Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Actualités concours 2012
Tabac et pilule, un mélange mortel
Par LEXPRESS.fr, publié le 29/08/2011 à 11:53
Les maladies cardio-vasculaires sont devenues la première cause de mortalité de la gente féminine, s'alarment les cardiologues. L'association du tabac et de la pilule explique cette augmentation, détaillent-ils.
Les femmes sont au coeur des inquiétudes des cardiologues. Les maladies cardio-vasculaires sont devenues la première cause de mortalité de la gent féminine: 11,6% des décès chez les femmes de moins de 50 ans contre 3,7% en 1995. Ces chiffres ont été révélés en fin de semaine à l'occasion du Congrès européen de la société des cardiologues qui se tient à Villepinte (Seine Saint-Denis) jusqu'au 31 août.
"Il est urgent de tirer la sonnette d'alarme pour dire qu'aujourd'hui, les femmes sont autant exposées que les hommes au risque de mourir d'une pathologie cardiovasculaire", se tourmente, sur le site du quotidien La Croix, le professeur Geneviève Durumeaux, présidente de la société française de cardiologie.
Tabac et pilule, un mélange explosif
Alors que les maladies cardiaques sont régulièrement associées aux hommes, les nouveaux modes de vie des femmes changent la donne: sédentarité, poids, stress, alcool et tabac. Ainsi, le risque de faire un infarctus du myocarde est multiplié par trois lorsque une femme fume 3 à 4 cigarettes par jour. Autre facteur associé au tabac: la pilule. Ce dangereux cocktail multiplie également par trois les dangers.
"Jusqu'à la ménopause, les femmes étaient relativement épargnées car les oestrogènes jouaient un rôle protecteur. Après la ménopause, elles perdaient cette protection mais cumulaient quand même moins de facteurs de risques que les hommes" a déclaré au quotidien Nicolas Danchin, professeur de cardiologie à l'Hôpital européen Georges-Pompidou à Paris.
Des symptômes différents des hommes
Douleurs digestives, sueurs, palpitations, nausées... Autant de symptômes singuliers et propres à la femme lors d'un infarctus qui ne sont pas toujours détectés à temps, y compris par les médecins.
Claire Mounier-Véhier, chef du service de médecine vasculaire et d'hypertension artérielle, explique dans le quotidien en ligne que les "femmes ont en général peur de mourir d'un cancer du sein. "Or, selon le médecin seule une femme sur 25 décédera de cette maladie contre "une sur trois sera victime d'une maladie cardio-vasculaire".
Par LEXPRESS.fr, publié le 29/08/2011 à 11:53
Les maladies cardio-vasculaires sont devenues la première cause de mortalité de la gente féminine, s'alarment les cardiologues. L'association du tabac et de la pilule explique cette augmentation, détaillent-ils.
Les femmes sont au coeur des inquiétudes des cardiologues. Les maladies cardio-vasculaires sont devenues la première cause de mortalité de la gent féminine: 11,6% des décès chez les femmes de moins de 50 ans contre 3,7% en 1995. Ces chiffres ont été révélés en fin de semaine à l'occasion du Congrès européen de la société des cardiologues qui se tient à Villepinte (Seine Saint-Denis) jusqu'au 31 août.
"Il est urgent de tirer la sonnette d'alarme pour dire qu'aujourd'hui, les femmes sont autant exposées que les hommes au risque de mourir d'une pathologie cardiovasculaire", se tourmente, sur le site du quotidien La Croix, le professeur Geneviève Durumeaux, présidente de la société française de cardiologie.
Tabac et pilule, un mélange explosif
Alors que les maladies cardiaques sont régulièrement associées aux hommes, les nouveaux modes de vie des femmes changent la donne: sédentarité, poids, stress, alcool et tabac. Ainsi, le risque de faire un infarctus du myocarde est multiplié par trois lorsque une femme fume 3 à 4 cigarettes par jour. Autre facteur associé au tabac: la pilule. Ce dangereux cocktail multiplie également par trois les dangers.
"Jusqu'à la ménopause, les femmes étaient relativement épargnées car les oestrogènes jouaient un rôle protecteur. Après la ménopause, elles perdaient cette protection mais cumulaient quand même moins de facteurs de risques que les hommes" a déclaré au quotidien Nicolas Danchin, professeur de cardiologie à l'Hôpital européen Georges-Pompidou à Paris.
Des symptômes différents des hommes
Douleurs digestives, sueurs, palpitations, nausées... Autant de symptômes singuliers et propres à la femme lors d'un infarctus qui ne sont pas toujours détectés à temps, y compris par les médecins.
Claire Mounier-Véhier, chef du service de médecine vasculaire et d'hypertension artérielle, explique dans le quotidien en ligne que les "femmes ont en général peur de mourir d'un cancer du sein. "Or, selon le médecin seule une femme sur 25 décédera de cette maladie contre "une sur trois sera victime d'une maladie cardio-vasculaire".
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Je peux te le dire vu que j'ai passé mon concours dans le Pas de Calais, c'était ça :
LES NOUVELLES FAÇONS DE PARTAGER
Acheter à plusieurs - covoiturer - échanger des services - coproduire de la musique - cohabiter - louer entre particuliers...
"Partager" : l'invitation est omniprésente pour les 2 milliards d'individus qui voyagent sur la Toile.
Une image, une humeur, une information, un commentaire...
En un clic. Internent repousse les frontières géographiques et les barrières de la confiance : vous pouvez échanger n'importe quoi avec n'importe qui dans le monde entier ! Les formes traditionnelles de partage sont réinventées à grandes échelles par une multitude de sites qui proposent une nouvelle façon de consommer "collaborative" entre particuliers. Troquer sa maison, louer sa voiture, emprunter une tondeuse, mijoter des petits plats pour les autres... Dans le monde, plus d'un internaute sur deux déclare être prêt à partager son espace de vie ou de travail, et même sa machine à laver ou ses vêtements...
Au delà du "bon plan", "partager" un bien est souvent l'occasion de créer du lien, dans nos sociétés occidentales individualistes. La très grande majorité des Français (72%) pense que l'indifférence et le repli sur soi progressent dans notre pays. Mais 90% seraient prêts à faire un geste d'entraide envers le voisin, comme se rendre à la poste ou au supermarché, ou prêter des objets de la vie courante (sondage Viavoice L'Express 2010).
Cette solidarité dépasse les limites du quartier. On organise des déjeuners avec des inconnus pour ne pas manger tout seul (colunch). On participe à des rassemblements éclair (flash mob) artistiques ou contestataires. On se rend service sans se connaître (chantiers solidaires, échange de savoir)...
Certains vont même jusqu'à concevoir de véritables modes de vie alternatifs fondés sur le partage, comme par exemple habiter à plusieurs familles sous le même toit ou s'investir financièrement et humainement dans le projet des autres (un artiste, un agriculteur...). Selon une récente étude américaine, avoir une vie sociale bien remplie rend heureux et augmente de 50% les chances de vivre plus vieux. Alors pourquoi se priver ? Partageons !
S'entraider pour créer du lien ...
Les nouvelles technologies réinventent la convivialité qui se place désormais sous le signe de la solidarité : on s'aide entre internautes, voisins, voyageurs...
Quand "peuplade" s'associe aux Petits Frères des Pauvres cela donne voisin-age.fr, une plateforme d'aide aux personnes âgées.
"grâce au fonctionnement en réseau et un peu d'organisation, une personne âgée est prise en charge par 3, voire 8 voisins" s’enthousiasme G. PANDOLFO, responsable du projet. Les aidants s'organisent un agenda pour faire les courses, prendre des nouvelles... Dans un autre genre, la cohabitation intergénérationnelle offre la possibilité à des étudiants d'être hébergés (reseau-cosi.com) et (reseau-lis.org) pour un loyer modique chez les personnes âgées en échange de quelques services ménagers.
Le partage de logement entre seniors et jeunes se développe depuis 2004 en France. Des associations proposent de former des binômes qui fonctionnent ...
Se regrouper pour économiser ...
Aujourd'hui, on peut consommer sans acheter, faire du troc ou, à la rigueur, acheter en groupe pour dépenser moins. C'est la "consomm-action" !
Pourquoi acheter quand on peut emprunter, louer, troquer, récupérer, partager ? En quelques clics, il est désormais possible de remplir son frigo avec le surplus de légumes des potagers du coin (lepotiron.fr), de colouer la place de parking du voisin (monsieurparking.com), d'échanger un ficus contre une orchidée (trocvert.lemonway.fr), dégoter un caméscope ou un costume pour la journée (dimdom.fr) ou une chambre pour un particulier (airbnb.com). Consommer sans acheter ou en passant par d'autres consommateurs est tendance, "vert', malin et pas cher. Depuis quelques mois, cela porte un nom : "la consommation collaborative". La plupart de ces façons de consommer sont très anciennes, mais les nouvelles technologies permettent de les développer à une échelle et selon des modalités que l'on n'avait jamais vues auparavant. Cette tendance serait en passe de devenir un véritable mouvement auquel on adhère avant tout pour économiser de l'argent (67%) et améliorer la société (67%) (étude "the new sharing economy" auprès de 537 internautes à travers le monde).
"L'auto-partage" qui s'affranchit des contraintes de la possession et permet d'emprunter une auto pour une courte durée reste la formule la plus séduisante ...
Les "self garages" invitent les clients à réparer eux-mêmes leurs voitures tout en bénéficiant de conseils de professionnels ...
En France, 15.000 conducteurs se partagent déjà 800 véhicules et ils sont 25 à 35% de plus chaque année. Pour transformer vos habitudes de consommation individuelles en comportement collectif, d'autres solutions existent...
20% moins cher, c'est possible... en la jouant collectif sur les sites d'achats groupés.
Partager les bons plans
Selon une étude d'IPSOS-MEDIASCT, 26% des internautes laissent un avis en ligne quand cela est possible. Le partage de savoirs, de bons plans, de conseils devient une mine d'or.
Travailler ensemble... une véritable philosophie de vie
Plutôt que de rester isolés, de plus en plus de travailleurs indépendants viennent travailler dans des bureaux partagés... ils bénéficient de frais réduits et d'une émulation collective.
Ça m'intéresse n°358 décembre 2010
QUESTIONS :
Question 1 : 4 points
Identifiez le thème central et dégagez les idées principales du texte.
Question 2 : 6 points
Expliquez la phrase "s'entraider pour créer du lien".
En dehors de la toile, citez d'autres exemples d'actions qui permettent de créer ou de maintenir le lien social.
Rédigez votre réponse en 15 à 20 lignes.
Question 3 : 5 points
"ces nouvelles façons de partager" sont-elles une réaction face à la crise économique ?
Argumentez.
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Une image, une humeur, une information, un commentaire...
En un clic. Internent repousse les frontières géographiques et les barrières de la confiance : vous pouvez échanger n'importe quoi avec n'importe qui dans le monde entier ! Les formes traditionnelles de partage sont réinventées à grandes échelles par une multitude de sites qui proposent une nouvelle façon de consommer "collaborative" entre particuliers. Troquer sa maison, louer sa voiture, emprunter une tondeuse, mijoter des petits plats pour les autres... Dans le monde, plus d'un internaute sur deux déclare être prêt à partager son espace de vie ou de travail, et même sa machine à laver ou ses vêtements...
Au delà du "bon plan", "partager" un bien est souvent l'occasion de créer du lien, dans nos sociétés occidentales individualistes. La très grande majorité des Français (72%) pense que l'indifférence et le repli sur soi progressent dans notre pays. Mais 90% seraient prêts à faire un geste d'entraide envers le voisin, comme se rendre à la poste ou au supermarché, ou prêter des objets de la vie courante (sondage Viavoice L'Express 2010).
Cette solidarité dépasse les limites du quartier. On organise des déjeuners avec des inconnus pour ne pas manger tout seul (colunch). On participe à des rassemblements éclair (flash mob) artistiques ou contestataires. On se rend service sans se connaître (chantiers solidaires, échange de savoir)...
Certains vont même jusqu'à concevoir de véritables modes de vie alternatifs fondés sur le partage, comme par exemple habiter à plusieurs familles sous le même toit ou s'investir financièrement et humainement dans le projet des autres (un artiste, un agriculteur...). Selon une récente étude américaine, avoir une vie sociale bien remplie rend heureux et augmente de 50% les chances de vivre plus vieux. Alors pourquoi se priver ? Partageons !
S'entraider pour créer du lien ...
Les nouvelles technologies réinventent la convivialité qui se place désormais sous le signe de la solidarité : on s'aide entre internautes, voisins, voyageurs...
Quand "peuplade" s'associe aux Petits Frères des Pauvres cela donne voisin-age.fr, une plateforme d'aide aux personnes âgées.
"grâce au fonctionnement en réseau et un peu d'organisation, une personne âgée est prise en charge par 3, voire 8 voisins" s’enthousiasme G. PANDOLFO, responsable du projet. Les aidants s'organisent un agenda pour faire les courses, prendre des nouvelles... Dans un autre genre, la cohabitation intergénérationnelle offre la possibilité à des étudiants d'être hébergés (reseau-cosi.com) et (reseau-lis.org) pour un loyer modique chez les personnes âgées en échange de quelques services ménagers.
Le partage de logement entre seniors et jeunes se développe depuis 2004 en France. Des associations proposent de former des binômes qui fonctionnent ...
Se regrouper pour économiser ...
Aujourd'hui, on peut consommer sans acheter, faire du troc ou, à la rigueur, acheter en groupe pour dépenser moins. C'est la "consomm-action" !
Pourquoi acheter quand on peut emprunter, louer, troquer, récupérer, partager ? En quelques clics, il est désormais possible de remplir son frigo avec le surplus de légumes des potagers du coin (lepotiron.fr), de colouer la place de parking du voisin (monsieurparking.com), d'échanger un ficus contre une orchidée (trocvert.lemonway.fr), dégoter un caméscope ou un costume pour la journée (dimdom.fr) ou une chambre pour un particulier (airbnb.com). Consommer sans acheter ou en passant par d'autres consommateurs est tendance, "vert', malin et pas cher. Depuis quelques mois, cela porte un nom : "la consommation collaborative". La plupart de ces façons de consommer sont très anciennes, mais les nouvelles technologies permettent de les développer à une échelle et selon des modalités que l'on n'avait jamais vues auparavant. Cette tendance serait en passe de devenir un véritable mouvement auquel on adhère avant tout pour économiser de l'argent (67%) et améliorer la société (67%) (étude "the new sharing economy" auprès de 537 internautes à travers le monde).
"L'auto-partage" qui s'affranchit des contraintes de la possession et permet d'emprunter une auto pour une courte durée reste la formule la plus séduisante ...
Les "self garages" invitent les clients à réparer eux-mêmes leurs voitures tout en bénéficiant de conseils de professionnels ...
En France, 15.000 conducteurs se partagent déjà 800 véhicules et ils sont 25 à 35% de plus chaque année. Pour transformer vos habitudes de consommation individuelles en comportement collectif, d'autres solutions existent...
20% moins cher, c'est possible... en la jouant collectif sur les sites d'achats groupés.
Partager les bons plans
Selon une étude d'IPSOS-MEDIASCT, 26% des internautes laissent un avis en ligne quand cela est possible. Le partage de savoirs, de bons plans, de conseils devient une mine d'or.
Travailler ensemble... une véritable philosophie de vie
Plutôt que de rester isolés, de plus en plus de travailleurs indépendants viennent travailler dans des bureaux partagés... ils bénéficient de frais réduits et d'une émulation collective.
Ça m'intéresse n°358 décembre 2010
QUESTIONS :
Question 1 : 4 points
Identifiez le thème central et dégagez les idées principales du texte.
Question 2 : 6 points
Expliquez la phrase "s'entraider pour créer du lien".
En dehors de la toile, citez d'autres exemples d'actions qui permettent de créer ou de maintenir le lien social.
Rédigez votre réponse en 15 à 20 lignes.
Question 3 : 5 points
"ces nouvelles façons de partager" sont-elles une réaction face à la crise économique ?
Argumentez.

S1 : EHPAD
S2 : Long séjour
Re: Actualités concours 2012
Un article sur l'IVG
SANTE - Faute de places en France, des femmes sont contraintes de partir à l'étranger se faire avorter...
Au milieu du centre du Planning familial de Paris, le tableau blanc égrainant la liste des hôpitaux annonce la couleur. «Fermé en août.» «Service réduit.» «Tourne au ralenti.» En face du nom de chaque établissement, les indications révèlent les difficultés évidentes qu'ont connues les femmes voulant se faire avorter cet été. «Chaque année, c'est la même chose, soupire Caroline Rebhi, conseillère conjugale au Planning depuis deux ans et demi. Les médecins sont en congés, les hôpitaux tournent au ralenti. Mais les femmes, elles, continuent d'arriver chez nous.»
71 femmes envoyées aux Pays-Bas
La loi française permet de demander une IVG jusqu'à la douzième semaine de grossesse (lire l'encadré). « Or bien souvent, l'été, les hôpitaux donnent des rendez-vous à la mi-septembre, poursuit Caroline Rebhi. C'est bien trop tard pour certaines femmes…» Considéré comme le «derniers recours», le Planning familial ouvre alors son carnet d'adresses et décroche son téléphone. «On fait le tour des médecins qu'on connaît, raconte une bénévole. On tente de trouver toujours une solution.»
Et quand plus rien n'est possible en France, la «solution» passe par l'étranger. Ainsi, en juillet et août, le Planning familial de Paris a envoyé 71 femmes se faire avorter aux Pays-Bas où la législation est plus souple. La pratique est tellement entrée dans les mœurs que ces femmes bénéficient aussi d'un remboursement de la part de la Sécurité sociale (80%). «Il suffit qu'elles rentrent avec la facture de l'hôpital», poursuit Caroline Rebhi, qui estime à une quinzaine le nombre d'appels téléphoniques par jour au Planning. «De nombreux établissements ont été restructurés depuis la loi Hôpital, patients, santé et territoire de 2009, conclut-elle. La situation s'est clairement dégradée. Et rien n'indique qu'elle s'améliorera.»
—Vincent Vantighem
Le magazine c'est le 20minutes!!!
SANTE - Faute de places en France, des femmes sont contraintes de partir à l'étranger se faire avorter...
Au milieu du centre du Planning familial de Paris, le tableau blanc égrainant la liste des hôpitaux annonce la couleur. «Fermé en août.» «Service réduit.» «Tourne au ralenti.» En face du nom de chaque établissement, les indications révèlent les difficultés évidentes qu'ont connues les femmes voulant se faire avorter cet été. «Chaque année, c'est la même chose, soupire Caroline Rebhi, conseillère conjugale au Planning depuis deux ans et demi. Les médecins sont en congés, les hôpitaux tournent au ralenti. Mais les femmes, elles, continuent d'arriver chez nous.»
71 femmes envoyées aux Pays-Bas
La loi française permet de demander une IVG jusqu'à la douzième semaine de grossesse (lire l'encadré). « Or bien souvent, l'été, les hôpitaux donnent des rendez-vous à la mi-septembre, poursuit Caroline Rebhi. C'est bien trop tard pour certaines femmes…» Considéré comme le «derniers recours», le Planning familial ouvre alors son carnet d'adresses et décroche son téléphone. «On fait le tour des médecins qu'on connaît, raconte une bénévole. On tente de trouver toujours une solution.»
Et quand plus rien n'est possible en France, la «solution» passe par l'étranger. Ainsi, en juillet et août, le Planning familial de Paris a envoyé 71 femmes se faire avorter aux Pays-Bas où la législation est plus souple. La pratique est tellement entrée dans les mœurs que ces femmes bénéficient aussi d'un remboursement de la part de la Sécurité sociale (80%). «Il suffit qu'elles rentrent avec la facture de l'hôpital», poursuit Caroline Rebhi, qui estime à une quinzaine le nombre d'appels téléphoniques par jour au Planning. «De nombreux établissements ont été restructurés depuis la loi Hôpital, patients, santé et territoire de 2009, conclut-elle. La situation s'est clairement dégradée. Et rien n'indique qu'elle s'améliorera.»
—Vincent Vantighem
Le magazine c'est le 20minutes!!!
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Actualités concours 2012
Ethique médicale!! et IVG
Faire un test de paternité avant la naissance devient possible
« Un simple test peut permettre de vérifier si la réalité correspond à vos besoins réels. » Sur son site Internet, la société américaine DNA Diagnostics Center n'y va pas par quatre chemins afin de vanter son nouveau produit. Pour 1 625 dollars (environ 1 120 €) et une prise de sang, ce laboratoire propose désormais des tests de paternité sur l'enfant à naître. Pour savoir qui est le « vrai père » bien avant la naissance, les scientifiques isolent l'ADN fœtal présent en toutes petites quantités dans le sang de la mère. Scientifiquement, c'est une avancée. Mais d'un point de vue éthique, cela pose des questions. Le test est possible à partir de la douzième semaine de grossesse. En extrapolant, une femme a donc désormais la possibilité d'avorter si elle se rend compte que le père de l'enfant n'est pas celui à qui elle pensait. Ou de garder l'enfant si c'est le « bon père ! » « Cela pose un vrai problème éthique et ne résout rien, réagit Caroline Rebhy, conseillère au Planning familial de Paris. Si une femme a recours à ce test, c'est qu'elle doute déjà et donc qu'il y a un problème à la base… »V. V.
Un autre texte du 20minutes!!
Faire un test de paternité avant la naissance devient possible
« Un simple test peut permettre de vérifier si la réalité correspond à vos besoins réels. » Sur son site Internet, la société américaine DNA Diagnostics Center n'y va pas par quatre chemins afin de vanter son nouveau produit. Pour 1 625 dollars (environ 1 120 €) et une prise de sang, ce laboratoire propose désormais des tests de paternité sur l'enfant à naître. Pour savoir qui est le « vrai père » bien avant la naissance, les scientifiques isolent l'ADN fœtal présent en toutes petites quantités dans le sang de la mère. Scientifiquement, c'est une avancée. Mais d'un point de vue éthique, cela pose des questions. Le test est possible à partir de la douzième semaine de grossesse. En extrapolant, une femme a donc désormais la possibilité d'avorter si elle se rend compte que le père de l'enfant n'est pas celui à qui elle pensait. Ou de garder l'enfant si c'est le « bon père ! » « Cela pose un vrai problème éthique et ne résout rien, réagit Caroline Rebhy, conseillère au Planning familial de Paris. Si une femme a recours à ce test, c'est qu'elle doute déjà et donc qu'il y a un problème à la base… »V. V.
Un autre texte du 20minutes!!

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Re: Actualités concours 2012
Juste une toute petite question...
L'article de debella sur "Alerte contre l'usage détourné d'un médicament antimigraineux" vous le rattachez à vos fiches sur l'automédication non??
Et celui de siana sur "Des produits toxiques dans les vêtements de 14 grandes marques"??? moi j'avais retenue la pollution de l'environement par rapport à ce qu'ils disent à la fin sur l'empoisonement de l'eau...
Qu'est ce que vous en dites???

L'article de debella sur "Alerte contre l'usage détourné d'un médicament antimigraineux" vous le rattachez à vos fiches sur l'automédication non??
Et celui de siana sur "Des produits toxiques dans les vêtements de 14 grandes marques"??? moi j'avais retenue la pollution de l'environement par rapport à ce qu'ils disent à la fin sur l'empoisonement de l'eau...
Qu'est ce que vous en dites???

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Re: Actualités concours 2012
Que ce sont des sujets que tu peux simplement lire comme ça sans avoir besoin d'approfondir ...Memo a écrit :Juste une toute petite question...![]()
L'article de debella sur "Alerte contre l'usage détourné d'un médicament antimigraineux" vous le rattachez à vos fiches sur l'automédication non??
Et celui de siana sur "Des produits toxiques dans les vêtements de 14 grandes marques"??? moi j'avais retenue la pollution de l'environement par rapport à ce qu'ils disent à la fin sur l'empoisonement de l'eau...
Qu'est ce que vous en dites???

ESI 2011 / 2014
Re: Actualités concours 2012
Je me complique la vie pour rien en faites!!
Merci DoBrasil!!

Merci DoBrasil!!

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Re: Actualités concours 2012
Je sais que ce n'est pas évident et qu'il est difficile de faire le tri mais tu vas voir , c'est un coup à prendre après tu sauras mettre de côté ou survoler ce qui n'est pas importantMemo a écrit :Je me complique la vie pour rien en faites!!![]()
Merci DoBrasil!!

Encore une chose comme ça en passant, oublie le" par coeur" si des fois tu y avais pensé

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Re: Actualités concours 2012
Merci DoBrasil pour tes conseils!! 

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Re: Actualités concours 2012
MErci pour les conseils 
Ca va peut etre vous paraitre débile
... Mais qu'est ce qu'il faut savoir ?
Lire l'actualité OK ; Le magazine de la santé OK .
Les bouquins sur les gros thèmes ont doit connaitre ou juste lire, pour savoir un peu, les causes, las conséquences .... ?

Ca va peut etre vous paraitre débile

Lire l'actualité OK ; Le magazine de la santé OK .
Les bouquins sur les gros thèmes ont doit connaitre ou juste lire, pour savoir un peu, les causes, las conséquences .... ?
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
debella a écrit :MErci pour les conseils
Ca va peut etre vous paraitre débile... Mais qu'est ce qu'il faut savoir ?
Lire l'actualité OK ; Le magazine de la santé OK .
Les bouquins sur les gros thèmes ont doit connaitre ou juste lire, pour savoir un peu, les causes, las conséquences .... ?
regarder les informations à la télé se tenir au courant de se qui se passe dans le monde
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Re: Actualités concours 2012
Oui, donc faut pas réellement apprendre, les causes, conséquences ...Faut juste se positionner face a l'actualité !
J'ai hate que le magazine de la santé reprenne, j'aime bien cette émission, il parle vraiment de tout !
J'ai hate que le magazine de la santé reprenne, j'aime bien cette émission, il parle vraiment de tout !
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Par exemple as tu entendu parlé du BMR qui a tuer 3 personnes à Massy
edit : BMR = Bactéries Multi Résistante (pour ceux qui savent pas
)
edit : BMR = Bactéries Multi Résistante (pour ceux qui savent pas

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