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Re: Actualités 2012
Prisons françaises: nouveau record de détenus au 1er avril
Le nombre de détenus dans les prisons françaises a atteint un nouveau record historique le 1er avril, avec 67.161 personnes incarcérées, selon les statistiques mensuelles de l'Administration pénitentiaire (AP) publiées vendredi.
Ce record a immédiatement suscité des réactions politiques et syndicales, en pleine campagne électorale.
A l'appel des syndicats pénitentiaires FO et CGT, les surveillants avaient manifesté jeudi, pour la quatrième fois en dix jours, pour demander une augmentation de leurs rémunérations et de meilleures conditions de travail, dégradées selon eux par la surpopulation carcérale qui a encore augmenté.
Au 1er avril, il y avait 57.243 places de prison "opérationnelles", ce qui représentait un taux d'occupation des établissements de 117,3% (116,1% un mois plus tôt).
Le nombre de détenus au 1er avril est en hausse de 1,1% sur un mois et de 4,7% sur un an (on comptait 64.148 détenus au 1er avril 2011). Le précédent record était de 66.445 détenus, au 1er mars dernier.
Le nombre de personnes prévenues (en attente de jugement) s'élevait au 1er avril à 17.027, soit 25,4% des personnes incarcérées, précise l'AP dans un communiqué. Les mineurs détenus étaient 780, soit une augmentation de 9,1% par rapport au mois précédent (715 au 1er mars).
L'AP ajoute que 12.282 personnes bénéficiaient d'un "aménagement de peine sous écrou" (semi-liberté, bracelet électronique...), dispositif ayant progressé de 28,5% en un an.
L'AP indique enfin que la "capacité opérationnelle du parc pénitentiaire" a augmenté de 8,9% en trois ans, avec l'ouverture de nouveaux établissements.
Une loi prévoyant la création d'environ 20.000 places de prison supplémentaires dans les cinq ans, pour porter leur nombre à 80.000 à la fin 2017, a été votée à la fin février.
Cette loi est cependant très critiquée par l'opposition, ainsi que par divers syndicats et associations, qui considèrent que la politique du "tout carcéral", qu'ils dénoncent, ne règlera pas le problème de la délinquance et de la récidive.
"Les prisons sont aujourd'hui, plus que jamais, des machines à fabriquer de la récidive", a ainsi déclaré vendredi soir le sénateur PS André Vallini, chargé de la justice auprès du candidat socialiste à la présidentielle François Hollande.
"Ce triste record s'explique par la multiplication et l'allongement des peines prononcées par les tribunaux, à la suite des réformes de ces dernières années et notamment celles dite des peines plancher", a-t-il dit dans un communiqué.
"La situation des établissements pénitentiaires devient explosive", a également réagi le secrétaire général du syndicat FO pénitentiaire, Christophe Marques, dans un communiqué, évoquant ces chiffres jamais "vus", "alors même que le manque de personnel se fait sentir cruellement".
De nouveaux blocages de prisons et d'autres actions sont d'ores et déjà prévus, la semaine prochaine, par les syndicats, qui en appellent à l'administration pénitentiaire et au ministère de la Justice, mais aussi aux candidats à l'élection présidentielle.
Dans son dernier rapport annuel, publié à la fin février, le contrôleur général des lieux de privation de liberté, Jean-Marie Delarue, soulignait que la surpopulation en prison avait "des effets désastreux dans la vie quotidienne des personnes" et se traduisait "par une montée inévitable des tensions et des violences en détention".
AFP – ven. 13 avr. 2012
Le nombre de détenus dans les prisons françaises a atteint un nouveau record historique le 1er avril, avec 67.161 personnes incarcérées, selon les statistiques mensuelles de l'Administration pénitentiaire (AP) publiées vendredi.
Ce record a immédiatement suscité des réactions politiques et syndicales, en pleine campagne électorale.
A l'appel des syndicats pénitentiaires FO et CGT, les surveillants avaient manifesté jeudi, pour la quatrième fois en dix jours, pour demander une augmentation de leurs rémunérations et de meilleures conditions de travail, dégradées selon eux par la surpopulation carcérale qui a encore augmenté.
Au 1er avril, il y avait 57.243 places de prison "opérationnelles", ce qui représentait un taux d'occupation des établissements de 117,3% (116,1% un mois plus tôt).
Le nombre de détenus au 1er avril est en hausse de 1,1% sur un mois et de 4,7% sur un an (on comptait 64.148 détenus au 1er avril 2011). Le précédent record était de 66.445 détenus, au 1er mars dernier.
Le nombre de personnes prévenues (en attente de jugement) s'élevait au 1er avril à 17.027, soit 25,4% des personnes incarcérées, précise l'AP dans un communiqué. Les mineurs détenus étaient 780, soit une augmentation de 9,1% par rapport au mois précédent (715 au 1er mars).
L'AP ajoute que 12.282 personnes bénéficiaient d'un "aménagement de peine sous écrou" (semi-liberté, bracelet électronique...), dispositif ayant progressé de 28,5% en un an.
L'AP indique enfin que la "capacité opérationnelle du parc pénitentiaire" a augmenté de 8,9% en trois ans, avec l'ouverture de nouveaux établissements.
Une loi prévoyant la création d'environ 20.000 places de prison supplémentaires dans les cinq ans, pour porter leur nombre à 80.000 à la fin 2017, a été votée à la fin février.
Cette loi est cependant très critiquée par l'opposition, ainsi que par divers syndicats et associations, qui considèrent que la politique du "tout carcéral", qu'ils dénoncent, ne règlera pas le problème de la délinquance et de la récidive.
"Les prisons sont aujourd'hui, plus que jamais, des machines à fabriquer de la récidive", a ainsi déclaré vendredi soir le sénateur PS André Vallini, chargé de la justice auprès du candidat socialiste à la présidentielle François Hollande.
"Ce triste record s'explique par la multiplication et l'allongement des peines prononcées par les tribunaux, à la suite des réformes de ces dernières années et notamment celles dite des peines plancher", a-t-il dit dans un communiqué.
"La situation des établissements pénitentiaires devient explosive", a également réagi le secrétaire général du syndicat FO pénitentiaire, Christophe Marques, dans un communiqué, évoquant ces chiffres jamais "vus", "alors même que le manque de personnel se fait sentir cruellement".
De nouveaux blocages de prisons et d'autres actions sont d'ores et déjà prévus, la semaine prochaine, par les syndicats, qui en appellent à l'administration pénitentiaire et au ministère de la Justice, mais aussi aux candidats à l'élection présidentielle.
Dans son dernier rapport annuel, publié à la fin février, le contrôleur général des lieux de privation de liberté, Jean-Marie Delarue, soulignait que la surpopulation en prison avait "des effets désastreux dans la vie quotidienne des personnes" et se traduisait "par une montée inévitable des tensions et des violences en détention".
AFP – ven. 13 avr. 2012
l' Ailge: TP:8.50 CG:13 ORAL:16.50 26 eme sr list comp PRISE 
Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente

Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente
Re: Actualités 2012
La télé-réalité a contaminé le monde du travail
Qu'il s'agisse de la manière dont l'individu est appréhendé, des représentations qui sont véhiculées ou de modes de fonctionnements sous-jacents, la télé-réalité et le monde du travail, tel qu'il est aujourd'hui, partagent bien des points communs.
n 2001, Loft Story entrait dans l'espace télévisuel francophone; depuis le concept n'a cessé de se démultiplier; de se décliner et de se répandre, jusqu’à déborder sur les chaines du service public, avec des programmes comme L’étoffe des héros ou Qui vient camper.
Certes l’audience de ces émissions fut catastrophique, mais en dehors des chaines du service public et de manière générale, les émissions de télé-réalité demeurent très lucratives en terme d’audience: le premier Loft Story battait des records d’audimat avec 70% de part de marché pour les moins de 50 ans, la finale de la saison 2011 de Koh-Lanta réunissait l'an dernier 8 millions de téléspectateurs...
Le succès de ce type d’émission fait que le concept finit par occuper un espace important dans la grille des programmations, une année télévisuelle est ponctuée par les saisons de Koh-lanta, Secret Story ou autres Top Chef.
De l’infiltration…
Sachant que les Français consomment quatre heures de télévision par jour en moyenne, et que la part annuelle réservée à ce type d’émission reste relativement importante, il serait naïf de croire que cela est indolore. Qu’on l’admette ou pas, la télé-réalité produit de réels impacts dans la société française et modifie les mentalités, un article de Télérama souligne avec humour l'infiltration du 'parler TV' dans nos conversations quotidiennes les plus anodines.
Il existe cependant une sphère sociale où l'influence de la télé-réalité se traduit bien plus violemment, il s'agit en l’occurrence du monde professionnel.
Mes premiers pas dans la vie active coïncidaient avec l’apparition et l’essor fulgurant de ce genre de programme, si au début les conversations autour de la machine à café avaient pour thème le Prime de la veille, force est de constater que le phénomène s’est aujourd’hui nettement essoufflé, sauf que les réunions d’équipes, les briefings et débriefings, individuels ou de groupe, ressemblent de plus en à ces séances de coaching retrouvés communément dans toutes les émissions de télé-réalités.
Ici également l'application des concordances lexicales et sémantiques reste aisée: un contrat CDD ou une période d'essai devient une «aventure» pendant laquelle, il ne «faudra rien lâcher et tout donner», les objectifs de vente sont un «challenge» qui permet d'aller «au bout de soi», puis les atteindre: «c'est que du bonheur»!
De la réduction archétypale
De la banque aux sociétés de télécommunications, en passant par le tourisme et le dépannage automobile, une nouvelle méthode de recrutement: l'entretien collectif d’embauche, fait fureur ces dernières années dans le secteur tertiaire.
Les sociétés en quête de l'employé idéal n'hésitent plus à organiser des jeux de rôle pour débusquer LA perle rare; le prétendant se livre à un jeu de mise en situation tel que «perdu dans une jungle, vous devez choisir les objets qui vous semblent indispensables à la survie du groupe et convaincre les autres de la pertinence de vos choix».
Les juges/recruteurs ne donnent aucune autre instruction et n’interviennent pas, ce genre d’exercice est censé leur permettre de mesurer la capacité de persuasion des candidats, de jauger de leur résistance au stress, de les observer interagir ensemble afin de les classer par catégorie: leader, coordinateur, suiveur, agitateur... L'individu réduit ainsi à une simple «fonction», il devient plus facile aux recruteurs de sélectionner selon les besoins de l'entreprise, comme le ferait une boite de production pour les profils stéréotypés présents dans chaque émission de télé-réalité.
Pour en avoir fait quelques un,(le premier en 2005, puis en 2007, et deux en 2010) j'ai pu remarquer que lors de ces entretiens collectifs d'embauche, nous finissions par nous comporter comme des candidats de télé-réalité; le registre devenait celui de la représentation, il n'était plus question de mettre en valeur les compétences acquises, mais de pratiquer un exercice de style s'apparentant à la prestation théâtrale.
Personnellement, ce genre de pratique me mettait mal à l’aise, souvent il m’est arrivée de me demander ce que je faisais là, j’avais le sentiment de participer à une mascarade contre-productive, je savais que ce n’était ni mon CV, ni mes diplômes, ni mon expérience, ou mes connaissances accumulées qui feraient la différence, mais bien mon aptitude à la simulation.
Par ailleurs, on remplace de plus en plus l'expression savoir-faire par savoir –être, une mode assez symptomatique de la modification des mentalités dans la sphère professionnelle.
De l'expression de la violence
Pour des besoins évidents d'audimat, le candidat de télé-réalité doit se trouver dans des situations «sous tension», le stress, l'adrénaline, la pression sont les ingrédients indispensables (et le prix à payer) pour que le téléspectateur maintenu en haleine ne zappe pas.
Marquée par les crises Internet et celle des sub-primes, la dernière décennie voit les méthodes de managements se durcir, les réorganisations et les restructurations qui fleurissent dans de nombreuses entreprises impactent fatalement le salarié, parfois la nature même du travail.
D'après une étude réalisée par la caisse d'assurance maladie française, plus de 40% de la population active déclare souffrir au travail, entre la crainte des licenciements, celle des plans sociaux et la course aux objectifs, en crise perpétuelle, nombreux sont les travailleurs maintenu sous pression, un peu comme un candidat de Koh-Lanta, il sont en situation de survie.
Pour atteindre la fin du jeu, le candidat de télé-réalité lutte contre les épreuves imposées et contre les autres participants, dans ces émission, l'esprit de compétition poussé à son paroxysme frise souvent la violence.
Entre les primes sur objectifs et les challenges opposant les équipes d'une même entreprise, le monde professionnel glorifie de plus en plus l'esprit de compétition au détriment de la coopération.
En outre, on entend souvent le terme «compétitivité»; l'entreprise doit être compétitive pour sa survie et l'employé offrir un rendement maximal et être «parfait» pour garder son travail.
Si cette décennie a vu s'épanouir le modèle de télé-réalité jusqu'aux méthodes de management, peut-être que dans la prochaine, on verra des Emploi-Academy remplacer le Pôle-emploi: une dizaine de candidat, un seul poste à pourvoir et aux téléspectateurs de voter pour leur candidat préféré.
Nesrine Briki
http://www.slate.fr/tribune/51643/la-te ... du-travail
Qu'il s'agisse de la manière dont l'individu est appréhendé, des représentations qui sont véhiculées ou de modes de fonctionnements sous-jacents, la télé-réalité et le monde du travail, tel qu'il est aujourd'hui, partagent bien des points communs.
n 2001, Loft Story entrait dans l'espace télévisuel francophone; depuis le concept n'a cessé de se démultiplier; de se décliner et de se répandre, jusqu’à déborder sur les chaines du service public, avec des programmes comme L’étoffe des héros ou Qui vient camper.
Certes l’audience de ces émissions fut catastrophique, mais en dehors des chaines du service public et de manière générale, les émissions de télé-réalité demeurent très lucratives en terme d’audience: le premier Loft Story battait des records d’audimat avec 70% de part de marché pour les moins de 50 ans, la finale de la saison 2011 de Koh-Lanta réunissait l'an dernier 8 millions de téléspectateurs...
Le succès de ce type d’émission fait que le concept finit par occuper un espace important dans la grille des programmations, une année télévisuelle est ponctuée par les saisons de Koh-lanta, Secret Story ou autres Top Chef.
De l’infiltration…
Sachant que les Français consomment quatre heures de télévision par jour en moyenne, et que la part annuelle réservée à ce type d’émission reste relativement importante, il serait naïf de croire que cela est indolore. Qu’on l’admette ou pas, la télé-réalité produit de réels impacts dans la société française et modifie les mentalités, un article de Télérama souligne avec humour l'infiltration du 'parler TV' dans nos conversations quotidiennes les plus anodines.
Il existe cependant une sphère sociale où l'influence de la télé-réalité se traduit bien plus violemment, il s'agit en l’occurrence du monde professionnel.
Mes premiers pas dans la vie active coïncidaient avec l’apparition et l’essor fulgurant de ce genre de programme, si au début les conversations autour de la machine à café avaient pour thème le Prime de la veille, force est de constater que le phénomène s’est aujourd’hui nettement essoufflé, sauf que les réunions d’équipes, les briefings et débriefings, individuels ou de groupe, ressemblent de plus en à ces séances de coaching retrouvés communément dans toutes les émissions de télé-réalités.
Ici également l'application des concordances lexicales et sémantiques reste aisée: un contrat CDD ou une période d'essai devient une «aventure» pendant laquelle, il ne «faudra rien lâcher et tout donner», les objectifs de vente sont un «challenge» qui permet d'aller «au bout de soi», puis les atteindre: «c'est que du bonheur»!
De la réduction archétypale
De la banque aux sociétés de télécommunications, en passant par le tourisme et le dépannage automobile, une nouvelle méthode de recrutement: l'entretien collectif d’embauche, fait fureur ces dernières années dans le secteur tertiaire.
Les sociétés en quête de l'employé idéal n'hésitent plus à organiser des jeux de rôle pour débusquer LA perle rare; le prétendant se livre à un jeu de mise en situation tel que «perdu dans une jungle, vous devez choisir les objets qui vous semblent indispensables à la survie du groupe et convaincre les autres de la pertinence de vos choix».
Les juges/recruteurs ne donnent aucune autre instruction et n’interviennent pas, ce genre d’exercice est censé leur permettre de mesurer la capacité de persuasion des candidats, de jauger de leur résistance au stress, de les observer interagir ensemble afin de les classer par catégorie: leader, coordinateur, suiveur, agitateur... L'individu réduit ainsi à une simple «fonction», il devient plus facile aux recruteurs de sélectionner selon les besoins de l'entreprise, comme le ferait une boite de production pour les profils stéréotypés présents dans chaque émission de télé-réalité.
Pour en avoir fait quelques un,(le premier en 2005, puis en 2007, et deux en 2010) j'ai pu remarquer que lors de ces entretiens collectifs d'embauche, nous finissions par nous comporter comme des candidats de télé-réalité; le registre devenait celui de la représentation, il n'était plus question de mettre en valeur les compétences acquises, mais de pratiquer un exercice de style s'apparentant à la prestation théâtrale.
Personnellement, ce genre de pratique me mettait mal à l’aise, souvent il m’est arrivée de me demander ce que je faisais là, j’avais le sentiment de participer à une mascarade contre-productive, je savais que ce n’était ni mon CV, ni mes diplômes, ni mon expérience, ou mes connaissances accumulées qui feraient la différence, mais bien mon aptitude à la simulation.
Par ailleurs, on remplace de plus en plus l'expression savoir-faire par savoir –être, une mode assez symptomatique de la modification des mentalités dans la sphère professionnelle.
De l'expression de la violence
Pour des besoins évidents d'audimat, le candidat de télé-réalité doit se trouver dans des situations «sous tension», le stress, l'adrénaline, la pression sont les ingrédients indispensables (et le prix à payer) pour que le téléspectateur maintenu en haleine ne zappe pas.
Marquée par les crises Internet et celle des sub-primes, la dernière décennie voit les méthodes de managements se durcir, les réorganisations et les restructurations qui fleurissent dans de nombreuses entreprises impactent fatalement le salarié, parfois la nature même du travail.
D'après une étude réalisée par la caisse d'assurance maladie française, plus de 40% de la population active déclare souffrir au travail, entre la crainte des licenciements, celle des plans sociaux et la course aux objectifs, en crise perpétuelle, nombreux sont les travailleurs maintenu sous pression, un peu comme un candidat de Koh-Lanta, il sont en situation de survie.
Pour atteindre la fin du jeu, le candidat de télé-réalité lutte contre les épreuves imposées et contre les autres participants, dans ces émission, l'esprit de compétition poussé à son paroxysme frise souvent la violence.
Entre les primes sur objectifs et les challenges opposant les équipes d'une même entreprise, le monde professionnel glorifie de plus en plus l'esprit de compétition au détriment de la coopération.
En outre, on entend souvent le terme «compétitivité»; l'entreprise doit être compétitive pour sa survie et l'employé offrir un rendement maximal et être «parfait» pour garder son travail.
Si cette décennie a vu s'épanouir le modèle de télé-réalité jusqu'aux méthodes de management, peut-être que dans la prochaine, on verra des Emploi-Academy remplacer le Pôle-emploi: une dizaine de candidat, un seul poste à pourvoir et aux téléspectateurs de voter pour leur candidat préféré.
Nesrine Briki
http://www.slate.fr/tribune/51643/la-te ... du-travail
l' Ailge: TP:8.50 CG:13 ORAL:16.50 26 eme sr list comp PRISE 
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ESI 2012 2015 trop contente

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Re: Actualités 2012
«Mets le gosse sur la galerie, j’ai envie de fumer»
L’interdiction de fumer dans une auto où se trouvent des enfants est en route. Combien de temps avant qu’elle ne vous rattrape?
Votre voiture est théoriquement une extension de votre domicile et vous pouvez y faire tout ce que bon vous semble. Ou presque: vous n’avez pas le droit de conduire à poil (article 222-32 du Code pénal: «l’exhibition sexuelle imposée à la vue d’autrui dans un lieu accessible aux regards du public est punie d’un an emprisonnement et de 15.000 euros d’amende») alors que vous pouvez vous balader en petite tenue dans votre appartement même si ça angoisse les voisins...
D’un autre côté, avec des vitres teintées en kit, c’est une restriction qui doit pouvoir être contournée assez facilement.
Mais un autre vice qui risque de ne plus vous être autorisé dans votre bagnole, avec ou sans film plastique sombre sur les fenêtres, c’est de fumer lorsque vous transportez des enfants. «Hein, quoi, qu’est-ce que c’est que cette histoire?!», s’exclameront les parents fumeurs et automobilistes parmi vous après une quinte de toux indignée.
Bon, du calme, ne vous mettez pas dans un état pareil: ce n’est pas pour tout de suite et il y a des chances pour que vos gosses se soient eux-mêmes mis à la clope avant que ça n’arrive ici. Pour le moment encore, c’est juste un truc de pays vraiment civilisés comme l’Australie ou la Finlande et les contrées à niveau de développement intermédiaire comme la France ne seront concernées que lorsque l’intégralité des Etats-Unis aura fait le grand saut (c’est que l’on appelle le nouvel ordre hygiéniste mondial).
Jeune conducteur fumeur: coupable et victime?
Ça commence toutefois à sentir le cramé, puisque le Maryland est devenu le sixième Etat à légiférer contre le droit d’intoxiquer ses propres kids dans son 4x4, sous peine d’une amende de 50 dollars. C’est paradoxal de la part d’un endroit dont le nom est celui d’un bar-tabac sur deux sous nos latitudes, mais la vie est ainsi faite. La logique derrière cette nouvelle atteinte aux libertés individuelles: l’habitacle d’une voiture, c’est minuscule, l’air ne s’y renouvelle pas rapidement et les enfants ont de petits poumons fragiles que l’absorption de vos volutes aromatiques n’aident pas à se développer.
Les «enfants» au sens marylandien pouvant avoir jusqu’à 17 ans et le permis de conduire s’obtenant localement dès 16 ans, je me demande d’ailleurs si les ados fumant en conduisant seront simultanément coupables et victimes ―mais je me pose toujours des questions stupides...
N’empêche, il s’agit d’un authentique enjeu philosophique au-delà de ses dimensions sanitaires et légales. Fumer dans un espace confiné où se trouvent des gosses, bien sûr que c’est une mauvaise chose. Hey, même fumer tout seul en plein air, c’est mauvais! Mais jusqu’à quel point peut-on accepter de l’Etat qu’il s’immisce dans votre vie, celle de vos enfants et, pire que tout, celle de votre auto au nom du «bien»?
En Grande-Bretagne, un député travailliste tentant de faire passer un texte en ce sens vient d’ailleurs d’être vertement remis à sa place par David Cameron (ex-fumeur de droite):
«S’occuper de ce que les gens font à l’intérieur de leur voiture me rend bien plus nerveux [que fumer en voiture ].»
Chez nous, le centriste Rudy Salles fait ricaner tout le monde depuis 2008 avec son projet de loi interdisant de fumer dans une voiture transportant un mineur de moins de 16 ans, mais ça peut venir du fait que personne ne prend jamais les centristes au sérieux, quel que soit le sujet.
On le sent, la vieille Europe hésite. A tout hasard, en allant acheter du film plastique pour opacifier les vitres de votre auto et conduire nu cet été, achetez aussi une galerie de toit: aucune loi n’interdit encore d’y arrimer un enfant pendant une pause-cigarette. Enfin, pour le moment.
Hugues Serraf
» Vroum! Retrouvez toutes les chroniques auto d'Hugues Serraf
L’interdiction de fumer dans une auto où se trouvent des enfants est en route. Combien de temps avant qu’elle ne vous rattrape?
Votre voiture est théoriquement une extension de votre domicile et vous pouvez y faire tout ce que bon vous semble. Ou presque: vous n’avez pas le droit de conduire à poil (article 222-32 du Code pénal: «l’exhibition sexuelle imposée à la vue d’autrui dans un lieu accessible aux regards du public est punie d’un an emprisonnement et de 15.000 euros d’amende») alors que vous pouvez vous balader en petite tenue dans votre appartement même si ça angoisse les voisins...
D’un autre côté, avec des vitres teintées en kit, c’est une restriction qui doit pouvoir être contournée assez facilement.
Mais un autre vice qui risque de ne plus vous être autorisé dans votre bagnole, avec ou sans film plastique sombre sur les fenêtres, c’est de fumer lorsque vous transportez des enfants. «Hein, quoi, qu’est-ce que c’est que cette histoire?!», s’exclameront les parents fumeurs et automobilistes parmi vous après une quinte de toux indignée.
Bon, du calme, ne vous mettez pas dans un état pareil: ce n’est pas pour tout de suite et il y a des chances pour que vos gosses se soient eux-mêmes mis à la clope avant que ça n’arrive ici. Pour le moment encore, c’est juste un truc de pays vraiment civilisés comme l’Australie ou la Finlande et les contrées à niveau de développement intermédiaire comme la France ne seront concernées que lorsque l’intégralité des Etats-Unis aura fait le grand saut (c’est que l’on appelle le nouvel ordre hygiéniste mondial).
Jeune conducteur fumeur: coupable et victime?
Ça commence toutefois à sentir le cramé, puisque le Maryland est devenu le sixième Etat à légiférer contre le droit d’intoxiquer ses propres kids dans son 4x4, sous peine d’une amende de 50 dollars. C’est paradoxal de la part d’un endroit dont le nom est celui d’un bar-tabac sur deux sous nos latitudes, mais la vie est ainsi faite. La logique derrière cette nouvelle atteinte aux libertés individuelles: l’habitacle d’une voiture, c’est minuscule, l’air ne s’y renouvelle pas rapidement et les enfants ont de petits poumons fragiles que l’absorption de vos volutes aromatiques n’aident pas à se développer.
Les «enfants» au sens marylandien pouvant avoir jusqu’à 17 ans et le permis de conduire s’obtenant localement dès 16 ans, je me demande d’ailleurs si les ados fumant en conduisant seront simultanément coupables et victimes ―mais je me pose toujours des questions stupides...
N’empêche, il s’agit d’un authentique enjeu philosophique au-delà de ses dimensions sanitaires et légales. Fumer dans un espace confiné où se trouvent des gosses, bien sûr que c’est une mauvaise chose. Hey, même fumer tout seul en plein air, c’est mauvais! Mais jusqu’à quel point peut-on accepter de l’Etat qu’il s’immisce dans votre vie, celle de vos enfants et, pire que tout, celle de votre auto au nom du «bien»?
En Grande-Bretagne, un député travailliste tentant de faire passer un texte en ce sens vient d’ailleurs d’être vertement remis à sa place par David Cameron (ex-fumeur de droite):
«S’occuper de ce que les gens font à l’intérieur de leur voiture me rend bien plus nerveux [que fumer en voiture ].»
Chez nous, le centriste Rudy Salles fait ricaner tout le monde depuis 2008 avec son projet de loi interdisant de fumer dans une voiture transportant un mineur de moins de 16 ans, mais ça peut venir du fait que personne ne prend jamais les centristes au sérieux, quel que soit le sujet.
On le sent, la vieille Europe hésite. A tout hasard, en allant acheter du film plastique pour opacifier les vitres de votre auto et conduire nu cet été, achetez aussi une galerie de toit: aucune loi n’interdit encore d’y arrimer un enfant pendant une pause-cigarette. Enfin, pour le moment.
Hugues Serraf
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Re: Actualités 2012
Les phtalates réduisent à la fertilité des hommes
Shampoings, jouets en plastiques Les phtalates sont partout dans notre quotidien. Une étude confirme que cette substance chimique diminue la production de testostérone chez les humains.
Des chercheurs avaient déjà constaté l'effet néfaste des phtalates (contenus dans certaines matières plastiques) sur la fertilité des rongeurs et chez les fœtus humains. Mais pour la première fois, une étude parue dans la revue britannique Human reproduction vient de confirmer que ces produits chimiques inhibent la production de testostérone sécrétée par les testicules de l'homme adulte.
Une baisse de 30% de la production de testostérone
Contenus dans une grande partie des objets en PVC souples (ballons, tuyaux d'arrosage…), les phtalates sont aussi présents dans des emballages alimentaires (produits laitiers) et dans des cosmétiques. Ayant déjà constaté les effets néfastes de cette substance sur les souris et dans un contexte de baisse de la fertilité, les chercheurs se sont penchés sur le cas de l'homme.
Trois équipes françaises (Institut de recherche sur la santé, l'environnement et le travail à Rennes, Institut national de la recherche agronomique à Toulouse, Laboratoire d'étude des résidus de contaminants dans les aliments à Nantes), ont contribué à ce travail de recherche. Elles ont travaillé sur deux types d'échantillons: d'une part des prélèvements sur des testicules de sujets atteints d'un cancer de la prostate, d'autre part, des cellules produisant une hormone se rapprochant de la testostérone. Après exposition de ces cellules à deux sortes de phtalates (DEHP et MEHP), la production de testostérone a chuté de 30% par rapport à celle des testicules non exposés.
Comme la testostérone stimule la production de spermatozoïdes, les phtalates ont pour conséquence de diminuer le taux de fertilité des hommes. Elles pourraient aussi avoir d'autres effets sur la santé en perturbant la libido et la puberté des hommes, qui inhaleraient, ingéreraient ou auraient un contact cutané avec ces produits chimiques. Un fœtus peut également être contaminé in utero, c'est-à-dire dans l'utérus de sa mère, selon des études précédentes.
Prendre de bonnes habitudes
Pour Jean-François Narbonne, professeur de toxicologie à l'université de Bordeaux et expert à l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation (Anses), «ces résultats n'ont rien d'étonnant, on le savait déjà depuis 25 ans», mais faut-il pour autant s'inquiéter? «Les produits contenant des phtalates ne sont pas à proscire mais il faut savoir les manipuler dans de bonnes conditions pour limiter son exposition».
Au quotidien, les phtalates nous entourent, qu'ils soient dans les cosmétiques, dans les poches de sang et les tubes à l'hôpital ou encore dans la peinture. «Les risques toxiques sont élevés quand on inhale ou on ingère des phtalates», souligne l'expert en toxicologie. «Je conseille aux femmes d'acheter des produits de beauté naturels et de regarder la composition de leur crème et de leur shampooing, préconise le professeur. Si vous avez envie de repeindre une pièce, munissez-vous d'un masque avec filtre pour vous protéger des vapeurs que vous risquez d'inhaler», ajoute-t-il.
Les phtalates contenus dans les boîtes en plastique et les films conservateurs peuvent facilement contaminer les aliments. «Si vous voulez réchauffer un plat cuisiné au micro-onde, versez le contenu dans une assiette pour éviter que les phtalates pénètrent la nourriture», recommande encore le Pr Narbonne.
le figaro
Shampoings, jouets en plastiques Les phtalates sont partout dans notre quotidien. Une étude confirme que cette substance chimique diminue la production de testostérone chez les humains.
Des chercheurs avaient déjà constaté l'effet néfaste des phtalates (contenus dans certaines matières plastiques) sur la fertilité des rongeurs et chez les fœtus humains. Mais pour la première fois, une étude parue dans la revue britannique Human reproduction vient de confirmer que ces produits chimiques inhibent la production de testostérone sécrétée par les testicules de l'homme adulte.
Une baisse de 30% de la production de testostérone
Contenus dans une grande partie des objets en PVC souples (ballons, tuyaux d'arrosage…), les phtalates sont aussi présents dans des emballages alimentaires (produits laitiers) et dans des cosmétiques. Ayant déjà constaté les effets néfastes de cette substance sur les souris et dans un contexte de baisse de la fertilité, les chercheurs se sont penchés sur le cas de l'homme.
Trois équipes françaises (Institut de recherche sur la santé, l'environnement et le travail à Rennes, Institut national de la recherche agronomique à Toulouse, Laboratoire d'étude des résidus de contaminants dans les aliments à Nantes), ont contribué à ce travail de recherche. Elles ont travaillé sur deux types d'échantillons: d'une part des prélèvements sur des testicules de sujets atteints d'un cancer de la prostate, d'autre part, des cellules produisant une hormone se rapprochant de la testostérone. Après exposition de ces cellules à deux sortes de phtalates (DEHP et MEHP), la production de testostérone a chuté de 30% par rapport à celle des testicules non exposés.
Comme la testostérone stimule la production de spermatozoïdes, les phtalates ont pour conséquence de diminuer le taux de fertilité des hommes. Elles pourraient aussi avoir d'autres effets sur la santé en perturbant la libido et la puberté des hommes, qui inhaleraient, ingéreraient ou auraient un contact cutané avec ces produits chimiques. Un fœtus peut également être contaminé in utero, c'est-à-dire dans l'utérus de sa mère, selon des études précédentes.
Prendre de bonnes habitudes
Pour Jean-François Narbonne, professeur de toxicologie à l'université de Bordeaux et expert à l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation (Anses), «ces résultats n'ont rien d'étonnant, on le savait déjà depuis 25 ans», mais faut-il pour autant s'inquiéter? «Les produits contenant des phtalates ne sont pas à proscire mais il faut savoir les manipuler dans de bonnes conditions pour limiter son exposition».
Au quotidien, les phtalates nous entourent, qu'ils soient dans les cosmétiques, dans les poches de sang et les tubes à l'hôpital ou encore dans la peinture. «Les risques toxiques sont élevés quand on inhale ou on ingère des phtalates», souligne l'expert en toxicologie. «Je conseille aux femmes d'acheter des produits de beauté naturels et de regarder la composition de leur crème et de leur shampooing, préconise le professeur. Si vous avez envie de repeindre une pièce, munissez-vous d'un masque avec filtre pour vous protéger des vapeurs que vous risquez d'inhaler», ajoute-t-il.
Les phtalates contenus dans les boîtes en plastique et les films conservateurs peuvent facilement contaminer les aliments. «Si vous voulez réchauffer un plat cuisiné au micro-onde, versez le contenu dans une assiette pour éviter que les phtalates pénètrent la nourriture», recommande encore le Pr Narbonne.
le figaro
l' Ailge: TP:8.50 CG:13 ORAL:16.50 26 eme sr list comp PRISE 
Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente

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Re: Actualités 2012
Cigarette électronique : pourquoi la trouve-t-on encore en pharmacie ?
Dès juin 2011, l’Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS) recommandait de ne pas utiliser de cigarettes électroniques et rappelait que leur vente était interdite en pharmacie. Aujourd’hui pourtant, certains fabricants, publicité radiophonique aux heures de grande écoute à l’appui, annoncent que leurs produits sont toujours disponibles en officines ! Avec à la clé, des listes de revendeurs département par département. Contactées par téléphone, certaines de ces pharmacies nous ont d’ailleurs confirmé l’information. Au grand désarroi des autorités sanitaires…
« Notre avis est toujours d’actualité » explique-t-on à l’AFSSaPS. « La vente de cigarettes électroniques est toujours interdite en officine, et ce pour une raison très simple : ce procédé ne possède pas d’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM), contrairement aux patchs nicotiniques, par exemple ».
Des pharmaciens toujours pas "informés" ?
Pour les représentants de l’AFSSaPS, cette situation serait principalement due à « un manque d’information des pharmaciens, ce qui est surprenant un an après la parution de notre avis. Celles qui en proposent sont donc en infraction ».
L’Agence maintient également sa recommandation au public, de ne pas utiliser ces cigarettes électroniques. « Ces dispositifs peuvent contenir des quantités de nicotine susceptibles d’entraîner une exposition cutanée ou orale accidentelle, avec des effets indésirables graves, notamment chez les enfants » Et de conclure : « comme pour la cigarette classique, recourir aux cigarettes électroniques peut induire une dépendance, pour toute quantité de nicotine contenue dans les cartouches. Les utilisateurs qui n’étaient dépendants ni aux cigarettes, ni à la nicotine sont donc à un risque de dépendance primaire ».
Une député des Alpes-Maritimes sonne l’alerte
Cette question de la vente des cigarettes électroniques est plus que jamais d’actualité. Le 29 mars dernier, Muriel Marland-Militello, députée UMP de la 2e circonscription des Alpes-Martitimes a même interrogé le gouvernement sur ce sujet à l’Assemblée nationale. Elle a ainsi demandé « quelles mesures il comptait prendre pour s’assurer que cette information soit largement diffusée et que les cigarettes électroniques soient retirées au plus vite de toutes les pharmacies de notre territoire ».
La réponse ministérielle fut on ne peut plus technocratique : « les services de la DGCCRF ont enquêté auprès d’entreprises responsables de la mise sur le marché de ces produits, de responsables de sites internet, de pharmacies, de grossistes-répartiteurs et d’autres distributeurs. Les résultats de ces contrôles seront disponibles avant la fin de l’année ».
L’Ordre des Pharmaciens se dit surpris
Contacté par l’Agence de presse Destination Santé, le Conseil national de l’Ordre des Pharmaciens s’est dit étonné dans la mesure où « un article dans le bulletin professionnel a été rédigé pour exposer cette interdiction. ». Il n’a semble-t-il, pas eu l’effet escompté…
source : Interview d’un représentant de l’AFSSaPS, le 13 avril 2012 - Ordre national des Pharmaciens - http://marland-militello.fr/, consultés le 13 avril 2012
Destination Santé
Dès juin 2011, l’Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS) recommandait de ne pas utiliser de cigarettes électroniques et rappelait que leur vente était interdite en pharmacie. Aujourd’hui pourtant, certains fabricants, publicité radiophonique aux heures de grande écoute à l’appui, annoncent que leurs produits sont toujours disponibles en officines ! Avec à la clé, des listes de revendeurs département par département. Contactées par téléphone, certaines de ces pharmacies nous ont d’ailleurs confirmé l’information. Au grand désarroi des autorités sanitaires…
« Notre avis est toujours d’actualité » explique-t-on à l’AFSSaPS. « La vente de cigarettes électroniques est toujours interdite en officine, et ce pour une raison très simple : ce procédé ne possède pas d’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM), contrairement aux patchs nicotiniques, par exemple ».
Des pharmaciens toujours pas "informés" ?
Pour les représentants de l’AFSSaPS, cette situation serait principalement due à « un manque d’information des pharmaciens, ce qui est surprenant un an après la parution de notre avis. Celles qui en proposent sont donc en infraction ».
L’Agence maintient également sa recommandation au public, de ne pas utiliser ces cigarettes électroniques. « Ces dispositifs peuvent contenir des quantités de nicotine susceptibles d’entraîner une exposition cutanée ou orale accidentelle, avec des effets indésirables graves, notamment chez les enfants » Et de conclure : « comme pour la cigarette classique, recourir aux cigarettes électroniques peut induire une dépendance, pour toute quantité de nicotine contenue dans les cartouches. Les utilisateurs qui n’étaient dépendants ni aux cigarettes, ni à la nicotine sont donc à un risque de dépendance primaire ».
Une député des Alpes-Maritimes sonne l’alerte
Cette question de la vente des cigarettes électroniques est plus que jamais d’actualité. Le 29 mars dernier, Muriel Marland-Militello, députée UMP de la 2e circonscription des Alpes-Martitimes a même interrogé le gouvernement sur ce sujet à l’Assemblée nationale. Elle a ainsi demandé « quelles mesures il comptait prendre pour s’assurer que cette information soit largement diffusée et que les cigarettes électroniques soient retirées au plus vite de toutes les pharmacies de notre territoire ».
La réponse ministérielle fut on ne peut plus technocratique : « les services de la DGCCRF ont enquêté auprès d’entreprises responsables de la mise sur le marché de ces produits, de responsables de sites internet, de pharmacies, de grossistes-répartiteurs et d’autres distributeurs. Les résultats de ces contrôles seront disponibles avant la fin de l’année ».
L’Ordre des Pharmaciens se dit surpris
Contacté par l’Agence de presse Destination Santé, le Conseil national de l’Ordre des Pharmaciens s’est dit étonné dans la mesure où « un article dans le bulletin professionnel a été rédigé pour exposer cette interdiction. ». Il n’a semble-t-il, pas eu l’effet escompté…
source : Interview d’un représentant de l’AFSSaPS, le 13 avril 2012 - Ordre national des Pharmaciens - http://marland-militello.fr/, consultés le 13 avril 2012
Destination Santé
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Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente

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Re: Actualités 2012
Sommeil : le travail de nuit augmente le risque de diabète et d’obésité
Le travail de nuit ou en rotation qui perturbe le sommeil présente des dangers pour la santé, selon des chercheurs américains.
Si on en doutait encore, une étude américaine publiée dans la revue Science Translational Medicine confirme que "le sommeil est important pour la santé et que dormir la nuit est du meilleur effet".
Cette étude réalisée par des médecins du Brigham and Women's Hospital, aux Etats-Unis, montre les effets sur la santé d’un sommeil à des heures anormales. Les travailleurs de nuit qui dorment peu et au mauvais moment de la journée augmenteraient leur risque de diabète et d’être obèse, ont constaté les chercheurs.
Les scientifiques ont observé les modes de vie de 21 personnes, en s’intéressant à leur alimentation et leurs heures de sommeil. Les volontaires ont commencé à faire des nuits de dix heures. Cette période a été suivie par trois semaines d’interruption de leurs rythmes de sommeil. La longueur de la journée a été étendue artificiellement à 28 heures. Pour un effet semblable à un passager d’avion qui subirait un décalage horaire constant. Les participants n’ont pu dormir que 6 h30 pendant ces jours de 28h. Soit une durée de sommeil équivalente à moins de 6 heures pour une journée normale de 24 heures.
Pendant cette expérience, les volontaires ont rapidement montré des symptômes de diabète. Cela s’est traduit notamment par une augmentation du taux de glucose dans le sang après les repas, signe que le pancréas sécrétait moins d’insuline.
Mauvais sommeil : 5 kilos en plus par an
Les conclusions mettent en évidence l’impact d’un sommeil à des heures inhabituelles sur la régulation du taux de sucre par le corps.
Autrement dit, le manque de sommeil de façon répétée perturbe le rythme circadien (veille-sommeil) et a une conséquence directe sur les niveaux de sucre dans le sang. Un mauvais sommeil augmente le risque de diabète mais également celui de prendre du poids puisque l’organisme fonctionne moins bien. "Les changements métaboliques entraînent une prise de poids de plus de 5 kilos par an", ont noté les chercheurs.
top santé.com
Le travail de nuit ou en rotation qui perturbe le sommeil présente des dangers pour la santé, selon des chercheurs américains.
Si on en doutait encore, une étude américaine publiée dans la revue Science Translational Medicine confirme que "le sommeil est important pour la santé et que dormir la nuit est du meilleur effet".
Cette étude réalisée par des médecins du Brigham and Women's Hospital, aux Etats-Unis, montre les effets sur la santé d’un sommeil à des heures anormales. Les travailleurs de nuit qui dorment peu et au mauvais moment de la journée augmenteraient leur risque de diabète et d’être obèse, ont constaté les chercheurs.
Les scientifiques ont observé les modes de vie de 21 personnes, en s’intéressant à leur alimentation et leurs heures de sommeil. Les volontaires ont commencé à faire des nuits de dix heures. Cette période a été suivie par trois semaines d’interruption de leurs rythmes de sommeil. La longueur de la journée a été étendue artificiellement à 28 heures. Pour un effet semblable à un passager d’avion qui subirait un décalage horaire constant. Les participants n’ont pu dormir que 6 h30 pendant ces jours de 28h. Soit une durée de sommeil équivalente à moins de 6 heures pour une journée normale de 24 heures.
Pendant cette expérience, les volontaires ont rapidement montré des symptômes de diabète. Cela s’est traduit notamment par une augmentation du taux de glucose dans le sang après les repas, signe que le pancréas sécrétait moins d’insuline.
Mauvais sommeil : 5 kilos en plus par an
Les conclusions mettent en évidence l’impact d’un sommeil à des heures inhabituelles sur la régulation du taux de sucre par le corps.
Autrement dit, le manque de sommeil de façon répétée perturbe le rythme circadien (veille-sommeil) et a une conséquence directe sur les niveaux de sucre dans le sang. Un mauvais sommeil augmente le risque de diabète mais également celui de prendre du poids puisque l’organisme fonctionne moins bien. "Les changements métaboliques entraînent une prise de poids de plus de 5 kilos par an", ont noté les chercheurs.
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Re: Actualités 2012
Une thérapie cellulaire rend la vue à des malvoyants
INFOGRAPHIE - En France, des patients souffrant d'atteintes graves de la cornée ont été traités avec succès.
Comme un coup d'essuie-glace sur un pare-brise plein de boue. C'est l'impression qu'a eue dix-huit ans après son accident une femme de 40 ans opérée par l'équipe du Pr Carole Burillon, chef du service d'ophtalmologie de l'hôpital Édouard-Herriot (CHU Lyon). La spécialiste de la cornée a présenté mercredi les résultats d'une nouvelle technique chirurgicale lors d'une session de l'Académie de chirurgie consacrée à l'ingénierie tissulaire, cette nouvelle médecine qui consiste à fabriquer des tissus humains à partir de cellules et de milieux de cultures. «Des résultats originaux, solides, avec une méthodologie robuste», a commenté enthousiaste le Pr Jean-Michel Dubernard (Haute Autorité de santé).
Le cas de cette quadragénaire n'est toutefois pas isolé. Depuis 2007, l'équipe lyonnaise a opéré 26 patients en utilisant la même procédure. Il s'agissait de personnes dont la cornée des deux yeux était très abîmée et sujette à des ulcères douloureux en raison d'accidents (brûlures thermiques ou caustiques par de la soude ou de l'eau de javel par exemple), d'infections ou de maladies rares. Des pathologies qui toucheraient une cinquantaine de français chaque année.
Schématiquement, la surface d'un œil est formée d'une couche de cellules opaques (qui empêchent la lumière de passer), le blanc de l'œil ou conjonctive, interrompue en son centre par une couche de cellules transparentes, la cornée, qui forme comme un verre de montre. Entre ces deux zones, se trouvent une frontière cruciale, le limbe. Grâce à sa richesse en cellules souches, le limbe permet le renouvellement cellulaire, et surtout empêche les cellules opaques de la conjonctive d'envahir la zone transparente de la cornée. Lorsque ce limbe est détruit par accident, la cornée s'obscurcit. «C'est frustrant de penser que derrière la cornée malade il y a un œil sain», détaille le Pr Burillon.
Des résultats spectaculaires
D'où l'idée de traiter directement la cornée en greffant dessus des cellules cultivées. L'intervention se fait en plusieurs étapes. D'abord, on prélève des cellules dans la bouche des patients, environ 1 cm², sous anesthésie locale. Ces cellules sont ensuite mises en culture pendant quelques semaines sur un film en polymère thermolabile, l'UpCell-Insert fabriqué par une firme japonaise. Particularité de ce support, il libérera facilement la couche cellulaire cultivée à sa surface lorsqu'on le mettra en contact avec la cornée grâce à la basse température (20-22 °C) de cette dernière: «L'adhésion se fait spontanément comme si on avait mis de la colle forte sur la cornée», explique le Pr Burillon.
Grâce à cette autogreffe, si l'on excepte deux échecs (inflammation grave) et un patient dont les médecins sont restés sans nouvelles les résultats sont spectaculaires pour les autres: 22 sur 23 ont noté une amélioration de leur qualité de vie. Parmi les malades qui avaient au départ une vision basse, 11 sur 14 ont vu leur acuité visuelle nettement améliorée. Plus impressionnants encore, six des neufs patients initialement presque aveugles ont connu la même amélioration: en plus de l'autogreffe, ils ont dû bénéficier d'une greffe de cornée du fait d'une atteinte profonde, alors que les autres souffraient de lésions plus superficielles.
Pour le Dr François Malbrel (ophtalmologue à Lille), les avantages de la greffe autologue pour ces patients sont évidents: «On évite les rejets, on dispose d'un capital cellulaire à greffer conséquent, on évite d'affaiblir l'œil sain en cas d'atteinte unilatérale et enfin il n'existe pas de problème éthique tel que ceux rencontrés avec les cellules souches embryonnaires. De plus, cela permet dans la plupart des cas de guérir la pathologie cornéenne en rétablissant sa transparence et de ne pas devoir réaliser une greffe de cornée avec trois ans de recul.»
Fort de ses résultats, l'équipe lyonnaise espère obtenir d'ici à la fin 2012 une autorisation spéciale (ATU) pour poursuivre ses essais et lancer bientôt une étude européenne.
le figaro
INFOGRAPHIE - En France, des patients souffrant d'atteintes graves de la cornée ont été traités avec succès.
Comme un coup d'essuie-glace sur un pare-brise plein de boue. C'est l'impression qu'a eue dix-huit ans après son accident une femme de 40 ans opérée par l'équipe du Pr Carole Burillon, chef du service d'ophtalmologie de l'hôpital Édouard-Herriot (CHU Lyon). La spécialiste de la cornée a présenté mercredi les résultats d'une nouvelle technique chirurgicale lors d'une session de l'Académie de chirurgie consacrée à l'ingénierie tissulaire, cette nouvelle médecine qui consiste à fabriquer des tissus humains à partir de cellules et de milieux de cultures. «Des résultats originaux, solides, avec une méthodologie robuste», a commenté enthousiaste le Pr Jean-Michel Dubernard (Haute Autorité de santé).
Le cas de cette quadragénaire n'est toutefois pas isolé. Depuis 2007, l'équipe lyonnaise a opéré 26 patients en utilisant la même procédure. Il s'agissait de personnes dont la cornée des deux yeux était très abîmée et sujette à des ulcères douloureux en raison d'accidents (brûlures thermiques ou caustiques par de la soude ou de l'eau de javel par exemple), d'infections ou de maladies rares. Des pathologies qui toucheraient une cinquantaine de français chaque année.
Schématiquement, la surface d'un œil est formée d'une couche de cellules opaques (qui empêchent la lumière de passer), le blanc de l'œil ou conjonctive, interrompue en son centre par une couche de cellules transparentes, la cornée, qui forme comme un verre de montre. Entre ces deux zones, se trouvent une frontière cruciale, le limbe. Grâce à sa richesse en cellules souches, le limbe permet le renouvellement cellulaire, et surtout empêche les cellules opaques de la conjonctive d'envahir la zone transparente de la cornée. Lorsque ce limbe est détruit par accident, la cornée s'obscurcit. «C'est frustrant de penser que derrière la cornée malade il y a un œil sain», détaille le Pr Burillon.
Des résultats spectaculaires
D'où l'idée de traiter directement la cornée en greffant dessus des cellules cultivées. L'intervention se fait en plusieurs étapes. D'abord, on prélève des cellules dans la bouche des patients, environ 1 cm², sous anesthésie locale. Ces cellules sont ensuite mises en culture pendant quelques semaines sur un film en polymère thermolabile, l'UpCell-Insert fabriqué par une firme japonaise. Particularité de ce support, il libérera facilement la couche cellulaire cultivée à sa surface lorsqu'on le mettra en contact avec la cornée grâce à la basse température (20-22 °C) de cette dernière: «L'adhésion se fait spontanément comme si on avait mis de la colle forte sur la cornée», explique le Pr Burillon.
Grâce à cette autogreffe, si l'on excepte deux échecs (inflammation grave) et un patient dont les médecins sont restés sans nouvelles les résultats sont spectaculaires pour les autres: 22 sur 23 ont noté une amélioration de leur qualité de vie. Parmi les malades qui avaient au départ une vision basse, 11 sur 14 ont vu leur acuité visuelle nettement améliorée. Plus impressionnants encore, six des neufs patients initialement presque aveugles ont connu la même amélioration: en plus de l'autogreffe, ils ont dû bénéficier d'une greffe de cornée du fait d'une atteinte profonde, alors que les autres souffraient de lésions plus superficielles.
Pour le Dr François Malbrel (ophtalmologue à Lille), les avantages de la greffe autologue pour ces patients sont évidents: «On évite les rejets, on dispose d'un capital cellulaire à greffer conséquent, on évite d'affaiblir l'œil sain en cas d'atteinte unilatérale et enfin il n'existe pas de problème éthique tel que ceux rencontrés avec les cellules souches embryonnaires. De plus, cela permet dans la plupart des cas de guérir la pathologie cornéenne en rétablissant sa transparence et de ne pas devoir réaliser une greffe de cornée avec trois ans de recul.»
Fort de ses résultats, l'équipe lyonnaise espère obtenir d'ici à la fin 2012 une autorisation spéciale (ATU) pour poursuivre ses essais et lancer bientôt une étude européenne.
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Re: Actualités 2012
Autisme: le Dr Bokobza répond à L'Express[/b]
En réponse à sa propre interview publiée le 18 mars sur L'Express, le Dr Hervé Bokobza, psychiatre retraité et membre fondateur du collectif des 39 contre la Nuit Sécuritaire, nous demande de publier le droit de réponse suivant.
Pourquoi publions-nous ce droit de réponse?
Précisons que cette interview, mise en ligne au lendemain d'un important meeting du collectif des 39, a été enregistrée. Les propos ont donc été fidèlement retranscrits. Ils n'en ont pas moins suscité de très fortes réactions, notamment sur Internet. Et pour cause.
La question du traitement de l'autisme suscite, en France, un débat houleux, violent, largement méconnu des non-initiés. Deux camps s'y affrontent sans relâche. D'un côté, celui des psychiatres psychanalystes, comme le Dr Bokobza, convaincus que l'autisme est, avant tout, le symptôme d'un mal-être, susceptible d'être soigné comme tel. De l'autre, celui de psychologues, pour qui l'autisme est d'abord un handicap, avec lequel enfants, famille, enseignants doivent impérativement apprendre à composer s'ils souhaitent permettre aux jeunes patients d'évoluer et de s'épanouir.
Le 8 mars, la Haute autorité de santé (HAS) désavouait la psychanalyse dans le traitement de l'autisme, lui préférant d'autres approches aux résultats plus concrets - quoique jamais miraculeux. Le rôle des psychanalystes dans l'accompagnement des familles concernées n'est ici pas remis en cause.
Mais ce verdict a fait l'effet d'une bombe. Saluant ce qu'ils ont perçu comme une reconnaissance de leur combat contre une vision psychanalysante (et culpabilisante) de l'autisme, des parents ont crié victoire - tandis que des psychanalystes criaient, eux, au lynchage. Il y eut des échanges houleux. Des règlements de compte à peine voilé. Jusqu'à cette fameuse interview.
En qualifiant ses opposants de groupes "très minoritaires" et "manipulés", le porte-parole du collectif des 39 a fait resurgir, visiblement sans le vouloir, la hache de guerre. Mais pas seulement. En insinuant que les parents se berçaient d'illusions s'ils croyaient "n'être pour rien" dans l'autisme de leur enfant, il a également écorné durablement la réputation de ses pairs.
Dans son droit de réponse, le Dr Bokobza ne revient pas sur le fond de ses propos, laissés, une fois encore, au seul jugement des lecteurs internautes. Jugeant toutefois que son interview ne reflétait "que très partiellement" ses propos, il a simplement souhaité y apporter des précisions. Dont acte.
Le droit de réponse du Docteur Hervé Bokobza
"Je considère que les propos qui me sont attribués dans l'interview publiée sur le site de L'Express le 16 mars ne reflètent que très partiellement mes propos, voire les dénaturent.
Je me permets de préciser certains points.
Je pense que la psychiatrie est au carrefour de plusieurs disciplines: médicale, biologique, psychologique, psychanalytique, sociale, génétique, philosophique, etc. Et à ce titre je réfute les points de vue qui tentent de réduire la pathologie ou les troubles du développement à une seule de ces disciplines.
La psychanalyse est un formidable objet de travail
Actuellement une campagne d'une rare violence, appuyée sur des certitudes bien étranges, affirme que la psychanalyse n'aurait rien à voir, à faire, ou à dire concernant l'autisme. J'ai tenté d'exprimer mon profond désaccord sur cette vision réductionniste du sujet: les enfants autistes ont un inconscient comme les autres êtres humains et leurs souffrances et leurs angoisses sont aussi, comme pour tout le monde, aux prises avec les vicissitudes de la vie environnementale et relationnelle. En ce sens l'apport de l'outil psychanalytique est important si l'on veut aider des éducateurs ou des pédagogues à soutenir leur relation avec les enfants dont ils s'occupent, ou bien aider les parents qui le demandent à se dégager quelque peu de leur difficulté (détresse, angoisse, culpabilité) pour mieux pouvoir répondre aux besoins et désirs de leurs enfants. Il est aussi fort utile quand il s'agit de repérer dans une institution les mécanismes de rejet ou d'exclusion (ou de pitié) sécrétés par les difficultés de cette pratique qui demande d'entrer en négociation permanente avec soi, avec son intimité.
Ai-je bien fait, aurais-je du dire cela, faut il me comporter comme ça, être comme cela, pourquoi pensais-je cela etc.? Ces questions les plus humaines qui soient que tout soignant, tout éducateur, tout parent ne manque pas de se poser en permanence il n'y a aucune technique au monde qui permette d'en faire l'économie.
Il faudrait choisir entre la psychanalyse et une technique d'intervention éducative et pédagogique
Parce qu'elle propose une théorie (certes bien inachevée) du fonctionnement psychique humain et des enjeux relationnels qui en découlent, la psychanalyse est dans ce sens un formidable outil de travail. Pourquoi vouloir à tout prix lui dénier cette spécificité, cette richesse ? Pourquoi ne vouloir s'appuyer que sur les pratiques inacceptables d'une très petite minorité de psychanalystes pour organiser une attaque d'envergure contre la psychanalyse? Pourquoi entretenir des confusions de niveau invraisemblables entre la psychanalyse, les psychanalystes, la cure psychanalytiques, les psychiatres ? Pourquoi vouloir exclure du champ de la prise en charge des enfants autistes une théorisation qui depuis plus d'un siècle est devenu un fait de culture?
Serait ainsi posée une question qui ne devrait pas avoir lieu d'être: il faudrait choisir entre psychanalyse et une technique éducative et pédagogique! Comme si ces deux champs d'intervention se situaient sur le même plan!
Comment accepter de "divise " un enfant de cette manière?
Aussi je soutiens que ceux qui, telle que la haute autorité de santé (HAS) veulent faire croire que certaines techniques, parce qu'elles seraient "les plus évaluables" doivent être utilisées seules, à l'exclusion de toutes les autres, sont des marchands d'illusion, à la solde d'une normativité bien inquiétante. Qui plus est beaucoup de chercheurs et de pédagogues (non psychanalystes!) s'interrogent sur le bien-fondé de bon nombre de ces techniques.
Exiger des pouvoirs publics des moyens supplémentaires
Aussi, et contrairement au titre choisi par L'Express pour illustrer mon interview, ce ne sont pas les psychanalystes qui vont entrer en résistance mais les milliers de personnes qui, travaillant en équipes pluridisciplinaires, accueillent, partagent accompagnent la souffrance des enfants et des parents, au quotidien, en permanence. Ces équipes médico-éducatives refusent des diktats venant de l'extérieur qui tentent de formater leur travail en leur imposant des techniques assimilables à des "kit de bonne conduite". Elles veulent continuer à s'émouvoir autant d'un sourire ou d'un regard franc que de l'apprentissage d'une table de multiplication.
Tous soutiennent notre collègue, le professeur Pierre Delion (et non pas "le professeur de Lyon" comme il était écrit!), modèle d'ouverture, d'humanité et d'intelligence, harcelé depuis des années et quelquefois menacé par des personnes qui ne veulent ou ne peuvent rien entendre de la complexité des situations singulières de chaque enfant qui souffre. Nous savons tous que le vocable "autiste" recouvre des pathologies allant de la plus légère à la plus handicapante.
Toutes ces polémiques permettent hélas d'éviter une question centrale: comment les équipes de soins et les parents peuvent ils s'unir pour exiger des pouvoirs publics des moyens supplémentaires en personnels et en institutions pour s'occuper des enfants autistes? Nous alertions dés le début des années 2000 les pouvoirs publics de ces graves problèmes, nous avons organisé les Etats généraux de la psychiatrie pour cette raison, publié un livre ("la psychiatrie en péril") pour cette raison, organisé de nombreuses manifestations pour cette raison: un déni de démocratie existe non pas quand des idées font l'objet de débat quelquefois vifs mais quand dans notre pays un trop de familles sont confrontées dramatiquement à la recherche d'une place pour leur enfant!"
l'express
En réponse à sa propre interview publiée le 18 mars sur L'Express, le Dr Hervé Bokobza, psychiatre retraité et membre fondateur du collectif des 39 contre la Nuit Sécuritaire, nous demande de publier le droit de réponse suivant.
Pourquoi publions-nous ce droit de réponse?
Précisons que cette interview, mise en ligne au lendemain d'un important meeting du collectif des 39, a été enregistrée. Les propos ont donc été fidèlement retranscrits. Ils n'en ont pas moins suscité de très fortes réactions, notamment sur Internet. Et pour cause.
La question du traitement de l'autisme suscite, en France, un débat houleux, violent, largement méconnu des non-initiés. Deux camps s'y affrontent sans relâche. D'un côté, celui des psychiatres psychanalystes, comme le Dr Bokobza, convaincus que l'autisme est, avant tout, le symptôme d'un mal-être, susceptible d'être soigné comme tel. De l'autre, celui de psychologues, pour qui l'autisme est d'abord un handicap, avec lequel enfants, famille, enseignants doivent impérativement apprendre à composer s'ils souhaitent permettre aux jeunes patients d'évoluer et de s'épanouir.
Le 8 mars, la Haute autorité de santé (HAS) désavouait la psychanalyse dans le traitement de l'autisme, lui préférant d'autres approches aux résultats plus concrets - quoique jamais miraculeux. Le rôle des psychanalystes dans l'accompagnement des familles concernées n'est ici pas remis en cause.
Mais ce verdict a fait l'effet d'une bombe. Saluant ce qu'ils ont perçu comme une reconnaissance de leur combat contre une vision psychanalysante (et culpabilisante) de l'autisme, des parents ont crié victoire - tandis que des psychanalystes criaient, eux, au lynchage. Il y eut des échanges houleux. Des règlements de compte à peine voilé. Jusqu'à cette fameuse interview.
En qualifiant ses opposants de groupes "très minoritaires" et "manipulés", le porte-parole du collectif des 39 a fait resurgir, visiblement sans le vouloir, la hache de guerre. Mais pas seulement. En insinuant que les parents se berçaient d'illusions s'ils croyaient "n'être pour rien" dans l'autisme de leur enfant, il a également écorné durablement la réputation de ses pairs.
Dans son droit de réponse, le Dr Bokobza ne revient pas sur le fond de ses propos, laissés, une fois encore, au seul jugement des lecteurs internautes. Jugeant toutefois que son interview ne reflétait "que très partiellement" ses propos, il a simplement souhaité y apporter des précisions. Dont acte.
Le droit de réponse du Docteur Hervé Bokobza
"Je considère que les propos qui me sont attribués dans l'interview publiée sur le site de L'Express le 16 mars ne reflètent que très partiellement mes propos, voire les dénaturent.
Je me permets de préciser certains points.
Je pense que la psychiatrie est au carrefour de plusieurs disciplines: médicale, biologique, psychologique, psychanalytique, sociale, génétique, philosophique, etc. Et à ce titre je réfute les points de vue qui tentent de réduire la pathologie ou les troubles du développement à une seule de ces disciplines.
La psychanalyse est un formidable objet de travail
Actuellement une campagne d'une rare violence, appuyée sur des certitudes bien étranges, affirme que la psychanalyse n'aurait rien à voir, à faire, ou à dire concernant l'autisme. J'ai tenté d'exprimer mon profond désaccord sur cette vision réductionniste du sujet: les enfants autistes ont un inconscient comme les autres êtres humains et leurs souffrances et leurs angoisses sont aussi, comme pour tout le monde, aux prises avec les vicissitudes de la vie environnementale et relationnelle. En ce sens l'apport de l'outil psychanalytique est important si l'on veut aider des éducateurs ou des pédagogues à soutenir leur relation avec les enfants dont ils s'occupent, ou bien aider les parents qui le demandent à se dégager quelque peu de leur difficulté (détresse, angoisse, culpabilité) pour mieux pouvoir répondre aux besoins et désirs de leurs enfants. Il est aussi fort utile quand il s'agit de repérer dans une institution les mécanismes de rejet ou d'exclusion (ou de pitié) sécrétés par les difficultés de cette pratique qui demande d'entrer en négociation permanente avec soi, avec son intimité.
Ai-je bien fait, aurais-je du dire cela, faut il me comporter comme ça, être comme cela, pourquoi pensais-je cela etc.? Ces questions les plus humaines qui soient que tout soignant, tout éducateur, tout parent ne manque pas de se poser en permanence il n'y a aucune technique au monde qui permette d'en faire l'économie.
Il faudrait choisir entre la psychanalyse et une technique d'intervention éducative et pédagogique
Parce qu'elle propose une théorie (certes bien inachevée) du fonctionnement psychique humain et des enjeux relationnels qui en découlent, la psychanalyse est dans ce sens un formidable outil de travail. Pourquoi vouloir à tout prix lui dénier cette spécificité, cette richesse ? Pourquoi ne vouloir s'appuyer que sur les pratiques inacceptables d'une très petite minorité de psychanalystes pour organiser une attaque d'envergure contre la psychanalyse? Pourquoi entretenir des confusions de niveau invraisemblables entre la psychanalyse, les psychanalystes, la cure psychanalytiques, les psychiatres ? Pourquoi vouloir exclure du champ de la prise en charge des enfants autistes une théorisation qui depuis plus d'un siècle est devenu un fait de culture?
Serait ainsi posée une question qui ne devrait pas avoir lieu d'être: il faudrait choisir entre psychanalyse et une technique éducative et pédagogique! Comme si ces deux champs d'intervention se situaient sur le même plan!
Comment accepter de "divise " un enfant de cette manière?
Aussi je soutiens que ceux qui, telle que la haute autorité de santé (HAS) veulent faire croire que certaines techniques, parce qu'elles seraient "les plus évaluables" doivent être utilisées seules, à l'exclusion de toutes les autres, sont des marchands d'illusion, à la solde d'une normativité bien inquiétante. Qui plus est beaucoup de chercheurs et de pédagogues (non psychanalystes!) s'interrogent sur le bien-fondé de bon nombre de ces techniques.
Exiger des pouvoirs publics des moyens supplémentaires
Aussi, et contrairement au titre choisi par L'Express pour illustrer mon interview, ce ne sont pas les psychanalystes qui vont entrer en résistance mais les milliers de personnes qui, travaillant en équipes pluridisciplinaires, accueillent, partagent accompagnent la souffrance des enfants et des parents, au quotidien, en permanence. Ces équipes médico-éducatives refusent des diktats venant de l'extérieur qui tentent de formater leur travail en leur imposant des techniques assimilables à des "kit de bonne conduite". Elles veulent continuer à s'émouvoir autant d'un sourire ou d'un regard franc que de l'apprentissage d'une table de multiplication.
Tous soutiennent notre collègue, le professeur Pierre Delion (et non pas "le professeur de Lyon" comme il était écrit!), modèle d'ouverture, d'humanité et d'intelligence, harcelé depuis des années et quelquefois menacé par des personnes qui ne veulent ou ne peuvent rien entendre de la complexité des situations singulières de chaque enfant qui souffre. Nous savons tous que le vocable "autiste" recouvre des pathologies allant de la plus légère à la plus handicapante.
Toutes ces polémiques permettent hélas d'éviter une question centrale: comment les équipes de soins et les parents peuvent ils s'unir pour exiger des pouvoirs publics des moyens supplémentaires en personnels et en institutions pour s'occuper des enfants autistes? Nous alertions dés le début des années 2000 les pouvoirs publics de ces graves problèmes, nous avons organisé les Etats généraux de la psychiatrie pour cette raison, publié un livre ("la psychiatrie en péril") pour cette raison, organisé de nombreuses manifestations pour cette raison: un déni de démocratie existe non pas quand des idées font l'objet de débat quelquefois vifs mais quand dans notre pays un trop de familles sont confrontées dramatiquement à la recherche d'une place pour leur enfant!"
l'express
l' Ailge: TP:8.50 CG:13 ORAL:16.50 26 eme sr list comp PRISE 
Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente

Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Mémo je trouve ton plan bien, les aménagements ne m'ont pas paru disproportionné par rapport au reste!
Pour ce qui est de L'organisation du système hospitalier, je vais faire un mélange de nos deux plans, ça me semble bien complet comme ça
Mila974, ça me rassure je trouvais que justement je restais trop vague sur le sujet!
Les obstacles quotidiens de l'handicapé moteur
Intro : Def handicap en général.
- Image social : regard dévalorisant des autres personnes
- Pb Accès au logement : étudiants, logement inadapté,
- Pb financiers : allocation insuffisante, prête refusés
- Accès à un emploi : Discrimination. Difficulté emploi stable et valorisant.
- Accès aux transport en commun : Equipement inadapté
- Pb vie familiale : Dépendance
- Accès à l'éducation : Établissement insuffisamment équipé surtout ceux du secondaire et les universités.
CCL : On préfère parlé aujourd'hui de personne en situation de handicap et non de personne handicapée, laissant ainsi entendre que c'est à la société de s'adapter et non à la personne.
Voilà mes idées, mais je n'ai pas de plan... Alors Mémo tu t'en es sorti mieux que moi!
Pour ce qui est de L'organisation du système hospitalier, je vais faire un mélange de nos deux plans, ça me semble bien complet comme ça

Mila974, ça me rassure je trouvais que justement je restais trop vague sur le sujet!

Les obstacles quotidiens de l'handicapé moteur
Intro : Def handicap en général.
- Image social : regard dévalorisant des autres personnes
- Pb Accès au logement : étudiants, logement inadapté,
- Pb financiers : allocation insuffisante, prête refusés
- Accès à un emploi : Discrimination. Difficulté emploi stable et valorisant.
- Accès aux transport en commun : Equipement inadapté
- Pb vie familiale : Dépendance
- Accès à l'éducation : Établissement insuffisamment équipé surtout ceux du secondaire et les universités.
CCL : On préfère parlé aujourd'hui de personne en situation de handicap et non de personne handicapée, laissant ainsi entendre que c'est à la société de s'adapter et non à la personne.
Voilà mes idées, mais je n'ai pas de plan... Alors Mémo tu t'en es sorti mieux que moi!
"Si le destin vous offre encore de quoi vous combler, c'est que le peu que vous ayez puisse encore vous aller"
"Le mieux est l'ennemi du bien"
"Le mieux est l'ennemi du bien"
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
“La communauté des personnes handicapées représente actuellement la plus grande minorité du monde. Contrairement aux réfugiés et aux victimes des persécutions religieuses et raciales, les personnes handicapées n’ont pas automatiquement droit à la protection des lois internationales".
Perez de Cuellar, ancien Secrétaire général des Nations-Unies
Perez de Cuellar, ancien Secrétaire général des Nations-Unies
"Si le destin vous offre encore de quoi vous combler, c'est que le peu que vous ayez puisse encore vous aller"
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Comme dans la conclusion de ma réponse à la problématique "Décrivez l'organisation du système de soin hospitalier" je faisais un lien entre évolution du système hospitalier et évolution du métier d'infirmière, voilà un lien intéressant si vous voulez vous y intéressez de plus près
http://www.fsi.usj.edu.lb/anciens/journal2007/arti7.pdf

http://www.fsi.usj.edu.lb/anciens/journal2007/arti7.pdf
"Si le destin vous offre encore de quoi vous combler, c'est que le peu que vous ayez puisse encore vous aller"
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
“La communauté des personnes handicapées représente actuellement la plus grande minorité du monde. Contrairement aux réfugiés et aux victimes des persécutions religieuses et raciales, les personnes handicapées n’ont pas automatiquement droit à la protection des lois internationales".
Perez de Cuellar, ancien Secrétaire général des Nations-Unies
Les personnes handicapé
_Acquis
_Congénitale
Différentes sorte de handicap
_Moteur
_Sensorielle
_Mentale
Prise en charge mondiale
_Dans les pays en voie de développement
-Prévention minime: Travailleur sans aucune protection...
-Chemin en terre, un professeur pour tous les élèves d'un village, dispensaire éloigné des villages...
=> Accès difficile pour les persones handicapés à l'école, au travail, à la santé
_En France
-Prévention importante accident de la route, accident du travail (casque de protection, lunette), test génétique
-Loi de 2005
-Mais beaucoup de bus encore non adapté, école mais manque d'AVS (Assistant de Vie Scolaire), manque de rampe et de barre....Manque d'école adapté pour l'autisme...
Plus facile pour les réfugiés....
-Prise en charge sur le court terme plus visible!!! Envoie de vivre, Action au niveau des collectivités, de l'état pour changer les mentalités...
-Handicap changement des aménagements!! Augmentation de personnel qu'il faut former!! Donc sur plus long terme, non automatique!!
CClusion: Il est important d'adapté les espaces communs pour permettre aux personnes en situation de handicap d'avoir accès aux mêmes droits que nous. Face aux situations discriminantes: la Halde (le nom a changer mais là tout de suite je me souviens plus.....
) peut agir!!
Voilà, en dix minutes...
Mel!!! Merci pour le sujet!! Et merci pour le lien!!
Pour le sujet sur le système de soin hospitalier, je suis d'accord un mixe de nos deux plans serait parfait.
Pour le sujet du les handicapés en faites je l'ai classé comme ça parce qu'il y avait le mot "au quotidien". Donc je me suis dit qu'est ce que je fais dans la journée et en quoi ça pourrait être invalidant pour une personne en fauteuil... Après ils précisaient pas si c'était des béquilles (platre), un amputement(avec ou sans prothèse) ou en fauteuil. Donc j'ai pris celui pour lequel je trouvais le plus de chose à dire...
Mais nos idées se recoupent, tu en as même quelques une en plus
Et comme toujours une super conclusion!!
Tu crois qu'on peux passer le concours à deux???

Perez de Cuellar, ancien Secrétaire général des Nations-Unies
Les personnes handicapé
_Acquis
_Congénitale
Différentes sorte de handicap
_Moteur
_Sensorielle
_Mentale
Prise en charge mondiale
_Dans les pays en voie de développement
-Prévention minime: Travailleur sans aucune protection...
-Chemin en terre, un professeur pour tous les élèves d'un village, dispensaire éloigné des villages...
=> Accès difficile pour les persones handicapés à l'école, au travail, à la santé
_En France
-Prévention importante accident de la route, accident du travail (casque de protection, lunette), test génétique
-Loi de 2005
-Mais beaucoup de bus encore non adapté, école mais manque d'AVS (Assistant de Vie Scolaire), manque de rampe et de barre....Manque d'école adapté pour l'autisme...
Plus facile pour les réfugiés....
-Prise en charge sur le court terme plus visible!!! Envoie de vivre, Action au niveau des collectivités, de l'état pour changer les mentalités...
-Handicap changement des aménagements!! Augmentation de personnel qu'il faut former!! Donc sur plus long terme, non automatique!!
CClusion: Il est important d'adapté les espaces communs pour permettre aux personnes en situation de handicap d'avoir accès aux mêmes droits que nous. Face aux situations discriminantes: la Halde (le nom a changer mais là tout de suite je me souviens plus.....

Voilà, en dix minutes...

Mel!!! Merci pour le sujet!! Et merci pour le lien!!
Pour le sujet sur le système de soin hospitalier, je suis d'accord un mixe de nos deux plans serait parfait.

Pour le sujet du les handicapés en faites je l'ai classé comme ça parce qu'il y avait le mot "au quotidien". Donc je me suis dit qu'est ce que je fais dans la journée et en quoi ça pourrait être invalidant pour une personne en fauteuil... Après ils précisaient pas si c'était des béquilles (platre), un amputement(avec ou sans prothèse) ou en fauteuil. Donc j'ai pris celui pour lequel je trouvais le plus de chose à dire...

Mais nos idées se recoupent, tu en as même quelques une en plus

Et comme toujours une super conclusion!!
Tu crois qu'on peux passer le concours à deux???


Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Waoooouh Mémo! Quelle inspiration! Je mettais juste ce petit paragraphe en guise d'info, mais comme tu t'es bien débrouillée !
Respect!
BRAVO !





Respect!
BRAVO !




"Si le destin vous offre encore de quoi vous combler, c'est que le peu que vous ayez puisse encore vous aller"
"Le mieux est l'ennemi du bien"
"Le mieux est l'ennemi du bien"
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
J'aimerais tellement qu'on puisse le passer à deux
Je me suis présentée à un IFSI où la préparation de 10 min à l'oral, on le fait par groupe et après ils nous font faire notre exposé et l'entretien séparées!
Une petite problématique pour la route :
LE SIDA


Je me suis présentée à un IFSI où la préparation de 10 min à l'oral, on le fait par groupe et après ils nous font faire notre exposé et l'entretien séparées!
Une petite problématique pour la route :
LE SIDA
"Si le destin vous offre encore de quoi vous combler, c'est que le peu que vous ayez puisse encore vous aller"
"Le mieux est l'ennemi du bien"
"Le mieux est l'ennemi du bien"
Re: Fiches culture générale 2012
oui mais ça c'était les écrits!