Culture Générale

[Siaana]

Je rappelle que, sur le 1er message du sujet, j'ai fait le sommaire des thèmes traités par page

[marion027]

Oui c'est une Etablissement Hospitalier pour Personnes Agées Dependantes, mais les maisons de retraites accueillent des personnes âgées et souvent dépendantes aussi...

[angelo50]

En fait, je crois savoir qu' un Ehpad est une maison de retraite médicalisée
Si une maison de retraite est médicalisée, alors c'est un Ehpad

A la question, existe-t-il des maisons de retraite non médicalisées, la réponse est oui

Je me permet de faire un copier collé d'une page :
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Qu'est-ce qu'une maison de retraite non médicalisée ?
Plus classique, la maison de retraite non médicalisée s'adresse aux personnes âgées valides ou semi-valides ne souhaitant plus vivre seules.

Contrairement à la maison de retraite médicalisée, la maison de retraite non médicalisée ne dispose pas forcément d'une équipe médicale, ce qui ne l'empêche pas de fournir les soins de base aux pensionnaires souffrant d'une maladie courante et bénigne.
La maison de retraite non médicalisée est donc un établissement au sein duquel les pensionnaires coulent des jours paisibles, de façon temporaire, saisonnière ou permanente. En effet, un séjour peut être de courte ou de longue durée et les résidents peuvent même passer la journée à la maison de retraite et rentrer dormir chez eux.
Les pensionnaires de la maison de retraite non médicalisée peuvent bénéficier d'une chambre (simple ou double) ou bien d'un appartement privatif, pouvant accueillir de 1 à 4 personnes, leur permettant par exemple de continuer à vivre avec leur conjoint.

Dans tous les cas, les repas sont inclus dans les prestations de la maison de retraite non médicalisée, dont le personnel se charge également de toutes les tâches ménagères (certains services, telle que la blanchisserie, peuvent cependant faire l'objet d'un complément financier).

Les résidents de la maison de retraite non médicalisée sont quotidiennement conviés à participer à des ateliers (couture, vannerie, cuisine, broderie, chorale...) ou encore à des activités diverses (promenade, pique-nique, gym douce...).

source : http://maison-retraite.3clicsdevis.com/ ... lisee.html
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[Memo]

merci memo

De rien. Si ça peut aider....

[Memo]

Désengorger les urgences : le remède de Nicolas Sarkozy

Par Anne Prigent - le 19/03/2012
Le président-candicat propose de soulager les urgences en créant des maisons médicales de gardes aux portes des hôpitaux. Le but? Éviter que les malades qui viennent pour «des bobos» ne pénètrent dans les urgences.

«Quel est le problème de l'hôpital? Il y a trop de gens qui viennent aux urgences.» C'est ce qu'a affirmé le candidat, Nicolas Sarkozy, lors l'émission «Capital» sur M6 dimanche soir.

Il propose, pour désengorger les urgences hospitalières, de créer une maison «avec des médecins libéraux» à côté de chaque hôpital. Ces médecins auraient en charge «les urgences du quotidien», selon le candidat à la présidentielle. Autrement dit les «bobos», rhumes et autres toux qui n'ont rien à faire dans les services d'urgences.

Ces maisons existent déjà. Elles se sont même multipliées ces dernières années, ayant vocation à servir de «gare de triage» de patients inquiets. Baptisées «maisons médicales de garde», elles accueillent les médecins généralistes libéraux qui assurent les consultations du week-end et de nuit, les jours fériés selon un tour de garde qu'ils organisent entre eux. Elles sont parfois situées dans les hôpitaux mais se trouvent le plus souvent en ville, souvent hébergées dans des locaux municipaux.

Un système de triage aux portes même des urgences

Baser ces maisons aux portes des hôpitaux désengorgerait-il les urgences? Les avis des médecins divergent sur la question. «Depuis 20 ans, notre syndicat défend cette idée de service «pré-porte» à l'entrée des hôpitaux. Ce système s'autofinancerait. La présence de deux libéraux en permanence serait largement compensée par les économies réalisées en évitant nombre de passages aux urgences», s'enthousiasme le docteur Christian Jeambrun, président du Syndicat des médecins libéraux (SML).

Un avis que ne partagent pas les urgentistes. «Les maisons médicales de garde ont leur utilité mais pas nécessairement aux portes de l'hôpital», souligne le docteur Marc Giroud, président de Samu Urgences de France au Figaro. «L'engorgement des urgences est surtout lié à la difficulté de trouver des places dans le circuit hospitalier après le passage aux urgences.»

Une analyse partagée par le docteur Patrick Pelloux, président de l'association des médecins urgentistes de France, qui propose une réorganisation de l'accueil aux urgences avec l'instauration obligatoire d'une consultation rapide pour orienter les patients.
Le figaro

[Memo]

De la courtoisie pour lutter contre l'agressivité au volant

L'Association française de prévention des comportements sur la route organise, à compter de ce lundi, la semaine internationale de la courtoisie au volant. À Paris, des actions se multiplient pour une route apaisée.


Voici encore une bonne occasion de bien se tenir au volant. À compter de ce lundi, l'Association française de prévention des comportements sur la route organise la semaine internationale de la courtoisie au volant. Dans le cadre de ces journées de sensibilisation, diverses actions sont menées en France en vue d'une route plus apaisée pour tous.

Cette édition 2012 est placée sous le signe de la conduite au féminin, indique l'association, en rappelant qu'aujourd'hui «près de 50% des conducteurs sont aujourd'hui des conductrices». Et qu'elles sont aussi les plus vertueuses sur la route. Les chiffres parlent d'eux-mêmes: 75% des morts sont des hommes, soit 3000 tués en 2011 pour un peu plus de 900 femmes. Près de 62% des blessés sont aussi des hommes (19.000 contre 11.400 femmes). Tandis que 83% des condamnés pour homicides involontaires sont des hommes. Rappelons que la sécurité routière est ce mois-ci à l'origine d'un manifeste signé par les femmes pour une route plus sûre.

Côté courtoisie, les conducteurs ont encore du chemin à faire. Le mois dernier, Vinci Autoroute a publié un sondage révélant que l'automobiliste ne se montre guère fair-play sur la route: plus de la moitié injurie son voisin, 42% klaxonnent de façon intempestive et 24% collent délibérément la roue de l'autre usager.

Les Parisiens sont réputés les conducteurs les plus irascibles de France: pendant une semaine, la Préfecture de police (PP) tente de changer ces comportements en menant une multitude d'actions dans la capitale où 50 personnes sont mortes dans des accidents en 2011. En février, l'hebdomadaire Auto Plus distribuait sans grande surprise la palme de l'incivilité au volant à la capitale française, suivie par Marseille et Nice.

Des actions de sensibilisation partout à Paris

Cinquante personnes sont mortes dans des accidents de la circulation à Paris l'an dernier, un chiffre en forte baisse sur une décennie (114 en 2001), mais en augmentation par rapport à 2010 (+7). Une hausse dont les piétons sont ceux qui ont le plus fait les frais.

Ils représentent plus de la moitié des morts (54%). Ils sont à 45% responsables, au moins en partie, des accidents, par exemple en traversant la chaussée en dehors des passages piétons ou lorsque le feu est rouge pour eux. Ils représentent 1876 des 8327 blessés sur la route en 2011 dans la capitale. Autre population exposée, les conducteurs de deux-roues motorisés qui constituent un tiers (32%) des tués.

Face à ce bilan et à l'occasion de la semaine de la courtoise au volant, des actions de sensibilisation vont être menées tous azimuts à Paris par la Préfecture de police. Des enfants de CM1 et CM2 de onze écoles de la capitale vont ainsi aller à la rencontre des piétons lundi pour interpeller ceux qui traverseraient sans respecter les règles.

Les piétons seront sensibilisés par des policiers aux abords des passages cloutés, mardi, et ils seront aussi au coeur des messages de sensibilisation sur les refus de priorité, distillés par des agents qui organiseront des contrôles routiers mercredi auprès de voitures et deux-roues.

Vouloir gagner du temps est un facteur aggravant

Les cyclistes, qui n'ont pas de mort à déplorer l'an dernier (contre deux en 2010 et six en 2009), seront ciblés par des contrôles jeudi, tandis que vendredi, une action visera les deux-roues motorisés sur les risques de la vitesse, leur première cause d'accidents.

«Vouloir gagner du temps est très souvent un facteur aggravant dans la mesure où un conducteur pressé n'analyse pas sereinement» les situations, ce qui est encore plus dangereux dans un contexte de circulation dense, explique la PP. Samedi en début de soirée, des automobilistes seront sensibilisés aux dangers de l'alcool au volant et sur la présence obligatoire, au 1er juillet, d'éthylotests dans les voitures.

Au total, 7239 accidents corporels ont eu lieu à Paris en 2011, et 15.218 dans l'agglomération parisienne (qui totalise 156 tués et 17.519 blessés). Pendant cette période, la police a contrôlé près de 122.000 personnes sur leurs taux d'alcoolémie, distribué 7569 contraventions pour alcool au volant, 2050 pour conduite sous l'emprise de stupéfiants et 32.093 contraventions pour excès de vitesse.
Le figaro

[Memo]

Un des plus anciens détenus de France sort de prison

Condamné à la perpétuité pour avoir abattu un policier en 1984, Abdelhamid Hakkar a passé 27 ans derrière les barreaux. Il était devenu un symbole du combat des prisonniers aux longues peines.


Un des plus anciens détenus des prisons françaises a recouvré la liberté dimanche soir. Condamné à la perpétuité en 1984 pour le meurtre d'un policier, Abdelhamid Hakkar a quitté à 18 heures la maison d'arrêt d'Ensisheim dans le Haut-Rhin, mettant fin à plus de 27 ans passés derrière les barreaux. Officiellement, le quinquagénaire est en permission. Son régime de liberté conditionnelle débutera mardi matin, une fois que les autorités pénitentiaires lui auront posé un bracelet électronique. Ensuite, Abdelhamid Hakkar vivra au sein de sa famille à Besançon et travaillera dans une association de réinsertion de détenus.

Ce dénouement clôt un bras de fer intense entre Abdelhamid Hakkar, devenu symbole du combat contre les longues peines, et la justice. Abdelhamid Hakkar est une figure du banditisme. Ce multirécidiviste du braquage s'est illustré en 1981 après une évasion rocambolesque du palais de justice de Besançon. Mais son destin bascule le 30 août 1984. Ce jour-là, Abdelhamid Hakkar fait route avec un complice vers Auxerre pour se «faire une bijouterie». Mais l'heure tardive dissuade les deux hommes de passer à l'acte. Le duo se retrouve à circuler à moto dans une rue piétonne de la ville et bouscule un jeune homme marchant avec sa grand-mère. Le ton monte, le jeune homme alerte la police et se lance à leur poursuite, rejoint par deux policiers. Un des gardiens de l'ordre rattrape Abdelhamid Hakkar dans une impasse avant d'être gravement blessé par balle. Le sous-brigadier Claude Schaeffer, qui prend le relais, est lui abattu. Abdelhamid Hakkar accuse un homme avec qui il avait rendez-vous, d'être le tireur.

La France condamnée par la CEDH

S'ouvre alors un parcours judiciaire atypique. À son premier procès, le gangster, qui clame son innocence, ne peut bénéficier de l'avocat de son choix. Son conseil, retenu ailleurs, est remplacé par un avocat commis d'office, qui faute d'obtenir un renvoi, se récuse. Abdelhamid Hakkar refuse lui-même d'assister à la plupart des débats. Il tente par quatre fois de s'évader et écope de douze ans à l'isolement et de 45 transferts de prison.

Ses échecs le convainquent de porter son combat sur le plan juridique. Abdelhamid Hakkar se met à étudier le droit et dépose d'innombrables recours. La Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) condamne ainsi la France pour procès inéquitable et délai non raisonnable en 1995 et demande à ce qu'il soit rejugé. Mais le nouveau procès n'aura lieu qu'en 2003 avec un appel en 2005. Verdict: perpétuité assortie d'une peine de sûreté de seize ans. Entre-temps, en 2004, le détenu obtient la suspension de sa mise à l'isolement en raison «de sa durée particulièrement longue» et de ses «effets psychologiques négatifs sur l'intéressé».

En 2006, Abdelhamid Hakkar signe, en compagnie de neuf autres détenus de Clairvaux, un texte réclamant «le rétablissement de la peine de mort», préférable à la «perpétuité réelle» qui les fait «crever à petit feu». En 2008, il observe une énième grève de la faim de 42 jours. Ces coups d'éclat lui valent l'acharnement des autorités judiciaires, estiment ses proches. Dernier rebondissement en date, Hakkar a été relaxé, vendredi, dans une complexe affaire de carte d'identité prétendument frauduleuse. L'affaire avait bloqué sa demande de libération conditionnelle en 2010.

«C'est totalement incongru mais tout ce qui concerne Abdelhamid Hakkar est complètement hors norme», soulignait son avocate. Enfin libre, l'intéressé se dit lui «confus»: «Après près de trois décennies en prison, les émotions, les images de l'extérieur, les paysages de verdure, tout avait fini par s'estomper dans mon esprit». «Heureusement, ma famille, qui m'a toujours soutenu, va m'aider à me réinsérer. C'est tout ce que je veux», a-t-il ajouté.
Le figaro

[Memo]

Parents et profs veulent un cartable allégé dit «essentiel»

D'après un sondage Opinion Way, ils donnent la priorité pour les livres de maths et de français. Une sorte de cartable, dit «essentiel», regroupant les disciplines les plus importantes.


Comment réduire le poids du cartable, tout en le rendant plus efficace? 94% des parents et 85% des enseignants sont favorables à la définition au niveau national d'un «cartable essentiel de livres» pour chaque enfant à l'école primaire selon une enquête Opinion Way/Savoir livre mené auprès de 309 maires, 512 parents, 589 enseignants et 277 directeurs d'écoles.

Le «cartable essentiel» serait idéalement composé a minima de 4 à 6 livres, suivant les niveaux. Les attentes sont similaires chez les enseignants et les parents, même si les parents souhaitent davantage de livres, notamment en histoire-géographie, et en grammaire/conjugaison au cycle 2 (CP et CE1), et en langues et sciences au cycle 3 (CE2, CM1, CM2). Au cycle 2, ce cartable comporterait un manuel de mathématiques, un manuel de lecture, un dictionnaire et un livre de littérature jeunesse. Au cycle 3, il contiendrait un manuel de mathématiques, de français, un dictionnaire, un livre de littérature jeunesse, un livre de grammaire et un manuel d'histoire-géographie.

Un «cartable essentiel» permettrait plus d'équité entre les enfants de toutes les écoles pour la quasi totalité des parents et des professeurs ainsi qu'une mise en conformité plus rapide aux programmes en vigueur pour 92% des parents et 84% des enseignants.

Le manuel, parent pauvre des équipements pédagogiques

Car malgré un très fort attachement, le manuel reste le parent pauvre des équipements pédagogiques, rappelle l'enquête. Il est jugé utile voire indispensable par 98% des parents et enseignants. Pourtant aujourd'hui 10% des élèves n'ont pas de manuel de lecture, 10% n'en ont pas en mathématiques et plus de 40% n'ont pas de manuel d'histoire-géographie.

Seules deux disciplines sur neuf (mathématiques et français) sont enseignées avec des manuels majoritairement conformes aux programmes (60%), les livres des autres disciplines étant manquants ou non conformes à plus de 80%. En cause: le manque de crédits pour 80% des enseignants qui ne peuvent remplacer les manuels obsolètes et recourent fréquemment à la photocopie (69%) même s'ils préféreraient s'en passer.

L'avenir passe-t-il par le numérique? Pour les parents, un équipement minimum en ressources numériques serait important pour réduire le poids des cartables (93%) et pour varier les approches pédagogiques (92%). Les enseignants, eux, en attendent beaucoup pour développer une pédagogie plus interactive.
Le figaro

[stepit42]

La problématique c'est en gros la question à laquelle le texte essaie de répondre. Sion te demande la problématique on ne te demande pas de faire un plan ou quoi, on te demande de mettre en évidence la question de base du texte.

Et attention, dans le cas où le sujet serait une question comme celle dont tu as parlé, il faut que ton plan soit bien en rapport avec la question posée, ce qui n'est pas le cas dans ce que tu as fait : en quoi l'euthanasie ne permet pas le respect de la vie humaine ? -> elle ne respecte pas la dignité humaine car "raison 1" "raison 2" "raison 3" ou si tu veux faire un plan tu fais des parties mais ici ça me semble un peu difficile comme la question est restreinte mais genre 1-raisons religieuses 2-lraisons juridiques (l'euthanasie est un homicide donc c'est interdit)...

Le plan que tu énonces répond à une question du genre "que pensez vous de l'euthanasie ?" "pour ou contre l'euthanasie ?"

et alors que signifie "placer dans le contexte"?

[rfidele7]

Quelques liens intéressants : Qu'est ce qu'un EHPAD http://www.sanitaire-social.com/annuair ... calisee/29


http://www.anesm.sante.gouv.fr/spip.php ... ubrique=23

[lenette30]

Bonjour

je passe mes écrits demain, et je me pose plusieurs questions quant à l'épreuve de culture G !

Par exemple si la question est "qu'en pensez vous ?" est ce qu'il faut que je réponde en mon nom après mon argumentation ? Est ce que je dois rédiger mon développement à la premiere personne du singulier ?

Est ce que l'on peut citer des données du texte ? Est ce que l'on doit faire référence à des données que l'on connait mais qui ne sont pas abordées dans le texte ?

Est ce qu'il ne peut comme sujet ny' avoir qu'une phrase ou une problématique ... Ou il y'à obligatoirement un texte ???

Si vous pouvez me répondre ca serait super !!!

Bonne journée à tous

[Naïs22]

Par exemple si la question est "qu'en pensez vous ?" est ce qu'il faut que je réponde en mon nom après mon argumentation ? Est ce que je dois rédiger mon développement à la premiere personne du singulier ?

Je me suis posée la même question après avoir eu comme question "donnez votre avis". Dans ce genre de question il faut donner les avantages et les inconvénients. Si tu veux donner ton avis, met le en conclusion mais il faut toujours nuancer ... On ne peut pas toujours être complétement pour ou complétement contre ... Personnellement je ne donne presque jamais mon point de vue, je reste très général ... Je ne sais vraiment pas si c'est ce qu'il faut faire ... Au lieu d'utiliser la première personne du singulier, utilise la première personne du pluriel. Comme ça tu impliques le correcteur !!

Est ce que l'on peut citer des données du texte ? Est ce que l'on doit faire référence à des données que l'on connait mais qui ne sont pas abordées dans le texte ?

Tu peux t'appuyer sur le texte, rien ne t'empêche de le faire ! Et tu peux (même tu dois) apporter tes connaissances sauf si on te demande résumer le texte !

Est ce qu'il ne peut comme sujet ny' avoir qu'une phrase ou une problématique ... Ou il y'à obligatoirement un texte ???

A l'écrit c'est impossible. Ça sera toujours un texte. Par contre à l'oral, c'est souvent le cas !!

Voilà, j'espère avoir répondu ! Et si quelqu'un d'autre pourrait donner une autre réponse pour la première question parce que moi aussi je suis un peu perdue ... Sinon bonne chance pour demain ! Je passe également un concours demain

[stepit42]

alors d'après les dernières infos sur le site, quels sont les sujets les + probables?
je pense que c'est TRES probable de tomber sur le handicap, j'y suis tomber d'ailleurs.. ainsi que les problèmes dues au vieillissement.. et je parle en tout état de cause, j'suis tomber sur Alzheimer..
quoi d'autres à votre avis peut tomber?

[juju02250]

Pour les avantages et inconvénients des vaccinations, j'aurai ajouter en points positifs le fait que la vaccination a permis de réduire à néant ou partiellement des maladies de notre pays tel que la diphtérie ou la variole. De même, j'aurai ajouté dans les inconvénients les réticences dues aux différentes religions

[Nanouu]

Et faire une synthèse du texte c'est le résumer ?