Culture Générale
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Re: Actualités 2012
Education : région par région, le détail des suppressions de postes
5 700 postes seront supprimés dans le primaire à la rentrée 2012. En nombre absolu, les académies de Lille (399 suppressions) et Nancy-Metz (367) sont les plus touchées, selon un document transmis vendredi par le ministère de l'Education nationale aux syndicats.
Toutes les académies perdent des postes, sauf la Guyane où sont prévues 20 créations nettes de postes.
Les autres académies touchées sont Versailles (260), Amiens (235), Créteil (233), Toulouse (227), Aix-Marseille (219), Strasbourg (216), Bordeaux (203), Orléans-Tours (196), Dijon (181), Caen et Rennes (179), Montpellier (172), Rouen (166), Besançon (154), Grenoble et Reims (153), Nice (143), Clermont-Ferrand (141), Nantes (137), Guadeloupe (134), Limoges (131), Lyon et Poitiers (129), Paris (98), Martinique (97), Réunion (69) et Corse (20).
Le total donne 5 100 suppressions, les 600 autres devant concerner «les moyens alloués au recrutement des étudiants en master 2», a précisé Christian Chevalier, du SE-Unsa.
A noter que le budget 2012 de l'Education n'a cependant pas encore été adopté, la majorité de gauche au Sénat ayant voté contre.
Début 2011, les annonces de suppressions de postes et de classes dans les écoles pour la rentrée suivante avaient suscité tant de manifestations locales que l'Association des maires de France (AMF), présidée par l'UMP Jacques Pelissard, avait demandé «l'arrêt des suppressions de postes» en primaire.
Nicolas Sarkozy avait alors promis qu'il n'y aurait pas plus de fermetures que d'ouvertures de classe à la rentrée 2012, mais cela ne veut pas dire qu'il n'y aura pas de fermetures.
La situation spécifique des élus de montagne a été pris en compte par le gouvernement. «L'idée est de ne pas forcément regrouper deux écoles qui se font face dans une vallée, car en plein hiver les conditions d'enneigement peuvent empêcher l'accès aux enfants», a-t-on expliqué à l'Anem (Association nationale des élus de la montagne).
LeParisien.fr
5 700 postes seront supprimés dans le primaire à la rentrée 2012. En nombre absolu, les académies de Lille (399 suppressions) et Nancy-Metz (367) sont les plus touchées, selon un document transmis vendredi par le ministère de l'Education nationale aux syndicats.
Toutes les académies perdent des postes, sauf la Guyane où sont prévues 20 créations nettes de postes.
Les autres académies touchées sont Versailles (260), Amiens (235), Créteil (233), Toulouse (227), Aix-Marseille (219), Strasbourg (216), Bordeaux (203), Orléans-Tours (196), Dijon (181), Caen et Rennes (179), Montpellier (172), Rouen (166), Besançon (154), Grenoble et Reims (153), Nice (143), Clermont-Ferrand (141), Nantes (137), Guadeloupe (134), Limoges (131), Lyon et Poitiers (129), Paris (98), Martinique (97), Réunion (69) et Corse (20).
Le total donne 5 100 suppressions, les 600 autres devant concerner «les moyens alloués au recrutement des étudiants en master 2», a précisé Christian Chevalier, du SE-Unsa.
A noter que le budget 2012 de l'Education n'a cependant pas encore été adopté, la majorité de gauche au Sénat ayant voté contre.
Début 2011, les annonces de suppressions de postes et de classes dans les écoles pour la rentrée suivante avaient suscité tant de manifestations locales que l'Association des maires de France (AMF), présidée par l'UMP Jacques Pelissard, avait demandé «l'arrêt des suppressions de postes» en primaire.
Nicolas Sarkozy avait alors promis qu'il n'y aurait pas plus de fermetures que d'ouvertures de classe à la rentrée 2012, mais cela ne veut pas dire qu'il n'y aura pas de fermetures.
La situation spécifique des élus de montagne a été pris en compte par le gouvernement. «L'idée est de ne pas forcément regrouper deux écoles qui se font face dans une vallée, car en plein hiver les conditions d'enneigement peuvent empêcher l'accès aux enfants», a-t-on expliqué à l'Anem (Association nationale des élus de la montagne).
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Re: Actualités 2012
Dauphine : une exclusion définitive après le bizutage
La section disciplinaire de l'université Paris-Dauphine a prononcé jeudi une exclusion définitive d'un étudiant de cette université parisienne prestigieuse, après le bizutage d'un de ses camarades en octobre. Ce dernier avait porté plainte. La section a également prononcé des sanctions moins radicales de trois ans à l'encontre de deux personnes et quatre ans contre un autre étudiant.
Lors d'une réunion de recrutement de nouveaux adhérents de l'importante association d'étudiants Japad, radiée et dissoute depuis, un rituel avait été organisé consistant à tracer dans le dos du bizut des «lettres de sang» avec une capsule de bouteille. Un procédé que le président de la faculté avait qualifié d'«abject». Japad organise chaque année le gala de dauphine, un des plus courus dans le monde étudiant.
Les quatre responsables de ce bizutage avaient été mis en examen pour pour « violences volontaires en réunion avec arme ayant entraîné une ITT (incapacité totale de travail) de moins de 8 jours ». Le parquet de Paris avait également requis leur placement sous contrôle judiciaire. Le bizutage d'octobre avait créé une vive émotion à Dauphine.
Le bizutage légalement punissable depuis 1998
Le décret du 13 juillet 1992 « prévoit des sanctions qui vont de l'avertissement à l'exclusion définitive de tout établissement public de l'enseignement supérieur ».
Bien que le bizutage soit légalement punissable depuis une loi de 1998, imaginée par Ségolène Royal, alors ministre déléguée à l'Enseignement scolaire, il se poursuit parfois dans certaines universités et grandes écoles, lors de réunions fortement alcoolisées. Il entraîne «des traumatismes psychologiques graves» pour 92% des parents d'élèves et 78% y voient «une épreuve humiliante», selon une enquête publiée en septembre dernier par le Comité national contre le bizutage (CNCB).
LeParisien.fr
La section disciplinaire de l'université Paris-Dauphine a prononcé jeudi une exclusion définitive d'un étudiant de cette université parisienne prestigieuse, après le bizutage d'un de ses camarades en octobre. Ce dernier avait porté plainte. La section a également prononcé des sanctions moins radicales de trois ans à l'encontre de deux personnes et quatre ans contre un autre étudiant.
Lors d'une réunion de recrutement de nouveaux adhérents de l'importante association d'étudiants Japad, radiée et dissoute depuis, un rituel avait été organisé consistant à tracer dans le dos du bizut des «lettres de sang» avec une capsule de bouteille. Un procédé que le président de la faculté avait qualifié d'«abject». Japad organise chaque année le gala de dauphine, un des plus courus dans le monde étudiant.
Les quatre responsables de ce bizutage avaient été mis en examen pour pour « violences volontaires en réunion avec arme ayant entraîné une ITT (incapacité totale de travail) de moins de 8 jours ». Le parquet de Paris avait également requis leur placement sous contrôle judiciaire. Le bizutage d'octobre avait créé une vive émotion à Dauphine.
Le bizutage légalement punissable depuis 1998
Le décret du 13 juillet 1992 « prévoit des sanctions qui vont de l'avertissement à l'exclusion définitive de tout établissement public de l'enseignement supérieur ».
Bien que le bizutage soit légalement punissable depuis une loi de 1998, imaginée par Ségolène Royal, alors ministre déléguée à l'Enseignement scolaire, il se poursuit parfois dans certaines universités et grandes écoles, lors de réunions fortement alcoolisées. Il entraîne «des traumatismes psychologiques graves» pour 92% des parents d'élèves et 78% y voient «une épreuve humiliante», selon une enquête publiée en septembre dernier par le Comité national contre le bizutage (CNCB).
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Re: Actualités 2012
L'encadrement militaire des mineurs délinquants adopté
Le Parlement a adopté définitivement jeudi, par un vote de l'Assemblée nationale, un texte UMP instaurant un encadrement de type militaire des mineurs délinquants. Proposée par le député des Alpes-Maritimes Eric Ciotti, cette loi prévoit, pour les mineurs délinquants de plus de 16 ans, un service «citoyen» d'une durée de 6 à 12 mois au sein d'un Etablissement public d'insertion de la Défense (Epide).
Ce texte d'Eric Ciotti, qui souhaite «une voie nouvelle entre la rue et la prison», est dénoncé par l'opposition comme une loi «superflue» et d'«affichage». Il va permettre «d'enrichir la palette des réponses à la délinquance des mineurs» et de «renforcer les moyens de lutte contre la récidive», a estimé jeudi le garde des Sceaux, Michel Mercier.
«Dès février, l'accueil pourra débuter dans 12 centres et sera progressivement étendu à trois autres établissements» à l'horizon de juin, a ajouté le ministre qui a évoqué «un séjour moyen de 10 mois» et promis «des moyens renforcés» pour les Epide qui accueillent déjà depuis 2005 des majeurs au titre du dispositif «Défense deuxième chance».
Le Sénat avait rejeté le texte
Les milieux proches des militaires se sont montrés réticents à ce texte. Fait inédit, le texte a été rejeté par la commission de la Défense à l'automne. Mais, insiste Eric Ciotti, «les Epide sont très motivés», affirmant que la démarche «a été construite avec les Epide et non contre les Epide comme la gauche a voulu le faire croire». Et de souligner que cette nouvelle possibilité permettra aux mineurs de quitter «le cercle vicieux de la délinquance» pour rejoindre «le cercle vertueux de la vie en société».
Pour Marc Dolez (Parti de Gauche), il s'agit d'un «énième texte d'affichage» à la fois «inutile» et «dangereux». La socialiste Marietta Karamanli a, elle, dénoncé une loi «superflue» et «inutile» et qui se «veut spectaculaire». Le Sénat, à nouvelle majorité de gauche, a rejeté ce texte au cours de la navette parlementaire, mais constitutionnellement, l'Assemblée, qui avait déjà adopté le texte, a le dernier mot. Le texte comprend par ailleurs une réforme de la justice des mineurs, pour se conformer à une récente décision du Conseil constitutionnel.
LeParisien.fr
Le Parlement a adopté définitivement jeudi, par un vote de l'Assemblée nationale, un texte UMP instaurant un encadrement de type militaire des mineurs délinquants. Proposée par le député des Alpes-Maritimes Eric Ciotti, cette loi prévoit, pour les mineurs délinquants de plus de 16 ans, un service «citoyen» d'une durée de 6 à 12 mois au sein d'un Etablissement public d'insertion de la Défense (Epide).
Ce texte d'Eric Ciotti, qui souhaite «une voie nouvelle entre la rue et la prison», est dénoncé par l'opposition comme une loi «superflue» et d'«affichage». Il va permettre «d'enrichir la palette des réponses à la délinquance des mineurs» et de «renforcer les moyens de lutte contre la récidive», a estimé jeudi le garde des Sceaux, Michel Mercier.
«Dès février, l'accueil pourra débuter dans 12 centres et sera progressivement étendu à trois autres établissements» à l'horizon de juin, a ajouté le ministre qui a évoqué «un séjour moyen de 10 mois» et promis «des moyens renforcés» pour les Epide qui accueillent déjà depuis 2005 des majeurs au titre du dispositif «Défense deuxième chance».
Le Sénat avait rejeté le texte
Les milieux proches des militaires se sont montrés réticents à ce texte. Fait inédit, le texte a été rejeté par la commission de la Défense à l'automne. Mais, insiste Eric Ciotti, «les Epide sont très motivés», affirmant que la démarche «a été construite avec les Epide et non contre les Epide comme la gauche a voulu le faire croire». Et de souligner que cette nouvelle possibilité permettra aux mineurs de quitter «le cercle vicieux de la délinquance» pour rejoindre «le cercle vertueux de la vie en société».
Pour Marc Dolez (Parti de Gauche), il s'agit d'un «énième texte d'affichage» à la fois «inutile» et «dangereux». La socialiste Marietta Karamanli a, elle, dénoncé une loi «superflue» et «inutile» et qui se «veut spectaculaire». Le Sénat, à nouvelle majorité de gauche, a rejeté ce texte au cours de la navette parlementaire, mais constitutionnellement, l'Assemblée, qui avait déjà adopté le texte, a le dernier mot. Le texte comprend par ailleurs une réforme de la justice des mineurs, pour se conformer à une récente décision du Conseil constitutionnel.
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Re: Actualités 2012
Un ancien responsable du médicament a été grassement rémunéré par Servier
LEMONDE.FR avec AFP | 20.12.11 | 08h05 • Mis à jour le 20.12.11 | 08h37
Un ancien responsable de l'Agence du médicament devenu ensuite consultant pour l'industrie pharmaceutique, le Pr Jean-Michel Alexandre, a perçu, à ce titre, pas moins de 1,2 million d'euros de rémunération des laboratoires Servier entre 2001 et 2009, révèle Le Figaro lundi 19 décembre.
Le journal écrit que "ce professeur de pharmacologie a été l'un des hommes les plus influents en matière de médicaments en France de 1980 à 2000". Selon Le Figaro, M. Alexandre a été président de la commission d'autorisation de mise sur le marché à l'Agence du médicament de 1985 à 1993, puis directeur de l'évaluation des médicaments de 1993 à 2000 et président du comité des médicaments de 1995 à 2000, avant de devenir consultant pour l'industrie pharmaceutique.
EN POSTE À DES DATES-CLÉS DU SCANDALE DU MEDIATOR
M. Alexandre était "en poste à des dates-clés de l'histoire du médicament" et "notamment en 1995, lorsque l'Afssaps décidait de mettre fin à la vente du Mediator dans les préparations magistrales [les mélanges réalisés par les pharmaciens] mais, pour des raisons jusqu'à présent inexpliquées, pas à la vente en comprimés", écrit le journal. Le Mediator, médicament destiné aux diabétiques en surpoids mais largement détourné comme coupe-faim, a été retiré du marché en novembre 2009. Il serait responsable de 500 à 2 000 décès.
"Du 29 octobre 2001 au 4 septembre 2009, [M. Alexandre] a facturé 1 163 188 euros à Servier, via une filiale dénommée CRIS [centre de recherche international pour la santé]", affirme Le Figaro sans citer de sources. "En paiement des services rendus, Jean-Michel Alexandre a perçu une rémunération forfaitaire payée sur présentation de factures accompagnée d'un rapport trimestriel", ajoute le journal.
"Sa mission consistait, selon les demandes de Jacques Servier, à analyser des dossiers touchant à l'efficacité des médicaments en développement ou déjà mis sur le marché", poursuit Le Figaro. Le journal mentionne les médicaments Vastarel, Protelos, Valdoxan et Procoralan, qui sont actuellement sous surveillance des autorités du médicament.
PAS DE SAISIE DE LA COMMISSION DE DÉONTOLOGIE
Lundi soir, lors du débat à l'Assemblée sur la réforme du contrôle des médicaments, Gérard Bapt (PS) a demandé au ministre de la santé Xavier Bertrand si la commission de déontologie compétente avait à l'époque été saisie lorsque le Pr Alexandre avait quitté ses fonctions publiques pour devenir consultant.
"Il semblerait qu'à l'époque la commission n'a pas été réunie parce que M. Alexandre n'a pas dit qu'il allait effectuer ses activités ensuite, ce qui signifie que l'Afsapss n'a pas été bien curieuse, a répondu le ministre. Je vais regarder pour voir juridiquement ce qu'il est possible de faire en espérant que les faits ne sont pas touchés par la prescription."
Contacté, le laboratoire Servier a indiqué à l'AFP que "le Pr Alexandre, une fois qu'il a quitté ses responsabilités dans le système de santé publique, a travaillé comme consultant pour plusieurs laboratoires" et qu'il "n'a jamais été employé par Servier pendant la période de ses responsabilités aux agences française ou européenne". La somme citée dans Le Figaro "n'est pas confirmée" par Servier.
Le journal précise que, lors de son audition au Sénat, en avril, le Pr Alexandre avait indiqué avoir travaillé "comme consultant scientifique indépendant (...) pour 30 à 40 laboratoires dans le monde". Selon le journal, les montants les plus importants ont été perçus avec les laboratoires Servier.
LEMONDE.FR avec AFP | 20.12.11 | 08h05 • Mis à jour le 20.12.11 | 08h37
Un ancien responsable de l'Agence du médicament devenu ensuite consultant pour l'industrie pharmaceutique, le Pr Jean-Michel Alexandre, a perçu, à ce titre, pas moins de 1,2 million d'euros de rémunération des laboratoires Servier entre 2001 et 2009, révèle Le Figaro lundi 19 décembre.
Le journal écrit que "ce professeur de pharmacologie a été l'un des hommes les plus influents en matière de médicaments en France de 1980 à 2000". Selon Le Figaro, M. Alexandre a été président de la commission d'autorisation de mise sur le marché à l'Agence du médicament de 1985 à 1993, puis directeur de l'évaluation des médicaments de 1993 à 2000 et président du comité des médicaments de 1995 à 2000, avant de devenir consultant pour l'industrie pharmaceutique.
EN POSTE À DES DATES-CLÉS DU SCANDALE DU MEDIATOR
M. Alexandre était "en poste à des dates-clés de l'histoire du médicament" et "notamment en 1995, lorsque l'Afssaps décidait de mettre fin à la vente du Mediator dans les préparations magistrales [les mélanges réalisés par les pharmaciens] mais, pour des raisons jusqu'à présent inexpliquées, pas à la vente en comprimés", écrit le journal. Le Mediator, médicament destiné aux diabétiques en surpoids mais largement détourné comme coupe-faim, a été retiré du marché en novembre 2009. Il serait responsable de 500 à 2 000 décès.
"Du 29 octobre 2001 au 4 septembre 2009, [M. Alexandre] a facturé 1 163 188 euros à Servier, via une filiale dénommée CRIS [centre de recherche international pour la santé]", affirme Le Figaro sans citer de sources. "En paiement des services rendus, Jean-Michel Alexandre a perçu une rémunération forfaitaire payée sur présentation de factures accompagnée d'un rapport trimestriel", ajoute le journal.
"Sa mission consistait, selon les demandes de Jacques Servier, à analyser des dossiers touchant à l'efficacité des médicaments en développement ou déjà mis sur le marché", poursuit Le Figaro. Le journal mentionne les médicaments Vastarel, Protelos, Valdoxan et Procoralan, qui sont actuellement sous surveillance des autorités du médicament.
PAS DE SAISIE DE LA COMMISSION DE DÉONTOLOGIE
Lundi soir, lors du débat à l'Assemblée sur la réforme du contrôle des médicaments, Gérard Bapt (PS) a demandé au ministre de la santé Xavier Bertrand si la commission de déontologie compétente avait à l'époque été saisie lorsque le Pr Alexandre avait quitté ses fonctions publiques pour devenir consultant.
"Il semblerait qu'à l'époque la commission n'a pas été réunie parce que M. Alexandre n'a pas dit qu'il allait effectuer ses activités ensuite, ce qui signifie que l'Afsapss n'a pas été bien curieuse, a répondu le ministre. Je vais regarder pour voir juridiquement ce qu'il est possible de faire en espérant que les faits ne sont pas touchés par la prescription."
Contacté, le laboratoire Servier a indiqué à l'AFP que "le Pr Alexandre, une fois qu'il a quitté ses responsabilités dans le système de santé publique, a travaillé comme consultant pour plusieurs laboratoires" et qu'il "n'a jamais été employé par Servier pendant la période de ses responsabilités aux agences française ou européenne". La somme citée dans Le Figaro "n'est pas confirmée" par Servier.
Le journal précise que, lors de son audition au Sénat, en avril, le Pr Alexandre avait indiqué avoir travaillé "comme consultant scientifique indépendant (...) pour 30 à 40 laboratoires dans le monde". Selon le journal, les montants les plus importants ont été perçus avec les laboratoires Servier.
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Re: Fiches culture générale 2012
Memo a écrit :Salut Maxymiou!Maxymiou a écrit :Bonjour,
je ne voudrai pas paraître trop "neuneu" mais je n'arrive pas à comprendre comment fonctionne votre topic![]()
Il y a un sujet par jour? Il faut ajouter nos infos ?
J'ai repris la première page et j'ai lu plusieurs pages... c'est super intéressant
Désolée mais je pensais déjà t'avoir répondu...![]()
En faite, on mets un planning en place pour savoir ce qu'on va traiter et quand. Ensuite, chacun(e) d'entre nous mets sa fiche. ça nous permet d'avoir des fiches complétes, et de ne rien rater. Si j'ai oublié quelque chose, les autres y auront sûrement pensé... Tu vois ce que je veux dire.
En plus ça nous permet d'avoir un certain rythme de deux/trois fiches par semaine.
C'est un plus pour la Culture Générale. Utile à l'écrit et à l'oral.![]()
Blackrose courage!! On sait tous que c'est pas facile.
Il faut que tu réussisses à t'organiser. Donnes toi des petits objectifs pour commencer.
_5 exercies de maths tous les soirs avant d'allé te coucher.
_Regardes les infos durant le repas.
_Essaies de lire au moins un thème par semaine.
Et quand, tu seras habitué augmente la cadence: 10 exos...
COURAGE!!
Hello Memo;
Merci pour tes encouragements, j'admets que c'est loin d'être simple surtout que je travaille donc retour à la maison que vers 18h30 ensuite faut que je m'occupe de mes puces mais faut vraiment que je m'y mette
Re: Actualités 2012
Les autorités sanitaires devraient demander le retrait des implants PIP
LEMONDE.FR | 20.12.11 | 06h44 • Mis à jour le 20.12.11 | 11h46
L'affaire des prothèses mammaires de type PIP prend de l'ampleur. Selon Libération, mardi 20 décembre, les autorités sanitaires vont demander, d'ici à la fin de la semaine, aux 30 000 femmes qui portent ces prothèses en silicone, dont le danger a été établi dès mars 2010, de se les faire enlever. Cette information a été confirmée au quotidien par Agnès Buzyn, la présidente de l'Institut national du cancer, et le chirurgien Laurent Lantieri, chirurgien vedette du groupe hospitalier Henri-Mondor à Créteil. De son côté, le directeur général de la santé, Jean-Yves Grall, joint par France Info, refuse de confirmer ou de démentir : "Nous attendons les recommandations des professionnels et de l'Institut national du cancer, il n'y a pas de décision prise à l'heure actuelle."
Le gouvernement annoncera d'ici la fin de semaine son plan d'action concernant ces prothèses, a indiqué mardi sa porte-parole Valérie Pécresse sur LCI. "Aujourd'hui, nous sommes dans un processus d'évaluation de ces prothèses mammaires, vu les risques de cancer qui apparaissent. (...) L'urgence, c'est que toutes les femmes qui ont des prothèses PIP retournent voir leur chirurgien", a déclaré la porte-parole.
"PRINCIPE DE PRÉVENTION"
Huit cas de cancer ont été "signalés" chez des patientes ayant eu des prothèses PIP défectueuses car conçues à partir d'un gel non conforme et qui peuvent se déchirer, avait indiqué le 15 décembre le professeur Jean-Yves Grall, à l'issue du premier "comité de suivi" créé à la demande du gouvernement. Parmi ces cas, cinq cancers du sein ont été déclarés, ainsi qu'un cas de lymphome de l'amygdale, un cas de leucémie, ainsi qu'un cas de lymphome rare du sein qui a provoqué la mort d'une patiente.
La décision de demander aux 30 000 femmes porteuses de ces prothèses de se les faire retirer ("explantation") est "unique dans l'histoire de la chirurgie réparatrice", souligne Libération. "On est d'accord sur la nécessité de cette décision, a affirmé Laurent Lantieri, membre du comité de suivi. Nous sommes face à une cirse sanitaire, liée à une escroquerie. (...) Il n'y a pas d'urgence mais nous n'avons plus le choix. Il faut retirer toutes ces prothèses. A mes yeux, ce n'est pas l'application d'un principe de précaution, mais un principe de prévention", a-t-il ajouté.
REMBOURSEMENT DES FRAIS MÉDICAUX ET CHIRURGICAUX
Selon Libération, les détails de la demande qui sera adressée aux femmes concernées seront fixés lors d'une réunion du comité de suivi vendredi 23 décembre. "Toutes les femmes porteuses d'implants PIP seront remboursées de leurs frais médicaux et chirurgicaux liés à l'explantation", a indiqué à Libération le professeur Grall. En revanche, la pose d'une nouvelle prothèse ne sera remboursée qu'aux "femmes qui relèvent d'une reconstruction après chirurgie du cancer du sein", et non aux femmes qui s'étaient fait mettre des prothèses dans le cadre d'une opération de chirurgie esthétique.
Le comité de suivi recense actuellement tous les cas de cancers survenus chez des femmes ayant eu des implants PIP — pour 80 % d'entre elles à des fins esthétiques et 20 % à titre de reconstruction après un cancer du sein, selon l'agence des produits de santé (Afssaps). Depuis mars 2010, 523 retraits de ces prothèses ont été recensés.
L'agence sanitaire recommande aux femmes qui en sont porteuses de consulter leur chirurgien. Un numéro vert (0800 636 636) a été mis à leur disposition. Cinq mille femmes l'ont déjà appelé.
LEMONDE.FR | 20.12.11 | 06h44 • Mis à jour le 20.12.11 | 11h46
L'affaire des prothèses mammaires de type PIP prend de l'ampleur. Selon Libération, mardi 20 décembre, les autorités sanitaires vont demander, d'ici à la fin de la semaine, aux 30 000 femmes qui portent ces prothèses en silicone, dont le danger a été établi dès mars 2010, de se les faire enlever. Cette information a été confirmée au quotidien par Agnès Buzyn, la présidente de l'Institut national du cancer, et le chirurgien Laurent Lantieri, chirurgien vedette du groupe hospitalier Henri-Mondor à Créteil. De son côté, le directeur général de la santé, Jean-Yves Grall, joint par France Info, refuse de confirmer ou de démentir : "Nous attendons les recommandations des professionnels et de l'Institut national du cancer, il n'y a pas de décision prise à l'heure actuelle."
Le gouvernement annoncera d'ici la fin de semaine son plan d'action concernant ces prothèses, a indiqué mardi sa porte-parole Valérie Pécresse sur LCI. "Aujourd'hui, nous sommes dans un processus d'évaluation de ces prothèses mammaires, vu les risques de cancer qui apparaissent. (...) L'urgence, c'est que toutes les femmes qui ont des prothèses PIP retournent voir leur chirurgien", a déclaré la porte-parole.
"PRINCIPE DE PRÉVENTION"
Huit cas de cancer ont été "signalés" chez des patientes ayant eu des prothèses PIP défectueuses car conçues à partir d'un gel non conforme et qui peuvent se déchirer, avait indiqué le 15 décembre le professeur Jean-Yves Grall, à l'issue du premier "comité de suivi" créé à la demande du gouvernement. Parmi ces cas, cinq cancers du sein ont été déclarés, ainsi qu'un cas de lymphome de l'amygdale, un cas de leucémie, ainsi qu'un cas de lymphome rare du sein qui a provoqué la mort d'une patiente.
La décision de demander aux 30 000 femmes porteuses de ces prothèses de se les faire retirer ("explantation") est "unique dans l'histoire de la chirurgie réparatrice", souligne Libération. "On est d'accord sur la nécessité de cette décision, a affirmé Laurent Lantieri, membre du comité de suivi. Nous sommes face à une cirse sanitaire, liée à une escroquerie. (...) Il n'y a pas d'urgence mais nous n'avons plus le choix. Il faut retirer toutes ces prothèses. A mes yeux, ce n'est pas l'application d'un principe de précaution, mais un principe de prévention", a-t-il ajouté.
REMBOURSEMENT DES FRAIS MÉDICAUX ET CHIRURGICAUX
Selon Libération, les détails de la demande qui sera adressée aux femmes concernées seront fixés lors d'une réunion du comité de suivi vendredi 23 décembre. "Toutes les femmes porteuses d'implants PIP seront remboursées de leurs frais médicaux et chirurgicaux liés à l'explantation", a indiqué à Libération le professeur Grall. En revanche, la pose d'une nouvelle prothèse ne sera remboursée qu'aux "femmes qui relèvent d'une reconstruction après chirurgie du cancer du sein", et non aux femmes qui s'étaient fait mettre des prothèses dans le cadre d'une opération de chirurgie esthétique.
Le comité de suivi recense actuellement tous les cas de cancers survenus chez des femmes ayant eu des implants PIP — pour 80 % d'entre elles à des fins esthétiques et 20 % à titre de reconstruction après un cancer du sein, selon l'agence des produits de santé (Afssaps). Depuis mars 2010, 523 retraits de ces prothèses ont été recensés.
L'agence sanitaire recommande aux femmes qui en sont porteuses de consulter leur chirurgien. Un numéro vert (0800 636 636) a été mis à leur disposition. Cinq mille femmes l'ont déjà appelé.
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Re: Actualités 2012
La réforme du contrôle des médicaments adoptée par le Parlement
LEMONDE.FR avec AFP | 20.12.11 | 07h25 • Mis à jour le 20.12.11 | 07h37
Le Parlement a adopté définitivement, lundi 19 décembre, la réforme du contrôle des médicaments, destinée à empêcher la réédition d'un scandale comme celui du Mediator, et dont l'examen, commencé dans un climat assez consensuel, s'est terminé en bras de fer entre députés et sénateurs.
L'Assemblée nationale, qui a le dernier mot face au Sénat, a approuvé, lors d'un ultime vote, ce projet de loi présenté par le ministre de la santé, Xavier Bertrand.
Aux termes du texte, les responsables et experts d'autorités sanitaires devront déposer et actualiser une déclaration publique d'intérêts sur leurs liens avec l'industrie pharmaceutique dans les cinq dernières années.
L'AFSSAPS REMPLACÉE PAR UNE AUTRE AGENCE
L'Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé), très critiquée pour sa passivité face aux laboratoires Servier dans l'affaire du Mediator, est remplacée par l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), aux pouvoirs accrus.
Le rôle passé de l'agence a de nouveau été mise en cause durant les débats, après que le Figaro.fr a écrit lundi qu'un de ses anciens responsables, le Pr Jean-Michel Alexandre, avait perçu entre 2001 et 2009 près de 1,2 million d'euros de rémunération des laboratoires Servier.
Xavier Bertrand a déclaré qu'il "allait voir juridiquement ce qu'il [était] possible de faire, en espérant que les faits ne sont pas touchés par la prescription".
ESSAIS COMPARATIFS
Selon la réforme adoptée, l'Agence pourra demander à l'industrie pharmaceutique de mener des essais comparatifs pour montrer l'amélioration d'un nouveau produit par rapport à un médicament existant.
En raison de la réglementation européenne, ces essais, dont les modalités seront fixées par décret, ne pourront cependant pas être imposés au laboratoire pour l'autorisation de mise sur le marché d'un médicament. Ils seront en revanche obligatoires, lorsqu'ils seront techniquement possibles, pour que le produit soit remboursé par la Sécurité sociale.
Un professionnel de santé qui alerterait les autorités sanitaires sur la nocivité d'un médicament sera protégé de toute sanction ou discrimination, en particulier de la part de son employeur.
Sauf pour certains médicaments, les visiteurs médicaux présentant de nouveaux produits à l'hôpital devront le faire devant un groupe de médecins, et non plus en face à face avec un seul praticien.
HOMMAGE À CEUX QUI ONT DÉNONCÉ DES EFFETS NOCIFS DU MEDIATOR
L'adoption du projet en première lecture par les députés, début octobre, avait fait l'objet d'un relatif accord entre le gouvernement et le PS, qui s'était abstenu après avoir vu plusieurs de ses amendements pris en compte, notamment sur la création d'une base publique de données sur les maladies et leurs traitements.
Xavier Bertrand a d'ailleurs rendu hommage au député PS et cardiologue Gérard Bapt, ainsi qu'aux médecins Irène Frachon et Georges Chiche pour leur dénonciation des effets nocifs du Mediator, qui serait responsable de 500 à 2 000 décès.
"LE COMPTE N'Y ÉTAIT PAS"
Mais ce consensus s'est fissuré un mois plus tard lorsque le Sénat, à majorité de gauche, a durci le texte, interdisant tout lien d'intérêt aux dirigeants d'autorités sanitaires et permettant aux victimes de médicaments nocifs de mener en justice des actions de groupe.
Fin novembre, l'Assemblée, jugeant notamment que l'action de groupe méritait un débat plus large, a supprimé la plupart des amendements du Sénat qui alors, mardi dernier, a voté contre le texte.
Lundi, Jacqueline Fraysse, pour les communistes, a estimé que "le compte n'y était pas" sur les essais comparatifs, l'indépendance des experts et le droit des victimes. Catherine Lemorton (PS) a reproché au gouvernement, malgré des "avancées", d'avoir plus changé "le contenant" que le contenu.
LEMONDE.FR avec AFP | 20.12.11 | 07h25 • Mis à jour le 20.12.11 | 07h37
Le Parlement a adopté définitivement, lundi 19 décembre, la réforme du contrôle des médicaments, destinée à empêcher la réédition d'un scandale comme celui du Mediator, et dont l'examen, commencé dans un climat assez consensuel, s'est terminé en bras de fer entre députés et sénateurs.
L'Assemblée nationale, qui a le dernier mot face au Sénat, a approuvé, lors d'un ultime vote, ce projet de loi présenté par le ministre de la santé, Xavier Bertrand.
Aux termes du texte, les responsables et experts d'autorités sanitaires devront déposer et actualiser une déclaration publique d'intérêts sur leurs liens avec l'industrie pharmaceutique dans les cinq dernières années.
L'AFSSAPS REMPLACÉE PAR UNE AUTRE AGENCE
L'Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé), très critiquée pour sa passivité face aux laboratoires Servier dans l'affaire du Mediator, est remplacée par l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), aux pouvoirs accrus.
Le rôle passé de l'agence a de nouveau été mise en cause durant les débats, après que le Figaro.fr a écrit lundi qu'un de ses anciens responsables, le Pr Jean-Michel Alexandre, avait perçu entre 2001 et 2009 près de 1,2 million d'euros de rémunération des laboratoires Servier.
Xavier Bertrand a déclaré qu'il "allait voir juridiquement ce qu'il [était] possible de faire, en espérant que les faits ne sont pas touchés par la prescription".
ESSAIS COMPARATIFS
Selon la réforme adoptée, l'Agence pourra demander à l'industrie pharmaceutique de mener des essais comparatifs pour montrer l'amélioration d'un nouveau produit par rapport à un médicament existant.
En raison de la réglementation européenne, ces essais, dont les modalités seront fixées par décret, ne pourront cependant pas être imposés au laboratoire pour l'autorisation de mise sur le marché d'un médicament. Ils seront en revanche obligatoires, lorsqu'ils seront techniquement possibles, pour que le produit soit remboursé par la Sécurité sociale.
Un professionnel de santé qui alerterait les autorités sanitaires sur la nocivité d'un médicament sera protégé de toute sanction ou discrimination, en particulier de la part de son employeur.
Sauf pour certains médicaments, les visiteurs médicaux présentant de nouveaux produits à l'hôpital devront le faire devant un groupe de médecins, et non plus en face à face avec un seul praticien.
HOMMAGE À CEUX QUI ONT DÉNONCÉ DES EFFETS NOCIFS DU MEDIATOR
L'adoption du projet en première lecture par les députés, début octobre, avait fait l'objet d'un relatif accord entre le gouvernement et le PS, qui s'était abstenu après avoir vu plusieurs de ses amendements pris en compte, notamment sur la création d'une base publique de données sur les maladies et leurs traitements.
Xavier Bertrand a d'ailleurs rendu hommage au député PS et cardiologue Gérard Bapt, ainsi qu'aux médecins Irène Frachon et Georges Chiche pour leur dénonciation des effets nocifs du Mediator, qui serait responsable de 500 à 2 000 décès.
"LE COMPTE N'Y ÉTAIT PAS"
Mais ce consensus s'est fissuré un mois plus tard lorsque le Sénat, à majorité de gauche, a durci le texte, interdisant tout lien d'intérêt aux dirigeants d'autorités sanitaires et permettant aux victimes de médicaments nocifs de mener en justice des actions de groupe.
Fin novembre, l'Assemblée, jugeant notamment que l'action de groupe méritait un débat plus large, a supprimé la plupart des amendements du Sénat qui alors, mardi dernier, a voté contre le texte.
Lundi, Jacqueline Fraysse, pour les communistes, a estimé que "le compte n'y était pas" sur les essais comparatifs, l'indépendance des experts et le droit des victimes. Catherine Lemorton (PS) a reproché au gouvernement, malgré des "avancées", d'avoir plus changé "le contenant" que le contenu.
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Re: Fiches culture générale 2012
Voila ma fiche, mais j'en ai surement fait un peu trop, mais en fait ça m'intéressait vachement donc forcément, ah et Mémo, je voulais te poser une question, pour kiné, tu es sûre que c'est Bac+3 ? Il me semblait qu'il fallait faire 1 année de médecine et 3 ans de spécialisation kiné ?????
PROFESSIONS SANITAIRES ET SOCIALES :
En 2007, on compte en France 33 000 employeurs et 925 000 employés dans le secteur sanitaire et social.
Définition :
Ensemble des professions qui doivent aider des personnes qui ont des difficultés (personnes âgées ; personnes malades ; personnes handicapées ; jeunes enfants...) et qui utilise pour atteindre ses objectifs un personnel médical, paramédical ou social.
Professions en rapport avec les personnes âgées :
Dans les personnes dépendantes, on comprend les personnes âgées.
-Aide médico-psychologique : Rôle de soutien, il les accompagnent dans la vie quotidienne afin de les aider et anticiper leurs besoins.
-Aide-soignant : travaille en général avec les infirmiers, ils aident dans les gestes de la vie courante tels que la toilette, le repas, le coucher etc...
-Ambulanciers : Assure le transport pour des personnes nécessitant d'aller à l'hopital, au cours du trajet il s'assure que son passager aille bien, il peut faire des gestes de premier secours et est tenu de remplir des papiers.
-Animateur social : Est là pour éviter une rupture sociale mais également créer un lien autour d'activités. Il organise des fêtes (Noël, Pâques etc...), des jeux...
-Assistant de service social : Un soutien pour les personnes. Ils font tout pour que chaque personne est accès aux droits et aux soins.
-Audio-prothésiste : C'est un spécialiste dans la prothèse auditive. Il fait tout pour que les personnes plus ou moins sourdes ait accès à une prothèse, il les suit régulièrement - Auxiliaire de vie sociale : Aide aux tâches de la vie quotidienne ainsi qu'aux loisirs. Relation de confiance et de dialogues avec la famille.
- Cadres de santé : les missions exercées par les cadres de santé sont larges : management d’équipes, conduite de projet, expertise ou formation.
- Diététicien : Aide les personnes pour la qualité des aliments, la quantité, l'équilibre du régime alimentaire etc...
- Directeur d'établissement ou de services d'intervention sociales : le directeur d’établissement ou de service d’intervention sociale, dirige un ou plusieurs établissements ou services du champ de l’action sociale, médicosociale ou sanitaire.
- Ergothérapeute : Est là afin d'aider les personnes qui ont des déficits à retrouver le plus possible leur autonomie.
- Infirmiers : l’infirmier dispense des soins de nature préventive, curative ou palliative, visant à promouvoir, maintenir et restaurer la santé. les soins infirmiers sont de natures techniques et relationnelles. L’infirmier contribue à l’éducation à la santé et à l’accompagnement des personnes ou des groupes dans leurs parcours de soin en lien avec leur projet de vie .L’infirmier donne habituellement des soins sur prescription ou conseil médical et en fonction de son rôle propre. il évalue l‘état de santé des personnes et analyse les situations de soins. il planifie, prodigue des soins, met en œuvre les traitements et évalue ses actions. Exemples : soins d’hygiène et de confort, prise de sang, distribution de médicaments, pose des perfusions, injections, pansements… il participe à des actions de prévention et d’éducation dans des écoles, des entreprises, des structures de soins. il accompagne les personnes en fin de vie et leur famille à l’hôpital, à domicile.
- Masseur kinésithérapeute : Préviens les risques de perte de capacités, maintient ces capacités ou encore aident à récupérer des capacités perdus, il peut également agir dans le domaine du sport.
- Médiateur familial :renoue les liens dans une famille, réinstaure le dialogue.
- Psychomotricien : agit sur des fonctions perdus par des personnes en difficultés comme le bégaiement, les tics, les troubles du comportement et de l'orientation.
Les métiers de la petite enfance :
- Assistant familial : L’assistant familial exerce une profession définie et réglementée d’accueil permanent, à son domicile et dans sa famille, de mineurs ou de jeunes majeurs de 18 à 21 ans.
- Auxiliaire de puéricultrice : Aide les parents à la naissance de l'enfant, s'occupent de l'enfant, participe à son éveil, effectue des gestes de la vie quotidienne, peut travailler dans le secteur hospitalier ou extra-hospitalier.
- Auxiliaire de vie sociale
- Cadres de santé
- Éducateur de jeunes enfants : accueille les jeunes enfants de 0 à 7 ans ainsi que leurs familles. Propose des activités d'éveil, ludiques. Basé sur 3 grand critères : éducation, prévention, coordination.
- Infirmiers
- Infirmières puéricultrices : exercent des fonctions de soins, d’éducation, de prévention, de gestion et de coordination auprès des enfants de la naissance jusqu’à l’adolescence et auprès de leur famille.
- Médiateur familial
- Sage femme : Consultations prénatales, prépare la naissance avec la famille, assiste à l'accouchement et prends en charge le nouveau-né.
Les métiers de l'intervention sociale et familiale
- Aide médico-psychologique
- Animateur social.
- Assistant de service social
- Assistant familial
- Auxiliaire de puériculture
- Auxiliaire de vie sociale
- Diététicien
- Directeur d'établissement ou de services d'intervention sociale
- Educateur de jeunes enfants
- Infirmiers
- Médiateur familial
- Sage femme
Les métiers de l'insertion et de l'intervention auprès des personnes en situations d'exlusion.
- Aide médico-psychologique
- Animateur social
- Assistant de service social
- Directeur d'établissement ou de services d'intervention sociales
- Educateur spécialisé : Il les aide à développer leurs capacités, à s'insérer dans la société...
- Educateur technique spécialisée : encadre des activités techniques et développe des relations avec les entreprises au cours d’un accompagnement professionnel, éducatif et social.
- Médiateur familial
- Moniteur éducateur : Activités de soutien scolaire, pour les aider dans l'autonomie et l'insertion dans la société.
Les professions sanitaires ou paramédicales :
A rajouter en plus du reste : toutes le professions liés à la pharmacie, peut se spécialiser dans la recherche, distribue des médicaments, doit quelque fois faire des analyses...

PROFESSIONS SANITAIRES ET SOCIALES :
En 2007, on compte en France 33 000 employeurs et 925 000 employés dans le secteur sanitaire et social.
Définition :
Ensemble des professions qui doivent aider des personnes qui ont des difficultés (personnes âgées ; personnes malades ; personnes handicapées ; jeunes enfants...) et qui utilise pour atteindre ses objectifs un personnel médical, paramédical ou social.
Professions en rapport avec les personnes âgées :
Dans les personnes dépendantes, on comprend les personnes âgées.
-Aide médico-psychologique : Rôle de soutien, il les accompagnent dans la vie quotidienne afin de les aider et anticiper leurs besoins.
-Aide-soignant : travaille en général avec les infirmiers, ils aident dans les gestes de la vie courante tels que la toilette, le repas, le coucher etc...
-Ambulanciers : Assure le transport pour des personnes nécessitant d'aller à l'hopital, au cours du trajet il s'assure que son passager aille bien, il peut faire des gestes de premier secours et est tenu de remplir des papiers.
-Animateur social : Est là pour éviter une rupture sociale mais également créer un lien autour d'activités. Il organise des fêtes (Noël, Pâques etc...), des jeux...
-Assistant de service social : Un soutien pour les personnes. Ils font tout pour que chaque personne est accès aux droits et aux soins.
-Audio-prothésiste : C'est un spécialiste dans la prothèse auditive. Il fait tout pour que les personnes plus ou moins sourdes ait accès à une prothèse, il les suit régulièrement - Auxiliaire de vie sociale : Aide aux tâches de la vie quotidienne ainsi qu'aux loisirs. Relation de confiance et de dialogues avec la famille.
- Cadres de santé : les missions exercées par les cadres de santé sont larges : management d’équipes, conduite de projet, expertise ou formation.
- Diététicien : Aide les personnes pour la qualité des aliments, la quantité, l'équilibre du régime alimentaire etc...
- Directeur d'établissement ou de services d'intervention sociales : le directeur d’établissement ou de service d’intervention sociale, dirige un ou plusieurs établissements ou services du champ de l’action sociale, médicosociale ou sanitaire.
- Ergothérapeute : Est là afin d'aider les personnes qui ont des déficits à retrouver le plus possible leur autonomie.
- Infirmiers : l’infirmier dispense des soins de nature préventive, curative ou palliative, visant à promouvoir, maintenir et restaurer la santé. les soins infirmiers sont de natures techniques et relationnelles. L’infirmier contribue à l’éducation à la santé et à l’accompagnement des personnes ou des groupes dans leurs parcours de soin en lien avec leur projet de vie .L’infirmier donne habituellement des soins sur prescription ou conseil médical et en fonction de son rôle propre. il évalue l‘état de santé des personnes et analyse les situations de soins. il planifie, prodigue des soins, met en œuvre les traitements et évalue ses actions. Exemples : soins d’hygiène et de confort, prise de sang, distribution de médicaments, pose des perfusions, injections, pansements… il participe à des actions de prévention et d’éducation dans des écoles, des entreprises, des structures de soins. il accompagne les personnes en fin de vie et leur famille à l’hôpital, à domicile.
- Masseur kinésithérapeute : Préviens les risques de perte de capacités, maintient ces capacités ou encore aident à récupérer des capacités perdus, il peut également agir dans le domaine du sport.
- Médiateur familial :renoue les liens dans une famille, réinstaure le dialogue.
- Psychomotricien : agit sur des fonctions perdus par des personnes en difficultés comme le bégaiement, les tics, les troubles du comportement et de l'orientation.
Les métiers de la petite enfance :
- Assistant familial : L’assistant familial exerce une profession définie et réglementée d’accueil permanent, à son domicile et dans sa famille, de mineurs ou de jeunes majeurs de 18 à 21 ans.
- Auxiliaire de puéricultrice : Aide les parents à la naissance de l'enfant, s'occupent de l'enfant, participe à son éveil, effectue des gestes de la vie quotidienne, peut travailler dans le secteur hospitalier ou extra-hospitalier.
- Auxiliaire de vie sociale
- Cadres de santé
- Éducateur de jeunes enfants : accueille les jeunes enfants de 0 à 7 ans ainsi que leurs familles. Propose des activités d'éveil, ludiques. Basé sur 3 grand critères : éducation, prévention, coordination.
- Infirmiers
- Infirmières puéricultrices : exercent des fonctions de soins, d’éducation, de prévention, de gestion et de coordination auprès des enfants de la naissance jusqu’à l’adolescence et auprès de leur famille.
- Médiateur familial
- Sage femme : Consultations prénatales, prépare la naissance avec la famille, assiste à l'accouchement et prends en charge le nouveau-né.
Les métiers de l'intervention sociale et familiale
- Aide médico-psychologique
- Animateur social.
- Assistant de service social
- Assistant familial
- Auxiliaire de puériculture
- Auxiliaire de vie sociale
- Diététicien
- Directeur d'établissement ou de services d'intervention sociale
- Educateur de jeunes enfants
- Infirmiers
- Médiateur familial
- Sage femme
Les métiers de l'insertion et de l'intervention auprès des personnes en situations d'exlusion.
- Aide médico-psychologique
- Animateur social
- Assistant de service social
- Directeur d'établissement ou de services d'intervention sociales
- Educateur spécialisé : Il les aide à développer leurs capacités, à s'insérer dans la société...
- Educateur technique spécialisée : encadre des activités techniques et développe des relations avec les entreprises au cours d’un accompagnement professionnel, éducatif et social.
- Médiateur familial
- Moniteur éducateur : Activités de soutien scolaire, pour les aider dans l'autonomie et l'insertion dans la société.
Les professions sanitaires ou paramédicales :
A rajouter en plus du reste : toutes le professions liés à la pharmacie, peut se spécialiser dans la recherche, distribue des médicaments, doit quelque fois faire des analyses...
CHU Saint-Etienne : Admissible, oral le 23 mai
Croix rouge Saint-Etienne : Admissible, oral le 31 mai.
Croix rouge Saint-Etienne : Admissible, oral le 31 mai.
Re: Fiches culture générale 2012
Bon d'accord, je me suis rendu compte que j'avais carrément oublié les médecins ..... 

CHU Saint-Etienne : Admissible, oral le 23 mai
Croix rouge Saint-Etienne : Admissible, oral le 31 mai.
Croix rouge Saint-Etienne : Admissible, oral le 31 mai.
Re: Actualités 2012
L’autisme déclaré Grande cause nationale 2012
Le Premier ministre a attribué aujourd’hui le label de Grande Cause nationale pour 2012 au collectif d’associations : Rassemblement "Ensemble pour l’autisme" organisé par le Collectif Autisme.
L’autisme et les troubles envahissants du développement (TED) –également appelés troubles du spectre autistique- forment un ensemble de pathologies diverses, impliquant des difficultés entraînant un détachement pathologique de la réalité accompagné d'un repli sur soi, d’une perte de la socialisation, d’une perturbation dans la communication et des désordres comportementaux. Les médecins considèrent aujourd’hui l’autisme comme la manifestation comportementale d’un problème neuro-développemental ayant des racines génétiques. Mais en France, comme le dénonce le film Le Mur, l’autisme est encore trop souvent considéré comme une psychose ce qui compromet fortement la prise en charge des patients autistiques.
L’obtention du label Grande Cause nationale est l’occasion pour les associations de malades et de familles de malades de modifier ces représentations erronées. Le label permet ainsi d’organiser des campagnes d’information et de collecte et d’obtenir des diffusions gratuites sur les radios et les télévisions publiques. Il a été attribué suite à la demande déposée par le rassemblement « ENSEMBLE POUR L’AUTISME », qui regroupe plus de 200 associations de parents et 800 associations gestionnaires d’établissements, ce qui représente près de 100 000 familles en tout.
Sciences et Avenir.fr
20/12/2011
Le Premier ministre a attribué aujourd’hui le label de Grande Cause nationale pour 2012 au collectif d’associations : Rassemblement "Ensemble pour l’autisme" organisé par le Collectif Autisme.
L’autisme et les troubles envahissants du développement (TED) –également appelés troubles du spectre autistique- forment un ensemble de pathologies diverses, impliquant des difficultés entraînant un détachement pathologique de la réalité accompagné d'un repli sur soi, d’une perte de la socialisation, d’une perturbation dans la communication et des désordres comportementaux. Les médecins considèrent aujourd’hui l’autisme comme la manifestation comportementale d’un problème neuro-développemental ayant des racines génétiques. Mais en France, comme le dénonce le film Le Mur, l’autisme est encore trop souvent considéré comme une psychose ce qui compromet fortement la prise en charge des patients autistiques.
L’obtention du label Grande Cause nationale est l’occasion pour les associations de malades et de familles de malades de modifier ces représentations erronées. Le label permet ainsi d’organiser des campagnes d’information et de collecte et d’obtenir des diffusions gratuites sur les radios et les télévisions publiques. Il a été attribué suite à la demande déposée par le rassemblement « ENSEMBLE POUR L’AUTISME », qui regroupe plus de 200 associations de parents et 800 associations gestionnaires d’établissements, ce qui représente près de 100 000 familles en tout.
Sciences et Avenir.fr
20/12/2011
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Re: Fiches culture générale 2012
coucou a tous
j'aimerai vous rejoindre
je voulais savoir quuelle fiches vous allez preparer ?
et comment vous vous metiez d'accord pour les fiches que vous aller preparer?
j'aimerai vous rejoindre
je voulais savoir quuelle fiches vous allez preparer ?
et comment vous vous metiez d'accord pour les fiches que vous aller preparer?
ESI 2012-2015
IFSI ESSSE
IFSI ESSSE
Re: Fiches culture générale 2012
Salut moi69!!
Pour les fiches à "préparer" on se met d'accord entre nous. On a déjà traité tous les sujets du livre à Debella. On a alors regarder dans d'autre livres.... Et remarqué d'autre thèmes.
On en parle entre nous et on se met d'accord sur les thèmes à traiter.
Les prochains thèmes:
_Infirmière ce vendredi
Pour les autres on reste sur Mardi/Vendredi ou Mardi/Jeudi/Vendredi???
_Santé publique
_Ecole
_Action humanitaire
_Internet et réseaux sociaux
Pour les fiches à "préparer" on se met d'accord entre nous. On a déjà traité tous les sujets du livre à Debella. On a alors regarder dans d'autre livres.... Et remarqué d'autre thèmes.

On en parle entre nous et on se met d'accord sur les thèmes à traiter.
Les prochains thèmes:
_Infirmière ce vendredi
Pour les autres on reste sur Mardi/Vendredi ou Mardi/Jeudi/Vendredi???
_Santé publique
_Ecole
_Action humanitaire
_Internet et réseaux sociaux
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Fiches culture générale 2012
PROFESSIONNELS DE SANTE
MEDECIN :
Médecin libéral : médecin qui perçoit des honoraires.
Conditions d’exercice :
• Doctorat en médecine en 3 cycles :
o Sélection à l’issu du 1er cycle de 2 ans.
o 2e cycle de 4 ans → examen. L’étudiant choisit entre la médecine générale et une spécialité.
o 3e cycle de 2 ans pour la médecine générale et 5 ans pour une spécialisation.
→ diplôme de docteur en médecine après soutenance d’une thèse.
• Concours de l’internat :
Présentation à 2 fois maxi.
DES : Diplôme d’Etudes Spécialisés.
• Inscription à l’ordre national des médecins.
• Avoir la nationalité française.
Différents modes d’exercices :
• Praticiens libéraux :
Exerce en hôpital privé ou en laboratoire.
o Secteur à honoraires opposables : médecins conventionnées.
o Secteur à honoraires libres.
• Praticiens salariés :
o Praticien hospitalier :
Hospitalo-universitaires : maitres de conférences et professeurs.
Chef de clinique : activité hospitalière, de recherche et d’enseignement.
Praticien hospitalier : activité clinique.
Assistant : 10 ½ journées par semaine à l’hôpital.
Attaché : médecin libéral qui assure des vacations (tps consacré par une personne à une tâche précise) à l’hôpital.
o Autres praticiens salariés :
Médecins salariés de l’Etat (médecin universitaire et scolaire).
Collectivités territoriales : caisse de sécurité sociale, PMI.
Entreprise : médecin du travail.
CHIFFRES :
68% de médecins généralistes.
50,3% médecins spécialistes exercent en libéral.
PERSONNEL SOIGNANT
INFIRMIERS cf fiche
AIDES SOIGNANTS
Sous la responsabilité des infirmiers.
ROLE :
Offrir des soins pour répondre aux besoins d’entretien et de continuité de la vie de l’être humain.
Compenser partiellement ou totalement un manque ou une diminution d’autonomie de la personne.
Scolarité : 1 an.
AUXILIAIRE DE PUERICULTURE
Sous la responsabilité des infirmiers et autres professionnels du secteur de la santé et des secteurs éducatifs et sociaux.
ROLES :
Participe à la prise en charge individuelle ou en groupe jusqu’à l’adolescence, de l’enfance, bien portant, malade ou handicap.
Répondre aux besoins quotidiens de l’enfant par la présence qu’ils assurent les soins spécialisés auxquels ils participent et les activités d’éveil qu’ils organisent.
Formation : 1 an.
PERSONNEL DE REEDUCATION
Masseur kinésithérapeute :
ROLE : réaliser des actes, à des fins de rééducation, dans le but de prévenir l’altération des capacités fonctionnelles, de concourir à leur maintien et de les rétablir.
Formation : 3 ans dans des établissements privés ou public agrées par l’Etat.
Orthophoniste :
ROLE : prévenir et prendre en charge les troubles de la communication orale et écrite chez l’enfant, l’adolescent, la personne adulte et âgée dans un but de réadaptation.
Formation : 3 ans dans UFR (Unité de Formation et de Recherche) de médecine ou de technique de réadaptation.
Orthoptiste :
ROLE : assurer par la rééducation, le traitement des troubles de la fonction sensorielle et motrice binoculaire.
Formation : 3 ans dans une fac de médecine.
Diététicien :
Collaborateur des médecins, de gestionnaires ou de chercheurs.
ROLE : apporter ses compétences scientifiques et techniques pour assurer la qualité des aliments et des préparations, l’équilibre nutritionnel, l’établissement des régimes sur prescription médicale et le respect des règles d’hygiènes.
Ergothérapeute :
ROLE : rééduquer par le travail les handicapées moteurs ou mentaux pour qu’ils acquièrent une certaine autonomie dans la vie quotidienne et professionnelle.
Formation : 3 ans dans un établissement public ou privé agréé.
Pédicure-podologue :
ROLE :
Traiter les affections épidermiques et un génale du pied à l’exclusion de toute intervention provoquant l’effusion de sang.
Prodiguer des soins d’hygiène.
Concevoir et réaliser des semelles orthopédiques et des appareillages destinés à redresser le pied.
Formation : 3 ans.
Psychomotricien
ROLE : rééduquer les patients confrontés à des troubles psychologiques vécus et exprimés corporellement, en agissant sur les fonctions psychomotrices.
Formation : 3 ans.
Manipulateur d’électroradiologie médical
ROLE : contribuer, sous prescription médicale et sous le contrôle d’un médecin, à la réalisation des examens et des traitements relevant soit des techniques d’imageries médicales ou d’exploration fonctionnelle qui impliquent l’utilisation de rayonnement ou d’autres agents physiques soit des techniques d’électroradiologie médicale.
Formation : 3 ans.
MEDECIN :
Médecin libéral : médecin qui perçoit des honoraires.
Conditions d’exercice :
• Doctorat en médecine en 3 cycles :
o Sélection à l’issu du 1er cycle de 2 ans.
o 2e cycle de 4 ans → examen. L’étudiant choisit entre la médecine générale et une spécialité.
o 3e cycle de 2 ans pour la médecine générale et 5 ans pour une spécialisation.
→ diplôme de docteur en médecine après soutenance d’une thèse.
• Concours de l’internat :
Présentation à 2 fois maxi.
DES : Diplôme d’Etudes Spécialisés.
• Inscription à l’ordre national des médecins.
• Avoir la nationalité française.
Différents modes d’exercices :
• Praticiens libéraux :
Exerce en hôpital privé ou en laboratoire.
o Secteur à honoraires opposables : médecins conventionnées.
o Secteur à honoraires libres.
• Praticiens salariés :
o Praticien hospitalier :
Hospitalo-universitaires : maitres de conférences et professeurs.
Chef de clinique : activité hospitalière, de recherche et d’enseignement.
Praticien hospitalier : activité clinique.
Assistant : 10 ½ journées par semaine à l’hôpital.
Attaché : médecin libéral qui assure des vacations (tps consacré par une personne à une tâche précise) à l’hôpital.
o Autres praticiens salariés :
Médecins salariés de l’Etat (médecin universitaire et scolaire).
Collectivités territoriales : caisse de sécurité sociale, PMI.
Entreprise : médecin du travail.
CHIFFRES :
68% de médecins généralistes.
50,3% médecins spécialistes exercent en libéral.
PERSONNEL SOIGNANT
INFIRMIERS cf fiche
AIDES SOIGNANTS
Sous la responsabilité des infirmiers.
ROLE :
Offrir des soins pour répondre aux besoins d’entretien et de continuité de la vie de l’être humain.
Compenser partiellement ou totalement un manque ou une diminution d’autonomie de la personne.
Scolarité : 1 an.
AUXILIAIRE DE PUERICULTURE
Sous la responsabilité des infirmiers et autres professionnels du secteur de la santé et des secteurs éducatifs et sociaux.
ROLES :
Participe à la prise en charge individuelle ou en groupe jusqu’à l’adolescence, de l’enfance, bien portant, malade ou handicap.
Répondre aux besoins quotidiens de l’enfant par la présence qu’ils assurent les soins spécialisés auxquels ils participent et les activités d’éveil qu’ils organisent.
Formation : 1 an.
PERSONNEL DE REEDUCATION
Masseur kinésithérapeute :
ROLE : réaliser des actes, à des fins de rééducation, dans le but de prévenir l’altération des capacités fonctionnelles, de concourir à leur maintien et de les rétablir.
Formation : 3 ans dans des établissements privés ou public agrées par l’Etat.
Orthophoniste :
ROLE : prévenir et prendre en charge les troubles de la communication orale et écrite chez l’enfant, l’adolescent, la personne adulte et âgée dans un but de réadaptation.
Formation : 3 ans dans UFR (Unité de Formation et de Recherche) de médecine ou de technique de réadaptation.
Orthoptiste :
ROLE : assurer par la rééducation, le traitement des troubles de la fonction sensorielle et motrice binoculaire.
Formation : 3 ans dans une fac de médecine.
Diététicien :
Collaborateur des médecins, de gestionnaires ou de chercheurs.
ROLE : apporter ses compétences scientifiques et techniques pour assurer la qualité des aliments et des préparations, l’équilibre nutritionnel, l’établissement des régimes sur prescription médicale et le respect des règles d’hygiènes.
Ergothérapeute :
ROLE : rééduquer par le travail les handicapées moteurs ou mentaux pour qu’ils acquièrent une certaine autonomie dans la vie quotidienne et professionnelle.
Formation : 3 ans dans un établissement public ou privé agréé.
Pédicure-podologue :
ROLE :
Traiter les affections épidermiques et un génale du pied à l’exclusion de toute intervention provoquant l’effusion de sang.
Prodiguer des soins d’hygiène.
Concevoir et réaliser des semelles orthopédiques et des appareillages destinés à redresser le pied.
Formation : 3 ans.
Psychomotricien
ROLE : rééduquer les patients confrontés à des troubles psychologiques vécus et exprimés corporellement, en agissant sur les fonctions psychomotrices.
Formation : 3 ans.
Manipulateur d’électroradiologie médical
ROLE : contribuer, sous prescription médicale et sous le contrôle d’un médecin, à la réalisation des examens et des traitements relevant soit des techniques d’imageries médicales ou d’exploration fonctionnelle qui impliquent l’utilisation de rayonnement ou d’autres agents physiques soit des techniques d’électroradiologie médicale.
Formation : 3 ans.
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Re: Actualités 2012
message a l'attention de memo
je repense à notre diner romantique (oui j'ai eu la change de l'inviter dans un grand restaurant)
tu es venu accompagner de ton chat (va chez le veto je crois qu'il as un soucis au yeux...)
et moi de ma belle voiture americaine verte ...
merci belle memo pour tes infos que tu poste chaques jours en compagnie de ton petit café .
et ouais moi je connais celle qui tape tous ses messages (la je me la péte )
mdr
à la semaine prochaine et ca c'est d'actualité
je repense à notre diner romantique (oui j'ai eu la change de l'inviter dans un grand restaurant)
tu es venu accompagner de ton chat (va chez le veto je crois qu'il as un soucis au yeux...)
et moi de ma belle voiture americaine verte ...
merci belle memo pour tes infos que tu poste chaques jours en compagnie de ton petit café .
et ouais moi je connais celle qui tape tous ses messages (la je me la péte )
mdr
à la semaine prochaine et ca c'est d'actualité
Re: Fiches culture générale 2012
Hum, 3 jours en une semaine au période de noël, je veux bien essayer mais je ne vous garantit rien... Je resterai plutôt sur mardi et vendredi, après j'essaierai quand même de vous suivre sinon 

CHU Saint-Etienne : Admissible, oral le 23 mai
Croix rouge Saint-Etienne : Admissible, oral le 31 mai.
Croix rouge Saint-Etienne : Admissible, oral le 31 mai.