Cours S2 UE 1.1 relation soignant - soigné
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relation soignant soigné pendant les soins
coucou à tous!
J aimerai avoir vos réactions sur la relation que vous entretenez avec le patient lors des soins, de la toilette.
Pour vous existe t il une relation dominant/dominé?
La pudeur est elle toujours respectée?
Merci pour vos réponses qui me seront d une grande importance.
J aimerai avoir vos réactions sur la relation que vous entretenez avec le patient lors des soins, de la toilette.
Pour vous existe t il une relation dominant/dominé?
La pudeur est elle toujours respectée?
Merci pour vos réponses qui me seront d une grande importance.
le terme dominant/domine n'est peut etre pas le mieux approprie, mais j'ai remarquer par exemple que quand il y a la visite des medecins, le patient est allongé dans son lit et beaucoup plus bas donc les medecins se penche sur lui, ou encore reste debout et ca fait vraiment ressentir le sentiment d'inferiorite que peuvent ressentir les patients face a eux! c'est ptete pour ca qu'ils ne disent jamais rien au medecin lol.
en tout cas un patient avait trouver une solution : il avait monter son lit super haut pour etre a la hauteur du medecin! pas bete
en tout cas un patient avait trouver une solution : il avait monter son lit super haut pour etre a la hauteur du medecin! pas bete

ca y est je suis infirmière!!!!youpiiiiiiiiiiiiiiiii
prochaine étape : cdd en chirurgie viscerale
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- guinessmomo
- Habitué
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- Localisation : le mans
J'essaie d'etre le plus cool possible avec les patient(e)s afin de permettre de detendre l'atmosphère, je me présente par mon prenom et j'essaie toujours d'inserer une petite pointe d'humour pendant mes soins. De plus je pense que j'arrive à utiliser un language adapté ce qui me permet aussi de me mettre au même niveau que le patient, je pense que si un patient comprends ce qu'on lui dit et que l'on evite tout notre charabia medical il sera d'autant plus detendu et n'hesitera pas a poser des questions qu'il aurait gardé pour lui (Par contre, il est vrai que mes collegues me reprochent parfois d'utiliser un language peu professionnel mais pour moi du moment que le patient comprends c'est le principal).
Pour ce qui est du respect de la pudeur pendant les soins j'essaye au maximum de la respecter en decouvrant uniquement la surface que je vais utiliser et en la recouvrant le plus rapidement possible mais il arrive toujours quelqu'un qui entre dans la chambre pour te demander je ne sait quoi pendant que tu effectues un soin
Enfin voila
Pour ce qui est du respect de la pudeur pendant les soins j'essaye au maximum de la respecter en decouvrant uniquement la surface que je vais utiliser et en la recouvrant le plus rapidement possible mais il arrive toujours quelqu'un qui entre dans la chambre pour te demander je ne sait quoi pendant que tu effectues un soin
Enfin voila
clinique un jour...
-
- Adepte
- Messages : 114
- Inscription : 09 mai 2005 10:18
- Localisation : Aveyron
C'est vrai que la pudeur n'est pas toujours respectée et il est meme parfois difficile.
Le plus important dans le soin c'est la communication il faut donc parler et écouter la personne soignée pendant le soin.
Le sujet de la conversation n'est pas forcémnt le plus important il faut avant tout montrer à la personne qu'elle est soignée dans son entité et que l'on ne voit pas seulement un coeur, un pied...
Le plus important dans le soin c'est la communication il faut donc parler et écouter la personne soignée pendant le soin.
Le sujet de la conversation n'est pas forcémnt le plus important il faut avant tout montrer à la personne qu'elle est soignée dans son entité et que l'on ne voit pas seulement un coeur, un pied...
relation soignant soigné pendant les soins
merci pour vos commentaires!
stages relation soignant-soigné
bonsoir, quelles sont vos idées ou du moins votre philosophie concernant la relation soignant-soigné? Vous pouvez reprendre cette réflexion à partir de votre propre expérience (stages par exemple...).
merci....
merci....
Re: stages relation soignant-soigné
bonsoir, cherche quelque chose sur l'humanitude dans un premier temps, peut être que ça t'aidera un peu.
ESI - IFSI Cahors
3 eme année
3 eme année
Re: stages relation soignant-soigné
voici mon oeuvre dite moi ce que vous en pensez!! merci
La relation entrepris avec le patient est essentielle au maintien et à la préservation de la vie de ce dernier. Le soignant se confronte sans cesse aux besoins primordiaux de l’autre et à sa dépendance. Les propres besoins du soignant peuvent être affectés, réduits afin de garantir la satisfaction des besoins de l’autre. L’impulsion de la violence est alors fréquente et normale. Pour ne pas céder à l’agressivité, l’ensemble des soignants coopèrent afin de dédramatiser le quotidien. La relation soignant-soigné repose avant tout sur des notions essentielles telles le respect et la tolérance. Prenons l’exemple suivant rencontré lors d’un stage en maison de retraite : « Madame D à 105 ans, elle est en fin de vie, son état est cependant stable malgré son grand âge est ses multiples pathologies qui la condamnent à ne plus pouvoir se lever, marcher, prendre seule ses repas… Son état de dépendance est totale néanmoins, elle comprend ce qu’on lui dit et possède un vocabulaire assez cohérent. Une aide-soignante entre dans la chambre pour les soins quotidiens. Sa façon de parler, l’intonation de sa voix, ou même la façon avec laquelle elle lui donne le repas sont à la limite de l’infantilisation… » Est-ce la relation idéale à instaurer avec la patiente ? La soignante a-t-elle compris que la patiente à qui elle s’adresse présente un vécu, une vision de la vie beaucoup plus développée que la sienne ? Faut-il lui rappeler que cette dernière aurait pu être sa propre grand-mère voir arrière-grand-mère ?
D’autant plus que compassion et empathie ne sont pas à négliger dans de telles circonstances. Bien sûr qu’il est impossible de se mettre à la place d’un patient en fin de vie ou encore d’une personne atteinte d’une maladie incurable. Bien sûr qu’il est impossible de connaître leur ressentit face à la situation, ni de savoir ce qu’ils éprouvent réellement. Cependant, comprendre, être à l’écoute, compatir relève de la faculté de tous. Aussi, je partage l’avis de Catherine Halpern lorsqu’elle dit que l’on ne peut réduire les soins à des gestes purement techniques car ils réclament attention et empathie. Le professionnel de santé n’est pas une machine ayant pour but d’exécuter les prescriptions loin de là ! Son rôle est aussi d’être à l’écoute de ses patients, de leur apporter un soutien psychologique dans ces moments difficiles. Bien que ce métier nécessite d’avoir pour compétence la qualité technique des gestes réalisés avec dextérité, il n’en faut pas moins négliger la qualité relationnelle qui est le cœur du soin.
De plus, si pour Descartes tout dérèglement relève de causes uniquement organiques et qu’il suffit de remplacer l’organe malade pour guérir un patient, Victor Von Weizsäcker voit les choses tout autrement. Selon lui, il est nécessaire de placer le sujet au centre de la praxis médicale ; alors que pendant très longtemps seule la pathologie était le centre d’intérêt du corps médical. Cela montre toute l’évolution de notre société actuelle où le sujet se trouve au centre des préoccupations. Tout soignant, qu’il soit infirmier, aide-soignant, médecin, se doit alors de réfléchir sur ces propres valeurs soignantes afin d’entreprendre une relation soignante, qui considère le patient en tant qu’être humain singulier, souffrant d’une pathologie.
La relation entrepris avec le patient est essentielle au maintien et à la préservation de la vie de ce dernier. Le soignant se confronte sans cesse aux besoins primordiaux de l’autre et à sa dépendance. Les propres besoins du soignant peuvent être affectés, réduits afin de garantir la satisfaction des besoins de l’autre. L’impulsion de la violence est alors fréquente et normale. Pour ne pas céder à l’agressivité, l’ensemble des soignants coopèrent afin de dédramatiser le quotidien. La relation soignant-soigné repose avant tout sur des notions essentielles telles le respect et la tolérance. Prenons l’exemple suivant rencontré lors d’un stage en maison de retraite : « Madame D à 105 ans, elle est en fin de vie, son état est cependant stable malgré son grand âge est ses multiples pathologies qui la condamnent à ne plus pouvoir se lever, marcher, prendre seule ses repas… Son état de dépendance est totale néanmoins, elle comprend ce qu’on lui dit et possède un vocabulaire assez cohérent. Une aide-soignante entre dans la chambre pour les soins quotidiens. Sa façon de parler, l’intonation de sa voix, ou même la façon avec laquelle elle lui donne le repas sont à la limite de l’infantilisation… » Est-ce la relation idéale à instaurer avec la patiente ? La soignante a-t-elle compris que la patiente à qui elle s’adresse présente un vécu, une vision de la vie beaucoup plus développée que la sienne ? Faut-il lui rappeler que cette dernière aurait pu être sa propre grand-mère voir arrière-grand-mère ?
D’autant plus que compassion et empathie ne sont pas à négliger dans de telles circonstances. Bien sûr qu’il est impossible de se mettre à la place d’un patient en fin de vie ou encore d’une personne atteinte d’une maladie incurable. Bien sûr qu’il est impossible de connaître leur ressentit face à la situation, ni de savoir ce qu’ils éprouvent réellement. Cependant, comprendre, être à l’écoute, compatir relève de la faculté de tous. Aussi, je partage l’avis de Catherine Halpern lorsqu’elle dit que l’on ne peut réduire les soins à des gestes purement techniques car ils réclament attention et empathie. Le professionnel de santé n’est pas une machine ayant pour but d’exécuter les prescriptions loin de là ! Son rôle est aussi d’être à l’écoute de ses patients, de leur apporter un soutien psychologique dans ces moments difficiles. Bien que ce métier nécessite d’avoir pour compétence la qualité technique des gestes réalisés avec dextérité, il n’en faut pas moins négliger la qualité relationnelle qui est le cœur du soin.
De plus, si pour Descartes tout dérèglement relève de causes uniquement organiques et qu’il suffit de remplacer l’organe malade pour guérir un patient, Victor Von Weizsäcker voit les choses tout autrement. Selon lui, il est nécessaire de placer le sujet au centre de la praxis médicale ; alors que pendant très longtemps seule la pathologie était le centre d’intérêt du corps médical. Cela montre toute l’évolution de notre société actuelle où le sujet se trouve au centre des préoccupations. Tout soignant, qu’il soit infirmier, aide-soignant, médecin, se doit alors de réfléchir sur ces propres valeurs soignantes afin d’entreprendre une relation soignante, qui considère le patient en tant qu’être humain singulier, souffrant d’une pathologie.
Re: stages relation soignant-soigné
jean-yves a écrit :voici mon oeuvre dite moi ce que vous en pensez!! merci
La relation entrepris avec le patient est essentielle au maintien et à la préservation de la vie de ce dernier. Le soignant se confronte sans cesse aux besoins primordiaux de l’autre et à sa dépendance. Les propres besoins du soignant peuvent être affectés, réduits afin de garantir la satisfaction des besoins de l’autre. L’impulsion de la violence est alors fréquente et normale. Pour ne pas céder à l’agressivité, l’ensemble des soignants coopèrent afin de dédramatiser le quotidien. La relation soignant-soigné repose avant tout sur des notions essentielles telles le respect et la tolérance. Prenons l’exemple suivant rencontré lors d’un stage en maison de retraite : « Madame D à 105 ans, elle est en fin de vie, son état est cependant stable malgré son grand âge est ses multiples pathologies qui la condamnent à ne plus pouvoir se lever, marcher, prendre seule ses repas… Son état de dépendance est totale néanmoins, elle comprend ce qu’on lui dit et possède un vocabulaire assez cohérent. Une aide-soignante entre dans la chambre pour les soins quotidiens. Sa façon de parler, l’intonation de sa voix, ou même la façon avec laquelle elle lui donne le repas sont à la limite de l’infantilisation… » Est-ce la relation idéale à instaurer avec la patiente ? La soignante a-t-elle compris que la patiente à qui elle s’adresse présente un vécu, une vision de la vie beaucoup plus développée que la sienne ? Faut-il lui rappeler que cette dernière aurait pu être sa propre grand-mère voir arrière-grand-mère ?
D’autant plus que compassion et empathie ne sont pas à négliger dans de telles circonstances. Bien sûr qu’il est impossible de se mettre à la place d’un patient en fin de vie ou encore d’une personne atteinte d’une maladie incurable. Bien sûr qu’il est impossible de connaître leur ressentit face à la situation, ni de savoir ce qu’ils éprouvent réellement. Cependant, comprendre, être à l’écoute, compatir relève de la faculté de tous. Aussi, je partage l’avis de Catherine Halpern lorsqu’elle dit que l’on ne peut réduire les soins à des gestes purement techniques car ils réclament attention et empathie. Le professionnel de santé n’est pas une machine ayant pour but d’exécuter les prescriptions loin de là ! Son rôle est aussi d’être à l’écoute de ses patients, de leur apporter un soutien psychologique dans ces moments difficiles. Bien que ce métier nécessite d’avoir pour compétence la qualité technique des gestes réalisés avec dextérité, il n’en faut pas moins négliger la qualité relationnelle qui est le cœur du soin.
De plus, si pour Descartes tout dérèglement relève de causes uniquement organiques et qu’il suffit de remplacer l’organe malade pour guérir un patient, Victor Von Weizsäcker voit les choses tout autrement. Selon lui, il est nécessaire de placer le sujet au centre de la praxis médicale ; alors que pendant très longtemps seule la pathologie était le centre d’intérêt du corps médical. Cela montre toute l’évolution de notre société actuelle où le sujet se trouve au centre des préoccupations. Tout soignant, qu’il soit infirmier, aide-soignant, médecin, se doit alors de réfléchir sur ces propres valeurs soignantes afin d’entreprendre une relation soignante, qui considère le patient en tant qu’être humain singulier, souffrant d’une pathologie.
La relation entreprise avec le patient est essentielle au maintien et à la préservation de la vie de ce dernier. : la relation à mon avis est neccessaire et contribue à rendre la vie de l'autre plus harmonieuse mais ça ne la préserve pas. imagine ton patient avec lequel tu entres en relation : la communication verbale doit etre adaptée, en osmose avec lui ( il ne doit pas se sentir dominé par rapport au soignant le dominant) c'est être professionnel : tu ne dois pas rabaisser le patient, tu es là pour lui : pour l'accompagner dans ses moments difficiles.. "preserver" ne doit pas être le mot que tu veux employer peut être... la suite de mon analyse un peu plus tard mais dis moi ce que tu penses de ça déjà. merci
ESI - IFSI Cahors
3 eme année
3 eme année
Re: stages relation soignant-soigné
De plus, si pour Descartes tout dérèglement relève de causes uniquement organiques et qu’il suffit de remplacer l’organe malade pour guérir un patient, Victor Von Weizsäcker voit les choses tout autrement. Selon lui, il est nécessaire de placer le sujet au centre de la praxis médicale ; alors que pendant très longtemps seule la pathologie était le centre d’intérêt du corps médical. Cela montre toute l’évolution de notre société actuelle où le sujet se trouve au centre des préoccupations. Tout soignant, qu’il soit infirmier, aide-soignant, médecin, se doit alors de réfléchir sur ces propres valeurs soignantes afin d’entreprendre une relation soignante, qui considère le patient en tant qu’être humain singulier, souffrant d’une pathologie.
Ton oeuvre .... un bon copier coller d'un article de cadre de santé .....
Ton oeuvre .... un bon copier coller d'un article de cadre de santé .....
1.1 - Psycho
Bonjour tout le monde ! Je suis en première année IFSI et à la vue des pages et des pages de cours de psycho que l'on a je me pose des questions.
Le prof nous dit que les partiels se feront sous forme de texte avec les concepts à relever. C'est un peu vague comme explication tout de même. Est-ce que quelqu'un peut me dire exactement en quoi ca consiste, s'il faut apprendre par coeur ou si comprendre les cours suffisent ?
Le prof nous dit que les partiels se feront sous forme de texte avec les concepts à relever. C'est un peu vague comme explication tout de même. Est-ce que quelqu'un peut me dire exactement en quoi ca consiste, s'il faut apprendre par coeur ou si comprendre les cours suffisent ?
Re: 1.1 - Psycho
Dans mon IFSI nous avons fait une éval' formative ce qui nous a permis de voir à quoi va ressembler ce partiel. Donc en fait ce sont des petites histoires courtes qui reprennent les grandes lignes des cas que tu as vu en cours, et le but est de retrouver les mots clés. Je te mets un exemple d'un cas sur lequel nous sommes tombés : "depuis quelques temps Aurore a bien changée, depuis qu'elle est allée chez son petit cousin, elle s'est mise en tête de faire pipi debout. Elle n'arrête pas de suivre son père lorsque ce dernier est dans la salle de bain. Et puis il semble qu'elle commence à être agressive vis à vis de sa mère en lui disant 'tu es méchante et moche, par contre papa lui il est gentil !'".
Donc là tu identifie tous les concepts qui collent à cet exemple (en plein Oedipe, veut le phallus (symbole du pouvoir que sa mère n'a pas) etc etc.), et dans des situations où l'âge te parrait évident mets-le (ici 4-5-6 ans)
Donc là tu identifie tous les concepts qui collent à cet exemple (en plein Oedipe, veut le phallus (symbole du pouvoir que sa mère n'a pas) etc etc.), et dans des situations où l'âge te parrait évident mets-le (ici 4-5-6 ans)

IDE fraichement diplômée, désormais Poolette... et fière de l'être 

Re: 1.1 - Psycho
D'accord, merci beaucoup, je vois bien à quoi on aura à faire 

Re: 1.1 - Psycho
A l'IFSI, on nous a parlé de QCM, même en psycho... Est ce que quelqu'un aurait ses partiels de l'année dernière à mettre en ligne svp pour que je vois à quoi ça ressemble? Impossible de trouver un formateur qui puisse me les passer, et les 2ème année sont en stage en ce moment...
Voilà, merci beaucoup!
Voilà, merci beaucoup!

ON LES AURA!!!
S1: maison de retraite
S2: pneumolgie
S1: maison de retraite
S2: pneumolgie
Re: 1.1 - Psycho
Je peux pas t'aider ! Comme Azerty, pour nous se sont des textes avec des concepts à relever. On ne nous a pas du tout parler de QCM pour la psycho... !Rascale a écrit :A l'IFSI, on nous a parlé de QCM, même en psycho... Est ce que quelqu'un aurait ses partiels de l'année dernière à mettre en ligne svp pour que je vois à quoi ça ressemble? Impossible de trouver un formateur qui puisse me les passer, et les 2ème année sont en stage en ce moment...
Voilà, merci beaucoup!

IDE fraichement diplômée, désormais Poolette... et fière de l'être 
