Culture Générale
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Re: Fiches culture générale 2012
Bonsoir, je suis nouvelle sur ce forum. Je suis en terminale S et je vais tenter le concours en mars 2012. Je voudrai savoir comment vous vous organiser pour réviser et faire vos fiches car à vrai dire je suis complètement perdue entre le lycée et le concours qu'il faut que je commence à réviser donc j'espère que vous pourrez m'éclairer un peu
- angelito94
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Re: Entraînement culture générale 2012
Bonjour !mlle-44 a écrit :Bonsoir, je suis nouvelle sur ce forum. Je suis en terminale S et je vais tenter le concours en mars 2012. Je voudrai savoir comment vous vous organiser pour réviser et faire vos fiches car à vrai dire je suis complètement perdue entre le lycée et le concours qu'il faut que je commence à réviser donc j'espère que vous pourrez m'éclairer un peu
Si tu es en S déjà tu peux délaisser les révisions de maths (j imagine que tu dois en faire déjà pas mal ^^) .
Je te conseille de faire dès à présent des tests d'aptitudes (raisonnement, organisation, concentration) si tu as les moyens achète un livre de test psychotechniques.
Pour la culture générale , il faut suivre l'actualité sanitaire et sociale, connaitre la base de chaque thème et SURTOUT t'entraîner sur les 3 questions du concours en faisant des exercices (comme proposés ici sur le forum).
Pour t'accompagne tu peux acheter un livre d'actualité sanitaire et sociale comme par exemple (méga guide concours infirmiers de chez MASSON) ou encore (Admis en école paramédicale de VUILBERT) y en a pleins d'autres ce n'est pas ce qui manque.
Mais ne délaisse pas ton bac pour le concours infirmier car il te faut réussir les deux!
J'ai une amie qui était avec moi en S , elle avait emprunté les livres au CDI, et elle révisait pendant les heures de permanences ou le midi au CDI elle a réussi du premier coup avec le Bac.
Voilà courage

ESI 2013-2016 SAINT-ANTOINE AP HP
S1: Chir ortho post op
S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
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Re: Actualités concours 2012
Lentilles et lunettes, qui peut les prescrire ?
Un amendement envisage d'élargir les possibilités de prescription pour les opticiens. Les ophtalmos sont en colère.
Les ophtalmologistes ne décolèrent pas depuis qu'ils ont eu vent de l'amendement que pourrait déposer aujourd'hui Daniel Fasquelle, le rapporteur du projet de loi sur la protection des consommateurs. Car si depuis 2007 les opticiens-lunetiers sont déjà autorisés à adapter, «dans le cadre d'un renouvellement, les prescriptions médicales initiales de verres correcteurs datant de moins de trois ans dans des conditions fixées par décret, à l'exclusion de celles établies pour les personnes de moins de 16 ans et sauf opposition du médecin» , le député du Pas-de-Calais aurait l'intention d'aller beaucoup plus loin. Cette fois, c'est pour les enfants qu'il envisagerait un assouplissement du suivi médical, tandis que la limite des trois ans pour utiliser une ordonnance disparaîtrait pour tout le monde. Une démédicalisation larvée du suivi ophtalmologique qui n'est pas du goût du ministère de la Santé où l'on assure «(qu')il n'a jamais été envisagé par le gouvernement de modification tendant à autoriser les opticiens à modifier l'ordonnance faite pour les enfants» . En revanche, l'idée de définir par décret les délais de validité de l'ordonnance pour aller au-delà de trois ans ne se heurte pas au même mur, notamment chez les ophtalmologistes. Reste à discuter le bon délai, sur des critères médicaux, situation par situation.
Ce qui inquiète le plus Jean-Bernard Rottier, président du Syndicat national des ophtalmologistes de France (Snof), est l'éventualité de sacrifier, sur l'autel européen de la liberté du commerce et de l'industrie, la proposition de rendre obligatoire l'ordonnance pour obtenir des lunettes ou des lentilles sur Internet. Pour le Dr Rottier, «Il faut l'inscrire dans la loi. Cela semble évident quand on sait que sur les 7 millions de patients qui viennent nous voir chaque année pour changer de lunettes, nous dépistons une maladie chez 4,5 millions !» Oui mais justement, chacun sait bien que les délais pour obtenir un RDV avec un ophtalmo dans certaines régions se comptent en mois sinon en semestres. Pourquoi alors ne pas demander aux opticiens de faire le dépistage de première ligne, quitte à adresser aux ophtalmologistes les cas douteux ? «Ce serait gravissime !, explique Isabelle Castioni, elle-même opticienne depuis plus de trente ans au Mans. On risque de passer à côté de tas de choses. En tant qu'opticien, nous n'avons pas de formation de pathologiste !»
Encadrer la prescription
Selon l'enquête du Groupe français d'étude sur les kératites microbiennes liées au port de lentilles de contact, qui regroupe 14 CHU, le risque d'abcès diminue très largement lorsque l'adaptation et le suivi sont assurés par les ophtalmologistes, ce qui renforce la nécessité d'encadrer leur prescription. Une étude à paraître dans la revue Réflexions ophtalmologiques sur 357 cas d'infections cornéennes sous lentilles montre que le risque est multiplié par neuf lorsque l'adaptation n'est pas faite par un ophtalmologiste.
Chaque année en France, environ 5000 personnes sont hospitalisées pour un abcès de cornée, dont la moitié due aux lentilles et un sous-groupe non négligeable aux lentilles cosmétiques. Une complication redoutée : « Les durées d'hospitalisation peuvent aller jusqu'à un mois et parfois une greffe de cornée est nécessaire », souligne le Dr Rottier. Ce n'est pas pour rien que la manipulation des lentilles de contact et leur entretien s'apprennent et doivent être respectés. Il n'est pas rare que des infections surviennent après plusieurs années de port sans problème en raison d'un relâchement de l'hygiène basique, y compris le simple lavage des mains (et le séchage, pour éviter les micro-organismes parfois présents dans l'eau du robinet).
L'entretien des lentilles et la dépose immédiate au moindre problème font partie des bons réflexes du porteur de lentille prudent. Reste l'inquiétude des ophtalmologistes à voir vendues sans aucun contrôle médical, en supermarché ou sur Internet, des lentilles cosmétiques que les porteurs ne voient pas comme un objet potentiellement dangereux. Tout comme les porteurs de lentilles jetables journalières qui s'imaginent parfois à l'abri des complications infectieuses. À tort.
Un amendement envisage d'élargir les possibilités de prescription pour les opticiens. Les ophtalmos sont en colère.
Les ophtalmologistes ne décolèrent pas depuis qu'ils ont eu vent de l'amendement que pourrait déposer aujourd'hui Daniel Fasquelle, le rapporteur du projet de loi sur la protection des consommateurs. Car si depuis 2007 les opticiens-lunetiers sont déjà autorisés à adapter, «dans le cadre d'un renouvellement, les prescriptions médicales initiales de verres correcteurs datant de moins de trois ans dans des conditions fixées par décret, à l'exclusion de celles établies pour les personnes de moins de 16 ans et sauf opposition du médecin» , le député du Pas-de-Calais aurait l'intention d'aller beaucoup plus loin. Cette fois, c'est pour les enfants qu'il envisagerait un assouplissement du suivi médical, tandis que la limite des trois ans pour utiliser une ordonnance disparaîtrait pour tout le monde. Une démédicalisation larvée du suivi ophtalmologique qui n'est pas du goût du ministère de la Santé où l'on assure «(qu')il n'a jamais été envisagé par le gouvernement de modification tendant à autoriser les opticiens à modifier l'ordonnance faite pour les enfants» . En revanche, l'idée de définir par décret les délais de validité de l'ordonnance pour aller au-delà de trois ans ne se heurte pas au même mur, notamment chez les ophtalmologistes. Reste à discuter le bon délai, sur des critères médicaux, situation par situation.
Ce qui inquiète le plus Jean-Bernard Rottier, président du Syndicat national des ophtalmologistes de France (Snof), est l'éventualité de sacrifier, sur l'autel européen de la liberté du commerce et de l'industrie, la proposition de rendre obligatoire l'ordonnance pour obtenir des lunettes ou des lentilles sur Internet. Pour le Dr Rottier, «Il faut l'inscrire dans la loi. Cela semble évident quand on sait que sur les 7 millions de patients qui viennent nous voir chaque année pour changer de lunettes, nous dépistons une maladie chez 4,5 millions !» Oui mais justement, chacun sait bien que les délais pour obtenir un RDV avec un ophtalmo dans certaines régions se comptent en mois sinon en semestres. Pourquoi alors ne pas demander aux opticiens de faire le dépistage de première ligne, quitte à adresser aux ophtalmologistes les cas douteux ? «Ce serait gravissime !, explique Isabelle Castioni, elle-même opticienne depuis plus de trente ans au Mans. On risque de passer à côté de tas de choses. En tant qu'opticien, nous n'avons pas de formation de pathologiste !»
Encadrer la prescription
Selon l'enquête du Groupe français d'étude sur les kératites microbiennes liées au port de lentilles de contact, qui regroupe 14 CHU, le risque d'abcès diminue très largement lorsque l'adaptation et le suivi sont assurés par les ophtalmologistes, ce qui renforce la nécessité d'encadrer leur prescription. Une étude à paraître dans la revue Réflexions ophtalmologiques sur 357 cas d'infections cornéennes sous lentilles montre que le risque est multiplié par neuf lorsque l'adaptation n'est pas faite par un ophtalmologiste.
Chaque année en France, environ 5000 personnes sont hospitalisées pour un abcès de cornée, dont la moitié due aux lentilles et un sous-groupe non négligeable aux lentilles cosmétiques. Une complication redoutée : « Les durées d'hospitalisation peuvent aller jusqu'à un mois et parfois une greffe de cornée est nécessaire », souligne le Dr Rottier. Ce n'est pas pour rien que la manipulation des lentilles de contact et leur entretien s'apprennent et doivent être respectés. Il n'est pas rare que des infections surviennent après plusieurs années de port sans problème en raison d'un relâchement de l'hygiène basique, y compris le simple lavage des mains (et le séchage, pour éviter les micro-organismes parfois présents dans l'eau du robinet).
L'entretien des lentilles et la dépose immédiate au moindre problème font partie des bons réflexes du porteur de lentille prudent. Reste l'inquiétude des ophtalmologistes à voir vendues sans aucun contrôle médical, en supermarché ou sur Internet, des lentilles cosmétiques que les porteurs ne voient pas comme un objet potentiellement dangereux. Tout comme les porteurs de lentilles jetables journalières qui s'imaginent parfois à l'abri des complications infectieuses. À tort.
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Césariennes: pratiques surprenantes
Moins une maternité est spécialisée dans les grossesses à risque et plus elle réalise de césariennes programmées (c’est-à-dire décidées à l’avance, pas en urgence lors
de l’accouchement). Ces interventions ont été plus fréquentes dans les cliniques privées (9,4%) que dans les hôpitaux publics (6,6%), selon une étude de l’Assurance-maladie (Cnam) menée auprès de 565 hôpitaux publics et privés.
Un constat inquiétant, car « les césariennes sont des interventions plus dangereuses pour la mère et l’enfant que l’accouchement par voie basse », souligne la Cnam. Autre surprise, le taux de naissances par césarienne programmée n’a rien de commun d’un département à l’autre. Il s’élève ainsi à 2,7 % dans les Landes et à 9,7 % dans la Loire.
Le figaro
Moins une maternité est spécialisée dans les grossesses à risque et plus elle réalise de césariennes programmées (c’est-à-dire décidées à l’avance, pas en urgence lors
de l’accouchement). Ces interventions ont été plus fréquentes dans les cliniques privées (9,4%) que dans les hôpitaux publics (6,6%), selon une étude de l’Assurance-maladie (Cnam) menée auprès de 565 hôpitaux publics et privés.
Un constat inquiétant, car « les césariennes sont des interventions plus dangereuses pour la mère et l’enfant que l’accouchement par voie basse », souligne la Cnam. Autre surprise, le taux de naissances par césarienne programmée n’a rien de commun d’un département à l’autre. Il s’élève ainsi à 2,7 % dans les Landes et à 9,7 % dans la Loire.
Le figaro
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Le figarodebella a écrit :Lentilles et lunettes, qui peut les prescrire ?
Un amendement envisage d'élargir les possibilités de prescription pour les opticiens. Les ophtalmos sont en colère.
Les ophtalmologistes ne décolèrent pas depuis qu'ils ont eu vent de l'amendement que pourrait déposer aujourd'hui Daniel Fasquelle, le rapporteur du projet de loi sur la protection des consommateurs. Car si depuis 2007 les opticiens-lunetiers sont déjà autorisés à adapter, «dans le cadre d'un renouvellement, les prescriptions médicales initiales de verres correcteurs datant de moins de trois ans dans des conditions fixées par décret, à l'exclusion de celles établies pour les personnes de moins de 16 ans et sauf opposition du médecin» , le député du Pas-de-Calais aurait l'intention d'aller beaucoup plus loin. Cette fois, c'est pour les enfants qu'il envisagerait un assouplissement du suivi médical, tandis que la limite des trois ans pour utiliser une ordonnance disparaîtrait pour tout le monde. Une démédicalisation larvée du suivi ophtalmologique qui n'est pas du goût du ministère de la Santé où l'on assure «(qu')il n'a jamais été envisagé par le gouvernement de modification tendant à autoriser les opticiens à modifier l'ordonnance faite pour les enfants» . En revanche, l'idée de définir par décret les délais de validité de l'ordonnance pour aller au-delà de trois ans ne se heurte pas au même mur, notamment chez les ophtalmologistes. Reste à discuter le bon délai, sur des critères médicaux, situation par situation.
Ce qui inquiète le plus Jean-Bernard Rottier, président du Syndicat national des ophtalmologistes de France (Snof), est l'éventualité de sacrifier, sur l'autel européen de la liberté du commerce et de l'industrie, la proposition de rendre obligatoire l'ordonnance pour obtenir des lunettes ou des lentilles sur Internet. Pour le Dr Rottier, «Il faut l'inscrire dans la loi. Cela semble évident quand on sait que sur les 7 millions de patients qui viennent nous voir chaque année pour changer de lunettes, nous dépistons une maladie chez 4,5 millions !» Oui mais justement, chacun sait bien que les délais pour obtenir un RDV avec un ophtalmo dans certaines régions se comptent en mois sinon en semestres. Pourquoi alors ne pas demander aux opticiens de faire le dépistage de première ligne, quitte à adresser aux ophtalmologistes les cas douteux ? «Ce serait gravissime !, explique Isabelle Castioni, elle-même opticienne depuis plus de trente ans au Mans. On risque de passer à côté de tas de choses. En tant qu'opticien, nous n'avons pas de formation de pathologiste !»
Encadrer la prescription
Selon l'enquête du Groupe français d'étude sur les kératites microbiennes liées au port de lentilles de contact, qui regroupe 14 CHU, le risque d'abcès diminue très largement lorsque l'adaptation et le suivi sont assurés par les ophtalmologistes, ce qui renforce la nécessité d'encadrer leur prescription. Une étude à paraître dans la revue Réflexions ophtalmologiques sur 357 cas d'infections cornéennes sous lentilles montre que le risque est multiplié par neuf lorsque l'adaptation n'est pas faite par un ophtalmologiste.
Chaque année en France, environ 5000 personnes sont hospitalisées pour un abcès de cornée, dont la moitié due aux lentilles et un sous-groupe non négligeable aux lentilles cosmétiques. Une complication redoutée : « Les durées d'hospitalisation peuvent aller jusqu'à un mois et parfois une greffe de cornée est nécessaire », souligne le Dr Rottier. Ce n'est pas pour rien que la manipulation des lentilles de contact et leur entretien s'apprennent et doivent être respectés. Il n'est pas rare que des infections surviennent après plusieurs années de port sans problème en raison d'un relâchement de l'hygiène basique, y compris le simple lavage des mains (et le séchage, pour éviter les micro-organismes parfois présents dans l'eau du robinet).
L'entretien des lentilles et la dépose immédiate au moindre problème font partie des bons réflexes du porteur de lentille prudent. Reste l'inquiétude des ophtalmologistes à voir vendues sans aucun contrôle médical, en supermarché ou sur Internet, des lentilles cosmétiques que les porteurs ne voient pas comme un objet potentiellement dangereux. Tout comme les porteurs de lentilles jetables journalières qui s'imaginent parfois à l'abri des complications infectieuses. À tort.
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Re: Entraînement culture générale 2012
Exercice 2 (deuxième série) :
"L'hygiène de vie est l'ensemble des mesures destinées à préserver et à promouvoir la santé."
1) Commentez cette affirmation à l'aide d'exemples , dont l'un concernera la "bonne hygiène de vie", l'autre la "mauvaise hygiène de vie", vous terminerez en donnant votre avis sur cette phrase.
Rédaction structurée 25 lignes maximum.
"L'hygiène de vie est l'ensemble des mesures destinées à préserver et à promouvoir la santé."
1) Commentez cette affirmation à l'aide d'exemples , dont l'un concernera la "bonne hygiène de vie", l'autre la "mauvaise hygiène de vie", vous terminerez en donnant votre avis sur cette phrase.
Rédaction structurée 25 lignes maximum.
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Re: Actualités concours 2012
bonjour a tous!!!!! moi j'ai passé le concours cette année et je suis recu a l'ile de la reunion a st denis. j'ai fait ma formation avec le CNED et cela a été trés bénéfique vu que je suis très bien classé . j'ai payé ma formation 460 euros avec tous le livres la méthodologie un cd d'exos pour les test psychotechniques un DVD pour préparer l'oral. en état neuf je revends a 250 euros vous pouvez voir tout ca sur le site CNED. Si vous êtes intéressé contactez moi en privée. 

- angelito94
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Re: Entraînement culture générale 2012
Exercice 3 (deuxième série) : Synonymes.
1) Citez au moins 1 synonyme des mots suivants :
a)Hygiène
b)Prévention
c)Protection
d)Précarité
2)Intégrez chaque synonyme dans une phrase de votre choix sur le thème de la prévention et la protection sociale. Rédaction libre.
1) Citez au moins 1 synonyme des mots suivants :
a)Hygiène
b)Prévention
c)Protection
d)Précarité
2)Intégrez chaque synonyme dans une phrase de votre choix sur le thème de la prévention et la protection sociale. Rédaction libre.
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Re: Entraînement culture générale 2012
Questions :
1) Résumez l'article ( en 12 lignes maximum)
2)Quel(s) sont/est le(s) thème(s) sanitaire(s) abordé(s) dans l'article ?
3)"Vendredi dernier, 180 lettres ont donc été adressées à ces malades, sortis depuis de la clinique" Après avoir expliquez dans quel principe s'inscrit cet acte, vous développerez vos propos à l'aide d'exemples , dont l'un présent dans l'article.
Votre rédaction serra structurée.
(35 lignes maximum).
Temps estimé : 1h30
1.
L’hôpital privé de Massy a dut fermer ses portes cet été, à cause de la contamination a la bactérie super résistante "Klesbiella pneumonae". Depuis juin, ou le diagnostic est tombé, sur une vacancière rapatriée en urgence de Grèce, l'isolement d'une partie du service a été effectué. Le dépistage sur certains patient a permis la découverte de 4 personnes contaminées, ayant transmis la bactérie après avoir changé de service. Il y aura eu 13 malades diagnostiqués et 3 décès enregistrés fin juillet. L'invs et l'ARS décident d'interdire les nouvelles admissions le 29 juillet. La CHSCT est convoqués pour mettre en places des mesures, que le personnel soignant juge lente, dut au manque de personnel. Les procédures d'hygiène et de dépistages sont alors renforcées, les patients contaminés sont transférés dans d'autres hôpitaux. Le personnel soignant n'est pas dépister, ne faisant pas partie de la procédure officielle, pourtant des organismes plus ou moins faibles, pourraient développement la maladie.
Apres la reprise des activités de l’hôpital, 180 courriers seront envoyés aux personnes ayant séjournées a l'hôpital. Par ailleurs, les familles des victimes, n'ont pas été prévenus du risque de contamination, la preuve est que tout les moyens nécessaire n'ont pas été mis en oeuvre. La bactérie peut séjourné 6 mois dans l'organisme.
2. Thèmes sanitaires et sociaux : Hygiène et prévention.
3.
Les lettres ont été envoyées au malades par principe de prévention.
La prévention est le fait de mettre en oeuvre des mesures afin d’éviter la survenue d'un évènement ou la propagation d'une maladie, qui peut arriver soudainement, afin d'en éviter les conséquences.
Dans cet articles ont constate, que dès le dépistage de la vacancière fait et dès le diagnostic tombé (dans ce cas, contamination a Klesbiella pneumonae) LE service incriminé a été en partie placé en isolement, afin d’éviter la propagation de la bactérie sur d'autres patients hospitalisés.
Le botulisme présent dans les bocaux de fabrication artisanale a fait parler de lui cet été, après la contamination de plusieurs personnes. Ainsi que les steaks hachés contaminés par E.Coli. Suite à la découverte de c'est 2 bactéries virulentes, le retrait du marché des lots et bocaux a été effectué. Et les personnes ont été appelés a ne pas consommer les aliments douteux de ses marques, par prévention, afin d'éviter la propagation de ces bactéries.
Une autre méthode de prévention existe : La vaccination. La vaccination est le fait d'injecté dans l'organisme un virus ou une bactérie morte ou vivante atténuée afin que l'organisme apprenne a la combattre.
En période hivernal il est conseillé, de se vacciner contre la grippe afin, d'éviter l'épidémie. LA Grippe étant une maladie contagieuse assez grave surtout chez les Personnes âgées, immunodéprimés, nouveaux nés, ou malade ayant une ou plusieurs maladies chroniques. La vaccination permet d'éviter la survenue de la maladie ou de diminuer ses symptômes si il y a contamination.
Voila, ma contribution. Par contre la 3 e j'ai eu plus de mal
1) Résumez l'article ( en 12 lignes maximum)
2)Quel(s) sont/est le(s) thème(s) sanitaire(s) abordé(s) dans l'article ?
3)"Vendredi dernier, 180 lettres ont donc été adressées à ces malades, sortis depuis de la clinique" Après avoir expliquez dans quel principe s'inscrit cet acte, vous développerez vos propos à l'aide d'exemples , dont l'un présent dans l'article.
Votre rédaction serra structurée.
(35 lignes maximum).
Temps estimé : 1h30
1.
L’hôpital privé de Massy a dut fermer ses portes cet été, à cause de la contamination a la bactérie super résistante "Klesbiella pneumonae". Depuis juin, ou le diagnostic est tombé, sur une vacancière rapatriée en urgence de Grèce, l'isolement d'une partie du service a été effectué. Le dépistage sur certains patient a permis la découverte de 4 personnes contaminées, ayant transmis la bactérie après avoir changé de service. Il y aura eu 13 malades diagnostiqués et 3 décès enregistrés fin juillet. L'invs et l'ARS décident d'interdire les nouvelles admissions le 29 juillet. La CHSCT est convoqués pour mettre en places des mesures, que le personnel soignant juge lente, dut au manque de personnel. Les procédures d'hygiène et de dépistages sont alors renforcées, les patients contaminés sont transférés dans d'autres hôpitaux. Le personnel soignant n'est pas dépister, ne faisant pas partie de la procédure officielle, pourtant des organismes plus ou moins faibles, pourraient développement la maladie.
Apres la reprise des activités de l’hôpital, 180 courriers seront envoyés aux personnes ayant séjournées a l'hôpital. Par ailleurs, les familles des victimes, n'ont pas été prévenus du risque de contamination, la preuve est que tout les moyens nécessaire n'ont pas été mis en oeuvre. La bactérie peut séjourné 6 mois dans l'organisme.
2. Thèmes sanitaires et sociaux : Hygiène et prévention.
3.
Les lettres ont été envoyées au malades par principe de prévention.
La prévention est le fait de mettre en oeuvre des mesures afin d’éviter la survenue d'un évènement ou la propagation d'une maladie, qui peut arriver soudainement, afin d'en éviter les conséquences.
Dans cet articles ont constate, que dès le dépistage de la vacancière fait et dès le diagnostic tombé (dans ce cas, contamination a Klesbiella pneumonae) LE service incriminé a été en partie placé en isolement, afin d’éviter la propagation de la bactérie sur d'autres patients hospitalisés.
Le botulisme présent dans les bocaux de fabrication artisanale a fait parler de lui cet été, après la contamination de plusieurs personnes. Ainsi que les steaks hachés contaminés par E.Coli. Suite à la découverte de c'est 2 bactéries virulentes, le retrait du marché des lots et bocaux a été effectué. Et les personnes ont été appelés a ne pas consommer les aliments douteux de ses marques, par prévention, afin d'éviter la propagation de ces bactéries.
Une autre méthode de prévention existe : La vaccination. La vaccination est le fait d'injecté dans l'organisme un virus ou une bactérie morte ou vivante atténuée afin que l'organisme apprenne a la combattre.
En période hivernal il est conseillé, de se vacciner contre la grippe afin, d'éviter l'épidémie. LA Grippe étant une maladie contagieuse assez grave surtout chez les Personnes âgées, immunodéprimés, nouveaux nés, ou malade ayant une ou plusieurs maladies chroniques. La vaccination permet d'éviter la survenue de la maladie ou de diminuer ses symptômes si il y a contamination.
Voila, ma contribution. Par contre la 3 e j'ai eu plus de mal

INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
CHU de Nîmes : à 94 ans, elle meurt sous les coups d'un homme de 91 ans
Un homme de 91 ans a asséné une série de coups mortels à une femme de 94 ans, pensionnaire comme lui d'un centre de gérontologie du CHU de Nîmes (Gard). L'agression a eu lieu dimanche 25 septembre, et la victime est décédée des suites des coups jeudi, a indiqué le procureur de la République de Nîmes Robert Gelli, confirmant une information du «Midi Libre».
«Tous les aspects vont être abordés dans l'enquête», notamment l'état mental de l'agresseur présumé, «bien obéré» au moment des faits, a indiqué Robert Gelli.
Les raisons du geste restent en l'état mal déterminées. «La version dont nous disposons, et qui doit être vérifiée, est qu'elle aurait crié et qu'il l'aurait alors frappée», a ajouté le procureur.
L'enquête pour coups mortels a été ouverte lundi après que la famille eût déposé plainte, le CHU n'ayant en revanche pas signalé l'événement à la police. Signaler «aurait été préférable et aurait évité toute polémique», a relevé le procureur. L'affaire n'a «pas été étouffée», a déclaré à «Midi Libre» un porte-parole du CHU. Si «l'hôpital n'a pas avisé la police», c'est d'abord parce qu'il a répondu à «un réflexe de soignants» : prendre en charge la victime et son agresseur présumé, puis alerter les familles et l'Agence régionale de santé. Une enquête administrative a également été ouverte.
Selon le journal, l'homme, dont le comportement agressif semblait être connu, a été placé dans une unité psychiatrique.
LeParisien.fr
Un homme de 91 ans a asséné une série de coups mortels à une femme de 94 ans, pensionnaire comme lui d'un centre de gérontologie du CHU de Nîmes (Gard). L'agression a eu lieu dimanche 25 septembre, et la victime est décédée des suites des coups jeudi, a indiqué le procureur de la République de Nîmes Robert Gelli, confirmant une information du «Midi Libre».
«Tous les aspects vont être abordés dans l'enquête», notamment l'état mental de l'agresseur présumé, «bien obéré» au moment des faits, a indiqué Robert Gelli.
Les raisons du geste restent en l'état mal déterminées. «La version dont nous disposons, et qui doit être vérifiée, est qu'elle aurait crié et qu'il l'aurait alors frappée», a ajouté le procureur.
L'enquête pour coups mortels a été ouverte lundi après que la famille eût déposé plainte, le CHU n'ayant en revanche pas signalé l'événement à la police. Signaler «aurait été préférable et aurait évité toute polémique», a relevé le procureur. L'affaire n'a «pas été étouffée», a déclaré à «Midi Libre» un porte-parole du CHU. Si «l'hôpital n'a pas avisé la police», c'est d'abord parce qu'il a répondu à «un réflexe de soignants» : prendre en charge la victime et son agresseur présumé, puis alerter les familles et l'Agence régionale de santé. Une enquête administrative a également été ouverte.
Selon le journal, l'homme, dont le comportement agressif semblait être connu, a été placé dans une unité psychiatrique.
LeParisien.fr
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Actualités concours 2012
Les éthylotests obligatoires dans les discothèques
Malgré les critiques des professionnels de la nuit, les discothèques vont devoir s'équiper de dispositifs «permettant le dépistage de l'imprégnation alcoolique». Le texte détaillant cette mesure est paru ce samedi au«Journal officiel». Les exploitants de discothèques disposent de deux mois pour se mettre en conformité avec cet arrêté signé des ministères de la Santé, des Transports et de l'Intérieur, et issu de la loi de mars 2011 dite «Loppsi» (loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure).
Le Syndicat national des discothèques et lieux de loisirs (SNDLL), principale organisation représentant cette profession, y voit un texte «anti-boîtes de nuit» et a promis de s'y opposer. Selon le délégué interministériel à la sécurité routière, Jean-Luc Névache, les cinq autres syndicats représentatifs de la profession sont favorables à l'installation de ces éthylotests.
«Placés à proximité de la sortie»
L'arrêté impose aux «débits de boissons autorisés à fermer entre 2 heures et 7 heures» de mettre à disposition du public «les dispositifs chimiques ou électroniques certifiés permettant le dépistage de l'imprégnation alcoolique». Le responsable de l'établissement devra «s'assurer qu'à tout moment la demande de dépistage peut être satisfaite dans un délai inférieur à quinze minutes» et proposer un nombre minimal d'éthylotests, en fonction de l'effectif accueilli.
Si un patron de discothèque opte pour les éthylotests chimiques, il devra par exemple être capable d'en fournir au moins cinquante par nuit. Les éthylotests doivent en outre être «placés à proximité de la sortie» et «être visibles et signalés par un support d'information», où sera inscrit «Soufflez, vous saurez. Ici, pour savoir si vous pouvez conduire, demandez un éthylotest.»
L'alcool en cause dans 31% des accidents mortels
Sont concernés par cette mesure 2500 discothèques en France et les bars à ambiance musicale, les cabarets, bars d'hôtel, soit près de 5500 structures au total, mais pas l'immense majorité des bars de France qui ferment bien plus tôt. Le Syndicat national des discothèques et lieux de loisirs (SNDLL), principale organisation représentant cette profession y voit un texte «anti-boîtes de nuit» et a promis de s'y opposer.
Selon la Sécurité routière, 31% des accidents mortels sont imputables à l'alcool et dans 92% des cas, le conducteur alcoolisé est un homme.
LeParisien.fr
Malgré les critiques des professionnels de la nuit, les discothèques vont devoir s'équiper de dispositifs «permettant le dépistage de l'imprégnation alcoolique». Le texte détaillant cette mesure est paru ce samedi au«Journal officiel». Les exploitants de discothèques disposent de deux mois pour se mettre en conformité avec cet arrêté signé des ministères de la Santé, des Transports et de l'Intérieur, et issu de la loi de mars 2011 dite «Loppsi» (loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure).
Le Syndicat national des discothèques et lieux de loisirs (SNDLL), principale organisation représentant cette profession, y voit un texte «anti-boîtes de nuit» et a promis de s'y opposer. Selon le délégué interministériel à la sécurité routière, Jean-Luc Névache, les cinq autres syndicats représentatifs de la profession sont favorables à l'installation de ces éthylotests.
«Placés à proximité de la sortie»
L'arrêté impose aux «débits de boissons autorisés à fermer entre 2 heures et 7 heures» de mettre à disposition du public «les dispositifs chimiques ou électroniques certifiés permettant le dépistage de l'imprégnation alcoolique». Le responsable de l'établissement devra «s'assurer qu'à tout moment la demande de dépistage peut être satisfaite dans un délai inférieur à quinze minutes» et proposer un nombre minimal d'éthylotests, en fonction de l'effectif accueilli.
Si un patron de discothèque opte pour les éthylotests chimiques, il devra par exemple être capable d'en fournir au moins cinquante par nuit. Les éthylotests doivent en outre être «placés à proximité de la sortie» et «être visibles et signalés par un support d'information», où sera inscrit «Soufflez, vous saurez. Ici, pour savoir si vous pouvez conduire, demandez un éthylotest.»
L'alcool en cause dans 31% des accidents mortels
Sont concernés par cette mesure 2500 discothèques en France et les bars à ambiance musicale, les cabarets, bars d'hôtel, soit près de 5500 structures au total, mais pas l'immense majorité des bars de France qui ferment bien plus tôt. Le Syndicat national des discothèques et lieux de loisirs (SNDLL), principale organisation représentant cette profession y voit un texte «anti-boîtes de nuit» et a promis de s'y opposer.
Selon la Sécurité routière, 31% des accidents mortels sont imputables à l'alcool et dans 92% des cas, le conducteur alcoolisé est un homme.
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Re: Actualités concours 2012
A Paris, elles manifestent en petite tenue contre le sexisme
Elles étaient une centaine à participer samedi après-midi à Paris à une «Marche de salopes». Ces femmes protestaient «contre le sexisme» et «la culpabilisation des victimes d'agressions sexuelles».
Vêtues de robes courtes, mini-jupes ou shorts et, pour certaines, soutien-gorge apparent, les manifestantes, tenant à la main des ballons rouges en forme de coeur, ont défilé sous le soleil de la Tour Montparnasse à la place du Panthéon, derrière une banderole portant l'inscription «Non, c'est non. Un viol n'est jamais ni consenti, ni provoqué, ni jamais de la faute de la victime !»
«On a des seins et des fesses et on n'a pas de raison de les cacher»
«Je suis là parce que j'en ai marre d'avoir des réflexions désagréables dans la rue lorsque je m'habille bien ou que l'on me mette la main aux fesses lorsque je suis en soirée. On est des femmes, on a des seins et des fesses et on n'a pas de raison de les cacher», a expliqué Flora Birster, une étudiante parisienne de 20 ans, portant une robe décolletée.
La «SlutWalk» est un concept né à Toronto en avril dernier, en réponse «aux propos sexistes d'un policier» enquêtant sur une série de viols commis sur un campus, selon un tract de SlutWalk France. «Lors d'une réunion de prévention, il a conseillé aux femmes de ne pas s'habiller comme des «sluts» (salopes) si elles ne voulaient pas se faire violer», explique le tract. Depuis, des «Marches de salopes» ont eu lieu dans de nombreuses villes.
Selon l'organisation, chaque jour, en France, 137 femmes sont violées, qu'une femme sur dix est ou sera victime de violences sexuelles et que tous les deux jours et demi une femme meurt sous les coups de son conjoint ou ex-conjoint.
LeParisien.fr
Elles étaient une centaine à participer samedi après-midi à Paris à une «Marche de salopes». Ces femmes protestaient «contre le sexisme» et «la culpabilisation des victimes d'agressions sexuelles».
Vêtues de robes courtes, mini-jupes ou shorts et, pour certaines, soutien-gorge apparent, les manifestantes, tenant à la main des ballons rouges en forme de coeur, ont défilé sous le soleil de la Tour Montparnasse à la place du Panthéon, derrière une banderole portant l'inscription «Non, c'est non. Un viol n'est jamais ni consenti, ni provoqué, ni jamais de la faute de la victime !»
«On a des seins et des fesses et on n'a pas de raison de les cacher»
«Je suis là parce que j'en ai marre d'avoir des réflexions désagréables dans la rue lorsque je m'habille bien ou que l'on me mette la main aux fesses lorsque je suis en soirée. On est des femmes, on a des seins et des fesses et on n'a pas de raison de les cacher», a expliqué Flora Birster, une étudiante parisienne de 20 ans, portant une robe décolletée.
La «SlutWalk» est un concept né à Toronto en avril dernier, en réponse «aux propos sexistes d'un policier» enquêtant sur une série de viols commis sur un campus, selon un tract de SlutWalk France. «Lors d'une réunion de prévention, il a conseillé aux femmes de ne pas s'habiller comme des «sluts» (salopes) si elles ne voulaient pas se faire violer», explique le tract. Depuis, des «Marches de salopes» ont eu lieu dans de nombreuses villes.
Selon l'organisation, chaque jour, en France, 137 femmes sont violées, qu'une femme sur dix est ou sera victime de violences sexuelles et que tous les deux jours et demi une femme meurt sous les coups de son conjoint ou ex-conjoint.
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Re: Actualités concours 2012
Les Entretiens de Bichat consacre l’eau du robinet
Nombre de scientifiques et experts soulignent la qualité de l’eau coulant du robinet
« On a beaucoup de chance d’avoir l’eau potable que l’on a », a souligné le Pr Marc Gentilini, spécialiste des maladies infectieuses et tropicales, lors d’un atelier sur « Eau du robinet et santé » aux Entretiens de Bichat. Nombre de scientifiques et experts, en écho, saluent la qualité de l’eau coulant du robinet, radiologiquement satisfaisante et où les micropolluants organiques n’existent que sous forme de traces. Dans le monde, 30.000 personnes meurent chaque année de maladies liées à l’eau et des centaines de milliers vivent avec des séquelles de ces maladies, a rappelé le Pr Gentilini. L’eau polluée est effet un réservoir de virus, bactéries, salmonelles, porte ouverte à une toute une gamme de maladies, comme le choléra ou la bilharziose…
"Sans risque pour la santé"
« Sur la base des connaissances disponibles et de la surveillance exercée, la qualité radiologique des eaux de consommation en France peut être considérée comme satisfaisante, sans risque pour la santé des consommateurs », a de son côté estimé Jean-Luc Godet, chargé de la direction des rayonnements ionisants et de la santé au sein de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). « Il n’y a pas de contamination par les activités nucléaires, quant à la radioactivité naturelle, elle existe mais elle est faible », a-t-il ajouté. « Si l’on boit 2 litres d’eau par jour, l’exposition est de 0,1 mSv sur l’année », a-t-il souligné. « En dessous de 50 mSv, il n’y a pas de lien dose-effets. » Quant au radon, son ingestion via l’eau du robinet, dans quelques collectivités de certaines régions (Bretagne, Massif central, Est…), ne représente qu’une exposition de 0,2 à 1,8 mSv par an. Certaines eaux sont malgré tout contaminées aux micropolluants, notamment autour des grandes villes. Mais elles sont soumises à un traitement approfondi et à un double contrôle par les autorités sanitaires et par les collectivités locales. « La qualité de l’eau potable ne cesse de s’améliorer », confirme ainsi Yves Levi, professeur de « santé publique et environnement » et membre de l’Académie de pharmacie
France soir
Nombre de scientifiques et experts soulignent la qualité de l’eau coulant du robinet
« On a beaucoup de chance d’avoir l’eau potable que l’on a », a souligné le Pr Marc Gentilini, spécialiste des maladies infectieuses et tropicales, lors d’un atelier sur « Eau du robinet et santé » aux Entretiens de Bichat. Nombre de scientifiques et experts, en écho, saluent la qualité de l’eau coulant du robinet, radiologiquement satisfaisante et où les micropolluants organiques n’existent que sous forme de traces. Dans le monde, 30.000 personnes meurent chaque année de maladies liées à l’eau et des centaines de milliers vivent avec des séquelles de ces maladies, a rappelé le Pr Gentilini. L’eau polluée est effet un réservoir de virus, bactéries, salmonelles, porte ouverte à une toute une gamme de maladies, comme le choléra ou la bilharziose…
"Sans risque pour la santé"
« Sur la base des connaissances disponibles et de la surveillance exercée, la qualité radiologique des eaux de consommation en France peut être considérée comme satisfaisante, sans risque pour la santé des consommateurs », a de son côté estimé Jean-Luc Godet, chargé de la direction des rayonnements ionisants et de la santé au sein de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). « Il n’y a pas de contamination par les activités nucléaires, quant à la radioactivité naturelle, elle existe mais elle est faible », a-t-il ajouté. « Si l’on boit 2 litres d’eau par jour, l’exposition est de 0,1 mSv sur l’année », a-t-il souligné. « En dessous de 50 mSv, il n’y a pas de lien dose-effets. » Quant au radon, son ingestion via l’eau du robinet, dans quelques collectivités de certaines régions (Bretagne, Massif central, Est…), ne représente qu’une exposition de 0,2 à 1,8 mSv par an. Certaines eaux sont malgré tout contaminées aux micropolluants, notamment autour des grandes villes. Mais elles sont soumises à un traitement approfondi et à un double contrôle par les autorités sanitaires et par les collectivités locales. « La qualité de l’eau potable ne cesse de s’améliorer », confirme ainsi Yves Levi, professeur de « santé publique et environnement » et membre de l’Académie de pharmacie
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Re: Actualités concours 2012
Copwatch : Le site Internet qui espionne les policiers
Copwatch diffuse des informations personnelles sur des gardiens de la paix. Le ministre de l’Intérieur a déposé plainte.
La chasse est ouverte. « Policiers, nous vous identifierons tous un à un. Que votre impunité trouve une fin », avertissent les créateurs du site Copwatch Nord - Ile-de-France qui, depuis la semaine dernière, fiche les policiers lillois, calaisiens et parisiens. Face à leur photo, leurs nom, prénoms, affectation et des indications sur leur personnalité comme « attitude agressive dans diverses situations » ou « n’hésite pas à faire charger dans le tas ». Alerté par le syndicat de police Alliance, le ministre de l’Intérieur, Claude Guéant, a décidé, mercredi, de déposer deux plaintes en diffamation.
« Ces commentaires portent gravement atteinte à l’honneur et à la réputation de fonctionnaires de police et de militaires de la gendarmerie. Ces propos scandaleux, assortis de photographies, de l’identité et, quelquefois des adresses des intéressés, nuisent aux personnels du ministère de l’Intérieur, et mettent en péril leur sécurité ainsi que celle de leurs familles », indique le porte-parole du ministère de l’Intérieur, Pierre-Henry Brandet. Et ce dernier de préciser : « Au-delà, c’est toute l’institution qui est salie, raison pour laquelle ce genre de dérive doit cesser au plus vite. A l’avenir, tout propos diffamatoire fera systématiquement l’objet de dépôt de plainte. »
"Une vue d’ensemble des pratiques policières"
L’affaire débute en décembre dernier. Un « site d’information alternatif », Paris.indymedia, mettait en ligne plusieurs photos de policier en civil, prises durant des manifestations, accompagnées de commentaires tels que « sans brassard, gueule invisible pour bien caillasser ». Quelques jours plus tard, alerté par un communiqué du syndicat de gardiens de la paix Alliance, Brice Hortefeux annonçait son intention de déposer plainte. Les photos litigieuses et les commentaires diffamatoires étaient alors retirés. Mais, la semaine dernière, les mêmes personnes ont, semble-t-il, récidivé. « Désormais, il ne sera plus question de quelques photos publiées de façon hasardeuse sur des sites dispersés, mais d’une mise en commun de dizaines de témoignages et d’images permettant d’avoir une vue d’ensemble des pratiques policières », annoncent les auteurs dans un communiqué de lancement.
Ils se disent membres d’un « collectif de citoyens souhaitant lutter par la transparence et l’information contre les violences policières » et affirment agir sous couvert d’un avis de recommandation de la Commission nationale de déontologie datant de 2005. « Les journalistes et les particuliers ont le droit de photographier et de diffuser des photos des forces de l’ordre si elles ne portent pas atteinte à la liberté de la personne ou au secret de l’instruction. Les seules exceptions sont les forces de l’ordre affectées dans des services d’intervention, à la lutte antiterroriste ou au contre-espionnage, en vertu de l’arrêté du 27 juin 2008 », avertit cette commission. D’ailleurs, les membres lillois d’Indymedia listent, depuis 2006, les identités et les photos des membres des BAC locales, principalement pêchées sur Facebook et assurent que « depuis quatre ans, jamais une plainte n’a été recensée ».
"Effet de prolifération"
Le site Copwatch est hébergé aux Etats-Unis. Or, lorsque l’hébergeur se trouve dans un pays hors de l’Union européenne, il est nécessaire d’obtenir une décision de justice en France afin d’essayer de la faire appliquer dans le pays concerné. L’ancien ministre de l’Intérieur Brice Hortefeux avait ainsi tenté, en juillet 2010, de s’attaquer au site Grenoble.indymédia, sur lequel les policiers étaient traités de « troupe d’assassins » et la BAC de « bande armée criminelle ». Mais, six mois plus tard, le site était encore ouvert, et les propos incriminés toujours visibles. Le nombre de visiteurs mensuels de la page Web aurait même fortement augmenté. Quelques mois plus tard, ils écrivaient : « Après avoir fait autant de pub sur le copwatching, mode d’action maintenant criminalisé et considéré comme anti-flics, c’est un effet de prolifération qui risque d’entraîner d’autres publications dans d’autres villes. »
En Autriche, l’identité de 25.000 policiers publiée sur le Net
La branche autrichienne du groupe de pirates informatiques Anonymous (AnonAustria) a publié récemment des données concernant près de 25.000 policiers autrichiens. Le groupe nie avoir piraté les sites des autorités, indiquant que les informations – nom, prénoms, date de naissance et adresse – lui ont été « mises à disposition ». Ces données auraient été obtenues via une organisation proche de la police, a indiqué le ministère de l’Intérieur, qui mène l’enquête. AnonAustria entend par cette action protester contre la loi sur le stockage des données qui doit entrer en vigueur l’année prochaine : « Personne n’a rien à cacher, n’est-ce pas ? », a commenté AnonAustria sur Twitter. Les pirates d’Anonymous se sont attaqués ces derniers mois en Autriche aux sites du parti d’extrême droite FPÖ, du parti social-démocrate SPÖ et aux données de l’organisme GIS, chargé de la collecte de la redevance audiovisuelle
France soir
Copwatch diffuse des informations personnelles sur des gardiens de la paix. Le ministre de l’Intérieur a déposé plainte.
La chasse est ouverte. « Policiers, nous vous identifierons tous un à un. Que votre impunité trouve une fin », avertissent les créateurs du site Copwatch Nord - Ile-de-France qui, depuis la semaine dernière, fiche les policiers lillois, calaisiens et parisiens. Face à leur photo, leurs nom, prénoms, affectation et des indications sur leur personnalité comme « attitude agressive dans diverses situations » ou « n’hésite pas à faire charger dans le tas ». Alerté par le syndicat de police Alliance, le ministre de l’Intérieur, Claude Guéant, a décidé, mercredi, de déposer deux plaintes en diffamation.
« Ces commentaires portent gravement atteinte à l’honneur et à la réputation de fonctionnaires de police et de militaires de la gendarmerie. Ces propos scandaleux, assortis de photographies, de l’identité et, quelquefois des adresses des intéressés, nuisent aux personnels du ministère de l’Intérieur, et mettent en péril leur sécurité ainsi que celle de leurs familles », indique le porte-parole du ministère de l’Intérieur, Pierre-Henry Brandet. Et ce dernier de préciser : « Au-delà, c’est toute l’institution qui est salie, raison pour laquelle ce genre de dérive doit cesser au plus vite. A l’avenir, tout propos diffamatoire fera systématiquement l’objet de dépôt de plainte. »
"Une vue d’ensemble des pratiques policières"
L’affaire débute en décembre dernier. Un « site d’information alternatif », Paris.indymedia, mettait en ligne plusieurs photos de policier en civil, prises durant des manifestations, accompagnées de commentaires tels que « sans brassard, gueule invisible pour bien caillasser ». Quelques jours plus tard, alerté par un communiqué du syndicat de gardiens de la paix Alliance, Brice Hortefeux annonçait son intention de déposer plainte. Les photos litigieuses et les commentaires diffamatoires étaient alors retirés. Mais, la semaine dernière, les mêmes personnes ont, semble-t-il, récidivé. « Désormais, il ne sera plus question de quelques photos publiées de façon hasardeuse sur des sites dispersés, mais d’une mise en commun de dizaines de témoignages et d’images permettant d’avoir une vue d’ensemble des pratiques policières », annoncent les auteurs dans un communiqué de lancement.
Ils se disent membres d’un « collectif de citoyens souhaitant lutter par la transparence et l’information contre les violences policières » et affirment agir sous couvert d’un avis de recommandation de la Commission nationale de déontologie datant de 2005. « Les journalistes et les particuliers ont le droit de photographier et de diffuser des photos des forces de l’ordre si elles ne portent pas atteinte à la liberté de la personne ou au secret de l’instruction. Les seules exceptions sont les forces de l’ordre affectées dans des services d’intervention, à la lutte antiterroriste ou au contre-espionnage, en vertu de l’arrêté du 27 juin 2008 », avertit cette commission. D’ailleurs, les membres lillois d’Indymedia listent, depuis 2006, les identités et les photos des membres des BAC locales, principalement pêchées sur Facebook et assurent que « depuis quatre ans, jamais une plainte n’a été recensée ».
"Effet de prolifération"
Le site Copwatch est hébergé aux Etats-Unis. Or, lorsque l’hébergeur se trouve dans un pays hors de l’Union européenne, il est nécessaire d’obtenir une décision de justice en France afin d’essayer de la faire appliquer dans le pays concerné. L’ancien ministre de l’Intérieur Brice Hortefeux avait ainsi tenté, en juillet 2010, de s’attaquer au site Grenoble.indymédia, sur lequel les policiers étaient traités de « troupe d’assassins » et la BAC de « bande armée criminelle ». Mais, six mois plus tard, le site était encore ouvert, et les propos incriminés toujours visibles. Le nombre de visiteurs mensuels de la page Web aurait même fortement augmenté. Quelques mois plus tard, ils écrivaient : « Après avoir fait autant de pub sur le copwatching, mode d’action maintenant criminalisé et considéré comme anti-flics, c’est un effet de prolifération qui risque d’entraîner d’autres publications dans d’autres villes. »
En Autriche, l’identité de 25.000 policiers publiée sur le Net
La branche autrichienne du groupe de pirates informatiques Anonymous (AnonAustria) a publié récemment des données concernant près de 25.000 policiers autrichiens. Le groupe nie avoir piraté les sites des autorités, indiquant que les informations – nom, prénoms, date de naissance et adresse – lui ont été « mises à disposition ». Ces données auraient été obtenues via une organisation proche de la police, a indiqué le ministère de l’Intérieur, qui mène l’enquête. AnonAustria entend par cette action protester contre la loi sur le stockage des données qui doit entrer en vigueur l’année prochaine : « Personne n’a rien à cacher, n’est-ce pas ? », a commenté AnonAustria sur Twitter. Les pirates d’Anonymous se sont attaqués ces derniers mois en Autriche aux sites du parti d’extrême droite FPÖ, du parti social-démocrate SPÖ et aux données de l’organisme GIS, chargé de la collecte de la redevance audiovisuelle
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Re: Actualités concours 2012
Un quart des piscines parisiennes fermées !
Vidanges, microbes, grèves… Les multiples fermetures de bassins agacent les nageurs.
L'été indien est morose pour les nageurs parisiens. Depuis la rentrée, de nombreuses piscines municipales de la capitale sont fermées. Aujourd'hui, neuf sur trente-huit présentent porte close. C'est mieux que début septembre où pas moins de dix-sept d'entre elles avaient tiré le rideau. Notamment dans le XVe, le plus grand arrondissement de Paris, où pendant plusieurs semaines seule la piscine Keller était ouverte ! Cas emblématique : la piscine Émile-Anthoine, à quelques jets de pierre de la tour Eiffel, fermée depuis de longs mois en raison de la présence d'un microbe tenace dont les services de la Ville n'arrivent pas à se débarrasser, en dépit de nombreux traitements. En dernière extrémité, la Ville réfléchit ni plus ni moins à changer le bassin, soit engager des travaux jusqu'en… 2014.
Au total, en cette fin septembre, neuf bassins seront inaccessibles au public ce week-end, soit près d'un quart des piscines municipales, et certains pour encore longtemps. La piscine Valeyre, dans le IXe, est en travaux jusqu'au 9 octobre. Dans le Ve, la piscine Jean-Taris est close depuis fin août jusqu'au 7 novembre, tandis que celle de la Cour des Lions, dans le XIe, va subir une lourde rénovation jusqu'en mars. Non loin, dans le XIIIe, la piscine Joséphine-Baker, sur la Seine, subit des travaux de carénage jusqu'à début novembre.
Entretien inégal
En réalité, les piscines parisiennes sont souvent vétustes, voire dégradées, notamment au regard de normes d'hygiène de plus en plus strictes. C'est le cas de la nouvelle réglementation sur la légionelle qui oblige à modifier les réseaux d'eau. Dans le viseur, le système de désinfection, considéré comme obsolète dans de nombreux lieux. «Il est dommage que les travaux des piscines se fassent en même temps dans tout Paris…», se désole Christophe Clément, animateur d'un site communautaire sur les piscines parisiennes, nageurs.com. Mais les services de la Ville admettent qu'ils ont pu être pris de court, comme avec le bassin de la piscine Dunois (XIIIe).
En réalité, l'entretien courant est très inégal d'un établissement à l'autre car il dépend largement, indique-t-on à la Mairie, de la direction de chaque entité et de son personnel. Du coup, certaines se dégradent plus rapidement que d'autres. L'âge des équipements peut entraîner de lourdes rénovations, comme cela sera le cas prochainement pour la piscine de la Butte aux Cailles. Pour pallier ces fermetures, la direction des sports de la Mairie a certes prolongé les horaires. Mais ils restent encore trop étriqués au goût de nombreux Parisiens. Tôt le matin, à l'heure du déjeuner ou le soir, les sportifs doivent donc jongler avec leur emploi du temps. Sans parler des grèves. Selon Jean Vuillermoz, l'adjoint au sport, ce sujet sera prioritaire lors d'une éventuelle prochaine mandature. Certes, mais c'est ce week-end qu'il fait beau !
Le figaro
Vidanges, microbes, grèves… Les multiples fermetures de bassins agacent les nageurs.
L'été indien est morose pour les nageurs parisiens. Depuis la rentrée, de nombreuses piscines municipales de la capitale sont fermées. Aujourd'hui, neuf sur trente-huit présentent porte close. C'est mieux que début septembre où pas moins de dix-sept d'entre elles avaient tiré le rideau. Notamment dans le XVe, le plus grand arrondissement de Paris, où pendant plusieurs semaines seule la piscine Keller était ouverte ! Cas emblématique : la piscine Émile-Anthoine, à quelques jets de pierre de la tour Eiffel, fermée depuis de longs mois en raison de la présence d'un microbe tenace dont les services de la Ville n'arrivent pas à se débarrasser, en dépit de nombreux traitements. En dernière extrémité, la Ville réfléchit ni plus ni moins à changer le bassin, soit engager des travaux jusqu'en… 2014.
Au total, en cette fin septembre, neuf bassins seront inaccessibles au public ce week-end, soit près d'un quart des piscines municipales, et certains pour encore longtemps. La piscine Valeyre, dans le IXe, est en travaux jusqu'au 9 octobre. Dans le Ve, la piscine Jean-Taris est close depuis fin août jusqu'au 7 novembre, tandis que celle de la Cour des Lions, dans le XIe, va subir une lourde rénovation jusqu'en mars. Non loin, dans le XIIIe, la piscine Joséphine-Baker, sur la Seine, subit des travaux de carénage jusqu'à début novembre.
Entretien inégal
En réalité, les piscines parisiennes sont souvent vétustes, voire dégradées, notamment au regard de normes d'hygiène de plus en plus strictes. C'est le cas de la nouvelle réglementation sur la légionelle qui oblige à modifier les réseaux d'eau. Dans le viseur, le système de désinfection, considéré comme obsolète dans de nombreux lieux. «Il est dommage que les travaux des piscines se fassent en même temps dans tout Paris…», se désole Christophe Clément, animateur d'un site communautaire sur les piscines parisiennes, nageurs.com. Mais les services de la Ville admettent qu'ils ont pu être pris de court, comme avec le bassin de la piscine Dunois (XIIIe).
En réalité, l'entretien courant est très inégal d'un établissement à l'autre car il dépend largement, indique-t-on à la Mairie, de la direction de chaque entité et de son personnel. Du coup, certaines se dégradent plus rapidement que d'autres. L'âge des équipements peut entraîner de lourdes rénovations, comme cela sera le cas prochainement pour la piscine de la Butte aux Cailles. Pour pallier ces fermetures, la direction des sports de la Mairie a certes prolongé les horaires. Mais ils restent encore trop étriqués au goût de nombreux Parisiens. Tôt le matin, à l'heure du déjeuner ou le soir, les sportifs doivent donc jongler avec leur emploi du temps. Sans parler des grèves. Selon Jean Vuillermoz, l'adjoint au sport, ce sujet sera prioritaire lors d'une éventuelle prochaine mandature. Certes, mais c'est ce week-end qu'il fait beau !
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