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Un numéro d'appel pour les troubles du comportement alimentaire

Depuis janvier 2011, les troubles du comportement alimentaire (TCA) tels que la boulimie ou l'anorexie sont suivis en Ile-de-France grâce à la mise en place d'un réseau présidé par le professeur Jean-Claude Melchior, nutritionniste à l'hôpital Raymond-Poincaré, à Garches (Hauts-de-Seine).

Lundi 19 mars, le réseau a annoncé la mise à disposition d'un numéro de téléphone, Anorexie Boulimie Info écoute, pour les personnes en souffrance ou leurs proches, une ligne subventionnée par la Fondation de France et la région Ile-de-France. En composant le N° Azur 0810 037 037 (prix d'un appel local), les malades peuvent discuter, anonymement, avec des spécialistes et des membres d'associations et obtenir des informations sur les aides et les principales ressources thérapeutiques disponibles en Ile-de-France, voire être orientés vers un lieu d'accueil d'urgence. Une permanence est tenue par des associations les mardis de 19 h à 21 h et les vendredis de 16 h à 18 h, par des psychologues les lundis de 16 h à 18 h, et par des médecins les jeudis de 16 h à 18 h.

Les TCA frappent davantage les femmes que les hommes, soit huit à neuf filles malades pour un garçon. En Ile-de-France, on dénombre 180 000 cas d'anorexie mentale chez les femmes et 19 000 cas chez les hommes. Les formes intermédiaires affectent 600 000 personnes, selon les chiffres rendus publics le réseau TCA d'Ile-de-France.
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Prostitution, droit et santé publique : les paradoxes de la bienveillance

L'Assemblée Nationale a voté en décembre dernier une résolution réaffirmant officiellement la position abolitionniste de la France en matière de prostitution. Cette décision ouvre la voie à une proposition de loi en faveur de la pénalisation des clients. Les abolitionnistes et leurs détracteurs se sont opposés sur de nombreux sujets imbriquant les notions de violences faites aux femmes, d'inégalité de genre, de traite des êtres humains en passant par le caractère professionnel ou pas de ces pratiques.

Des alliances aussi surprenantes qu'inattendues entre féministes de tous bords et puritains ont même émergé. Ainsi, les députés entendent créer les conditions d'une disparition de la prostitution sans pour autant l'interdire, en s'appuyant sur l'éducation et la répression des citoyens. Leur motivation principale reste identique à celle avancée pour justifier le délit de racolage passif réintroduit dans la loi pour la sécurité intérieure du 18 mars 2003. Elle renvoie à l'obligation qu'ils s'imposent de protéger l'intégrité physique et psychologique de personnes qu'ils considèrent par ailleurs comme des victimes.

Pourtant, des données rationnelles objectivent les effets contre productifs avérés de ce délit sur les enjeux de santé publique et de respect des droits, dans un contexte de crise économique majeure où les prestations sexuelles tarifées restent une source de revenus ultime pour de nombreux précaires dont certains vivent dans des logiques de survie.

En effet, depuis plus de dix ans, Médecins du Monde (MDM) développe des actions auprès des personnes se prostituant en leur facilitant l'accès aux droits et aux soins et en témoignant de leur condition d'existence. Au contact de la réalité du terrain, les équipes constatent la diversité des situations et des profils des acteurs concernés. Il existe de fait un gradient selon les individus en matière de choix, de dépendance, de vulnérabilité et d'exploitation, avec des hommes, des femmes et des transgenres allant des étrangers sans papiers ou en situation régulière aux personnes de nationalité française.

En conséquence, on ne peut affirmer l'existence d'un groupe social uniforme soumis à des contraintes similaires. Dans une enquête menée par les équipes de MDM à Nantes en 2010, on relève que le délit de racolage passif a créé une confusion sur le caractère illégal de la prostitution. Les personnes se prostituant sont reléguées vers des lieux plus isolés, donc plus dangereux, moins aptes à négocier des pratiques sexuelles protégées et sont de fait plus exposées aux violences. En les rendant moins visibles, ces lois les éloignent des structures de soins et de prévention, tout en alimentant le mépris et l'agressivité à leur égard.

Ces conditions renforcent le sentiment d'impunité des agresseurs et le harcèlement des forces de l'ordre. Plus récemment, les résultats préliminaires d'une enquête portant sur les violences subies par les personnes se prostituant suivies dans le programme de MDM à Paris en 2011, mettent en évidence les effets délétères des arrestations et gardes à vue pour racolage. Ainsi, nombres d'entre elles sont arrêtées à plusieurs reprises au motif de racolage, alors même que leur activité au moment des faits n'a rien à voir avec un acte délictueux.

Cette pression permanente couplée à des conditions de garde à vue souvent difficiles (absence de nourriture, humiliation lors des fouilles où les personnes peuvent rester plusieurs heures déshabillées, obligation de signer des procès verbaux ne correspondant pas à la réalité) a un impact psychologique majeur sur des personnes qui se sentent harcelées. Dans ces conditions, celles-ci adoptent des stratégies de contournement afin de ne pas être repérées. Elles changent fréquemment de lieu d'action, réduisent le temps de négociation avec les clients, et ont plus de difficultés à imposer des pratiques à moindres risques pour elles. Le rapport de confiance avec les forces de l'ordre s'est également dégradé. Ces dernières sont dès lors moins consultées en cas d'agression, ce qui constitue dans les faits un frein pour l'accès aux droits.

En réalité, ces lois présentées comme protectrices à l'époque et aujourd'hui, révèlent une tension entre des enjeux sécuritaire et de santé publique. Face à la répression, les personnes basculent plus facilement dans la clandestinité. De fait, en s'attachant moins à répondre de manière pragmatique à l'exigence principale de protection des personnes qu'à appliquer des politiques répressives issues d'idéologies souvent paternalistes, parfois caricaturales voire moralisantes, notre société impose des dispositifs juridiques dont les effets s'avèrent contre productifs.

Pour protéger les personnes se prostituant de diverses violences, il faut certes combattre la traite des êtres humains et toutes formes d'exploitation en appliquant un arsenal juridique déjà opérant. Mais il faut aussi favoriser leur accès aux droits fondamentaux et à la protection sociale tout en soutenant fermement les dispositifs d'accès aux soins (suppression du paiement de l'Aide Médicale d'Etat, élévation du seuil d'attribution de la Couverture Médicale Universelle...). Il faut enfin et surtout abroger le délit de racolage passif et ne pas s'engager vers une éventuelle criminalisation des clients.

Dr Jean-François Corty, directeur des Missions France, Médecins du Monde ;
Dr Paul Bolo, responsable de la mission auprès des personnes se prostituant à Nantes et référent réduction des risques sur les missions nationales, Médecins du Monde ;
Irène Aboudaram, coordinatrice de la mission auprès des personnes se prostituant à Nantes, Médecins du Monde.
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Des moisissures invisibles dans les maisons

Par Yves Miserey - le 22/03/2012
Une bonne partie des habitations ne présentant aucune tache de moisissures sur les murs sont quand même contaminées.

Il y a de plus en plus de moisissures dans les habitations. D'abord, parce que depuis les chocs pétroliers de 1973 et 1979, les logements sont de moins en moins chauffés. Ensuite, parce que l'isolation des bâtiments pour limiter les déperditions de chauffage et réduire les émissions de gaz à effet de serre entraîne un renouvellement insuffisant de l'air intérieur et favorise la condensation à la surface des murs et des sols, comme le soulignent deux études récentes publiées dans la Revue française d'Allergologie. Selon une enquête réalisée par l'Insee en 2006 auprès de 40.000 ménages, la présence de taches de moisissures est rapportée par 23 % des occupants.

Dans le même temps, nos capacités de détection ont beaucoup évolué. Auparavant, seules les salissures et l'odeur de moisi signalaient leur présence. Mais il existe maintenant plusieurs méthodes pour détecter les moisissures, comme les prélèvements d'air par impaction ou les mesures de poussières. Du coup, on a découvert qu'elles sont présentes dans un bien plus grand nombre d'habitations que ce que l'on croyait. Une étude conduite à Clermont-Ferrand et dans les villages environnants a montré que 59 % des habitations sont contaminées, alors que l'on ne voyait des traces aux murs que dans 19 % d'entre elles (Science of the Total Environment, mai 2011). Le constat visuel se révèle donc largement trompeur.

Pas toutes pathogènes

Personne n'est à l'abri. L'équipe pilotée par Stéphane Moularat, de l'université Paris Est, a constaté que 68 % des habitations rurales étudiées autour de la capitale auvergnate sont contaminées contre 49 % en zone urbaine. Cela pourrait s'expliquer notamment par leur plus grande surface et l'ancienneté des constructions. Les moisissures sont associées à l'humidité, que cette dernière soit due à des fuites d'eau, à l'habitude de faire sécher le linge dans une des pièces ou au manque d'aération.

Les évolutions technologiques sont néanmoins limitées car la détection ne va pas forcément de pair avec l'identification. C'est un problème car, parmi les milliers d'espèces de champignons filamenteux ou de levures classées comme moisissures, une partie d'entre elles seulement sont potentiellement pathogènes. Le Conseil d'hygiène publique en a dressé la liste dans un rapport récent.

Tous ces micro-organismes peuvent induire des maladies respiratoires comme l'asthme ou des allergies mais aussi des sinusites et des symptômes respiratoires (ORL et bronchiques). Mais il reste beaucoup d'incertitudes sur les concentrations à partir desquelles ils peuvent être dangereux pour la santé et il est difficile d'établir un lien direct entre pathologies et moisissures, compte tenu de la présence d'autres facteurs (polluants chimiques notamment) pouvant être à l'origine de ces maladies. Dans le doute, mieux vaut aérer son logement et éviter toute source importante d'humidité.
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Enquête sur la maltraitance des malades mentaux


Par Aude Rambaud - le 22/03/2012
Rarement dangereux, ces patients sont en revanche souvent victimes de violences.

Faut-il se méfier des malades mentaux? Sont-ils réellement plus dangereux que les autres? Une étude parue dans The Lancet le 28 février dernier fait voler ce cliché en éclats. Elle montre au contraire que ces personnes sont très souvent victimes de maltraitances physiques et sexuelles de la part de leur entourage.

Financée par l'OMS, cette étude était destinée à faire un état des lieux de la violence à l'encontre des personnes handicapées. Pour cela, les auteurs ont passé en revue tous les travaux parus sur le sujet au cours des vingt dernières années et sélectionné 26 études incluant plus de 21.500 handicapés. Les résultats montrent que les malades mentaux paient de très loin le plus lourd tribut: 24% d'entre eux déclarent avoir été victimes de violences physiques ou sexuelles au cours des douze derniers mois, contre 6% en cas de retard mental et 3% pour l'ensemble des handicaps. Dans la catégorie des malades mentaux, les auteurs incluent les schizophrènes, les sujets atteints de dépression majeure, les psychotiques ou encore les déments suivis en ambulatoire ou hospitalisés.

Ce taux de 24% paraît effrayant mais n'étonne ni les auteurs de l'étude ni les professionnels du secteur. «Il est même très probablement sous-estimé, selon le Pr Mark Bellis, coauteur des travaux, car nous avons répertorié les violences subies au cours des douze derniers mois et non au cours de toute une vie. En outre, la peur de représailles ou de ne pas être pris au sérieux réduit le nombre de déclarations.»

«Ce chiffre n'est pas surprenant par rapport à ce que l'on constate en clinique, renchérit le Dr Elena Turpin, psychiatre à l'hôpital Saint-Antoine. Nous nous penchons sur la maltraitance auprès de nos patients car elle peut dégrader leur état de santé, entraîner un traumatisme, provoquer une décompensation. Les patients ne relatent pas spontanément un événement de ce type mais en font part le plus souvent lorsqu'on leur pose simplement la question.»

«Sensibilité réduite au stress»

Même écho du côté de l'association Alma France (Allô Maltraitance des personnes âgées et/ou des personnes handicapées). «Ces données sont malheureusement tout à fait vraisemblables dans la mesure où la cause de la maltraitance est le fait d'être sous l'emprise d'autrui, insiste Robert Moulias, président de l'association. Mais elles sont certainement sous-estimées, car les auteurs se sont limités aux violences physiques et sexuelles et ont ignoré les violences psychologiques, les discriminations, les abus financiers, si fréquents y compris à l'intérieur des familles, et les négligences.»

La maltraitance peut prendre toutes les formes et venir de partout, rappelle Robert Moulias. Mais plus la maladie est sévère, plus le patient est isolé et dépendant, plus le risque est grand, selon lui. «Les malades mentaux ont une sensibilité réduite au stress et des capacités de défense moindres, clarifie le Pr Charles Peretti, chef du service de psychiatrie de Saint-Antoine. Il nous arrive de repérer des cas de violence, dans le service, mais l'entourage ou encore le médecin généraliste sont souvent en première ligne pour constater une maltraitance.»

Négligence de la part de l'entourage

Une commission d'enquête du Sénat indiquait en 2003 que la famille était le lieu du délit dans environ 70% des cas et les institutions 30%. Dans le cadre de cette étude, 37,8% des handicapés mentaux déclarent une violence issue de leur conjoint. «Il s'agit de la personne la plus exposée, la plus stressée, explique Elena Turpin. Lorsque nous prenons un malade en charge, nous rencontrons la famille pour connaître son ressenti sur l'état du malade, entendre sa plainte, l'informer sur la pathologie et l'aider à accompagner le sujet sans le brusquer.» Pour elle, la meilleure façon de prévenir la maltraitance est de bien suivre médicalement les patients et d'impliquer l'entourage. «Quand l'état de santé du patient s'améliore, il est plus apte à communiquer, fait plus attention à lui et devient moins vulnérable. À l'inverse, un patient isolé dont la famille ne cherche pas à comprendre la maladie est plus à risque de maltraitance.»

À l'association Alma France, les plaintes émanent toujours de témoins. «Souvent, les malades s'expriment difficilement et, surtout, ils ne savent pas vers qui se tourner», explique Robert Moulias. Les plaintes relatives à des personnes handicapées concernent très majoritairement des maladies mentales. La plupart font état de négligence de la part de l'entourage et l'association tente alors une médiation pour rappeler les besoins du malade, la façon d'y répondre, son besoin d'humanité. «Parfois, la charge est trop lourde pour les familles, elles sont épuisées et dérapent. Mais, dans les cas de malveillance réelle, nous informons les autorités car cela relève de la justice. Je dois rappeler à ce titre que l'abus de faiblesse est une circonstance aggravante et encore plus si l'auteur des faits est responsable du malade», conclut-il.
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Santé : Nora Berra présente son “plan greffe”

La secrétaire d'état à la Santé, Nora Berra, a annoncé vendredi la mise en place d'un “Plan greffe” avec pour objectif d'augmenter le nombre de dons de reins et de moelle osseuse en France.

A l'occasion de la 7ème semaine nationale pour le don de moelle osseuse, la secrétaire d'état à la Santé, Nora Berra, a déclaré la mise en place d'un "Plan greffe 2012-2016" dont l'enjeu est d'augmenter le nombre de greffes en France. Le nouveau dispositif envisagé est issu de la collaboration de la Direction générale de la santé (DGS), la Direction générale de l'offre de soins (DGOS) et de l'Agence de la biomédecine. L'ambition affichée est de « favoriser le développement des greffes de rein à partir de donneurs vivants » , mais aussi d'« d'augmenter le nombre et la qualité » des dons de moelle osseuse réalisés à partir de donneurs vivants pour soigner généralement des leucémies et lymphomes.




Augmenter le nombre de greffes avec des donneurs décédés

Une autre volonté mise en avant par la secrétaire d'état à la Santé est d'« augmenter le nombre de greffes d'organes et de tissus à partir de donneurs décédés » avec comme objectif global de « passer de 4 708 greffes en 2010 (dont 300 à partir de donneurs vivants) à 5 700 en 2015 ».

Une autre mesure prônée par Nora Berra est d'« améliorer le suivi à long terme des patients greffés et des donneurs vivants ». C'est l'Agence de la biomédecine, l'organisme public chargé d'organiser et d'encadrer les prélèvements et les dons de greffons, qui sera par ailleurs chargée de la mise en œuvre de ce plan.

Dans ce contexte, « il est prévu de renforcer les moyens » de cette agence, indique-t-on au ministère, sans préciser la nature des moyens supplémentaires alloués pour atteindre les objectifs fixés dans ce plan. La directrice de l'association des malades du rein Renaloo, Yvanie Caillé, critique la « discrétion » qui entoure le lancement de ce plan, en chantier depuis 2010, et l'absence « d'information sur les moyens dédiés ».
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Autoroutes : Les bandes d’alerte sonore obligatoires

A partir du 1er juillet l’installation de bandes d’alerte sonore sur les autoroutes sera obligatoire. Ces dernières sont destinées à lutter contre la somnolence au volant.

Les sociétés d’autoroute et l’Etat vont devoir installer sur toutes les autoroutes françaises des bandes d’alerte sonore sur toutes les nouvelles voies, selon un arrêté publié vendredi au journal officiel. Il s’agit d’une mesure qui avait été adoptée en 2011 lors d’un comité interministériel sur la sécurité routière.

Ces bandes sont posées sur la droite de la chaussée des autoroutes. Elles provoquent des vibrations lorsque l’on dessus et préviennent ainsi la somnolence des conducteurs qui peuvent se déporter sur la droite. Elles les réveillent en quelque sorte et évitent que le véhicule quitte la route.




Un quart des tués

Cette mesure, qui ne concerne les autoroutes déjà construites uniquement lorsqu’il y a d’importants travaux de réfection de la chaussée, devrait avoir un impact significatif sur la réduction des accidents mortels dûs à la somnolence des conducteurs. Selon une étude de l’association 40 millions d’automobilistes, citée par l’AFP, près de 25% des tués sur les routes françaises en 2011 l’ont été dans des lignes droites et la moitié de ces personnes étaient en état de somnolence.

Cette enquête concerne toutefois tous les types de voies sauf les autoroutes. Sur une année, près de 30% des conducteurs déclarent avoir été victimes d’une somnolence importante qui les a obligé à s’arrêter, selon la Prévention routière. La somnolence touche tout le monde avec deux moment clé : la nuit et après le repas de midi.
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La tuberculose tue une personne toutes les 20 secondes

Le Point.fr - Publié le 23/03/2012 à 10:11 - Modifié le 23/03/2012 à 14:21

Cette maladie fait des ravages, essentiellement dans les pays pauvres et parmi les populations les plus défavorisées.

En plus des adultes, la tuberculose est responsable du décès de deux cents enfants par jour dans le monde, des chiffres dramatiques trop souvent ignorés. Or, elle frappe parfois à côté de nous. Elle réapparaît d'ailleurs depuis quelques années en Europe et en France, qui plus est sous des formes particulièrement virulentes et résistantes aux traitements. À l'occasion de la journée qui lui est consacrée vendredi, partout dans le monde, les associations Aides, Avocats pour la santé dans le monde et One rappellent quelques chiffres qui indiquent bien l'ampleur du problème : une personne sur trois est infectée dans le monde par des germes de tuberculose dormants ; environ 10 % des individus contaminés vont développer la maladie ; le risque de développer la maladie est multiplié par 50 chez les porteurs du virus du sida. On compte actuellement neuf millions de nouveaux malades chaque année, dont 450 000 cas de tuberculose résistante aux traitements. Enfin, toute personne atteinte peut infecter entre dix et quinze autres personnes en un an.

La tuberculose est une infection qui se transmet par voie aérienne. Elle touche principalement le poumon, mais aussi, de façon moins fréquente, d'autres organes. La très grande majorité des malades se trouvent dans les pays en voie de développement. La pandémie liée au VIH a également entraîné une forte progression de la tuberculose. Et même s'il existe des traitements, ils sont de moins en moins efficaces en raison des résistances des bacilles en cause. C'est pourquoi la tuberculose résistante a entraîné le décès de 1,5 million de personnes au cours des dix dernières années.

Populations pauvres


La résistance est aussi le sujet qui mobilise cette année l'ONG Médecins sans frontières. Qu'elles travaillent en France ou dans les pays en développement, ses équipes s'inquiètent particulièrement de l'émergence de souches multi-résistantes aux médicaments. "La tuberculose est une maladie négligée, parce qu'elle touche des populations pauvres, souvent non solvables, regrette le docteur Francis Varaine, spécialiste de la tuberculose à MSF. Les années passent et les outils, les moyens et les obstacles restent désespérément les mêmes. Rien, ou presque, n'a changé dans la façon de prendre en charge les patients depuis plus d'un demi-siècle. Certains médicaments que nous utilisons datent des années 1940. Ils provoquent de tels effets secondaires que le quart des patients préfèrent arrêter leur traitement, parce qu'ils ne le supportent pas."

L'Organisation mondiale de la santé, quant à elle, estime que la tuberculose est souvent sous-diagnostiquée chez les enfants, de la naissance à 15 ans, en raison de leur manque d'accès aux services de santé, ou parce que les agents de santé qui s'en occupent sont mal préparés. Avec une meilleure formation et une harmonisation des programmes de soins aux enfants, les épisodes graves et les décès pourraient être évités chez des milliers de petits chaque année. Néanmoins, "les taux de mortalité ont baissé de 40 % dans l'ensemble par rapport à 1990, et des millions de vies ont été sauvées", selon le docteur Mario Raviglione, directeur du département OMS Halte à la tuberculose. Mais ce n'est pas suffisant." Il en coûterait moins de 3 cents de dollars par jour pour éviter que les enfants ne tombent malades et 50 cents de dollars par jour pour les guérir", ajoute le docteur Lucica Ditiu, secrétaire exécutif du partenariat Halte à la tuberculose.
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Infarctus : Causes et conséquences des crises cardiaques

Des chercheurs américains ont récemment découvert que des cellules se déformaient avant un infarctus. D'après eux, un test sanguin permettrait ainsi de prédire l'imminence d'une attaque cardiaque. Zoom sur les causes qui conduisent à un infarctus et sur les conséquences que ce dernier a sur l'organisme.

Environ 100.000 personnes décèdent chaque année en France suite à un infarctus du myocarde. Plusieurs facteurs peuvent être à l'origine des attaques cardiaques comme la sédentarité, l'obésité, le diabète, l'hypertension artérielle, l'hérédité et le tabagisme.

Le gouvernement a ainsi décidé de dispenser quelques conseils pour prévenir des infarctus. Sur un site spécialement dédié aux crises cardiaques, il préconise ainsi, entre autres, de consulter régulièrement son médecin, de surveiller son alimentation, de s'assurer que sa tension artérielle est normale (soit inférieure à 14/9), mais aussi de surveiller sa glycémie et de pratiquer une activité physique régulière pour entretenir son coeur.




Le site du gouvernement met également en garde contre le tabagisme. Il explique en effet que le monoxyde de carbone présent dans la cigarette est l'origine de la détérioration des parois internes des artères et qu'il favorise la formation de plaques d'athérome qui les encrassent finissent par les obstruer. Il souligne par ailleurs que le tabagisme multiplie par cinq le risque d'infarctus du myocarde chez les hommes entre 30 et 49 ans.

Une maladie récidivante

Près de 15% des patients pris en charge pour un infarctus du myocarde décèdent dans l'année qui suit leur premier accident. Face à ce constat alarmant, les personnes ayant déjà été victimes d'une crise cardiaque sont contraintes de redoubler de vigilance et de revoir leurs comportements. Le site du gouvernement indique ainsi que « le sevrage tabagique est essentiel dans la prévention de la récidive », mais aussi qu'une alimentation équilibrée en qualité et quantité et des repas pris dans le calme sont primordiaux. Pratiquer la marche, la course ou tout autre sport dit d'endurance est par ailleurs indispensable.
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Une colle cellulaire universelle en guise de pansement

En inversant les charges des composants des membranes plasmiques, des chercheurs ont mis au point une colle cellulaire universelle réversible, qui pourrait servir de pansement et même délivrer des médicaments dans certains tissus pour lesquels elle a une affinité particulière. Explications.

Dans les cellules eucaryotes, les membranes plasmiques sont très majoritairement constituées de molécules appelées phospholipides. Elles permettent à la cellule de délimiter le cytoplasme du compartiment extracellulaire, et donc de conserver son uniformité. Parmi ces phospholipides, l’un des plus courants est la phosphatidylcholine (PC).

Des chercheurs de l’université de Colombie britannique (Vancouver, Canada) ont eu l’idée de placer sur un long polymère des molécules de choline phosphate (CP), dotées d’une polarisation inverse à celle de la PC. Leurs résultats, publiés dans Nature Materials, montrent que ces CP peuvent se lier par des forces électrostatiques aux PC d’une grande variété de membranes cellulaires, y compris à celles d’organites cellulaires. La force de la liaison dépend de la densité de groupements CP.

Donald Brooks, l’auteur qui a supervisé l’étude, prétend que l’on pourrait utiliser cette technologie comme pansement. Il affirme qu’un film recouvert de molécules avec des motifs CP pourrait arrêter une hémorragie en agglomérant les cellules sanguines en contact avec le pansement.
Grâce à cette colle, les cellules adhèrent entre elles. On pourrait ainsi refermer des plaies, comme l'espèrent les chercheurs.

Une colle cellulaire parfaitement réversible

Autre application possible en médecine selon les chercheurs : délivrer des médicaments dans des organes spécifiques. Ils ont remarqué à l’aide d’un marquage fluorescent que les cellules dotées d’une membrane riche en PC, comme on en retrouve dans certains tissus, internalisent rapidement les polymères bien fournis en CP. Ainsi, un principe actif pourrait être distribué directement au niveau cellulaire, évitant ainsi les dommages de certaines thérapies non ciblées qui n’épargnent pas des cellules saines.

Cette colle n’a en plus rien d’irréversible, puisqu’en ajoutant au polymère des PC, l’interaction électrostatique diminue jusqu’à ce que les deux composés se séparent.

Cette étude reste encore très théorique et toutes ses éventuelles applications n'ont pas encore été testées. Cependant, elle ouvre des perspectives nouvelles dans un domaine encore assez confidentiel.
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Les médecins, ces nouveaux « accros » aux smartphones

En quelques années, les smartphones sont devenus un des éléments quasi incontournables de la panoplie du médecin. Ainsi, d’après une enquête que vient de réaliser l'Observatoire des usages numériques en santé, 94% des praticiens possédant un de ces téléphones portables de nouvelle génération s’en servent à des fins professionnelles.

Entrés dans notre quotidien, il y a peu, les smartphones, que d’aucun qualifierait de gadget, ont vu leur public grandir de façon exponentielle. S’ils sont propices aux loisirs, c’est dans la vie professionnelle de chacun que ces véritables ordinateurs portables sont devenus indispensables. Les médecins ne font pas exception à la règle.
D’après le premier baromètre sur « les médecins utilisateurs d'un Smartphone » réalisé par Vidal, en association avec le Conseil national de l'ordre des médecins (CNOM), qui a interrogé par mail 2 131 médecins possédant un smartphone, 53 % des médecins français ont déjà téléchargé une application médicale dans leur téléphone professionnel. Plus d’un tiers d’entre elles sont des bases de données médicamenteuses, et notamment celles axées sur les interactions entre médicaments.
Par ailleurs, une enquête menée par l'Observatoire des usages numériques en santé stipule que 94% de médecins possesseurs d’un smartphone l'utilisent dans le cadre de l’activité professionnelle, que ce soit comme agenda, dans 81% des cas, ou comme dictaphone dans 37% des cas. Cette dernière utilisation s’expliquerait par la diminution du nombre de secrétaires employées par les cabinets médicaux.
Autres intérêts de ces portables, l’accès à Internet qui permet aux praticiens de surfer sur la toile à n’importe quel moment de la journée, que ce soit pour consulter les pages des sites institutionnels (51%), pour vérifier certaines informations dans les bases de données médicamenteuses (45%) ou tout simplement pour s’informer sur les dernières actualités médicales (42 %).
dernier enseignement, l’âge, le sexe, la spécialité, le lieu d’exercice ne change rien à l’affaire, comme tout le monde les médecins sont devenus « accros » à leur Smartphone.
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Re: Entraînement culture générale 2012

Message par stepit42 »

et voila que je suis tombé sur l'accès aux soins :!: :!: :!:
Memo
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Re: Entraînement culture générale 2012

Message par Memo »

J'avais pas vu ton message Breakmedown
C'est un sujet d'oral ou d'écrit????
"des mots et des maux"
Je crois que j'aurais fais deux parties:

I_Point de vue du patient
1/Des maux:
_Maladie chronique: le patient est actif =>éducation thérapeutique + observance du traitement. Maladie de tous les jours.
_Maladie aigue: le patient est plus passif=>Juste observance. Parenthèse dans la vie du patient.
2/Des mots:
_Comment le malade exprime sa maladie: parole, language des signes....
_Expression de la douleur différente selon les individus: certain hurle pour une piqûre alors que d'autre ne diront même pas quand ils ont mal...

II_Point de vue du soignant
1/Des maux:
_Maladie chronique: Suivi personnalisé. Prise en charge multidisciplinaire dans les cas de Cancer, Sida...
_Maladie aigue: Séjour courte durée à l'hopital, prise en charge par médecin de ville ou médecin de garde
2/Des mots:
_S'adapter aux moyens de communication du patient
_Relation de confiance: écouter le patient parler, le pousser à s'exprimer sur la maladie et les conséquences de tous les jours pour adapter au mieux son traitement

Stepit!!
C'est sérieux, t'es vraiment tombé dessus??? :choque:
Si c'est le cas ça c'est bien passé alors.... :D
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ladypix
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Re: Méthodologie culture générale

Message par ladypix »

Naïs22 a écrit :Le texte est toujours suivi de 3 questions. Généralement les 2 premières questions portent sur le texte mais pour la 3ème question on doit se décrocher du texte et beaucoup plus argumenter. Et c'est dans cette 3ème question qu'il faut faire un plan. D'ailleurs c'est souvent demandé "réponse structurée". Évidemment il y a toujours des exceptions ... Mais quoiqu'il en soit si c'est marqué "réponse structurée" il faut faire un plan. Après ce qui peut t'indiquer qu'il faut faire un plan c'est le nombre de lignes ... Si on te demander 30/40 lignes, là le plan est recommandé.
Voilà, j'espère avoir répondu correctement ... :)

Merci beaucoup pour ta réponse , ça me soulage car c'est la grande panique.
Arrive t-il que dans les premières questions on nous demande de faire un plan? ( juste a titre indicatif) et en faire un si ce n'est pas nécessaire ça nous penalise je suppose :/ ?

Par contre quand on nous pose le genre de question " d'après vous quels sont les solution a ce problème, que pourrait on faire?" faut t il essentiellement s'appuyer sur le texte ou apporté ses connaissances? J'ai compris que pour le "disserte" avec plan c'était nos connaissances plus les exemples du texte .

En tout cas merci a tous, c'est réconfortant d'avoir vos réponses.

ps: c'est si compliquer que ça cette épreuve ??
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Nanouu
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Re: Méthodologie culture générale

Message par Nanouu »

Siaana a écrit :Ce n'est pas exactement la même chose. Mes cours de prépa sont loin xD Mais ce que j'avais retenu, c'est : dans la synthèse, tu reprends les idées phares du texte, tu dégages la problématique, tandis que dans le résumé en gros tu fais le même texte mais en réduit, genre en reprenant les idées et enlevant les exemples (en essayant de pas trop paraphraser bien sûr). Tu vois ce que je veux dire ? :?
Merci beaucoup Siaana de ta réponse, je comprends mieux ! :D
C'est quand un Homme ne sourit plus qu'il est le plus gravement malade ...

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Re: Actualités 2012

Message par Memo »

En Inde, les cas d'insensibilité aux différents médicaments se multiplient


En décembre 2011, des médecins de l'hôpital Hinduja, à Bombay, ont annoncé la découverte de 12 cas de tuberculose "totalement résistants aux médicaments". Le ministère indien de la santé a toutefois contesté la validité de ces résultats, indiquant que les souches infectieuses devaient être testées dans plusieurs laboratoires avant de définir leur degré de résistance. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) n'a toujours pas reconnu la catégorie de cas de tuberculose "totalement résistants".

Avec 1,8 million de nouvelles contaminations par an en Inde, cette découverte pourrait avoir des conséquences dramatiques. Médecins sans frontières a recensé dans le pays près de 99 000 nouveaux cas par an de tuberculose multirésistante, dont 1 % à 2 % seulement correctement traités. "Cette résistance est favorisée par les traitements interrompus prématurément ou mal adaptés, et par les contaminations croisées entre patients dans les centres de soins bondés", explique John Bobby, directeur local de l'association Avocats pour la santé dans le monde.

Les patients interrompent parfois la prise de médicaments faute de suivi, ou par manque de moyens. Mais ils ne sont pas seuls responsables. Seul le diagnostic personnalisé permet de guérir la tuberculose. Or, celui-ci est coûteux et difficile à mettre en oeuvre dans un pays où les médecins ne sont pas assez nombreux et souvent mal formés. Chez chaque patient, il faut non seulement déceler la maladie mais également vérifier sa résistance. Or, le test complet le moins cher revient à 10 dollars (7,5 euros), un coût encore prohibitif pour une grande majorité de patients.

Il y a pourtant urgence à combattre cette maladie qui tue chaque jour environ 800 Indiens vivant en grande majorité dans des zones densément peuplées, comme les bidonvilles. Dans le pays, le nombre de morts a chuté d'environ 60 % entre 1990 et 2010, mais le nombre d'infections n'a pas baissé au même rythme.

Vendredi 16 mars, le gouvernement indien a doublé le budget consacré à la lutte contre la tuberculose, le portant à 150 millions de dollars. "Il faut mener la lutte autour de quatre axes principaux, estime M. Bobby : améliorer la qualité des diagnostics, déceler la maladie plus tôt, standardiser les traitements et mettre en place un suivi des soins."

Julien Bouissou
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