Culture Générale
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Re: Actualités 2012
La maladie du désenchantement
Le Point.fr - Publié le 07/02/2012 à 09:49
Le Point.fr ouvre son espace de débat au professeur Didier Raoult, spécialiste des maladies infectieuses tropicales émergentes à la faculté de médecine de Marseille.
La France est pessimiste, un peu déprimée, et surconsomme antidépresseurs et anxiolytiques. Ce qui pourrait témoigner d'une certaine foi dans l'action des médicaments. Dans le même temps, le pays voit se développer le recours à des médecines alternatives, des produits dont la composition chimique n'est pas connue ou pas stable, mais qui ont la réputation d'être moins dangereux. En parallèle, un glissement majeur est en train de s'opérer dans la perception - subjective - du médicament : de l'effet "placebo" à l'effet "nocebo".
L'effet placebo est un effet positif subjectif sur les symptômes, engendré non par la nature du médicament, mais par le simple fait de prendre un médicament. C'est quelque chose qui est bien connu en médecine. On ne peut plus, dans le cas des traitements de confort, valider l'efficacité d'un médicament sans le comparer à un placebo, et l'on est frappé de voir que très souvent le placebo a une activité équivalente à la molécule chimique.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, en Angleterre, il avait déjà été démontré que l'alternance d'injections de morphine et de placebo avait la même efficacité chez les patients présentant de très grandes douleurs post-opératoires, que les injections répétées de morphine ! L'effet placebo, toutefois, est devenu difficile à utiliser du fait qu'il représente un "mensonge" évident du médecin au malade. Ce n'est plus accepté, si bien que le placebo est de plus en plus souvent remplacé par des médicaments chimiquement actifs prescrits dans des conditions dans lesquelles ils ne devraient pas l'être, afin d'utiliser leur effet placebo !
Défiance
Plus récemment a été décrit l'effet "nocebo". Il s'agit d'un effet négatif subjectif qui n'est pas lié à une substance, que l'on observe chez les patients qui prennent des médicaments sans composé chimique actif. Les études comparant le placebo et un "véritable" médicament permettent de constater les effets secondaires négatifs liés au placebo. Dans notre société, l'effet "nocebo" explose. Pratiquement toutes les pilules inertes prescrites dans des traitements comparatifs génèrent au moins 15 % d'effets négatifs ! Des effets qui peuvent être une éruption de boutons, des démangeaisons, de la diarrhée, des douleurs abdominales ou articulaires, de la fièvre et des maux de tête... Ces effets "nocebo" vont en augmentant régulièrement.
Un constat qui témoigne de l'évolution de notre société. Autrefois, on prenait les médicaments avec une foi qui dépassait la réalité de leur action chimique. Maintenant on les avale avec défiance, ce qui entraîne des maux dont l'origine vient plus de la méfiance que de la pilule. Cette hostilité pour les molécules chimiques connues favorise la médecine alternative réputée plus douce. Elle témoigne du désenchantement de nos sociétés à l'égard de la médecine.
lepoint.fr
Le Point.fr - Publié le 07/02/2012 à 09:49
Le Point.fr ouvre son espace de débat au professeur Didier Raoult, spécialiste des maladies infectieuses tropicales émergentes à la faculté de médecine de Marseille.
La France est pessimiste, un peu déprimée, et surconsomme antidépresseurs et anxiolytiques. Ce qui pourrait témoigner d'une certaine foi dans l'action des médicaments. Dans le même temps, le pays voit se développer le recours à des médecines alternatives, des produits dont la composition chimique n'est pas connue ou pas stable, mais qui ont la réputation d'être moins dangereux. En parallèle, un glissement majeur est en train de s'opérer dans la perception - subjective - du médicament : de l'effet "placebo" à l'effet "nocebo".
L'effet placebo est un effet positif subjectif sur les symptômes, engendré non par la nature du médicament, mais par le simple fait de prendre un médicament. C'est quelque chose qui est bien connu en médecine. On ne peut plus, dans le cas des traitements de confort, valider l'efficacité d'un médicament sans le comparer à un placebo, et l'on est frappé de voir que très souvent le placebo a une activité équivalente à la molécule chimique.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, en Angleterre, il avait déjà été démontré que l'alternance d'injections de morphine et de placebo avait la même efficacité chez les patients présentant de très grandes douleurs post-opératoires, que les injections répétées de morphine ! L'effet placebo, toutefois, est devenu difficile à utiliser du fait qu'il représente un "mensonge" évident du médecin au malade. Ce n'est plus accepté, si bien que le placebo est de plus en plus souvent remplacé par des médicaments chimiquement actifs prescrits dans des conditions dans lesquelles ils ne devraient pas l'être, afin d'utiliser leur effet placebo !
Défiance
Plus récemment a été décrit l'effet "nocebo". Il s'agit d'un effet négatif subjectif qui n'est pas lié à une substance, que l'on observe chez les patients qui prennent des médicaments sans composé chimique actif. Les études comparant le placebo et un "véritable" médicament permettent de constater les effets secondaires négatifs liés au placebo. Dans notre société, l'effet "nocebo" explose. Pratiquement toutes les pilules inertes prescrites dans des traitements comparatifs génèrent au moins 15 % d'effets négatifs ! Des effets qui peuvent être une éruption de boutons, des démangeaisons, de la diarrhée, des douleurs abdominales ou articulaires, de la fièvre et des maux de tête... Ces effets "nocebo" vont en augmentant régulièrement.
Un constat qui témoigne de l'évolution de notre société. Autrefois, on prenait les médicaments avec une foi qui dépassait la réalité de leur action chimique. Maintenant on les avale avec défiance, ce qui entraîne des maux dont l'origine vient plus de la méfiance que de la pilule. Cette hostilité pour les molécules chimiques connues favorise la médecine alternative réputée plus douce. Elle témoigne du désenchantement de nos sociétés à l'égard de la médecine.
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J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
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Re: Actualités 2012
Cancer de l'ovaire : mieux vaut ne pas le dépister !
Le Point.fr -
Un vaste essai clinique américain montre que le dépistage systématique de ce cancer doit être vivement déconseillé.
Mesdames, ne cherchez surtout pas à savoir si vous êtes atteintes d'un cancer de l'ovaire ! Non seulement le dépistage systématique serait inutile, mais il serait en plus potentiellement nocif.
La durée de survie à un cancer de l'ovaire est directement liée au stade de développement de la maladie au moment où elle est diagnostiquée..., ce qui intervient souvent assez tard. Par ailleurs, il est fort difficile de tirer des conclusions de l'observation des symptômes, qui sont très variés. Faut-il dès lors se fier aux protocoles de dépistage classiques pour se préserver du septième cancer le plus fréquent chez la femme ?
Non, à en croire le résultat d'un vaste essai clinique mené aux États-Unis sur plus de 78 000 femmes âgées de 55 à 74 ans sans antécédents particuliers, pendant douze ans ou plus pour la moitié d'entre elles. Pour réaliser l'étude, ces femmes ont été divisées en deux groupes : l'un n'a subi aucun examen, l'autre - nommé "dépistage" - a été soumis aux techniques de dépistage classique, une échographie transvaginale et un dosage du marqueur tumoral (le CA 125).
Faux diagnostics
Les conclusions de cet essai, relayées par la revue indépendante Prescrire, sont sans appel : la mortalité par cancer de l'ovaire a été similaire dans les deux groupes, tout comme la mortalité totale, ainsi que le nombre de cancers découverts à un stade avancé (qui représentent environ 77 % dans chacun des deux groupes). Apparemment donc, dépister ne servirait tout bonnement... à rien : on n'en mourrait pas moins.
Mais il y a pire. Dans le groupe "dépistage", près de 10 % des femmes ont eu un résultat "faussement positif" : en somme, une femme sur dix s'est vu diagnostiquer un cancer de l'ovaire à tort. Un tiers de ces femmes ont ainsi subi une intervention chirurgicale, qui s'est conclue par de sévères complications dans 15 % des cas. Il existe ainsi une probabilité de se faire opérer inutilement avec de potentielles graves complications à la clef.
Mieux vaut donc clairement éviter le dépistage du cancer de l'ovaire, a fortiori lorsqu'on ne présente pas de risque familial. Une règle qu'il ne faut cependant pas généraliser à tous les types de cancer. Ainsi, le dépistage contre le cancer du col de l'utérus reste bien le principal moyen de s'en préserver, et ce, malgré la vaccination par le Gardasil.
Le Point.fr -
Un vaste essai clinique américain montre que le dépistage systématique de ce cancer doit être vivement déconseillé.
Mesdames, ne cherchez surtout pas à savoir si vous êtes atteintes d'un cancer de l'ovaire ! Non seulement le dépistage systématique serait inutile, mais il serait en plus potentiellement nocif.
La durée de survie à un cancer de l'ovaire est directement liée au stade de développement de la maladie au moment où elle est diagnostiquée..., ce qui intervient souvent assez tard. Par ailleurs, il est fort difficile de tirer des conclusions de l'observation des symptômes, qui sont très variés. Faut-il dès lors se fier aux protocoles de dépistage classiques pour se préserver du septième cancer le plus fréquent chez la femme ?
Non, à en croire le résultat d'un vaste essai clinique mené aux États-Unis sur plus de 78 000 femmes âgées de 55 à 74 ans sans antécédents particuliers, pendant douze ans ou plus pour la moitié d'entre elles. Pour réaliser l'étude, ces femmes ont été divisées en deux groupes : l'un n'a subi aucun examen, l'autre - nommé "dépistage" - a été soumis aux techniques de dépistage classique, une échographie transvaginale et un dosage du marqueur tumoral (le CA 125).
Faux diagnostics
Les conclusions de cet essai, relayées par la revue indépendante Prescrire, sont sans appel : la mortalité par cancer de l'ovaire a été similaire dans les deux groupes, tout comme la mortalité totale, ainsi que le nombre de cancers découverts à un stade avancé (qui représentent environ 77 % dans chacun des deux groupes). Apparemment donc, dépister ne servirait tout bonnement... à rien : on n'en mourrait pas moins.
Mais il y a pire. Dans le groupe "dépistage", près de 10 % des femmes ont eu un résultat "faussement positif" : en somme, une femme sur dix s'est vu diagnostiquer un cancer de l'ovaire à tort. Un tiers de ces femmes ont ainsi subi une intervention chirurgicale, qui s'est conclue par de sévères complications dans 15 % des cas. Il existe ainsi une probabilité de se faire opérer inutilement avec de potentielles graves complications à la clef.
Mieux vaut donc clairement éviter le dépistage du cancer de l'ovaire, a fortiori lorsqu'on ne présente pas de risque familial. Une règle qu'il ne faut cependant pas généraliser à tous les types de cancer. Ainsi, le dépistage contre le cancer du col de l'utérus reste bien le principal moyen de s'en préserver, et ce, malgré la vaccination par le Gardasil.
J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
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Re: Entraînement culture générale 2012
Le dépistage prénatal... une tendance à l'eugénisme ? C'est en tout cas ce qui a été débattu la semaine dernière, au 2e Forum Européen de Bioéthique de Strasbourg. Pour cette nouvelle édition, intitulée « Procréation, la famille en chantier », les experts ont abordé les questions de bioéthique de début de vie et pointé du doigt le dépistage de maladies ou malformations.
En effet, avec les diagnostics prénatals et les dépistages quasi-systématiques de la trisomie 21, « on n'est plus dans la médecine de soin, mais dans la traque du handicap. (...) L'enfant à venir est présumé coupable », s'inquiète le Dr Patrick Leblanc, gynécologue et membre du Comité pour Sauver la Médecine Prénatale (CSMP) auprès de l'AFP.
Le médecin dénonce aussi la loi de bioéthique de 2011 qui, selon lui, incite trop les futures mères à un dépistage. Le CSMP y voit là une tendance à l'eugénisme, c'est-à-dire améliorer l'espèce humaine par des transformations génétiques.
Bien sûr, les techniques de diagnostic n'ont qu'un seul but : éviter les maladies incurables. C'est pourquoi, dans 96 % des cas de fœtus trisomiques, les parents font le choix d'une interruption de grossesse. Mais pour le Pr Didier Sicard, longtemps président du Comité Consultatif National d'Ethique, les risques de dérive de tels diagnostics sont réels. « Aujourd'hui, vu l'ampleur du dispositif mis en place pour détecter les cas de trisomie 21, un enfant trisomique est considéré comme une erreur médicale, car on ne l'a pas dépisté et on l'a laissé naître ! ». Selon lui, « il y aura forcément une sélection des enfants à naître. L'enfant jetable est à nos portes ».
Israël Nisand, gynécologue et organisateur du Forum, lui, relativise : « Le diagnostic pré-implantatoire pour tout le monde, c'est de la science-fiction ».
Et vous, qu'en pensez-vous ? Le dépistage prénatal peut-il conduire à une forme d'eugénisme ?
par famili
Pour en savoir plus : Le dépistage prénatal pour un enfant idéal ? - Famili.fr
Voila un sujet interressant à traiter , donc à vos crayons
En effet, avec les diagnostics prénatals et les dépistages quasi-systématiques de la trisomie 21, « on n'est plus dans la médecine de soin, mais dans la traque du handicap. (...) L'enfant à venir est présumé coupable », s'inquiète le Dr Patrick Leblanc, gynécologue et membre du Comité pour Sauver la Médecine Prénatale (CSMP) auprès de l'AFP.
Le médecin dénonce aussi la loi de bioéthique de 2011 qui, selon lui, incite trop les futures mères à un dépistage. Le CSMP y voit là une tendance à l'eugénisme, c'est-à-dire améliorer l'espèce humaine par des transformations génétiques.
Bien sûr, les techniques de diagnostic n'ont qu'un seul but : éviter les maladies incurables. C'est pourquoi, dans 96 % des cas de fœtus trisomiques, les parents font le choix d'une interruption de grossesse. Mais pour le Pr Didier Sicard, longtemps président du Comité Consultatif National d'Ethique, les risques de dérive de tels diagnostics sont réels. « Aujourd'hui, vu l'ampleur du dispositif mis en place pour détecter les cas de trisomie 21, un enfant trisomique est considéré comme une erreur médicale, car on ne l'a pas dépisté et on l'a laissé naître ! ». Selon lui, « il y aura forcément une sélection des enfants à naître. L'enfant jetable est à nos portes ».
Israël Nisand, gynécologue et organisateur du Forum, lui, relativise : « Le diagnostic pré-implantatoire pour tout le monde, c'est de la science-fiction ».
Et vous, qu'en pensez-vous ? Le dépistage prénatal peut-il conduire à une forme d'eugénisme ?
par famili
Pour en savoir plus : Le dépistage prénatal pour un enfant idéal ? - Famili.fr
Voila un sujet interressant à traiter , donc à vos crayons
Re: Actualités 2012
CONSOMMATION - Elles dénonce clauses abusives et pratiques trompeuses en pagaille...
20minutes
Dans la téléphonie mobile, les offres illimitées ont parfois des barrières cachées. Nombre maximum de SMS par mois, nombre de correspondants réduit, débit internet limité, MMS non inclus… Ces limitations sont dénoncés ce mardi par l’association de consommations UFC-Que Choisir, qui a décidé d’«agir en justice» si les opérateurs ne changent pas leurs intitulés de contrats dans les trois semaines à venir. «Les vraies offres illimitées n’existent pas», assure l’UFC-Que Choisir, qui souhaite imposer la notion d’offres «d’abondance.»
Premières barrières: les limites quantitatives. Chez Numéricâble, l’offre « illimitée » ne dépasse pas 14 heures d’appel mensuel. Chez tous les opérateurs (sauf Free), la durée limite de chaque appel est fixée à 2 ou 3 heures. Les MMS ne sont pas inclus chez Zéro Forfait ou Virgin Mobile. Chez Free, un SMS ne peut pas être envoyé à plus de dix personnes à la fois. Les barrières ont beau être lointaines, et rarement franchies, « elles existent », martèle Alain Bazot, président de l’UFC-Que Choisir.
Autre grief de l’association: l’utilisation sur les contrats de Free et de SFR de notions floues («bon père de famille», «usage raisonnable») pour fixer les limites de l’utilisation des forfaits. «En utilisant ces termes, les opérateurs se laissent le droit d’attenter à l’abonnement du consommateur de manière discrétionnaire», s’indigne l’UFC-Que choisir.
Portables verrouillés
Alain Bazot relève enfin dans certains contrats des clauses abusives «qui ont de quoi faire bondir». «Alors que ces nouveaux forfaits sacralisent le «sans engagement», sans téléphone subventionné, certains opérateurs se permettent de verrouiller (simlocker) les terminaux vendus nus au moment de la souscription d’un forfait», remarque l’association. D’autres «vont même jusqu’à s’autoriser à changer, à tout moment, le numéro de téléphone d’un consommateur.»
G.W.
20minutes
Dans la téléphonie mobile, les offres illimitées ont parfois des barrières cachées. Nombre maximum de SMS par mois, nombre de correspondants réduit, débit internet limité, MMS non inclus… Ces limitations sont dénoncés ce mardi par l’association de consommations UFC-Que Choisir, qui a décidé d’«agir en justice» si les opérateurs ne changent pas leurs intitulés de contrats dans les trois semaines à venir. «Les vraies offres illimitées n’existent pas», assure l’UFC-Que Choisir, qui souhaite imposer la notion d’offres «d’abondance.»
Premières barrières: les limites quantitatives. Chez Numéricâble, l’offre « illimitée » ne dépasse pas 14 heures d’appel mensuel. Chez tous les opérateurs (sauf Free), la durée limite de chaque appel est fixée à 2 ou 3 heures. Les MMS ne sont pas inclus chez Zéro Forfait ou Virgin Mobile. Chez Free, un SMS ne peut pas être envoyé à plus de dix personnes à la fois. Les barrières ont beau être lointaines, et rarement franchies, « elles existent », martèle Alain Bazot, président de l’UFC-Que Choisir.
Autre grief de l’association: l’utilisation sur les contrats de Free et de SFR de notions floues («bon père de famille», «usage raisonnable») pour fixer les limites de l’utilisation des forfaits. «En utilisant ces termes, les opérateurs se laissent le droit d’attenter à l’abonnement du consommateur de manière discrétionnaire», s’indigne l’UFC-Que choisir.
Portables verrouillés
Alain Bazot relève enfin dans certains contrats des clauses abusives «qui ont de quoi faire bondir». «Alors que ces nouveaux forfaits sacralisent le «sans engagement», sans téléphone subventionné, certains opérateurs se permettent de verrouiller (simlocker) les terminaux vendus nus au moment de la souscription d’un forfait», remarque l’association. D’autres «vont même jusqu’à s’autoriser à changer, à tout moment, le numéro de téléphone d’un consommateur.»
G.W.
DE 2015
IBO en Guadeloupe
IBO en Guadeloupe
Re: Actualités 2012
Pourquoi les Français ont consommé moins de génériques en 2011
SANTE - Du jamais vu pour ces médicaments arrivés en France il y a 12 ans...
C’est une première et ce n’est pas une bonne nouvelle pour les caisses de l’Assurance Maladie. En 2011, les volumes de ventes des médicaments génériques ont diminué de 3% à 614 millions de boîtes contre une hausse de 6% en 2010. En valeur, les ventes ressortent tout de même en hausse de 3% selon le Gemme, le syndicat des fabricants de génériques. On est loin des 13% de 2009 par exemple. Décidément, les Français semblent réfractaires aux copies de médicaments originaux. En effet, les génériques représentent en Europe plus de 50% du volume des médicaments contre seulement 25% dans l’Hexagone.
Le «Non substituable» fait débat
La mauvaise performance de l’an dernier est à priori surprenante alors que le contexte économique morose aurait dû lui bénéficier. Mais, «la croissance du marché des médicaments génériques s'est essoufflée, traduite par le développement de la mention «Non Substituable» trop largement utilisée par les médecins», décrypte le Gemme. En effet, 4% d’entre eux la mettrait systématiquement selon une récente étude. «La hausse des mentions "NS" n'est qu'une hypothèse. Un praticien qui ne pourrait pas justifier d'une raison médicale s'expose à une sanction», relativise aux Echos Claude Le Pen, professeur à l’Université Paris Dauphine. Le Gemme plaide d’ailleurs pour un renforcement de la réglementation.
Le mauvais coup du Mediator
L’affaire du Mediator n’a rien arrangé . «Le générique est une victime collatérale du climat déplorable qui a prévalu en France en 2011. Lorsque le médicament d'origine est sujet à caution, la copie l'est plus encore!» analyse Pascal Brière, président du Gemme, cité par Les Echos. Ce dernier appelle donc à «une large campagne de communication institutionnelle vers les médecins généralistes et le Grand Public.» Combatif, le Gemme veut faire de 2012 une année de conquête pour le médicament générique.
Et sur le plan des ventes, 2011 pourrait n’être qu’une mauvaise parenthèse. En effet, une série de médicaments va tomber cette année dans le domaine public, liste Les Echos. Dans les jours qui viennent, les fabricants de génériques pourront se mettre à copier le premier traitement de la maladie d’Alzheimer, l’Aricept. Suivront ensuite les antimigraineux Zomigoro et Naramig. En avril, ce sera au tour des deux hypertenseurs Hytacand et Atacand d’ici la fin avril avant le gros lot, le 7 mai prochain, avec l’anticholestérol Tahor qui a réalisé pas moins de 417 millions d’euros de ventes en France entre octobre 2010 et octobre 2011.
M.B.
SANTE - Du jamais vu pour ces médicaments arrivés en France il y a 12 ans...
C’est une première et ce n’est pas une bonne nouvelle pour les caisses de l’Assurance Maladie. En 2011, les volumes de ventes des médicaments génériques ont diminué de 3% à 614 millions de boîtes contre une hausse de 6% en 2010. En valeur, les ventes ressortent tout de même en hausse de 3% selon le Gemme, le syndicat des fabricants de génériques. On est loin des 13% de 2009 par exemple. Décidément, les Français semblent réfractaires aux copies de médicaments originaux. En effet, les génériques représentent en Europe plus de 50% du volume des médicaments contre seulement 25% dans l’Hexagone.
Le «Non substituable» fait débat
La mauvaise performance de l’an dernier est à priori surprenante alors que le contexte économique morose aurait dû lui bénéficier. Mais, «la croissance du marché des médicaments génériques s'est essoufflée, traduite par le développement de la mention «Non Substituable» trop largement utilisée par les médecins», décrypte le Gemme. En effet, 4% d’entre eux la mettrait systématiquement selon une récente étude. «La hausse des mentions "NS" n'est qu'une hypothèse. Un praticien qui ne pourrait pas justifier d'une raison médicale s'expose à une sanction», relativise aux Echos Claude Le Pen, professeur à l’Université Paris Dauphine. Le Gemme plaide d’ailleurs pour un renforcement de la réglementation.
Le mauvais coup du Mediator
L’affaire du Mediator n’a rien arrangé . «Le générique est une victime collatérale du climat déplorable qui a prévalu en France en 2011. Lorsque le médicament d'origine est sujet à caution, la copie l'est plus encore!» analyse Pascal Brière, président du Gemme, cité par Les Echos. Ce dernier appelle donc à «une large campagne de communication institutionnelle vers les médecins généralistes et le Grand Public.» Combatif, le Gemme veut faire de 2012 une année de conquête pour le médicament générique.
Et sur le plan des ventes, 2011 pourrait n’être qu’une mauvaise parenthèse. En effet, une série de médicaments va tomber cette année dans le domaine public, liste Les Echos. Dans les jours qui viennent, les fabricants de génériques pourront se mettre à copier le premier traitement de la maladie d’Alzheimer, l’Aricept. Suivront ensuite les antimigraineux Zomigoro et Naramig. En avril, ce sera au tour des deux hypertenseurs Hytacand et Atacand d’ici la fin avril avant le gros lot, le 7 mai prochain, avec l’anticholestérol Tahor qui a réalisé pas moins de 417 millions d’euros de ventes en France entre octobre 2010 et octobre 2011.
M.B.
DE 2015
IBO en Guadeloupe
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Re: Actualités 2012
Handicap : des progrès mais peut mieux faire
LEMONDE.FR | 08.06.11 | 20h44 • Mis à jour le 08.06.11 | 20h57
150 millions d'euros pour rendre accessibles les écoles de la fonction publique et "aménager davantage de postes" de travail pour les fonctionnaires handicapés, le recrutement de nouveaux auxiliaires de vie scolaire "plus nombreux, mieux formés, mieux payés", et une revalorisation de l'allocation adulte handicapé. C'est ce qu'a promis Nicolas Sarkozy, mercredi 8 juin, au terme de la Conférence nationale du handicap, qui s'est tenue mercredi 8 juin à Paris. Une manière pour le chef de l'Etat de répondre aux inquiétudes des différents intervenants du secteur qui, six ans après la loi "handicap" de février 2005, estiment que les progrès sont encore insuffisants.
UN TAUX DE CHÔMAGE DEUX FOIS PLUS ÉLEVÉ
De l'aveu de la ministre des solidarités, Roselyne Bachelot, et sa secrétaire d'Etat, Marie-Anne Montchamp, il reste beaucoup à faire pour atteindre les objectifs de la loi handicap. Le président a préféré, lui, noter "une mobilisation considérable mais une mobilisation indispensable".
"Trois ans après la première conférence nationale (2008), on ne peut que dresser un triste bilan de l'application des annonces et des promesses qui avaient été faites" fustigeait pourtant, mardi, l'Association des accidentés de la vie dans une tribune publiée sur Le Monde.fr. Le Parti socialiste dénonçait de son côté le bilan "catastrophique" de la droite. En matière d'emploi, le taux de personnes handicapées au chômage s'élève à 19,3 % – soit le double de la moyenne nationale – alors que cinq millions de personnes sont porteuses de handicap en France.
Les réclamations concernant l'emploi arrivent en tête des cas de discrimination envers les personnes handicapées, confirme Sophie Latraverse, directrice adjointe du service juridique de la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde). La loi prévoit un seuil de 6 % d'employés handicapés dans les entreprises de plus de vingt salariés. Mais cette obligation n'est respectée ni dans le secteur public, qui n'emploie que 4 % de handicapés, ni dans le privé, où le taux n'atteint que 2,4 %. La situation des personnes handicapées dans le monde du travail "a évolué de façon positive [depuis 2005]" note cependant Sophie Latraverse. Elle souligne notamment une meilleure connaissance du handicap et des obligations juridiques des entreprises parmi les grandes structures, qui rencontrent davantage les situations de handicap. "Désormais, on sait à qui s'adresser, on a des interlocuteurs (....) au sein des ressources humaines, il y a quelqu'un qui maîtrise la procédure".
L'ignorance des obligations de la loi par l'employeur et de ses droits par la personne handicapée demeurent le premier obstacle à l'intégration des handicapés dans le monde du travail, estime la juriste. Les associations quant à elles critiquent une politique de l'emploi et de l'insertion insuffisante : elles regrettent notamment que l'allocation adulte handicapé de 730 euros demeure sous le seuil de pauvreté, qui s'élève à un peu plus de 900 euros.
UN TAUX DE SCOLARISATION EN HAUSSE
Pour Lisa Waddington, professeure de droit européen du handicap à l'université de Maastricht, la question de l'emploi ne peut être isolée : le chômage s'explique aussi par "le niveau d'éducation que les enfants handicapés reçoivent, si cela leur permet de s'intégrer sur le marché du travail".
Avec l'emploi, la scolarisation et l'accessibilité faisaient partie des grands thèmes abordés par la conférence de mercredi. Avant même l'ouverture de la conférence, Roselyne Bachelot a souhaité souligner des "avancées considérables" sur Europe 1 mercredi matin : la scolarité des élèves handicapés a progressé entre 2005 et 2010, passant de 151 523 élèves handicapés scolarisés à plus de 200 000. Mais les associations réclament un statut pérenne pour les auxiliaires de vie scolaire, ce personnel qui accompagne les enfants et dont le nombre a doublé entre 2007 et 2010.
L'ACCESSIBILITÉ DES BÂTIMENTS CONTROVERSÉE
Autre point sur lequel les progrès paraissent insuffisants, l'accessibilité des bâtiments, qui constituait l'un des plus grands engagements de 2005 : toutes les infrastructures publiques doivent être accessibles d'ici à 2015, mais moins de 15 % d'entre eux étaient déjà aux normes en 2010. Et le gouvernement a déjà tenté à deux reprises d'introduire des dérogations à cette obligation. Or l'accessibilité des infrastructures demeure essentielle, rappelle Lisa Waddington : "quelqu'un en fauteuil roulant ou une personne aveugle (...) doit faire face au défi même de pouvoir se rendre au travail".
L'Espagne, qui en Europe fait figure de pays particulièrement avancé sur les lois concernant le handicap, a largement axé ses efforts sur l'accessibilité. La directrice exécutive du comité espagnol des représentants des personnes handicapée, interrogée par La Croix, évoque "les multiples villes où les autobus publics sont équipés de rampes pour les handicapés moteurs, les ascenseurs au sein d'édifices publics". Mercredi, le chef de l'Etat a pourtant promis que les promesses faites dans le domaine de l'accessibilité seraient tenues : "Il ne nous reste plus que trois ans (...). Ne baissons pas les bras, soyons inventifs, innovants, déterminés."
Autre domaine dans lequel l'Espagne apparaît en pointe : "le mouvement associatif pour les personnes handicapées est puissant et travaille en coopération avec le gouvernement", détaille Lisa Waddington. Une solidité du tissu associatif qui semble émerger depuis quelques années en France : "la préparation de la loi de 2005 a cristallisé l'apparition dans l'espace public d'associations avec une forte culture revendicative", explique Pierre Savignat, maître de conférences à l'université Pierre-Mendès France de Grenoble, au journal La Croix. Mais contrairement à d'autres pays, la France ne possède pas une culture de lutte contre les discriminations, souligne Lisa Waddington : en Grande-Bretagne, en Irlande ou aux Pays-Bas, la "jurisprudence et le recours [au droit] est davantage utilisé" pour lutter contre les discriminations.
Légiférer sur l'accessibilité est une nécessité estime Lisa Waddington qui évoque le cas des Etats-Unis où tout projet public a l'obligation d'être accessible aux handicapés. Une obligation qui pourrait être insufflée par l'Union Européenne. En 2000, c'est déjà une directive de l'Union qui avait incité les Etats à sanctionner la discrimination sur la base du handicap au travail : tous les Etats-membres interdisent désormais cette discrimination, contre trois auparavant. La Commission européenne réfléchit à une proposition de loi sur l'accessibilité à l'horizon 2012 explique la juriste. En attendant, "rien n'empêche aux Etats-membres de le faire", souligne la professeure.
Le Monde.fr, avec agences
LEMONDE.FR | 08.06.11 | 20h44 • Mis à jour le 08.06.11 | 20h57
150 millions d'euros pour rendre accessibles les écoles de la fonction publique et "aménager davantage de postes" de travail pour les fonctionnaires handicapés, le recrutement de nouveaux auxiliaires de vie scolaire "plus nombreux, mieux formés, mieux payés", et une revalorisation de l'allocation adulte handicapé. C'est ce qu'a promis Nicolas Sarkozy, mercredi 8 juin, au terme de la Conférence nationale du handicap, qui s'est tenue mercredi 8 juin à Paris. Une manière pour le chef de l'Etat de répondre aux inquiétudes des différents intervenants du secteur qui, six ans après la loi "handicap" de février 2005, estiment que les progrès sont encore insuffisants.
UN TAUX DE CHÔMAGE DEUX FOIS PLUS ÉLEVÉ
De l'aveu de la ministre des solidarités, Roselyne Bachelot, et sa secrétaire d'Etat, Marie-Anne Montchamp, il reste beaucoup à faire pour atteindre les objectifs de la loi handicap. Le président a préféré, lui, noter "une mobilisation considérable mais une mobilisation indispensable".
"Trois ans après la première conférence nationale (2008), on ne peut que dresser un triste bilan de l'application des annonces et des promesses qui avaient été faites" fustigeait pourtant, mardi, l'Association des accidentés de la vie dans une tribune publiée sur Le Monde.fr. Le Parti socialiste dénonçait de son côté le bilan "catastrophique" de la droite. En matière d'emploi, le taux de personnes handicapées au chômage s'élève à 19,3 % – soit le double de la moyenne nationale – alors que cinq millions de personnes sont porteuses de handicap en France.
Les réclamations concernant l'emploi arrivent en tête des cas de discrimination envers les personnes handicapées, confirme Sophie Latraverse, directrice adjointe du service juridique de la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde). La loi prévoit un seuil de 6 % d'employés handicapés dans les entreprises de plus de vingt salariés. Mais cette obligation n'est respectée ni dans le secteur public, qui n'emploie que 4 % de handicapés, ni dans le privé, où le taux n'atteint que 2,4 %. La situation des personnes handicapées dans le monde du travail "a évolué de façon positive [depuis 2005]" note cependant Sophie Latraverse. Elle souligne notamment une meilleure connaissance du handicap et des obligations juridiques des entreprises parmi les grandes structures, qui rencontrent davantage les situations de handicap. "Désormais, on sait à qui s'adresser, on a des interlocuteurs (....) au sein des ressources humaines, il y a quelqu'un qui maîtrise la procédure".
L'ignorance des obligations de la loi par l'employeur et de ses droits par la personne handicapée demeurent le premier obstacle à l'intégration des handicapés dans le monde du travail, estime la juriste. Les associations quant à elles critiquent une politique de l'emploi et de l'insertion insuffisante : elles regrettent notamment que l'allocation adulte handicapé de 730 euros demeure sous le seuil de pauvreté, qui s'élève à un peu plus de 900 euros.
UN TAUX DE SCOLARISATION EN HAUSSE
Pour Lisa Waddington, professeure de droit européen du handicap à l'université de Maastricht, la question de l'emploi ne peut être isolée : le chômage s'explique aussi par "le niveau d'éducation que les enfants handicapés reçoivent, si cela leur permet de s'intégrer sur le marché du travail".
Avec l'emploi, la scolarisation et l'accessibilité faisaient partie des grands thèmes abordés par la conférence de mercredi. Avant même l'ouverture de la conférence, Roselyne Bachelot a souhaité souligner des "avancées considérables" sur Europe 1 mercredi matin : la scolarité des élèves handicapés a progressé entre 2005 et 2010, passant de 151 523 élèves handicapés scolarisés à plus de 200 000. Mais les associations réclament un statut pérenne pour les auxiliaires de vie scolaire, ce personnel qui accompagne les enfants et dont le nombre a doublé entre 2007 et 2010.
L'ACCESSIBILITÉ DES BÂTIMENTS CONTROVERSÉE
Autre point sur lequel les progrès paraissent insuffisants, l'accessibilité des bâtiments, qui constituait l'un des plus grands engagements de 2005 : toutes les infrastructures publiques doivent être accessibles d'ici à 2015, mais moins de 15 % d'entre eux étaient déjà aux normes en 2010. Et le gouvernement a déjà tenté à deux reprises d'introduire des dérogations à cette obligation. Or l'accessibilité des infrastructures demeure essentielle, rappelle Lisa Waddington : "quelqu'un en fauteuil roulant ou une personne aveugle (...) doit faire face au défi même de pouvoir se rendre au travail".
L'Espagne, qui en Europe fait figure de pays particulièrement avancé sur les lois concernant le handicap, a largement axé ses efforts sur l'accessibilité. La directrice exécutive du comité espagnol des représentants des personnes handicapée, interrogée par La Croix, évoque "les multiples villes où les autobus publics sont équipés de rampes pour les handicapés moteurs, les ascenseurs au sein d'édifices publics". Mercredi, le chef de l'Etat a pourtant promis que les promesses faites dans le domaine de l'accessibilité seraient tenues : "Il ne nous reste plus que trois ans (...). Ne baissons pas les bras, soyons inventifs, innovants, déterminés."
Autre domaine dans lequel l'Espagne apparaît en pointe : "le mouvement associatif pour les personnes handicapées est puissant et travaille en coopération avec le gouvernement", détaille Lisa Waddington. Une solidité du tissu associatif qui semble émerger depuis quelques années en France : "la préparation de la loi de 2005 a cristallisé l'apparition dans l'espace public d'associations avec une forte culture revendicative", explique Pierre Savignat, maître de conférences à l'université Pierre-Mendès France de Grenoble, au journal La Croix. Mais contrairement à d'autres pays, la France ne possède pas une culture de lutte contre les discriminations, souligne Lisa Waddington : en Grande-Bretagne, en Irlande ou aux Pays-Bas, la "jurisprudence et le recours [au droit] est davantage utilisé" pour lutter contre les discriminations.
Légiférer sur l'accessibilité est une nécessité estime Lisa Waddington qui évoque le cas des Etats-Unis où tout projet public a l'obligation d'être accessible aux handicapés. Une obligation qui pourrait être insufflée par l'Union Européenne. En 2000, c'est déjà une directive de l'Union qui avait incité les Etats à sanctionner la discrimination sur la base du handicap au travail : tous les Etats-membres interdisent désormais cette discrimination, contre trois auparavant. La Commission européenne réfléchit à une proposition de loi sur l'accessibilité à l'horizon 2012 explique la juriste. En attendant, "rien n'empêche aux Etats-membres de le faire", souligne la professeure.
Le Monde.fr, avec agences
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Re: Actualités 2012
FAI: Free condamné à 100.000 euros d'amende pour «pratiques commerciales trompeuses»
Mis à jour le 08.02.12 à 12h47
Free a été condamné à 100.000 euros d'amende et 40.000 euros de dommages et intérêts pour «pratiques commerciales trompeuses» sur une offre d'accès soi-disant «illimitée» à internet, après une enquête menée en 2007, a annoncé mercredi la DGCCRF.
L'opérateur internet du groupe Iliad, sur ce marché depuis 2002, «proposait en effet un forfait 'Internet haut débit illimité' attractif, alors qu'il avait parallèlement mis en place un dispositif de limitation du débit, au détriment de ses clients non dégroupés», souligne l'organe public de répression des fraudes dans un communiqué.
«Le dispositif visait à contenir le trafic, réduisant ainsi la bande passante achetée à l'opérateur historique» France Telecom, explique la DGCCRF. La condamnation, rendue mardi par le tribunal correctionnel de Paris, fait suite à une enquête de l'administration qui proposait des suites pénales. Les dommages et intérêts ont été versés à l'association de consommateurs UFC-Que Choisir, qui avait déposé plainte dans cette affaire.
© 2012 AFP
Mis à jour le 08.02.12 à 12h47
Free a été condamné à 100.000 euros d'amende et 40.000 euros de dommages et intérêts pour «pratiques commerciales trompeuses» sur une offre d'accès soi-disant «illimitée» à internet, après une enquête menée en 2007, a annoncé mercredi la DGCCRF.
L'opérateur internet du groupe Iliad, sur ce marché depuis 2002, «proposait en effet un forfait 'Internet haut débit illimité' attractif, alors qu'il avait parallèlement mis en place un dispositif de limitation du débit, au détriment de ses clients non dégroupés», souligne l'organe public de répression des fraudes dans un communiqué.
«Le dispositif visait à contenir le trafic, réduisant ainsi la bande passante achetée à l'opérateur historique» France Telecom, explique la DGCCRF. La condamnation, rendue mardi par le tribunal correctionnel de Paris, fait suite à une enquête de l'administration qui proposait des suites pénales. Les dommages et intérêts ont été versés à l'association de consommateurs UFC-Que Choisir, qui avait déposé plainte dans cette affaire.
© 2012 AFP
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Re: Actualités 2012
Dopage: Le conjoint de la coureuse cycliste Jeannie Longo interpellé mercredi matin à son domicile
20minutes Créé le 08/02/2012 à 09h33 -- Mis à jour le 08/02/2012 à 12h53
La championne cycliste française Jeannie Longo, et son mari - entraîneur Patrice Ciprelli le 16 octobre 2011 lors d'une course aux Herbiers L.NOTARIANNI/REUTERS
CYCLISME - Les enquêteurs auraient fait irruption dans le chalet familial mercredi matin...
Impliqué dans une affaire d’achat d’EPO chinoise, Patrice Ciprelli aurait été arrêté, mercredi matin, par une dizaine d'hommes de l'Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique (OCLAESP), indique L’Equipe. Les enquêteurs auraient fait irruption dans le chalet des Longo-Ciprelli pour y effectuer une perquisition et interpeller l’entraîneur et mari de Jeannie Longo.
Accusé à l’origine par l’ancien coureur Joe Papp, le mari de la multi-médaillée française aurait acheté des doses d'EPO lors des deux dernières années. Ces importations de produits étant interdites, Ciprelli pourrait être inquiété sur la base d'articles issus du Code de la Santé, du Sport et des Douanes.
Longo entendue comme témoin
Selon L’Equipe, cinq opérations suspectes auraient été opérées par Ciprelli auprès d'un fournisseur d'EPO étranger: deux en 2010 et trois en 2011. Pour l’heure, aucun lien entre les achats d’EPO et Jeannie Longo n’a été établi. La championne de 53 ans serait entendue comme témoin actuellement. Sa participation aux Jeux de Londres pourraient être remise en cause.
R.S.
20minutes Créé le 08/02/2012 à 09h33 -- Mis à jour le 08/02/2012 à 12h53
La championne cycliste française Jeannie Longo, et son mari - entraîneur Patrice Ciprelli le 16 octobre 2011 lors d'une course aux Herbiers L.NOTARIANNI/REUTERS
CYCLISME - Les enquêteurs auraient fait irruption dans le chalet familial mercredi matin...
Impliqué dans une affaire d’achat d’EPO chinoise, Patrice Ciprelli aurait été arrêté, mercredi matin, par une dizaine d'hommes de l'Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique (OCLAESP), indique L’Equipe. Les enquêteurs auraient fait irruption dans le chalet des Longo-Ciprelli pour y effectuer une perquisition et interpeller l’entraîneur et mari de Jeannie Longo.
Accusé à l’origine par l’ancien coureur Joe Papp, le mari de la multi-médaillée française aurait acheté des doses d'EPO lors des deux dernières années. Ces importations de produits étant interdites, Ciprelli pourrait être inquiété sur la base d'articles issus du Code de la Santé, du Sport et des Douanes.
Longo entendue comme témoin
Selon L’Equipe, cinq opérations suspectes auraient été opérées par Ciprelli auprès d'un fournisseur d'EPO étranger: deux en 2010 et trois en 2011. Pour l’heure, aucun lien entre les achats d’EPO et Jeannie Longo n’a été établi. La championne de 53 ans serait entendue comme témoin actuellement. Sa participation aux Jeux de Londres pourraient être remise en cause.
R.S.
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Re: Actualités 2012
JUSTICE - Le tribunal correctionnel doit dire si la vente de sex toys à moins de 200 mètres d'une école viole ou non la loi française...
Cachez ces sex toys que je ne saurais voir. Un procès atypique s'est ouvert ce mercredi matin devant le tribunal correctionnel de Paris, qui doit dire si la vente d'objets érotiques à moins de 200 mètres d'une école viole ou non la loi française.
Les magistrats de la 10e chambre doivent déterminer si les godemichés et autres vibromasseurs sont des objets érotiques, et autorisés, ou des objets «pornographiques», seuls interdits à proximité des «établissements d'enseignement». La loi sur la protection de l'enfance de 1987, réformée en 2007, ne précise pas en effet ce qu'est précisément «un objet à caractère pornographique».
«Il y a autant de définitions possibles de la pornographie que d'individus»
Pour la Confédération nationale des associations familiales catholiques (CNAFC) et l'association CLER Amour et Famille, les sex toys sont bel et bien des objets pornographiques. Par conséquent, selon elles, Nicolas Busnel, 41 ans, qui gère le «Love shop» situé au 69 rue Saint-Martin à Paris, à 90 m de l'école élémentaire et du collège Saint-Merri, est passible de deux ans de prison et 30.000 euros d'amende. Les associations réclament chacune 10.000 euros de dommages et intérêts.
Pour l'avocat de Nicolas Busnel, Richard Malka, la chose n'est pas si simple. Car, écrit-il dans ses conclusions, «il y a autant de définitions possibles de la pornographie que d'individus». A ses yeux, les sex toys ne sont pas pornographiques, mais ne font qu'illustrer une «évolution de la société». D'autant, rappelle-t-il, que ces objets sont en vente libre.
Le procès pourrait toutefois tourner court si le tribunal faisait droit à une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) plaidée par Me Malka. Ce dernier estime que la loi pour laquelle est jugé son client est anticonstitutionnelle car contraire à la liberté de commerce.
Avec AFP
Cachez ces sex toys que je ne saurais voir. Un procès atypique s'est ouvert ce mercredi matin devant le tribunal correctionnel de Paris, qui doit dire si la vente d'objets érotiques à moins de 200 mètres d'une école viole ou non la loi française.
Les magistrats de la 10e chambre doivent déterminer si les godemichés et autres vibromasseurs sont des objets érotiques, et autorisés, ou des objets «pornographiques», seuls interdits à proximité des «établissements d'enseignement». La loi sur la protection de l'enfance de 1987, réformée en 2007, ne précise pas en effet ce qu'est précisément «un objet à caractère pornographique».
«Il y a autant de définitions possibles de la pornographie que d'individus»
Pour la Confédération nationale des associations familiales catholiques (CNAFC) et l'association CLER Amour et Famille, les sex toys sont bel et bien des objets pornographiques. Par conséquent, selon elles, Nicolas Busnel, 41 ans, qui gère le «Love shop» situé au 69 rue Saint-Martin à Paris, à 90 m de l'école élémentaire et du collège Saint-Merri, est passible de deux ans de prison et 30.000 euros d'amende. Les associations réclament chacune 10.000 euros de dommages et intérêts.
Pour l'avocat de Nicolas Busnel, Richard Malka, la chose n'est pas si simple. Car, écrit-il dans ses conclusions, «il y a autant de définitions possibles de la pornographie que d'individus». A ses yeux, les sex toys ne sont pas pornographiques, mais ne font qu'illustrer une «évolution de la société». D'autant, rappelle-t-il, que ces objets sont en vente libre.
Le procès pourrait toutefois tourner court si le tribunal faisait droit à une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) plaidée par Me Malka. Ce dernier estime que la loi pour laquelle est jugé son client est anticonstitutionnelle car contraire à la liberté de commerce.
Avec AFP
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Re: Actualités 2012
Le transport urbain «inadapté aux nouveaux rythmes de travail»
Créé le 07/02/2012 à 19h54 -- Mis à jour le 08/02/2012 à 07h41
DÉPLACEMENTS - Une étude de Kéolis présentée ce mercredi montre un changement des rythmes urbains ces dernières années, et une inadaptation des réseaux de transports...
Dépassée, l’offre de transports dans les agglomérations françaises? Le groupe Kéolis présente ce mercredi une étude inédite, menée sur l’ensemble de ses réseaux en France (Bordeaux, Lille, Lyon, Rennes...). Les conclusions sont implacables: «Nos organisations sont inadaptées aux nouveaux rythmes de travail» affirme le directeur marketing du groupe, Eric Chareyron.
«Entre la désindustrialisation et l’augmentation des emplois dans les services ces trente dernières années, il y a eu une lente évolution des rythmes qui a changé les déplacements. Désormais, un tiers seulement des voyageurs commence le travail à l’heure de pointe du matin et le termine à l’heure de pointe du soir.» Sur le réseau de Lyon, il s’avère que l’heure de pointe représente 24% des déplacements annuels, les vacances 20% et les week-end 17%. «Tout le reste, ce qu’on appelait les heures creuses, pèse aujourd’hui 40% des déplacements. Or, tous les modèles de nos transports publics ont été bâtis sur l’heure de pointe. C’est elle qui détermine les projets de transport, la taille des tunnels pour le métro ou le nombre de rames pour le tramway. »
75% des clients de centres commerciaux en sortent sans caddie…
Eric Chareyron estime qu’il faut renverser la vapeur: «Le trafic évolue de plus en plus vite sur les autres plages horaires, notamment en soirée et le week-end.» Car il n’y a pas que le travail qui a changé la donne. L’émergence des centres commerciaux en périphérie, par exemple, a également bouleversé les comportements. «Les décideurs pensent qu’il n’est pas nécessaire d’amener les transports jusqu’aux grandes galeries commerciales, estimant que le client a besoin de sa voiture pour faire ses courses. Nous avons filmé la sortie de plusieurs centres, il s’avère que 75% des gens en sortent sans caddie. Oui, on y va surtout pour se promener. »
Autre résultat surprenant: «Traditionnellement nous comptabilisons le nombre de voyageurs en fonction du nombre de montées par jour. A Rennes, nous avons observé trois situations différentes. En recoupant avec les numéros de carte des abonnés, que nous avons cryptés, il s’avère que 100 validations par jour à la même borne équivalent à 500 individus différents par mois en secteur résidentiel, à 1.300 à la sortie d’un hôpital, et à 1.800 à la sortie d’un centre commercial. Ce sont des personnes qui n’iront à ces endroits peut-être qu’une fois dans le mois, mais que l’on peut aussi retrouver dans les transports aux heures de pointe.»
Conclusion: «Il faut cesser de réfléchir en heure de pointe ou en heure creuse. Un individu peut être amené à renoncer aux transports en commun au quotidien, juste parce que l’offre n’est pas satisfaisante à un moment de la journée ou pour desservir tel endroit. Pour capter la clientèle qui utilise sa voiture au quotidien, il faut une offre régulière aux différentes tranches de la journée. Et souvent, une simple réorganisation des réseaux, sans moyen supplémentaire, peut y parvenir. »
Mickaël Bosredon
Créé le 07/02/2012 à 19h54 -- Mis à jour le 08/02/2012 à 07h41
DÉPLACEMENTS - Une étude de Kéolis présentée ce mercredi montre un changement des rythmes urbains ces dernières années, et une inadaptation des réseaux de transports...
Dépassée, l’offre de transports dans les agglomérations françaises? Le groupe Kéolis présente ce mercredi une étude inédite, menée sur l’ensemble de ses réseaux en France (Bordeaux, Lille, Lyon, Rennes...). Les conclusions sont implacables: «Nos organisations sont inadaptées aux nouveaux rythmes de travail» affirme le directeur marketing du groupe, Eric Chareyron.
«Entre la désindustrialisation et l’augmentation des emplois dans les services ces trente dernières années, il y a eu une lente évolution des rythmes qui a changé les déplacements. Désormais, un tiers seulement des voyageurs commence le travail à l’heure de pointe du matin et le termine à l’heure de pointe du soir.» Sur le réseau de Lyon, il s’avère que l’heure de pointe représente 24% des déplacements annuels, les vacances 20% et les week-end 17%. «Tout le reste, ce qu’on appelait les heures creuses, pèse aujourd’hui 40% des déplacements. Or, tous les modèles de nos transports publics ont été bâtis sur l’heure de pointe. C’est elle qui détermine les projets de transport, la taille des tunnels pour le métro ou le nombre de rames pour le tramway. »
75% des clients de centres commerciaux en sortent sans caddie…
Eric Chareyron estime qu’il faut renverser la vapeur: «Le trafic évolue de plus en plus vite sur les autres plages horaires, notamment en soirée et le week-end.» Car il n’y a pas que le travail qui a changé la donne. L’émergence des centres commerciaux en périphérie, par exemple, a également bouleversé les comportements. «Les décideurs pensent qu’il n’est pas nécessaire d’amener les transports jusqu’aux grandes galeries commerciales, estimant que le client a besoin de sa voiture pour faire ses courses. Nous avons filmé la sortie de plusieurs centres, il s’avère que 75% des gens en sortent sans caddie. Oui, on y va surtout pour se promener. »
Autre résultat surprenant: «Traditionnellement nous comptabilisons le nombre de voyageurs en fonction du nombre de montées par jour. A Rennes, nous avons observé trois situations différentes. En recoupant avec les numéros de carte des abonnés, que nous avons cryptés, il s’avère que 100 validations par jour à la même borne équivalent à 500 individus différents par mois en secteur résidentiel, à 1.300 à la sortie d’un hôpital, et à 1.800 à la sortie d’un centre commercial. Ce sont des personnes qui n’iront à ces endroits peut-être qu’une fois dans le mois, mais que l’on peut aussi retrouver dans les transports aux heures de pointe.»
Conclusion: «Il faut cesser de réfléchir en heure de pointe ou en heure creuse. Un individu peut être amené à renoncer aux transports en commun au quotidien, juste parce que l’offre n’est pas satisfaisante à un moment de la journée ou pour desservir tel endroit. Pour capter la clientèle qui utilise sa voiture au quotidien, il faut une offre régulière aux différentes tranches de la journée. Et souvent, une simple réorganisation des réseaux, sans moyen supplémentaire, peut y parvenir. »
Mickaël Bosredon
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Re: Entraînement culture générale 2012
Questions de connaissances
1)Qu'est ce que l'OFDT?
L'OFDT (Observatoire français des drogues et des toxicomanies) est un groupement d'intérêt public créé en 1993. Depuis 1999, l’observation de l’OFDT porte sur les substances psychoactives licites et illicites.
2)Quel est le pourcentage d'adolescents qui consomment régulièrement de l'alcool?
En moyenne sur les 30 derniers jours 8 jeunes sur 10 déclarent avoir consommés de l'alcool
Questions développées
Quelles peuvent être les conséquences du tabagisme passif?
Le tabac est l'une des drogues licites, en vente libre, en France. Cependant elle est la cause de nombreux maux, même si elle n'est pas consommée directement. Quelles les conséquence d'une consommation passive?
En France, on décèle de plus en plus de cas de maladies respiratoires comme les bronchites, l'asthme, cancer des poumons, larynx, trachée etc., chez des personnes non fumeuses. La fumée de cigarettes contient plus de 4 000 produits dont les goudrons, les irritants, l'oxyde de carbone et la nicotine. Ce sont surtout les irritants les principaux responsables des maladies liées à l'appareil respiratoire.
Les goudrons sont quand à eux, les plus cancérigènes : 75% des cancers sont liés au tabac de manière directe et indirecte.
Les voies cardiaques et artérielles sont également susceptibles d'être touchées, ce qui peut entraîner des complications comme des infarctus du myocarde ou des coronopathies.
Le tabagisme passif présente également un risque pour les femmes enceintes puisque cela peut déclencher des accouchements prématurés, des poids à la naissance inférieurs à la normale...
Ainsi, même si le tabac n'est pas directement consommé il a des conséquences sur l'organisme. C'est pourquoi la loi Evin a été mise en place et que la loi 2007 est venue renforcée la loi, le but de ces lois est de limiter le tabagisme passif en interdisant la consommation de tabac dans les lieux publics.
En quoi la dépénalisation des drogues douces n'est-elle pas judicieuse?
Environ 7 millions de personnes déclarent avoir consommé de la drogue au moins une fois dans leur vie, dont 2 millions dans l'année écoulée. Le débat de la légalisation des drogues douces est très présents depuis l'apparition de celles-ci. En France, il est illégal de consommer, de vendre, de produire du cannabis, tandis qu'en Hollande, par exemple, c'est une drogue légale.
Il n'est pas judicieux de légaliser les drogues douces puisque de nombreux adolescents déclarent avoir déjà consommé du cannabis au moins une fois dans leur vie. Même si la dépendance psychique est très faible, les drogues douces sont souvent considérées comme la porte d'entrée vers des drogues plus dures, c'est la théorie de l'escalade.
Cependant, le débat reste ouvert et une légalisation à objectif thérapeutique reste encore en question car les effets du cannabis réduisent les effets secondaires de certains traitements de pathologies lourdes comme le SIDA, la sclérose en plaque.
Quelles sont les conséquences de l'alcoolisme au niveau professionnel?
L'alcoolisme est une maladie liée à une trop grande consommation d'alcool. En plus d'avoir des effets néfastes sur la santé, il est également provocateurs d'accidents. Qu'en est-il sur le lieu de travail?
L'alcool est responsable de nombreux accidents de travail surtout dans les milieux ouvriers où les conditions de travail sont difficiles et où la consommation journalière et l'une des plus élevées. Les machines et les outils à disposions sont des risques potentiels pour des personnes dont l'attention est réduite du fait de leur taux d'alcoolémie. Le danger est également présent pour les employés devant être sur la route.
L'une des conséquences d'une trop grande consommation d'alcool avant ou pendant le travail peut être un motif de renvoi de l'entreprise pour non respects des règles de sécurité.
L'alcoolisme est donc dangereux, que ce soit au travail, au volant, au quotidien. Il altère le comportement, l'attention. Les différentes organisations d'aides, comme les Alcooliques Anonymes, sont un bon moyen pour essayer de ce sortir de cette dépendance.
Comment peut on limiter la consommation de drogues chez les jeunes?
Les jeunes, sont l'une des cibles privilégiés des "industriels de la drogue". Environ 6 jeunes sur dix déclarent avoir déjà consommé de la drogue (surtout du cannabis). Comment réduire cette consommation?
Les drogues étant illégales, il est difficile de savoir avec certitude le nombre de jeunes consommant régulièrement de la drogue.
- renforcer moyens de controle
- plus de prévention en lycée avec plus d'intervenants
- ne pas en faire en taboo pour ne pas qu'ils aient envie de braver l'interdit
L'addictions aux jeux vidéos. Développez
L'addiction au jeu est due au fait du plaisir ressenti lors du gain, qu'il soit monétaire ou non. Les jeux vidéos sont de plus en plus présents dans notre quotidien. Qu'en est-il de l'addiction qu'ils développent?
Jeux vidéos présents, disponibles partout, facile d'utilisation.
Temps de jeu non défini => addiction
Parents besoin de veiller aux jeux acheter pour l'âge car violence possible => répercussions scolaires et comportementales
Jeux vidéos =~drogue : même pouvoir addictif si dépendance physique pas présente, dépendance mentale énorme.
1)Qu'est ce que l'OFDT?
L'OFDT (Observatoire français des drogues et des toxicomanies) est un groupement d'intérêt public créé en 1993. Depuis 1999, l’observation de l’OFDT porte sur les substances psychoactives licites et illicites.
2)Quel est le pourcentage d'adolescents qui consomment régulièrement de l'alcool?
En moyenne sur les 30 derniers jours 8 jeunes sur 10 déclarent avoir consommés de l'alcool
Questions développées
Quelles peuvent être les conséquences du tabagisme passif?
Le tabac est l'une des drogues licites, en vente libre, en France. Cependant elle est la cause de nombreux maux, même si elle n'est pas consommée directement. Quelles les conséquence d'une consommation passive?
En France, on décèle de plus en plus de cas de maladies respiratoires comme les bronchites, l'asthme, cancer des poumons, larynx, trachée etc., chez des personnes non fumeuses. La fumée de cigarettes contient plus de 4 000 produits dont les goudrons, les irritants, l'oxyde de carbone et la nicotine. Ce sont surtout les irritants les principaux responsables des maladies liées à l'appareil respiratoire.
Les goudrons sont quand à eux, les plus cancérigènes : 75% des cancers sont liés au tabac de manière directe et indirecte.
Les voies cardiaques et artérielles sont également susceptibles d'être touchées, ce qui peut entraîner des complications comme des infarctus du myocarde ou des coronopathies.
Le tabagisme passif présente également un risque pour les femmes enceintes puisque cela peut déclencher des accouchements prématurés, des poids à la naissance inférieurs à la normale...
Ainsi, même si le tabac n'est pas directement consommé il a des conséquences sur l'organisme. C'est pourquoi la loi Evin a été mise en place et que la loi 2007 est venue renforcée la loi, le but de ces lois est de limiter le tabagisme passif en interdisant la consommation de tabac dans les lieux publics.
En quoi la dépénalisation des drogues douces n'est-elle pas judicieuse?
Environ 7 millions de personnes déclarent avoir consommé de la drogue au moins une fois dans leur vie, dont 2 millions dans l'année écoulée. Le débat de la légalisation des drogues douces est très présents depuis l'apparition de celles-ci. En France, il est illégal de consommer, de vendre, de produire du cannabis, tandis qu'en Hollande, par exemple, c'est une drogue légale.
Il n'est pas judicieux de légaliser les drogues douces puisque de nombreux adolescents déclarent avoir déjà consommé du cannabis au moins une fois dans leur vie. Même si la dépendance psychique est très faible, les drogues douces sont souvent considérées comme la porte d'entrée vers des drogues plus dures, c'est la théorie de l'escalade.
Cependant, le débat reste ouvert et une légalisation à objectif thérapeutique reste encore en question car les effets du cannabis réduisent les effets secondaires de certains traitements de pathologies lourdes comme le SIDA, la sclérose en plaque.
Quelles sont les conséquences de l'alcoolisme au niveau professionnel?
L'alcoolisme est une maladie liée à une trop grande consommation d'alcool. En plus d'avoir des effets néfastes sur la santé, il est également provocateurs d'accidents. Qu'en est-il sur le lieu de travail?
L'alcool est responsable de nombreux accidents de travail surtout dans les milieux ouvriers où les conditions de travail sont difficiles et où la consommation journalière et l'une des plus élevées. Les machines et les outils à disposions sont des risques potentiels pour des personnes dont l'attention est réduite du fait de leur taux d'alcoolémie. Le danger est également présent pour les employés devant être sur la route.
L'une des conséquences d'une trop grande consommation d'alcool avant ou pendant le travail peut être un motif de renvoi de l'entreprise pour non respects des règles de sécurité.
L'alcoolisme est donc dangereux, que ce soit au travail, au volant, au quotidien. Il altère le comportement, l'attention. Les différentes organisations d'aides, comme les Alcooliques Anonymes, sont un bon moyen pour essayer de ce sortir de cette dépendance.
Comment peut on limiter la consommation de drogues chez les jeunes?
Les jeunes, sont l'une des cibles privilégiés des "industriels de la drogue". Environ 6 jeunes sur dix déclarent avoir déjà consommé de la drogue (surtout du cannabis). Comment réduire cette consommation?
Les drogues étant illégales, il est difficile de savoir avec certitude le nombre de jeunes consommant régulièrement de la drogue.
- renforcer moyens de controle
- plus de prévention en lycée avec plus d'intervenants
- ne pas en faire en taboo pour ne pas qu'ils aient envie de braver l'interdit
L'addictions aux jeux vidéos. Développez
L'addiction au jeu est due au fait du plaisir ressenti lors du gain, qu'il soit monétaire ou non. Les jeux vidéos sont de plus en plus présents dans notre quotidien. Qu'en est-il de l'addiction qu'ils développent?
Jeux vidéos présents, disponibles partout, facile d'utilisation.
Temps de jeu non défini => addiction
Parents besoin de veiller aux jeux acheter pour l'âge car violence possible => répercussions scolaires et comportementales
Jeux vidéos =~drogue : même pouvoir addictif si dépendance physique pas présente, dépendance mentale énorme.
DE 2015
IBO en Guadeloupe
IBO en Guadeloupe
Re: Entraînement culture générale 2012
Désolé pour les dernières questions je viens de les finir, et j'avoue que jsuis un peu dead et demain jvois I.Frachon (médecin qui a découvert l'histoire Médiatoir) donc jveux être en forme pour vous faire un résumé 

DE 2015
IBO en Guadeloupe
IBO en Guadeloupe
Re: Entraînement culture générale 2012
kysa a écrit :Questions de connaissances
1)Qu'est ce que l'OFDT?
L'OFDT (Observatoire français des drogues et des toxicomanies) est un groupement d'intérêt public créé en 1993. Depuis 1999, l’observation de l’OFDT porte sur les substances psychoactives licites et illicites.
2)Quel est le pourcentage d'adolescents qui consomment régulièrement de l'alcool?
En moyenne sur les 30 derniers jours 8 jeunes sur 10 déclarent avoir consommés de l'alcool
55% ,une consommation souvent festive,principalement le we,entre amis ou en famille.
Questions développées
Quelles peuvent être les conséquences du tabagisme passif?
Le tabac est l'une des drogues licites, en vente libre, en France. Cependant elle est la cause de nombreux maux, même si elle n'est pas consommée directement. Quelles les conséquence d'une consommation passive?
En France, on décèle de plus en plus de cas de maladies respiratoires comme les bronchites, l'asthme, cancer des poumons, larynx, trachée etc., chez des personnes non fumeuses. La fumée de cigarettes contient plus de 4 000 produits dont les goudrons, les irritants, l'oxyde de carbone et la nicotine. Ce sont surtout les irritants les principaux responsables des maladies liées à l'appareil respiratoire.
Les goudrons sont quand à eux, les plus cancérigènes : 75% des cancers sont liés au tabac de manière directe et indirecte.
Les voies cardiaques et artérielles sont également susceptibles d'être touchées, ce qui peut entraîner des complications comme des infarctus du myocarde ou des coronopathies.
Le tabagisme passif présente également un risque pour les femmes enceintes puisque cela peut déclencher des accouchements prématurés, des poids à la naissance inférieurs à la normale... la prévention contre la mort subite du nourisson avertit également des risques du tabagisme passif.
Dans les conséquences sociales on peut citer:l'agressivité,le rejet ou la ségrégation envers les fumeurs et les non-fumeurs;le tabagisme passif pouvait engendrer une mauvaise ambiance sur le lieu de travail ,par exemple,ou au restaurant ,avant l'interdiction de fumer dans ces lieux.
Ainsi, même si le tabac n'est pas directement consommé il a des conséquences sur l'organisme. C'est pourquoi la loi Evin a été mise en place et que la loi 2007 est venue renforcée la loi, le but de ces lois est de limiter le tabagisme passif en interdisant la consommation de tabac dans les lieux publics.
Enfin la loi Bachelot du 21 juillet 2009 interdit la vente de tabac aux moins de 18ans.
Au niveau individuel,il est question de civisme et de respect des autres.
En quoi la dépénalisation des drogues douces n'est-elle pas judicieuse?
Environ 7 millions de personnes déclarent avoir consommé de la drogue au moins une fois dans leur vie, dont 2 millions dans l'année écoulée. Le débat de la légalisation des drogues douces est très présents depuis l'apparition de celles-ci. En France, il est illégal de consommer, de vendre, de produire du cannabis, tandis qu'en Hollande, par exemple, c'est une drogue légale.
Il n'est pas judicieux de légaliser les drogues douces puisque de nombreux adolescents déclarent avoir déjà consommé du cannabis au moins une fois dans leur vie. Même si la dépendance psychique est très faible, les drogues douces sont souvent considérées comme la porte d'entrée vers des drogues plus dures, c'est la théorie de l'escalade.
Cependant, le débat reste ouvert et une légalisation à objectif thérapeutique reste encore en question car les effets du cannabis réduisent les effets secondaires de certains traitements de pathologies lourdes comme le SIDA, la sclérose en plaque.Il n'en parle pas dans mon livre mais j'ai aussi trouvé pas mal le fait de montrer les effets bénéfiques que le cannabis peut avoir.
La dépénalisation pourrait être considérée comme un désengagement de l'Etat en matière de santé publique et entraîner une augmentation importante et incontrôlée de la consommation si la "peur du gendarme" freine effectivement l'envie de fumer.En fait la loi de 1970 qui prévoit des sanctions pour les consommateurs n'est que très rarement appliquée.L'urgence se trouve peut-être plus dans la prévention que dans la refonte d'une loi non appliquée.
Quelles sont les conséquences de l'alcoolisme au niveau professionnel?
L'alcoolisme est une maladie liée à une trop grande consommation d'alcool. En plus d'avoir des effets néfastes sur la santé, il est également provocateurs d'accidents. Qu'en est-il sur le lieu de travail?
L'alcool est responsable de nombreux accidents de travail surtout dans les milieux ouvriers où les conditions de travail sont difficiles et où la consommation journalière et l'une des plus élevées. Les machines et les outils à disposions sont des risques potentiels pour des personnes dont l'attention est réduite du fait de leur taux d'alcoolémie. Le danger est également présent pour les employés devant être sur la route.
L'une des conséquences d'une trop grande consommation d'alcool avant ou pendant le travail peut être un motif de renvoi de l'entreprise pour non respects des règles de sécurité.
-les personnes dépendantes de l'alcool sont souvent absentes de leur lieu de travail,moins efficaces et moins fiables que les autres.Elles sont donc plus sujettes au licenciement
-les personnes alcooliques éprouvent plus de difficultés à retrouver un emploi et si le chômage perdure,il peut accentuer l'alcoolisme:la personne entre alors dans un cercle vicieux;
L'alcoolisme est donc dangereux, que ce soit au travail, au volant, au quotidien. Il altère le comportement, l'attention. Les différentes organisations d'aides, comme les Alcooliques Anonymes, sont un bon moyen pour essayer de ce sortir de cette dépendance.
L'alcoolisme au travail est un fléau social,souvent caché par les collègues voulant protéger la personne des licenciements et sanctions.
Comment peut on limiter la consommation de drogues chez les jeunes?
Les jeunes, sont l'une des cibles privilégiés des "industriels de la drogue". Environ 6 jeunes sur dix déclarent avoir déjà consommé de la drogue (surtout du cannabis). Comment réduire cette consommation?
Les drogues étant illégales, il est difficile de savoir avec certitude le nombre de jeunes consommant régulièrement de la drogue.
- renforcer moyens de controle
- plus de prévention en lycée avec plus d'intervenants
- ne pas en faire en taboo pour ne pas qu'ils aient envie de braver l'interdit
L'addictions aux jeux vidéos. Développez
J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Re: Entraînement culture générale 2012
kysa a écrit :Désolé pour les dernières questions je viens de les finir, et j'avoue que jsuis un peu dead et demain jvois I.Frachon (médecin qui a découvert l'histoire Médiatoir) donc jveux être en forme pour vous faire un résumé
Pour les deux dernières questions je n'ai pas de corrigés mais je mettrai mes réponses demain!bonne soirée,reposes toi bien!

J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Re: Entraînement culture générale 2012
Voilà mes réponses.......
Quelles peuvent être les conséquences du tabagisme passif?
Les conséquence du tabagisme sont les mêmes pour les fumeurs et les non fumeurs exposés à leurs fumées. Ainsi, les risques de cancers et de maladies cardio vasculaire augmentent fortement. Tandis, que les capacités olfactives et gustatives diminuent.
Les enfants quant à eux sont plus exposés aux maladies respiratoires et aux otites.
Alors qu'on note une augmentation des risques de fausses couches et d'accouchement prématuré chez les femmes enceintes.
En quoi la dépénalisation des drogues douces n'est-elle pas judicieuse?
Dans les pays d'Europe où les drogues douces ont été légalisé comme au Royaume Uni on a pu observer une augmentation de la consommation, et des trafics qui y sont liés.
De plus, l'usage de drogue douce à de multiples conséquences néfastes.
Des conséquences sanitaires tels que des Cancers des voies respiratoires et un risque de transmission du VIH et de l'hépatite lors de consommation de drogues injectable. Mais aussi des conséquences sociales, après consommation, l'utilisateur n'étant pas dans son état normal, il y a un risque de violence active qui se présente sous forme de coup ou d'agression sexuelle et un risque de violence passive qui correspond aux accidents de la route et de travail.
Quelles sont les conséquences de l'alcoolisme au niveau professionnel?
L'alcoolisme professionnel peut se manifester sous deux formes: la consommation entre collègues ou la consommation lors de diner mondain qu'on appelle alors Workolic.
L'alcool est une drogue licite ayant pour conséquence un ralentissement du système nerveux. Ainsi, après un usage excessif, les réflexes du consommateurs sont amoindris et le risque d'accident augmenté.
De plus, lors de sevrage, l'alcoolique peut devenir violent dans ses propos et dans ses actes que se soit vis à vis des clients ou de ses collaborateurs.
Comment peut on limiter la consommation de drogues chez les jeunes?
La loi évin permet déjà de réguler l'accès des mineurs aux drogues licites. Malgré cela, beaucoup de jeune arrive encore à se fournir en alcool lors de soirées.
Or, un meilleure encadrement des soirées étudiante associé à un alourdissement des sanctions lors de fraude vis à vis de la loi Evin permettrait de diminuer la consommations des jeunes lors de soirées.
On observe depuis quelques années une série de campagne de prévention "choc" à travers les photos sur les paquets de cigarette et les court métrage mettant en scène les accidents de la route. Malheureusement, peu d'entre elles préviennent sur les risques des drogues illicites dont la consommation diminue fortement l'espérance de vie.
L'addiction aux jeux vidéos. Développez
L'addiction aux jeux vidéos a des effets néfastes tant physiquement que socialement. D'un point de vue physique, on peut observer des troubles musculo squelettique dû à la posture pénible que prends le joueur, mais aussi une fatigue au niveau des yeux. De plus, une certaine irritabilité peut se manifester, souvent associé à des insomnies. D'un point de vue sociale, le joueur trouve un réconfort dans le monde virtuel qui l'isole du monde réel.
Les jeux de rôle en ligne massivement multi joueur sont les jeux les plus à même d'entrainer une dépendance. Or l'usage des jeux vidéos n'est pas forcément mauvais. Il permet par exemple de stimuler l'imagination des plus jeunes.

Quelles peuvent être les conséquences du tabagisme passif?
Les conséquence du tabagisme sont les mêmes pour les fumeurs et les non fumeurs exposés à leurs fumées. Ainsi, les risques de cancers et de maladies cardio vasculaire augmentent fortement. Tandis, que les capacités olfactives et gustatives diminuent.
Les enfants quant à eux sont plus exposés aux maladies respiratoires et aux otites.
Alors qu'on note une augmentation des risques de fausses couches et d'accouchement prématuré chez les femmes enceintes.
En quoi la dépénalisation des drogues douces n'est-elle pas judicieuse?
Dans les pays d'Europe où les drogues douces ont été légalisé comme au Royaume Uni on a pu observer une augmentation de la consommation, et des trafics qui y sont liés.
De plus, l'usage de drogue douce à de multiples conséquences néfastes.
Des conséquences sanitaires tels que des Cancers des voies respiratoires et un risque de transmission du VIH et de l'hépatite lors de consommation de drogues injectable. Mais aussi des conséquences sociales, après consommation, l'utilisateur n'étant pas dans son état normal, il y a un risque de violence active qui se présente sous forme de coup ou d'agression sexuelle et un risque de violence passive qui correspond aux accidents de la route et de travail.
Quelles sont les conséquences de l'alcoolisme au niveau professionnel?
L'alcoolisme professionnel peut se manifester sous deux formes: la consommation entre collègues ou la consommation lors de diner mondain qu'on appelle alors Workolic.
L'alcool est une drogue licite ayant pour conséquence un ralentissement du système nerveux. Ainsi, après un usage excessif, les réflexes du consommateurs sont amoindris et le risque d'accident augmenté.
De plus, lors de sevrage, l'alcoolique peut devenir violent dans ses propos et dans ses actes que se soit vis à vis des clients ou de ses collaborateurs.
Comment peut on limiter la consommation de drogues chez les jeunes?
La loi évin permet déjà de réguler l'accès des mineurs aux drogues licites. Malgré cela, beaucoup de jeune arrive encore à se fournir en alcool lors de soirées.
Or, un meilleure encadrement des soirées étudiante associé à un alourdissement des sanctions lors de fraude vis à vis de la loi Evin permettrait de diminuer la consommations des jeunes lors de soirées.
On observe depuis quelques années une série de campagne de prévention "choc" à travers les photos sur les paquets de cigarette et les court métrage mettant en scène les accidents de la route. Malheureusement, peu d'entre elles préviennent sur les risques des drogues illicites dont la consommation diminue fortement l'espérance de vie.
L'addiction aux jeux vidéos. Développez
L'addiction aux jeux vidéos a des effets néfastes tant physiquement que socialement. D'un point de vue physique, on peut observer des troubles musculo squelettique dû à la posture pénible que prends le joueur, mais aussi une fatigue au niveau des yeux. De plus, une certaine irritabilité peut se manifester, souvent associé à des insomnies. D'un point de vue sociale, le joueur trouve un réconfort dans le monde virtuel qui l'isole du monde réel.
Les jeux de rôle en ligne massivement multi joueur sont les jeux les plus à même d'entrainer une dépendance. Or l'usage des jeux vidéos n'est pas forcément mauvais. Il permet par exemple de stimuler l'imagination des plus jeunes.
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie