Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Actualités concours 2012
Sida : le dépistage généralisé n'est pas efficace
Une étude montre qu'il serait préférable de concentrer les efforts de dépistage sur les populations à risque.
En 2010, le ministère de la Santé, le Conseil national du sida et la Haute autorité de santé avaient fait des recommandations afin que toute personne recourant à un médecin se voie proposer régulièrement un test de dépistage du sida, dans l'objectif d'identifier et de traiter tous les patients contaminés sans le savoir. Or, une enquête réalisée sous l'égide du professeur Anne-Claude Crémieux (Hôpital Raymond-Poincaré, Garches) vient de conclure que le dépistage généralisé du sida ne servirait pas à grand-chose et serait très coûteux.
Ce travail, réalisé à l'initiative de l'Agence nationale de recherche et de lutte contre le sida (ANRS), du Sidaction, avec les urgentistes d'Ile-de-France, met en évidence les limites de cette stratégie. Pour les auteurs de l'enquête, publiée mardi sur le site de la revue Archives of Internal Medicine, il serait plus rentable de s'intéresser davantage aux groupes les plus à risques (homosexuels masculins et personnes originaires d'Afrique subsaharienne).
«Notre enquête s'est proposée de vérifier si un tel dépistage systématiquement proposé avait vraiment un intérêt en santé publique dans un pays comme la France, caractérisée par une faible prévalence du sida, mais avec des groupes à risque bien identifiés, explique le Pr Anne-Claude Crémieux. Nous avons choisi de mener cette enquête en Ile-de-France, région où la prévalence du VIH, le virus du sida, est la plus forte. Et au niveau des urgences, puisque 25 % de la population, toutes classes sociales confondues, les fréquentent.» L'étude a été menée dans 29 hôpitaux de mai 2009 à septembre 2010.
Durant cette période, tous les patients de 18 à 64 ans se sont vu offrir, avec leur consentement, un test rapide de détection du VIH. Parmi les 138.691 personnes passées par les urgences pendant les seize mois de l'enquête, 13.229 rentraient dans la tranche d'âge concernée et plus de 12.700 ont effectivement bénéficié d'un test rapide, réalisé par piqûre au bout du doigt par une infirmière dûment formée à cette pratique.
Risque de stigmatisation
Au total, 18 personnes, (soit 0,14 % du groupe), âgées de 32,9 ans en moyenne, ont été testées «positif» pour le VIH. Dans sept cas, il s'agit d'hommes homosexuels et dans dix autres cas d'hétérosexuels originaires d'Afrique subsaharienne. «Plusieurs conclusions peuvent être tirées de cette étude, analyse le Pr Crémieux. D'une part, un tel dépistage est faisable. De surcroît, il a été très bien accepté. En revanche, il apparaît aussi que cette pratique non ciblée sur des groupes exposés à un risque est peu efficace, car 18 personnes positives sur 13.000 testées, c'est très peu. Par ailleurs les cas dépistés aux urgences l'ont été tardivement, alors que la maladie était déjà très évoluée. Si l'on a comme objectif de faire du dépistage plus précoce, il faut procéder différemment.»
Cependant, la principale conclusion des chercheurs est qu'un dépistage élargi à toute la population présente une efficacité limitée : «Toutes les personnes que nous avons dépistées positives appartenaient à des groupes à risque, homosexuels masculins ou individus originaires d'Afrique subsaharienne, sauf une femme du Maghreb pour laquelle nous ne connaissons pas l'origine de la contamination, ajoute le Pr Crémieux. Ce travail confirme qu'un dépistage dirigé vers les groupes à risque serait plus efficace et moins coûteux.»
Mais cette approche se heurte à la crainte de stigmatiser deux groupes particuliers (homosexuels et personnes originaires d'Afrique subsaharienne). Selon Willy Rosenbaum, président du Conseil national du sida, «il est important de maintenir les deux types de dépistage (généralisé et ciblé), car certaines personnes sont dans le déni, ne se reconnaissant pas dans les populations exposées alors qu'elles le sont».
Le figaro
Une étude montre qu'il serait préférable de concentrer les efforts de dépistage sur les populations à risque.
En 2010, le ministère de la Santé, le Conseil national du sida et la Haute autorité de santé avaient fait des recommandations afin que toute personne recourant à un médecin se voie proposer régulièrement un test de dépistage du sida, dans l'objectif d'identifier et de traiter tous les patients contaminés sans le savoir. Or, une enquête réalisée sous l'égide du professeur Anne-Claude Crémieux (Hôpital Raymond-Poincaré, Garches) vient de conclure que le dépistage généralisé du sida ne servirait pas à grand-chose et serait très coûteux.
Ce travail, réalisé à l'initiative de l'Agence nationale de recherche et de lutte contre le sida (ANRS), du Sidaction, avec les urgentistes d'Ile-de-France, met en évidence les limites de cette stratégie. Pour les auteurs de l'enquête, publiée mardi sur le site de la revue Archives of Internal Medicine, il serait plus rentable de s'intéresser davantage aux groupes les plus à risques (homosexuels masculins et personnes originaires d'Afrique subsaharienne).
«Notre enquête s'est proposée de vérifier si un tel dépistage systématiquement proposé avait vraiment un intérêt en santé publique dans un pays comme la France, caractérisée par une faible prévalence du sida, mais avec des groupes à risque bien identifiés, explique le Pr Anne-Claude Crémieux. Nous avons choisi de mener cette enquête en Ile-de-France, région où la prévalence du VIH, le virus du sida, est la plus forte. Et au niveau des urgences, puisque 25 % de la population, toutes classes sociales confondues, les fréquentent.» L'étude a été menée dans 29 hôpitaux de mai 2009 à septembre 2010.
Durant cette période, tous les patients de 18 à 64 ans se sont vu offrir, avec leur consentement, un test rapide de détection du VIH. Parmi les 138.691 personnes passées par les urgences pendant les seize mois de l'enquête, 13.229 rentraient dans la tranche d'âge concernée et plus de 12.700 ont effectivement bénéficié d'un test rapide, réalisé par piqûre au bout du doigt par une infirmière dûment formée à cette pratique.
Risque de stigmatisation
Au total, 18 personnes, (soit 0,14 % du groupe), âgées de 32,9 ans en moyenne, ont été testées «positif» pour le VIH. Dans sept cas, il s'agit d'hommes homosexuels et dans dix autres cas d'hétérosexuels originaires d'Afrique subsaharienne. «Plusieurs conclusions peuvent être tirées de cette étude, analyse le Pr Crémieux. D'une part, un tel dépistage est faisable. De surcroît, il a été très bien accepté. En revanche, il apparaît aussi que cette pratique non ciblée sur des groupes exposés à un risque est peu efficace, car 18 personnes positives sur 13.000 testées, c'est très peu. Par ailleurs les cas dépistés aux urgences l'ont été tardivement, alors que la maladie était déjà très évoluée. Si l'on a comme objectif de faire du dépistage plus précoce, il faut procéder différemment.»
Cependant, la principale conclusion des chercheurs est qu'un dépistage élargi à toute la population présente une efficacité limitée : «Toutes les personnes que nous avons dépistées positives appartenaient à des groupes à risque, homosexuels masculins ou individus originaires d'Afrique subsaharienne, sauf une femme du Maghreb pour laquelle nous ne connaissons pas l'origine de la contamination, ajoute le Pr Crémieux. Ce travail confirme qu'un dépistage dirigé vers les groupes à risque serait plus efficace et moins coûteux.»
Mais cette approche se heurte à la crainte de stigmatiser deux groupes particuliers (homosexuels et personnes originaires d'Afrique subsaharienne). Selon Willy Rosenbaum, président du Conseil national du sida, «il est important de maintenir les deux types de dépistage (généralisé et ciblé), car certaines personnes sont dans le déni, ne se reconnaissant pas dans les populations exposées alors qu'elles le sont».
Le figaro
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Coeur et vaisseaux : la mobilisation s'impose
Les appels aux dons et les informations contre les maladies cardio- et cérébro-vasculaires vont se multiplier dans les jours à venir.
Une minute de perdue après un accident vasculaire cérébral, c'est deux millions de neurones détruits.
Trois événements sous le signe de la prévention et de l'appel aux dons ont lieu cette fin de semaine. La Fondation recherche cardio-vasculaire vient de souligner la nécessité de lancer des études spécifiques sur les maladies touchant les femmes (une population longtemps négligée par les cardiologues), la 3e édition du Donocoeur veut inciter la population à évaluer son profil cardiaque. Enfin, la Journée mondiale de l'accident vasculaire cérébral (AVC) aura lieu samedi.
Les organisateurs de la journée de l'AVC rappellent que cette pathologie touche une personne toutes les 5 secondes dans le monde. En France, chaque année, près de 130 000 individus sont concernés et 62 000 décèdent des suites d'une attaque cérébrale. C'est donc l'une des principales causes de mortalité dans notre pays, le premier motif de handicap acquis de l'adulte et le deuxième de démence. À l'occasion de ce 9e World Stroke Day (Journée mondiale de l'AVC), la Société française neuro-vasculaire, l'ensemble du corps médical et le ministère de la Santé et des Sports se mobilisent pour alerter la population sur les AVC, leurs symptômes, et leurs traitements. Le but est de l'inciter à surveiller sa tension artérielle, principal facteur de risques des AVC, et de la sensibiliser à l'importance de la prise en charge immédiate des victimes, dès les premiers symptômes, en appelant le 15.
L'identification des premiers signes devrait être connue de tous. Un engourdissement, une faiblesse ou une paralysie brutale d'un bras, d'une jambe, du visage ou d'une moitié du corps (c'est l'hémiplégie), des difficultés à parler (aphasie), un trouble de la vision, des problèmes d'équilibre, de coordination ou de marche ainsi qu'un mal de tête sévère et soudain n'ayant aucune cause connue doivent alerter. Même si ces symptômes sont brefs et s'ils régressent en quelques minutes. Il faut agir le plus rapidement possible avant que les lésions ne soient irréversibles. Chaque instant compte. Une minute de perdue, c'est deux millions de neurones détruits...
Le Donocoeur, lui, se focalise sur les maladies cardio-vasculaires, qui tuent chaque année en France 147 000 personnes, soit en moyenne 400 par jour. Certes, grâce aux progrès de la recherche, la mortalité ne cesse de diminuer. Mais la souffrance physique et psychologique consécutive à un accident cardiaque reste forte. C'est pourquoi un test intitulé "J'aime mon coeur" sera disponible dès samedi sur le site de la Fédération française de cardiologie. Les internautes seront invités à tester leurs connaissances et à trouver leur profil type en répondant à un questionnaire santé. Des conseils de prévention personnalisés vont leur permettre d'adopter les bonnes pratiques pour leur coeur.
Enfin, la Fondation recherche cardio-vasculaire Institut de France a annoncé, aujourd'hui, le lancement du premier programme spécifique de recherche clinique et fondamentale pour les femmes. Sa présidente, Danièle Hermann, a rappelé que les maladies cardio-vasculaires sont sept fois plus meurtrières chez les femmes que le cancer du sein. Or, ce risque est encore insuffisamment connu et pris en charge. Pour son combat, elle a réuni des femmes aussi célèbres que Simone Veil, Hélène Carrère d'Encausse, Élisabeth Badinter ou encore Amélie Nothomb et Clémentine Dabadie. Son but est de réunir suffisamment de fonds pour que des études spécifiques soient - enfin - menées chez les femmes, notamment pour que le diagnostic d'infarctus soit mieux posé (malgré des symptômes différents de ceux des hommes) et pour que les traitements soient aussi testés chez elles.
Le point
Les appels aux dons et les informations contre les maladies cardio- et cérébro-vasculaires vont se multiplier dans les jours à venir.
Une minute de perdue après un accident vasculaire cérébral, c'est deux millions de neurones détruits.
Trois événements sous le signe de la prévention et de l'appel aux dons ont lieu cette fin de semaine. La Fondation recherche cardio-vasculaire vient de souligner la nécessité de lancer des études spécifiques sur les maladies touchant les femmes (une population longtemps négligée par les cardiologues), la 3e édition du Donocoeur veut inciter la population à évaluer son profil cardiaque. Enfin, la Journée mondiale de l'accident vasculaire cérébral (AVC) aura lieu samedi.
Les organisateurs de la journée de l'AVC rappellent que cette pathologie touche une personne toutes les 5 secondes dans le monde. En France, chaque année, près de 130 000 individus sont concernés et 62 000 décèdent des suites d'une attaque cérébrale. C'est donc l'une des principales causes de mortalité dans notre pays, le premier motif de handicap acquis de l'adulte et le deuxième de démence. À l'occasion de ce 9e World Stroke Day (Journée mondiale de l'AVC), la Société française neuro-vasculaire, l'ensemble du corps médical et le ministère de la Santé et des Sports se mobilisent pour alerter la population sur les AVC, leurs symptômes, et leurs traitements. Le but est de l'inciter à surveiller sa tension artérielle, principal facteur de risques des AVC, et de la sensibiliser à l'importance de la prise en charge immédiate des victimes, dès les premiers symptômes, en appelant le 15.
L'identification des premiers signes devrait être connue de tous. Un engourdissement, une faiblesse ou une paralysie brutale d'un bras, d'une jambe, du visage ou d'une moitié du corps (c'est l'hémiplégie), des difficultés à parler (aphasie), un trouble de la vision, des problèmes d'équilibre, de coordination ou de marche ainsi qu'un mal de tête sévère et soudain n'ayant aucune cause connue doivent alerter. Même si ces symptômes sont brefs et s'ils régressent en quelques minutes. Il faut agir le plus rapidement possible avant que les lésions ne soient irréversibles. Chaque instant compte. Une minute de perdue, c'est deux millions de neurones détruits...
Le Donocoeur, lui, se focalise sur les maladies cardio-vasculaires, qui tuent chaque année en France 147 000 personnes, soit en moyenne 400 par jour. Certes, grâce aux progrès de la recherche, la mortalité ne cesse de diminuer. Mais la souffrance physique et psychologique consécutive à un accident cardiaque reste forte. C'est pourquoi un test intitulé "J'aime mon coeur" sera disponible dès samedi sur le site de la Fédération française de cardiologie. Les internautes seront invités à tester leurs connaissances et à trouver leur profil type en répondant à un questionnaire santé. Des conseils de prévention personnalisés vont leur permettre d'adopter les bonnes pratiques pour leur coeur.
Enfin, la Fondation recherche cardio-vasculaire Institut de France a annoncé, aujourd'hui, le lancement du premier programme spécifique de recherche clinique et fondamentale pour les femmes. Sa présidente, Danièle Hermann, a rappelé que les maladies cardio-vasculaires sont sept fois plus meurtrières chez les femmes que le cancer du sein. Or, ce risque est encore insuffisamment connu et pris en charge. Pour son combat, elle a réuni des femmes aussi célèbres que Simone Veil, Hélène Carrère d'Encausse, Élisabeth Badinter ou encore Amélie Nothomb et Clémentine Dabadie. Son but est de réunir suffisamment de fonds pour que des études spécifiques soient - enfin - menées chez les femmes, notamment pour que le diagnostic d'infarctus soit mieux posé (malgré des symptômes différents de ceux des hommes) et pour que les traitements soient aussi testés chez elles.
Le point
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
L'Académie de chirurgie s'intéresse à la taille des pénis
La chirurgie destinée à allonger le sexe masculin ou à en augmenter le diamètre doit être réservée à des cas bien particuliers.
Si les dimensions de leur pénis préoccupent un grand nombre d'hommes, les spécialistes font la différence entre le "mini-pénis" et le "syndrome du vestiaire", dont les "conséquences fonctionnelles et psychologiques" ne sont pas les mêmes sur la vie sexuelle. C'est sans doute l'une des raisons pour laquelle l'Académie nationale de chirurgie vient de rappeler quelques notions très utiles avant d'envisager toute intervention chirurgicale. Selon ses experts, la longueur moyenne du sexe masculin est de 9 centimètres environ au repos et de 13 à 14 centimètres en érection. Quant à son périmètre, il est de 8 à 9 centimètres au repos, 10 à 10,5 centimètres en érection.
Une équipe parisienne a présenté, à la dernière session, une étude rétrospective de ses patients opérés d'un allongement et/ou d'un élargissement de la verge au cours des dix dernières années. Toutes ces interventions ont été réalisées pour des raisons esthétiques pures, bien que dans 11 % des cas coexistait une pathologie associée qui a pu être traitée dans le même temps, ont précisé le docteur Sylvie Abraham et ses collègues. "Alors que les patients consultent généralement pour une intervention mixte, l'élargissement exclusif a été réalisé dans 88 % des cas ; ce n'est que dans 11 % des cas qu'il a été associé à un allongement, tandis que l'allongement exclusif n'a été pratiqué que quand l'élargissement s'avérait techniquement impossible", précise la spécialiste.
85 % des demandeurs dans la moyenne
Les résultats sont les suivants : le gain moyen en circonférence est de 2,3 cm. Il est efficace tant au repos qu'en érection, alors que le gain moyen en longueur est de 4,2 cm et ne porte que sur la verge à l'état flaccide. "Les complications sont rares, essentiellement des défauts d'ordre cosmétique et accessibles à des retouches", ajoute-t-elle. La fonction sexuelle est parfaitement respectée et les patients n'ont rencontré aucune difficulté secondaire.
Le docteur Ronald Virag et ses confrères ont, eux, présenté un travail sur la chirurgie non plus esthétique, mais fonctionnelle du pénis. Elle s'adresse, selon cet autre spécialiste parisien, "à des patients souffrant de la petitesse ou de la gracilité d'un pénis par ailleurs d'aspect normal morphologiquement. La longueur après une érection (provoquée par des médicaments) est inférieure à 8 centimètres, tout comme le périmètre caverneux." Selon son expérience, plus de 85 % des demandeurs ont un pénis ayant une dimension dans les normes moyennes de la population.
Complications
"Notre rôle est alors pédagogique", note-t-il. Sans rejeter formellement la demande, il faut démontrer qu'elle n'est pas fondée en se souvenant que toute chirurgie, a fortiori au niveau d'un organe comme le pénis, est une prise de risque. "Dans notre série, huit patients sur dix ont bénéficié de l'allongement, dont quatre avec section du ligament suspenseur du pénis, une technique abandonnée depuis, car suspectée d'induire des insuffisances de maintien de l'érection. Dans quatre cas, un allongement et un élargissement ont été pratiqués." Les gains en longueur sont de 3 à 4 centimètres et en périmètre de 2,5 à 5 centimètres. Sept de ses opérés sont satisfaits du résultat et ont une activité sexuelle. Néanmoins, les complications ne sont pas rares, notamment au niveau sensitif : douleurs résiduelles et insensibilité passagère. D'où la légitime prudence des chirurgiens.
Le point
La chirurgie destinée à allonger le sexe masculin ou à en augmenter le diamètre doit être réservée à des cas bien particuliers.
Si les dimensions de leur pénis préoccupent un grand nombre d'hommes, les spécialistes font la différence entre le "mini-pénis" et le "syndrome du vestiaire", dont les "conséquences fonctionnelles et psychologiques" ne sont pas les mêmes sur la vie sexuelle. C'est sans doute l'une des raisons pour laquelle l'Académie nationale de chirurgie vient de rappeler quelques notions très utiles avant d'envisager toute intervention chirurgicale. Selon ses experts, la longueur moyenne du sexe masculin est de 9 centimètres environ au repos et de 13 à 14 centimètres en érection. Quant à son périmètre, il est de 8 à 9 centimètres au repos, 10 à 10,5 centimètres en érection.
Une équipe parisienne a présenté, à la dernière session, une étude rétrospective de ses patients opérés d'un allongement et/ou d'un élargissement de la verge au cours des dix dernières années. Toutes ces interventions ont été réalisées pour des raisons esthétiques pures, bien que dans 11 % des cas coexistait une pathologie associée qui a pu être traitée dans le même temps, ont précisé le docteur Sylvie Abraham et ses collègues. "Alors que les patients consultent généralement pour une intervention mixte, l'élargissement exclusif a été réalisé dans 88 % des cas ; ce n'est que dans 11 % des cas qu'il a été associé à un allongement, tandis que l'allongement exclusif n'a été pratiqué que quand l'élargissement s'avérait techniquement impossible", précise la spécialiste.
85 % des demandeurs dans la moyenne
Les résultats sont les suivants : le gain moyen en circonférence est de 2,3 cm. Il est efficace tant au repos qu'en érection, alors que le gain moyen en longueur est de 4,2 cm et ne porte que sur la verge à l'état flaccide. "Les complications sont rares, essentiellement des défauts d'ordre cosmétique et accessibles à des retouches", ajoute-t-elle. La fonction sexuelle est parfaitement respectée et les patients n'ont rencontré aucune difficulté secondaire.
Le docteur Ronald Virag et ses confrères ont, eux, présenté un travail sur la chirurgie non plus esthétique, mais fonctionnelle du pénis. Elle s'adresse, selon cet autre spécialiste parisien, "à des patients souffrant de la petitesse ou de la gracilité d'un pénis par ailleurs d'aspect normal morphologiquement. La longueur après une érection (provoquée par des médicaments) est inférieure à 8 centimètres, tout comme le périmètre caverneux." Selon son expérience, plus de 85 % des demandeurs ont un pénis ayant une dimension dans les normes moyennes de la population.
Complications
"Notre rôle est alors pédagogique", note-t-il. Sans rejeter formellement la demande, il faut démontrer qu'elle n'est pas fondée en se souvenant que toute chirurgie, a fortiori au niveau d'un organe comme le pénis, est une prise de risque. "Dans notre série, huit patients sur dix ont bénéficié de l'allongement, dont quatre avec section du ligament suspenseur du pénis, une technique abandonnée depuis, car suspectée d'induire des insuffisances de maintien de l'érection. Dans quatre cas, un allongement et un élargissement ont été pratiqués." Les gains en longueur sont de 3 à 4 centimètres et en périmètre de 2,5 à 5 centimètres. Sept de ses opérés sont satisfaits du résultat et ont une activité sexuelle. Néanmoins, les complications ne sont pas rares, notamment au niveau sensitif : douleurs résiduelles et insensibilité passagère. D'où la légitime prudence des chirurgiens.
Le point
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
L'osthéopatie, une thérapie qui mise sur la douceur
Contrairement à une idée reçue, il n'est pas nécessaire d'avoir mal ni d'entendre un craquement pour que la séance soit efficace.
Tout comme le médecin peut s'appuyer sur différentes classes de médicaments pour soigner une même maladie, l'ostéopathe s'appuie sur différentes techniques pour retrouver le point d'équilibre. C'est un «mécanicien» de haute précision du corps qui, tel l'horloger suisse, corrige les réflexes posturaux anormaux pour aider le corps à retrouver son équilibre.
Certains travaillent sur l'ensemble du corps alors que d'autres font surtout de l'ostéopathie crânienne. «Une nouvelle technique encore confidentielle a même été présentée au Canada : l'ostéopathie aquatique, ainsi appelée parce que la séance est pratiquée sur une personne plongée dans une eau à 35 °C, pour l'aider à relâcher son tonus musculaire de base et ainsi faciliter le travail de l'ostéopathe», remarque Fabienne Glock, responsable du département ostéopathie du service maternité de la clinique Vauban (Ile-de-France).
Aussi nombreuses soient ces techniques, elles ont un point commun : elles ne sont pas douloureuses et contrairement à une idée reçue chez 44 % des Français (sondage OpinionWay, 2010), il n'y a pas besoin d'entendre une sorte de craquement pour signifier que la séance a été efficace.
«En fait, contrairement au chiropracteur qui agit exclusivement au niveau du squelette, l'ostéopathe travaille également sur les tendons, les ligaments, les muscles et même les fascias, c'est-à-dire les membranes de tissu conjonctif enveloppant des groupes de muscles ou de viscères et assurant leur maintien. Autre différence avec la chiropraxie : chez l'ostéopathe, seulement 20 % du travail se passe sur la table du cabinet. Les 80 % restants, c'est le corps qui les fait, parfois dans les heures qui suivent, parfois dans un laps de temps plus long : en général, 3 semaines au maximum», poursuit Fabienne Glock.
Une à trois séances suffisent
En effet, pour parvenir à ses fins, l'ostéopathe a rarement besoin de multiplier les consultations : en moyenne, une à trois séances suffisent pour débloquer la plupart des troubles constatés, exception faite de quelques pathologies comme un canal lombaire étroit (qui se traduit par des difficultés à rester debout au bout de quelques minutes et donc le besoin de s'adosser à un mur) pouvant nécessiter six séances étalées sur un an (en s'aidant parfois d'infiltrations réalisées par le médecin). Par ailleurs, quand on a décelé un point faible, il faut parfois revenir quelques mois plus tard, pour prévenir une récidive. Et revenir, bien sûr, lorsqu'un nouveau blocage se produit.
Il y a guérison quand l'organisme retrouve une posture normale et donc un fonctionnement optimal. Comment ? Sur ce point, les avis divergent. «Nous pensons que les thérapies manuelles règlent certains dysfonctionnements neuromusculaires et c'est d'ailleurs de ce côté que la Société française de médecine manuelle orthopédique et ostéopathique (Sofmmoo) oriente ses recherches», explique le Dr Teisseire. Pour certains ostéopathes, les petits vaisseaux nourriciers des tissus et organes pourraient aussi être impliqués, d'où une volonté de rétablir tous ces flux. Un concept qui n'est pas sans rappeler les flux énergétiques en acupuncture, mais qui à ce jour n'a pas encore été prouvé. L'ostéopathie n'a donc plus le choix : elle doit organiser sa recherche, et vite !
LE figaro
Contrairement à une idée reçue, il n'est pas nécessaire d'avoir mal ni d'entendre un craquement pour que la séance soit efficace.
Tout comme le médecin peut s'appuyer sur différentes classes de médicaments pour soigner une même maladie, l'ostéopathe s'appuie sur différentes techniques pour retrouver le point d'équilibre. C'est un «mécanicien» de haute précision du corps qui, tel l'horloger suisse, corrige les réflexes posturaux anormaux pour aider le corps à retrouver son équilibre.
Certains travaillent sur l'ensemble du corps alors que d'autres font surtout de l'ostéopathie crânienne. «Une nouvelle technique encore confidentielle a même été présentée au Canada : l'ostéopathie aquatique, ainsi appelée parce que la séance est pratiquée sur une personne plongée dans une eau à 35 °C, pour l'aider à relâcher son tonus musculaire de base et ainsi faciliter le travail de l'ostéopathe», remarque Fabienne Glock, responsable du département ostéopathie du service maternité de la clinique Vauban (Ile-de-France).
Aussi nombreuses soient ces techniques, elles ont un point commun : elles ne sont pas douloureuses et contrairement à une idée reçue chez 44 % des Français (sondage OpinionWay, 2010), il n'y a pas besoin d'entendre une sorte de craquement pour signifier que la séance a été efficace.
«En fait, contrairement au chiropracteur qui agit exclusivement au niveau du squelette, l'ostéopathe travaille également sur les tendons, les ligaments, les muscles et même les fascias, c'est-à-dire les membranes de tissu conjonctif enveloppant des groupes de muscles ou de viscères et assurant leur maintien. Autre différence avec la chiropraxie : chez l'ostéopathe, seulement 20 % du travail se passe sur la table du cabinet. Les 80 % restants, c'est le corps qui les fait, parfois dans les heures qui suivent, parfois dans un laps de temps plus long : en général, 3 semaines au maximum», poursuit Fabienne Glock.
Une à trois séances suffisent
En effet, pour parvenir à ses fins, l'ostéopathe a rarement besoin de multiplier les consultations : en moyenne, une à trois séances suffisent pour débloquer la plupart des troubles constatés, exception faite de quelques pathologies comme un canal lombaire étroit (qui se traduit par des difficultés à rester debout au bout de quelques minutes et donc le besoin de s'adosser à un mur) pouvant nécessiter six séances étalées sur un an (en s'aidant parfois d'infiltrations réalisées par le médecin). Par ailleurs, quand on a décelé un point faible, il faut parfois revenir quelques mois plus tard, pour prévenir une récidive. Et revenir, bien sûr, lorsqu'un nouveau blocage se produit.
Il y a guérison quand l'organisme retrouve une posture normale et donc un fonctionnement optimal. Comment ? Sur ce point, les avis divergent. «Nous pensons que les thérapies manuelles règlent certains dysfonctionnements neuromusculaires et c'est d'ailleurs de ce côté que la Société française de médecine manuelle orthopédique et ostéopathique (Sofmmoo) oriente ses recherches», explique le Dr Teisseire. Pour certains ostéopathes, les petits vaisseaux nourriciers des tissus et organes pourraient aussi être impliqués, d'où une volonté de rétablir tous ces flux. Un concept qui n'est pas sans rappeler les flux énergétiques en acupuncture, mais qui à ce jour n'a pas encore été prouvé. L'ostéopathie n'a donc plus le choix : elle doit organiser sa recherche, et vite !
LE figaro
INFIRMIERE D.E
Re: Entraînement culture générale 2012
Merci Mémo, j'ai repris les infos 
Je vais suivre le post plus souvent pour noter les bons conseils d'Angélito et essayer de faire plus d'annales

Je vais suivre le post plus souvent pour noter les bons conseils d'Angélito et essayer de faire plus d'annales

INFIRMIERE D.E
Re: Entraînement culture générale 2012
Memo a écrit :Oulà!! Je vois que vous avez beaucoup posté depuis quelque jours..
Je jeterais un oeil dessus plus tard.![]()
Jen 18!!!
Je n'ai pas oublié ton petit exercice, loin de là!! Je l'ai mis dans un coin de ma tête le temps de finir ceux d'Angelito.
Surtout que je dois t'avouer que je n'ai pas encore travailler ce sujet là....
Alors je vais essayer....![]()
Je te mets mon brouillon!!
Actualité:
-1 pers sur 2 en maison de retraite est atteinte d'Alzeimer: Intro
-Le problème de l' "errance" dû à Alzeimer: 15% des personnes disparus qu'on retrouve souvent trop tard.
-Système de vidéo surveillance permettant au proche de sortir sans crainte.
-Benzodiazépines favorisent la démence - Benzodiazépines trop utilisé besoin d'ordonance sécurisé. Ouverture!! La prévention de la maladie!!
-Le train d'alzeimer
-La lecture pour entretenir leur mémoire
-Les menus qu'on peut manger à la main.
-1 médicament si on prend plus tôt réduit la progression de la maladie
Intro:
-Les aidants familiaux définition: Personne venant en aide à une personne agée de son entourage (ou à un handicapé, mais là on parle d'alzeimer!!) pour l'accompagner dans ses activité quotidiennes
-Azeimer définition:Maladie neurodégénérative, se manifestant à travers des pertes de mémoires
Aider les aidants familiaux!!!!!
-Information à travers le train d'Alzeimer des aides pouvant être mise en place, différentes association qui accompagne l'aidant famillial dans ses démarches admistratives ou dans les gestes à avoir envers le malade.
-Les aides économiques: Allocation personnalisée autonomie APA, crédit d'impôt pour les travaux d'aménagement de la maison, Chéques emploi service.
Petite question: je sais qu'il y a une aide journalière versée aux parents s'occupant de leur enfant handicapé. Il y en a aussi pour les personnes s'occupant de leur parent atteint d'alzeimer???
-Les aides des personnels de santé: SIAD Soin infirmier à domicile par l'intermédiaire d'Infirmière libéral, AS Aide soignante, kinesithérapie ou autre confort
-Les aides à travers les établissements de santé: Accueil de jour, de nuit, personnel compétent
Prise en charge des personnes malades!!!
-Depistage précoce: Atelier du souvenir...
-Maintient de leur autonomie: menu adapté: bouché à consomer seul
-Aide à la stimulation de leur mémoire: la lecture
-La technologie: Système de vidéo surveillance à domicile, et différent système de sécurité dans les établissement de santé pour lutter contre l'errance des personnes agées
Question??? On peut parler des soins palliatifs en fin de vie????
Conclusion:
Benzodiazépine et nouveau traitement...
Coucou Mémo,
Déjà je m'excuse pour le retard

Donc j'ai bien regardé ton développement, tu as de très bonnes idées sauf que je te propose quelques pistes

En intro :
- Je te conseille de mettre quelques chiffres sur le nombre de personnes âgées dépendantes aujourd'hui et en 2020 et le nombre de personnes qui ont la maladie d'Alzheimer en France
- Grande cause nationale en 2007 : M.A
- Je te conseille également de mettre une définition à l'introduction sur la maladie d'Alzheimer, ça va te paraitre tout bête peut-être mais c'est vraiment la méthode de la culture G qu'on m'a apprise ..
Ensuite avant de parler, comment aider les aidants familiaux tu expliques en 4/5 lignes pourquoi les aidants familiaux ont de plus en plus de difficultés de prendre en charge leurs proches ..+ déf aidant familial ou naturel (on dit les deux pour pas répéter tout le temps dans une copie aidant familial)
- Le nombre moyen d'aidants potentiels devrait baisser d'ici 2040.
- Pourquoi ? Plan physique et psychologique, Fatigue, éloignement du domicile parental, surcharge due à la multiplicité des tâches à accomplir, éclatement des familles avec une séparation plus fréquente des couples..Là tu parles en deux mots du divorce..il est important de faire le lien aussi avec un autre thème..
Donc dans les solutions, elles me paraissent bien, tu pourrais rajouter :
- la Wii qui pourrait être plus développer dans les maisons de retraite et qui pourraient être proposée au domicile, et donc qu'est ce que ça permettrait ? lien inter générationnel, distraire les résidents dans une maison de retraite, maintenir les personnes âgées en éveil, de stimuler leur mémoire etc..
- Ensuite, vu que tu passes le concours infirmier, et que je l'espère tu vas devenir infirmière, c'est de parler du rôle de l'infirmière, que l'infirmière a un rôle propre mais aussi un rôle de collaboration : informer la famille sur la M.A, donner des conseils sur le réaménagement du domicile dans le cas du maintien à domicile, sur les différentes structures d'accueil..L'infirmière a aussi un rôle de collaboratrice

- Formation du personnel des maisons de retraite. Ils ne sont pas assez formés à la prise en charge de ces troubles puisque environ 20% des établissements ont moins de 30% de personnel formé..
Et pour la conclusion elle est vraiment bien

Pour répondre à ta première question, je ne suis pas sûre mais je ne pense pas..
Pour ta deuxième question, je sais pas du tout si on on peut en parler ..
Voilà dis moi ce que tu en penses

Encore désolée!

S1 : EHPAD
S2 : Long séjour
Re: Actualités concours 2012
La rémunération du congé parental ne sera pas fiscalisée
L'Assemblée a supprimé mercredi 26 octobre en séance de nuit, une disposition du projet de loi de financement de la Sécurité sociale assujettissant la rémunération du congé parental à la contribution sociale généralisée (CSG).
Les députés avaient déjà décidé la semaine dernière, en commission et à l'unanimité, de ne pas conserver cette disposition dont le rendement espéré était de 140 millions d'euros.
Christian Jacob, chef de file des députés UMP, était lui-même monté au créneau pour dénoncer "ce coup de canif à la politique familiale" porté, selon lui, par le projet du gouvernement d'assujettir le complément de libre choix d'activité (CLCA) à la CSG.
Marisol Touraine (PS) a expliqué que si les députés socialistes votaient la suppression de la mesure, cela ne signifiait "pas un soutien sans condition de (leur) part à ce type d'allocation qui sert trop souvent de refuge à des femmes qui n'arrivent pas à accéder au marché de l'emploi ni à un système de garde".
PERTE COMPENSÉE
Pour compenser la perte ainsi occasionnée de 140 millions, l'Assemblée a adopté un amendement d'Isabelle Vasseur (UMP) réduisant à 1,75 % l'abattement pour frais professionnels applicable aux revenus d'activité.
Les députés avaient précédemment voté une proposition gouvernementale prévoyant de réduire de 3 % à 2 % l'abattement pour frais professionnels applicable aux revenus d'activité pour leur assujettissement à la CSG.
Yves Bur, rapporteur UMP du budget de la Sécurité sociale, a de son côté proposé de reporter l'indexation des prestations familiales au 1er avril en compensation de la suppression de la mesure gouvernementale afin que celle-ci soit gagée sur la branche famille. Valérie Pécresse, ministre du Budget, a pris acte de cet engagement.
Le monde
L'Assemblée a supprimé mercredi 26 octobre en séance de nuit, une disposition du projet de loi de financement de la Sécurité sociale assujettissant la rémunération du congé parental à la contribution sociale généralisée (CSG).
Les députés avaient déjà décidé la semaine dernière, en commission et à l'unanimité, de ne pas conserver cette disposition dont le rendement espéré était de 140 millions d'euros.
Christian Jacob, chef de file des députés UMP, était lui-même monté au créneau pour dénoncer "ce coup de canif à la politique familiale" porté, selon lui, par le projet du gouvernement d'assujettir le complément de libre choix d'activité (CLCA) à la CSG.
Marisol Touraine (PS) a expliqué que si les députés socialistes votaient la suppression de la mesure, cela ne signifiait "pas un soutien sans condition de (leur) part à ce type d'allocation qui sert trop souvent de refuge à des femmes qui n'arrivent pas à accéder au marché de l'emploi ni à un système de garde".
PERTE COMPENSÉE
Pour compenser la perte ainsi occasionnée de 140 millions, l'Assemblée a adopté un amendement d'Isabelle Vasseur (UMP) réduisant à 1,75 % l'abattement pour frais professionnels applicable aux revenus d'activité.
Les députés avaient précédemment voté une proposition gouvernementale prévoyant de réduire de 3 % à 2 % l'abattement pour frais professionnels applicable aux revenus d'activité pour leur assujettissement à la CSG.
Yves Bur, rapporteur UMP du budget de la Sécurité sociale, a de son côté proposé de reporter l'indexation des prestations familiales au 1er avril en compensation de la suppression de la mesure gouvernementale afin que celle-ci soit gagée sur la branche famille. Valérie Pécresse, ministre du Budget, a pris acte de cet engagement.
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Re: Actualités concours 2012
Passeport biométrique : Le gouvernement doit revoir sa copie
Le Conseil d'Etat, la plus haute juridiction administrative française, a validé ce mercredi la création du passeport biométrique de 2008, mais a jugé irrégulière la création d'un fichier centralisé avec huit empreintes digitales prises lors de la demande de passeport.
Cette validation était attendue. Et elle n'est pas une surprise. Le Conseil d'Etat a accepté ce mercredi la création du passeport biométrique, contesté par des associations de défense des droits. En revanche, il rejette l'argument selon lequel la collecte et le traitement de deux données biométriques personnelles, des empreintes digitales et une photo spéciale, violeraient les droits fondamentaux. Cependant, il a censuré la création d'un fichier avec huit empreintes digitales prises lors de la demande de passeport, puisque seules deux sont utilisées pour la confection du document.
Dans un communiqué, il a expliqué : « a jugé que la collecte et la conservation d'un plus grand nombre d'empreintes digitales que celles figurant dans le composant électronique ne sont ni adéquates, ni pertinentes et apparaissent excessives au regard des finalités du traitement informatisé. » La haute juridiction administrative avait été saisie de plusieurs recours déposés par des particuliers, des associations de défense des droits et des professionnels de la photographie, contre le décret de 2008 instituant ce passeport biométrique. Le Conseil d'Etat a donc annulé partiellement l'article 5 du décret, qui prévoyait la conservation de huit empreintes digitales, mais a validé la création du fichier en soi car il permet de « s'assurer de l'absence de falsification ».
Le gouvernement devra effacer six des huit empreintes
C'est bien l'annulation partielle de l'article 5 qui met le gouvernement dans l'embarras. Selon le ministère de l'Intérieur, 6,3 millions de personnes se trouvent déjà dans la base de données. Or, après cette décision du Conseil d'Etat, le gouvernement devra désormais procéder à l'effacement de six des huit empreintes conservées dans la base informatique, dossier par dossier. « Le gouvernement savait qu'il excédait sciemment son pouvoir en refusant d'appliquer des recommandations et des réglementations européennes pourtant exemptes de difficulté d'interprétation », a rappelé Christophe Leguevaques, un des avocats des contestataires.
Le Conseil juge que ce fichier central ne porte pas « une atteinte disproportionnée » au droit des individus au respect de leur vie privée, par rapport aux « buts de protection de l'ordre public en vue desquels il a été créé ». En outre, il a débouté les professionnels de la photographie, qui contestaient la prise de clichés pour les passeports directement par l'administration, soutenant que cela portait atteinte au principe de liberté du commerce
France soir
Le Conseil d'Etat, la plus haute juridiction administrative française, a validé ce mercredi la création du passeport biométrique de 2008, mais a jugé irrégulière la création d'un fichier centralisé avec huit empreintes digitales prises lors de la demande de passeport.
Cette validation était attendue. Et elle n'est pas une surprise. Le Conseil d'Etat a accepté ce mercredi la création du passeport biométrique, contesté par des associations de défense des droits. En revanche, il rejette l'argument selon lequel la collecte et le traitement de deux données biométriques personnelles, des empreintes digitales et une photo spéciale, violeraient les droits fondamentaux. Cependant, il a censuré la création d'un fichier avec huit empreintes digitales prises lors de la demande de passeport, puisque seules deux sont utilisées pour la confection du document.
Dans un communiqué, il a expliqué : « a jugé que la collecte et la conservation d'un plus grand nombre d'empreintes digitales que celles figurant dans le composant électronique ne sont ni adéquates, ni pertinentes et apparaissent excessives au regard des finalités du traitement informatisé. » La haute juridiction administrative avait été saisie de plusieurs recours déposés par des particuliers, des associations de défense des droits et des professionnels de la photographie, contre le décret de 2008 instituant ce passeport biométrique. Le Conseil d'Etat a donc annulé partiellement l'article 5 du décret, qui prévoyait la conservation de huit empreintes digitales, mais a validé la création du fichier en soi car il permet de « s'assurer de l'absence de falsification ».
Le gouvernement devra effacer six des huit empreintes
C'est bien l'annulation partielle de l'article 5 qui met le gouvernement dans l'embarras. Selon le ministère de l'Intérieur, 6,3 millions de personnes se trouvent déjà dans la base de données. Or, après cette décision du Conseil d'Etat, le gouvernement devra désormais procéder à l'effacement de six des huit empreintes conservées dans la base informatique, dossier par dossier. « Le gouvernement savait qu'il excédait sciemment son pouvoir en refusant d'appliquer des recommandations et des réglementations européennes pourtant exemptes de difficulté d'interprétation », a rappelé Christophe Leguevaques, un des avocats des contestataires.
Le Conseil juge que ce fichier central ne porte pas « une atteinte disproportionnée » au droit des individus au respect de leur vie privée, par rapport aux « buts de protection de l'ordre public en vue desquels il a été créé ». En outre, il a débouté les professionnels de la photographie, qui contestaient la prise de clichés pour les passeports directement par l'administration, soutenant que cela portait atteinte au principe de liberté du commerce
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Re: Actualités concours 2012
Immolation : Encore une tentative devant l'Élysée, mais pas que...
Les immolations par le feu se succèdent depuis plusieurs semaines, en France. Peu après la dernière tentative par une femme mal-logée devant l’Élysée, ce mercredi, cette pratique pose quelques questions.
Mais pourquoi s'immoler par le feu ? Alors que les faits divers concernant cette pratique occupent de plus en plus de place dans nos journaux du matin, l'incompréhension demeure. Littéralement, une immolation représente un sacrifice divin. Le terme provient du latin immolare signifiant offrir un sacrifice. Néanmoins, les temps changent. Et de nos jours, s'immoler n'a pas grand chose de religieux. Dans un contexte économique très difficile et épuisant pour de nombreuses personnes, cette manière de se suicider s'est notamment répandue après les révoltes arabes et le passage à l'acte du Tunisien Mohamed Bouazizi. Aujourd'hui, elle prend également place en France.
Un sacrifice social dans un contexte étouffant
Les psychologues affirment que ce geste relève d'une désespérance profonde face à une situation extrême. Il est destiné à dénoncer ce malaise d'une manière qui soit la plus impressionnante possible. Dans le cas de la femme de 68 ans s'étant immolée devant l’Élysée ce mercredi, ce sont les problèmes de logements qui ont attisé la tentative de suicide. La raison d'un tel sacrifice n'est plus d'ordre religieux mais plutôt social et psychologique. En revanche, l'acte d'immolation reste mineur comparé aux autres moyens de suicide contrairement à ce que laissent supposer les médias.
De nombreux cas en France
Outre le fait divers de ce mercredi, les immolations par le feu se sont succédées ces dernières semaines. Le 23 octobre dernier, un homme est passé à l'action devant un commissariat après avoir poignardé sa concubine, à Longjumeau (Essonne). Une femme tentait aussi de s'immoler près de Toulouse ce mois-ci. Difficile également d'oublier la mort dans les mêmes circonstances d'une enseignante à Béziers. Chaque fois, un tel acte suicidaire reflète un malaise social profond. Et le lieu est souvent symbolique...
France soir
Les immolations par le feu se succèdent depuis plusieurs semaines, en France. Peu après la dernière tentative par une femme mal-logée devant l’Élysée, ce mercredi, cette pratique pose quelques questions.
Mais pourquoi s'immoler par le feu ? Alors que les faits divers concernant cette pratique occupent de plus en plus de place dans nos journaux du matin, l'incompréhension demeure. Littéralement, une immolation représente un sacrifice divin. Le terme provient du latin immolare signifiant offrir un sacrifice. Néanmoins, les temps changent. Et de nos jours, s'immoler n'a pas grand chose de religieux. Dans un contexte économique très difficile et épuisant pour de nombreuses personnes, cette manière de se suicider s'est notamment répandue après les révoltes arabes et le passage à l'acte du Tunisien Mohamed Bouazizi. Aujourd'hui, elle prend également place en France.
Un sacrifice social dans un contexte étouffant
Les psychologues affirment que ce geste relève d'une désespérance profonde face à une situation extrême. Il est destiné à dénoncer ce malaise d'une manière qui soit la plus impressionnante possible. Dans le cas de la femme de 68 ans s'étant immolée devant l’Élysée ce mercredi, ce sont les problèmes de logements qui ont attisé la tentative de suicide. La raison d'un tel sacrifice n'est plus d'ordre religieux mais plutôt social et psychologique. En revanche, l'acte d'immolation reste mineur comparé aux autres moyens de suicide contrairement à ce que laissent supposer les médias.
De nombreux cas en France
Outre le fait divers de ce mercredi, les immolations par le feu se sont succédées ces dernières semaines. Le 23 octobre dernier, un homme est passé à l'action devant un commissariat après avoir poignardé sa concubine, à Longjumeau (Essonne). Une femme tentait aussi de s'immoler près de Toulouse ce mois-ci. Difficile également d'oublier la mort dans les mêmes circonstances d'une enseignante à Béziers. Chaque fois, un tel acte suicidaire reflète un malaise social profond. Et le lieu est souvent symbolique...
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Re: Actualités concours 2012
Hausse de la TVA : le débat n'est «pas tranché» selon Baroin
Pour réduire les déficits publics, une hausse de la TVA est à l’étude. Elle rapporterait jusqu’à 6,5 Mds€. Mais le débat sur le le sujet lancé par plusieurs parlementaires, «n'est pas tranché», a toutefois affirmé jeudi le ministre de l'Economie, François Baroin, en précisant qu'il revenait aux responsables de l'exécutif de rendre les arbitrages nécessaires. «Nous le trancherons à l'intérieur du gouvernement avec des arbitrages qui seront rendus par le Premier ministre (François Fillon) et le Président (Nicolas Sarkozy)», a déclaré M. Baroin sur RTL, alors que le gouvernement doit rechercher des recettes supplémentaires pour faire face au ralentissement économique.
M. Baroin a refusé de dire si une éventuelle hausse de TVA pourrait prendre la forme d'une TVA sociale, ou si une hausse de l'impôt sur les sociétés était envisageable. «La mesure a été évoquée comme piste de travail mais rien n'est acté», a déclaré mercredi une source parlementaire, après que Le Monde eut évoqué un projet du gouvernement d'instaurer notamment un taux intermédiaire de TVA entre 5,5% et 19,6%. La question a été évoquée mardi lors des réunions du bureau et du groupe UMP à l'Assemblée, selon des sources concordantes.
La patrone du Medef en faveur d'une hausse de la TVA.
L'économie réelle «commence à être atteinte» par les conséquences de la crise financière, a estimé jeudi la présidente de l'organisation patronale Medef, Laurence Parisot, qui s'est prononcée en faveur d'une hausse de la TVA. Laurence Parisot a déclaré par ailleurs sur RTL être soulagée de l'accord trouvé par les dirigeants européens la nuit dernière à Bruxelles sur la dette en zone euro, évoquant «un pas de géant».
Le Medef préconise de faire simultanément une augmentation de la TVA avec en même temps une baisse des charges payées par salariés pour ainsi maintenir leur pouvoir d'achat, et une baisse des charges payées par les employeurs pour ainsi baisser le coût du travail», a-t-elle indiqué. Ce mécanisme est destiné à «dynamiser la compétitivité», pas à réduire le déficit, a-t-elle expliqué. «C'est pour donner de l'air à la fois au pouvoir d'achat» et simultanément réduire les coûts de production, ce qui permettrait de lutter contre les risques de délocalisation et donnerait des marges de manoeuvre supplémentaires aux entreprises, a-t-elle assuré.
L'UMP encore très divisée sur le sujet
Dans l'entourage du rapporteur général du Budget, l'UMP Gilles Carrez, on affirme qu'il est hors de question de modifier la TVA car cette question fait partie du débat d'après-2012. Jérôme Chartier, membre de la commission des Finances a estimé lui que «le moment n'est pas venu». Le député Lionel Tardy s'y est aussi opposé pour «préserver le pouvoir d'achat», préférant toucher à des niches fiscales. En revanche, Lionnel Luca s'est dit intéressé «par une hausse de la TVA», tout en espérant «qu'on le fera pas n'importe comment».
Henri Guaino, le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy a réagi très vivement mercredi i à une question sur la possible hausse de la TVA, lors de l’émission «Questions d’Info» LCP/France Info/AFP/Le Monde/Dailymotion. L’augmentation de cet impôt indirect est largement évoquée aujourd’hui pour tenter de combler le déficit public de la France. François Bayrou préconisait une hausse de 2 points de la TVA ce matin sur France Info.
Le parisien
Pour réduire les déficits publics, une hausse de la TVA est à l’étude. Elle rapporterait jusqu’à 6,5 Mds€. Mais le débat sur le le sujet lancé par plusieurs parlementaires, «n'est pas tranché», a toutefois affirmé jeudi le ministre de l'Economie, François Baroin, en précisant qu'il revenait aux responsables de l'exécutif de rendre les arbitrages nécessaires. «Nous le trancherons à l'intérieur du gouvernement avec des arbitrages qui seront rendus par le Premier ministre (François Fillon) et le Président (Nicolas Sarkozy)», a déclaré M. Baroin sur RTL, alors que le gouvernement doit rechercher des recettes supplémentaires pour faire face au ralentissement économique.
M. Baroin a refusé de dire si une éventuelle hausse de TVA pourrait prendre la forme d'une TVA sociale, ou si une hausse de l'impôt sur les sociétés était envisageable. «La mesure a été évoquée comme piste de travail mais rien n'est acté», a déclaré mercredi une source parlementaire, après que Le Monde eut évoqué un projet du gouvernement d'instaurer notamment un taux intermédiaire de TVA entre 5,5% et 19,6%. La question a été évoquée mardi lors des réunions du bureau et du groupe UMP à l'Assemblée, selon des sources concordantes.
La patrone du Medef en faveur d'une hausse de la TVA.
L'économie réelle «commence à être atteinte» par les conséquences de la crise financière, a estimé jeudi la présidente de l'organisation patronale Medef, Laurence Parisot, qui s'est prononcée en faveur d'une hausse de la TVA. Laurence Parisot a déclaré par ailleurs sur RTL être soulagée de l'accord trouvé par les dirigeants européens la nuit dernière à Bruxelles sur la dette en zone euro, évoquant «un pas de géant».
Le Medef préconise de faire simultanément une augmentation de la TVA avec en même temps une baisse des charges payées par salariés pour ainsi maintenir leur pouvoir d'achat, et une baisse des charges payées par les employeurs pour ainsi baisser le coût du travail», a-t-elle indiqué. Ce mécanisme est destiné à «dynamiser la compétitivité», pas à réduire le déficit, a-t-elle expliqué. «C'est pour donner de l'air à la fois au pouvoir d'achat» et simultanément réduire les coûts de production, ce qui permettrait de lutter contre les risques de délocalisation et donnerait des marges de manoeuvre supplémentaires aux entreprises, a-t-elle assuré.
L'UMP encore très divisée sur le sujet
Dans l'entourage du rapporteur général du Budget, l'UMP Gilles Carrez, on affirme qu'il est hors de question de modifier la TVA car cette question fait partie du débat d'après-2012. Jérôme Chartier, membre de la commission des Finances a estimé lui que «le moment n'est pas venu». Le député Lionel Tardy s'y est aussi opposé pour «préserver le pouvoir d'achat», préférant toucher à des niches fiscales. En revanche, Lionnel Luca s'est dit intéressé «par une hausse de la TVA», tout en espérant «qu'on le fera pas n'importe comment».
Henri Guaino, le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy a réagi très vivement mercredi i à une question sur la possible hausse de la TVA, lors de l’émission «Questions d’Info» LCP/France Info/AFP/Le Monde/Dailymotion. L’augmentation de cet impôt indirect est largement évoquée aujourd’hui pour tenter de combler le déficit public de la France. François Bayrou préconisait une hausse de 2 points de la TVA ce matin sur France Info.
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Re: Actualités concours 2012
Val-d'Oise : un maire suspecté de ficher des musulmans
La mairie de Saint-Gratien (Val-d’Oise) a-t-elle constitué un fichier recensant les plaques d’immatriculation de musulmans? La Commission nationale de l’informatique et des libertés a débarqué à l’hôtel de ville mardi pour en examiner les ordinateurs.
Ce contrôle fait suite à une plainte déposée auprès de la Cnil par l’Association franco-musulmane de Saint-Gratien (l’AFMSG). Selon ses membres, « le vendredi 19 août, pendant la prière, trois agents de la police municipale ont relevé les plaques d’immatriculation » des participants. Une affirmation étayée par le « rapport d’information » établi par le brigadier-chef et dressant la liste des immatriculations.
Si la maire UMP, Jacqueline Eustache-Brinio, se refuse à tout commentaire, ses services confirment le « contrôle inopiné de la Cnil ». « Nous n’avons jamais fiché les voitures, mais juste relevé les immatriculations », assure-t-on, affirmant qu’il s’agit d’un nouvel épisode du bras de fer opposant la mairie à l’AFMSG.
En août dernier, pendant le ramadan, l’association avait dû faire intervenir le juge des référés pour obtenir le droit de louer une salle municipale où organiser la prière. Le refus de la municipalité qui « ne met pas à disposition des locaux à des fins de pratiques cultuelles » avait alors été jugé « manifestement illégal ». Il « porte une grave atteinte aux libertés de réunion et de culte », avait considéré le juge, qui avait enjoint la mairie à proposer une salle dans les mêmes conditions qu’à n’importe quelle autre association.
Il avait fallu que l’AFMSG retourne devant la justice et obtienne une astreinte financière pour que Jacqueline Eustache-Brinio s’exécute. L’association « justifiait la mise à disposition de la salle pour les personnes âgées et handicapées du département », explique-t-on à la mairie, où l’on précise que c’est pour démontrer au juge que « des gens viennent d’ailleurs » que les immatriculations ont été relevées.
Le Parisien
La mairie de Saint-Gratien (Val-d’Oise) a-t-elle constitué un fichier recensant les plaques d’immatriculation de musulmans? La Commission nationale de l’informatique et des libertés a débarqué à l’hôtel de ville mardi pour en examiner les ordinateurs.
Ce contrôle fait suite à une plainte déposée auprès de la Cnil par l’Association franco-musulmane de Saint-Gratien (l’AFMSG). Selon ses membres, « le vendredi 19 août, pendant la prière, trois agents de la police municipale ont relevé les plaques d’immatriculation » des participants. Une affirmation étayée par le « rapport d’information » établi par le brigadier-chef et dressant la liste des immatriculations.
Si la maire UMP, Jacqueline Eustache-Brinio, se refuse à tout commentaire, ses services confirment le « contrôle inopiné de la Cnil ». « Nous n’avons jamais fiché les voitures, mais juste relevé les immatriculations », assure-t-on, affirmant qu’il s’agit d’un nouvel épisode du bras de fer opposant la mairie à l’AFMSG.
En août dernier, pendant le ramadan, l’association avait dû faire intervenir le juge des référés pour obtenir le droit de louer une salle municipale où organiser la prière. Le refus de la municipalité qui « ne met pas à disposition des locaux à des fins de pratiques cultuelles » avait alors été jugé « manifestement illégal ». Il « porte une grave atteinte aux libertés de réunion et de culte », avait considéré le juge, qui avait enjoint la mairie à proposer une salle dans les mêmes conditions qu’à n’importe quelle autre association.
Il avait fallu que l’AFMSG retourne devant la justice et obtienne une astreinte financière pour que Jacqueline Eustache-Brinio s’exécute. L’association « justifiait la mise à disposition de la salle pour les personnes âgées et handicapées du département », explique-t-on à la mairie, où l’on précise que c’est pour démontrer au juge que « des gens viennent d’ailleurs » que les immatriculations ont été relevées.
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Re: Actualités concours 2012
Licenciée pour un ticket de hamburger : Cora fait machine arrière
La direction du groupe Cora abandonne la procédure de licenciement lancée à l'encontre d'une employée de Mondelange (Moselle) qui avait récupéré un ticket pour un hamburger gratuit laissé à sa caisse par un client.
Elue CGT au comité d'entreprise, la caissière était accusée de vol par sa direction, qui avait déposé plainte en septembre à la gendarmerie d'Uckange. Employée depuis dix ans par l'hypermarché, cette salariée et mère de famille qui gagne tout juste 940 euros par mois, avait reçu un rappel à la loi du procureur de Thionville (Moselle), après avoir été interrogée plus de deux heures par les gendarmes.
«La CGT, qui a obtenu 85% des voix aux dernières élections professionnelles, dénonce depuis plusieurs mois les 42 emplois en CDI supprimés par la direction de Cora Mondelange et remplacés depuis par 862 contrats intérimaires», a expliqué Denis Pesce. La direction a, selon lui, «ouvert une chasse aux sorcières pour masquer sa gestion brutale du personnel».
Dans un communiqué, Aurélie Filippetti, députée (PS) de Mondelange, avait appelé la direction à «mettre fin à cette mascarade honteuse au nom du respect de l'action syndicale». «Je ne suis pas dupe quant au but poursuivi par la direction, à savoir se débarrasser d'une syndicaliste», avait ajouté la parlementaire. Europe Ecologie-Les Verts (EELV) avait aussi invité Cora à «mettre un terme final à cette procédure absurde», et fustigé l'attitude du parquet qui «a d'autres priorités (...) que de s'occuper de tickets de caisse destinés à la poubelle d'un supermarché". Contactée par l'AFP, la direction de l'hypermarché n'avait pas souhaité faire de commentaire.
Cette histoire faisait écho a d'autres licenciements du même type, concernant des employés ayant récupéré de la nourriture qui n'était, apparement, gratuite que pour les clients.
LeParisien.fr
La direction du groupe Cora abandonne la procédure de licenciement lancée à l'encontre d'une employée de Mondelange (Moselle) qui avait récupéré un ticket pour un hamburger gratuit laissé à sa caisse par un client.
Elue CGT au comité d'entreprise, la caissière était accusée de vol par sa direction, qui avait déposé plainte en septembre à la gendarmerie d'Uckange. Employée depuis dix ans par l'hypermarché, cette salariée et mère de famille qui gagne tout juste 940 euros par mois, avait reçu un rappel à la loi du procureur de Thionville (Moselle), après avoir été interrogée plus de deux heures par les gendarmes.
«La CGT, qui a obtenu 85% des voix aux dernières élections professionnelles, dénonce depuis plusieurs mois les 42 emplois en CDI supprimés par la direction de Cora Mondelange et remplacés depuis par 862 contrats intérimaires», a expliqué Denis Pesce. La direction a, selon lui, «ouvert une chasse aux sorcières pour masquer sa gestion brutale du personnel».
Dans un communiqué, Aurélie Filippetti, députée (PS) de Mondelange, avait appelé la direction à «mettre fin à cette mascarade honteuse au nom du respect de l'action syndicale». «Je ne suis pas dupe quant au but poursuivi par la direction, à savoir se débarrasser d'une syndicaliste», avait ajouté la parlementaire. Europe Ecologie-Les Verts (EELV) avait aussi invité Cora à «mettre un terme final à cette procédure absurde», et fustigé l'attitude du parquet qui «a d'autres priorités (...) que de s'occuper de tickets de caisse destinés à la poubelle d'un supermarché". Contactée par l'AFP, la direction de l'hypermarché n'avait pas souhaité faire de commentaire.
Cette histoire faisait écho a d'autres licenciements du même type, concernant des employés ayant récupéré de la nourriture qui n'était, apparement, gratuite que pour les clients.
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Re: Actualités concours 2012
Polio : le combat est presque gagné
Depuis 1988, le nombre de cas de poliomyélite, maladie infectieuse responsable de paralysie, a diminué de 99%. La maladie n'est plus présente que dans quatre pays.
L'OMS rappelle sur son site les progrès réalisés dans la lutte contre la poliomyélite dans le cadre de l’Initiative mondiale pour l’éradication de cette maladie. Depuis 1988, l’incidence de la poliomyélite a été réduite de plus de 99%. À l’époque, plus de 350 000 enfants étaient atteints chaque année dans plus de 125 pays. Aujourd'hui, il ne reste plus que quatre pays où la transmission endémique n’a pas été stoppée: l’Afghanistan, l’Inde, le Nigeria et le Pakistan.
D'importants progrès donc mais qui restent menacés par la réintroduction du virus responsable dans des pays qui ont réussi à l'éradiquer. Ainsi, entre 2009 et 2010, 23 pays précédemment exempts de poliomyélite ont été réinfectés par l’intermédiaire de cas importés.
Pour limiter ce risque, les poches persistantes de transmission de la polio, dans le nord du Nigeria et de la frontière entre l'Afghanistan et le Pakistan, sont actuellement au centre de l'initiative d'éradication.
La stratégie de lutte contre la polio repose sur quatre axes : vaccination des enfants dès la première année, rappels jusqu'à 5 ans, surveillance des virus sauvages et campagnes ciblées dans des zones spécifiques de contamination.
La poliomyélite est une maladie infectieuse causée par un virus de la famille des Picornaviridae. L’infection est généralement bénigne et se manifeste par des symptômes grippaux mais chez 1 à 2% des sujets infectés, le virus atteint, probablement par voie sanguine, les neurones moteurs de la corne antérieure de la moelle épinière, dont la destruction est responsable des formes de paralysie flasque (source Institut pasteur). Il n’existe pas de traitement et la prévention est le seul moyen de lutter contre la maladie.
J.I.
Sciences et Avenir.fr
26/11/2011
Depuis 1988, le nombre de cas de poliomyélite, maladie infectieuse responsable de paralysie, a diminué de 99%. La maladie n'est plus présente que dans quatre pays.
L'OMS rappelle sur son site les progrès réalisés dans la lutte contre la poliomyélite dans le cadre de l’Initiative mondiale pour l’éradication de cette maladie. Depuis 1988, l’incidence de la poliomyélite a été réduite de plus de 99%. À l’époque, plus de 350 000 enfants étaient atteints chaque année dans plus de 125 pays. Aujourd'hui, il ne reste plus que quatre pays où la transmission endémique n’a pas été stoppée: l’Afghanistan, l’Inde, le Nigeria et le Pakistan.
D'importants progrès donc mais qui restent menacés par la réintroduction du virus responsable dans des pays qui ont réussi à l'éradiquer. Ainsi, entre 2009 et 2010, 23 pays précédemment exempts de poliomyélite ont été réinfectés par l’intermédiaire de cas importés.
Pour limiter ce risque, les poches persistantes de transmission de la polio, dans le nord du Nigeria et de la frontière entre l'Afghanistan et le Pakistan, sont actuellement au centre de l'initiative d'éradication.
La stratégie de lutte contre la polio repose sur quatre axes : vaccination des enfants dès la première année, rappels jusqu'à 5 ans, surveillance des virus sauvages et campagnes ciblées dans des zones spécifiques de contamination.
La poliomyélite est une maladie infectieuse causée par un virus de la famille des Picornaviridae. L’infection est généralement bénigne et se manifeste par des symptômes grippaux mais chez 1 à 2% des sujets infectés, le virus atteint, probablement par voie sanguine, les neurones moteurs de la corne antérieure de la moelle épinière, dont la destruction est responsable des formes de paralysie flasque (source Institut pasteur). Il n’existe pas de traitement et la prévention est le seul moyen de lutter contre la maladie.
J.I.
Sciences et Avenir.fr
26/11/2011
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Actualités concours 2012
Prison : prévention des risques infectieux très insuffisante
En France, le risque de transmission des maladies infectieuses serait particulièrement élevé en milieu carcéral en raison d’un dispositif de prévention mal connu des détenus et du personnel pénitencier, et peu appliqué. C’est ce que révèle une étude publiée l'Institut national de veille sanitaire (InVS) dans son dernier Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH).
Depuis de nombreuses années, personnels et professionnels de santé travaillant en milieu carcéral ne cessent de mettre en garde contre les conditions de vie particulièrement dures des détenus. Afin d’en savoir plus sur ce qui se passe derrière les hauts murs et les barreaux, en 2009, des experts de l’InVS ont envoyé à 171 prisons françaises un questionnaire permettant de faire un diagnostic sur les risques de transmission des infections du type hépatite C et VIH/sida. 113 établissements ont répondu.
Les résultats, loin d’être surprenants, sont particulièrement inquiétants. Si un dépistage du VIH et des hépatites virales est systématiquement proposé lors de l’arrivée dans un centre pénitencier, et si dans la plupart des établissements, une information est donnée aux détenus sur les différentes infections, les mesures de prévention prévues par les réglementations carcérales sont, d’une part, loin d’être connues, et loin d’être appliquées. Ainsi, bien qu’il soit prévu que tout prisonnier ayant eu un rapport à risques peut avoir recours à un traitement d’urgence post-exposition au VIH, peu sont informés de cette possibilité. Alors que tout établissement devrait permettre aux détenus d’avoir accès à des distributeurs de préservatifs et de lubrifiants, ce n’est malheureusement pas toujours le cas. Il en est de même pour les dispositifs permettant la stérilisation des seringues avec de l’eau de Javel.
En pointant du doigt un certain nombre de dysfonctionnements, l’InVS ouvre la voie à nouveau chantier afin de résoudre cet inquiétant problème de santé.
Information hospitalière
En France, le risque de transmission des maladies infectieuses serait particulièrement élevé en milieu carcéral en raison d’un dispositif de prévention mal connu des détenus et du personnel pénitencier, et peu appliqué. C’est ce que révèle une étude publiée l'Institut national de veille sanitaire (InVS) dans son dernier Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH).
Depuis de nombreuses années, personnels et professionnels de santé travaillant en milieu carcéral ne cessent de mettre en garde contre les conditions de vie particulièrement dures des détenus. Afin d’en savoir plus sur ce qui se passe derrière les hauts murs et les barreaux, en 2009, des experts de l’InVS ont envoyé à 171 prisons françaises un questionnaire permettant de faire un diagnostic sur les risques de transmission des infections du type hépatite C et VIH/sida. 113 établissements ont répondu.
Les résultats, loin d’être surprenants, sont particulièrement inquiétants. Si un dépistage du VIH et des hépatites virales est systématiquement proposé lors de l’arrivée dans un centre pénitencier, et si dans la plupart des établissements, une information est donnée aux détenus sur les différentes infections, les mesures de prévention prévues par les réglementations carcérales sont, d’une part, loin d’être connues, et loin d’être appliquées. Ainsi, bien qu’il soit prévu que tout prisonnier ayant eu un rapport à risques peut avoir recours à un traitement d’urgence post-exposition au VIH, peu sont informés de cette possibilité. Alors que tout établissement devrait permettre aux détenus d’avoir accès à des distributeurs de préservatifs et de lubrifiants, ce n’est malheureusement pas toujours le cas. Il en est de même pour les dispositifs permettant la stérilisation des seringues avec de l’eau de Javel.
En pointant du doigt un certain nombre de dysfonctionnements, l’InVS ouvre la voie à nouveau chantier afin de résoudre cet inquiétant problème de santé.
Information hospitalière
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Re: Actualités concours 2012
Vaccin contre le Sida : une étude clinique sera lancée fin 2011
Un vaccin thérapeutique contre le Sida va entamer un test clinique d'ici la fin de l'année, c'est-à-dire qu'il sera testé sur des humains, après avoir reçu l'approbation de l'Afssaps. Cette phase, qui doit être mise en place en France d'ici la fin de l'année, représente donc un espoir immense dans la lutte contre le VIH.
Une société française de biotechnologie – InnaVirVax – vient de se voir autoriser par l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), à réaliser l’étude clinique d’un vaccin thérapeutique contre le VIH. Celui-ci devrait démarrer dans les semaines qui viennent, « avant la fin 2011 » assurent les promoteurs de ce travail.
Il s’agit d’un essai clinique dit de phase I/IIa qui sera mené sur 24 patients infectés par le VIH et sous thérapie antirétrovirale. Le candidat-vaccin thérapeutique a vu le jour grâce aux recherches de Patrice Debré et Vincent Vieillard (Unité mixte Inserm et université Pierre et Marie Curie) de Paris. Il vise à combattre le virus en bloquant la perte des lymphocytes CD4, ainsi qu’en protégeant le système immunitaire, notamment par une réduction de l’activation immunitaire et de l’inflammation.
D'ici la fin de l'année, le vaccin contre le VIH entamera sa phase d'essai clinique, c'est-à-dire qu'il sera testé sur des patients séropositifs.
D'ici la fin de l'année, le vaccin contre le VIH entamera sa phase d'essai clinique, c'est-à-dire qu'il sera testé sur des patients séropositifs. © Visualscience
Les tests sur le vaccin contre le VIH
L’objectif est de vérifier l’innocuité du vaccin. Son immunogénicité sera également étudiée, ainsi que ses effets sur les marqueurs de suivi de l’infection. Les patients seront vaccinés puis suivis pendant une année.
« Cette autorisation délivrée par les autorités compétentes françaises, représente une étape majeure, explique Patrice Debré, de l’hôpital Pitié Salpêtrière à Paris. Cela va permettre d’étudier chez l’Homme un nouveau vaccin, avec un potentiel thérapeutique important pour le traitement des infections par le VIH. »
Futura science
Un vaccin thérapeutique contre le Sida va entamer un test clinique d'ici la fin de l'année, c'est-à-dire qu'il sera testé sur des humains, après avoir reçu l'approbation de l'Afssaps. Cette phase, qui doit être mise en place en France d'ici la fin de l'année, représente donc un espoir immense dans la lutte contre le VIH.
Une société française de biotechnologie – InnaVirVax – vient de se voir autoriser par l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), à réaliser l’étude clinique d’un vaccin thérapeutique contre le VIH. Celui-ci devrait démarrer dans les semaines qui viennent, « avant la fin 2011 » assurent les promoteurs de ce travail.
Il s’agit d’un essai clinique dit de phase I/IIa qui sera mené sur 24 patients infectés par le VIH et sous thérapie antirétrovirale. Le candidat-vaccin thérapeutique a vu le jour grâce aux recherches de Patrice Debré et Vincent Vieillard (Unité mixte Inserm et université Pierre et Marie Curie) de Paris. Il vise à combattre le virus en bloquant la perte des lymphocytes CD4, ainsi qu’en protégeant le système immunitaire, notamment par une réduction de l’activation immunitaire et de l’inflammation.
D'ici la fin de l'année, le vaccin contre le VIH entamera sa phase d'essai clinique, c'est-à-dire qu'il sera testé sur des patients séropositifs.
D'ici la fin de l'année, le vaccin contre le VIH entamera sa phase d'essai clinique, c'est-à-dire qu'il sera testé sur des patients séropositifs. © Visualscience
Les tests sur le vaccin contre le VIH
L’objectif est de vérifier l’innocuité du vaccin. Son immunogénicité sera également étudiée, ainsi que ses effets sur les marqueurs de suivi de l’infection. Les patients seront vaccinés puis suivis pendant une année.
« Cette autorisation délivrée par les autorités compétentes françaises, représente une étape majeure, explique Patrice Debré, de l’hôpital Pitié Salpêtrière à Paris. Cela va permettre d’étudier chez l’Homme un nouveau vaccin, avec un potentiel thérapeutique important pour le traitement des infections par le VIH. »
Futura science
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