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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Alerte au moustique tigre qui colonise la région

Vecteur de la dengue et du chikungunya, il a commencé à coloniser la région en août.

Grand comme une tête d’épingle, il est en train de coloniser la région. Et la bataille est perdue d’avance : il va falloir vivre avec le moustique tigre qui doit son nom à ses rayures noires sur l’abdomen et à son agressivité. Ses cloques, douloureuses, marquent la peau au fer rouge. Un dispositif de 1 200 pièges-pondoirs, dont 700 de l’Espagne à l’Italie, a été installé.


Bingo : vecteur de la dengue et du chikungunya, des colonies de “tigre” ont été détectées fin août dans le Gard à Nîmes, Saint-Ambroix, Saint-Victor-de-Malcap et Saint-Brès. Et à Montpellier et au Grau d’Agde. Enfin, sporadiquement, sur des aires d’autoroute (Fabrègues et Lespignan). L’Aude et les P-O sont aussi ponctuellement touchées.

Ses oeufs peuvent rester en sommeil durant deux ans

La grande difficulté avec "aedes albopictus", importé d’Asie via le commerce international de pneus usagés, c’est qu’il vit en ville et se calque aux habitudes des riverains. Actif le jour, en sommeil la nuit. De juin à septembre. On le surnomme d’ailleurs le moustique de l’apéritif !

Les épandages aériens sont quasi-impossibles en zone urbaine et seul un produit de lutte est autorisé par l’Europe : le BTI (bacillus thuringiensis). Et, encore, il n’est utilisable que sur les larves de moustique tigre qui, une fois installé, est indélogeable. Y compris sur les nouveaux quartiers littoraux, jadis marécageux, alors que ceux-ci ont été débarrassés du moustique commun il y a quarante ans...

Ce moustique, dont les œufs peuvent rester en sommeil deux ans, et qui est attiré par le CO2 dégagé par la transpiration, est peut-être au cœur d’un futur enjeu économico-touristique.

"C'est un animal qui produit la mort"

Seul moyen efficace pour repousser la prolifération de cette seringue volante, vider tout ce qui peut contenir de l’eau résiduelle : jouet oublié dans le jardin, soucoupe de pot de fleurs... En 2010, 67 cas suspects, essentiellement de dengue, ont été confirmés, en Paca, importés, notamment de départements français ultramarins. Mais aussi quatre cas autochtones de contamination dans le Var et les Alpes-Maritimes.

Christian Edmond-Mariette, vice-président du conseil général de la Martinique, se montre alarmiste : "C’est un animal qui produit la mort. En Martinique, on compte 42 000 cas, 7 000 hospitalisations et 17 décès."

En 2007, une épidémie de chikungunya avait touché 250 personnes en Émilie-Romagne (Italie). "Si on ne fait rien, le rythme sera vite de 10 piqûres au quart d’heure", note Christian Lagneau, directeur de la recherche à l’EID (entente interdépartementale de démoustication) Méditerranée.



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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

300 kg de cannabis à bord, il force un barrage et perd le contrôle de son véhicule

Hier vers 8 heures, les services de la police aux frontières des P.-O. effectuaient un de leurs contrôles habituels dans le secteur du Boulou et soumettaient un conducteur à vérifications lorsqu'un second véhicule, en provenance d'Espagne, a soudain fait irruption, refusant de se soumettre.

Il force le barrage


Selon les premiers éléments, l'automobiliste a forcé le barrage et a réussi à prendre la fuite en direction d'Argelès. Pris en chasse, l'homme qui circulait semble-t-il a très grande vitesse a alors perdu le contrôle sur la voie rapide à hauteur de Palau-del-Vidre et a percuté de plein fouet la rambarde de sécurité. Sous la violence du choc, la voiture, immatriculée en région picarde, s'est immédiatement immobilisée.

Légèrement blessé

Le conducteur a été très légèrement blessé. Son état ne nécessitant pas son transport aux urgences, il a été immédiatement placé en garde à vue par les fonctionnaires de la PAF qui ont aussitôt cherché à comprendre les raisons de sa fuite et ont entamé la fouille de la voiture.

300 kg de cannabis

Et, à l'intérieur, ils ont découvert des tablettes renfermant de la résine de cannabis, placées dans plusieurs sacs, pour un poids total de plus de 300 kg.

Le suspect, de nationalité française, mais qui ne serait pas domicilié dans les P.-O., était toujours entendu hier soir. Il devait être remis aux services de la police judiciaire. De plus, la JIRS (juridiction inter-régionale spécialisée) de Marseille pourrait être saisie afin de poursuivre les investigations et tenter d'identifier d'éventuelles ramifications de ce trafic.

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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

L’inquiétant bilan de santé de nos médecins

Dans la région, ils sont plus nombreux en moyenne qu’en France, mais aussi plus âgés et surmenés. La pénurie menace.

Quel est le profil des médecins du Languedoc-Roussillon ? Une thèse de médecine donne une image inédite de la profession. L’auteur, Carole Wieger, a réalisé un travail "exceptionnel", salué par le président du jury Philippe Lambert, généraliste à Sète. Plus riche que les habituels états des lieux. Elle confirme d’abord qu’avec 11 498 médecins, soit "365 pour 100 000 habitants, le Languedoc-Roussillon est la 3e région française la mieux dotée en médecins après l’Ile-de-France et Paca".


La situation est, on le sait, disparate. Une "très forte densité médicale" dans l’Hérault avec 437,1 pour 100 000 habitants, mais dans l’arrière-pays (Bédarieux, Le Bousquet-d’Orb...) une "diminution de l’offre de soins (...) inquiétante". La métropole régionale reste attractive : 42 % des nouveaux inscrits à l’Ordre régional s’installent à Montpellier.

Autre indication : "La population médicale est plus âgée en moyenne" (51 ans) que sur le reste du territoire. En revanche, comme partout ailleurs, la profession se féminise : chez les moins de 35 ans, 7 praticiens sur 10 sont des femmes, elles s’installent en moyenne à 33 ans, contre 37 ans chez les hommes. Enfin, ici, 51 % des médecins sont des généralistes. Mais il ne manque pas de spécialistes. "La densité médicale régionale dans toutes les spécialités est supérieure au niveau national, à l’exception de la gynécologie obstétrique et de la psychiatrie", souligne la thèse qui rappelle que la région est aussi 2e pour la consommation de soins en France.

Carole Wieger : "De statut de surdotée, la région va basculer dans celui de sous-dotée"

Ce que l’on sait moins : la situation ne va pas durer. "Entre 2007 et 2011, 101 médecins généralistes partis à la retraite n’auraient pas été remplacés", souligne Carole Wieger, qui rappelle que pendant des années, il n’y a "pas eu de correspondance entre le numerus clausus et le nombre de postes d’internat ouverts cinq ans plus tard". Si, en 2011, la situation s’équilibre enfin, ce n’est pas sans difficulté : "Les pouvoirs publics nous ont entendus. On a obtenu 60 internes de plus cette année, soit 175 postes. Mais on a du mal à leur trouver des formations", souligne Philippe Lambert. Et pour rééquilibrer les chiffres, ce sera peut-être trop tard. Un gouffre s’est creusé.

"La région a enregistré une baisse de 48,7 % des nouvelles inscriptions en trente ans", constate la thésarde. A l’inverse, au 1er janvier 2010, "le nombre de sortants a progressé de 190 % par rapport au 1er janvier 1998". "De statut de région surdotée, le Languedoc-Roussillon va basculer dans celui de sous-dotée", annonce Carole Wieger, qui prédit une baisse de 30 % de la densité médicale à l’horizon 2030, la plus forte de France juste derrière la Corse (- 35 %).

Dans le même temps, "c’est dans la région que la part des plus de 60 ans dans la population va le plus augmenter", précise la thésarde. De quoi inquiéter une profession fragilisée.

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Re: Actualités concours 2012

Message par debella »

Merci a tous pour l'actu et le magazine de la santé ! :clin:
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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Violences à la maison de retraite : les salariées nient les coups

Les avocates de la défense ont remis en cause la gravité des gestes dénoncés.

On se souvient de l’émoi provoqué mi-septembre (Midi Libre du 15 septembre) lorsque le directeur de la maison de retraite “Les Acacias” à Magalas, village proche de Béziers, a porté plainte contre deux de ses employées, veilleuses de nuit sans formation, pour "violence sur une personne vulnérable n’ayant pas entraîné d’incapacité".


Hier, lors de leurs comparutions devant le tribunal correctionnel de Béziers, les deux prévenues et leurs avocates ont démonté les accusations point à point.

Des rivalités entre les salariés de l'établissement

Elles ont été dénoncées par des collègues et il apparaît que certaines rivalités existaient entre les équipes. Si elles ont reconnu des faits en garde à vue et dans le bureau de la direction (elles ont été mises à pied), c’est "sous la pression". À la barre, la plus âgée admet que face à la crise de démence de la résidente : "Je lui ai mis son tranchant de la main dans la bouche pour qu’elle se rende compte que cela m’avait fait mal quand elle m’avait mordu."

La plus jeune reconnaît elle aussi : "J’ai levé les bras pour essayer de la calmer et je lui ai donné une tape sur la joue involontairement." Une de ses anciennes collègues l’aurait entendu dire : "Elle m’en a mis une et je lui en ai mis une." La prévenue se justifie : "C’est une façon de parler." Et il existait des antagonismes entre les deux femmes. Dans cette affaire, très médiatisée, il a aussi été question de fessées, d’injures...

Six mois avec sursis requis

La vice-procureur Élodie Torrés ne veut s’attacher qu’aux faits établis : "Ni plus, ni moins. Il n’y a pas dans ce dossier de maltraitance récurrente. Le médecin légiste n’a pas constaté de lésions permanentes." La représentante du parquet parle de comportements déplacés sur des personnes particulièrement vulnérables. Elle requiert six mois de prison avec sursis et interdiction de travailler avec des personnes âgées.

Les avocates de la défense mettent en avant le manque de formation de leurs clientes qui se retrouvaient seules la nuit avec de plus en plus de responsabilités. Et elles citent des témoignages favorables aux deux femmes dont celui de la fille d’une des victimes : "Moi, je n’y arrive plus. Je suppose que si ma mère avait essayé de me faire la même chose j’aurai agi de même." La défense a plaidé la relaxe. Le jugement a été mis en délibéré au 18 octobre.

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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Décès après un repas au McDonald's : l’autopsie n’a pas encore révélé tous ses secrets

"Nous n’avons pas encore reçu les résultats des analyses bactériologiques." C’est le procureur de Nîmes, Robert Gély, qui l’affirme après avoir diligenté une enquête auprès de la brigade de gendarmerie de Laudun. Une autopsie de la victime avait été pratiquée le lendemain (nos précédentes éditions). Mais il faudra encore attendre quelques jours pour connaître les raisons exactes de décès.

La Gardoise a-t-elle été victime d'une crise cardiaque ?


Il y a une semaine, vers 16 h, prise d’un malaise, une Gardoise de 55 ans décède chez elle, au Pin (Gard). Quelques heures avant, elle avait déjeuné dans un McDonald’s, à Bagnols-sur-Cèze (Gard). "Nous avons plutôt les signes d’un problème cardiaque", avait alors expliqué le procureur.

La direction de McDonald’s avait, par communiqué, insisté sur le fait "qu’aucun lien avéré n’a été fait entre McDonald’s et le décès de cette personne. Notre restaurant a eu la visite de la Direction départementale de la protection des populations qui n’a pas eu d’observation particulière à formuler et la traçabilité des produits vérifiés s’est révélée conforme

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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

De rien Debella!! Bonne journée à tous!! :D
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Re: Actualités concours 2012

Message par zenzoo »

Pour les personnes âgées, dans fin de vie, il y a vie
ENQUÊTEUne enquête inédite auprès d’octogénaires et de nonagénaires indique un rejet de la légalisation de l’euthanasie.


source: liberation

Ils ont beau être malades, vieux, très vieux même, ils veulent vivre, mourir le plus tard possible. Et surtout, ne leur parlez pas d’euthanasie… C’est le paradoxe saisissant d’une enquête sur les personnes âgées, rendue publique aujourd’hui, au cours d’un colloque. Contrairement aux sondages qui font état d’une opinion très favorable à la légalisation de l’euthanasie - avec toujours au moins plus de 70% d’avis pour -, les premiers intéressés, les personnes âgées, n’en veulent pas. «Même très vieux, même très malades, ils veulent surtout vivre», disent les auteurs de cette recherche, le Dr Véronique Fournier, directrice du Centre d’éthique clinique de l’hôpital Cochin à Paris, et le professeur Denis Berthiau, juriste.

Ce constat est beaucoup moins banal qu’on ne le croit. La très grande vieillesse se caractérise par une perte de l’autonomie physique, quand ce n’est pas aussi la perte des fonctions cognitives. Une situation perçue comme un calvaire. Elle l’est, mais pour qui ? On demande rarement l’avis des personnes très âgées. «La préoccupation de tous ceux que nous avons rencontrés concerne le sens de la vie qui reste, et non le sens de la mort. Et 70% ne s’expriment pas vraiment sur leur mort», note le Dr Fournier. Le point de départ est une enquête sur les «directives anticipées», cette drôle de chose créée par la loi sur la fin de vie de 2005 : «Toute personne majeure peut rédiger des directives anticipées pour le cas où elle serait un jour hors d’état d’exprimer sa volonté. Ces directives indiquent les souhaits de la personne relatifs à sa fin de vie.»

Le centre d’éthique de Cochin a interrogé près de 200 personnes de plus de 75 ans, certaines vivant en maison de retraite, d’autres suivies en cardiologie ou en cancérologie. D’autres enfin, menacées par une maladie de type Alzheimer. 90 % des personnes interrogées disent ne pas connaître le concept des «directives anticipées». 83 % disent «qu’elles ne sont pas intéressées, et qu’elles ne s’en saisiront pas». Préparer leur mort «médicalement» les indiffère . Mais en parler, assurément. Pour autant, 10 % des personnes interrogées souhaitent «à un moment donné, une aide active à mourir». Selon l’enquête, elles «voudraient que les médecins puissent délivrer la mort, en toute fin de vie, dans le cadre de leur exercice quotidien.»
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Re: Actualités concours 2012

Message par zenzoo »

Alcool. Les beuveries affectent plus le cerveau des filles
Source Ouest France

Les adolescentes particulièrement vulnérables à une consommation excessive d'alcool
Reuters
Le cerveau des jeunes filles est plus endommagé que celui des garçons par les beuveries, révèle une étude publiée vendredi aux Etats-Unis, qui avertit que leurs neurones sont affectés bien au-delà du mal de tête du lendemain.

Des chercheurs des universités de Californie à San Diego (UCSD) et de Stanford ont étudié le cerveau de 95 jeunes femmes, dont 40 ont participé à des beuveries (au moins quatre verres à la suite pour une femme, cinq pour les garçons).

L'activité du cerveau réduite à la suite de beuveries

L'activité dans plusieurs régions du cerveau, notamment les capacités d'attention et de mémoire, est réduite à la suite de beuveries chez ces dernières par rapport aux adolescentes qui ne boivent jamais d'alcool, explique Susan Tapert, professeur de psychiatrie à Stanford et co-auteur de l'étude.

«Cela suggère que les adolescentes pourraient être particulièrement vulnérables aux effets négatifs d'une consommation excessive d'alcool», selon la chercheuse.

Pourquoi les cerveaux féminins sont-ils plus sensibles à l'alcool que ceux des hommes ? D'abord parce que leur développement cérébral a en général un ou deux ans d'avance sur les garçons, explique Susan Tapert. Au même âge, les dommages sont donc plus graves. Parmi les autres facteurs, l'étude évoque les différences hormonales entre les sexes, un métabolisme plus lent chez les filles, ainsi qu'un indice de masse graisseuse supérieur et un poids en moyenne inférieur.

Les effets sont visibles même quand les beuveries sont rares

Les participantes à l'étude se sont toutes saoulées lors de soirées avant d'enchaîner de longues périodes de sobriété.

Mais malgré la rareté des beuveries, les effets sur le cerveau ont pu être clairement identifiés, s'alarme Edith Sullivan, professeur en psychiatrie et sciences du comportement à l'Ecole de médecine de Stanford. «Cette étude montre que chez un jeune --collégien, lycéen ou étudiant-- les risques pour les fonctions cognitives et du cerveau durent longtemps après qu'il se soit remis d'une gueule de bois», explique la chercheuse.

L'étude, qui sera publiée en octobre, note que trois lycéens américains de terminale sur dix disent avoir participé à une beuverie dans le mois précédent.
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Re: Actualités concours 2012

Message par missdu33 »

La molécule du Mediator a été brevetée comme coupe-faim

LEMONDE.FR Avec AFP | 11.10.11 | 20h56

Le Mediator n'est pas un coupe-faim. C'est du moins la position adoptée par les laboratoires Servier depuis le début de l'affaire qui secoue l'entreprise. Pourtant, selon Le Canard enchaîné daté du mercredi 12 octobre, ils le savaient. Ils l'avaient eux-mêmes présenté comme tel lorsqu'ils avaient fait breveter la molécule benfluorex dans plusieurs pays.

LA MOLÉCULE A ÉTÉ DÉPOSÉE EN MARS 1967

L'hebdomadaire rappelle qu'il y a plus de quarante ans, en 1967, lorsque Servier s'attaque au marché américain, il dépose le brevet n° 3 607 909. Dans le résumé de ce brevet, on peut lire : "Ces molécules possèdent une activité anorexigène, analgésique, anticonvulsivante et de régulation du métabolisme des lipides." Un fac-similé produit par Le Canard enchaîné informe que la molécule a été déposée ("filed") en mars 1967 et brevetée ("patented") en septembre 1971.
"L'effet coupe-faim arrive bel et bien en tête de tous les bénéfices attribués à cette merveilleuse trouvaille, qui, exception faite de cors aux pieds, soigne à peu près tout", note le journal satirique, qui poursuit : "Selon le document américain, le même brevet avait déjà été déposé en France. Dès 1966, un brevet dit de 'base' présente les propriétés anorexigènes de la molécule."
Le patron des laboratoires Servier, Jacques Servier, est de nouveau convoqué par le juge d'instruction le 9 novembre dans le cadre de l'enquête sur le Mediator, selon son avocat, Hervé Témime. Il a été mis en examen, ainsi que cinq sociétés du groupe, notamment pour tromperie et escroquerie. Cinq millions de personnes ont pris du Mediator de 1976 à 2009, année d'interdiction du médicament soupçonné d'avoir provoqué de graves lésions cardiaques chez des milliers de patients.
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Re: Entraînement culture générale 2012

Message par Memo »

Exercice 8 (série 2) : Orale et préparation d'un plan. temps estimé 10/15min

Voici un sujet d'oral , vous devez trouver un plan et rédiger seulement l'introduction et la conclusion.

sujet :

Le papillomavirus chez les hommes.
La papilloma virus est une infection sexuellement transmissible. La mise en évidence de ses caractéristiques à permis la mise en place de divers moyen de lutte.

I_Caractéristique
a_Moyen de transmission
b_Symptôme


II_Moyen de lutte
a_Prévention
b_Dépistage

La papilloma virus peut être facilement évitable par le mise en place de moyen préventif comme les préservatif ou même des moyens de dépistage permettant une prise en charge précoce limitant ainsi les complications.

L'apparition du Gardasil contre le papilloma virus féminin vivement conseillé à ses débuts est à l'heure actuel sujet à controverse quand à son rapport bénéfique risque.
Ouverture?????????
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Re: Entraînement culture générale 2012

Message par Memo »

T'as raison minouch, c'est pas facile.
Mais à force d'entrainement, ça le deviendra!! :D
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Re: Entraînement culture générale 2012

Message par minouch23 »

angelito94 a écrit :Exercice 9 (série 2) : Commentaire / explication de phrase. Temps estimé 1h15


Santé : Soignez-vous moins cher !


Faute de moyens, un Français sur trois renonce à se soigner. Des solutions existent pourtant, permettant de payer moins cher, mais elles sont souvent méconnues ou négligées


Un système de santé à deux vitesses. Voilà vers quoi se dirige la France. Près d’un tiers des citoyens renoncent désormais à se faire soigner, faute de moyens, alors qu’ils n’étaient encore que 11 % en 2009. Selon ce sondage CSA-Europ Assistance publié vendredi dernier, les sacrifices concernent surtout les soins dentaires et optiques, pour 22 % des Français. Mais à côté de ces prestations, connues pour être onéreuses et très mal remboursées, plus d’une personne sur dix abandonnent les « soins courants », et ils sont 6 % à ne même plus acheter de médicaments. Sans parler de ceux, 5 %, qui laissent de côté hospitalisation, examens ou traitements coûteux, alors qu’ils sont souvent réservés aux maladies les plus graves. Le constat est alarmant, et l’avenir plutôt noir.
De plus en plus de médicaments sont déremboursés. La vignette bleue passera prochainement de 35 % à 30 % de remboursement ; la consultation chez le généraliste coûte depuis quelques mois 23 € au lieu de 22, et les mutuelles augmentent en conséquence.
Les Français ne s’y trompent pas : plus de la moitié d’entre eux estime que notre système de santé ne garantit plus l’égalité face aux soins. D’autant moins que les plafonds de revenus qui donnent droit aux aides de l’Etat (CMU, Chèque santé…) restent très bas : de 7.771 € pour une personne seule à 16.320 pour une famille de 4 personnes. Même avec la revalorisation prévue dans le cadre du budget 2012 de la Sécurité sociale, il faudra toujours gagner moins d’un SMIC pour en bénéficier.
Afin d’aider ceux qui ne réussissent plus à se soigner correctement, voici quelques conseils simples pour préserver, à moindre coût, l’un des biens les plus essentiels de notre vie. Comme le martelaient nos grands-mères avec raison : quand la santé va, tout va !

Faites de la prévention
La Sécu vous l’offre, profitez-en ! Tous les cinq ans, n’importe quel assuré social peut bénéficier d’un bilan gratuit. Analyses (sang, urine…), tests de vision, d’audition, de capacité respiratoire, examen dentaire, radio des poumons et électrocardiogramme, dépistages de l’hépatite B et du sida sur demande, plus examen clinique par un médecin. Selon les besoins, il peut être complété par des recherches plus poussées (gynécologiques, cardiovasculaires…). Les frais de transport sont remboursés et, éventuellement, la perte de salaire s’il y a lieu. Le bilan est destiné à dépister les premiers signes d’une affection et à prévenir les maladies les plus graves.

Pour les enfants
Les PMI (protection maternelle et infantile) sont gratuites et accessibles à tous, sans conditions de revenus et même sans couverture sociale. Elles assurent le suivi des femmes enceintes et des enfants jusqu’à l’âge de six ans. Seul inconvénient, elles ne proposent pas de service de consultation urgente et, selon les régions, il faut parfois attendre un mois pour un rendez-vous.
Et n’oubliez pas non plus le programme de l’assurance maladie « M’Tdents ». Un mois avant leur anniversaire (6, 9, 12, 15 et 18 ans), vos enfants reçoivent une invitation à prendre rendez-vous chez le dentiste de votre choix. Consultation et soins sont pris en charge à 100 pour cent. Il serait dommage de s’en priver.

Passez par un réseau
Le principe est simple : de nombreuses mutuelles (Groupama, GAN, MAAF, AGF, MMA…) orientent leurs clients vers des professionnels qui s’engagent à pratiquer des prix au plus proche des tarifs conventionnels de la Sécurité sociale. Pour ce faire, elles font appel à des sociétés qui connaissent parfaitement le marché, possèdent des réseaux de professionnels (chirurgiens, opticiens, dentistes, audio-prothésistes…) par secteur géographique et passent leur temps à comparer les prix. On les appelle les « cost killers », les « tueurs de coût ». En aidant les assurés à réduire leurs frais, elles réduisent également la part de remboursement de la mutuelle. C’est gagnant-gagnant.

Ciblez la bonne pharmacie
On a du mal à le croire : certains médicaments en vente libre peuvent aller du simple au triple selon les officines. Selon une étude BIPE-Leclerc de 2010, qui a comparé les tarifs de trente produits dans quatre régions de France choisies au hasard, de simples comprimés contre les nausées sont vendus entre 2,93 € et… 10,20 € ! Dans une même ville, le prix du paracétamol varie de 1,64 à 4,50 € et celui d’un sirop contre la toux de 2,50 à 3,87. Autant dire que, même si vous adorez votre pharmacien qui vous conseille depuis vingt ans, cela vaut peut-être la peine d’aller explorer les rayonnages voisins. Les prix, libres pour les médicaments non remboursés, sont le plus souvent modulés en fonction de l’offre et de la demande. Une officine peut très bien pratiquer des tarifs prohibitifs sur les collyres et s’avérer compétitive sur les sachets contre les maux d’estomac.

Demandez le remède remboursé
De plus en plus de médicaments sont déremboursés. Peut-être est-ce le cas pour l’un des vôtres. Demandez à votre médecin traitant de vous prescrire un équivalent remboursé. Presque tous les traitements en ont un. Et si vous n’avez pas d’ordonnance, il vaut mieux choisir quand même la version remboursable d’une même molécule. Un exemple ? Pour deux Ibuprofène, le Nureflex avec sa vignette, et son prix fixe, vous reviendra à 2,28 €, le Nurofen, entre 3 et 4,50 €.

Exigez les tarifs des médecins et des hôpitaux
Quelques clics suffisent. Depuis juillet, le site de la Sécurité sociale, ameli-direct. fr, propose un comparatif des tarifs des actes médicaux des généralistes, des spécialistes, des hôpitaux et des cliniques. Plus d’une centaine de prestations sont répertoriées. Les médecins sont indiqués en secteur 1 (conventionné) ou 2 (conventionné à honoraires libres), avec leurs coordonnées et leurs prix. Le site s’étoffe de jour en jour.

Demandez un devis
On ne le sait pas assez : quand le total honoraire + soins dépasse les 70 €, les professionnels de santé qui dépassent le tarif fixé par la Sécu ont obligation depuis le 1er février 2009 de produire un devis écrit. Tout comme le médecin de secteur 2 qui prévoit une deuxième consultation. Fini les mauvaises surprises !
Quant à vos lunettes, sachez que les écarts de prix sur les verres peuvent atteindre 80 pour cent d’une boutique à l’autre. Et bien sûr, ces commerçants auront tendance à vous conseiller leurs verres les plus chers. Car, vous l’ignoriez peut-être, ils en ont plusieurs : vous n’avez qu’à comparer vos lunettes habituelles avec votre deuxième paire à un euro, vous vous en rendrez compte. Les opticiens aussi sont tenus de vous fournir gratuitement un devis écrit, contenant le prix de la monture, celui de l’offre personnalisée et, à votre demande, celui de l’offre la plus économique respectant la prescription. Comparez ensuite les enseignes.

Comparez
Un devis d’accord, mais comment savoir s’il est trop élevé ? La plupart des sites Internet des mutuelles proposent déjà depuis longtemps d’analyser les devis des dentistes et des opticiens en les comparant avec les offres les moins chères de leur réseau. Libre à vous, ensuite, de changer ou non de praticien. De son côté, la plate-forme Santéclair, qui regroupe de nombreux assureurs (MMA, AGF, Maaf…), propose depuis 2009 de confronter les tarifs de vos devis de chirurgie et d’obstétrique avec ceux de la Sécu, et la moyenne de ceux de votre région.

Négociez
Cela fait un peu marchand de tapis et pourtant… même en chirurgie, ça marche. Selon une étude de la MAAF auprès de 1.000 assurés qui ont demandé un devis chirurgical, les deux tiers ont marchandé et, trois fois sur quatre, ont obtenu gain de cause. Une fois votre devis analysé, rien de plus simple que d’aller gentiment demander des comptes au chirurgien qui vous facture un dépassement excessif. Les ristournes peuvent aller jusqu’à 500 ou 1.000 € !

Utilisez les services des facultés
Cela a l’air d’une blague, mais ça ne l’est pas. Dans les facultés de chirurgie dentaire, les étudiants en 4e ou 5e année se font la main sur de vrais patients, encadrés par leurs professeurs. Les prix sont cassés, de 40 à 50 % moins cher et vous n’avancez pas le tiers payant. En revanche, les soins n’ont lieu que dans les créneaux horaires scolaires et l’attente est longue. Même combine chez les apprentis opticiens.



Le boom des mutuelles santé low cost

Amaguiz (Groupama), Direct-assurance (Axa), IdMacif (Macif)… De plus en plus de Français n’hésitent plus à se tourner vers les complémentaires santé « discount ». Certes, à moindre coût, ces mutuelles couvrent également moins de risques et ne prennent pas en charge les frais dits « de confort » comme la chambre particulière ou les lentilles de contact. En dix ans, le prix des complémentaires santé a bondi de 50 %., atteignant en moyenne 600 € par an. « A garantie égale, on peut espérer économiser 15 % en souscrivant à une couverture santé low cost mieux adaptée », considère Stanislas Di Vittorio, fondateur du comparateur en ligne Assurland.
Selon lui, la meilleure mutuelle n’est pas celle qui rembourse le plus, mais celle qui répond le mieux au consommateur. « Avant même de comparer, il faut savoir ce dont on a besoin et éviter les prestations superflues. Si l’on ne porte pas de lunettes, il est inutile de souscrire à un contrat qui couvre l’optique au maximum, par exemple. Ensuite, il n’y a pas de secret, il faut éplucher et comparer les offres. »
Mais attention aux pièges : toujours demander le montant d’un remboursement, plutôt que le pourcentage. Sur les frais dentaires tellement mal couverts par la Sécu, par exemple, 400 pour cent de pas grand-chose, ça reste… pas grand-chose. Le site communautaire Opinion-assurances.fr permet aux assurés de partager leurs expériences, et ainsi d’éviter les arnaques


France soir

Questions :

1) Expliquez les expressions suivantes :
a)"Un système de santé à deux vitesses"
b) "quand la santé va, tout va !"

2)Commentez les chiffres suivants :
a) "Près d’un tiers des citoyens renoncent désormais à se faire soigner, faute de moyens, alors qu’ils n’étaient encore que 11 % en 2009. Selon ce sondage CSA-Europ Assistance publié vendredi dernier, les sacrifices concernent surtout les soins dentaires et optiques, pour 22 % des Français"

3)Enfin vous commenterez 5 conseils de l'article les plus pertinents dans une même rédaction.


CONSIGNES :

-Vos rédactions à la question 1 ne dépasseront pas 5 lignes pour chaque expression.

-Votre commentaire à la question 2 devra contenir une explication et ne pas dépasser 15 lignes au grand maximum. Soyez synthétiques.

-Les conseils que vous pouvez commenter pour la question 3 sont colorés en rouge dans le texte.Attention à vous de trier les plus pertinents.
L'article ne doit pas être paraphrasé.
La rédaction à la question 3 serra structurée introduction, développement et conclusion, votre développement comportera un paragraphe par type de conseil et enfin votre rédaction se limitera à 25 lignes maximum.

Question 1

- Un systeme de santé a deux vitesses implique qu'il ya une inegalité qui se cree face aux soins.
En effet, la classe moyenne ne pourra avoir acces aux soins par fautes de moyens et d'aides alors que les salires elevé et ceux situés sous le seuil de pauvreté( CMU) pourront en beneficier.


- Cela signifie que la santé est assez determinante dans la vie de tous les jours. Dons sans la santé on s'efface peu a peu de la societé. la Santé c'est la Vie


Question 2

Aujourd'hui 33% des francais ne peuvent consulter par fautes de revenu, alors qu'en 2009 ils etaient seulement 11%. Cela s'explique par le fait que les classes moyennes ont avec le temps perdu des aides que les prix des consultations ont augmenté. De plus ils ne peuvent pas se permettre de souscrire a une mutuelle, cela leur reviendrai trop chere.
Ensuite parmi les soins les plus negligés ce sont les soins dentaires et optiques qui en paient le prix car 1/4 des francais ne les pratiquent pas. Cela est du aleurs tarifs trop onereux et le manque de pris en charge par la secu.

Question 3


De nos jours, les soins deviennent un luxe pour les Francais. Il est difficile de se soigner pour les personnes se situant dans les classes moyennes leurs salaires sont trop faible pour en beneficier.

Ainsi, la question que l'on pourrait se poser est : comment beneficier de soins a moindre cout?

Il suffit pour cela de profiter des avantages de la securité sociale en pratiquant tous les 5 ans un bilan gratuit afin de depister et de prevenir une quelconque maladie grave.

Ensuite les femmes enceintes et les enfants de moins de 7 ans peuvenet beneficier des services de la pmi, et pour cela il n'est pas necessaire d'avoir recours a une mutuelle.

Pour faire des economies, il suffit de demander au medecin traitant de prescrire un medicament remboursé.

Changer nos habitudes officinales, car il ya des divergences de prix entre les pharmacies. Afin d'eviter le gaspillage il vaux mieux comparer les prix pour trouver celle au plus bas prix.

Enfin le dernier conseil porte sur le fait de se faire consulter par des etudiants en fin d'etude surtout dans les domaines des soins dentaires et optiques. Cela rapporte un gain de 50% par rapport aux profesionnelles.

Par consequent, certaines combines permettent de ne pas mettre en peril notre santé, et de beneficier de soins et de mediacements comme tous le monde.
on y va pour 2012 INCHALLAH que ce sera la bonne annee
On y croit a fond!!!
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Re: Actualités concours 2012

Message par mouchou64 »

Pollution de l'air et accouchements prématurés étroitement liés

Des chercheurs américains dévoilent, dans une étude publiée dans la revue Environmental Health, que la pollution de l'air favoriserait les accouchements prématurés.
Les statistiques des accouchements prématurés sont affolants : aux Etats-Unis, un bébé sur huit naît avant 37 semaines de grossesse. Un phénomène que l'on relie bien souvent à l'âge toujours en augmentation des futures mères et aux procréations médicalement assistées. Mais ce n'est pas tout. La pollution de l'air serait aussi un facteur non négligeable.

Selon une enquête réalisée par des chercheurs de l'université de Californie à Los Angeles, le risque de prématurité serait accru de 10 à 30 % avec la pollution. « On savait que la pollution de l’air était associée à un faible poids de naissance et au risque d’accouchement prématuré. Nos résultats montrent que les hydrocarbures aromatiques polycycliques doivent être considérés comme un sujet particulier de préoccupation. D’autant que les sources de ces polluants ne sont pas uniquement automobiles », souligne Beate Ritz, un des auteurs de l’étude.

Risque accru de 30 %

L'étude a été menée sur 100.000 naissances entre 2004 et 2005 dans un rayon de 8 km autour d'une station d'analyse de la qualité de l'air. Il en ressort que le trafic automobile, et donc l'exposition aux hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), accroît le risque de prématurité de 30 %. De la même manière, le nitrate d'ammonium, également lié à la pollution de l'air, mais aussi à la pollution de l'industrie, augmenterait le risque de 21 %. Le benzène et les particules fines issues du diesel amplifieraient le danger de 10%. La concentration de ces polluants augmenterait en hiver, mais serait plus faible sur les zones côtières, en raison du vent notamment.

Comment éviter les risques de pollution et se protéger lorsque l'on est enceinte ? Eviter au maximum, dans les grandes villes, les grosses artères, privilégier la campagne à la ville. Et en dernier recours, manger plus sainement, histoire au moins de compenser les effets de la pollution.

Par Alice Lemard

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J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Un rapport identifie 26 pays fortement touchés par la faim

L'Institut international de recherche sur l'alimentation (IFPRI) s'est associé à trois ONG pour tirer la sonnette d'alarme sur 26 pays, pour la plupart en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud, qui continuent d'afficher des niveaux de faim "alarmants".
Publié mardi 11 octobre, le rapport sur l'Indice de la faim dans le Monde 2011, co-signé par l'IFPRI, ACTED (ONG française), Concern Worldwide (ONG irlandaise) et Welthungerhilfe (ONG allemande), montre que "le nombre de personnes qui souffrent de la faim a reculé depuis 1990, mais pas de manière significative, puisqu'il demeure à un niveau élevé correspondant à une situation 'grave'".

S'appuyant sur des données recueillies entre 2004 et 2009, l'IFPRI a calculé cet indice de la faim (Global Hunger Index ou GHI) à partir de trois critères : le taux de sous-alimentation, le taux de sous-alimentation infantile et le taux de mortalité infantile, avant de classer les pays en 5 catégories : GIH "bas", "modéré", "grave", "alarmant" et "très alarmant".

DES PROGRÈS SUR LA SOUS-ALIMENTATION INFANTILE

Au niveau mondial, le GHI 2011 a diminué de 26 % par rapport à 1990, passant de 19,7 à 14,6 ("grave"), en particulier grâce à la baisse de la sous-alimentation infantile, explique le rapport. Parmi les 26 pays les plus affectés par la faim (sur un total de 122 pays pour lequel l'indice a été calculé), les quatre qui présentent un indice "très alarmant", se situent tous en Afrique subsaharienne : Burundi, Tchad, Erythrée et République démocratique du Congo (RDC).

De même, dans six pays, la faim a empiré entre 1990 et 2011 : la RDC, le Burundi, la Corée du Nord, les Comores, le Swaziland et la Côte d'Ivoire. "Le cas de la RDC ressort particulièrement", note le rapport, qui souligne que le conflit et l'instabilité politique y ont accru le niveau de faim. A l'inverse, entre 1990 et 2011, 19 pays sont sortis des catégories "alarmantes" et "très alarmantes" : parmi eux, l'Angola, le Bangladesh, l'Ethiopie, le Mozambique, le Nicaragua, le Niger et le Vietnam.

CHANGEMENT CLIMATIQUE ET FÉBRILITÉ DES MARCHÉS AGRICOLES

"La hausse récente du niveau et de la volatilité des prix agricoles constitue, comme en 2008, une menace pour la pérennité de la sécurité alimentaire mondiale", note le rapport. Il met en cause "l'utilisation accrue des produits agricoles pour la fabrication de biocarburants, les phénomènes météorologiques extrêmes et le changement climatique, ainsi que l'augmentation excessive du volume des transactions sur les marchés à terme agricoles".

En l'absence de données suffisantes, le classement ne tient pas compte de la situation en Afghanistan, en Irak, en Papouasie-Nouvelle-Guinée et en Somalie. Il ne reflète pas non plus l'impact de la crise alimentaire de 2010-2011, ni la famine qui touche actuellement la Corne de l'Afrique, précise le rapport

Le monde
Montpellier: Admise sur LP!!
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Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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