TFE : Relation soignant/soigné en psy,ses difficultés,peurs
Modérateurs : Modérateurs, ESI - TFE
Re: TFE: la peur du soignant en psychiatrie
Merci beaucoup Dino, pour cette réponse intéressante également
Infirmière promotion 2009/2012
Tout début en psychiatrie, et compte bien y rester !!!
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Re: TFE: la peur du soignant en psychiatrie
...je ten prie, tu vas me faire rougir 
lol... Allez, à plus... 
lol... Allez, à plus... 
Re: TFE: la peur du soignant en psychiatrie
Depuis quelques années, plusieurs faits divers tragiques ont contribué à écarter encore davantage les malades mentaux de la société dont ils font pourtant partie. Tandis que les reportages sensationnalistes sur les Unités pour malades difficiles (UMD) se multiplient, la majorité des patients atteints de troubles psychiques est ainsi oubliée. "Seuls 2 % des schizophrènes sont des malades dangereux", rappelle justement Colette Laury.
Inspirée du modèle créé par Alfredo Olivera en Argentine, Radio Citron est en quelque sorte la cousine française de la Colifata, la radio de l'hôpital psychiatrique de Buenos Aires qui connaît un grand succès. Elle s'inscrit dans un projet global et passionnant, à la fois thérapeutique et sociétal, initié par la psychothérapie institutionnelle.
Lire aussi LE MUST en psy et +indémodable+ mais mal vu politiquement:
"Une voie française pour une psychiatrie différente"
Document établi à la demande de M. Jack RALITE, Ministre de la Santé,
Coordinateurs : Docteurs M. et J. Demay
Juillet 1982
Inspirée du modèle créé par Alfredo Olivera en Argentine, Radio Citron est en quelque sorte la cousine française de la Colifata, la radio de l'hôpital psychiatrique de Buenos Aires qui connaît un grand succès. Elle s'inscrit dans un projet global et passionnant, à la fois thérapeutique et sociétal, initié par la psychothérapie institutionnelle.
Lire aussi LE MUST en psy et +indémodable+ mais mal vu politiquement:
"Une voie française pour une psychiatrie différente"
Document établi à la demande de M. Jack RALITE, Ministre de la Santé,
Coordinateurs : Docteurs M. et J. Demay
Juillet 1982
Re: TFE: la peur du soignant en psychiatrie
merci beaucoup,clst. Je jetterais un oeil sur les documents dont tu m'as parlé. merci encore
Infirmière promotion 2009/2012
Tout début en psychiatrie, et compte bien y rester !!!
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-
breton hurlant
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- Inscription : 29 juin 2007 23:04
- Localisation : Cholet
Re: TFE: la peur du soignant en psychiatrie
Bonjour,
Vous vous posez un questionnement plus qu'une question! Dans votre réflexion vous venez questionner ce qui nous permet d'être soignant, c'est-à-dire notre capacité à rencontrer celui qui pour le commun des mortels est différent, étrange voire étranger à ce qui pour nous est "être humain"...
formateur en soins infirmier en santé mentale, c'est la question, centrale de mon point de vue, à laquelle nous sommes confrontés dans le soin en santé mentale... comment pouvons nous regarder cet autre d'abord comme un être humain avant de le voir - de façon réductrice - comme un malade ou un patient. Cela questionne notre représentation de la folie, de la maladie mentale et c'est peut être un domaine qu'il vous serait utile d'approfondir pour pouvoir, dans un deuxième temps questionner "ce qui fait soin" pour cet autre.
Autre piste complémentaire, à partir du concept d'empathie... Nous regardons autrui à travers l'être que nous sommes nous même, pour faire court, nous sommes notre propre outil de travail! nous percevons l'autre à travers qui nous sommes et ce qui fait de nous un professionnel du soin est notre capacité à "lire la situation" à travers nos émotions et affects généré par l'autre et la situation relationnelle dans laquelle il nous invite et à lui faire "retour" à partir de notre capacité cognitive, notre capacité à "penser l'autre pour le panser"...
à votre disposition et cordialement
Yves JAUNAY
Vous vous posez un questionnement plus qu'une question! Dans votre réflexion vous venez questionner ce qui nous permet d'être soignant, c'est-à-dire notre capacité à rencontrer celui qui pour le commun des mortels est différent, étrange voire étranger à ce qui pour nous est "être humain"...
formateur en soins infirmier en santé mentale, c'est la question, centrale de mon point de vue, à laquelle nous sommes confrontés dans le soin en santé mentale... comment pouvons nous regarder cet autre d'abord comme un être humain avant de le voir - de façon réductrice - comme un malade ou un patient. Cela questionne notre représentation de la folie, de la maladie mentale et c'est peut être un domaine qu'il vous serait utile d'approfondir pour pouvoir, dans un deuxième temps questionner "ce qui fait soin" pour cet autre.
Autre piste complémentaire, à partir du concept d'empathie... Nous regardons autrui à travers l'être que nous sommes nous même, pour faire court, nous sommes notre propre outil de travail! nous percevons l'autre à travers qui nous sommes et ce qui fait de nous un professionnel du soin est notre capacité à "lire la situation" à travers nos émotions et affects généré par l'autre et la situation relationnelle dans laquelle il nous invite et à lui faire "retour" à partir de notre capacité cognitive, notre capacité à "penser l'autre pour le panser"...
à votre disposition et cordialement
Yves JAUNAY
Re: TFE: la peur du soignant en psychiatrie
Je vous remercie d'avoir pris la peine de répondre à ce post! votre réponse m'est intéressante et aborde un aspect que j'avais omis. merci encore
Infirmière promotion 2009/2012
Tout début en psychiatrie, et compte bien y rester !!!
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Re: TFE: la peur du soignant en psychiatrie
Je me permets de relancer ce sujet, par le biais de nouvelles questions. Je vous remercie d'avance pour toute l'aide que vous m'apporterez 
- comment gérez vous vos émotions?
- si je vous dis la phrase suivante, "la peur n'a pas sa place dans la relation de soins" est-ce toujours vrai?
- selon vous, faudrait-il une une formation particulière à la gestion de l'agressivité durant les études en IFSI?
- quelles stratégies, mettez vous en place, pour prévenir ce sentiment de peur dans la relation soignant, soigné?
- quelles sont les répercussions de la peur du soignant sur la relation avec le patient?
Encore merci pour vos réponses
- comment gérez vous vos émotions?
- si je vous dis la phrase suivante, "la peur n'a pas sa place dans la relation de soins" est-ce toujours vrai?
- selon vous, faudrait-il une une formation particulière à la gestion de l'agressivité durant les études en IFSI?
- quelles stratégies, mettez vous en place, pour prévenir ce sentiment de peur dans la relation soignant, soigné?
- quelles sont les répercussions de la peur du soignant sur la relation avec le patient?
Encore merci pour vos réponses
Infirmière promotion 2009/2012
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breton hurlant
- Messages : 7
- Inscription : 29 juin 2007 23:04
- Localisation : Cholet
Re: TFE: la peur du soignant en psychiatrie
- comment gérez vous vos émotions?
Vos émotions, et ce qu'elles génèrent en termes d'affects (vos affects), rendent compte de votre capacité à prendre conscience de ce que l'autre, - un patient qui est aussi et avant tout , un autre être humain - suscite en vous. D'une certaine façon, on peut dire que cette prise de conscience de ce que l'autre génère en vous est votre " capteur sensoriel". Ce qui fait de vous un (futur) professionnel, est votre capacité à analyser ces perceptions-sensations de l'autre, le patient, pour lui proposer un retour construit à partir de vos connaissances en termes de psychopathologie, psychologie, etc. au regard d'une conception de soin qui le positionne - a priori - comme un être humain... Cette "posture soignante" est ce que vous construisez au décours de votre formation et vous mesurez pendant les stages combien cette posture relève non seulement de vous, en tant que sujet, et être humain, mais également comme membre d'une équipe soignante. (c'est parce que vous développez votre capacité à appartenir à cette équipe de soin, que vous êtes en capacité à prendre des postures qui sont cohérentes avec la logique de soin mise en œuvre au sein de cette équipe...) : pour faire court : nous sommes notre propre outil de travail, nous percevons l'autre à travers qui nous sommes.... ce qui fait de nous un soignant est notre capacité à nous distancier des émotions que l'autre génère en nous ( vous pouvez ici retravailler le concept de l'être bio-psycho-sociologique, concept qui rends compte de la personne soignée comme du soignant!)
travailler la question de l'empathie serait utile, il y a un texte de l'encyclopédie médicale accessible sur internet et dont la lecture vous sera sans doute profitable
- si je vous dis la phrase suivante, "la peur n'a pas sa place dans la relation de soins" est-ce toujours vrai?
vous avez la réponse dans ce qui précède!!!
- selon vous, faudrait-il une une formation particulière à la gestion de l'agressivité durant les études en IFSI?
Bien sur et cela fait partie du domaine des sciences humaine! l'agressivité est "normale", tout être vivant est à un moment ou un autre perçu comme agressif... et l'agressivité parle de notre rapport au monde plus que de la violence... ces deux termes sont à travailler, en lien avec la question de l'empathie, et vous trouverez dans la collection "que sais-je?" deux ouvrages qui traitent de ces questions...
- quelles stratégies, mettez vous en place, pour prévenir ce sentiment de peur dans la relation soignant, soigné?
Si on peut ici parler de stratégie, il s'agit moins de "prévenir de le sentiment de peur" que de questionner ce qui nous pousse à vouloir prendre une posture de soignant... Une voie - incontournable à mon sens - qui prend du temps mais s'avère au fil de l'expérience bénéfique est de prendre le temps de se connaitre soi-même... c'est d'autant plus logique que vous percevez autrui à travers qui vous êtes... donc se poser la question de la tolérance autant que celle de la rigueur (en sachant que cette dernière se distingue de la rigidité!)
- quelles sont les répercussions de la peur du soignant sur la relation avec le patient?
Vous posez la question en en connaissant la réponse. Lorsque vous êtes le siège d'une angoisse (plus que de la peur) vous perdez la capacité à vous distancier de ce que l'autre génère en vous et ne pouvez produire de "réponses" qu'en miroir...
prenant en considération que le devenir de tout être est de pouvoir se positionner comme un sujet "à parents-tiers", c'est à dire sortir d'une relation fusionnelle, voire confusionnelle, ce qui fait soin est la possibilité pour la personne soignée de travailler - en même temps - ce qui fait d'elle un être humain semblable à tout autre et ce qui fait qu'elle est un sujet unique...
Merci pour vos questions!
Cordialement
Yves jaunay
Vos émotions, et ce qu'elles génèrent en termes d'affects (vos affects), rendent compte de votre capacité à prendre conscience de ce que l'autre, - un patient qui est aussi et avant tout , un autre être humain - suscite en vous. D'une certaine façon, on peut dire que cette prise de conscience de ce que l'autre génère en vous est votre " capteur sensoriel". Ce qui fait de vous un (futur) professionnel, est votre capacité à analyser ces perceptions-sensations de l'autre, le patient, pour lui proposer un retour construit à partir de vos connaissances en termes de psychopathologie, psychologie, etc. au regard d'une conception de soin qui le positionne - a priori - comme un être humain... Cette "posture soignante" est ce que vous construisez au décours de votre formation et vous mesurez pendant les stages combien cette posture relève non seulement de vous, en tant que sujet, et être humain, mais également comme membre d'une équipe soignante. (c'est parce que vous développez votre capacité à appartenir à cette équipe de soin, que vous êtes en capacité à prendre des postures qui sont cohérentes avec la logique de soin mise en œuvre au sein de cette équipe...) : pour faire court : nous sommes notre propre outil de travail, nous percevons l'autre à travers qui nous sommes.... ce qui fait de nous un soignant est notre capacité à nous distancier des émotions que l'autre génère en nous ( vous pouvez ici retravailler le concept de l'être bio-psycho-sociologique, concept qui rends compte de la personne soignée comme du soignant!)
travailler la question de l'empathie serait utile, il y a un texte de l'encyclopédie médicale accessible sur internet et dont la lecture vous sera sans doute profitable
- si je vous dis la phrase suivante, "la peur n'a pas sa place dans la relation de soins" est-ce toujours vrai?
vous avez la réponse dans ce qui précède!!!
- selon vous, faudrait-il une une formation particulière à la gestion de l'agressivité durant les études en IFSI?
Bien sur et cela fait partie du domaine des sciences humaine! l'agressivité est "normale", tout être vivant est à un moment ou un autre perçu comme agressif... et l'agressivité parle de notre rapport au monde plus que de la violence... ces deux termes sont à travailler, en lien avec la question de l'empathie, et vous trouverez dans la collection "que sais-je?" deux ouvrages qui traitent de ces questions...
- quelles stratégies, mettez vous en place, pour prévenir ce sentiment de peur dans la relation soignant, soigné?
Si on peut ici parler de stratégie, il s'agit moins de "prévenir de le sentiment de peur" que de questionner ce qui nous pousse à vouloir prendre une posture de soignant... Une voie - incontournable à mon sens - qui prend du temps mais s'avère au fil de l'expérience bénéfique est de prendre le temps de se connaitre soi-même... c'est d'autant plus logique que vous percevez autrui à travers qui vous êtes... donc se poser la question de la tolérance autant que celle de la rigueur (en sachant que cette dernière se distingue de la rigidité!)
- quelles sont les répercussions de la peur du soignant sur la relation avec le patient?
Vous posez la question en en connaissant la réponse. Lorsque vous êtes le siège d'une angoisse (plus que de la peur) vous perdez la capacité à vous distancier de ce que l'autre génère en vous et ne pouvez produire de "réponses" qu'en miroir...
prenant en considération que le devenir de tout être est de pouvoir se positionner comme un sujet "à parents-tiers", c'est à dire sortir d'une relation fusionnelle, voire confusionnelle, ce qui fait soin est la possibilité pour la personne soignée de travailler - en même temps - ce qui fait d'elle un être humain semblable à tout autre et ce qui fait qu'elle est un sujet unique...
Merci pour vos questions!
Cordialement
Yves jaunay
Re: TFE: la peur du soignant en psychiatrie
breton hurlant a écrit :- comment gérez vous vos émotions?
Vos émotions, et ce qu'elles génèrent en termes d'affects (vos affects), rendent compte de votre capacité à prendre conscience de ce que l'autre, - un patient qui est aussi et avant tout , un autre être humain - suscite en vous. D'une certaine façon, on peut dire que cette prise de conscience de ce que l'autre génère en vous est votre " capteur sensoriel". Ce qui fait de vous un (futur) professionnel, est votre capacité à analyser ces perceptions-sensations de l'autre, le patient, pour lui proposer un retour construit à partir de vos connaissances en termes de psychopathologie, psychologie, etc. au regard d'une conception de soin qui le positionne - a priori - comme un être humain... Cette "posture soignante" est ce que vous construisez au décours de votre formation et vous mesurez pendant les stages combien cette posture relève non seulement de vous, en tant que sujet, et être humain, mais également comme membre d'une équipe soignante. (c'est parce que vous développez votre capacité à appartenir à cette équipe de soin, que vous êtes en capacité à prendre des postures qui sont cohérentes avec la logique de soin mise en œuvre au sein de cette équipe...) : pour faire court : nous sommes notre propre outil de travail, nous percevons l'autre à travers qui nous sommes.... ce qui fait de nous un soignant est notre capacité à nous distancier des émotions que l'autre génère en nous ( vous pouvez ici retravailler le concept de l'être bio-psycho-sociologique, concept qui rends compte de la personne soignée comme du soignant!)
travailler la question de l'empathie serait utile, il y a un texte de l'encyclopédie médicale accessible sur internet et dont la lecture vous sera sans doute profitable
- si je vous dis la phrase suivante, "la peur n'a pas sa place dans la relation de soins" est-ce toujours vrai?
vous avez la réponse dans ce qui précède!!!
- selon vous, faudrait-il une une formation particulière à la gestion de l'agressivité durant les études en IFSI?
Bien sur et cela fait partie du domaine des sciences humaine! l'agressivité est "normale", tout être vivant est à un moment ou un autre perçu comme agressif... et l'agressivité parle de notre rapport au monde plus que de la violence... ces deux termes sont à travailler, en lien avec la question de l'empathie, et vous trouverez dans la collection "que sais-je?" deux ouvrages qui traitent de ces questions...
- quelles stratégies, mettez vous en place, pour prévenir ce sentiment de peur dans la relation soignant, soigné?
Si on peut ici parler de stratégie, il s'agit moins de "prévenir de le sentiment de peur" que de questionner ce qui nous pousse à vouloir prendre une posture de soignant... Une voie - incontournable à mon sens - qui prend du temps mais s'avère au fil de l'expérience bénéfique est de prendre le temps de se connaitre soi-même... c'est d'autant plus logique que vous percevez autrui à travers qui vous êtes... donc se poser la question de la tolérance autant que celle de la rigueur (en sachant que cette dernière se distingue de la rigidité!)
- quelles sont les répercussions de la peur du soignant sur la relation avec le patient?
Vous posez la question en en connaissant la réponse. Lorsque vous êtes le siège d'une angoisse (plus que de la peur) vous perdez la capacité à vous distancier de ce que l'autre génère en vous et ne pouvez produire de "réponses" qu'en miroir...
prenant en considération que le devenir de tout être est de pouvoir se positionner comme un sujet "à parents-tiers", c'est à dire sortir d'une relation fusionnelle, voire confusionnelle, ce qui fait soin est la possibilité pour la personne soignée de travailler - en même temps - ce qui fait d'elle un être humain semblable à tout autre et ce qui fait qu'elle est un sujet unique...
Merci pour vos questions!
Cordialement
Yves jaunay
un grand merci d'avoir donner de votre temps, pour répondre à ces questions!
Infirmière promotion 2009/2012
Tout début en psychiatrie, et compte bien y rester !!!
Tout début en psychiatrie, et compte bien y rester !!!
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nounours2912
- Messages : 3
- Inscription : 12 sept. 2008 11:18
TFE Relation soignant soigné en psychiatrie RCH IDE
Bonjour,
Je suis étudiante infirmière en 3eme année , et dans le cadre de la réalisation de mon tfe je recherche des infirmiers qui accepteraient de répondre à mes questions.
Je mets à disposition mes divers questions pour ceux qui souhaiteraient y répondre.
1) Depuis combien de temps exercez-vous dans le secteur psychiatrique ?
2) Que représente pour vous la posture professionnelle?
3) Quels sens donnez-vous au terme " être professionnel dans une relation" ?
4) Comment faites-vous pour conserver la relation professionnelle?
5) Pensez-vous que l’expérience professionnelle joue un rôle dans votre posture, dans la relation soignant soigné?
6 ) Comment définiriez-vous la distance dans la relation soignant-soigné ?
7) Comment réagissait vous lorsque vous été amené à gérer une situation émotionnelle difficile ? Qu’est-ce qui vous aide à surmonter cette situation ?
Quels sont les outils dont vous disposez pour adopter votre posture dan la relation avec le soigné?
9) Selon vous, la distance thérapeutique contribue-t-elle à adopter une posture professionnelle chez le soignant ?Pourquoi?
Je vous remercie d'avoir consacré du temps pour répondre aux questions.
Je suis étudiante infirmière en 3eme année , et dans le cadre de la réalisation de mon tfe je recherche des infirmiers qui accepteraient de répondre à mes questions.
Je mets à disposition mes divers questions pour ceux qui souhaiteraient y répondre.
1) Depuis combien de temps exercez-vous dans le secteur psychiatrique ?
2) Que représente pour vous la posture professionnelle?
3) Quels sens donnez-vous au terme " être professionnel dans une relation" ?
4) Comment faites-vous pour conserver la relation professionnelle?
5) Pensez-vous que l’expérience professionnelle joue un rôle dans votre posture, dans la relation soignant soigné?
6 ) Comment définiriez-vous la distance dans la relation soignant-soigné ?
7) Comment réagissait vous lorsque vous été amené à gérer une situation émotionnelle difficile ? Qu’est-ce qui vous aide à surmonter cette situation ?
Quels sont les outils dont vous disposez pour adopter votre posture dan la relation avec le soigné?9) Selon vous, la distance thérapeutique contribue-t-elle à adopter une posture professionnelle chez le soignant ?Pourquoi?
Je vous remercie d'avoir consacré du temps pour répondre aux questions.
-
nounours2912
- Messages : 3
- Inscription : 12 sept. 2008 11:18
distance thérapeutique en psychiatrie
Bonjour,
étudiante infirmière en 3eme année, je sollicite les infirmiers ayant une expérience en psy pour répondre à une question qui me permettra d'orienter mon TFE.
Selon vous, la distance thérapeutique permet-elle aux soignant d'adopter une posture professionnelle ( attitude)?Pourquoi?
Je vous remercie d'avance d'avoir consacré du temps pour cette question.
étudiante infirmière en 3eme année, je sollicite les infirmiers ayant une expérience en psy pour répondre à une question qui me permettra d'orienter mon TFE.
Selon vous, la distance thérapeutique permet-elle aux soignant d'adopter une posture professionnelle ( attitude)?Pourquoi?
Je vous remercie d'avance d'avoir consacré du temps pour cette question.
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nounours2912
- Messages : 3
- Inscription : 12 sept. 2008 11:18
Relation soignant soigné en psychiatrie recherche ide
Bonjour,
Je suis étudiante infirmière en 3eme année , et dans le cadre de la réalisation de mon tfe je recherche des infirmiers qui accepteraient de répondre à mes questions.
Je mets à disposition mes divers questions pour ceux qui souhaiteraient y répondre.
1) Depuis combien de temps exercez-vous dans le secteur psychiatrique ?
2) Que représente pour vous la posture professionnelle?
3) Quels sens donnez-vous au terme " être professionnel dans une relation" ?
4) Comment faites-vous pour conserver la relation professionnelle?
5) Pensez-vous que l’expérience professionnelle joue un rôle dans votre posture, dans la relation soignant soigné?
6 ) Comment définiriez-vous la distance dans la relation soignant-soigné ?
7) Comment réagissait vous lorsque vous été amené à gérer une situation émotionnelle difficile ? Qu’est-ce qui vous aide à surmonter cette situation ?
Quels sont les outils dont vous disposez pour adopter votre posture dan la relation avec le soigné?
9) Selon vous, la distance thérapeutique contribue-t-elle à adopter une posture professionnelle chez le soignant ?Pourquoi?
Je vous remercie d'avoir consacré du temps pour répondre aux questions.
Je suis étudiante infirmière en 3eme année , et dans le cadre de la réalisation de mon tfe je recherche des infirmiers qui accepteraient de répondre à mes questions.
Je mets à disposition mes divers questions pour ceux qui souhaiteraient y répondre.
1) Depuis combien de temps exercez-vous dans le secteur psychiatrique ?
2) Que représente pour vous la posture professionnelle?
3) Quels sens donnez-vous au terme " être professionnel dans une relation" ?
4) Comment faites-vous pour conserver la relation professionnelle?
5) Pensez-vous que l’expérience professionnelle joue un rôle dans votre posture, dans la relation soignant soigné?
6 ) Comment définiriez-vous la distance dans la relation soignant-soigné ?
7) Comment réagissait vous lorsque vous été amené à gérer une situation émotionnelle difficile ? Qu’est-ce qui vous aide à surmonter cette situation ?
Quels sont les outils dont vous disposez pour adopter votre posture dan la relation avec le soigné?9) Selon vous, la distance thérapeutique contribue-t-elle à adopter une posture professionnelle chez le soignant ?Pourquoi?
Je vous remercie d'avoir consacré du temps pour répondre aux questions.
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wilfrid3ide
- Messages : 1
- Inscription : 04 mai 2012 13:33
TFE AFT en psychiatrie
bonjour
j'ai besoin d'infirmier ou infirmière en psychiatrie pour faire un entretient sur l'accueil familiale thérapeutique et surtout le rôle infirmier dans ce champ d'activité
si vous travailliez en psychiatrie en CMP, je suis intéressé
merci d'avance à tous et toute
j'ai besoin d'infirmier ou infirmière en psychiatrie pour faire un entretient sur l'accueil familiale thérapeutique et surtout le rôle infirmier dans ce champ d'activité
si vous travailliez en psychiatrie en CMP, je suis intéressé
merci d'avance à tous et toute
TFE: Relation soignant soigné et observance thérapeutique
Grille d’entretien
Je suis élève en 3éme année à l’institut de formation en soins infirmiers dans le cadre de mon travail de fin d’études j’effectue une recherche sur l’observance en psychiatrie. Je n'ai pas réussi à faire suffisamment d'entretien dans le cadre de mon enquète exploratoire et j' aurai absolument besoin de votre aide au plus vite car je dois rendre mon tfe vendredi matinMerci de m’accorder de votre temps.
Question n°1 : Thème : Formation
- Pour commencer j’aimerai savoir quelle est votre expérience auprès des patients psychotiques ? Quel est votre parcours (formation) ?
Question n°2 : Thème : Relation soignant-soigné
- Selon vous quelle est la définition de la relation soignant-soigné en psychiatrie ? Quel est son but ?
Question n°3 : Thème : Relation soignant-soigné
- Pour vous, quels sont les critères de qualité d’une relation soignant-soigné de qualité avec un patient schizophrène ?
Question n°4 : Thème : Education du patient
- Quelles attitudes relationnelles adoptez-vous lors d’échange d’informations avec un patient schizophrène ?
Question n°5 : Thème : Observance et inobservance
- Pour vous quelles sont les définitions de l’observance et de l’inobservance en psychiatrie ?
Question n°6 : Thème : Non observance des thérapeutiques
- Quelles sont selon vous, les causes de l’inobservance des patients schizophrènes vis-à-vis de leurs traitements ?
Question n°7 : Thème : Observance
- Quelles sont les conséquences à long terme de l’observance sur la schizophrénie ?
Je suis élève en 3éme année à l’institut de formation en soins infirmiers dans le cadre de mon travail de fin d’études j’effectue une recherche sur l’observance en psychiatrie. Je n'ai pas réussi à faire suffisamment d'entretien dans le cadre de mon enquète exploratoire et j' aurai absolument besoin de votre aide au plus vite car je dois rendre mon tfe vendredi matinMerci de m’accorder de votre temps.
Question n°1 : Thème : Formation
- Pour commencer j’aimerai savoir quelle est votre expérience auprès des patients psychotiques ? Quel est votre parcours (formation) ?
Question n°2 : Thème : Relation soignant-soigné
- Selon vous quelle est la définition de la relation soignant-soigné en psychiatrie ? Quel est son but ?
Question n°3 : Thème : Relation soignant-soigné
- Pour vous, quels sont les critères de qualité d’une relation soignant-soigné de qualité avec un patient schizophrène ?
Question n°4 : Thème : Education du patient
- Quelles attitudes relationnelles adoptez-vous lors d’échange d’informations avec un patient schizophrène ?
Question n°5 : Thème : Observance et inobservance
- Pour vous quelles sont les définitions de l’observance et de l’inobservance en psychiatrie ?
Question n°6 : Thème : Non observance des thérapeutiques
- Quelles sont selon vous, les causes de l’inobservance des patients schizophrènes vis-à-vis de leurs traitements ?
Question n°7 : Thème : Observance
- Quelles sont les conséquences à long terme de l’observance sur la schizophrénie ?
TFE affect du soignant en Psy
Affects du soignant au sein d'une relation d'aide en Psy
Comme le dit le titre;
"Au secours, je rame, je galère, je désespère..."
Je suis actuellement en 3ème année d'école d'infirmière et je suis en train de me pencher sur ce fameux travail de fin d'étude.
J'aimerai aborder la relation d'aide en psy et la place des affects des soignants au sein de celle ci.
Je suis partie d'une situation d'appel faisant référence à mes propres difficultés émotionnelles face à l' histoire de vie d'une patiente.
De là en a découlé tout un questionnement pour en arriver à la question de départ suivante :
De quelle manière l'infirmier peut il mener une relation d'aide adaptée avec un patient en psychiatrie, sans que ses affects soient un frein à celles ci ?
Sauf qu'à partir de ce moment, je me sens bien seule...
J'aurai aimé dans un premier temps aborder la relation d'aide et sa spécificité en psy ( qu'est ce qui différencie la relation d'aide en psy de celle pratiquée en soins généraux ) et dans une autre grande partie j'aurai aimé aborder la notion d'affects du soignant, une des éventuelles limites au "bon déroulement" de la relation d'aide avec un patient en psy.
Je ne suis surement pas très claire dans ce que je dis mais là où je rame bcp c'est qu'on trouve peu de choses sur la psy, sur la place que tient les émotions d'un soignant travaillant en psy ...
J'ai bien-entendu trouvé des ouvrages faisant référence à de grands auteurs sur la relation d'aide tels que C. ROGERS ou encore J. CHALIFOUR, ensuite j'ai trouvé Le travail émotionnel des soignants à l'hôpital de C. MERCADIER et un livre sur l'infirmier en psychiatrie mais je ne retrouve aucune notion caractérisant la spécificité de ce soin en psy et tout ce que je trouve sur les émotions du soignant tourne autour de la fin de vie ou alors du burn out. Alors que moi j'aimerai plus parler de notion de contre transfert... sur l'impact de nos émotions face aux situations difficiles sur la relation d'aide...
J'espère trouver un peu d'aide sur ce forum. Merci pour vos futures réponses.
Comme le dit le titre;
"Au secours, je rame, je galère, je désespère..."
Je suis actuellement en 3ème année d'école d'infirmière et je suis en train de me pencher sur ce fameux travail de fin d'étude.
J'aimerai aborder la relation d'aide en psy et la place des affects des soignants au sein de celle ci.
Je suis partie d'une situation d'appel faisant référence à mes propres difficultés émotionnelles face à l' histoire de vie d'une patiente.
De là en a découlé tout un questionnement pour en arriver à la question de départ suivante :
De quelle manière l'infirmier peut il mener une relation d'aide adaptée avec un patient en psychiatrie, sans que ses affects soient un frein à celles ci ?
Sauf qu'à partir de ce moment, je me sens bien seule...
J'aurai aimé dans un premier temps aborder la relation d'aide et sa spécificité en psy ( qu'est ce qui différencie la relation d'aide en psy de celle pratiquée en soins généraux ) et dans une autre grande partie j'aurai aimé aborder la notion d'affects du soignant, une des éventuelles limites au "bon déroulement" de la relation d'aide avec un patient en psy.
Je ne suis surement pas très claire dans ce que je dis mais là où je rame bcp c'est qu'on trouve peu de choses sur la psy, sur la place que tient les émotions d'un soignant travaillant en psy ...
J'ai bien-entendu trouvé des ouvrages faisant référence à de grands auteurs sur la relation d'aide tels que C. ROGERS ou encore J. CHALIFOUR, ensuite j'ai trouvé Le travail émotionnel des soignants à l'hôpital de C. MERCADIER et un livre sur l'infirmier en psychiatrie mais je ne retrouve aucune notion caractérisant la spécificité de ce soin en psy et tout ce que je trouve sur les émotions du soignant tourne autour de la fin de vie ou alors du burn out. Alors que moi j'aimerai plus parler de notion de contre transfert... sur l'impact de nos émotions face aux situations difficiles sur la relation d'aide...
J'espère trouver un peu d'aide sur ce forum. Merci pour vos futures réponses.
Farah ESI
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