation):
La violence scolaire existe depuis le XIII ième siècle, mais de nos jours, elle est présente le plus souvent par des actes d'incivilités (insultes, menaces) ou par des violences physiques avec ou sans arme, par des atteintes à la sécurité dans les établissemenents scolaire. Mais, comment les équipes éducatives peuvent -elles pallier à ce nouveau problème de société?
Cette situation pourrait s'améliorer en donnant une grande priorité à la prévention.
Pour réussir, il faut travailler dans un climat serein, en faisant disparaitre les préjugés et changer les mentalités.
Pour ce faire, des lieux d'écoute et de médiation, des écoles ouvertes ainsi que des groupes d'aide sont déjà mis en place dans certaines villes mais peut être leur nombre est-il encore insuffisant.
D'autres mesures telles que l'installation d'équipe pédagogique ou encore la prévention des jeux dangereux, la création d'activités ou associations sportives et culturelles, permettront de renouer avec le dialogue.
Sans oublier aussi la formation des professeurs en lien direct avec ses élèves en proie avec l'autorité, une meilleure éducation et socialisation scolaire, associé à la diminution du nombre d'élèves dans les classes et la réorganisation de la vie de l'établissement pourraient également permettre de faire diminuer le nombre d' acte de violence.
Les pouvoirs publics se doivent de trouver des moyens efficaces afin de créer à chacun une égalité au sein d'une société mise à mal par les mauvaises conditions sociales et économiques. Une nouvelle forme de violence inquiétante arrive qu'elles en seront les solutions.
, je vais à présent lire vos réponses. Dites moi quand vous voulez la réponse.
La violence scolaire existe depuis le XIII ième siècle, mais de nos jours, elle est présente le plus souvent par des actes d'incivilités (insultes, menaces) ou par des violences physiques avec ou sans arme, par des atteintes à la sécurité dans les établissemenents scolaire. Mais, comment les équipes éducatives peuvent -elles pallier à ce nouveau problème de société?
Cette situation pourrait s'améliorer en donnant une grande priorité à la prévention.
Pour réussir, il faut travailler dans un climat serein, en faisant disparaitre les préjugés et changer les mentalités.
Pour ce faire, des lieux d'écoute et de médiation, des écoles ouvertes ainsi que des groupes d'aide sont déjà mis en place dans certaines villes mais peut être leur nombre est-il encore insuffisant.
D'autres mesures telles que l'installation d'équipe pédagogique ou encore la prévention des jeux dangereux, la création d'activités ou associations sportives et culturelles, permettront de renouer avec le dialogue.
Sans oublier aussi la formation des professeurs en lien direct avec ses élèves en proie avec l'autorité, une meilleure éducation et socialisation scolaire, associé à la diminution du nombre d'élèves dans les classes et la réorganisation de la vie de l'établissement pourraient également permettre de faire diminuer le nombre d' acte de violence.
Les pouvoirs publics se doivent de trouver des moyens efficaces afin de créer à chacun une égalité au sein d'une société mise à mal par les mauvaises conditions sociales et économiques. Une nouvelle forme de violence inquiétante arrive qu'elles en seront les solutions.

Esi avignon 2010-2013
en route pour la 3° année !!!
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