Culture Générale
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Re: Actualités 2012
Cancer de la prostate : La majorité des hommes se font dépister
La plupart des hommes de plus d'âge mûr veillent au bon état de leur prostate. C'est le constat d'une étude de l'Assurance maladie publiée jeudi, au lendemain de la remise en cause de l'efficacité du dépistage systématique du cancer de la prostate par la Haute Autorité de Santé (HAS).
Selon cette enquête, « plus de 75% des hommes de plus de 55 ans ont eu au moins un dosage PSA (Prostate Specific Antigen ou Antigène prostatique spécifique, une substance générée par la glande et mesurable dans le sang, NDLR) sur une période de trois ans (2008-2010) à titre de dépistage ».
« En France la pratique du dépistage de masse existe dans les faits, même si elle n'est pas recommandée, y compris après 75 ans, âge où le rapport bénéfice/risque est défavorable », souligne encore l'assurance maladie. Après 75 ans, le taux de dépistage est de 76% avec chaque année 890.000 hommes de cette classe d'âge qui s'y soumettent. Le taux de dépistage pour ce type de cancer à évolution « souvent très lente », est supérieur au taux observé pour le cancer du sein et pour le cancer colo-rectal, note l'Assurance maladie.
Hausse du nombre de cas
A la suite des tests PSA, chaque année 91.600 hommes pratiquent des biopsies, « examen qui n'est pas sans conséquence » avec des risques d'hémorragie, d'infection ou de rétention urinaire pour confirmer le diagnostic, puis 62.500 suivent un traitement par chirurgie, chimiothérapie et/ou radiothérapie, indique encore l'étude. La fréquence du cancer de la prostate s'élève fortement avec l'âge : on estime que 70% des hommes de plus de 80 ans ont un cancer de la prostate, mais généralement sans signe clinique particulier.
La hausse rapide du nombre de nouveaux cas (71.500 en 2010 contre 20.000 cas par an au début des années 90) « n'est pas la marque d'une progression de la maladie mais s'explique par la généralisation du dépistage PSA » souligne l'Assurance maladie. Et malgré l'augmentation rapide du nombre de nouveaux cas depuis 20 ans, la mortalité de ce cancer est « stable voire même diminue légèrement depuis une dizaine d'années ».
En France, le cancer de la prostate qui se situe au 1er rang des cancers par fréquence dans la population générale (71.000 cas estimés en 2011), représente la 4e cause de décès par tumeurs malignes (8.700 décès).
France soir
La plupart des hommes de plus d'âge mûr veillent au bon état de leur prostate. C'est le constat d'une étude de l'Assurance maladie publiée jeudi, au lendemain de la remise en cause de l'efficacité du dépistage systématique du cancer de la prostate par la Haute Autorité de Santé (HAS).
Selon cette enquête, « plus de 75% des hommes de plus de 55 ans ont eu au moins un dosage PSA (Prostate Specific Antigen ou Antigène prostatique spécifique, une substance générée par la glande et mesurable dans le sang, NDLR) sur une période de trois ans (2008-2010) à titre de dépistage ».
« En France la pratique du dépistage de masse existe dans les faits, même si elle n'est pas recommandée, y compris après 75 ans, âge où le rapport bénéfice/risque est défavorable », souligne encore l'assurance maladie. Après 75 ans, le taux de dépistage est de 76% avec chaque année 890.000 hommes de cette classe d'âge qui s'y soumettent. Le taux de dépistage pour ce type de cancer à évolution « souvent très lente », est supérieur au taux observé pour le cancer du sein et pour le cancer colo-rectal, note l'Assurance maladie.
Hausse du nombre de cas
A la suite des tests PSA, chaque année 91.600 hommes pratiquent des biopsies, « examen qui n'est pas sans conséquence » avec des risques d'hémorragie, d'infection ou de rétention urinaire pour confirmer le diagnostic, puis 62.500 suivent un traitement par chirurgie, chimiothérapie et/ou radiothérapie, indique encore l'étude. La fréquence du cancer de la prostate s'élève fortement avec l'âge : on estime que 70% des hommes de plus de 80 ans ont un cancer de la prostate, mais généralement sans signe clinique particulier.
La hausse rapide du nombre de nouveaux cas (71.500 en 2010 contre 20.000 cas par an au début des années 90) « n'est pas la marque d'une progression de la maladie mais s'explique par la généralisation du dépistage PSA » souligne l'Assurance maladie. Et malgré l'augmentation rapide du nombre de nouveaux cas depuis 20 ans, la mortalité de ce cancer est « stable voire même diminue légèrement depuis une dizaine d'années ».
En France, le cancer de la prostate qui se situe au 1er rang des cancers par fréquence dans la population générale (71.000 cas estimés en 2011), représente la 4e cause de décès par tumeurs malignes (8.700 décès).
France soir
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ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Actualités 2012
Un élève de 3e sur trois a été ivre au moins une fois
Par le figaro.fr - le 04/04/2012
Bien avant la cigarette et les joints, l'alcool est la «drogue» la plus répandue chez les préadolescents.
Les chiffres sont stables, mais ils sont quand même élevés. Selon l'Observatoire français des drogues et toxicomanies (OFDT), 34% des élèves de 3e déclarent avoir fait l'expérience au moins une fois de l'ivresse. En 4e, ils sont 17,2% et en 6e, 6,8%.
Ces données proviennent du volet français d'une vaste enquête internationale réalisée en 2010 auprès de 11.638 élèves français âgés de 11 à 15 ans, issus de 347 établissements.
La part des adolescents ayant consommé de l'alcool est relativement stable, voire en légère baisse par rapport à une précédente étude du même genre réalisée en 2006. Mais le nombre de collégiens qui disent avoir fait l'expérience au moins une fois de l'alcool reste particulièrement élevé même pour les classes les plus jeunes, souligne l'OFDT dans une communication faite au colloque «Drogues, alcool, tabac chez les 11-14 ans: en savoir plus pour mieux prévenir», organisé par la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie.
À partir de la 6e, six élèves sur dix (59,3%) déclarent avoir bu au moins une fois, en 3e, ils sont plus de huit sur dix (83,2%) dans ce cas.
La cigarette ne recule pas
En comparaison, le tabac touche moins de jeunes et moins tôt que l'alcool: seuls 12,7% des élèves de 6e ont essayé la cigarette au moins une fois et ils sont un peu plus de la moitié en classe de 3e (51,8%) à en avoir fait l'expérience. Des chiffres à ne pas trop relativiser en raison de l'aspect fortement addictif du tabac.
Toutes classes confondues, un tiers des élèves du collège a essayé la cigarette, selon des chiffres fournis mercredi par le Dr Emmanuelle Godeau de l'Inserm et du rectorat de Toulouse qui a supervisé le volet français de cette étude internationale HBSC (Health Behaviour in School-Aged Children) réalisée sous l'égide de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Pour les élèves âgés de 15 ans, près d'un jeune sur cinq (18,9%) déclare fumer au moins une fois par jour, chiffre stable par rapport à l'étude de 2006. Les experts ne relèvent aucun impact des campagnes antitabac et de la hausse des prix des cigarettes mis à part un léger retard pour l'âge de la première cigarette. Ainsi, à 13 ans un quart des collégiens (25,4%) a essayé la cigarette en 2010 contre 29,3% en 2006.
(Avec AFP)
Le figaro
Par le figaro.fr - le 04/04/2012
Bien avant la cigarette et les joints, l'alcool est la «drogue» la plus répandue chez les préadolescents.
Les chiffres sont stables, mais ils sont quand même élevés. Selon l'Observatoire français des drogues et toxicomanies (OFDT), 34% des élèves de 3e déclarent avoir fait l'expérience au moins une fois de l'ivresse. En 4e, ils sont 17,2% et en 6e, 6,8%.
Ces données proviennent du volet français d'une vaste enquête internationale réalisée en 2010 auprès de 11.638 élèves français âgés de 11 à 15 ans, issus de 347 établissements.
La part des adolescents ayant consommé de l'alcool est relativement stable, voire en légère baisse par rapport à une précédente étude du même genre réalisée en 2006. Mais le nombre de collégiens qui disent avoir fait l'expérience au moins une fois de l'alcool reste particulièrement élevé même pour les classes les plus jeunes, souligne l'OFDT dans une communication faite au colloque «Drogues, alcool, tabac chez les 11-14 ans: en savoir plus pour mieux prévenir», organisé par la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie.
À partir de la 6e, six élèves sur dix (59,3%) déclarent avoir bu au moins une fois, en 3e, ils sont plus de huit sur dix (83,2%) dans ce cas.
La cigarette ne recule pas
En comparaison, le tabac touche moins de jeunes et moins tôt que l'alcool: seuls 12,7% des élèves de 6e ont essayé la cigarette au moins une fois et ils sont un peu plus de la moitié en classe de 3e (51,8%) à en avoir fait l'expérience. Des chiffres à ne pas trop relativiser en raison de l'aspect fortement addictif du tabac.
Toutes classes confondues, un tiers des élèves du collège a essayé la cigarette, selon des chiffres fournis mercredi par le Dr Emmanuelle Godeau de l'Inserm et du rectorat de Toulouse qui a supervisé le volet français de cette étude internationale HBSC (Health Behaviour in School-Aged Children) réalisée sous l'égide de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Pour les élèves âgés de 15 ans, près d'un jeune sur cinq (18,9%) déclare fumer au moins une fois par jour, chiffre stable par rapport à l'étude de 2006. Les experts ne relèvent aucun impact des campagnes antitabac et de la hausse des prix des cigarettes mis à part un léger retard pour l'âge de la première cigarette. Ainsi, à 13 ans un quart des collégiens (25,4%) a essayé la cigarette en 2010 contre 29,3% en 2006.
(Avec AFP)
Le figaro
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Re: Actualités 2012
Les parents pour l'entrée du numérique à l'école
À 44%, ils jugent essentiel l'apprentissage des nouvelles technologies à l'école. Et apprécient d'avoir accès au cahier de texte numérique de leurs enfants.
C'est un véritable plébiscite pour l'entrée massive du numérique à l'école. Les parents se montrent fervents, à en croire l'enquête présentée par Microsoft jeudi. À 44%, ils jugent l'apprentissage des nouvelles technologies nécessaire. Presque autant que la culture générale et bien plus que la transmission «des valeurs de la République, comme la laïcité». Et apprécient de se voir soudain réintégrer dans l'école, via le cahier de texte en ligne, le carnet de correspondance et les notes, qui arrivent parfois jusque sur leurs téléphones portables…
Les élèves, s'ils n'apprécient guère cette transparence qui déjoue leurs petites ruses de toujours, se montrent également enthousiastes. Ils assurent que ces nouveaux outils accroissent leur motivation et améliorent leurs résultats. Même les professeurs seraient chaque jour plus favorables à l'usage d'Internet, selon Christophe Desriac, directeur du département éducation de Microsoft.
Dans une école en crise, certains voient, dans le numérique, une possibilité de salut, «l'opportunité de rétablir un peu de personnalisation», explique Thierry de Vulpillières, de Microsoft. Le numérique offre aux professeurs volontaires une marge de créativité. Chacun peut inventer et personnaliser son programme. Et les innovations se multiplient. Sans révolutionner l'éducation. Mais en apportant leur lot de pédagogie nouvelle. Comme ce professeur d'histoire-géographie de Limoges qui, pour un cours sur l'espace urbain et rural, a fait réaliser une carte sonore à ses élèves, qui ont enregistré les bruits de la ville sur leur téléphone. Ou encore ces enseignants qui proposent des exercices de soutien à leurs élèves sur un espace personnalisé en ligne avec un horaire de chat pour poser des questions…
Ou ce maître de CP, Jean-Roch Masson, qui fait tweeter ses élèves: «On a l'impression que Twitter a été inventé pour eux. Des petits messages courts, c'est parfait. Et soudain, on sait que l'on écrit pour être lu. Pas juste comme un exercice.» Les élèves s'appliquent beaucoup plus, car, «si je fais des fautes, y' a personne qui va me “follower”», reconnaît l'un d'eux. Des professeurs s'emparent aussi de la vidéo. Inspirés par l'incroyable succès de la Khan Academy, une université entièrement gratuite et virtuelle, lancée par un banquier qui voulait expliquer la Bourse à ses neveux en vidéo. Depuis, des milliers de cours filmés sont disponibles. En France, des professeurs proposent désormais à leurs élèves de réaliser des petits films pour transmettre ce qu'ils ont appris. Un exercice de synthèse autant qu'une familiarisation avec les images.
Le numérique réintroduit un monde en couleur et en trois dimensions dans une école jusque-là en noir et blanc. Or, et c'est une théorie prisée des pays nordiques, certains élèves sont plus visuels, d'autres plus sensibles à l'audio ou aux volumes. Ils trouvent là des aides à la compréhension qui leur faisaient défaut dans le système traditionnel. Et si aucune évaluation n'a jamais pu prouver l'effet d'une technologie sur l'apprentissage, les élèves jurent qu'ils travaillent mieux.
Perçue comme indispensable, la grande révolution numérique est pourtant aux portes de l'école française. Dans les enquêtes de l'OCDE sur les usages du numérique dans l'éducation, la France se classe 24e sur 28 pays! «C'est l'un des grands secteurs qui n'a pas encore été impacté par ce changement majeur», constate Benoît Thieulin, un spécialiste du Net français. «L'Éducation nationale tout comme les éditeurs de manuels scolaires se protègent derrière de gros murs. Et c'est pourtant là que les effets seront les plus forts.» Notamment sur la façon d'enseigner.
De nombreux professeurs restent réticents. Et redoutent de devenir les coachs d'enfants instruits par le Net. La plupart combattent le copier-coller, perçu comme le degré zéro de la pensée, du savoir. Comme cet enseignant parisien qui a récemment inventé un poème dans une fiche Wikipédia totalement burlesque pour piéger ses élèves. En France, le numérique s'inscrit dans le débat féroce entre partisans du savoir et tenants des compétences. Tandis qu'au Danemark les élèves peuvent passer le bac avec leur ordinateur connecté. Et sont jugés sur la qualité de la recherche et leur esprit de synthèse.
Le figaro
À 44%, ils jugent essentiel l'apprentissage des nouvelles technologies à l'école. Et apprécient d'avoir accès au cahier de texte numérique de leurs enfants.
C'est un véritable plébiscite pour l'entrée massive du numérique à l'école. Les parents se montrent fervents, à en croire l'enquête présentée par Microsoft jeudi. À 44%, ils jugent l'apprentissage des nouvelles technologies nécessaire. Presque autant que la culture générale et bien plus que la transmission «des valeurs de la République, comme la laïcité». Et apprécient de se voir soudain réintégrer dans l'école, via le cahier de texte en ligne, le carnet de correspondance et les notes, qui arrivent parfois jusque sur leurs téléphones portables…
Les élèves, s'ils n'apprécient guère cette transparence qui déjoue leurs petites ruses de toujours, se montrent également enthousiastes. Ils assurent que ces nouveaux outils accroissent leur motivation et améliorent leurs résultats. Même les professeurs seraient chaque jour plus favorables à l'usage d'Internet, selon Christophe Desriac, directeur du département éducation de Microsoft.
Dans une école en crise, certains voient, dans le numérique, une possibilité de salut, «l'opportunité de rétablir un peu de personnalisation», explique Thierry de Vulpillières, de Microsoft. Le numérique offre aux professeurs volontaires une marge de créativité. Chacun peut inventer et personnaliser son programme. Et les innovations se multiplient. Sans révolutionner l'éducation. Mais en apportant leur lot de pédagogie nouvelle. Comme ce professeur d'histoire-géographie de Limoges qui, pour un cours sur l'espace urbain et rural, a fait réaliser une carte sonore à ses élèves, qui ont enregistré les bruits de la ville sur leur téléphone. Ou encore ces enseignants qui proposent des exercices de soutien à leurs élèves sur un espace personnalisé en ligne avec un horaire de chat pour poser des questions…
Ou ce maître de CP, Jean-Roch Masson, qui fait tweeter ses élèves: «On a l'impression que Twitter a été inventé pour eux. Des petits messages courts, c'est parfait. Et soudain, on sait que l'on écrit pour être lu. Pas juste comme un exercice.» Les élèves s'appliquent beaucoup plus, car, «si je fais des fautes, y' a personne qui va me “follower”», reconnaît l'un d'eux. Des professeurs s'emparent aussi de la vidéo. Inspirés par l'incroyable succès de la Khan Academy, une université entièrement gratuite et virtuelle, lancée par un banquier qui voulait expliquer la Bourse à ses neveux en vidéo. Depuis, des milliers de cours filmés sont disponibles. En France, des professeurs proposent désormais à leurs élèves de réaliser des petits films pour transmettre ce qu'ils ont appris. Un exercice de synthèse autant qu'une familiarisation avec les images.
Le numérique réintroduit un monde en couleur et en trois dimensions dans une école jusque-là en noir et blanc. Or, et c'est une théorie prisée des pays nordiques, certains élèves sont plus visuels, d'autres plus sensibles à l'audio ou aux volumes. Ils trouvent là des aides à la compréhension qui leur faisaient défaut dans le système traditionnel. Et si aucune évaluation n'a jamais pu prouver l'effet d'une technologie sur l'apprentissage, les élèves jurent qu'ils travaillent mieux.
Perçue comme indispensable, la grande révolution numérique est pourtant aux portes de l'école française. Dans les enquêtes de l'OCDE sur les usages du numérique dans l'éducation, la France se classe 24e sur 28 pays! «C'est l'un des grands secteurs qui n'a pas encore été impacté par ce changement majeur», constate Benoît Thieulin, un spécialiste du Net français. «L'Éducation nationale tout comme les éditeurs de manuels scolaires se protègent derrière de gros murs. Et c'est pourtant là que les effets seront les plus forts.» Notamment sur la façon d'enseigner.
De nombreux professeurs restent réticents. Et redoutent de devenir les coachs d'enfants instruits par le Net. La plupart combattent le copier-coller, perçu comme le degré zéro de la pensée, du savoir. Comme cet enseignant parisien qui a récemment inventé un poème dans une fiche Wikipédia totalement burlesque pour piéger ses élèves. En France, le numérique s'inscrit dans le débat féroce entre partisans du savoir et tenants des compétences. Tandis qu'au Danemark les élèves peuvent passer le bac avec leur ordinateur connecté. Et sont jugés sur la qualité de la recherche et leur esprit de synthèse.
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Re: Actualités 2012
«Génération Z» : des connaissances superficielles
Selon un rapport, les moins de 20 ans, dits «génération Z» ne sont pas si compétents avec les nouvelles technologies. Ils les utiliseraient plus dans un but récréatif que formateur.
Missionné par François Fillon, le député Jean-Michel Fourgous, spécialiste UMP du numérique à l'école, vient de lui remettre un épais rapport «Apprendre autrement à l'ère du numérique». S'il est de bon ton aujourd'hui d'affirmer que la «génération Z», comprenez les moins de vingt ans, est parfaitement à l'aise avec les nouvelles technologies et dépasse de loin ses aînés, rien n'est moins sûr. Les compétences de cette «génération numérique» sont «très superficielles» selon le député. Ils passent essentiellement leur temps à échanger, s'amuser, flirter via les réseaux sociaux, à naviguer au hasard. Un usage qui peut être formateur mais qui est surtout récréatif.
Selon une enseignante citée dans le rapport, «nos élèves utilisent les ressources informatiques de façon quantitative, non qualitative. Ils n'ont malheureusement aucun recul critique et pensent que ce qui est écrit est forcément la vérité». Des études de l'OCDE confirment que les élèves critiquent moins ce qu'ils trouvent sur Internet qu'ils ne le font avec d'autres sources. Selon les auditions menées par la mission, les jeunes sont motivés par le numérique mais ils en font un usage essentiellement ludique. Ils brassent l'information plus qu'ils ne la comprennent. Et sont bien plus souvent passifs qu'actifs ou créatifs.
Selon l'étude internationale PISA qui évalue la lecture électronique chez les élèves de 15 ans, les jeunes Suédois ou Norvégiens ont acquis une culture numérique leur permettant d'analyser, d'évaluer et de faire la synthèse des diverses informations trouvées sur internet, culture faisant défaut aux jeunes Français. A l'image de l'apprentissage de la lecture ou des mathématiques, celui du numérique constitue déjà une «fracture» dans la société française. Il ne s'agit pas d'un problème matériel, la plupart des familles et écoles étant équipées, mais de l'utilisation qui en est faite: les milieux aisés encadrent et surveillent leurs enfants. Les moins favorisés ont un usage plus ludique.
Le numérique devrait être une «discipline à part entière»
Il est nécessaire que les enseignants forment de futurs adultes qui ne soient pas esclaves des technologies mais qui en maîtrisent les enjeux, insiste Jean-Michel Fourgous. Il ne suffit plus de savoir «lire, écrire, compter». Lire implique la capacité à «avoir une lecture rapide efficace» sur internet, savoir juger de la crédibilité d'une information. La détermination du réel auteur d'origine n'est pas toujours aisée… On trouve le meilleur comme le pire, des données erronées ou truquées. «Apprendre à être citoyen aujourd'hui, c'est aussi apprendre la citoyenneté sur la toile», insiste Jean-Michel Fourgous.
Or, à l'heure actuelle, le numérique n'est pas ou peu enseigné. Le brevet informatique, le B2i, est «dépassé». Le numérique devrait être une «discipline à part entière» et non pas disséminée. Les enseignants devraient quant à eux être «réellement formés». Moins de 7% possèdent aujourd'hui le tout nouveau certificat numérique, déjà critiqué comme «trop théorique». «Les enseignants sont la seule catégorie socioprofessionnelle à devoir utiliser l'informatique sans y avoir été formée», selon les formateurs. C'est aussi en partie ce qui explique que les professeurs français, s'ils sont 97% à reconnaître la valeur ajoutée des outils numériques ne sont que 5% à les utiliser tous les jours.
Parmi ses 40 propositions, le député-maire d'Elancourt souhaiterait la création d'une «agence nationale de l'éducation numérique». La mission propose ainsi de favoriser la création d'une structure de gouvernance nationale, afin de conduire des politiques cohérentes sur le long terme, du primaire au supérieur, d'évaluer les usages et de promouvoir des pratiques pédagogiques innovantes. Et Jean-Michel Fourgous de rappeler que les États-Unis viennent de consacrer 150 millions de dollars pour la création d'une telle agence.
Le figaro
Selon un rapport, les moins de 20 ans, dits «génération Z» ne sont pas si compétents avec les nouvelles technologies. Ils les utiliseraient plus dans un but récréatif que formateur.
Missionné par François Fillon, le député Jean-Michel Fourgous, spécialiste UMP du numérique à l'école, vient de lui remettre un épais rapport «Apprendre autrement à l'ère du numérique». S'il est de bon ton aujourd'hui d'affirmer que la «génération Z», comprenez les moins de vingt ans, est parfaitement à l'aise avec les nouvelles technologies et dépasse de loin ses aînés, rien n'est moins sûr. Les compétences de cette «génération numérique» sont «très superficielles» selon le député. Ils passent essentiellement leur temps à échanger, s'amuser, flirter via les réseaux sociaux, à naviguer au hasard. Un usage qui peut être formateur mais qui est surtout récréatif.
Selon une enseignante citée dans le rapport, «nos élèves utilisent les ressources informatiques de façon quantitative, non qualitative. Ils n'ont malheureusement aucun recul critique et pensent que ce qui est écrit est forcément la vérité». Des études de l'OCDE confirment que les élèves critiquent moins ce qu'ils trouvent sur Internet qu'ils ne le font avec d'autres sources. Selon les auditions menées par la mission, les jeunes sont motivés par le numérique mais ils en font un usage essentiellement ludique. Ils brassent l'information plus qu'ils ne la comprennent. Et sont bien plus souvent passifs qu'actifs ou créatifs.
Selon l'étude internationale PISA qui évalue la lecture électronique chez les élèves de 15 ans, les jeunes Suédois ou Norvégiens ont acquis une culture numérique leur permettant d'analyser, d'évaluer et de faire la synthèse des diverses informations trouvées sur internet, culture faisant défaut aux jeunes Français. A l'image de l'apprentissage de la lecture ou des mathématiques, celui du numérique constitue déjà une «fracture» dans la société française. Il ne s'agit pas d'un problème matériel, la plupart des familles et écoles étant équipées, mais de l'utilisation qui en est faite: les milieux aisés encadrent et surveillent leurs enfants. Les moins favorisés ont un usage plus ludique.
Le numérique devrait être une «discipline à part entière»
Il est nécessaire que les enseignants forment de futurs adultes qui ne soient pas esclaves des technologies mais qui en maîtrisent les enjeux, insiste Jean-Michel Fourgous. Il ne suffit plus de savoir «lire, écrire, compter». Lire implique la capacité à «avoir une lecture rapide efficace» sur internet, savoir juger de la crédibilité d'une information. La détermination du réel auteur d'origine n'est pas toujours aisée… On trouve le meilleur comme le pire, des données erronées ou truquées. «Apprendre à être citoyen aujourd'hui, c'est aussi apprendre la citoyenneté sur la toile», insiste Jean-Michel Fourgous.
Or, à l'heure actuelle, le numérique n'est pas ou peu enseigné. Le brevet informatique, le B2i, est «dépassé». Le numérique devrait être une «discipline à part entière» et non pas disséminée. Les enseignants devraient quant à eux être «réellement formés». Moins de 7% possèdent aujourd'hui le tout nouveau certificat numérique, déjà critiqué comme «trop théorique». «Les enseignants sont la seule catégorie socioprofessionnelle à devoir utiliser l'informatique sans y avoir été formée», selon les formateurs. C'est aussi en partie ce qui explique que les professeurs français, s'ils sont 97% à reconnaître la valeur ajoutée des outils numériques ne sont que 5% à les utiliser tous les jours.
Parmi ses 40 propositions, le député-maire d'Elancourt souhaiterait la création d'une «agence nationale de l'éducation numérique». La mission propose ainsi de favoriser la création d'une structure de gouvernance nationale, afin de conduire des politiques cohérentes sur le long terme, du primaire au supérieur, d'évaluer les usages et de promouvoir des pratiques pédagogiques innovantes. Et Jean-Michel Fourgous de rappeler que les États-Unis viennent de consacrer 150 millions de dollars pour la création d'une telle agence.
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Pandora : Réponse à mon plan concernant la discrimination (Article le Monde)
Merci pour tes remarques! Du coup tu proposais de scinder ma partie 2 (Loi et discrimination) en deux parties pour parler plus de la discrimination.
Pour que ce soit une partie à elle seule (II- la discrimination), je pense que parler de tous les types de discrimination qu'on rencontre serait bien. Et au niveau de la partie 3 sur la loi garder ce que je disais . Ce serait-mieux?
supercuisto et Maë :
Je me penche sur la problématique de l'eau aujourd'hui!
Margo et Mémo : Réponse sur le "rire"
Bravo d'avoir été inspirée en 10 min! J'adhère à ce que t as fait!
Je vais faire un tour sur le topic entretien et questions du jury pour voir si tu as raconté comment tu t'es débrouillée!
Mémo je trouve cool que tu es fait un partie qui reprenait le texte! Et surtout une ovation pour la rigologie et les blouses roses! J ADORE!
Breakdown a posé un sujet super intéressant ! Je m'en occupe aujourd'hui
Merci pour tes remarques! Du coup tu proposais de scinder ma partie 2 (Loi et discrimination) en deux parties pour parler plus de la discrimination.
Pour que ce soit une partie à elle seule (II- la discrimination), je pense que parler de tous les types de discrimination qu'on rencontre serait bien. Et au niveau de la partie 3 sur la loi garder ce que je disais . Ce serait-mieux?
supercuisto et Maë :
Je me penche sur la problématique de l'eau aujourd'hui!
Margo et Mémo : Réponse sur le "rire"
Bravo d'avoir été inspirée en 10 min! J'adhère à ce que t as fait!

Mémo je trouve cool que tu es fait un partie qui reprenait le texte! Et surtout une ovation pour la rigologie et les blouses roses! J ADORE!

Breakdown a posé un sujet super intéressant ! Je m'en occupe aujourd'hui
"Si le destin vous offre encore de quoi vous combler, c'est que le peu que vous ayez puisse encore vous aller"
"Le mieux est l'ennemi du bien"
"Le mieux est l'ennemi du bien"
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
"L'eau"
l'eau un bien précieux pourtant il est toujours inaccessible pour une grande partie de la population.
I_Pas beaucoup d’eau
Eau potable moins d'1%
Surconsommation dans les pays riches : Trop utilisé : Nucléaire, Agriculture mais aussi particuliers…
Pollution par pesticide principalement....
Avec le réchauffement climatique: moins de pluie, plus de sécheresse....
II_Solution
Dessalement
Retraitement : lutter contre les pesticides
Réglementation plus stricte agriculture, encouragement du bio
Prévention moins de bain plus de douche, double chasse, arrosage de pelouse la nuit, robinet marchant à la présence ...
Arrêt des cultures de coton où besoin intensif d’eau
III_Dans le milieu médical
Hygiène: du patient mais aussi des soignants=> doivent se laver les mains....
Risque de deshydration or on ne peut pas vivre plus de 3j sans eau
Eau contaminé=> Hépatite A et autres maladies...
Vous avez entendu parler d’un truc comme mousseur pour faire consommer moins d’eau ça s’installe sur le robinet je crois et ça diminue la consomation??????????
"Le respect soignant/patient, patient/soignant"
I_Soignant/Patient
1/Respect de chaque patient=>Vouvoiement, Monsieur, Madame
2/Respect de ses croyances=>Chartes du patient hospitalisé
3/Respect choix du patient=>Consentement présumé, Refus de traitement du patient ou de sa famille (don d’organe) Kouchner
4/Respect secret professionnel
5/Respect lors des soin ( de l’intimité du patient )
II_Patient/Soignant
1/Respect du soignant=> Pas d’agression verbale/Physique…
2/Respect des croyances=> Le médecin a le droit de refuser une IVG tardive…
3/Respect de la connaissance =>ne pas lutter contre les soignants : recherche sur internet en réfutant toutes ses idées… Mais travailler avec eux…
4/Respect des actes effectués par le soignant
Conclusion Une relation de confiance se base avant tout sur un respect mutuel....
l'eau un bien précieux pourtant il est toujours inaccessible pour une grande partie de la population.
I_Pas beaucoup d’eau
Eau potable moins d'1%
Surconsommation dans les pays riches : Trop utilisé : Nucléaire, Agriculture mais aussi particuliers…
Pollution par pesticide principalement....
Avec le réchauffement climatique: moins de pluie, plus de sécheresse....
II_Solution
Dessalement
Retraitement : lutter contre les pesticides
Réglementation plus stricte agriculture, encouragement du bio
Prévention moins de bain plus de douche, double chasse, arrosage de pelouse la nuit, robinet marchant à la présence ...
Arrêt des cultures de coton où besoin intensif d’eau
III_Dans le milieu médical
Hygiène: du patient mais aussi des soignants=> doivent se laver les mains....
Risque de deshydration or on ne peut pas vivre plus de 3j sans eau
Eau contaminé=> Hépatite A et autres maladies...
Vous avez entendu parler d’un truc comme mousseur pour faire consommer moins d’eau ça s’installe sur le robinet je crois et ça diminue la consomation??????????

"Le respect soignant/patient, patient/soignant"
I_Soignant/Patient
1/Respect de chaque patient=>Vouvoiement, Monsieur, Madame
2/Respect de ses croyances=>Chartes du patient hospitalisé
3/Respect choix du patient=>Consentement présumé, Refus de traitement du patient ou de sa famille (don d’organe) Kouchner
4/Respect secret professionnel
5/Respect lors des soin ( de l’intimité du patient )
II_Patient/Soignant
1/Respect du soignant=> Pas d’agression verbale/Physique…
2/Respect des croyances=> Le médecin a le droit de refuser une IVG tardive…
3/Respect de la connaissance =>ne pas lutter contre les soignants : recherche sur internet en réfutant toutes ses idées… Mais travailler avec eux…
4/Respect des actes effectués par le soignant
Conclusion Une relation de confiance se base avant tout sur un respect mutuel....

Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Nombre de lignes en culture générale
Moi j'ai fais la même faute, j'ai lu trop vite la question et je n'ai pas vu que c'était résumer les paragraphes en une phrase et j'en est fais un peu plus, j'ai peur d'être vraiment pénalisée :'( j'espère que le correcteur sera indulgeant ! ça vous est aussi arrivé ?
- supercuisto
- Accro
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Bonjour,
voilà la réponse pour les mousseurs
http://www.ecologie-shop.com/mousseur-e ... robinet-31
bien tes plans !!!
pour le patient/soignant pas mal
j'aurais peiné pour le respect du patient envers le soignant ! On ne peut pas les obliger à nous respecter alors que l'inverse coule de source ! c'est compliqué ! dans l'absolue on ne peut pas franchement refuser de soigner quelqu'un !!!
du coup j'aime assez ton plan ça donne des idées !
voilà la réponse pour les mousseurs

http://www.ecologie-shop.com/mousseur-e ... robinet-31
bien tes plans !!!
pour le patient/soignant pas mal
j'aurais peiné pour le respect du patient envers le soignant ! On ne peut pas les obliger à nous respecter alors que l'inverse coule de source ! c'est compliqué ! dans l'absolue on ne peut pas franchement refuser de soigner quelqu'un !!!
du coup j'aime assez ton plan ça donne des idées !
ESI 2013 / 2016 a Tours CHRU
En reconversion professionnelle... j'y crois !!!
S1 : EHPAD - 30 ECTS/30
S2 : DERMATOLOGIE
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S2 : DERMATOLOGIE
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Merci supercuisto!!
Un ami m'avait parlé des mousseurs mais je me souvenais plus exactement c'était quoi...
Un ami m'avait parlé des mousseurs mais je me souvenais plus exactement c'était quoi...

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- PandoraLaeti14
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Oui je pense, car le texte est quand même ciblé sur la discrimination donc le fait de faire une partie dessus permet de tenir les 10minuiest, d'eviter les question gênante ^^ et surtout montré que l'on est cultivé et que l'on sais de quoi on parle.mel73 a écrit :Pandora : Réponse à mon plan concernant la discrimination (Article le Monde)
Merci pour tes remarques! Du coup tu proposais de scinder ma partie 2 (Loi et discrimination) en deux parties pour parler plus de la discrimination.
Pour que ce soit une partie à elle seule (II- la discrimination), je pense que parler de tous les types de discrimination qu'on rencontre serait bien. Et au niveau de la partie 3 sur la loi garder ce que je disais . Ce serait-mieux?

ESI 2012-2015 à l'IFSI de Rouen
- PandoraLaeti14
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Bravo Memo pour tes deux plans!
Je me pencherai plus dessus toute à l'heure pour voir si on peut rajouter des arguments pour qu'ils soient plus complet!

ESI 2012-2015 à l'IFSI de Rouen
Re: Nombre de lignes en culture générale
Je vous rappelle que les lignes sautées entre les différents paragraphes ne comptent pas. 

Re: Actualités 2012
Tenez je suis tombée sur cette vidéo récente dans mon fil d'actualité fb grâce à infirmiers.com , elle soulève bien des questions regardez là !!
http://www.youtube.com/watch?feature=pl ... UG1oE-P2ps#!
http://www.youtube.com/watch?feature=pl ... UG1oE-P2ps#!
Dernière modification par Nanouu le 07 avr. 2012 09:40, modifié 1 fois.
C'est quand un Homme ne sourit plus qu'il est le plus gravement malade ...
Puéricultrice 2016 ♥
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Je sais qu'on te l'a déjà dit, mais Mémo tes plans sont très bien.
Mon plan sur l'eau est totalement différent mais des idées reviennent! Je vous le propose quand même bien que je préfère celui de Mémo.
L'eau
Intro:L'eau est un élément essentiel à la vie et à la santé. Répartition inégale, eau potable ou non, accès ou surconsommation, elle est au cœur de nos problèmes.
I) L'EAU ET HOMME
Une ressource nat. essentielle :
- Indispensable de l'eau dans nos vie : hygiène, soin et alimentation. L'eau peut être considéré comme un droit pour chaque être vivant.
- Eau utilisée par les hommes : eau issue de la fonte des glaciers, eau douce,eau de pluie
- Ressource maitrisée : barrage, système d'épuration par expl pays riches. Récolte eau de pluie et stérilisation par ébullition pour les plus pauvres.
- Mais, des inégalités : si toutes les personnes du monde consommaient l'eau de la même façon que les européens, il faudrait 2 planète en plus pour subvenir aux besoins de la pop mondial.
II)IMPACTS DE CETTE RELATION
- Pollution de l'eau (Industrie, Nucléaires, déchets, autres (comme les cendres des défunts que les Indien ont habitude de déverser dans le Gange, ce qui le rend de plus en plus pollué) + pollution générale qui entraîne un réchauffement planétaire = recul des glaciers, changement répartition des pluies = accès difficile,raréfaction
- Conséquences pour l'homme = maladies infectieuses transmises par l'eau impropre, maladies diarrhéiques mortelles, déshydratation.
- Augmentation de la population et diminution de la ressource : guerre de l'eau.
- La maîtrise de l'eau (traitement, épuration) entraîne un prix à payer = question éthique : L'eau nécessaire pour vivre, peut-on continuer dans cette voie en laissant les plus modestes en pâtir ?
CCL : Ouverture sur les remèdes
Mon plan sur l'eau est totalement différent mais des idées reviennent! Je vous le propose quand même bien que je préfère celui de Mémo.
L'eau
Intro:L'eau est un élément essentiel à la vie et à la santé. Répartition inégale, eau potable ou non, accès ou surconsommation, elle est au cœur de nos problèmes.
I) L'EAU ET HOMME
Une ressource nat. essentielle :
- Indispensable de l'eau dans nos vie : hygiène, soin et alimentation. L'eau peut être considéré comme un droit pour chaque être vivant.
- Eau utilisée par les hommes : eau issue de la fonte des glaciers, eau douce,eau de pluie
- Ressource maitrisée : barrage, système d'épuration par expl pays riches. Récolte eau de pluie et stérilisation par ébullition pour les plus pauvres.
- Mais, des inégalités : si toutes les personnes du monde consommaient l'eau de la même façon que les européens, il faudrait 2 planète en plus pour subvenir aux besoins de la pop mondial.
II)IMPACTS DE CETTE RELATION
- Pollution de l'eau (Industrie, Nucléaires, déchets, autres (comme les cendres des défunts que les Indien ont habitude de déverser dans le Gange, ce qui le rend de plus en plus pollué) + pollution générale qui entraîne un réchauffement planétaire = recul des glaciers, changement répartition des pluies = accès difficile,raréfaction
- Conséquences pour l'homme = maladies infectieuses transmises par l'eau impropre, maladies diarrhéiques mortelles, déshydratation.
- Augmentation de la population et diminution de la ressource : guerre de l'eau.
- La maîtrise de l'eau (traitement, épuration) entraîne un prix à payer = question éthique : L'eau nécessaire pour vivre, peut-on continuer dans cette voie en laissant les plus modestes en pâtir ?
CCL : Ouverture sur les remèdes
"Si le destin vous offre encore de quoi vous combler, c'est que le peu que vous ayez puisse encore vous aller"
"Le mieux est l'ennemi du bien"
"Le mieux est l'ennemi du bien"
Re: Nombre de lignes en culture générale
Moi je n'ose pas sauter des lignes. Parce que déjà que 25 lignes, c'est pas énorme. Si en plus je saute des lignes, ça va faire vraiment vide sur ma copie. Du coup je mets des alinéa 

__ ESI 2016.